Appelo Mor†em (old)
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Le mensonge est un vilain défauts Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
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Ann E. O'More
Serdaigle
Adorable Rêveuse Ann E. O'More
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Amour : Peut-être bien un Serpentard... Oui mais lequel ?

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Orientation Sexuelle: Hétérosexuel
Année d'étude: 5ème année
Caractère: Souriante - Gentille - Têtue - Réveuse - Passionner - Optimiste - Malicieuse - Espiègle

MessageSujet: Le mensonge est un vilain défauts Le mensonge est un vilain défauts Icon_minitimeMar 21 Avr 2009 - 14:47

    [Rp Suite de ça va saigner
    1er Post pour Hugo


    Ann soutenait toujours Hugo. Aussi surprenant que cela puisse paraitre elle s’était abstenue de tout bavardage durant tout le trajet, peut-être parce qu’elle était bien consciente que le vert et argent prenait déjà beaucoup sur lui pour ne pas l’envoyer promener. Mais bon on ne pouvait pas franchement dire qu’il avait le choix car il avait besoin de faire soigner ses blessures. Quelle idée aussi de se battre ! Mais Ann n’était pas du genre a juger les autres et elle ne lui ferait donc aucun reproche. Quoiqu’il en soit ils étaient enfin arrivait à destination : l’infirmerie. Hugo n’avait pas du tout envie d’y aller. Et Ann n’avait pas du tout envie de mentir à l’infirmière. Pourtant d’après le vert et argent elle allait forcément obliger mais la jeune fille espérait que son visage d’ange et le fait qu’on lui fasse confiance suffise car elle était une très mauvaise menteuse. Quand elle était petite avant Poudlard, elle se faisait attraper par sa mère quand elle essayait de voler les délicieux gâteaux aux cerises alors qu’elle en avait plein les doigts ou alors qu’elle répliquer qu’elle n’avait pas toucher au maquillage alors que sa bouche était pleine de rouge a lèvre. En grandissant elle avait appris à cacher les preuves de ses mensonge mais un rire nerveux ou une rougeur inattendue la trahissez toujours. Puis de toute façon en règle général ce n’était pas une menteuse et elle n’aimait pas ça . Elle n’avait jamais compris l’intérêt d’omettre la vérité qui finissait toujours par apparaitre au grand jour de toute façon.

    Elle tourna la tête vers Hugo, et lui adressa un léger sourire avant de frapper à la porte et d’entré, le soutenant toujours. L’infirmière se rapprocha alors avec empressement vers eux, se rendant bien compte que le vert et argent devait s’être battue.

    Infirmière – « Que-sait-il encore passer ? »
    Ann – « Euh… Eh bien ? »
    Infirmière – « Oui j’écoute »

    La bonne femme qui posséder une bonne corpulence croisa ses bras contre son torse avec sévérité et regarda Hugo avec un air plein de reproche, ne doutant pas une seule seconde de sa culpabilité. Perdue, Ann tourna la tête vers son compagnon d’infortune cherchant en lui de l’appui, essayant de savoir se qu’elle devait dire.

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Hugo O. Garnaliel
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Are you affraid? Not apparently enought... Hugo O. Garnaliel
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MessageSujet: Re: Le mensonge est un vilain défauts Le mensonge est un vilain défauts Icon_minitimeVen 24 Avr 2009 - 12:32

    Le trajet jusqu’à l’infirmerie fut assez périlleux pour Hugo. Il marchait lentement, évitant toute embuche pour ne pas avoir à souffrir, se tenant parfois les côtes, et se soutenant sans retenue sur la demoiselle qui était à ses cotés. Ann E. O’More. Qui aurait pu penser le voir un jour avec elle. Ce n’était que le pur fruit du hasard. En temps normal, il en aurait rit lui-même, mais il devait bien l’avouer, pour le coup elle était très utile. Il n’aurait pas pu se rendre à l’infirmerie seul, d’ailleurs, sans elle, il ne s’y serait même pas rendu, et aurait supporté certainement pendant plusieurs jours la douleur quitte à ce qu’elle le tue. Il ne lui avait pas adressé la parole durant tout le trajet. Pourquoi ? Ce n’était pas seulement par envie, il préférait se concentrer sur ses pas. S’il avait pu y aller seul, il l’aurait fait, mais bon… En réalité, il ne voulait pas parler pour ne pas la lancer elle. Il craignait de devoir subir son trop plein de gentillesse, ses questions et son blablabla. Il aurait pu lui dire ce qu’elle avait à dire devant l’infirmière, lui expliquer le mensonge qu’elle allait devoir dire, mais il savait que cela semblait toujours plus vrai lorsque s’était spontané. Y parviendrait-elle ? Il en doutait fortement, et cela l’agaçait, mais il ne pouvait qu’attendre et juger.

    La porte de l’infirmerie se dessinait enfin au fond du couloir. Il avait presque envie de lui demander de s’éclipser maintenant, mais une fois de plus il avait besoin d’elle. Comment était ce possible, en règle générale il se débrouillait seul, et bizarrement aujourd’hui, il ne pouvait rien faire sans son aide. S’en était presque pitoyable. Lorsqu’ils furent devant la porte, elle lui adressât un sourire. Essayant de cacher une grimace de douleur, il levât les yeux au ciel. Tout ceci était il vraiment nécessaire ? Sérieusement, trop de gentillesse tue la gentillesse. Il la laissât frapper à la porte, et c’est avec un soupir exaspéré et contre sa propre volonté qu’il pénétrât à l’intérieur. L’infirmière vint à eux avec rapidité et lorsqu’elle l’aperçut, il ne put ignorer ce petit air qui dit « c’est bon j’ai compris ». Il détournât son regard, sentant déjà les nerfs lui monter parce qu’elle ne le croirait jamais.

    - Que-sait-il encore passer ?
    - Euh… Eh bien ?
    - Oui j’écoute.

    Voilà qui annoncé la couleur. Elle avait utilisé le mot encore, ce qui signifiait que d’emblée, elle le pensait coupable. Il fallait l’avouer, habituellement, c’était lui qui envoyait les autres à l’infirmerie. Dès qu’il y avait une bagarre, le nom d’Hugo revenait toujours, mais il était rare que ce soit lui-même qui se présente directement là bas. Il tournât son regard vers Ann, comptant un peu sur elle, mais à part le soutenir physiquement, rien ne vint. Rien hormis ce petit regard qui allait les griller d’avance. Parfait, il l’avait supporté jusqu’ici pour rien, elle n’allait pas lui être d’une grande aide si elle ne se réveillait pas très vite. Remarquez, au moins, il ne lui devrait pas grand-chose après. Il poussât un soupir avant de poser son regard sur l’infirmière qui attendait avec un regard sévère.

    - Ca se voit pas ce qui s’est passé ?
    - Oh mais si monsieur Garnaliel.
    - Alors allez y, dite le moi vu que vous semblez le savoir mieux que moi.
    - Je suppose que vous êtes encore allé agresser un de vos camarade tout simplement, mais que cette fois ci, vous en avait reçu autant que vous en avez donné.

    Elle disait ça sur un air triomphant, comme si elle venait de résoudre l’enquête du siècle. Hugo ne fut pas surpris, laissons plaider la partie adverse avant de passer à la défense.

    - Et bien vous vous trompez ma chère. Il se trouve que j’étais en train de me promener tranquillement dans le parc, lorsqu’un de mes jeunes camarades comme vous dite, et venu m’agresser car il ne pouvait supporter l’idée que sa sœur et moi avions eu une histoire. Sauf qu’il n’était pas seul, et que lui et ses copains se sont jeté sur moi avant même que je n’ai le temps de parler, et qu’ils se sont amusés à me rouer de coup. Cherchez par vous-même dans le château, vous verrez bien que je suis le seul à avoir été frappé aujourd’hui, du moins les autres, ça ne vient pas de moi.

    L’infirmière écoutât chaque mot, mais il semblait que cela lui rentrait par une oreille et ressortait par l’autre sans le moindre effet. C’est maintenant qu’il devait compter sur Ann et son talent de menteuse. Enfin… Autant se jeter directement dans la gueule du loup, mais on ne sait jamais. Il tournât son regard vers elle avant de reprendre la parole.

    - Elle était là, elle à tout vu, demandez lui. Mais en attendant je peux m’asseoir quelque part, ou j’vais devoir attendre debout et souffrir en silence le temps que vous jugiez de la véracité de mes mots ? Non parce que sinon, autant repartir dans ma chambre et souffrir la bas plutôt qu’ici…

    Elle lui désignât un lit de la tête, et sans attendre, il trainât Ann avec lui pour qu’elle l’aide à s’asseoir. Lorsque cette opération périlleuse fut accomplie, l’infirmière la regardât d’un air sévère, attendant les explications de la jeune fille. Elle n’avait pas grand-chose à faire, il lui avait mâché le travail en expliquant le tout, elle n’aurait qu’à répéter avec ses propres mots. Enfin, il n’était même pas sur qu’elle y arrive mais bon, il n’avait qu’elle pour le soutenir sur ce coup là…

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Ann E. O'More
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MessageSujet: Re: Le mensonge est un vilain défauts Le mensonge est un vilain défauts Icon_minitimeVen 24 Avr 2009 - 21:22

    Et c’était avec des propos aussi hargneux qu’il pensait que l’infirmière allait le croire ? Eh bin ! En matière de diplomatie, de relation et de tact elle avait beaucoup à lui apprendre. Elle leva les yeux au lèvres et se mordis la lèvre supérieur en une petite moue agacer. Cela n’était pas dans ses habitudes de juger les gens. Mais là il fallait reconnaitre que Hugo tenait la palme du sale caractère. Elle pensait cependant qu’il n’avait pas mériter qu’on le traite ainsi. Certes elle n’avait rien vu et la plupart du temps ça devait sûrement être lui qui chercher les ennuis mais là il était innocent, elle en était certaine. Elle regarda l’infirmière avec un petit sourire plein d’excuse.

    Ann – « Veuillez l’excusez la douleur le rend légèrement désagréable » fit-elle en lui adressant un regard légèrement mauvais et plein de reproche, sur un ton assez cassant.

    Elle avait beau être aimable, gentille et bien élever sous toute les coutures elle n’en gardait pas moins son caractère plus qu’affirmé, ce que bien des personnes à Serpentard semblait oublier ou tout simplement ignoré. Quoiqu’il en soit l’infirmière semblait plus propre à écouter Ann que Hugo et approuva de la tête lorsqu’elle le désigna de « désagréable ». La jeune Serdaigle était d’un calme hors pair et faisait face à l’infirmière.

    Ann – « Mais il n’a pas totalement tord… » commença-t-elle hésitante. « Hugo n’est peut-être pas une modèle de politesse mais il n’a pas mériter son sort. Sans vouloir vous contrarier, il y a-t-il un endroit où il pourrait s’asseoir pour se reposer et peut-être retrouver un petit de sa bonne éducation ? Avant s’il en a une bien sûr » fit-elle très aimable avec un sourire et une pointe humour.

    Ce ranger dans le camp de l’infirmière et lui laissait penser qu’elle aussi trouvait que Poudlard était peuplé de gens mal élève plus insupportable les autres, semblaient être une bonne idée car l’employé se détendit et fit signe aux deux élèves de les suivre. L’infirmière pensait certainement que la Serdaigle était une miss je sais trop mûre pour fréquenter les jeunes de son âge mais Ann n’était pas comme ça. Elle ne se pensé pas supérieur et ne passait pas son temps à faire la morale et à au reprocher aux autres telle ou tel chose parce que « c’est maaaal. » Si les autres désiraient boire fumer ou encore se battre, ça ne regarder qu’eux et jamais elle ne les balancerait ou se permettrait de les critiquer. Seulement toutes ses chose là ne l’intéressait pas et elle elle désirait restait sage un point c’est tout.

    Soutenu par Ann, ils avancèrent tout les deux vers le fond de la salle, là où une ribambelle de lit se trouvait côte a cote . L’infirmière fit signe à Hugo de savoir d’un signe de tête sans aucune sympathie tandis qu’Ann continuer d’avoir l’air aimable en gentillesse.

    Infirmière – « Il faut qu’il enlève son tee-shirt »

    Elle s’adressait a Ann et parlait du vert et argent comme s’il n’était pas là, incapable de comprendre ou s’il ne valait même pas la peine qu’elle s’adresse directement à lui. Le jeune Garnaliel semblait plus que détesté son attitude et bien décidé a l’emmerder et n’agit pas une seule seconde. Ann posa alors son regard doux et rassurant sur lui.

    Ann – « Hugo…S’il te plait… »

    Comment lui dire non à elle qui avait l’air si gentille ? Ann avait se pouvoir d’apaiser les gens et de les rendre plus serein car elle semblait si calme et poser qu’il était évident que chacun de ses actes n’était effectuer que pour le bien être de l’autre. L’infirmière continua alors de s’adresser à elle, essayant d’en savoir plus.

    Infirmière – « Donc Mr Garnaliel a fricoté avec une jeune fille possédant un frère assez jaloux si j'ai bien compris. J'imagine que c'est vous ? » .
    Ann qui avait garder le regard sur Hugo tourna brutalement la tête vers l’employer.

    Ann- « Hein ?!? » fit-elle surprise, ne s’étant pas attendu a de telle accusation. « Noooon ! Non bien sur que non » dit-elle choquer comme si c’était impossible.

    L’idée que l’infirmière pense cela ne lui était même pas venu à l’esprit. D’abord Hugo tout à l’heure avec ses sous entendu quand elle l’avait visé avec sa baguette et maintenant ça ! Qu’est-ce qu’ils avaient tout les deux a sous entendre que le Serpentard lui plaisait ? Certes Hugo n’était pas moche mais ce n’était un raison de vouloir a tout prix la jeter dans ses bras. De plus il n’était pas son genre.

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MessageSujet: Re: Le mensonge est un vilain défauts Le mensonge est un vilain défauts Icon_minitimeVen 1 Mai 2009 - 16:18

    - Veuillez l’excusez la douleur le rend légèrement désagréable.

    Était-elle réellement obligée d’agir ainsi ? Avec ce petit sourire, oh oui c’est sur, on lui aurait donné le bon dieu sans confession. Seulement le simple fait qu’elle l’accompagne faisait d’elle une coupable. Elle allait devoir mentir, à savoir si elle le ferait bien, il ne pouvait qu’attendre. Son fameux sourire se transformât en un visage sévère lorsqu’elle reposât son regard sur lui. Qu’avait il fait ? Il avait expliqué ce qu’il s’était passé, certes sur un ton légèrement agressif, mais que pouvait-il faire d’autre. Quoi qu’il fasse, l’infirmière ne le croirait pas. Il se demandait d’ailleurs comment Ann le croyait, pourquoi malgré la méchanceté dont il avait fait preuve avec elle, continuait elle à avoir confiance en lui, et à le croire sans avoir de preuve. Il devait se montrer reconnaissant, et c’est bien cela qui l’emmerdait au plus haut point. Il n’en avait pas envie, et de toute façon tant qu’elle ne le sortait pas de là, il n’aurait pas à le faire. Il ne pensait sincèrement pas qu’elle y parviendrait, mais chaque jour apporte son lot de surprise avec lui.
    L’infirmière semblait accepter le jugement de Ann. D’ailleurs, elle ne portait attention qu’à ce qu’elle disait, ne posant même plus son regard sur le jeune homme.

    - Mais il n’a pas totalement tord…

    Nous y voilà enfin. Hugo allait pouvoir juger du don de persuasion dont Ann pouvait faire preuve, et le ton hésitant qu’elle employât n’était pas des plus encourageants. Se renfrognant quelque peu, il attendit la suite.

    - Hugo n’est peut-être pas une modèle de politesse mais il n’a pas mérité son sort. Sans vouloir vous contrarier, il y a-t-il un endroit où il pourrait s’asseoir pour se reposer et peut-être retrouver un petit de sa bonne éducation ? Enfin s’il en a une bien sûr.


    Elle allait trop loin. Il n’avait qu’une envie, retirer son bras de son épaule et rebrousser chemin seul, enfin libéré de toute cette mièvrerie. Seulement, il était bloqué. Ce mouvement, il l’avait tenté tout en y pensant, mais il n’avait pu que bouger d’un millimètre sans ressentir la douleur. Aussi n’avait elle peut être même pas sentit son envie de partir, peut être avait elle prit cela pour un simple tremblement. Bizarrement, l’infirmière semblât se détendre et leur fit signe de les suivre jusqu’à un lit. Alors lui le demandait et elle ne bougeait pas, mais il suffisait que miss sainte ni touche se mette à sourire et au passage le traite de garçon mal élevé pour que cela la ravisse. Il ne pu s’empêcher de lever les yeux au ciel devant ce comportement, pourtant il entraînât Ann vers le lit que l’infirmière avait désigné sans la moindre sympathie. Que voulez vous qu’il fasse ? Il souffrait, et il avait besoin de se poser pour se sentir mieux. Pour l’instant, il ne pouvait que subir. La douleur, les sourire de Ann, et l’infirmière qui semblait faire comme s’il n’était pas présent, tout cela lui donnait la gerbe.

    - Il faut qu’il enlève son tee-shirt.
    - Je signale que je suis encore là…

    L’infirmière semblait ne plus vouloir s’adresser à lui. Il aurait du être content de ne pas avoir droit aux reproches habituels, mais le fait d’être ignoré de la sorte avait le don de lui mettre les nerfs en pelote. Aussi, il se renfrognât, croisât les bras sur son torse et refusât d’agir. Tête de mule dites vous ? Si seulement vous saviez. Voyant qu’il ne comptait pas agir, Ann se retournât vers lui avec ce regard si… Doux et compatissant. Mon dieu faites quelque chose.

    - Hugo…S’il te plait…

    En temps normal, il aurait eu envie de la gifler, histoire de vérifier si son sourire allait disparaître, mais il se contentât de pousser un soupir. Lentement, il tentât de bouger, mais il grimaçât. Et merde, en plus il allait devoir s’abaisser à ça ? Fait chier… Il s’adressât à elle sur un ton qu’elle prendrait peut être en pitié, mais qui montrait bien qu’il ne le lui demandait que parce qu’il n’avait pas d’autre choix.

    - J’y arrive pas tout seul. Aide-moi… S’il te plait…

    Les trois derniers mots faillirent lui arracher la bouche, mais il savait que sans ça, elle n’agirait pas. L’action fut rapide, et non sans douleur, et pendant ce temps là, l’infirmière continuait à s’adresser à Ann sans le regarder, comme s’il était transparent.

    - Donc Mr Garnaliel a fricoté avec une jeune fille possédant un frère assez jaloux si j'ai bien compris. J'imagine que c'est vous ?

    Ann et Hugo eurent la même réaction en même temps. Enfin, la même n’’est pas vraiment le mot, mais le non se fit à l’unisson.

    - Hein ?!? Non bien sur que non.
    - Pardon ? Non !

    Ann semblait choquée par les propos de l’infirmière, lui au contraire semblait désabusé. Voilà pourquoi avec un petit rire il continuât sur sa lancée.

    - Vous pensiez que… Elle ? Non mais non, ce n’est pas avec elle. Je ne la connais que depuis quelques heures tout au plus, je sais même pas son nom. Et puis qu’est ce que je ferais…

    Hugo venait de poser son regard sur Ann. Il venait de se rendre compte de ce qu’il venait de dire. Ce n’était pas gentil pour elle, et il n’avait pas voulut cela. Ses yeux parcoururent la pièce, a quoi bon rester ici. Une ne le croirait jamais, et la seule qui avait confiance en lui, il venait certainement de la blesser au point qu’elle ne veuille plus le défendre. Sans un regard, il attrapât son tee shirt qu’il avait posé sur le côté du lit et malgré sa douleur, il se relevât sans même adresser un regard à Ann. Si elle tendait bien l’oreille, elle pourrait entendre un petit « je suis désolé » avant qu’il ne pose les pieds au sol. Il ne voulait pas qu’on le retienne, il voulait quitter cet endroit au plus vite. Mais à peine avait il fait deux pas, qu’il sentit une douleur atroce dans sa cage thoracique. Comme si quelque chose venait de lui transpercer les entrailles. Tout se passât en l’espace dune seconde, ses jambes lâchèrent, et il se retrouvât genou au sol, les bras croisé sur son abdomen, les yeux crispé par la douleur. Il se mit alors à tousser, et du sang éclaboussât le sol. Il avait l’impression que quelque chose lui comprimait les poumons, et avait du mal à respirer. Dans un ultime effort, il tendit son bras vers Ann pour lui saisir la jambe, et entre deux rale murmurât :

    - Aide moi…

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MessageSujet: Re: Le mensonge est un vilain défauts Le mensonge est un vilain défauts Icon_minitimeSam 2 Mai 2009 - 20:55

    Hugo – « J’y arrive pas tout seul. »

    Etrangement ça elle l’aurait parié. Pas vraiment par rapport a son états mais plus par sa réputation d’aimer les contacts avec la gente féminine. Ce n’est pas pour autant qu’elle se méfia ou refusa. D‘autant plus qu’il rajouta quelque mots pour la convaincre.

    Hugo – « Aide-moi… S’il te plait… »

    C’était inutile de lui demander aussi poliment. Elle aurait accepté même si en avait tout simplement donné l’ordre. Certes elle n’aurait pût s’empêcher de le taquiner sur son manque de gentillesse mais au final elle l’aurait aidé car elle ne pouvait pas décemment le laisser dans cet états. De plus elle se rendait bien compte qu’Hugo était plus du genre a se débrouiller seul qu’a demander aux autres de l’aider et qu’il le fasse la toucha. Elle se sentit valorisée et importante, peut-être même unique bien qu’il n’avait rien fait d’exceptionnel. Elle se pencha vers lui et l’aida a enlever son tee-shirt de la manière la plus rapide qu’elle pût. Son regard tombant sur son tors nu, elle replaça maladroitement une de ses mèches brunes derrière son oreille pour garder contenance bien que grimaçant de douleur il ne semblait pas avoir remarquer sa gêne. L’infirmerie s’adressa alors a elle, continuant d’ignorer Hugo, lui avouant qu’elle croyait que c’était à cause d’elle que le vert et argent s’était battue. Ann en fût choqué et Hugo eut a peu près la même réaction bien qu’il semblait plus désabusé qu’horrifier. Il s’était même mis a rire.

    Hugo – « - Vous pensiez que… Elle ? Non mais non, ce n’est pas avec elle. Je ne la connais que depuis quelques heures tout au plus, je sais même pas son nom. Et puis qu’est ce que je ferais… »

    …d’une fille aussi gentille ? Pour ne pas dire idiote ou imbécile heureuse ?! Il n’avait pas fini sa phrase et pourtant elle savait très bien où il voulait en venir. Ce qui la blessa le plus ne fût pas vraiment les mots qu’il employa mais plutôt le naturel avec lequel il les avait employé comme si c’était évident. En règle général Ann se ficher totalement de se qu’on pensait d’elle . Elle manquer un peu de confiance au niveau des garçons mais a part dans se domaine elle savait s’affirmer malgré sa gentillesse évidente. Etre gentille ne lui avait jamais poser de problème, et bien que parfois elle se plaigniez qu’on la considère encore comme un bébé au lieu de la femme qu’elle était devenu, elle n’avait jamais ressentit le besoin d’être quelqu’un d’autre. Hors a cette instant et avec ses mots et sa façon d’être Hugo la faisait presque douter d’elle. Il s’était moquer ouvertement et le rouge lui était monté aux joue sans qu’elle le veuille. Elle avait presque honte et bien qu’il s’était arrêter dans ses propos a temps, le mal était fait.

    Cependant bien plus courageuse que certain le pensait, aucune larme ne coula sur ses joue et bien qu’elle ne souriait plus, elle laissa à peine entrevoir sa déception. Parce que oui il l’avait en quelque sorte déçue. Certes elle n’en attendait pas moins de sa part et il a faudrait plus s’il voulait se débarrasser d’elle mais elle était déçue par autant de méchanceté gratuite. Parce que le pire c’est qu’elle voyait bien que contrairement aux phrases sèche et désagréable qu’il avait lancé tout à l’heure, là il ne l’avait pas fait exprès. C’était dans sa nature voilà tout. C’est ce qu’elle pensait réellement d’elle. Mais elle ne pouvait décemment pas lui en vouloir. Ou du moins pas l’abandonner . Pas maintenant. Après tout il n’avait prétendu être un saint et elle aurait dût s’y attendre. Quoiqu’il en soit il avait déjà attrapé son tee-shirt près a fuir sans qu’elle n’ai eut le temps de se ressaisir pour essayer de le défendre bien qu’il ne le mériter pas. Ann eut l’impression l’espace de quelque seconde d’entendre des excuse venant de sa part mais il les avait formuler de façon si faible qu’elle finit par se dire que c’était sûrement le fruit de son imagination. Ce n’était pas le genre d’Hugo… Il était déjà debout et s’apprêtait donc à partir, ayant déjà fait quelque pas quand il tomba d’un seul coup, portant sa main a son abdomen avec une grimace de douleur. Horrifier elle jeta son regard sur lui tandis qu’il se mit a cracher du sang au sol.

    Ann – « Hugoooo…. »

    Choquer et inquiète pour lui elle se rapprocha d’un pas empresser, son cœur s’étant serré dans sa poitrine. Il semblait vraiment mal en point et avait du mal à respiré. Ann semblait dans tous ses états car elle ne supportait pas de le voir ainsi. Elle le connaissait depuis une heure tout au plus mais elle n’avait aucune envie qu’il meure . Il lui attrapa alors la jambe tandis qu’elle gardait sur lui un regard choqué .

    Hugo –« Aide moi… »

    C’était la deuxième fois qu’il lui demandait de l’aider et il ne l’aurait certainement pas fait s’il ne souffrait pas aussi intensément, ce qui l’inquiéta encore plus. Bouleversé, elle s’adressa a l’infirmière avec colère, les nerfs a fleur de peau.

    Ann – « Faite quelque chose !! Vous ne voyez pas qu’il souffre ??? Mon frère est préfet si vous n’bouger pas votre cul tout de suite j’vous promet de lui en parler !! Faite quelque chose bon dieu !! Rendez vous utile !! »


    Elle se sentait impuissante et détesté cela. Le voir souffrir ainsi lui était intolérable . En tout cas le moins qu’on puisse dire c’est qu’Ann avait perdue son air posé et bien élever, pour opter pour un comportement a la limite du tolérable. Elle avait pratiquement hurler sur la jeune femme, lui donner purement et tout simplement des autres, se mettant même à la menacer. Seulement devant l’empressement d’une fille aussi bien sur tout rapport l’infirmière ne pût que s’affoler a son tour et loin de se fâcher elle s’activa.

    Infirmière – « Une côte a sûrement perforé un poumon. Il va falloir l’opéré mais pour ça il va falloir que je l’endorme ».

    L’opéré… Ann n’en revenait pas de ce qu’elle venait d’entendre et elle prenait énormément sur elle pour ne pas pleuré tellement cette histoire la prenait au cœur. L’états d‘Hugo s’était si vite empiré qu’elle tombé des nues et que la peur s’était emparé d’elle. Un poumons perforé… Et s’il mourrait ?! Elle s’agenouilla devant lui et passa une main sur sa joue en une caresse comme pour essayer de l’apaiser avant de le regarder dans les yeux, son regard trahissant son inquiétude.

    Ann – « ça va aller. J’te le promet ça va aller. A ton réveil je serait là. Ça va aller… »

    Elle se releva et s’écarta sur le côté, laissant l’infirmière lança un sort pour l’endormir tandis qu’une larme couler sur sa joue. Si elle avait accepté de l’aider directement dans le parc tout ça ne serait pas arrivé. Et s’il mourrait ? …

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Hugo O. Garnaliel
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MessageSujet: Re: Le mensonge est un vilain défauts Le mensonge est un vilain défauts Icon_minitimeJeu 7 Mai 2009 - 12:31

    Tout était devenu flou. Sa vision s’était troublé, son esprit devenait confus. La douleur était telle qu’il venait de comprendre. Il allait mourir. Si personne ne réagissait, c’était ce qui l’attendait. Il avait l’impression de sentir ses entrailles se déchirer, lentement, un organe après l’autre, et les seuls mots qu’il avait pu sortir, étaient un appel à l’aide. Il avait pensé pouvoir se débrouiller seul, surmonter cela sans ne rien devoir à personne, mais la situation l’avait poussé à agir ainsi. Si vous lui aviez demandé comment il aurait pu réagir dans une telle situation, il ne vous aurait jamais répondu cela, mais il avait sentit l’urgence. Quand la mort se profile sur votre chemin, plus rien n’as d’importance que la vie. Il ne voulait pas finir ainsi, et pour une fois, il prit conscience de la peur qui se glissait dans son esprit. La douleur était fulgurante, il sentait sous ses doigts la jambe de Ann, mais il ne voyait rien. Son esprit était incohérent, il revoyait des choses qu’il avait faites, et qu’il aurait certainement du faire autrement pour ne pas en arriver là. Si seulement il avait été différent. Il pouvait entendre les cris de Ann, mais ne saisissait aucun mot. La seule chose qu’elle parvenait à faire, c’était lui rajouter un mal de crane en plus du reste. Ou alors était ce son cerveau qui lâchait prise ? Il n’en avait aucune idée. Il lui semblait que l’infirmière parlait à son tour, et malgré la douleur, il tentât de se concentrer pour comprendre ce qui était en train de lui arriver. Les seuls mots qu’il entendit furent « opérer » et « endorme ». Et s’il s’endormait pour ne plus jamais se réveiller ? Il avait envie de hurler, ou bien était il déjà en train de la faire ? Il ne sentit même pas qu’on le soulevait pour l’allonger à nouveau sur le lit. Il vit le rouge sur ses mains, sa respiration était de plus en plus difficile, il étouffait. Il se débattait presque. Il vit un visage entrer dans son champs de vision, il était flou, mais il pu reconnaitre sa voie et entendre chacun de ses mots.

    - Ça va aller. J’te le promets ça va aller. A ton réveil je serais là. Ça va aller…

    Il aurait voulut répondre, dire quelque chose, que pour lui s’était la fin, mais le manque d’air ne le lui permit pas. La seule chose qu’il pu lui transmettre, c’était la peur qui s’était installé dans son regard. Puis, tout devint noir. Il n’y avait plus rien, sa propre conscience semblait s’être elle-même retiré pour qu’il repose en paix.

    Combien de temps s’était il écoulé ? Hugo n’en savait rien, mais il se sentait revenir. Peu à peu, il lui semblait entendre des sons, sentir des sensations. Il se sentait lourd, chaque partie de son corps semblant peser une tonne. Etait ce cela la mort ? Lentement, il crispât ses doigts, pour s’assurer qu’il était encore capable de bouger. Ou était-il ? Que s’était il passé ? Peu à peu, il se souvenait. La douleur… La panique qu’il avait ressentit. Il revoyait sa demande d’aide. Il comprit alors qu’il était encore là, et que dans un sens on venait de lui sauver la vie. Vous pensiez certainement que cela allait le changer, le faire devenir plus agréable, plus humains. Ce serait mal connaitre Hugo que de dire cela. A peine réveillé, et il savait déjà qu’il allait détester devoir être redevable à quelqu’un. Lentement, il ouvrit les yeux, éblouis par la lumière que répandait le néon se trouvant au dessus de sa tête. Il tentât de bouger, mais il était ankylosé, et le moindre mouvement le faisait pour l’instant souffrir. Il tournât là tête, et ses yeux se posèrent sur Ann. Elle était encore là, assise à côté de lui. Il aurait pu esquisser un sourire, dire merci… Vous rêvez. Cet épisode de sa vie allait certainement le rendre encore plus détestable qu’avant. Tout le château devait déjà être au courant, et les bruits de couloirs devaient annoncer que le grand Hugo Garnaliel avait faillit mourir, et que c’était la petite et insignifiante O’More qui lui avait sauvé la vie. Dure épreuve à surmonter. Il aurait du être reconnaissant, mais c’étai dans sa nature d’être ainsi. Il avait pensé que s’il avait agit différemment au court de sa courte vie, tout aurait pu beaucoup mieux se dérouler, il avait regretté l’espace d’une seconde, mais c’était la folie et la peur qui avait laissé son cerveau délirer. De toute façon, s’il avait voulut parler, il n’aurait pas pu, sa gorge était sèche, et pour l’instant, il n’arrivait à articuler aucun son.

    La porte de l’infirmerie s’ouvrit, et il pu entendre deux voix s’entretenir. La première fut difficile à reconnaitre étant celle de l’infirmière. La deuxième, il ne la connaissait que très peu, c’était cele du garde chasse. Génial, à peine réveillé, on vous envoie déjà l’armée pour vous arrêter, peut être avait il vu quelque chose et venait il plaider en sa faveur. Il les entendit se diriger dans sa direction. Sa vue était devenue plus claire, et lorsqu’il aperçut le visage de l'infirmière, il savait déjà que l’interrogatoire allait être serré.

    - Bien vous êtes réveillé. Pouvez vous maintenant m’expliquer Mr Garnaliel ce qui s'est réellement passé ?

    Il tentât d’avaler sa salive pour parler, mais la seule chose qu’il parvint à faire fut de tousser. Il fermât les yeux un instant prenant une grande inspiration, ce qui lui lançât une nouvelle douleur. Il tournât son visage vers Ann, c’était à elle de parler. Lorsqu’il posât ses yeux sur elle, il détaillât son visage. Elle si fragile, si douce, si gentille… Comment pourrait on douter de sa bonne foi. A voir ses yeux rougit, Hugo ne fut pas dupe, il pouvait encore apercevoir les trainée que les larmes avaient laissé sur ses joues. Il poussât un soupir exaspéré, il la pensait trop fragile pour y arriver. D’un regard, il tentât de lui faire comprendre que c’était à elle d’agir. Il se surprit même à l’encourager mentalement, mais pour lui tout ceci était déjà voué à l’échec.

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Dernière édition par Hugo O. Garnaliel le Lun 18 Mai 2009 - 10:57, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Le mensonge est un vilain défauts Le mensonge est un vilain défauts Icon_minitimeSam 9 Mai 2009 - 23:02

    Le temps semblait s’être figer dans l’infirmerie. La moindre seconde lui avait paru être des heures tant la jeune Serdaigle s’inquiétait du sort de son nouvel ami. Ami oui vous avez bien lu. Certes Hugo ne devait sûrement pas la considéré comme tel mais c’était le cas pour Ann qui se sentait rapidement lier aux autres. Le Serpentard pouvait mourir a tout moment et la jeune fille se demandait si quelque part elle n’y était pas pour quelque chose. Peut-être que si elle avait lancé un sort au lieu de l’emmener à l’infirmerie… Peut-être que si il était tombé sur une fille plus douée… Peut-être que si elle avait vu la bagarre et avait pût le protéger… Peut-être que si… Des tas de peut-être et des tas de solutions différentes a envisager pour modifier la situation et au final faire en sorte que Hugo survive. Les larmes de la jeune O’More s’était mise a couler sur ses joues au moment même où le vert et argent avait fermé les yeux, ne pouvant s’empêcher de penser que peut-être il ne les rouvriraient plus jamais. Elle le connaissait a peine et pourtant c’était déjà assez pour le regretter s’il venait a mourir. Hugo n’était peut-être pas la gentillesse incarné mais il ne méritait pas un sort pareil.

    Assise sur la chaise près du lit où se trouver auparavant le vert et argent, Ann n’avait pas bouger durant toute l’opération que l’infirmière avait pratiquer sous ses yeux, abandonnant l’idée de la faire sortir en voyant dans qu’elle états elle était. Elle n’avait pas lâché sa main une seule seconde comme si ce simple contact était une assurance pour sa survie. A force de pleuré ses yeux avait rougit mais la peine l’empêcher de s’inquiéter pour son apparence physique. L’opération se passa apparemment sans difficulté et a force de pleuré Ann finit par lâcher sa main, fermant les yeux, s’endormant sous le poids de la fatigue pendant cinq minute. Lorsqu’elle les rouvrir elle aurait aimer se rendre compte que ce n’était qu’un cauchemars et qu’elle se trouvait dans le dortoir des Serdaigles . Au lieu de ça son regard se posa sur Hugo, toujours endormie. Elle poussa un soupir de déception mais a cet instant il ouvrit les yeux et une large sourire apparut sur ses lèvres.

    Ann – « Hugo… »


    Elle en faisait peut-être un peu trop pour un garçon qu’elle connaissait à peine et il allait peut-être la prendre pour une folle mais elle était ainsi, naturelle et spontané. De toute façon quoi qu’elle dise, quoi qu’elle fasse, elle savait qu’Hugo trouverai un prétexte pour râler et être désagréable. Alors autant être soi-même. Puis étrangement c’est ce qu’elle souhaité a cet instant car ça lui aurait prouver qu’il allait bien. Elle lui sourit avec beaucoup de sympathie avant de se retourner et d’apercevoir l’infirmière et le garde chasse ( bagarre passé dans le parc oblige ) se diriger vers Hugo.

    Infirmière –« Bien vous êtes réveillé. Pouvez vous m’expliquer Mr Garnaliel ce que vous avez encore fait ? »

    Le jeune Garnaliel tourna son regard vers elle et voyant son désarroi elle s’emporta au quart de tour, prise au cœur.

    Ann - « Non mais je rêve ?!? » s’exclama-t-elle scandaliser. « Hugo a failli mourir, a subi une opération et vient à peine de se réveiller et déjà vous lui posez des questions ???? »

    Ann s’était relever et toisé l’infirmière, bien décidé à ne pas se lever faire et a se faire respecter. En temps normal elle n’aurait sûrement pas agit ainsi et bien qu’elle était naturelle et spontané elle aurait fait preuve d’une peu plus de tact. Seulement elle avait passer trois heure au chevet du vert et argent dont deux a pleuré toute les larmes de son corps, alors la fatigue n’aidant rien, elle commençait à manquer un peu de patience. Pour un peu elle en avait presque oublier qu’elle allait devoir mentir et s’expliquer de l’états d’Hugo tant la seule chose qui la préoccuper a cet instant n’était que le bien être du vert et argent.

    Infirmière – « Melle O’More je trouve que vous prenez un peu trop vos aises et vous conseille de vous calmer et de surveiller votre comportement . A moins bien sûr que vous ne voulez pas vous retrouvez dans le bureau de votre directeur de maison. »


    Contrairement a se que l’infirmière pensait, la jeune brunette ne se défila pas et croisa les bras contre sa poitrine, continuant de lui adresser un regard noir, haussant la tête avec fierté.

    Ann – « Allez y . Je m’en fiche. Faite-le » dit-elle la tête bien droite, les bras toujours croiser contre son torse.
    Infirmière – « …. Pardon ?!? » fit-elle surprise.
    Ann – « Vous avez bien entendu ! Allez y envoyé moi dans le bureau du directeur ! Je me ferais une joie de lui expliquer comment vous traitez vos patient. Je suis sûr qu’il sera ravie d’apprendre qu’un élève qui a frôler la mort doit subir un interrogateur digne d’Azkaban alors qu’il vient à peine d’ouvrir les yeux.
    Infirmière – « Seriez vous entrain de me menacer mademoiselle O’More ? »
    Ann – « Moi ? Pas du tout… Pas plus que vous ne chercherez en savoir d’avantage sur ce qui s’est passé…. N ’est-ce pas ? »

    La jeune Serdaigle miser gros sur le coup . C’était ses émotions a fleur de peau et l’affection nouvelle qu’elle avait pour Hugo qu’il la faisait agir ainsi. Elle avait toujours était confiante et sûre d’elle mais jamais insolente et autoritaire. Hors là elle donnait pratiquement des ordres a l’infirmière et au fond elle était tout a fait consciente qu’elle dépassait les bornes. Mais elle se sentait incapable de mentir, d’ailleurs si on lui avait demander elle se serait sentit incapable de s’opposer et menacer quelqu’un et pourtant, alors elle n’avait trouver que cette solution qui s’était imposer d’elle-même pour qu’Hugo s’en sorte indemne. Restez a savoir si l’infirmière céderai…

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MessageSujet: Re: Le mensonge est un vilain défauts Le mensonge est un vilain défauts Icon_minitimeLun 18 Mai 2009 - 11:40

    Il y a parfois des choses que l’ont regrette d’avoir fait. Pour Hugo, c’était le moment de regretter. Regretter ses actes ? Regretter la bagarre qui en avait résulté, ou peut être même la façon dont il avait parlé à Ann avant de s’endormir ? Non, rien de tout cela. Pour l’instant, il regrettait simplement de ne pas avoir attendu. De ne pas avoir gardé les yeux fermés, feignant le sommeil, ou encore carrément de s’être réveillé tout court. A bien y réfléchir, il avait été bien pendant quelques minutes, heures peut être ? Ca avait été un des rares moments ou il n’avait ressentit aucune douleur, aucun sentiment contradictoire. Il n’avait pas eu besoin de réfléchir sans cesse, de se montrer odieux simplement pour garder sa place. Comme on dit, il avait été juste bien. Et maintenant qu’il était revenu, il allait devoir affronter la dure réalité. Ann à sa droite qui lui avait adressé un sourire joyeux en murmurant son nom. Une personne extérieure à la scène aurait pu s’imaginer des choses face à son comportement, pas étonnant que l’infirmière ait pu croire que c’était elle la fille à cause de qui Hugo avait eu ces problèmes. Ensuite, venait l’infirmière elle-même, avec ses questions. Elle n’avait pas voulut le croire avant, pourquoi le croirait elle maintenant. De toute façon, il s’était rendu compte qu’il n’arrivait pas à parler. Sa gorge était brûlante, et son esprit encore légèrement dans les vaps. Il avait horreur de l’admettre, mais il allait devoir s’en remettre à Ann pour s’en sortir. Voilà pourquoi il avait tourné son regard vers elle, pour qu’elle fasse enfin ce qu’il lui avait demandé plus tôt dans la journée. Malheureusement pour lui, elle avait cette fâcheuse tendance à se mettre à hurler, alors que ça aurait été le moment parfais pour rabaisser son caquet et faire profil bas, pour que l’infirmière entre dans son jeu. Hugo secouât la tête, les yeux vers le ciel, exaspéré. Elle allait tout foirer…

    - Non mais je rêve ?!? Hugo a failli mourir, a subi une opération et vient à peine de se réveiller et déjà vous lui posez des questions ????


    Elle avait cette façon de se comporter. Essayer de faire du chantage n’était certainement pas la bonne façon de mettre l’infirmière dans sa poche. En fait non, ça ne l’était pas du tout. Hugo avait bien pressentit, il assistait donc à son propre sucide assisté, et c’était elle qui allait le tuer. Elle s’était redressé, et toisait l’infirmière du regard. Il aurait voulut pouvoir lui dire de la fermer un peu, mais aucun son ne venait. Il lui fallait de l’eau, il était sur qu’après cela irait mieux. Il tentât d’attirer l’attention de l’infirmière, mais les deux jeunes femmes, enfin, l’une moins jeune que l’autre, étaient bien trop absorbées par ce qui ressemblait plus à un duel. Il se demandait presque qui il avait envie de voir le remporter.

    - Melle O’More je trouve que vous prenez un peu trop vos aises et vous conseille de vous calmer et de surveiller votre comportement. A moins bien sûr que vous ne voulez pas vous retrouvez dans le bureau de votre directeur de maison.
    - Allez-y. Je m’en fiche. Faite-le.
    - …. Pardon ?!?
    - Vous avez bien entendu ! Allez-y envoyé moi dans le bureau du directeur ! Je me ferais une joie de lui expliquer comment vous traitez vos patients. Je suis sûr qu’il sera ravie d’apprendre qu’un élève qui a frôler la mort doit subir un interrogatoire digne d’Azkaban alors qu’il vient à peine d’ouvrir les yeux.
    - Seriez vous entrain de me menacer mademoiselle O’More ?
    - Moi ? Pas du tout… Pas plus que vous ne chercherez a en savoir d’avantage sur ce qui s’est passé…. N’est-ce pas ?

    Et voilà, c’était la fin. Avec sa dernière phrase, elle venait de tout foutre en l’air. Elle venait presque d’avouer qu’il était responsable de ce qui c’était passé, ce qui bien évidemment était totalement faux pour une fois. L’infirmière semblait dubitative, hésitant presque devant les menaces de Ann. Se pourrait il que la petite fille gentille ait réussit à prendre le dessus sur elle ? Impensable, ce n’était qu’une enfant pour elle. Hugo n’avait cessé de pousser des soupirs, tentant vainement d’attirer leur attention, il s’était même surpris à agiter ses mains pour y parvenir, et l’infirmière semblât enfin le remarquer.

    - Quoi ?

    Avec un petit sourire, il lui fit signe de venir se rapprocher de lui pour pouvoir lui parler. S’il voulait que ce qu’Ann avait fait soit concluant, il allait devoir y mettre son grain de sel.Elle s’approchât, suspicieuse, mais se penchât vers lui, pour qu’il puisse murmurer à son oreille, car c’était la seule chose dont il était capable.

    - Seriez-vous trop occupé pour vous occuper de vos patients ? Il me faut de l’eau, ou je vais finir par me dessécher…

    Celle-ci se relevât, un air furieux sur le visage, mais elle s’exécutât. Lorsqu’elle revint, Hugo s’empressât d’avaler le contenu du verre d’une traite. Il sentit aussitôt le feu s’apaiser dans sa gorge. Il tentât le coup, s’il pouvait parler, il fallait qu’il s’entretienne avec Ann.

    - Pourriez-vous maintenant nous laisser quelques minutes ? Je dois m’entretenir avec elle… Et puis, allez me chercher un autre verre.

    Parfait, tout était revenu dans l’ordre, et l’infirmière déguerpissait à nouveau. Il se demandât comment il allait s’y prendre pour ne pas la froisser. Oh et puis on s’en fou non ?

    - T’es malade ou quoi ? J’tai demandé de m’aider, pas de m’enfoncer. Tu sais ce que c’est pourtant, être gentille, faire ta sœur sourire, t’es habitué, tu devrais savoir le faire. Mais non c’est maintenant qu’il faut que tu décide de te rebeller. Surtout que, ça n’aura aucun effet, à part celui de creuser notre tombe à tout les deux.

    Il voulait lui montrer par là, qu’elle avait été idiote, qu’elle avait agit stupidement. Il y avait quelque chose d’acide dans sa voix, et son regard était empli de reproche. Il allait devoir plaider sa cause seul au retour de l’infirmière, mais pour l’instant, c’était avec elle qu’il devait gérer. Peu importe la façon dont elle le prendrait, il fallait qu’elle comprenne qu’ils étaient à deux doigts du précipice, et qu’elle était entrain de sauter en l’entrainant avec lui.

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MessageSujet: Re: Le mensonge est un vilain défauts Le mensonge est un vilain défauts Icon_minitimeMar 19 Mai 2009 - 16:32

    Hugo – « T’es malade ou quoi ? J’tai demandé de m’aider, pas de m’enfoncer. Tu sais ce que c’est pourtant, être gentille, faire ta sœur sourire, t’es habitué, tu devrais savoir le faire. Mais non c’est maintenant qu’il faut que tu décide de te rebeller. Surtout que, ça n’aura aucun effet, à part celui de creuser notre tombe à tout les deux. »

    Ann avait l’impression que la main de Hugo s’était enfoncé entre ses deux omoplates et que d’un geste vif il avait serré son cœur avant de l’arraché de force et sans scrupule.

    Ann – « Alors je suis gentille et la parfaite sœur sourire c’est ça ? Et bien tu sait quoi ? Débrouille toi toi-même ! »

    Elle s’était inquiéter pour elle. Elle avait veillé sur lui. Elle avait même pleuré pour lui alors qu’elle ne le connaissait que depuis quelque heures. Et lui qu’est-ce qu’il faisait en remerciement ? Il était odieux ! Il se permettait de la juger et ne semblait se soucier que de lui et de lui seul. Oh elle ne s’était faire d’illusion sur Hugo et elle savait très bien qu’il était réputé pour être froid distant et méchant. Mais elle s’était dit que peut-être avec elle et sa patience ça serait différent. Elle avait était attiré par l’interdit car elle n’avait jamais vraiment compris où était le danger. Mais a cet instant, les sentiments encore a fleur de peau a cause de l’opération, elle manquer cruellement de patience et ne rêver que d’une chose : que Hugo brûle vif ! Si seulement elle ne pouvait ne serait-ce que l’étrangler ou alors lui arracher la tête avec les dents…. Ou bien lui enfonçait des dizaines d’aiguilles dans la peau… grrr il l’énervait. Il essayait de lui faire croire qu’elle risquait autant que lui mais c’était totalement faux, elle elle ne tabassait pas des élèves innocent. Peut-être qu’au fond il était même coupable . Aller savoir. Après tout elle n’avait rien vu et il avait le profil idéal du sérial killeur. Peut-être même qu’Hugo était un psychopathe en herbe.

    En tout cas elle ne resterai pas une minute de plus avec lui. Furieuse elle s’en alla d’un pas fière et parcourut la grande infirmerie. Elle arriva bientôt près de la porte, là où de sa place Hugo ne pouvait plus la voir et près du robinet où se trouvait l’infirmière. Elle posa sa main sur la poigner de la porte mais alors qu’elle s’apprêtait a ouvrir, elle réalisa se qu’elle était en train de faire et la lâcha, poussant un soupir. Ça réaction était stupide et disproportionné. Elle réagissait comme une gamine qui se vexer juste parce que le méchant monsieur avait était méchant avec elle. Bouhou bouhou. Stupide Girl ! D’habitude elle faisait preuve de plus de recul. Mais avec lui s’était plus fort qu’elle. Seulement partir comme ça ne lui ressemblait pas et elle ne pouvait pas le laisser ainsi dans le pétrin. Poussant de nouveau un soupir elle se dirigea vers l’infirmière qui remplissait le verre du Serpentard juste à côté.

    Ann – « Mademoiselle ? »
    Infirmière – « Oui ? Que ce passe-t-il encore ? »
    Ann – « Je tenais a m’excuser… Vous avez raison j’ai dépasser les bornes et je me suis comporté de façon stupide, devenant insolente alors que vous ne fessiez que de votre mieux pour nous contentez. »
    Infirmière – « A bin c’est pas trop tôt. Je suis contente de vous l’entendre dire . Mais ça ne va pas effacer les ennuis de Garnaliel pour autant mademoiselle. »
    Ann – « Je le sais. Oh croyais moi je le sais. Seulement je tenais vraiment a vous faire mes excuses et vous expliquer mon comportement. Vous comprenez je me suis importer car je me sens coupable… je m’en veux…. Horriblement. J’ai vu Hugo se faire battre par un bande de garçon a seulement quelque mètre de moi et je n’ait pas agit. Je n’ai rien fait. Tout ça parce que j’ai eut peur qu’ils s’en prenne a moi. Si j’avais fait quelque chose il ne serait pas là… Il n’aurait pas manquer mourir…. »
    Infirmière – « Vous l’avez vu ? Vous avez vu Mr Garnaliel se faire battre par d’autres garçons ? Vous êtes certaine que ce n’est pas lui qui donner les coups ? »
    Ann – « Certaine. Je le jure. »

    A cet instant la Serdaigle aurait très pût être fusiller par un éclair envoyé par dieu que ça ne l’aurait pas étonner. Pire elle aurait accepter sans sourciller, gardant sa peur a l’intérieur d’elle et ne bougeant pas d’un millimètre. Et c’est exactement ce qu’elle faisait à cet instant. Blesser par les propos de Hugo prononçait quelque minute auparavant qui devait sûrement la croire incapable de mentir elle resta là impassible, rien ne trahissant son mensonge. Elle ne semblait pas mal à l’aise mais seulement très triste.

    Infirmière – « Bon alors dans ce cas là….. »

    Ann adressa un léger sourire sans joie a l’infirmière avant de sortir de l’infirmerie. Hugo ne saurait jamais ce qu’il avait fait et dit pour lui. L’employé se dirigea alors vers le lit du vert et argent, tenant en main le verre d’eau qu’il avait demander.
    Infirmière – « Bon c’est bon Monsieur Garnaliel vous pouvez y aller. Penser a vous reposer et la prochaine fois éviter de fricoter avec une fille qui a un frère. »

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MessageSujet: Re: Le mensonge est un vilain défauts Le mensonge est un vilain défauts Icon_minitimeVen 29 Mai 2009 - 11:21

    Il y avait peut être été un peu fort, mais après tout, elle venait certainement de ruiner toute ses chances de s’en sortir indemne. Que lui fasse du chantage et menace de faire jouer ses relations, car il en avait beaucoup au sein des élèves, c’était une chose, mais elle ? Non, il n’avait plus aucune chance, et il le savait. Il avait voulut faire confiance à son petit air angélique, mais s’était sans compter cette impulsion qu’elle avait eu, et qu’elle aurait mieux fait de garder pour elle. Ce n’était pas le fait qu’elle se rebelle, non, il aurait u trouver ça cool, si seulement ça n’avait pas été à l’instant ou il avait besoin d’elle, et ou elle venait de lui mettre un pied dans la tombe. Bien sur, elle ne semblât pas apprécier les mots du jeune homme, et réagit au quart de tour.

    - Alors je suis gentille et la parfaite sœur sourire c’est ça ? Et bien tu sais quoi ? Débrouille-toi toi-même !

    Emporté par l’énervement, il lui répondit alors qu’elle détournait le dos et qu’elle s’en allait.

    - Ouai ça vaux peut être mieux, vu que tu viens de tout foutre en l’air.

    Il lui jetât un regard alors qu’elle s’en allait à toute vitesse. Dans un sens, bon débarras, mais cela aurait pu tourner autrement, si elle n’avait pas agit de la manière la plus stupide qu’il soit. Il poussât un soupir revenant dans ses pensées. Il fallait qu’il réfléchisse. Comment allait-il faire maintenant pour s’en tirer. L’infirmière allait revenir avec son verre d’eau et recommencer le questionnaire. Elle appellerait ensuite certainement le directeur des Serpentard, et il aurait beau dire la vérité, personne ne le croirait. Pourquoi me direz-vous ? Tout simplement parce qu’il raconterait ce qu’il s’était passé, mais qu’il ne donnerait pas le nom de celui qui lui avait fait cela. Et cela ne pouvait que lui porter défauts. Mais pourquoi alors, il ne serait pas difficile de le retrouver et de le faire craquer sous la pression pour qu’il avoue. Non, il ne le ferait pas. Tout simplement parce que ce n’était pas son genre de balancer, ensuite, cela lui donnerait un pouvoir sur lui. Il deviendrait celui qui avait fait trembler la terreur Garnaliel, et cela, il en était hors de question. Bien sur, il était déjà prêt pour sa vengeance, et il ne serait pas tendre. Pour lui, ca serait la meilleure façon de lui faire regretter son geste à lui et ses amis. Ils tomberaient un par un, lorsqu’ils s’y attendraient le moins.
    Hugo entendit la porte de l’infirmerie se claquer. Eh bien, elle s’était perdu en chemin ou quoi ? Non, il n’avait certainement pas du entendre Anne sortir, et ce claquement devait annoncer l’arrivée du directeur prévenu par l’infirmière. Il poussât un nouveau soupir, déjà la douleur avait presque totalement disparut. Il se préparât alors mentalement à se retrouvé harcelé de question, accusé et condamné. Mais c’est seule, que l’infirmière refit son retour, son verre d’eau à la main. Elle le lui tendit sans un mot et le laissât boire tranquillement. Il lui rendit le verre, sans un merci, et fut surpris par ce qu’elle lui annonçât.

    - Vous pouvez partir Monsieur Garnaliel.
    - Pardon ?
    - Il vous suffit de faire attention quelques jours, pas de bagarre, mais la douleur aura disparut d’ici la fin de la journée. Vous viendrez tout de même me voir toute la semaine pour prendre une potion, juste au cas où.
    - Et c’est tout ?
    - Oui, c’est tout.
    - Plus de question ? J’peu savoir ce qui s’est passé pour que vous arrêtiez de me questionner ?
    - Miss O’More est venu me voir avant de partir, et elle à attesté que vous disiez la vérité.

    Il n’en revenait pas. Alors c’était donc ça. Avant de partir elle était revenue la voir et avait fait ce qu’il lui demandait. Il ne pu s’empêcher de sourire. Soudain, il se rendit compte qu’il avait peut être été dur avec elle, et qu’il lui devait bien un merci. Après tout, malgré son caractère à deux mornilles, elle venait de rattraper son erreur et de lui sauver la mise.

    - Vous attendez quoi ?
    - Rien, rien. Je m’en vais.

    Aussitôt, il quittât son lit, et sortit de l’infirmerie le plus rapidement possible. Il ne savait pas ou chercher, mais il allait la trouver. Il ne pouvait pas se permettre de laisser trainer ceci, il devait le régler au plus vite. Il se mit à parcourir les couloirs dans tout les sens sans rien trouver, avant de prendre la direction de la salle commune des bleu et bronze, c’était surement l’endroit ou elle s’était rendu. Il connaissait tout les raccourcit du château, avec un peu de chanc, il y arriverait avant elle. Une fois dans le bon couloir, il n’avait plus qu’à attendre. Il avait deux sollution, soit elle était déjà entré et il lui faudrait attendre qu’elle ressorte pour le repas du soir, soit elle n’allait pas tarder. Un sourire apparut sur son visage lorsqu’il la vit tourner au coin du couloir. Elle n’avait pas les yeux dans sa direction, elle lui tournait le dos. Sans un bruit, il la rattrapât, et posât ses mains sur ses yeux, avant de murmurer à son oreille :

    - Je sais ce que tu as fait.

    Il lui laissât retrouver sa vision, et l’aidât à lui faire face. Il lui adressât un petit sourire, il n’avait pas grand-chose à dire. Il l’entrainât à l’écart, il ne voulait pas être surpris.

    - Tu n’as rien à dire. Je sais ce que tu as dit à l’infirmière, et je ne peu que te remercier, alors…

    Sans demander son avis, il s’avançât vers elle, la faisant reculer dos au mur, et approchât son visage du sien pour venir déposer un baiser sur ses lèvres. Rien de plus qu’un chaste petit baiser. Il se reculât alors avec un sourire et lui lançât :

    - Merci.

    Il se détournât alors, et avant qu’elle n’ait pu réagir, il disparut par un des raccourcit, et se dirigeât vers sa propre salle commune. Là bas, beaucoup de question l’attendait, mais pour l’instant, il n’avait envie que d’une chose, s’allonger sur son lit et se reposer. Il ne s’arrêtât pas avant d’y être, évitât les questions en tout genre, lançât quelques regards noirs, et se laissât tomber sur son lit pour un long moment. Il n’en ressortirait qu’au repas.

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MessageSujet: Re: Le mensonge est un vilain défauts Le mensonge est un vilain défauts Icon_minitimeSam 30 Mai 2009 - 0:40

    Qu’est-ce que je peut être idiote…. Qu’est-ce que je peut-être idiote… Voilà les mots qui résonnaient sans cesse dans la tête de Ann tandis qu’elle rejoignait sa salle commune. Elle se sentait vraiment stupide. Pas d’être partit , au contraire elle était certaine d’avoir faire le bon choix pour ça, mais plutôt pour avoir cru l’espace de quelque seconde qu’elle aurait pût le faire changer. Elle n’était pas assez bête pour penser que Hugo était un gentil au faux air de bad boy comme l’était sûrement Thomas mais elle s’était dit qu’avec sa douceur et sa patience cela aurait peut-être était différent. Foutaise ! Il avait était aussi odieux en sa présence qu’avec les autres malgré les larmes qu’elle avait versé pour lui. Elle se sentait d’ailleurs également idiote pour ça. Elle n’avait pas honte de ce qu’elle était et son côté fragile et remplie d’émotion. Elle était spontané et émotive mais elle n’avait pas non plus la larme facile et préféré pleuré dans les bras d’une amie que devant un inconnu. Certes il n’avait dût voir que ses yeux rougis, trop occupé à être au pays des songes pendant qu’elle s’était demandait s’il survivrait ou non, mais c’était déjà trop. Il l’avait blessé avec ses mots et sa franchise tranchante et elle se demandait déjà pourquoi elle l’avait aider. Elle aurait dût le laisser se débrouiller avec le directeur de Serpentard. Après tout elle ne lui devait rien. Mais non elle était idiote et il fallait fallût qu’elle écoute son cœur. Stupid girl. Stupid Stupid girl…

    La colère envahissant toujours le moindre recoins de son corps elle marchait d’un pas rapide, faisant a peine attention aux élèvent qui pouvaient se trouver aux alentours, plonger dans ses pensée. C’est lorsqu’elle sentit des mains s’abattre sur ses yeux qu’elle s’arrêta de marcher n’y voyant plus rien. Elle fût surprise, d’autant plus que ce n’était vraiment pas le moment de la chercher, se demandant qui cela pouvait bien être quand elle sentit le souffle chaud de la voie mystérieuse de Hugo sur son cou.

    Hugo – « Je sais ce que tu as fait. »

    Il enleva alors ses mains et fit en sorte qu’elle lui fasse face. Elle n’en revenait pas du culot qu’il pouvait avoir. Non seulement il l’insultait mais ensuite il la rattrapait. Voulait-il en remettre une couche ? Puis elle percuta les mots qu’il avait prononçait, comprenant que l’infirmière n’avait pas tenu sa langue et elle sentit sa colère pour lui redoublait et une légère honte s’emparé d’elle. Elle savait très bien que son attitude n’inciterait que d’avantage Hugo a se moquer de sa façon d’agir si résolument « gentille ».

    Ann – « Oui je sais je.. mais je l’ai pas fait pour … »


    Il ne le laissa pas finir, car il se mit à sourire et elle eut un léger geste de recul, incrédule. C’était la première fois qu’elle le voyait sourire et cela semblait presque irréaliste. Une heure avant elle aurait sûrement était ravis d’un tel geste de sympathie sur son visage mais a cet instant son sourire l’intrigua seulement, l’agaçant presque. Il l‘attira a l’écart et elle se laissa faire, se demandant se que Hugo pouvait bien lui vouloir. S’il voulait lui présenter ses excuses il allait devoir faire de gros effort sur lui-même car c’était limite peine perdue. Elle ne comptait pas lui pardonné aussi facilement et ce n’était pas un sourire – qu’il avait fort jolie d’ailleurs – qui allait tout effacer d’un seul coup.

    Hugo – « Tu n’as rien à dire. Je sais ce que tu as dit à l’infirmière, et je ne peu que te remercier, alors… »


    Il n’avait pas a la remercier elle avait cela naturellement bien qu’il ne le méritait pas, c’était dans sa nature de « sœur sourire ». C’est ce qu’elle s’apprêtait a lui dire quand il s’avança vers elle l’obligeant a reculer contre le mur avant de poser ses lèvres sur les siennes. De toute sa vie Ann n’avait embrassé que quatre garçons. Thomas, Nicolas, Jules… et maintenant Hugo. Seulement quatre pour ses seize ans de vie. Seulement quatre là où des jeunes filles de son âge était déjà défloré depuis plusieurs mois. Seulement quatre mais des quatre se fût le baiser qui l’émut peut-être le plus. Si elle avait dût les classer celui de Thomas aurait sans doute obtenus le prix du plus intense tant son cœur avait vibré lorsqu’il avait l’embrassé il y a un an. Mais celui d’Hugo… Ses lèvres avait comme le goût d’un fruit défendus qu’elle aurait goûter sans s’y attendre. Elle en savourait l’arôme en silence sans savoir si elle l’appréciait. Simple toucher de leurs lèvres qui rendait le baiser pur et simple, ne se poussant pas là où il aurait pût aller s’il s’était agis d’une autre . Cela suffit néanmoins a faire battre les ailes du petit oiseau en manque de liberté et d’évasion. Son cœur s’était compressé dans sa poitrine tant il était mis a rude épreuve par se geste brutal dont il n’avait pas était préparé. Impossible pour la jeune fille d’exprimer a cet instant ce qu’elle ressentit ou même se qu’elle pensait tant elle était abasourdie par son geste, ne le comprenant pas. Ce fût bref et Hugo se recula, la regardant en souriant de nouveau.

    Hugo – « Merci. »

    Ann était incrédule et elle n’avait pas bougé d’un centimètre. Elle n’était pas en colère contre lui. Elle n’était pas triste. Elle n’était pas rancunière. Elle n’était pas euphorique. Elle n’était pas heureuse. Elle n’était pas touché. Elle n’était pas ému. Elle n’était pas rêveuse. Elle n’était pas amoureuse. Elle était juste… choquer. Perturber. Impassible. Peut-être offenser. Mais surtout choquer. Choquer qu’il ai agit ainsi avec elle. Pourquoi ? Comment ? Elle avait déjà les réponses a ses questions mais elle ne comprenait toujours pas se qui venait de se passer. Elle resta dans le couloir quelque minute, poussant des soupirs, écarquillant les yeux tellement elle était stupéfaite alors que lui était déjà partit depuis longtemps, avant d’en pousser un gros et se dirigeait vers sa salle commune. Son avis sur le baiser ? Quel Baiser ? Pour elle il ne s’était rien passer….

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MessageSujet: Re: Le mensonge est un vilain défauts Le mensonge est un vilain défauts Icon_minitimeLun 1 Juin 2009 - 16:27

Rp terminé

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