Appelo Mor†em (old)
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Auteur Message
Maximilien E. Middle
Admin | Serdaigle
Loosing control...Help him to get up! Maximilien E. Middle
.
Masculin

5572 messages
Amour : Loréana Wilde est et sera pour toujours l'amour de sa vie!

Pensine
Orientation Sexuelle: Bisexuel
Année d'étude: 7ème année
Caractère: Sincère, honnête, fou, motivé, drôle, beau parleur, inteligent, charmeur, loyal, passioné, passionant, têtu, bien élevé, révolutionnaire, débrouillard, autonome, sarcastique, protecteur, volontaire, amusant, sportif, classe, patient, franc, écrivain, artiste! etc

MessageSujet: Pardonne moi Pardonne moi Icon_minitimeLun 2 Mar 2009 - 22:19

    Pardonne moi Chace-chace-crawford-3621336-100-100 Pardonne moi Thirte10
    « Allez viens emmène moi là bas, donne
    moi la main que je ne la prenne pas.
    » Tryo


    La lune brillante, resplendissante et pleine, elle semblait vouloir couvrir le monde d’un manteau de douceur, d’un manteau de fraîcheur, d’amour, de calme et de paix. Les étoiles autours d’elle, semblaient toutes être sous sa protection comme si elles étaient ses enfants. Elles brillaient d’une lueur plus faible comme un écho, elles dansaient au travers de la lueur qu’elles dégageaient dans la nuit noire. La brise secouait au loin les arbres de l’immense forêt sombre. On pouvait entendre le bruissement des feuilles qui se bougeaient au rythme du vent, qui se laissaient porter par la fraîcheur nocturne. L’herbe bien verte devenue presque noire dans cette période de la journée remuaient d’avant en arrière suivant le mouvement que produisaient déjà les branches craquantes et le souffle agréable du vent du printemps qui allait enfin bientôt pointer son joli nez. Les vitraux de la salle commune des serdaigles renvoyaient ce spectacle lunaire de façon tellement romantique que le jeune adolescent accoudé à la fenêtre en eut la larme à l’œil. IL ressentait le doux froid du vent qui réussissait à passer sous la fenêtre. Lui, il était assis sur le rebord, les genoux repliés contre lui, le dos appuyé contre le mur, il avait les yeux vides et surtout perdu dans les étoiles comme si il arrivait à y voir quelque chose. Il avait le regard vague, les joues rougies par le mélange de la sensation de chaleur ressentie un peu plus tôt et qui l’avait poussée à sortir de son lit et la sensation de froid qui le prenait maintenant alors que le vent s’engouffrait légèrement dans son t-shert et dans son short. Maximilien Middle n’arrivait plus à dormir. Voilà plusieurs nuits que l’insomnie leur reprenait à nouveau. IL ne savait trop si c’était du à l’inquiétude qui le rongeait sur Travis, à ces deux mois d’abstinence sexuelle ou si c’était la fameuse histoire du bal. IL avait tellement de choses qui tournaient dans sa tête. D’abord Travis, son meilleur ami, qui non seulement lui avait dit qu’il l’aimait il y’ de cela un mois sans s’en souvenir mais qui en plus allait de plus en plus mal, se renfermait sur lui-même, les rejetant lui et Léo. IL avait cette fameuse soirée du bal où Amanda Miller l’avait embrassé quelques heures après qu’ils se soient disputés comme des chiffonniers conduisant à des effets indésirables. Et puis il y avait Loreana Wilde.

    Un gémissement le fit sortir de ses pensées. Il arrêta alors sa contemplation obsessionnelle des étoiles pour poser son regard sur son meilleur ami. Le jeune Cohen était entortillé dans ses draps. Il transpirait et il semblait se débattre avec une chose inconnue. Des goûtes de sueur perlaient sur son front et dégoulinait doucement mouillant ses cheveux, les rendant sûrement collant et désagréable. Travis semblait pris d’une fièvre douloureuse qui ne voulait s’en aller. Maximilien eut le cœur retourné de voir ainsi l’homme avec qui il partageait tous ses secrets souffrir ainsi. Il ne comprenait pas la cause de ces maux, il n’arrivait pas à parler avec Travis, à lui faire avouer, à discuter avec lui. Rien il se sentait tellement gêné depuis cette soirée mais voir ainsi son meilleur ami dans une souffrance innommable lui fit tellement de mal que délicatement il descendit du rebord de la fenêtre pour se diriger vers lui. A pas de loup, il s’approcha du lit où dormait l’adolescent aux cheveux noir et il s’assit délicatement à ses côtés. Il posa alors une main sur le front brûlant de son ami et se mit à le bercer de doux « chuut » comme l’aurait fait une mère aimante et attentionnée. Finalement au bout de plusieurs minutes qui parurent interminables aux yeux du serdaigle, Travis Cohen se calma et finit par se retourner pour retomber dans un sommeil lourd et sans cauchemar. Rassuré, Maximilien quitta alors le lit pour retourner à son lieu de perdition, à son lieu de profondes méditations. IL n’avait que son image en tête.

    Assis contre la dalle froide, il ne pouvait s’empêcher de revoir la tête, le corps de son professeur de potion au moment où pour la première fois et la dernière fois il lui avait fait l’amour. Il se souvint de ses cheveux bruns collés à son front, de sa bouche gonflée sous ses baisers de son corps rougi par ses caresses, de ses seins tendus, de ses muscles raides, de son vagin si étroit, de ce sourire si envoûtant et de ces cris qui aurait emmené n’importe quel homme au paradis. Mais si il ne pouvait s’empêcher de penser à ce moment si merveilleux il ne pouvait s’empêcher non plus de penser aux moments qui suivirent…Lorsqu’il se rendit compte de ce qu’il avait fait, de ce qu’il avait provoqué il avait eut tellement peur de la discussion, de voir la tête de son professeur, de cette femme si belle qu’il s’était enfuis comme un lâche, il avait détallé comme un lapin. Depuis, il l’évitait. A tord ! IL arrivait à l’heure en cours, se mettait tout au fond bien caché, travaillait en silence sans même plus parler à Léo et il repartait ensuite rapidement sans lui adresser ni la parole ni un regard. IL avait tellement honte. Pas d’avoir couché avec elle, non il ne regrettait rien, mais d’avoir fuis. Jamais il ne s’était comporté ainsi. Il avait toujours pris le temps de discuter avant et après pour que les choses soient claires. Il n’aimait personne et ne voulait pas d’histoire construite mais là c’était différent. Il essayait de se convaincre que c’était par culpabilité qu’il repensait à elle mais au fond de lui son cœur battait très fort comme pour lui hurler le contraire. Son cœur lui hurlait qu’il n’était qu’un sinistre imbécile qui n’osait pas s’avouer qu’il était tomber dingue amoureux de cette femme aux milles facettes, au milles visages et aux milles charmes ! La tête de Loreana Wilde se reflétait dans la nuit, il semblait la voir partout, sur les murs, dans sa tête. Son nom ne cessait de résonner et comme il souffrait depuis qu’il l’avait vu au bal de Noël dans les bras d’un autre professeur. Sans doute un ami, c’était ce qu’il espérait du moins.

    L’amour, lui fit faire une chose totalement inconsciente. IL était trois heure du matin mis il n’en n’eut cure il n’y avait que Loreana dans cette tête, elle et encore elle. Il ne pouvait plus se passer d’elle ! Sans prendre en compte le fait qu’il était en pyjama, que le soleil n’était pas encore levé, qu’il était pied nu et qu’il allait se faire étrangler, il se leva et décida de la rejoindre. IL l’avait longtemps espionné avant cette fameuse nuit. Il connaissait non seulement ses horaires par cœur mais aussi la place exacte de ses appartements. IL ne connaissait certes pas le mot de passe mais il toquerait cela ne serait pas un problème. Il mit alors pied à terre. IL frissonna : la dalle était froide mais qu’importe il était comme attiré, comme si il y avait un aimant au fond de son cœur qui l’attirait vers celui de son professeur. Il ne mit pas longtemps à quitter la tour et encore moins de temps à rejoindre le sixième étage. Ses pieds étaient glacés, ses membres tremblaient de froid mais il était comme poussé par une force invisible. Il y était enfin ! Devant cette statut qui représentait la fondatrice de la maison dont il était élève et dont elle était la directrice : Rowena Serdaigle, Maximilien se tint un long instant. Il lui demanda le passage et après une énigme il put passer. Il arriva alors dans un couloir qui menait à une porte fermée à clef : la porte de l’appartement de sa douce. Maximilien toqua alors. IL n’obtint bien sûr pas de réponse, elle devait dormir fermement. IL recommença sa manœuvre deux fois et enfin le portrait s’ouvrit pour laisser place à Loreana. Maximilien se sentit tout d’un coup tellement gêné mais il prit son courage à deux mains cette fois-ci et il dit :


    MAXIMILIEN_ « Je…je peux entré, s’il te plait ! »

    Le tutoiement était venu tout seul…IL se sentit tout d'un coup bien bête d'être là et partant il était si heureux de la voir enfin. Près de lui, juste près de lui et lui tout seul...Mais le malaise lui fit dire quelque chose d'idiot en souvenir de cette soirée dans la cabane. Tout avait commencé parce qu'il s'était blessé en s'accrochant à un clou alors ça vint tout seul avec un sourire mis gêné mis amusé...

    MAXIMILIEN_ « J'ai encore la cicatrice... »

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Loreana Wilde
Prof. de Potion
Dir. de Serdaigle
Un jour, je vais crier : "Stop, arrêtez le Terre, je veux descendre !" Loreana Wilde
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Amour : Bah, euh... J'peux pas l'dire, m'voyez... Parce que... Oh et puis zut ! Ce Serdaigle si sexy...

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Caractère: Lunatique ° Complexe ° Amoureuse ° Compréhensive ° Innocente ° Renfermée

MessageSujet: Re: Pardonne moi Pardonne moi Icon_minitimeLun 2 Mar 2009 - 23:44

Le sage fuit l'amour qui n'apporte que chagrins et contrariétés,
sauf qu'en ayant remporté la victoire en fuyant,
il se retourne
et se demande pourquoi
il a couru si vite.

[Paul-Loup Sulitzer]




    Huit cent quarante-quatre. Le plafond était composé de huit cent quarante-quatre carrés disposés en diagonale. Chaque carré en touchait quatre autres, sauf les cent quatre-vingt-deux qui formaient les arrêtes.
    C’était les conclusions des cinq nuits d’insomnies de Loreana. Cinq nuits, ça faisait cinq nuits qu’elle n’avait pu fermer l’œil. Cinq nuits qui avaient paru longues, très longues… Mais pourquoi ? Parce qu’elle s’ennuyait, à étudier la composition de son plafond ? Parce qu’elle manquait terriblement de sommeil, ou… Parce qu’elle pensait à LUI ?
    Ce soir, c’était la pleine Lune. Ce soir, la Lune s’offrait toute entière à ceux qui voudraient la voir. Ce soir, elle ne se réfugiait pas pudiquement derrière un voile de nuages. Ce soir, la Lune était brillante et généreuse. Loreana, de son lit, ne voyait pas la Lune. L’astre lunaire se dérobait à sa vue, ne lui offrant que quelques étoiles pour la consoler. Autrefois, la jeune femme adorait penser en perdant son regard sur les points scintillants de la Grande Voûte. Autrefois, Loreana connaissait le nom de toutes les constellations. Autrefois, elle aurait été heureuse de voir Vénus. Aujourd’hui, elle la fuyait comme la peste. Vénus. Déesse de l’amour chez les Romains. Voilà bien longtemps qu’elle l’avait abandonnée, celle-là ! La question que la jeune prof se posait, s’était « pourquoi ? » Pourquoi n’était-elle pas fiancée voire mariée, pourquoi n’avait-elle pas un amant parmi les professeurs de Poudlard… Pourquoi avait-elle couché avec un élève ?
    Non. Pas « un élève ». CET élève. CET homme, CE garçon. Celui dont elle voyait le visage sur les murs. Celui à qui elle pensait à ce moment-même. Celui qui s’était enfui. Celui qui l’avait blessée, tuée. Celui qui, depuis, l’évitait soigneusement. Maximilien Middle. Un homme merveilleux, lui soufflait son cœur. Un connard fini, répliquait son cerveau.
    Loreana se retourna dans son lit, tentant sans succès de trouver le sommeil. Lorsque trois heures sonnèrent, elle décida de quitter son lit. Puisqu’elle ne savait pas dormir, à quoi bon y rester ? Elle fit quelques pas en direction de la grande fenêtre ouverte. Elle s’appuya contre le rebord de pierre et perdit son regard sur les millions de points lumineux dans le ciel. Comme avant. Mais, irrémédiablement, tout revenait toujours à LUI. Elle se demanda ce qu’il faisait maintenant, s’il s’était envolé paisiblement dans les bras de Morphée, s’il parvenait à trouver le sommeil après ce qu’il lui avait fait… Surement. Après tout, à ce qu’on disait, elle n’était pas la première. Et surement pas la dernière. Combien d’autres filles, innocentes, étaient-elles tombées dans les pièges d’un si beau jeune homme ? Combien y tomberaient encore ? Et des hommes ?

    Rien que d’y penser, une larme perla sur ses joues si pures. Pourquoi fallait-il qu’elle tombe amoureuse de pareil crétin ? Amoureuse ? Mais l’était-elle vraiment ? Difficile à dire. Ces derniers temps, elle avait du mal à cerner ses sentiments. Surtout depuis le bal de Noël, et ce regard que le Serdaigle lui avait lancé… Résultat : elle pleurait, là, appuyée à sa fenêtre, regardant les étoiles. Elle décida de se ressaisir. Il n’y avait, selon elle, que trois remèdes au mal d’amour : le sexe, l’alcool et le chocolat.
    Le sexe, après ce qu’elle venait de vivre, pas question. L’alcool… Non. Elle n’osait même pas imaginer la gueule de bois qu’elle devrait supporter le lendemain. Restait donc… Le chocolat. Elle fit brusquement volte face et appela son elfe de maison personnel. Le petit être apparut et s’inclina, geste qui insupportait toujours Loreana. Enfin bref. Elle lui demanda de lui ramener de la cuisine une grosse boîte de chocolat.
    Quelques minutes plus tard, ça y était, elle avait ses chocolats. Ni une, ni deux, elle en choisit un qu’elle dégusta comme si c’était le dernier. Mais elle fut interrompue dans sa dégustation par un bruit sourd. Elle posa ses chocolats sur une table basse et respira profondément. On venait de frapper une deuxième fois à la porte. Elle ne réagit pas, craignant le pire. Elle espérait de tout son cœur que la personne qui la dérangeait était le concierge, un professeur, un préfet, n’importe qui. N’importe qui, sauf LUI… On frappa une troisième fois. Lentement, Loreana se leva. Elle se dirigea vers la porte, la démarche mal assurée. Elle s’appuya contre la porte, espérant entendre la personne qui se trouvait de l’autre côté. Au bout de quelques secondes pendant lesquelles elle respira très profondément, elle ouvrit.

    D’un coup, son visage se décomposa. Elle aurait besoin de tonnes et de tonnes de chocolat. Voire même d’alcool. Parce que c’était Maximilien, celui qu’elle avait le moins envie de voir, qui avait frappé. Elle tenta d’afficher un air déterminé mais indifférent.

    MAXIMILIEN « Je…je peux entrer, s’il te plait ! »

    Dans un premier temps, elle ne sut que répondre. Allait-elle le laisser planté dehors ou le faire entrer ? La première solution était, pour être honnête, celle qui la tentait le plus. Elle voulut fermer la porte au nez du Serdaigle, mais ce dernier ajouta, maladroitement, une phrase de trop.

    MAXIMILIEN « J’ai encore la cicatrice… »

    Rooh, le con ! Faire allusion à la nuit, la fameuse nuit qu’ils avaient passée ensemble était la dernière chose à faire. Sauf s’il venait la narguer.

    LOREANA « Tiens, c’est marrant ça… Tu me tutoies, maintenant… Ah mais oui, c’est vrai… On a couché ensemble, alors on est des intimes, maintenant ! Tu semble oublier que tu m’as jetée comme une moins-que-rien, cette nuit-là ! T’es vachement culoté, quand même, de venir me voir, chez moi, à trois heures du matin, pour me parler de ça ! J’ai passé des heures et des heures à essayer de me convaincre que cette nuit n’était pas une erreur, mais tu as tout gâché ! J’aurais mieux fait de te laisser crever cette nuit-là ! »

    A ces mots, elle attrapa la porte et la referma violement. Puis elle s’effondra, en sanglots. Elle était assise contre la porte derrière laquelle se trouvait Maximilien Middle. LUI. A ce moment précis, elle se mit à pleurer comme elle n’avait jamais pleuré.

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Maximilien E. Middle
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MessageSujet: Re: Pardonne moi Pardonne moi Icon_minitimeMar 3 Mar 2009 - 1:50

    Pardonne moi Chace-chace-crawford-3621336-100-100 Pardonne moi Thirte10
    « J'ai senti en moi enfin léphemère, en toi
    l'impression d'un pradis sur terre.
    » Kyo


    Le sang tourbillonnait dans son corps, ses épaules tremblaient, son cœur battait à un rythme tellement rapide, trop rapide. Il sentit son visage pâlir, il sentit sa main à bout de force et endolorie qui battait encore et encore contre la porte de Loreana Wilde. Son cerveau bouillait, son cœur explosait. Il avait si peur, il avait si mal. IL ne voulait même pas imaginer le fait qu’elle risquait de le rejeter et pourtant il se doutait que c’était ce qui allait arriver. Il avait été tellement lâche, tellement inconscient, tellement déguellasse, tellement homme ! Il s’était comporté comme tous les salops qu’il avait toujours détesté pour avoir tant de fois fait pleurer sa nounou préférée. Oh oui, il avait été un monstre sur ce coup là. Comment avait il put faire une chose pareil ? Comment avait il pu lui faire l’amour avec tant de passion pour la laisser seule par la suite ! Quel genre d’homme était il en train de devenir ? Oui, vous allez me dire que Maximilien a toujours couché par tout sans amour sans rien. Mais il n’était pas de ces salops qui promettaient monts et merveilles pour rien donner ensuite, il mettait toujours les choses au clair avant le sexe, expliquant qu’il n’y aurait rien de plus et là, la fille ou le garçon avait le droit de refuser ou de coucher. Jamais le ne forçait, jamais il ne mentait et pourtant qu’avait il donc fait là ? Certes il n’avait rien promis, non il avait fait pire : il lui avait fait croire implicitement. A force de la regarder, de la complimenter, de la protéger, de lui parler, de la draguer, il lui avait sans doute faire croire tellement de choses. Ces choses vrais qu’il rejetait parce qu’il refusait de voir la vérité en face, il refusait d’admettre ce que son cœur savait depuis si longtemps. Il lui avait fait l’amour, il l’avait fait craquée et si encore c’était n’importe qui mais non pire, c’était son professeur de potion. IL savait qu’après elle avait du se sentir mal. SI au moins elle pouvait se réconforter en se disant que c’était pour une belle histoire, mais non, il l’avait planté là, nue et s’était tiré comme un homme qui ne pensait qu’à son entre jambe, comme une véritable enflure.

    La culpabilité le rongeait tellement qu’il en était arrivé à ne plus dormir la nuit, à souffrir d’un mal de ventre, d’un mal de tête horrible et interminable qui lui faisait tant de peine qui le faisait tant souffrir. Il considérait qu’il la méritait cette punition mais ce qu’il ne supportait pas c’était de savoir que la culpabilité et les questions devaient aussi ronger Loreana Wilde et le moins qu’il pouvait faire c’était arranger le problème en allant la voir. Mais soyons honnête, il ne fut pas devant cette porte uniquement par générosité il était là aussi parce qu’il avait besoin de la voir, besoin de lui parler. Il avait besoin de respirer son odeur, de la sentir près de lui, de la savoir près de lui. IL voulait la regarder dans les yeux, voir son visage, observer ses traits, ses formes, se perdre dans le bleu de ses grands yeux. IL avait un besoin d’entendre sa voix comme si il se sentait vide. Un vide acharnant, un vide assassin, un vide dangereux, un vide mordeur. IL sentait son sang battre dans son coup, battre dans son corps et battre dans son membre tant il était en manque non pas de sexe mais simplement d’elle. Rien que le fait de savoir qu’elle était derrière ces portes le soulageait mais pas de sa peur, pas de son stress juste de son vide. Mais il devait le faire. Alors il toquait encore et encore, il toquait encore et encore jusqu’à ce qu’enfin la porte s’ouvrit dans un léger grincement.

    Elle se tenait là devant lui. Elle semblait aussi surprise et mal à l’aise de le voir que lui était soulagée et heureux. Oui, elle était en pyjama mais elle n’en n’était que plus belle, que plus douce, que plus attirante. Elle semblait si surprise qu’elle ne parla pas. Tant mieux, il put la contempler plus longuement. Ses yeux avides se baladaient sur son visage ravagé par des cernes. Elle ne dormait plus ! Ses yeux avides se baladaient sur sa peau âcre, légèrement matte et si douce, aussi douce qu’une peau de bébé. Ses yeux bleus noisettes le fixait avec une intensité telle qu’il se sentait rapetisser sous ce regard de braise. Elle avait mal de le voir ici, il put le voir dans les traits que prirent sa bouche et pourtant il voulu se jeter sur elle, l’embrasser, la mordre. IL ne voulait pas parler, il voulait lui faire comprendre son regret par des gestes mais il n’était pas sûr que se jeter sur elle comme ça était une bonne idée. Mais comme elle lui manquait ! Finalement il opta pour la discussion après tout il n’était pas un Middle pour rien. Il savait parler, il trouvait toujours quoi dire pour tourner la situation à son avantage. Mais pas cette fois. Il se sentit si mal tout d’un coup que tout ce qu’il put faire fut de lui demander de le laisser entrer. IL l’avait tutoyé. Il se mordit les lèvres se rendant compte qu’il avait fait une erreur et voulant se rattraper il ne fit qu’empirer les choses en faisait une allusion à cette nuit dans la cabane qu’ils avaient passés ensemble ! Il s’était blessé sur un clou et c’est comme ça que tout avait commencé. Elle l’avait obligé à s’allonger pour le soigner et de fil en aiguille ils avaient fait l’amour. Généralement Maximilien utilisait le terme coucher voir même baiser mais pas avec Elle. Loreana méritait tellement plus que ça ! Tellement plus qu’une allusion à cette soirée qu’il lui avait sûrement fait regretter par la suite. Oh comme il s’en voulait et comme il se sentit mal en sortant cette phrase mais c’était trop tard, elle était dite !


    LOREANA_ « Tiens, c’est marrant ça… Tu me tutoies, maintenant… Ah mais oui, c’est vrai… On a couché ensemble, alors on est des intimes, maintenant ! Tu sembles oublier que tu m’as jetée comme une moins que rien, cette nuit-là ! T’es vachement culotté, quand même, de venir me voir, chez moi, à trois heures du matin, pour me parler de ça ! J’ai passé des heures et des heures à essayer de me convaincre que cette nuit n’était pas une erreur, mais tu as tout gâché ! J’aurais mieux fait de te laisser crever cette nuit-là ! »

    Et paf, il se prit la porte sur le nez ! Crétin ! Il fallait bien qu’il s’y attende quand même. Elle n’allait pas l’accueillir à bras ouvert en lui faisait plein de bisou partout. Elle n’allait sûrement jamais lui pardonner ce qu’il avait fait mais il fallait qu’il essaie qu’il lui parle. Oh oui tout ce qu’elle avait dis était vrai. IL n’avait pas le droit de la tutoyer, il lui devait le respect mais c’était venu comme ça, il n’avait pu s’en empêcher. Oui, c’est vrai, il fallait être fou pour débarquer chez son professeur avec qui on avait couché pour l’abandonner lâchement ensuite ! Mais ce qu’elle lui fit lui fit tellement mal surtout la fin. Alors comme ça, elle avait espéré oh Dieu comme il s’en voulait encore plus d’avoir tout gâcher, tout foutu en l’air mais cette phrase lui fit si mal…Elle aurait du le laisser crever cette nuit là. Maximilien désespéré se jeta sur la porte et la martela de coup de poing encore et encore. Il voulait lui parler, arrêter de la faire souffrir, discuter avec elle.

    MAXIMILIEN_ « Loreana. S’il te plait ouvre moi ! Ecoute moi je t’en supplie. Je te promets de partir ensuite si tu le veux mais laisse moi parler, laisse moi te parler, laisse moi t’expliquer. Laisse moi te montrer ! Loreana, ouvre moi ! »

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Loreana Wilde
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MessageSujet: Re: Pardonne moi Pardonne moi Icon_minitimeMar 3 Mar 2009 - 22:14

Il n'y a pas d'amour sans peine,
et pourtant, depuis l'aube du temps
les gens s'aiment.

[Salvatore Adamo]



    L’amour est, parmi tous les sentiments, celui qui est le plus controversé. Pour certains, l’amour est le plus beau des sentiments. Pour d’autres, le plus éphémère. Certains le voient grand et puissant, comme dans les contes de fées. Un autre le trouvera néfaste et dévastateur. Par amour, on peut devenir fou. L’amour est tout. Tous les hommes passent leur vie à le chercher, à le traquer. Quand ils l’ont trouvé, il prend bien souvent un goût amer. Les hommes l’usent, l’abîme. L’amour est malmené. Tous les jours, on tue l’amour. Tous les jours, on le ressuscite. L’amour hait. La haine aime. Etrange comme ces deux opposés se ressemblent… Etrange comme on est capable d’éprouver, pour la même personne, ces deux sentiments simultanément…C’est avoir chaud et froid. L’amour est brûlant, glacée est la haine. Mais parfois, l’amour est froid. Parfois, la haine est ardente. Il y a même parfois où l’amour et la haine se mêlent et se confondent. Dans ces cas-là, impossible de savoir s’il convient d’aimer ou de haïr.
    Dans ces cas-là, sait-on seulement si on est capable d’aimer ?
    Victor Hugo a dit : « L'amour, c'est l'absolu, c'est l'infini ; la vie, c'est le relatif et le limité. De là tous les secrets et profonds déchirements de l'homme quand l'amour s'introduit dans la vie. Elle n'est pas assez grande pour le contenir. »

    Rien n’était plus vrai en ce moment pour Loreana Wilde. Rien n’était plus vrai pour la jeune femme qui était pitoyablement assise contre sa porte, pleurant toutes les larmes de son corps, à cause d’un mal qu’elle refusait d’admettre. Ce mal était le pire et le plus beau. C’était l’amour. Seulement, la directrice de Serdaigle s’entêtait à nier ce diagnostic aussi écrasant qu’évident. Et ce diagnostic la faisait pleurer de plus belle. Elle suffoquait. Les larmes et les sanglots l’empêchaient de respirer normalement. Chacune de ses tentatives pour reprendre son calme était mise en échec par l’homme qui martelait la porte de ses puissants poings. Le voir, là, maintenant, c’en était trop. Elle ne pouvait pas le supporter. Elle restait sourde à ses appels, s’emmurant dans un silence lourd, brisé par ses sanglots. Tout à coup, elle s’arrêta de pleurer. Les larmes ne coulaient plus. Sa respiration reprenait, peu à peu, son rythme normal. Le regard dans le vide, elle se leva. Dos à la porte, elle fit quelques pas. Lentement, très lentement, elle se dirigea vers un miroir. Elle n’y vit pas son reflet, pas tout de suite. Elle fit un pas supplémentaire vers la glace. Elle y apparut, à moitié dans l’ombre. Encore un pas. Tout son reflet était éclairé. Elle s’approcha encore. Maximilien tambourinait toujours sur la porte. Ce qu’elle vit l’effraya presque. Etait-ce vraiment elle, là, sur ce mur, dans ce miroir ? Etait-elle vraiment cette jeune femme harassée ? Certes, la femme du miroir avait son visage, ses vêtements, la même taille qu’elle et calquait tous ses gestes… Mais elle semblait avoir dix ans de plus. Son beau regard azur était assombri par des cernes qui creusaient ses paupières. Elle semblait si fatiguée…

    Mais elle était fatiguée. Fatiguée de toute cette mascarade. Fatiguée de Maximilien, fatiguée d’elle-même. Pourquoi avait-elle eu la faiblesse de s’abandonner à lui ? Pourquoi avait-il réussi à obtenir ce qu’il voulait ? Parce que, en plus, elle savait très bien qu’elle serait comme les autres, jetée après usage. Elle en était parfaitement consciente. Et pourtant, elle avait espéré qu’il serait différent, pour une fois. Elle s’était trompée. Comme la dernière fois…

    Elle n’eut pas l’occasion de se replonger dans des souvenirs tous plus douloureux les uns que les autres. Quelque chose la dérangeait. Quelque chose manquait. Il faisait trop calme tout à coup. Max avait arrêté de tambouriner sur la porte. Elle se retourna d’un mouvement et s’approcha de la porte pour écouter. Elle espérait entendre le silence, ce qui indiquerait que Max était parti. Comme elle n’entendait plus rien, elle se risqua à ouvrir la porte. Elle n’aurait pas dû. Il était toujours là, en sueur, debout devant la porte. Elle le regarda. Leurs regards se croisèrent durant quelques secondes. Ne pouvant en supporter davantage, elle détourna les yeux.

    LOREANA « Tu devrais retourner à ton dortoir… »

    C’est tout ce qu’elle trouva à dire. Elle faisait tout pour éviter son regard. Elle baissa les yeux et regarda le sol. D’un coup, elle avait chaud, si chaud… Elle aurait bien enlevé son peignoir, mais il était hors de question qu’elle se retrouve en nuisette devant lui. Ça ne ferait qu’empirer les choses. Il s’entêta.

    MAXIMILIEN «! Ecoute moi je t’en supplie. Je te promets de partir ensuite si tu le veux mais laisse-moi parler, laisse-moi te parler, laisse moi t’expliquer. Laisse-moi te montrer ! »

    Bien forcée de le regarder, elle leva les yeux vers lui. Il était en sueur, les cheveux plaqués contre son front. Comme cette nuit-là… Mais c’était différent, aujourd’hui. Elle ne craquerait pas. Peut-être allait-elle le laisser entrer, mais sans plus. Elle l’écouterait, puis le mettrait dehors et irait dormir. Mais était-ce possible ? Après tout, Max était si doux, si séduisant… Et il parlait si bien… Dans son désespoir, n’allait-elle pas se laisser aller une deuxième fois dans ses bras ?

    Non. Elle ferait tout contre. Elle devait lui prouver que leur expérience était une erreur. Et surtout, elle devait se prouver que c’était une erreur. Prouver qu’elle était capable de lui dire non, de lui résister. Question d’honneur, de fierté. Et puis, peut-être qu’après l’avoir entendu, elle trouverait enfin le sommeil… Elle se dégagea de l’ouverture de la porte et l’ouvrit un peu plus. Histoire qu’il puisse passer sans la toucher.

    LOREANA « Entre. Tu t’assieds sur le canapé, et tu n’en bouge pas. Tu parles, j’écoute. Puis tu pars. Compris ? »

    Sur ce, elle le laissa entrer et ferma la porte derrière lui. Il s’assit, comme elle le lui avait dit, sur le canapé. Quant à elle, elle s’assit en tailleur sur son lit et referma son peignoir, laissant une trop belle vue au Serdaigle à son goût.

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MessageSujet: Re: Pardonne moi Pardonne moi Icon_minitimeMar 3 Mar 2009 - 23:17

    Pardonne moi Chace-chace-crawford-3621336-100-100 Pardonne moi Thirte10
    « J'ai senti en moi enfin léphemère, en toi
    l'impression d'un pradis sur terre.
    » Kyo


    L’apparition de Loreana Wilde avait été si brève que Maximilien n’avait pu la voir mais il ne méritait de toute façon pas de regarder cette femme aux milles éclats, aux milles sourires et aux milles joies. IL devait garder les yeux baissés devant elle par respect et par honte aussi sans doute. Alors il avait parlé, lui demandant la permission d’entrer et puis essayant de détendre l’atmosphère il n’avait fait qu’envenimé les choses mais il n’y pouvait rien, c’était plus fort que lui. Et pourtant ce qu’il était beau parleur d’habitude, il réussissait toujours à trouver ces mots à placer ce qu’il voulait pour détendre mais cette fois-ci c’était venu tout seul et c’était venu de travers. IL aurait du s’en doute mais la nervosité n’aidant pas il s’était retrouvé là comme un idiot la porte fermée au nez. Elle avait eut raison de réagir ainsi, raison de l’insulter, raison de s’énerver. Il fallait qu’elle sorte tout ça et Maximilien méritait ces mots même si ils faisaient mal, il ne récoltait que ce qu’il avait semé. Il se sentait si mal envers elle. La culpabilité l’avait tellement rongé que de la voir crié lui faisait du bien. Ça le soulageait, oui c’était une égoïste mais c’était l’être humain dans toute sa splendeur. Il avait envie qu’elle crie, qu’elle lui en veuille, qu’elle hurle, qu’elle sorte sa colère pour le laver de sa culpabilité. Cette culpabilité qui le rongeait, l’assassinait qui le tuait. C’était le pire des sentiments pour un homme. La culpabilité les rendait impuissant et incapable de faire quoi que ce soit. Elle les attaquait, faisait battre leur sang, tendait leur nerf et faisait surtout saigner leur cœur. Mais malgré cette douleur apaisée, Maximilien avait besoin de parler à Loreana, il voulait annhiler ce sentiment et surtout, il voulait qu’elle se sente mieux. Il voulait la voir sourire à nouveau comme avant cette fameuse nuit dévastatrice. Alors il frappait à la porte encore et encore la sueur dégoulinait sur son front, il avait chaud maintenant tant l’acharnement se faisait sentir. IL ne savait trop ce qui se passait de l’autre côté mais il devait absolument lui parler même si le prix à payer par la suite était encore plus douloureux il fallait qu’il essaye quelque chose. Alors il insistant continuant à marteler la porte de coup de poing il hurlait en suppliant son professeur de lui, de le laisser s’expliquer et puis finalement, enfin, après de longues minutes qui parurent une éternité au serdaigle, la porte s’ouvrit laissant place à la jolie brune.

    La vision qui s’offrait à lui était des plus belles. Cette femme qui hantait ses rêves depuis tellement longtemps et encore plus depuis cette fameuse nuit se tenait là, tendue et presque nue devant lui. Depuis le temps qu’il n’avait pas pris le temps de l’observer de la regarder, il osa le faire enfin. Depuis cette fameuse nuit, il en rêvait mais considérait qu’il n’avait plus le droit de la regarder, qu’il ne le méritait pas mais cette fois-ci ce fut plus fort que lui. Ses yeux se promenèrent aisément sur le corps de cette femme. Les lèvres rougies et les yeux gonflés montrèrent qu’elle avait pleurée mais elle n’en n’était que plus belle, que plus touchante. Il était ému devant ses longs cheveux qui tombaient en cascade la collant dans le coup. Ses joues étaient roses et rouges d’émotion mais elle n’en n’était que plus attirante. Les yeux de Maximilien descendirent plus bas vers ce corps chaud, brûlant. Il s’attarda longuement sur cette nuque pâle et ouverte à lui qui n’appelait qu’au baiser. Le peignoir de la jeune femme entre ouverte laissait voir sa chemisette et petit décolleté qui allait avec. La volumineuse poitrine ainsi apparente fit trembler Maximilien de désir mais il devait se contenir. Il n’était pas là pour ça. Il devait se ressaisir et prendre cette chance qu’elle lui offrait. Il voulu alors parler, lui dire tellement de chance mais elle parla avant lui. Qu’importe ce qu’elle allait dire, une chose était sûre, il n’abandonnerait pas. Il ne la laisserait plus sans réponse !


    LOREANA_ «Tu devrais retourner à ton dortoir… »
    MAXIMILIEN_ « Ecoute moi je t’en supplie. Je te promets de partir ensuite si tu le veux mais laisse-moi parler, laisse-moi te parler, laisse moi t’expliquer. Laisse-moi te montrer ! »
    LOREANA_ « Entre. Tu t’assieds sur le canapé, et tu n’en bouges pas. Tu parles, j’écoute. Puis tu pars. Compris ? »

    IL en avait fallu du temps pour que finalement elle prononce cette phrase. Cette phrase qui permit enfin à l’air d’entrer dans les poumons du serdaigle comme si le géant qui s’était assis sur sa poitrine ces dernières semaines s’étaient soulevées légèrement pour le soulager. IL avait l’impression de renaître doucement et même si rien n’était encore gagné le courage et l’espoir s’insinuaient doucement en lui, parcourant chaque petit millimètre de son corps, glissant avec le sang encore chaud. Il avait l’impression de se sentir soudainement plus fort par cette chance unique et pourtant si belle qu’elle lui offrait. Il n’allait pas la louper, ça non. IL ferait tout pour réussir à la convaincre qu’il était désolé, pour la rassurer. Il n’était même pas sûr de faire ça pour la récupérer, non, il voulait juste la voir heureuse. C’était dans ces moments là que le cœur de Maximilien arrivait à lui prouver que Loreana Wilde n’était pas qu’une histoire de cul comme il s’était acharné à se convaincre toutes ces derniers mois et années durant lesquels il l’avait regardé, mâté, dragué. Son cœur battait encore plus vite si c’était possible, ses mains tremblaient. Il avait peur de rater malgré tout et pourtant, il fallait qu’il se lance…Alors enfin il entra dans l’appartement. IL ne l’avait jamais vu mais ne pris pas le temps de l’observer d’avantage. Il constata juste en entrant dans la pièce que le salon et la chambre à coucher ne faisait qu’une seule et même pièce mais respectant les conditions de son entrée, il alla tout de suite s’asseoir sur le canapé, posa ses mains sur ses genoux et attendit patiemment. Loreana vint le rejoindre quelques secondes plus tard et s’installa sur le lit. Elle voulait elle loin de lui. Elle se pencha en avant laissant une vue sur sa poitrine mais Maximilien ne la regarda pas. Non, il fixa son professeur dans les yeux et lorsqu’il eut vu cette petite lueur, il sut qu’il avait l’autorisation de parler alors il le fit. Doucement, pesant chaque mot, il s’expliqua :

    MAXIMILIEN_ « IL est bien tard, je comprends. Mais il fallait que je te parle, que je t’explique. Je sais que tu m’en veux et je m’en voudrais aussi à ta place. Je ne sais trop par où commencer. La chance que tu me donnes de m’expliquer est immense alors je voulais déjà te dire merci. Je…Plus le temps passe et plus c’est dur de t’avouer que j’ai tous les tords et le pire c’est que je ne suis pas sûre que cela me serve encore mais je voulais que tu saches que si je suis parti en courrant après t’avoir fait l’amour ce n’était pas pour t’abandonner comme une vieille chaussette. Je n’aurais jamais osé faire ça surtout avec toi ! Je…Je suis partie parce que j’ai eut terriblement peur ! »

    Voilà, il avait lâché le mot mais il n’osait plus continuer. Il voulait entendre la voix de Loreana pour être sûr qu’elle écoutait, qu’elle comprenait !

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Loreana Wilde
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MessageSujet: Re: Pardonne moi Pardonne moi Icon_minitimeMer 4 Mar 2009 - 22:46

Ce que nous prenons
pour de la cruauté
chez l'homme
n'est presque toujours
que de la lâcheté

[Marcelle Auclair]





    LOREANA « Entre. Tu t’assieds sur le canapé, et tu n’en bouge pas. Tu parles, j’écoute. Puis tu pars. Compris ? »

    Hein ? Quoi ? Rêvait-elle ou… Venait-elle de l’inviter à entrer chez elle, en pleine nuit, alors qu’elle était en peignoir, lui en pyjama, alors que quelques semaines plus tôt elle avait commis la plus grosse erreur de sa vie avec lui ? Etait-ce la fatigue qui lui faisait faire des choses insensées ? Avant qu’elle ait pu se reprendre et le mettre dehors, il était entré. Elle ferma la porte en soupirant et le regarda s’installer sur le canapé, condition sine qua non pour qu’il reste. Quant à elle, elle s’assit en tailleur sur son lit. Elle profita de ce qu’il cherchait ses mots pour l’observer plus attentivement.
    Il semblait fatigué, très fatigué. Peut-être que, comme elle, il cherchait le sommeil en vain depuis des jours ? Malgré les cernes qui lui creusaient le visage, ses épaules basses et les traces de larmes sur ses joues, Maximilien avait conservé tous son charme, ou en tout cas une bonne partie.

    Taratata ! STOP ! A quoi elle pensait, là ? Si elle commençait par ce dire qu’il était beau, elle finirait au lit avec lui, c’était une certitude. Et elle ne voulait pas, mais alors là pas du tout ça ! Elle se contenterait de l’écouter, puis quand il aurait fini, elle le mettrait dehors sans douceur ni délicatesse. Avec une brutalité anormale. Artificielle. Avec une froideur glaciale. Du moins elle essaierait. Quitte à dévorer tout le chocolat et à terminer la bouteille de Vodka après son départ. Surtout, ne pas sortir la Vodka tant qu’il était là. Alcool + beau garçon = erreur. A tous les coups, c’est la règle. Et une erreur avec lui, c’était largement suffisant. Rien que le fait d’y repenser la convainquit que la Vodka serait inutile : il suffisait qu’elle ressasse leur nuit à deux pour le haïr au point de sentir une montée d’adrénaline et de violence en elle. Mais elle se contiendrait. C’était son devoir. Un professeur se devait de conserver son calme en toute circonstance. Oui, mais dans la situation actuelle, elle estimait avoir le droit de réagir en tant que femme plus que de professeur… Le débat aurait pu commencer en elle si Maximilien n’avait pas commencé à parler.

    MAXIMILIEN « Il est bien tard, je comprends. Mais il fallait que je te parle, que je t’explique. Je sais que tu m’en veux et je m’en voudrais aussi à ta place. Je ne sais trop par où commencer. La chance que tu me donnes de m’expliquer est immense alors je voulais déjà te dire merci. Je…Plus le temps passe et plus c’est dur de t’avouer que j’ai tous les tords et le pire c’est que je ne suis pas sûre que cela me serve encore mais je voulais que tu saches que si je suis parti en courant après t’avoir fait l’amour ce n’était pas pour t’abandonner comme une vieille chaussette. Je n’aurais jamais osé faire ça surtout avec toi ! Je…Je suis partie parce que j’ai eut terriblement peur ! »

    Plusieurs choses attirèrent l’attention de la jeune Wilde. Tout d’abord, le tutoiement qui n’avait pas disparu. Comment Loreana devait-elle le comprendre ? Il y avait plusieurs solutions : soit c’était un manque de respect pur et simple, mais cette hypothèse ne plaisait pas à la jeune femme. Soit c’était une marque d’affection et d’intimité. Si c’était le cas, la jeune femme en était ravie et mécontente à la fois. Parce qu’il lui laissait croire qu’elle représentait quelque chose pour lui, mais cette espérance, elle se l’interdisait.
    La suite… « Je sais que tu m’en veux ». Mais non ! Après tout, c’était pas normal d’en vouloir à celui qui l’avait laissé en plan après l’avoir baisée !

    Loreana écoutait en silence. Elle se faisait violence pour laisser Maximilien finir, puis elle lui dirait ce qu’elle avait sur le cœur, et il s’en irait. Malgré elle, les paroles de Max étaient parvenues à dompter sa colère, à calmer sa fureur. Ce mec était incroyable. Il pouvait vous faire les pires horreurs… Et réussir à vous calmer par quelques mots. Mais, pour être honnête, les mots n’auraient pas suffit à la calmer. Ce qu’il l’avait apaisée, c’était que, pour une fois, Max parlait de lui sans détour, il était franc et sincère. Son blindage, sa carapace, il les avait laissés tomber pour parler à cœur ouvert. Et, pour Loreana, ça valait tous les mots du monde.
    Attention, hein ! ça ne voulait pas dire qu’elle lui pardonnait ! D’ailleurs, Max marqua une pose et la regarda droit dans les yeux. Mal à l’aise, Miss Wilde détourna le regard et répondit.

    LOREANA « Tu m’as demandé de t’écouter, pas de te comprendre ou de te pardonner. Je sais que tu as encore beaucoup de choses à dire, mais tu t’attends vraisemblablement à ce que j’intervienne. Je ne comprends pas, Middle. Tu n’es pas clair. Tu dis que tu n’aurais jamais osé, surtout avec moi. Et pourtant tu l’as fait. Tu dis que tu avais peur. Je ne te crois pas. De quoi, bon Dieu, de quoi aurais-tu eu peur ? De ma réaction ? Il aurait suffit que tu sois resté, que tu m’aies parlé pour t’assurer de ma compréhension. En t’enfuyant comme tu l’as fait, tu n’as réussi qu’à me prouver que tu n’étais qu’un pauvre con pensant avec sa bite doublé d’un lâche et d’n hypocrite ! Et tu espère encore, tu ose encore espérer que je puisse te pardonner ? Vas-y, essaye. Convaincs-moi. Mais je te préviens, t’as tout intérêt à être très persuasif. Je suis très rancunière. »

    Sa tirade terminée, la dirlo de Serdaigle se leva et quitta son lit, direction la cuisine. Trop énervée pour rester tranquille, elle comptait se faire une infusion. Max esquissa un mouvement, mais Loreana vit violement volte-face et le fusilla du regard.

    LOREANA « Reste sur ce canapé, ou sors ! »

    En une longue respiration, la prof de potion reprit sa marche vers sa cuisine, fit chauffer magiquement de l’eau et y incorpora tous les ingrédients indispensables pour une infusion réussie.
    Quelques minutes plus tard, elle était de retour dans le salon, s’assit, cette fois-ci, dans le fauteuil en face du canapé et regarda Max.

    LOREANA « Si tu as encore quelque chose à dire, dis-le maintenant ou va-t’en. »

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MessageSujet: Re: Pardonne moi Pardonne moi Icon_minitimeJeu 5 Mar 2009 - 21:55

    Pardonne moi Chace-chace-crawford-3621336-100-100 Pardonne moi Thirte10
    « J'ai senti en moi enfin léphemère, en toi
    l'impression d'un pradis sur terre.
    » Kyo


    Secret caché du cœur quand tu nous tiens. Il y avait beaucoup de sentiment que l’Homme avec un grand H, féminin comme masculin refusait en boucle. La honte, la peur, la tristesse, les remords, la patience, l’inconscience, la haine, la pitié, la solitude et tellement d’autre, s’efforçant de les cacher du mieux possible, de les dissimuler malheureusement beaucoup autours d’eux en souffrait de ce problème de fierté, de société mal organisée qui n’accepte aucun défaut et n’accorde d’importance qu’aux apparences, sourde et aveugle, elle transforme les hommes en des monstres avides de pouvoir, d’honneur et de puissance. Maximilien n’était pas comme ça. Il n’était pas fier et était le premier à reconnaître ses tords, à avouer ses erreurs, à s’incliner sous le poids de la vérité et de l’entraide. Loin d’être égoïste, il oeuvrait pour le confort des autres avant le sien. Protégeant les plus faibles, remettent à leur place les plus fort qui abusent de leurs muscle et de leur puissance. La fierté n’était pas mal placée chez lui et c’était ce qui forçait tout le monde à le respecter. IL n’avait que rarement besoin d’utiliser la force petit à petit son honnêteté et ses amis s’étaient occupés de faire son éloge et beaucoup de gens dans le château le connaissait. Maximilien avait malgré tout l’air fort, il acceptait ses tords mais il semblait toujours parfait aux yeux de tous. Beau, intelligent, travailleur, pas macho, heureux, joyeux, fêtard, guitariste, généreux, galant. Bref il possédait un tas de qualité que peu d’hommes avaient encore aujourd’hui. Ainsi tous l’aimaient pour ses fêtes, pour son courage, sa joie sans borne, sa sympathie et la protection qu’il offrait par là.

    Mais Maximilien n’était pas un super Héro, il avait beau faire croire à l’homme parfait il avait quand même quelque défauts. Il avait peur d’avoir mal, tellement peur de souffrir qu’il se cachait en permanence derrière un masque de pur bonheur, de pure joie. Tous le croyaient heureux et seuls ses meilleurs amis savaient à quel point Maximilien souffrait. Ses meilleurs amis connaissaient ses peurs, ses problèmes, si soucis. Travis et Léo l’avaient vu trembler la nuit, l’avait vu hurler et pleurer dans son sommeil sous les regrets, les peurs et les souffrances. Maximilien n’osait pas s’avouer lorsqu’il y avait quelque chose de bien. Tous les gens qu’il avait aimé étaient partis, l’avaient abandonnés. Il y avait ses parents qui le rejetaient, qui le détestaient, il était un accident pour eux. Et puis il y eut Elisa qui partit alors qu’elle avait remplacée sa mère dans le cœur de Max et tant d’amis qui l’avaient abandonné. Heureusement pour lui il avait Léo et Travis les seules personne qu’il aimait plus que tout et qu’il osait aimer mais toutes les nouvelles têtes, il refusait à son cœur le droit de les apprécier. IL avait trop peur de souffrir, il rejetait l’amour en boucle, le refusait, le remballait. Maximilien était un petit peureux finalement mais pourtant il était là ce soir où plutôt ce matin. Il était poussé par une force inconnue et cette fois-ci son cerveau n’arrivait pas à brider son cœur. Il se tenait là ouvert, presque nu, il se confiait.


    LOREANA_ «Tu m’as demandé de t’écouter, pas de te comprendre ou de te pardonner. Je sais que tu as encore beaucoup de choses à dire, mais tu t’attends vraisemblablement à ce que j’intervienne. Je ne comprends pas, Middle. Tu n’es pas clair. Tu dis que tu n’aurais jamais osé, surtout avec moi. Et pourtant tu l’as fait. Tu dis que tu avais peur. Je ne te crois pas. De quoi, bon Dieu, de quoi aurais-tu eu peur ? De ma réaction ? Il aurait suffit que tu sois resté, que tu m’aies parlé pour t’assurer de ma compréhension. En t’enfuyant comme tu l’as fait, tu n’as réussi qu’à me prouver que tu n’étais qu’un pauvre con pensant avec sa bite doublé d’un lâche et d’un hypocrite ! Et tu espères encore, tu oses encore espérer que je puisse te pardonner ? Vas-y, essaye. Convaincs-moi. Mais je te préviens, t’as tout intérêt à être très persuasif. Je suis très rancunière.»
    MAXIMILIEN_ « Je… »

    Il n’eut pas le temps de finir sa phrase et pourtant il avait envie de parler. Ce que Loreana lui avait dit lui avait fait mal mais elle avait dit vrai. IL n’était pas clair, il s’était mal comporté et ne lui avait montré que le contraire de ce qu’il venait de lui dire. Et les mots sans les actes ne valaient pas grand-chose et ça Maximilien le savait bien. Il voulait prouver par les actes à son professeur qu’il méritait son pardon, qu’il ferait tout pour mais il fallait d’abord qu’elle lui donne la possibilité de le faire, la permission de le lui prouver et pour obtenir tout cela il ne pouvait que parler, c’était sa seule arme, une arme de paix certes mais sa plus belle arme ! Il voulait parler encore et encore sans jamais s’arrêter mais Loreana se leva. Il voulu la suivre naturellement mais elle se retourna en le foudroyant du regard :

    LOREANA_ « Reste sur ce canapé, ou sors ! »

    Maximilien se laissa tomber en arrière d’un coup. IL comprit alors encore une fois que se faire pardonner allait être la chose la plus dure qu’il n’avait jamais eut à faire et pourtant Dieu savait qu’il avait déjà résolu l’impossible à plusieurs reprises. Il se sentait prêt à résoudre le problème, à relever le défi. Il ferait tout pour. Il avait peur mais son cœur lui hurlait de le faire, lui hurlait de poursuivre cette voix qu’il avait empruntée. Finalement elle revint quelques minutes plus tard avec une tasse en main. Ça sentait bon le thé et Maximilien eut un petit sourire. Alors elle aimait ça ?

    LOREANA_ « Si tu as encore quelque chose à dire, dis-le maintenant ou va-t’en ! »
    MAXIMILIEN_ « Je…Ce que j’ai à te dire n’est pas facile alors laisse moi aller jusqu’au bout s’il te plait. Je, oui j’ai peur ! C’est peut-être stupide mais je n’ai jamais parlé de ça à personne. J’ai peur des gens que j’apprécie. J’ai peur de souffrir, qu’on me laisse tomber comme tant de fois avant. Alors cette nuit là, je me suis enfuie comme un crétin et un lâche. Mais pas parce que j’avais eut du sexe et que ça suffisait au contraire. Parce que j’ai eut peur que tu me rejettes que tu prennes ça comme une erreur alors je suis parti. Oui, c’était bête. Mais voilà je…Je t’… »

    Oh il n’arrivait pas à dire ce fichus mot ! C’était trop dur, ça ne sortait pas. Il arrivait pas encore à se l’avouer alors il se bloqua dans sa gorge…Il finit par relever les yeux de ses genoux pour les placer dans les yeux de son professeur…IL ne put se contrôler. IL se leva alors d’un coup et vint s’asseoir sur le lit à côté d’elle. Il avança légèrement sa tête comme pour l’embrasser mais il se ressaisit au denier moment alors que ses lèvres s’apprêtaient à toucher celle de la jolie brune. Il se releva d’un coup et dit :

    MAXIMILIEN_ « Je…Je ferais mieux d’y aller… »

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MessageSujet: Re: Pardonne moi Pardonne moi Icon_minitimeJeu 5 Mar 2009 - 22:54



    LOREANA « Tu m’as demandé de t’écouter, pas de te comprendre ou de te pardonner. Je sais que tu as encore beaucoup de choses à dire, mais tu t’attends vraisemblablement à ce que j’intervienne. Je ne comprends pas, Middle. Tu n’es pas clair. Tu dis que tu n’aurais jamais osé, surtout avec moi. Et pourtant tu l’as fait. Tu dis que tu avais peur. Je ne te crois pas. De quoi, bon Dieu, de quoi aurais-tu eu peur ? De ma réaction ? Il aurait suffit que tu sois resté, que tu m’aies parlé pour t’assurer de ma compréhension. En t’enfuyant comme tu l’as fait, tu n’as réussi qu’à me prouver que tu n’étais qu’un pauvre con pensant avec sa bite doublé d’un lâche et d’un hypocrite ! Et tu espère encore, tu ose encore espérer que je puisse te pardonner ? Vas-y, essaye. Convaincs-moi. Mais je te préviens, t’as tout intérêt à être très persuasif. Je suis très rancunière. »

    Voilà. Ça, c’était dit. Loreana se sentait déjà mieux, maintenant qu’elle avait vidé une partie de son sac. Oh, bien sûr, elle avait encore plein de choses sur le cœur. Mais elle jugeait qu’il valait mieux attendre un peu avant d’aller jusqu’au fond de sa pensée. En fait, pour tout dire, elle se sentait mieux, peut-être, mais elle ne pouvait plus rester sur place. Tout d’un coup, peut-être dans l’élan de sa tirade, elle avait besoin de marcher, ou du moins de bouger, pour se calmer. Elle se leva brusquement alors que Maximilien commençait une phrase. Elle avait besoin de thé. Maintenant. Tout de suite. Sinon, elle pétait un câble. Direction, la cuisine. Seul problème, qui n’allait pas l’aider à se calmer, elle entendit un bruit… Bruit qui indiquait que Maximilien allait se lever pour la suivre. Et ça, il n’en était pas question.

    LOREANA « Reste sur ce canapé, ou sors ! »

    Regard foudroyant et paroles colériques passées, Loreana s’en retourna à sa cuisine, où elle fit bouillir magiquement de l’eau, ce qui ne prit pas plus de quinze secondes. Elle y fit infuser un mélange de plantes et d’épices de sa composition puis revint s’asseoir sur son lit au bout de deux minutes, tasse jaune à la main. Lorsqu’elle vit le sourire en coin de Max, elle explosa :

    LOREANA « Si tu as encore quelque chose à dire, dis-le maintenant ou va-t’en. »

    Au moins, c’était clair. Bon, elle ne s’attendrait pas à ce que Max se lève bien gentiment et s’en aille, mais… Trop tard, il avait recommencé à parler.

    MAXIMILIEN «Je…Ce que j’ai à te dire n’est pas facile alors laisse moi aller jusqu’au bout s’il te plait. Je, oui j’ai peur ! C’est peut-être stupide mais je n’ai jamais parlé de ça à personne. J’ai peur des gens que j’apprécie. J’ai peur de souffrir, qu’on me laisse tomber comme tant de fois avant. Alors cette nuit là, je me suis enfuie comme un crétin et un lâche. Mais pas parce que j’avais eut du sexe et que ça suffisait au contraire. Parce que j’ai eut peur que tu me rejettes que tu prennes ça comme une erreur alors je suis parti. Oui, c’était bête. Mais voilà je…Je t’… »

    Alors là, Loreana n’en revenait pas. Pour une fois, Max parlait vraiment de lui. Bon, d’accord, sa réponse précédente évoquait également ses sentiments, mais là… Maximilien Middle venait d’avouer qu’il avait PEUR. Mieux encore, qu’il avait peur des gens qu’il apprécie. Peur de souffrir. Il était parti de peur de souffrir et de peur que la dirlo de Serdaigle ne prenne leur nuit pour une erreur ? Mais il ne réfléchissait jamais ou quoi ? Il s’était enfoui pour éviter sa propre souffrance… Mais il n’avait pas idée des souffrances et des douleurs qu’il avait entraîné chez Loreana ! Il avait peur qu’elle prenne « ça » pour une erreur ? La seule chose qui avait fait pensé à Loreana que c’était bel et bien une erreur était le fait qu’il soit parti ! Mais ça coulait de source, non ? Il avait paniqué ou quoi ? Absorbée dans ses pensées, Loreana n’entendit pas les derniers mots de Max. Des mots qui auraient pu changer le cours des choses… Mais qui se perdirent dans le silence de la nuit et dont seuls les murs furent témoins…
    Ayant préparé sa réponse, Miss Wilde commença :

    LOREANA « Si au moins tu pouvais penser ce que tu d… »

    Elle fut très vite interrompue. En quelques secondes, il c’était passé tant de choses. Maximilien s’était le levé et avait quitté le canapé. Insubordination à la règle n°1. Il s’était approché d’elle. Insubordination à la règle n°2. Il s’était assis à côté d’elle et avait approché son doux visage du sien… Prise au dépourvu, Loreana ne réagit pas. Heureusement, le jeune homme se ressaisit et se rétracta avant qu’il n’y ait eu un quelconque contact entre eux. Loreana, haletante et furieuse, voulait jeter Max dehors, mais il la devança :

    MAXIMILIEN «Je…Je ferais mieux d’y aller… »
    LOREANA « Je ne te le fais pas dire. Bonne nuit. »

    La jeune prof se leva pour ouvrir la voie à Max, mais un bruit sourd dans le couloir se fit entendre. Intriguée, Loreana sortit de chez elle pour tomber nez-à-nez avec Alexey.

    LOREANA « Alexey ? Qu’est-ce qu’il se passe ? »
    ALEXEY « Encore ces crétins qui sèment le chaos. Un prof à tous les étages, ordres du directeur. Toi, tu devras faire tes rondes le mardi et le jeudi au 6ème. Ce soir, c’est pour ma pomme… »

    Loreana lui souhaita bonne chance et s’en retourna dans son appartement en fermant la porte brutalement. Misère ! Si Alexey montait la garde, et que Max sortait maintenant… Devant l’air étonné de Max, Loreana soupira. La voilà qui se retrouvait coincée chez elle avec un homme, non, avec L’HOMME qu’elle voulait éviter. Décidément, c’était pas sa journée. Elle se mit à faire les cents pas, oublier momentanément la présence de Max. Passer la nuit avec lui n’était pas une bonne idée du tout. Il pourrait dormir sur le canapé, mais… Elle fut interrompue dans ses pensées. Max ne comprenait pas.

    LOREANA « Alexey monte la garde devant ma porte. Si tu sors maintenant, il va s’imaginer qu’on… enfin, il va s’imaginer des choses. Et ça, je ne le veux absolument pas… »

    Bon. Quand faut y aller, faut y aller !

    LOREANA « Demain c’est samedi. Tu vas dormir ici, sur le canapé. Tu m’as bien compris ? Tu ne quitte en aucun cas ce canapé. Sinon, je m’assurai de te trouver une façon de mourir particulièrement lente et douloureuse. De plus, tu t’en iras demain matin. Dès que tu te lèves, tu t’en vas. Compris ? »

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MessageSujet: Re: Pardonne moi Pardonne moi Icon_minitimeVen 6 Mar 2009 - 18:13

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    » Kyo


    L’idiot ! Que lui avait il pris de se redresser et de s’approcher d’elle de cette façon ? Voulait il réellement ruiner toutes ses chances avec elle. IL avait un petit espoir qu’elle l’ écoute, qu’il se rapproche sans plus mais ce serait mieux que rien et il pourrait ainsi lui montrer qu’il ferait tout pour la mériter mais là, il venait de tout gâcher. Pourquoi s’était il donc levé, pourquoi s’était il approché aussi près d’elle ! Dieu ce qu’il était bête mais pourtant il s’était senti comme poussé. Une pulsion qui lui bouffait les nerfs qui le mangeait et qui lui donnait une furieuse envie de se lever, de l’embrasser et de lui faire l’amour encore et encore toute la nuit. Il voulait la sentir autours de lui, l’entendre hurler de plaisir, sentir ses lèvres sur son torse, sortir ses seins dans sa main alors il s’était levé pour s’approcher. Heureusement qu’au dernier moment il avait eut une secousse et s’était réveillé d’un coup. Mais c’était trop tard il avait transgressé les deux règles qu’elle lui avait imposé : le canapé et la distance. Quel imbécile. Il ferait mieux de partir. IL n’avait peut-être pas perdu la guerre du pardon mais tout du moins une bonne partie de la bataille de ce soir. Pourquoi était il donc un homme. EN ce moment, il maudissait son sexe plus que tout au monde. Soupirant il se redressa d’un coup et décréta que partir était la meilleure solution. Il savait bien que pour lui, pour elle, pour eux il valait mieux qu’il quitte l’appartement tout de suite. Lui risquait de ne plus se contrôler, elle pareil, il le voyait dans ses yeux et ils risquaient de se perdre à tout jamais. Maximilien refusait cette possibilité néfaste qui achèverait de tuer son cœur.

    LOREANA_ « Je ne te le fais pas dire. Bonne nuit. »

    Son ton était froid et accusateur. Maximilien eut envie de disparaître dans un trou de souris. IL avait honte, il avait l’impression d’avoir trahis sa confiance…Une fois de plus ! Il finirait par avoir la palme du crétin qui lui avait fait le plus de mal et qui s’était comporté le plus mal. Parfaitement le diplôme qu’il voulait ! Evidement que c’était sarcastique. Il voulait tellement se faire pardonner qu’il avait tout fait de travers, comme d’habitude. Il savait pourtant bien que dés qu’il laissait ses sentiments apparaître il se laissait déborder et c’était le total bazar. Quand apprendrait il que son cœur était néfaste pour lui. Pourquoi ne pouvait il pas se contrôler tout le temps, pourquoi devait il toujours tout foutre en l’air. IL sentit ses yeux le piquer tandis que Loreana ouvrit la porte. Il voulu alors sortir mais tout d’un coup la main de la professeur de potion le retint en arrière et le poussa derrière la porte. IL ne comprit pas tout de suite et fronça les sourcils tandis que la jolie jeune femme avançait tranquillement dans les couloirs. Maximilien voulu la suivre mais se disant qu’il lui avait suffisamment désobéis ce soir et il se contenta d’écouter la conversation qui se tenait dehors. Il reconnu la voix de son professeur de métamorphose :

    LOREANA_ « Alexey ? Qu’est-ce qu’il se passe ? »
    ALEXEY_ « Encore ces crétins qui sèment le chaos. Un prof à tous les étages, ordres du directeur. Toi, tu devras faire tes rondes le mardi et le jeudi au 6ème. Ce soir, c’est pour ma pomme… »

    Aie. En effet, un instant plus tard, Loreana déboula comme une furie en claquant la porte. Ils étaient coincés. Comme si ça ne suffisait pas qu’il soit venu le déranger ce matin, il allait devoir rester. En effet, Alexey surveillant la couloir, Maximilien ne pouvait pas sortir de l’appartement du professeur de potion sans que celui de métamorphose ne se rende compte de quelque chose ou pire s’imagine des choses encore moins catholiques. Et ça aucun des deux ne pouvaient prendre le risque. Maximilien voyait déjà arriver la chose et effectivement quelques secondes après, Loreana, se frottant le front lui lâcha froidement :

    LOREANA_ « Demain c’est samedi. Tu vas dormir ici, sur le canapé. Tu m’as bien compris ? Tu ne quittes en aucun cas ce canapé. Sinon, je m’assurai de te trouver une façon de mourir particulièrement lente et douloureuse. De plus, tu t’en iras demain matin. Dès que tu te lèves, tu t’en vas. Compris ? »
    MAXIMILIEN_ « compris »

    Il faillit rajouter « mon général » mais se retint à la dernière seconde, se disant qu’il ne valait mieux pas empirer les choses encore plus. Il se dirigea alors vers le salon suivant la jolie brunette et il se coucha sur le canapé. Elle en fit de même sur le lit mais Maximilien réalisa une chose :

    MAXIMILIEN_ « Je…je suis désolé. Je me tais après mais…Je peux avoir une couverture s’il te plait, j’ai froid ! »

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MessageSujet: Re: Pardonne moi Pardonne moi Icon_minitimeVen 6 Mar 2009 - 20:58



    Son rythme cardiaque s’était accéléré. Maximilien était là, à quelques centimètres… Prêt à l’embrasser… Que devait-elle faire ? Céder à cette pulsion, à ce désir qui la tiraillait ? Poser ses lèvres sur celle du Serdaigle ? Oui leur résister, à lui et à ses pulsions ? Le repousser violement ? Le gifler ? L’attirer à elle et approfondir leur baiser ?
    Toutes ces questions trouvèrent réponse : en attendant un bruit sourd, Maximilien se rétracta, visiblement conscient de la signification de son geste. Il balbutia maladroitement quelques mots pour dire qu’il s’en allait, mais Loreana trouvait ce grand bruit louche. Elle le remit froidement à sa place. Puis se leva, dépassa son élève et ouvrit la porte, en espérant qu’il ait la présence d’esprit de rester dans l’appartement. Elle vit Alexey courir dans le couloir et l’apostropha.

    LOREANA « Alexey ? Qu’est-ce qu’il se passe ? »
    ALEXEY « Encore ces crétins qui sèment le chaos. Un prof à tous les étages, ordres du directeur. Toi, tu devras faire tes rondes le mardi et le jeudi au 6ème. Ce soir, c’est pour ma pomme… »

    Elle remercia le prof de métamorphose et referma la porte en respirant longuement. Coincés. Elle. Lui. Coincés. Elle respira profondément. Histoire de se remettre les idées en place. Max ne pouvait pas sortir. Pas par la porte en tout cas. Par la fenêtre ? Hors de question, trop dangereux et trop risqué. Coincés. Ils étaient coincés. Il n’y avait qu’une seule et unique solution, sauf si Max avait une cape d’invisibilité… Ce dont elle doutait. Une seul option, qui ne l’enchantait pas du tout.
    Bon… A la guerre comme à la guerre.

    LOREANA « Demain c’est samedi. Tu vas dormir ici, sur le canapé. Tu m’as bien compris ? Tu ne quitte en aucun cas ce canapé. Sinon, je m’assurai de te trouver une façon de mourir particulièrement lente et douloureuse. De plus, tu t’en iras demain matin. Dès que tu te lèves, tu t’en vas. Compris ? »

    Maximilien acquiesça. Il avait compris. C’était déjà ça. Allait-il exécuter ses ordres ou, comme d’habitude, prendre un malin plaisir à les enfreindre ? Seule l’avenir le savait. Pour l’instant, en tout cas, Max semblait avoir compris, puisqu’il s’était couché dans le canapé. Bien. Un peu de sommeil lui ferait le plus grand bien. Ignorant la présence de Max, elle enleva son peignoir, se retrouvant donc en nuisette, et se glissa avec un énorme réconfort dans son grand lit douillet. Elle éteignit magiquement toutes les chandelles et ferma les yeux. Enfin, elle allait pouvoir dormir…

    MAXIMILIEN « Je…je suis désolé. Je me tais après mais…Je peux avoir une couverture s’il te plait, j’ai froid ! »

    Apparemment, non. Elle n’allait pas pouvoir dormir tout de suite. En levant les yeux au ciel, elle quitta –à contrecœur- son lit et se dirigea vers une armoire. Elle en tira une large couverture bien chaude et la lança à Maximilien. Elle retourna dans son lit.

    LOREANA « Et maintenant, tu me laisses dormir. Et demain, tu t’en vas. »

    Ceci dit, elle se tourna et se retourna dans ses couvertures, ne se lassant pas de leur douce chaleur. Ses paupières étaient lourdes, très lourdes, et elle ne tarda pas à trouver le sommeil.


    ??? « Petite ! Viens par ici ! Aide-moi ! »

    Loreana s'approcha. Un jeune homme, non, un petit garçon blond… Il était assis sur le sol froid. Les grandes dalles noires et humides lui donnaient l'air petit et faible. Il lisait un gros grimoire. Il lisait un grimoire ? Fort peu probable, du moins à cinq ans… Dès qu'il avait aperçu la petite fille, il s'était levé et précipité vers elle. Il s'appuya sur les barreaux qui séparaient les deux enfants.

    LOREANA « Pourquoi tu m'appelles petite ? On a le même âge ! Et puis pourquoi que t'es en prison ? »

    L'enfant blond fit la moue, puis recula de quelques pas. Il dévisagea Loreana quelques instants, puis se mit à rire, du rire pur et cristallin des jeunes enfants. Un rire innocent, un rire qui vient du cœur…

    GARCON « Oui, on a le même âge ! Et c'est toi qui es en prison, pas moi ! »

    Loreana, surprise, se retourna et regarda autour d'elle. Non, elle n'était pas en prison ! Autour d'elle, que du noir. Juste devant elle, des barreaux qui entouraient l'autre enfant. Elle se mit à marcher autour de la cellule, regardant toujours ce curieux garçon. Après avoir fait un tour complet, elle s'arrêta à nouveau face au garçon.

    LOREANA « Mais non, c'est toi en prison ! Mais pourquoi ? Tu as été méchant ? »

    Le garçon perdit son sourire. Il avait carrément l'air méchant, maintenant. Il se rapprochait de plus en plus des barreaux. Loreana, effrayée, reculait lentement.

    GARCON « Je suis toujours méchant, mais là, j'ai été encore plus méchant… »

    Soudain, les barreaux disparurent. Le garçon n'était plus là. A sa place se trouvait un homme extrêmement pâle. Il était chauve, ses yeux rouges sang et ses pupilles verticales. Pas de nez, juste deux fentes, à la manière des serpents… Loreana, à présent terrorisée, se mit à courir. Au loin, elle aperçu ses parents. Elle accéléra encore, elle voulait les rejoindre… Mais, d'un coup, son corps cessa de bouger. Elle s'était arrêtée, contre sa volonté, à quelques mètres de ses parents. Elle voulait se débattre, hurler, bouger, courir loin… Mais elle n'y arrivait pas. Elle restait clouée sur place, alors que l'homme hideux se rapprochait… Il passa devant elle, sans la voir. Il sortit sa baguette, et prononça une incantation. Les parents de la pauvre Loreana terrorisée se mirent alors à brûler. Ils hurlaient de douleur. L'odeur de la chair brûlée attaqua les narines de la petite fille, toujours incapable de bouger…


    Loreana se réveilla, en sueur. Le réveil indiquait 10 heures, et un rayon de soleil perçait légèrement les rideaux…
    Et max était toujours là, à en juger le bruit qui lui parvenait de la cuisine… Elle se leva, à moitié reposée seulement, et se dirigea vers la cuisine.

    LOREANA « Middle ! Je t’avais pourtant dit de partir dès que… »

    Elle s’arrêta, ébahie. Sur la table s’empilaient crêpes, pancakes, croissants et autres viennoiseries. Le tout était accompagné de jus d’orange et de thé. Un petit-déjeuner de roi. Et Max, assis, qui la regardait en souriant presque…

    LOREANA « Je suppose que je peux signer une trève… Pour aujourd’hui. »

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MessageSujet: Re: Pardonne moi Pardonne moi Icon_minitimeVen 6 Mar 2009 - 23:00

    Pardonne moi Chace-chace-crawford-3621336-100-100 Pardonne moi Thirte10
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    L’air frai lui trouait la peau. IL avait l’impression de se retrouver comme il y a environ une heure et demie alors qu’il était assis sur le rebord glacé de cette fenêtre de la tour des serdaigles. Il sentait même le vent venir lui mettre la chair de poule mais aussi lui vider la tête. La seule différence c’était qu’il était tout près de Loreana, à même pas deux mètres de son lit. Certes il n’avait pas le droit d’aller la rejoindre, pas le droit de la toucher, de lui faire l’amour, de lui caresser les cheveux ni même de la respirer, de la sentir mais qu’importe il se trouvait dans la même pièce qu’elle et si il ne pouvait pas la sentir il pouvait l’entendre. Rien que l’entendre bouger, l’entendre respirer le faisait sourire. Il n’avait jamais connu ça, il avait l’impression de s’envoler en sa présence. Oh peut-être que c’était des conneries, mais il n’avait jamais ressenti quelque chose de semblable avant, il se sentait ridicule mais en même temps si bien. Il y avait juste un petit point noir, si au moins elle lui pardonnait. La honte lui tenait encore le cœur mais au moins il était près d’elle. Il avait l’impression d’être un petit garçon devant un magnifique cadeau de noël, il se sentait ridicule mais si fier d’être là pourtant, de pouvoir dormir sur son canapé. L’endroit où elle s’asseyait souvent, où elle se couchait même. IL était sans doute imbibé de son odeur. Il allait peut-être pouvoir la respirer toute la nuit, il s’endormirait pour une fois comme un bébé. Comme un ange…Seulement, il restait un petit problème, il avait froid ainsi couché dans un short et un t-shert. L’appartement était chauffé un peu mais cela restait Poudlard et ces entourages froids et glacials. Si il ne voulait pas une pharyngite, il avait quand même intérêt à la déranger deux secondes. Il lui demanda alors une couverture. Loreana se leva en soupirant. Au moins, elle ne cachait pas sa mauvaise humeur et le fait qu’elle n’était pas heureuse de le voir ici mais ça, il s’en doutait. Elle alla dans une armoire au fond de la pièce et lui jeta la couverture à la figure. Quel caractère ! Maximilien eut un petit sourire et attrapa la chaude couverture et sen l’entoura autours du corps. IL observa discrètement Loreana enlever le peignoir et se remettre au lit. IL avait une furieuse envie de se mettre au lit à côté d’elle mais il devait rester là. Il se tourna alors encore et encore sans réussir à trouver le sommeil. Il finit par se redresser légèrement et son regard se posa sur la belle. Il faisait noir alors il ne voyait pas grand-chose mais il réussissait à distinguer ses formes qui se haussaient et se rabaissaient au rythme de sa respiration. Maximilien sentit son cœur s’accélérer, il la regardait encore et encore, elle avait l’air d’un ange ainsi endormi. Il finit par se re coucher, il ferma les yeux et s’endormit.

    Il faisait bien noir dans cette ruelle mais Maximilien n’en n’avait un peu rien à faire. Il continuait de marcher, d’avancer. Il avait l’habitude, c’était un jeu pour lui. Il repensa à cette fameuse nuit dehors avec Léo, la première fois qu’il avait goûté à la liberté, au risque et au danger ! Un sourire sur le visage, il savait bien qu’il risquait gros, ces mecs là n’étaient pas des tendres mais il avait choisi de jouer avec et de toute façon il n’avait jamais peur, jamais de rien du tout ! Il avait choisi de faire ce qu’il voulait mais il avait précisé qu’il pouvait arrêté à n’importe quel moment, quand il voulait. De tout façon il avait les moyens financiers pour le faire. Il réussissait à fuir de chez lui comme il voulait, ces parents s’en fichaient maintenant qu’il était plus grand et qu’il ne devait plus les accompagner aux réunions mondaines de plus il pouvait avoir de l’argent comme il le voulait donc si jamais il avait des dettes, elles seraient régler en un instant. Ce soir il avait décidé d’arrêter. IL allait changer de diller, celui-ci l’emmerdait de trop. Un peu trop ennuyant à son goût. IL préférait s’occuper de ça avec un de ses amis qu’il avait découverts une année plutôt environ et maintenant qu’il avait suffisamment confiance en lui, il préférait et de loin traiter affaire avec lui. Maximilien avançait dans la rue, la cigarette au bec, les mains dans les poches lorsqu’il se retrouva tout d’un coup contre le mur, un coude contre la gorge.

    THIERY_ « Parait que tu veux te barrer Middle ? »
    MAXIMILIEN_ « Ouai et alors ? Je t’avais déjà prévenu. Je me bars quand je veux, je te dois rien ! »
    En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire Maximilien reçu un coup dans le ventre. Il se courba sous la douleur mais se releva vite. Il avait l’habitude d’avoir mal, c’était presque un jeu pour lui. La douleur faisait partie de la vie alors quelques coups ne lui faisaient pas grand-chose, de plus il savait lui aussi se battre et très bien même. IL leva alors le poing mais il sentit une chose froide contre sa gorge : Thierry le moldu tenait un cutter dans la main !

    Maximilien se réveilla en sursaut. Le souffle cours il regarda autours de lui. Où était il. Il mit un certains temps à se rappeler les évènements de la veille : il se trouvait dans l’appartement dans son professeur de potion. Le cœur battant trop vite pour être heureux sur le moment, il tâcha d’essayer de reprendre son calme. IL avait eut peur pour la première fois de sa vie, il avait vraiment cru perdre la vie. On l’avait prévenu que Thierry était un vrai connard qui tenait à garder ses clients mais il avait joué. Heureusement qu’il avait réussi à glisser sa main dans sa poche et de balancer un expeliarmus à Thierry. Il avait par la suite réussi à lui jeter un oubliette et s’était enfuie en courrant. Heureusement qu’il gardait toujours sa baguette avec lui, depuis ce jour il ne la quittait plus. Il sursauta : sa baguette, il ne l’avait pas. IL jeta un coup d’œil à sa montre, elle indiquait neuf heures. Il avait le temps de chercher sa baguette et puis il pourrait peut-être préparer une surprise à sa belle, ça lui ferait oublier cet horrible cauchemar. Il se leva alors en vitesse et sortit de l’appartement discrètement. Il veilla bien à ne pas se faire attraper par le prof de métamorphose mais apparemment celui-ci avait abandonné son poste pour une nuit de sommeil. Maximilien fonça alors dans les tours. Heureux de constater que tout le monde dormait, il monta en haut, attrapa sa baguette qu’il avait laissée sous son oreiller et sortit en courant. Toujours au pas de course, il parcouru le château désert jusque devant un certain portrait. Il chatouilla la poire et pénétra dans les cuisines. Là il appela plusieurs elfes et leur demanda des croissants, pains au chocolats, éclaires, crêpes, pancakes, thé, cafés. Il les aida à tout préparer et d’un sort mit tout en lévitation. IL retourna alors cette fois-ci en marchant vers l’appartement de son professeur et s’occupa de mettre discrètement tout en place…Discrètement n’était pas tout à fait le cas vu qu’elle débarqua en trompa dans la cuisine. Maximilien se retourna en sursautant pour la troisième fois dans la journée. Il la regarda avec un mis sourire mais un sourire inquiet surtout il avait peur de sa réaction :


    LOREANA_ «Middle ! Je t’avais pourtant dit de partir dès que…Je suppose que je peux signer une trêve… Pour aujourd’hui. »

    Elle avait dit ça avec un sourire qui avait réchauffé le cœur de Maximilien en un instant. Il se sentait si bien tout d’un coup. Elle acceptait une trêve, peut-être qu’il allait pouvoir passer une matinée tranquille avec elle et peut-être même la journée mais il ne fallait pas qu’il rêve trop. Il s’approcha alors d’une chaise et la en arrière pour la présenter à son professeur de potion avec un grand sourire en s’inclinant légèrement. Et bien comme quoi on aura tout vu dans cette vie : Maximilien baisser la tête pour rien du tout, de la folie !

    MAXIMILIEN_ « Si Madame veut bien prendre sa place ! »

    Il lui fit un petit sourire amusé. Il voulait l’amuser, la faire rire, la faire sentir reine. Elle s’installa alors et Maximilien dans son short et t-shert de pyjama se dirigea vers les deux carafes de café et de thé. Il les lui présenta et dit alors :

    MAXIMILIEN_ « Que prendrez vous avec votre jus d’orange, thé, café ? »

    Il la vouvoyait pour la taquiner, pour lui montrer qu’aujourd’hui il n’était que son valet et elle la reine du samedi !

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Loreana Wilde
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MessageSujet: Re: Pardonne moi Pardonne moi Icon_minitimeSam 7 Mar 2009 - 0:12



    Encore et toujours ce cauchemar. Il revenait, périodiquement, inlassablement… Il revenait hanter les nuits de la jeune Wilde. Elle lui remettait en mémoire les cauchemars de son enfance, elle lui faisait repenser à ses parents, morts dans l’incendie de leur maison… C’était une manière fort désagréable et cruelle de se lever. Surtout que, et ce n’était pas négligeable, un des principaux personnages du rêve était… Lord Voldemort. Celui qui, deux cents ans plus tôt, faisait régner la terreur sur le monde sorcier. Un sorcier aux pouvoirs extraordinaires, d’après les livres qui traitaient de ce sujet. Un homme plus monstre qu’homme. Il était cruel, sans pitié, ambitieux… Et Loreana devait le subir sans même l’avoir connu. Dans ses cauchemars, il revenait inlassablement. A chaque fois, elle était terrifiée par l’aura qu’il dégageait… Une aura d’agressivité et de haine…

    Mais c’était fini. Haletante, transpirant, la nuisette collant à la peau, Loreana leva la tête vers son réveil. 10 heures. Elle soupira. Malgré son cauchemar, elle avait globalement bien dormi. En plus, c’était samedi, donc pas cours ! Génial elle pourrait prendre son temps.
    Hein ? C’était quoi, ce bruit ? On aurait dit un bruit de vaisselle… S’asseyant dans son lit, totalement décoiffée, Loreana se demanda ce qui avait bien pu causer pareil bruit. Puis son regard se posa sur une couverture roulée en boule sur le canapé. Tous les évènements de la veille lui revinrent en mémoire : Maximilien, le baiser manqué, Alexey, ils étaient coincés… Max était donc resté, malgré les ordres très clairs qu’elle lui avait donnés. Sans penser à remettre son peignoir, elle se dirigea vers sa cuisine pour engueuler son élève.

    LOREANA « Middle ! Je t’avais pourtant dit de partir dès que… »

    Pénétrant dans la cuisine, elle s’arrêta net. Sur sa table, habituellement peu garnie, s’empilaient pains au chocolat, éclairs, croissants, crêpes, pancakes et autres succulents mets ! Le tout, bien sûr, accompagné d’une myriade de boisons : jus divers, thé, café… La bouche ouverte, l’air ébahi (et un peu idiot), elle dirigea son regard vers Max, qui la regardait avec un sourire en coin. Non ! Il n’avait quand même pas… Si ? Et il n’avait même pas pris la peine de s’habiller… Rooh, incorrigible ! Mais tellement mignon ! Loreana se mordit la lèvre inférieure, puis répondit :

    LOREANA « Je suppose que je peux signer une trève… Pour aujourd’hui. »

    Elle lui sourit, et Max lui rendit son sourire. Il se recula d’un air humble avant de tirer une chaise.

    MAXIMILIEN «Si Madame veut bien prendre sa place ! »

    En un large sourire, Loreana rétorqua :

    LOREANA «Mon valet est un Middle ? J’en connais des tas qui tueraient pour ça… »

    Autre sourire. La journée s’annonçait bonne ! Maximilien, loin de rester inactif, s’en alla chercher deux carafes. La question était simple : thé ou café. Le choix, lui était plus difficile. Thé, ou café ? Elle décida, par un énorme effort de volonté, de choisir le café. Elle l’indiqua à Max, qui continua son petit jeu.
    Loreana mangea donc son petit-déjeuner dans la joie, pour changer. Maximilien n’arrêtait pas de faire le con, mais le regard qu’il laissait à sa prof en la regardant mangé n’avait pas échappé à Loreana. Mais elle décida de le lui accorder, pour aujourd’hui.

    Au bout d’une petite demi-heure, Loreana eut fini. Et Max commençait à manquer de plaisanteries pour la faire rire. Alors, elle lui dit qu’elle allait prendre une douche. Mais elle le regarda durement.

    LOREANA « Et c’est pas parce que je ne t’ai pas encore engueulé aujourd’hui que je ne peux pas le faire. La porte de la salle de bain restera close, évidemment. T’as qu’à jeter un œil à la bibliothèque »

    Elle jeta un regard inquisiteur à Max, comme pour lui confirmer : oui, c’était évident. Une fois ceci fait, elle fit volte-face, direction : salle de bain. D’un geste, elle ôta sa nuisette et alluma sa douche. Quoi de plus rafraîchissant qu’une bonne douche bien chaude un samedi matin ? Pas grand-chose. Surtout après une pareille nuit. Surtout avec un savon sorcier à la pêche…

    Après une douche d’un quart d’heure (au moins), elle s’habilla simplement d’un jean’s+T-shirt. Elle sortit de la salle de bain, fraîche et dispo, bien coiffée… Et de meilleure humeur (si c’était possible) que quelques minutes plus tôt. Elle se dirigea dans un premier temps vers la cuisine, qu’elle rangea d’un coup de baguette et en appelant deux-trois elfes de maison.
    Puis, direction sa bibliothèque personnelle. Elle trouva Max plongé dans un ouvrage sur les potions complexes. En un sourire en coin, elle vint s’asseoir à côté de lui.

    LOREANA « Tu sais, t’es pas obligé d’étudier le samedi matin… Et tu devrais penser à te changer… »

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MessageSujet: Re: Pardonne moi Pardonne moi Icon_minitimeDim 8 Mar 2009 - 18:59

    Pardonne moi Chace-chace-crawford-3621336-100-100 Pardonne moi Thirte10
    « J'ai senti en moi enfin léphemère, en toi
    l'impression d'un pradis sur terre.
    » Kyo


    Ce rêve ! Ce cauchemar ! IL n’arrivait pas à l’oublier, il lui tournait dans la tête comme une vieille ritournelle. C’était un souvenir, sans doute un des plus horribles qui lui restait. Oh il en avait fait des bêtise, combien de fois n’avait il pas risquer la vie mais cette fois-ci la mort l’avait frôlée et de trop près. Jamais il n’avait senti son cœur battre aussi vite. Jamais il n’avait eut autant peur. Ce n’était pas la peur du noir, mais un peur vital. IL avait vraiment cru que son sang arrêterait de couler, son cœur de battre, son corps de vivre. Il avait tremblé, il avait voulu hurler mais rien n’était sortit de sa bouche. Cette expérience était un de ses plus mauvais souvenir et personne à par Léo et Travis ne connaissait cette histoire. Ils étaient les seuls à courant à savoir pourquoi il tremblait encore la nuit dans ses rêves et surtout les seuls à pouvoir le rassurer. Qu’aurait il pu faire si il n’avait pas eut sa baguette, comment aurait il survécu si jamais ce bout de bois n’avait pas été avec lui ? C’était depuis ce moment là que cette baguette était devenue indispensable, depuis ce moment là qu’il ne la quittait pas, qu’elle était toujours en permanence dans sa poche, dans son pantalon, sous son oreiller. Partout, il lui trouvait une place où elle était à porter de main. Il pouvait toujours l’attraper et lancer un sort. Oh bien sûr tant qu’il le pouvait, il évitait de s’en servir, il préférait les mots et puis les poings et en dernier ressort la baguette sauf si son adversaire en avait une autre parce qu’il trouvait cela trop lâche mais cette fois là, dans cette ruelle sombre, il s’était retrouvé en face d’un moldu certes mais d’un assassin qui lui tenait un cutter sous la gorge. Il secoua sa tête en touchant sa baguette qu’il venait d’aller chercher. Rassuré de sentir sa présence près de lui, il la sortit de son pantalon et la pose sur le plan de travaille. Loreana ne risquait pas de la voir ni de le remarquer mais pour Maximilien c’était une marque de confiance qui voulait dire : « J’ai assez confiance en toi pour laisser ma baguette loin de moi. » C’était un peu ridicule parce qu’il était claire que Loreana n’allait pas l’attaquer mais pour Maximilien se séparer de sa baguette c’était un pas immense vers l’avant.

    Il sourit en pensant à ce qu’il faisait : préparer un magnifique petit déjeuné pour sa douce. Bon d’accord, il ne l’avait pas fait lui-même vu qu’il avait demandé beaucoup d’aide aux elfes de maison mais qu’importe, il avait dressé la table et sortit tout ce qui était chocolats, confiture, griller les tartines qu’il plaçait tranquillement sur la table dans le panier à côté de ceux des croissants et pain aux chocolats. Il s’amusa à faire une présentation en or en pliant les serviettes, plaçant les petites cuillères bien à côté des petites tasses tout mignonnes. Il sortit tous les jus du frigo et les plaça à côté. Il finit de poser la dernière assiette lorsqu’il entendu un froissement de draps : Loreana était réveillé. Il se mit alors soudainement à douté, après tout elle lui avait demandé de partir lorsqu’il se réveillerait et il était toujours là, à dix heure du matin et pire encore il était en pyjama, dans sa cuisine et ne s’était pas gêné pour tout sortir et faire comme si il était chez lui alors même si ça partait d’une bonne intention il était tout d’un coup pas très sûr que cela allait lui plaire mais de toute façon c’était bien trop tard pour faire marche arrière. En effet, une seconde plus tard, la porte de la cuisine s’ouvrit violement pour laisser place au professeur de potion que ne semblait tout d’un coup pas très ravie de le voir là. Elle poussa un cri en lui disant qu’il aurait du être dehors puis son regard de braise se déposa sur la table : elle se calma d’un coup et son visage prit une émotion joyeuse et lumineuse qui réjouit Maximilien. Elle s’approcha alors et lui dit qu’ils pourraient bien faire une trêve pour la matinée. Maximilien aux anges, avait enfin gagné une matinée tranquille avec elle. Maximilien s’approcha alors de la chaise et la tira en arrière pour qu’elle puisse s’asseoir :


    MAXIMILIEN_ « Si Madame veut bien prendre sa place ! »
    LOREANA_ « Mon valet est un Middle ? J’en connais des tas qui tueraient pour ça… »
    MAXIMILIEN_ « Ah oui…Mais à part vous personne ne le mérite vraiment ce valet »

    Il lui fit un grand sourire, accompagné d’un clin d’œil et il se dirigea vers les deux carafes un peu plus loin. Il la vouvoya à nouveau comme si il s’agissait d’une reine en lui proposant une des deux boissons. Après un moment d’hésitation, le professeur choisit du café et Maximilien s’empressa de la servir et puis s’en servit aussi. Le petit déjeuné put alors commencé. Maximilien continua de la servir comme une reine tout en mangeant et en discutant. IL n’arrêtait pas de plaisanter, de faire l’idiot pour la faire rire et heureusement tout marchait comme si des roulettes, elle semblait apprécier sa compagnie et il en était plus que ravi. Il ne pouvait cependant pas s’empêcher de la dévorer des yeux, elle était si belle ainsi souriante, joyeuse, rayonnante. IL se voyait déjà ici tous les matins à ses côtés, la regardant sourire, l’embrassant et non ! IL n’avait pas le droit de penser à tout cela, elle ne voulait pas de lui en tout cas pas pour l’instant et il ne devait pas non plus espérer trop après tout, elle était son professeur et les choses devraient peut-être rentrer dans l’ordre non ? Il priait pour que la réponse soit négative mais ce n’était pas à lui de décider. Oh lieux de continuer à se casser la tête, il continua de manger tout en plaisantant et au bout d’une petite demis heure, Loreana se leva. D’un coup de baguette magique, elle nettoya toute la cuisine et elle lui lança :

    LOREANA_ « Je vais à la douche ! »

    Et elle ajouta ensuite juste après comme un avertissement.

    LOREANA_ « Et c’est pas parce que je ne t’ai pas encore engueulé aujourd’hui que je ne peux pas le faire. La porte de la salle de bain restera close, évidemment. T’as qu’à jeter un œil à la bibliothèque. »
    MAXIMILIEN_ « ça marche. Merci ! »

    Il lui fit un grand sourire et il sortit de la cuisine à sa suite. Elle, tourna à droite et pénétra dans une pièce. Maximilien entendit les verrous se faire verrouiller et dans un petit sourire il retourna dans le salon qui servait aussi de chambre à coucher. Il s’approcha du lit de sa belle et comme si c’était automatique, il le fit. Il remit donc les draps, vérifia qu’il ne restait aucun plis et contempla son travaille, satisfait. Il n’avait jamais fait de lit avant, chez lui c’était toujours les domestiques qui le faisaient et dans le dortoir et bien lui et les autres garçons ne le faisaient jamais. Ils n’étaient pas adolescents pour rien après tout, ne pas faire le lire c’était beaucoup plus intéressant que de le faire mais pourtant, ce matin, Maximilien l’avait fait, juste pour faire plaisir à Loreana. Content de sa deuxième surprise, il se dirigea vers les bibliothèques qui ornaient les murs de la pièce et il se mit à regarder les titres des livres. Comme il s’y attendait, il y avait plein de livres de potions et de botaniques, quelques étagères remplies de romans et puis bizarrement des livres de médicomagie. Il fronça les sourcils se demandant ce que Loreana pouvait bien faire avec des livres sur cette matière mais il oublia rapidement le mystère en tombant sur un livre qui s’intitulait : « L’histoire de la création des plus grandes potions volume I ». Là, ce fut plus fort que lui, il attrapa le bouquin et sans plus attendre, posa ses fesses sur le sol et l’ouvrit en commençant à le lire. Il était fasciné par le livre qui retraçait toute l’histoire de sa potion. IL y était tellement plongé qu’il en oubliant le lieux où il était, avec qui il y était et pourquoi il y était. Mais il ne put l’oublier bien longtemps :

    LOREANA_ « Tu sais, t’es pas obligé d’étudier le samedi matin… Et tu devrais penser à te changer… »

    Maximilien sursauta vivement en entendant une voix derrière son dos. Il se retourna vivement et contempla Loreana qui le surplombait de toute sa hauteur dans son jeans et dans son t-shirt. Lui, était assis par terre, jambe croisée, perdu dans son livre et elle debout devant lui avec un sourire amusé de le voir ainsi un samedi matin plongé dans un bouquin. Elle semblait vraiment espiègle et moqueuse de le retrouver ainsi mais Maximilien ne s’en offusqua pas au contraire :

    MAXIMILIEN_ « Rien n’est plus confortable qu’un pyjama. Quant au livre, je suis désolé, je n’ai pas pu m’empêcher de le commencer…Je ne suis pas un serdaigle pour rien après tout ! »

    IL se redressa alors vivement tenant toujours le livre ouvert à la page où il s’était arrêté. IL regarda Loreana dans les yeux et lui demanda avec un sourire suppliant, des yeux pétillant. Il avait la tête du Maximilien à qui l’on ne pouvait rien résister :

    MAXIMILIEN_ « Je…S’il te plait, laisse moi le lire encore un peu. Tout du moins laisse moi finir l’histoire de cette potion…Allez s’il te plait, s’il te plait, s’il te plait ! »

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MessageSujet: Re: Pardonne moi Pardonne moi Icon_minitimeVen 13 Mar 2009 - 22:53



    LOREANA «Mon valet est un Middle ? J’en connais des tas qui tueraient pour ça… »
    MAXIMILIEN « Ah oui…Mais à part vous personne ne le mérite vraiment ce valet. »

    Grand sourire. La journée s’annonçait bonne ! Maximilien, loin de rester inactif, s’en alla chercher deux carafes. La question était simple : thé ou café. Le choix, lui était plus difficile. Thé, ou café ? Elle décida, par un énorme effort de volonté, de choisir le café. Elle l’indiqua à Max, qui continua son petit jeu.
    Loreana mangea donc son petit-déjeuner dans la joie, pour changer. Maximilien n’arrêtait pas de faire le con, mais le regard qu’il laissait à sa prof en la regardant mangé n’avait pas échappé à Loreana. Mais elle décida de le lui accorder, pour aujourd’hui.

    Au bout d’une petite demi-heure, Loreana eut fini. Et Max commençait à manquer de plaisanteries pour la faire rire. Alors, elle lui dit qu’elle allait prendre une douche. Mais elle le regarda durement.

    LOREANA « Et c’est pas parce que je ne t’ai pas encore engueulé aujourd’hui que je ne peux pas le faire. La porte de la salle de bain restera close, évidemment. T’as qu’à jeter un œil à la bibliothèque »

    Elle jeta un regard inquisiteur à Max, comme pour lui confirmer : oui, c’était évident. Une fois ceci fait, elle fit volte-face, direction : salle de bain. D’un geste, elle ôta sa nuisette et alluma sa douche. Quoi de plus rafraîchissant qu’une bonne douche bien chaude un samedi matin ? Pas grand-chose. Surtout après une pareille nuit. Surtout avec un savon sorcier à la pêche…

    Après une douche d’un quart d’heure (au moins), elle s’habilla simplement d’un jean’s+T-shirt. Elle sortit de la salle de bain, fraîche et dispo, bien coiffée… Et de meilleure humeur (si c’était possible) que quelques minutes plus tôt. Elle se dirigea dans un premier temps vers la cuisine, qu’elle rangea d’un coup de baguette et en appelant deux-trois elfes de maison.
    Puis, direction sa bibliothèque personnelle. Elle trouva Max plongé dans un ouvrage sur les potions complexes. En un sourire en coin, elle vint s’asseoir à côté de lui.

    LOREANA « Tu sais, t’es pas obligé d’étudier le samedi matin… Et tu devrais penser à te changer… »
    MAXIMILIEN « Rien n’est plus confortable qu’un pyjama. Quant au livre, je suis désolé, je n’ai pas pu m’empêcher de le commencer…Je ne suis pas un serdaigle pour rien après tout !
    »


    Ça, c’était une certitude. Mais attention ! N’allez pas en conclure que tous les Serdaigle passaient leur vie dans des bouquins, ce serait une grosse erreur !

    MAXIMILIEN «Je…S’il te plait, laisse moi le lire encore un peu. Tout du moins laisse moi finir l’histoire de cette potion…Allez s’il te plait, s’il te plait, s’il te plait ! »

    Loreana regarda son élève droit dans les yeux, en se mordant la lèvre inférieure. Comment vouliez-vous qu’elle résiste à cet air de chien battu, à ces yeux pleins d’étoiles… Elle lui sourit, signe de son accord. Quant à elle, elle avait quelques devoirs à corriger… Les devoirs de potions d’une certaine classe de sixième, mélange de Poufsouffle et Serdaigle… Elle se retourna lentement, tournant le dos à Max, pour se diriger vers son bureau.
    Mais, soudain, elle se retourna, posa ses mains sur les joues du jeune Serdaigle, approcha son visage… Et posa ses lèvres sur celles de son élève. Profitant de la surprise du jeune homme, qui avait lâché le bouquin, Loreana força de sa langue le barrage de ses lèvres, et vint bien vite caresser la langue du jeune homme de la sienne.
    Le baiser fut bref mais passionné. Quand Loreana se dégagea, elle regarda son élève avec un air faussement désolé.

    LOREANA « Dé… Désolée. Je sais pas ce qui m’a pris, je… J’en avais envie. »

    Elle n’osait croiser son regard, gênée par ce qu’elle venait de faire.

    LOREANA « Dé… Désolée. Je sais pas ce qui m’a pris, je… J’en avais envie. »

    D’un air gêné, elle leva le regard et se racla la gorge.

    LOREANA « Bien… Heu… Tu peux continuer à lire, j’ai des corrections à faire. Puisque tu comptes rester, t’as qu’à manger ici à midi… »

    Puis elle se retira, à petits pas, le visage d’une couleur proche du rouge pivoine. Elle s’installa à son bureau, sortit une plume, une pile de parchemins… Et commença à lire.

    « Le Felix Felicis, aussi appelé… »

    Deux heures plus tard, rien n’avait bougé. Loreana avait terminé la correction des devoirs d’une classe, et Maximilien n’avait pas réapparu. Quand elle jeta un coup d’œil à sa montre, Lor’ retint un soupir. Déjà deux heures… Il était plus que temps de manger. Elle appela Max et ses elfes de maison…

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Caractère: Sincère, honnête, fou, motivé, drôle, beau parleur, inteligent, charmeur, loyal, passioné, passionant, têtu, bien élevé, révolutionnaire, débrouillard, autonome, sarcastique, protecteur, volontaire, amusant, sportif, classe, patient, franc, écrivain, artiste! etc

MessageSujet: Re: Pardonne moi Pardonne moi Icon_minitimeSam 14 Mar 2009 - 0:33

    Pardonne moi Chace-chace-crawford-3621336-100-100 Pardonne moi Thirte10
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    « La Cura Caputis fut bien longtemps l’une des seules potion existante contre le mal de tête. Très chère, peut de gens pouvaient s’en procurer, elle n’étaient destinée qu’aux riches et au plus souffrant. Petit à petit avec l’invention d’autre potion, sa place sur le marchée se fit plus grande, plus répandue et surtout moins expansive.
    Rowald James, maître des potions très connue au XVII ème siècle fut l’inventeur de cette potion lumière qui aida bien des gens. On dit qu’il passa trois nuits et trois jours dans son laboratoire avant de sortir en pleine rue, en courant et hurlant « J’ai trouvé, j’ai trouvé ». Il venait de trouver les ingrédients, ne lui restait plus qu’à trouver la bonne quantités, l’ordre, les accompagnements et les tours, les heures mais il avait la base de sa formule après de longs calculs et de longs essaies. Il passa encore près de deux mois sans sortir de son château, on raconte même que les habitants du village s’inquiétèrent longuement de ses absences mais un jour, il sortit avec une fiole qu’il se mit à distribuer. Malheureusement le pouvoir royal posa vite la main sur l’affaire, décrétant que les ingrédients qu’utilisait Rowald étaient bien trop chers et bien trop rare pour les utiliser ainsi, ce qui était vrai. Ainsi donc Rowald fut contrait d’abandonner sa potion sauveuse, ne pouvant plus payer le prix exorbitant des ingrédients qui étaient vendus à cette époque uniquement par le roi. Il finit par vendre sa formule et laisser cette potion entre les mains des nobles qui marchaient tant sur les gens avec qui malgré sa célébrité, il vivait quotidiennement.
    La cura caputis, tire son nom du latin et signifie « le soin de la tête ». C’est un nom un peu bateau, Rowald lui-même le disait mais il avait le mérite d’énoncer clairement l’utilité de la potion. Elle fonctionnait très bien pour toutes migraine, qui dévastaient beaucoup les paysans de l’époque, pour tous les maux de tête.
    Mais passons donc à la fameuse découverte de ces ingrédient. »


    LOREANA_ « Tu sais, t’es pas obligé d’étudier le samedi matin… Et tu devrais penser à te changer…»

    Maximilien sursauta et se retourna subitement. Loreana qui venait apparemment de sortir de la douche, venait de l’interrompre dans sa lecture en lui parlant doucement. Il était tellement plongé dans ce bouquin fascinant qu’il ne l’avait ni entendu, ni vu, ni sentit arrivé et pourtant le savon pêche qu’elle avait utilisé sentait si bon et si fort qu’il venait chatouiller les petites narines de Maximilien qui avait une furieuse envie de glisser son nez dans le coup de son professeur mais il ne pouvait pas. Il se contenta donc de décroissant les jambes et en levant ses petites fesses pour se mettre enfin debout. Il la regarda alors avec un grand sourire, ce qu’elle était belle dans cette tenue, très simple en fait, mais même là de dans, elle était la plus belle, la plus douce, la plus magnifique, la plus parfaite…Maximilien commença donc par lui dire qu’il ne s’était jamais sentit aussi bien que dans un pyjama, qu’il était désolé, qu’il n’avait pu s’empêcher de prendre un livre et qu’après tout il n’était pas un serdaigle pour rien ce qui était vrai même si tous les serdaigles n’étaient pas particulièrement studieux, Maximilien avait la caractéristique de l’être et surtout en potion. Il jeta un coup d’œil à sa montre et un stress l’envahit : il allait devoir quitter les appartements de sa douce et il n’en n’avait vraiment pas envie. Il voulait rester avec elle, il voulait continuer à lire, il voulait encore manger avec elle, passer du temps avec elle et continuer à se renseigner sur les potions, apprendre à la connaître. Bref il ne voulait pas partir. IL prit alors son plus bel air, sa petite bouille d’ange avec les yeux brillants, étoilés et passionnés. IL joignit les deux mains comme en prière et se mit alors à la supplier :

    MAXIMILIEN_ « Je…S’il te plait, laisse moi le lire encore un peu. Tout du moins laisse moi finir l’histoire de cette potion…Allez s’il te plait, s’il te plait, s’il te plait ! »

    Loreana lui fit un grand sourire et baissa la tête : elle était d’accord. Maximilien cru qu’il allait sauter au plafond de joie. IL allait rester ici, à lire, il allait rester à ses côtés, il pourrait continuer à sentir sa douce odeur. Il avait l’impression de s’envoler. Joie ! En plus, ce qui lui fit encore plus plaisir, c’était qu’elle n’avait su résister à ses yeux de chien battus, c’était qu’il y avait quelque chose entre eux, non ? Il voulu alors se replonger dans son livre tandis que la jolie brunette lui tournait le dos pour partir lorsque tout d’un coup il sentit une main toute douce se poser sur sa joue. Il releva alors doucement la tête et il tomba les yeux les premiers dans ceux de son professeur et sans qu’il pusse faire le moindre mouvement, elle colla ses lèvres aux siennes. Maximilien surpris, se laissa faire sans réagir lorsqu’une langue s’insinua dans sa bouche. Automatiquement, il posa ses mains sur les hanches de la belle et se mit à répondre au baiser mais ce fut bien cours ! Comme si elle se rendait enfin compte de ce qu’elle faisait, Loreana se détacha de lui, le repoussant un peu. Elle était rouge comme une pivoine et semblait assez gênée de son geste. Maximilien, lui, était encore totalement surpris mais aussi totalement la tête dans les nuages :

    LOREANA_ « Dé… Désolée. Je sais pas ce qui m’a pris, je… J’en avais envie. »
    MAXIMILIEN_ « Je…Heu…C’est pas grave ! »
    LOREANA_ « Bien… Heu… Tu peux continuer à lire, j’ai des corrections à faire. Puisque tu comptes rester, t’as qu’à manger ici à midi… »

    L’idiot ! IL n’avait même pas eut le temps de dire autre chose qu’elle avait déjà quitté la pièce d’un pas rapide. Maximilien se sentait bête. L’idiot ! IL aurait pu dire autre chose, la rassurer, agir ! Mais non, au lieu de cela, il était resté debout comme un scrout à pétard qu’on aurait retiré de son habitat habituel ! IL avait honte ! Non pas qu’il n’avait pas apprécié le baiser bien au contraire le contact des lèvres de Loreana sur les siennes le rendait dingues et il n’avait qu’une envie c’était lui courir après pour l’embrasser mais juste qu’il aurait pu lui dire autre chose ou alors la ré embrasser tout de suite maintenant c’était un peu trop tard et puis il ne fallait pas précipiter les choses. IL finit par se ré asseoir à grand regret et il se remit à lire. Il était captivé par les potions mais la scène du baiser lui revenait toujours en tête si bien qu’il du relire plusieurs fois certains passages pour bien comprendre, il finit par se retrouver plonger dans le livre…Les minutes passèrent et les heures aussi jusqu’à ce que :

    LOREANA_ « Maximilien, viens, on mange ! »

    Le jeune blond sursauta, décidément c’était sa journée ! Il jeta un coup d’œil à sa montre : déjà deux heure ! Pas étonnant qu’il avait faim. Ravi, il se releva alors en prenant bien soin de remettre le livre à sa place. Il avança alors vers la cuisine, il y trouva sa douce déjà assise à table devant une des casseroles :

    MAXIMILIEN_ « Hum…ça sent bon, qu’est ce qu’on mange ? TU veux que je te serve »

    Après sa réponse, Maximilien attrapa l’assiette de son professeur et la servit tranquillement avant d’en faire autant avec la sienne. IL s’installa alors en face d’elle et commença à manger. IL y avait un petit silence gêné et Max décida qu’il était tant de le rompre :

    MAXIMILIEN_ « Je peux te poser une question ? »

    Il reçu alors enfin l’approbation :

    MAXIMILIEN_ « Pourquoi tu as autant de livres de médicomagie ? »

    IL avait demandé ça avec son petit air d’enfant innocent au quel personne ne pouvait résister…


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Loreana Wilde
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MessageSujet: Re: Pardonne moi Pardonne moi Icon_minitimeDim 15 Mar 2009 - 11:53



    LOREANA « Tu sais, t’es pas obligé d’étudier le samedi matin… Et tu devrais penser à te changer… »
    MAXIMILIEN « Rien n’est plus confortable qu’un pyjama. Quant au livre, je suis désolé, je n’ai pas pu m’empêcher de le commencer…Je ne suis pas un serdaigle pour rien après tout ! »

    Un sourire en coin apparut sur le doux visage de Loreana. L’attitude que venait d’avoir Max lui rappelait… Elle, à la même époque. Toujours plongée dans un livre… Insouciante et heureuse. Aah, qu’est-ce qu’elle ne donnerait pas pour retrouver ses seize ans…Et toute sa joie de vivre. Car, même si elle le cachait, aujourd’hui, elle avait des mauvaises passes, comme on dit. Mais elle n’eut pas l’occasion de pousser plus loin ses pensées.

    MAXIMILIEN « Je…S’il te plait, laisse moi le lire encore un peu. Tout du moins laisse moi finir l’histoire de cette potion…Allez s’il te plait, s’il te plait, s’il te plait ! »

    Aargh ! Pas le regard du chien battu ! Comment voulez-vous y résister ? C’était… Tout bonnement impossible. Alors, Loreana céda. Elle sourit, signe de son accord. Maximilien semblait ravi, rayonnant. Tous les livres de sa bibliothèque personnelle s’ouvraient au jeune Serdaigle. Autant dire que la plupart étaient d’un niveau trop avancé pour se trouver dans la bibliothèque, et que d’autres… Avaient tout simplement été interdits de la bibliothèque. Une aubaine monstrueuse pour quelqu’un qui aimait lire… Surtout qu’en tant que professeur de potions, Loreana ne possédait pas seulement des livres de potions, mais aussi de métamorphose, de sortilèges… Et de médicomagie. Ça pouvait sembler bizarre… Mais c’était normal.
    A ce moment précis, à cet instant, alors que Maximilien observait avec un air ravi tous les livres, Loreana fut prise d’une envie. Une envie irrésistible. Irrépressible. Honnêtement, Loreana ne fit rien, mais rien du tout pour la refouler.
    D’un geste, d’un seul, rapide mais doux, elle posa une main sur la joue de son élève. Elle s’approcha de son visage et, en quelques secondes, elle posa ses lèvres sur celles de son élève. Profitant de la surprise du jeune homme, Loreana força le barrage de ses lèvres et caressa sa langue de la sienne. Maximilien posa ses mains sur ses hanches… Et ce fut le geste de trop. Loreana se rendit compte de ce qu’elle faisait. Elle le repoussa doucement et s’écarta. Rouge comme une pivoine, elle ne parvint qu’à balbutier quelques mots :

    LOREANA « Dé… Désolée. Je sais pas ce qui m’a pris, je… J’en avais envie. »
    MAXIMILIEN « Je…Heu…C’est pas grave ! »
    LOREANA « Bien… Heu… Tu peux continuer à lire, j’ai des corrections à faire. Puisque tu comptes rester, t’as qu’à manger ici à midi… »

    A ces mots, Loreana fit volte-face et quitta la pièce, direction : son bureau. Elle avait encore quelques devoirs à corriger… Ceux d’une certaine classe avec un certain Serdaigle qui était en ce moment-même en pyjama et qui lisait un livre sur les potions complexes.
    S’asseyant, elle saisit sa plume et s’empara de la première copie de la pile…

    Deux heures plus tard, Loreana jeta un bref coup d’œil à sa montre. Deux heures. Déjà. Pas étonnant que son ventre criait famine ! Elle se leva et se dirigea vers la cuisine, où elle appela son elfe de maison. Avec une voix très douce, elle lui demanda de concocter un délicieux petit plat, peu importait quoi. L’elfe eu un large sourire avant de retourner en cuisine. Quelques minutes plus tard, le voilà qui revenait avec une grande casserole, remplie de spaghettis à la carbonara, aux dires du petit elfe. A vrai dire, chaque fois que la jeune femme lui donnait quartier libre dans le choix d’un repas, l’Elfe choisissait des carbonara. Choix curieux, et un jour, alors que la prof de potions lui en avait demandé la raison, l’Elfe avait répondu qu’il appartenait à la base à une famille italienne, et que c’était le plat préféré de son ancienne maîtresse. De plus, il adorait casser des œufs. En un grand sourire, Lor’ le remercia et appela Max.
    Ce dernier, toujours en pyjama, déboula l’air de rien, comme s’il avait déjà oublié le baiser qu’elle lui avait donné. Maximilien lui demandait ce qu’on mangeait et s’il pouvait la servir. Elle se contenta d’acquiescer en silence. Silence qui se prolongea durant le repas. Un silence lourd, gênant. Mais Max le brisa enfin.

    MAXIMILIEN « Je peux te poser une question ? »

    Elle aurait voulu répondre « c’est ce que tu viens de faire, mais tu peux recommencer », mais se contenta une fois de plus de hocher la tête.

    MAXIMILIEN «Pourquoi tu as autant de livres de médicomagie ? »

    Le demi-sourire sur son visage disparut. Son regard se perdit sur le mur opposé, vide. En un coup, de très désagréables souvenirs refaisaient surface.

    FLASH BACK


    Alors que le rythme cardiaque du patient diminuait d’une manière plus qu’alarmante, celui de Loreana ne faisait qu’accélérer. Elle respirait vite, beaucoup trop vite. Ses mains pleines de sang étaient inutilement levées. En pleine panique, elle se tourna vers la jeune femme à côté d’elle.


    JEUNE FEMME « Loreana ! Fais quelque chose ! »
    LOREANA « Mais quoi ? »
    JEUNE FEMME « N’importe quoi ! On va le perdre, sinon ! »
    LOREANA « Je me calme, je respire. C’est une rupture d’anévrisme, je connais la procédure… »
    JEUNE FEMME « Alors vas-y ! »

    Oui, elle connaissait la procédure. Mais pour une raison qui lui était inconnue, elle était paralysée, elle n’osait plus bouger. Elle regardait l’homme mourir. Sans réagir. Elle n’y arrivait pas, c’était plus fort qu’elle. Mais bon sang, pourquoi ? Pourquoi ne saisit-elle pas sa baguette ? Pourquoi restait-elle là, sans bouger, le regard catastrophé ? Elle pouvait sauver cet homme. Elle savait comment faire… Trop tard. L’homme avait cessé de respirer.

    FIN DU FLASH BACK


    Elle recommença à bouger. Elle tourna son regard vers Max, hésitant à répondre. Après tout, cet élément faisait partie intégrante de sa vie privée, de ses souvenirs… Et Max n’avait pas à le savoir. Pourtant, quelque chose en elle la poussait à lui raconter. A parler de ce don elle n’avait plus parlé depuis des années.

    LOREANA « J’ai fait des études en médicomagie, avant de devenir prof à Poudlard. Je voulais être infirmière à Ste-Mangouste. Mais, un jour, durant un stage… Un patient a fait une rupture d’anévrisme, là, sous mes yeux. Je savais ce qu’il fallait faire, j’aurais pu sauver cet homme… Mais j’en ai été incapable. Je suis restée comme paralysée, j’avais peur de bouger… Et il est mort. Après ça, j’ai quitté l’hôpital. Et je suis venue enseigner ici… Mange tant que c’est chaud. »

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MessageSujet: Re: Pardonne moi Pardonne moi Icon_minitimeDim 15 Mar 2009 - 13:34

    Pardonne moi Chace-chace-crawford-3621336-100-100 Pardonne moi Thirte10
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    C’était des pâtes. Les pâtes c’était toujours très simple mais excessivement délicieux surtout les carbonaras italiennes. Il adorait ça, l’odeur qui s’échappait de la marmite qu’il venait d’ouvrir lui mettait l’eau à la bouche. Il avait très faim en plus tout ce temps passé assis par terre jambe croisé, l’estomac recroquevillé l’avait empêché de sentir cette faim douloureuse mais une fois debout il l’avait fortement entendu si il en croyait le grognement de son estomacs qui s’était échappé quelques minutes plus tôt lorsqu’il était seul dans le salon. Là l’odeur lui donnait encore plus faim comme si il allait mourir si il ne prenait pas une boucher de ce fabuleux repas immédiatement. Il attrapa alors tout souriant le plat de Loreana et entreprit de la servir généreusement. Il était pas question qu’elle lui sorte un truc style « je fais régime », Maximilien n’aimait pas les femme super minces qui prenaient plaisir à se détruire la santé pour perdre encore quelques kilogrammes. Si jamais quelque chose se construisait entre eux amour ou autre, Maximilien se promit de veiller à ce que jamais elle ne fasse régime. IL préférerait la voir avec quelques kilo en trop que quelques kilo en moins. Il la servit donc une quantité exponentielle de pâte. Il finit par déposer théâtralement l’assiette devant la belle en s’inclinant juste avant d’attraper sa propre assiette et de se servir tout aussi généreusement. Maximilien n’était pas de ses garçons qui avaient peur de manger, lui au contraire mangeait à sa faim et trouvait toutes ces conventions sociales de minceurs totalement grotesque. Il s’installa enfin en face de Loreana et commença à manger. Il goûta avec grand plaisir aux délices de cette cuisine. Au bout de plusieurs bouchers, il leva la tête et dit d’un air gêné :

    MAXIMILIEN_ « C’est vraiment bon ! Tu sais que chez moi, on ne mangeait jamais de pâtes. Mes parents, les idiots, disaient que c’était les plats des pauvres alors ils ne voulaient pas qu’on en mange sauf si c’était accompagné de divers trucs qui faisaient plus riches d’après eux ! Mais moi j'aime beaucoup trop ces plats de pâtes simples. »

    Maximilien soupira tout en continuant de manger. Elisa lui faisait souvent des pâtes quand ses parents n’étaient pas là. Elle faisait des spaghettis, des carbonaras, des pâtes aux légumes bref tout ce qu’elle pouvait et même parfois simplement au beurre, Maximilien adorait ça. Mais il devait toujours mentir à ses parents en disant qu’il avait mangé autres choses. Ses parents étaient non seulement vraiment riches mais snob jusqu’au bout même dans la nourriture ils considéraient que certaines plats n’étaient pas assez bon pour leur famille privant ainsi leurs enfants de toutes joies gustatives. Maximilien ne supportait pas ces idées bourgeoises et il avait rapidement appris à sortir pour aller chercher un paquet de frittes un peu plus loin où Léo son meilleur ami l’attendait. Bref, il cessa de repenser à ces idioties et continua de manger tandis qu’un silence lourd s’installait petit à petit. Ils étaient tous deux un peu gêné par le baiser échangé tout à l’heure et finalement Maximilien décida qu’il était temps de rompre ce silence qui n’avait pas lieux d’être. Pour une fois qu’ils étaient ensembles sans contraintes, il fallait en profiter et pas gâcher ce merveilleux moment par un mal aise quelconque justifié ou pas.

    MAXIMILIEN_ « Je peux te poser une question ?... Pourquoi tu as autant de livres de médicomagie ? »

    Tout d’un coup le silence devint encore plus pesant. Le sourire que Loreana affichait encore s’effaça en un clin d’œil laissant penser à Maximilien qu’il avait commis une grave erreur. IL n’aurait pas du l’embêté avec ça, vu la tête qu’elle affichait cela devait lui rappeler un souvenir très douloureux. Maximilien ouvrit alors la bouche pour changer de sujet, il devait rattraper son erreur mais elle le devança et parla alors longuement comme un robot :

    LOREANA_ « J’ai fait des études en médicomagie, avant de devenir prof à Poudlard. Je voulais être infirmière à Ste Mangouste. Mais, un jour, durant un stage… Un patient a fait une rupture d’anévrisme, là, sous mes yeux. Je savais ce qu’il fallait faire, j’aurais pu sauver cet homme… Mais j’en ai été incapable. Je suis restée comme paralysée, j’avais peur de bouger… Et il est mort. Après ça, j’ai quitté l’hôpital. Et je suis venue enseigner ici… Mange tant que c’est chaud. »

    Maximilien se sentit tout d’un coup très gêné. Pas particulièrement à cause de ce que Loreana lui avait dis mais plutôt par la preuve de confiance qu’elle lui avait donné en lui racontant cet épisode de son passé très douloureux et qu’elle semblait fortement regretté. Bien sûr, en deuxième plan, il ne savait pas trop quoi lui répondre mais il n’était pas un Middle pour rien. Elle avait beau essayer de dissiper son mal aise et lui ordonnant de manger comme l’aurait fait une mère, Maximilien le sentit toujours bien présent et il se devait de le faire passer. Il voulait lui montrer aussi que quoi qu’elle ait fait ça ne changerait rien à son attitude, pour ne pas dire son amour, envers elle.

    MAXIMILIEN_ « Tu sais…ce n’était pas de ta faute, c’est extrêmement difficile de réagir dans des cas d’urgence. On ne t’avait pas assez bien préparé…Sinon dis moi qu’est ce que tu aime faire à part des potions, racontes moi un peu…Tu aime jouer au échec, monter à cheval, le quidditch, est ce que tu aimes nager ? Dis moi, s’il te plait j’aimerai savoir, te connaître mieux ! »


C’était un peu risquer comme question parce qu’après tout peut-être qu’il s’approchait un peu trop près de la limite mais il voulait entendre sa voix, en savoir plus sur elle encore et encore !

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MessageSujet: Re: Pardonne moi Pardonne moi Icon_minitimeMar 17 Mar 2009 - 21:41


    MAXIMILIEN «Pourquoi tu as autant de livres de médicomagie ? »

    Arf. That’s THE question. Ze question, que Lor’ aurait préféré ne pas entendre. Et elle aurait préféré ne pas répondre. Mais sa réponse fusa, sans qu’elle ne puisse contrôler ses paroles. Tout ça parce qu’elle s’était laissée submerger par ce souvenir, qu’elle aurait préféré oublier. C’était son jardin secret, son Waterloo… Et elle, elle l’ouvrait au premier venu… Enfin, pas vraiment. Max n’était pas le premier venu. Plus maintenant. Depuis le début de l’année, les choses avaient pas mal changé. Il faut dire qu’ils s’étaient embrassés à plusieurs reprises et que, non négligeable, ils avaient quand même… Couché, pour reprendre l’expression favorite du Serdaigle. Mais bon sang, qu’est-ce qui lui avait pris ?! Elle leva son regard vers Max, qui la regardait fixement, attendant une réponse. Loreana soupira bruyamment et répondit, d’une traite, sans pose.

    LOREANA « J’ai fait des études en médicomagie, avant de devenir prof à Poudlard. Je voulais être infirmière à Ste-Mangouste. Mais, un jour, durant un stage… Un patient a fait une rupture d’anévrisme, là, sous mes yeux. Je savais ce qu’il fallait faire, j’aurais pu sauver cet homme… Mais j’en ai été incapable. Je suis restée comme paralysée, j’avais peur de bouger… Et il est mort. Après ça, j’ai quitté l’hôpital. Et je suis venue enseigner ici… Mange tant que c’est chaud. »

    La dernière phrase était là pour dissimuler le malaise qui s’était installé. Mais force était de constater que Max n’était pas dupe… Celui-ci avala une bouchée en silence, alors que la jeune prof regardait par la fenêtre.

    MAXIMILIEN « Tu sais…ce n’était pas de ta faute, c’est extrêmement difficile de réagir dans des cas d’urgence. On ne t’avait pas assez bien préparé…Sinon dis moi qu’est ce que tu aime faire à part des potions, racontes moi un peu…Tu aime jouer au échec, monter à cheval, le quidditch, est ce que tu aimes nager ? Dis-moi, s’il te plait j’aimerai savoir, te connaître mieux ! »

    D’un coup, un léger sourire revint hanter les douces lèvres de la prof de potions. Le léger sourire s’agrandit en voyant l’air inquiet de Max, qui craignait visiblement d’être allé trop loin. Et ce sourire se changea à son tour en un rire franc. Devant l’air visiblement étonné de Max, Loreana se calma, puis s’expliqua.

    LOREANA « C’est marrant, l’espace d’une instant, on aurait dit un ado à son premier rendez-vous ! Genre la technique de drague pourrie ! »

    Et elle rit de plus belle, devant l’air vexé qu’afficha le jeune Serdaigle. Et elle se remit à manger. Sans répondre à la question de Maximilien. Pas tout de suite. Toujours se faire désirer ! C’était une règle d’or de la séduction… Euh, attends, là… Séduction ?! Mais c’était quoi ce bordel ? Et depuis quand une prof jouait le jeu de la séduction avec un élève ?

    LOREANA « Alors… Si tu veux tout savoir, mon nom complet est Loreana Candice Diana Nathaly Wilde. Je suis née le 18 octobre 2184. Je joue au tennis. »

    Elle jeta un regard à Maximilien, qui semblait enregistrer tout ce qu’elle lui disait, et avait même l’air plus attentif qu’en plein cours !

    LOREANA « En ce qu’il s’agit du reste, j’adore nager, j’ai hérité d’une ferme et d’un manège, donc je monte à cheval. A vrai dire, j’adore les chevaux, et les moments que je passe avec eux –seulement l’été, malheureusement. Sinon, à la ferme j’ai deux faucons, et un chien. D’ailleurs, j’vais bientôt avoir une jeune chienne ici. A part ça, je joue aux échecs et aux dames, j’écoute du rock sorcier, et j’ai aussi un petit faible pour un compositeur moldu, un certain Mozart. Quant au Quidditch, je préfère le regarder plutôt que d’y jouer… Et j’ai lu au moins une fois chaque livre de la bibliothèque… Et de la réserve. J’ai été préfète puis préfète-en-chef. »

    Elle lui sourit, puis se remit à manger.

    LOREANA « Bon, voilà. Si t’as d’autres questions, hésite pas. Par contre en échange, tu vas me parler de toi… Sans secrets ! »

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MessageSujet: Re: Pardonne moi Pardonne moi Icon_minitimeMar 17 Mar 2009 - 22:42

    Pardonne moi Chace-chace-crawford-3621336-100-100 Pardonne moi Thirte10
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    MAXIMILIEN_ « Tu sais…ce n’était pas de ta faute, c’est extrêmement difficile de réagir dans des cas d’urgence. On ne t’avait pas assez bien préparé…Sinon dis moi qu’est ce que tu aime faire à part des potions, racontes moi un peu…Tu aime jouer au échec, monter à cheval, le quidditch, est ce que tu aimes nager ? Dis-moi, s’il te plait j’aimerai savoir, te connaître mieux ! »

    Maximilien se mit tout d’un coup à stresser. Avait il été trop loin, s’était il approché d’un peu trop près du domaine privé de Loreana, de la limite qu’elle lui avait imposé à son arrivée et qu’il avait déjà franchi plusieurs fois en restant dormir, en préparant un petit déjeuner, en restant libre, en déjeunant avec elle ce midi et en lui parlant des livres de médicomagie alors peut-être que la question sur ce qu’elle aimait, ce qu’elle appréciait, ce qu’elle faisait, quels étaient ses hobbies. Il craignait qu’emporter par la réponse personnelle qu’elle lui avait offerte, il ne s’était risqué à s’aventurer un petit peu trop loin ce qui aurait des conséquences désastreuses. Elle pourrait se fâcher et ainsi rajouter encore de l’espace entre eux alors que le fossé était déjà énorme et pour rien au monde Maximilien ne voulait qu’il s’agrandisse au contraire, il préférait le rapetisser, ce serait beaucoup plus facile. IL ne voulait pas s’éloigner d’elle et il vivait les secondes les plus stressantes de sa vie à attendre qu’elle lui réponde qu’elle crie où qu’elle l’envoie balader mais finalement au bout de quelques secondes qui lui parurent être l’infini, Loreana eut un large sourire suivit d’un petit rire doux et mignon. Accompagnée de ce magnifique son, le son de son rire, le son de sa voix joyeuse et entraînante, elle se mit enfin à parler :

    LOREANA_ « C’est marrant, l’espace d’une instant, on aurait dit un ado à son premier rendez-vous ! Genre la technique de drague pourrie ! »

    Maximilien se renfrogna un petit peu. Lorsqu’il l’avait vu ouvrir la bouche, il s’était naturellement attendu à une réponse mais non, au lieu de cela elle se moquait ouvertement de lui, de ses questions et de ses techniques douteuses qui en plus ne l’étaient pas. Raleur, le petit serdaigle avala silencieusement une boucher de ses pâtes tout en regardant Loreana avec son petit air boudeur. Au bien sûr, il n’était pas réellement fâché ni réellement vexé. Il savait bien que c’était pour rigoler et même si ça ne l’avait pas été, Loreana était comme Léo et Travis, une des personnes à qui il pouvait tout pardonner même le pire des affronts et là, ce n’en n’était même pas un. IL n’avait pas besoin de faire des efforts. Il est vrai en revanche qu’une autre fille lui aurait sorti cela, il l’aurait envoyer balader rapidement et puis d’habitude c’était elles qui lui courraient après et non l’inverse tandis que là, avec son professeur, les rôles étaient inversés et qu’il devait être celui qui courrait et pour tout avouer, ce rôle ne lui déplaisait pas bien au contraire. Il trouvait normal de lui faire la cours, de lui prouver qu’il était à la hauteur. Alors il jouait le jeu, faisant semblant de bouder en attendant qu’elle parle, qu’elle dise autre chose, ce qu’elle fit en répondant à sa question :

    LOREANA_ « Alors… Si tu veux tout savoir, mon nom complet est Loreana Candice Diana Nathaly Wilde. Je suis née le 18 octobre 2184. Je joue au tennis. En ce qu’il s’agit du reste, j’adore nager, j’ai hérité d’une ferme et d’un manège, donc je monte à cheval. A vrai dire, j’adore les chevaux, et les moments que je passe avec eux –seulement l’été, malheureusement. Sinon, à la ferme j’ai deux faucons, et un chien. D’ailleurs, je vais bientôt avoir une jeune chienne ici. A part ça, je joue aux échecs et aux dames, j’écoute du rock sorcier, et j’ai aussi un petit faible pour un compositeur moldu, un certain Mozart. Quant au Quidditch, je préfère le regarder plutôt que d’y jouer… Et j’ai lu au moins une fois chaque livre de la bibliothèque… Et de la réserve. J’ai été préfète puis préfète en chef. Bon, voilà. Si t’as d’autres questions, hésite pas. Par contre en échange, tu vas me parler de toi… Sans secrets!»

    Maximilien affichait un sourire jusqu’aux oreilles, elle lui avait parler d’elle, sans retenue. Bon, elle n’était pas allée dans les détails intimes mais c’était mieux que rien. Alors comme ça elle s’appelait Candice Diana Nathaly, c’étaient de très jolis prénoms et Maximilien les trouvait encore plus beau de savoir que c’était elle qui les portait. Elle jouait au tennis, Maximilien n’avait jamais été un véritable fan de ce sport mais il avait déjà joué avec Léo plusieurs fois et il se débrouillait pas mal. Elle avait lu tous les livres de la bibliothèque, un record mais typiquement le genre de chose que Maximilien essaieraient de faire et comme ça elle avait été préfète en chef, comme lui l’était aujourd’hui ! Mais bon, elle avait fini par lui retourner la question et Maximilien se sentit alors obliger de répondre. Il avala alors deux petites boucher le temps de réfléchir un peu et finit par dire :

    MAXIMILIEN_ « Mon nom complet est donc Maximilien Enzo Morgan Nathanaël Middle, seul héritier du nom. Je suis né un 6 décembre 2192, j’ai donc seize ans. Pour les sports, et bien je joue beaucoup au basket avec des amis moldus près du domaine Middle, je skate et je fais du roller aussi et en hivers je patine. Je nage souvent chez moi, nous avons plusieurs piscines intérieures comme extérieur à bulle ou sans enfin bon je ne vais pas tout te détailler mais j’ai pris l’habitude de nager depuis petit. J’ai une piscine personnelle dans l’aile Est, qui est mon aile du château. Sinon au niveau quidditch bah tu dois savoir que je suis attrapeur de l’équipe de serdaigle. J’y ai souvent joué avec Léo, sur le petit terrain de quidditch Middle. Je monte aussi à cheval, nous en avons une petite dizaine et il y’a tout le bois Middle juste derrière le château, j’aime bien y galoper avec Sheitan. En parlant des animaux, j’ai une chouette blanche, Lorelai et un chien beige, Simba. Depuis petit, c’est ma nounou qui m’a élevé, Elisa. Sinon je joue aux échecs aussi. J’écoute de tous mais beaucoup de punk-rock sorcier mais en fait tout ce qui me plait j’écoute. Je joue aussi de la guitare et un peu de batterie chez moi. Et sinon j’aime beaucoup lire et écrire…voilà »

    Maximilien lui fit un grand sourire et entreprit de terminer son assiette car il venait de constater que Loreana l’avait déjà fini pendant qu’il parlait. Une fois le ventre bien rempli, Maximilien prit la bonne initiative, au plutôt la mauvaise de faire la vaisselle. Gentil ? Certes mais inconscient. Il faut savoir que notre jeune Middle n’avait jamais fait la vaisselle de sa vie, chez lui les domestiques et les elfes de maison s’en chargeaient ainsi donc, jamais il n’avait toucher une éponge et encore moins une bouteille de savon mais bon tout cela partait d’une bonne attention n’est ce pas ? Il se leva alors et débarrassa entièrement la table en plaçant les affaires salles dans l’évier, prêt à les laver. Il attrapa alors l’éponge qu’il regarda de tous les côtés pour vérifier qu’elle n’était pas salle et ensuite il attrapa la bouteille de savon…Et là, ce fut la galère, c’était un système moldu avec cran de sécurité et fermeture : comment ouvrir ce machin ? Non ne rigolez pas, imaginez vous ce pauvre adolescent qui n’était entré dans une cuisine que deux fois dans sa vie, il n’avait jamais eus à faire à ce genre de choses alors et bien il observa la bouteilles sous toutes ses coutures : à l’endroit, à l’envers, à gauche, à droite…Il ne trouvait pas comment l’ouvrir en revanche ce qu’il entendait c’était les rire de Loreana à l’arrière qui l’observait se battre avec cette fichue bouteille…

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Loreana Wilde
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MessageSujet: Re: Pardonne moi Pardonne moi Icon_minitimeVen 24 Avr 2009 - 18:41



    MAXIMILIEN « Mon nom complet est donc Maximilien Enzo Morgan Nathanaël Middle, seul héritier du nom. Je suis né un 6 décembre 2192, j’ai donc seize ans. Pour les sports, et bien je joue beaucoup au basket avec des amis moldus près du domaine Middle, je skate et je fais du roller aussi et en hivers je patine. Je nage souvent chez moi, nous avons plusieurs piscines intérieures comme extérieur à bulle ou sans enfin bon je ne vais pas tout te détailler mais j’ai pris l’habitude de nager depuis petit. J’ai une piscine personnelle dans l’aile Est, qui est mon aile du château. Sinon au niveau quidditch bah tu dois savoir que je suis attrapeur de l’équipe de serdaigle. J’y ai souvent joué avec Léo, sur le petit terrain de quidditch Middle. Je monte aussi à cheval, nous en avons une petite dizaine et il y’a tout le bois Middle juste derrière le château, j’aime bien y galoper avec Sheitan. En parlant des animaux, j’ai une chouette blanche, Lorelai et un chien beige, Simba. Depuis petit, c’est ma nounou qui m’a élevé, Elisa. Sinon je joue aux échecs aussi. J’écoute de tous mais beaucoup de punk-rock sorcier mais en fait tout ce qui me plait j’écoute. Je joue aussi de la guitare et un peu de batterie chez moi. Et sinon j’aime beaucoup lire et écrire…voilà »

    Loreana l’écouta en silence, comme une élève écouterait son professeur… Situation paradoxale s’il en était, mais qui ne gênait en rien l’ex-Serdaigle. Un très léger sourire, presque imperceptible, naquit sur le doux visage de Loreana à l’ouïe de ce monologue dans lequel Maximilien, l’élève, SON élève était-elle tentée de dire, lui faisait découvrir d’autres facettes de sa tortueuse personnalité. Facettes qui n’étaient pas tout à fait pour lui déplaire, à vrai dire. Si elle était étonnée de découvrir autant de points communs entre elle et son élève (l’avait-il fait exprès ?), elle n’en montra rien. Par contre, son sourire s’élargit sensiblement quand Maximilien ce mis à parler de sa piscine personnelle, dans son aile personnelle du château, bien entendu, et puis de son terrain de Quidditch, de ses écuries, de son domaine et de tous ses animaux… C’était tellement amusant de l’entendre prononcer de pareils mots avec nonchalance, comme s’il état habituel et normal de posséder un manoir du XVIIème et un immense domaine. Quand le jeune Middle eut terminé, la directrice de Serdaigle ne put s’empêcher de lâcher, dans un murmure :

    LOREANA « Gosse de riches… »

    Visiblement, Max avait entendu, car il se figea, penché au-dessus de son assiette, quelques spaghettis pendant de sa bouche, le regard interrogateur. A cette vision, qui était particulièrement drôle, Loreana éclata d’un rire franc et cristallin. Les traits de l’élève se détendirent instantanément, alors que la jeune prof avait du mal à retrouver son sérieux. Si son rire avait détendu l’atmosphère, Loreana voyait bien que Max était, pour une raison qu’elle ne comprenait pas, un peu tendu. Le reste du repas se passa dans le silence, la gêne du Bleu et Bronze s’étant progressivement propagée dans toute la pièce. Loreana observait le Serdaigle du coin de l’œil, en se posant mille question sur les causes de ce malaise soudain qui s’était installé entre eux, profitant du moindre instant de silence pour se faire sentir, plus lourd et plus pesant à chaque fois. Bien qu’elle ait terminé son assiette bien avant Max, elle resta assise, face à lui, et entreprit de l’observer. L’élève sembla avoir remarqué sa manœuvre, et le silence n’en devint que plus lourd. Alors, comme pour détendre l’atmosphère, il se leva, prit l’assiette de son professeur et sembla fermement décidé à tout laver lui-même et même à tout ranger.

    Avec un sourire en coin à peine dissimulé, Loreana s’appuya contre le dossier de sa chaise, observant son élève. Il était là, debout devant l’évier. Visiblement, ses aristos de parents lui avaient quand même appris à se servir d’un robinet, car l’eau coulait à flots incessant. Elle se retint de lui adresser une remarque et décida de le laisser faire. Au mieux, il allait bien s’en sortir. Au pire, Loreana allait bien rire. L’air déterminé du jeune Serdaigle s’était déjà adouci, et la jeune femme aurait juré apercevoir dans ses yeux une pointe de détresse, alors que le robinet crachait toujours des quantités hallucinantes d’eau. Bon, au moins il avait déposé les assiettes sales dans l’évier, ce qui était déjà rassurant. Maintenant, il se saisissait d’une éponge. Il l’examina pendant quelques secondes avant d’acquiescer. Apparemment, l’éponge lui convenait. Mais la situation devint drôle à partir du moment où il s’empara de la bouteille de savon. Toute la détermination de son regard disparut en un instant. Il avait à présent l’air d’un gamin contrarié devant un problème qui le dépassait. En une moue indescriptible, il tournait et retournait la bouteille en tous sens, cherchant visiblement un moyen de l’ouvrir.

    C’en fut trop pour la prof. Elle ne put s’empêcher de pouffer. Et, malgré tous ses efforts pour ne pas vexer le gosse de riches, elle éclata d’un rire trop longtemps refoulé. Pas déconcentré pour autant, Maximilien n’en sembla que plus déterminé à ouvrir la bouteille. Il semblait enfin avoir compris que s’était du côté du capuchon qu’il avait une chance d’y parvenir. Il continua de triturer la bouteille, tentant encore et encore de l’ouvrir, pendant au moins cinq minutes. Quand Loreana n’en pu plus, elle se leva, toujours secouée par un rire plus discret, et s’approcha de son élève. Elle ne savait pas encore ce qu’elle allait faire : venir à son secours, ou bien l’enfoncer encore plus ? Finalement, elle opta pour la première solution et posa une main sur l’épaule du jeune homme qui se battait toujours contre la redoutable bouteille.


    LOREANA « Je te suggère d’abandonner, tu vois bien que cet adversaire est trop fort pour toi… Laisse faire les elfes, ils adorent… »

    Visiblement, Max était vexé et ne comptais pas abandonner la lutte. Alors Loreana dû lui arracher la bouteille des mains. Seulement, elle laissa inconsciemment sa main gauche sur celle de son élève. Elle frémit à ce contact, ce qui la perturba au plus haut point. Pourquoi un simple contact avec ce jeune homme lui faisait-il autant d’effet ? Elle préféra ne pas répondre à cette question muette et se reprit bien vite. Maximilien la regardait dans les yeux. Elle planta son regard azur dans celui acier de son élève… Et le gifla, avec une violence qui l’étonna autant que Maximilien, qui la regardait, ouvrant la bouche comme un poisson hors de l’eau.

    LOREANA « Ça, c’est pour ce qu’il s’est passé dans la cabane. »

    Elle le regarda droit dans les yeux. Son regard assassin s’adoucit en quelques secondes.

    LOREANA « Et ça, c’est pour le petit-déjeuner… »

    Elle s’approcha de lui, posant délicatement ses lèvres sur celles du jeune homme surpris, et lui laissa l’initiative d’aller plus loin.

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Maximilien E. Middle
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MessageSujet: Re: Pardonne moi Pardonne moi Icon_minitimeVen 24 Avr 2009 - 19:52

    Pardonne moi Chace-chace-crawford-3621336-100-100 Pardonne moi Thirte10
    « J'ai senti en moi enfin léphemère, en toi
    l'impression d'un pradis sur terre.
    » Kyo


    Ce déjeune était parfait. Rectification : ce week-end était parfait!Tout avait commencé hier soir ou plutôt ce matin très tôt. Vers minuit et demis, ou un peu moins voir un peu plus, le serdaigle s’était tout d’un coup senti très mal. Il culpabilisait, il s’en voulait, il souffrait parce qu’il n’avait pas été correct avec ELLE, avec LA femme ! Loin de là même, il s’était comporté en salle gosse tombeur et je m’en foutiste qui jouait avec les autres de façon telle qu’il aurait pu se comparer à Thomas Morgan avec ce comportement du « je prends, je jette ! » Et pourtant, le serdaigle était loin d’être comme ça. Il était honnête, droit, juste et courageux. Il avait toujours affronté ses erreurs la tête haute mais cette nuit là, il n’avait pas pu. Cette nuit là lorsqu’il lui avait fait l’amour, lorsqu’il l’avait enfin touché, il s’était enfui comme un lâche, comme un serpentard ! Il l’avait laissé là comme si il avait joué avec elle alors que c’était tout sauf ça bien au contraire, il avait juste pris peur. Tiraillé par cette culpabilité mordante, Maximilien avait frappé à la porte de l’appartement de son professeur de potion pour s’excuser. Elle lui avait ouvert, il était entré et voilà qu’ils avaient parlé, crié et lorsque enfin était revenu le moment fatal et dramatique de partir, Loreana avait trouvé dans le couloir, un collègue professeur qui faisait la garde : Maximilien était coincé là. Agacée, La jolie brunette lui avait proposé de dormir sur le canapé, lui ordonnant de partir le lendemain matin. IL avait dormis mais n’était pas parti, au contrairement il avait même préparé le petit déjeuné. Loreana ne s’était même pas fâchée, elle avait sourit et ils avaient mangés ensuite il avait lui, elle s’était douché et puis ils s’étaient embrassés, ils avaient travaillés et les voilà à table à midi à parler d’eux, à se dévoiler en quelques sortes.

    Maximilien s’était laissé aller. Tout en avalant quelques cuillères de spaghettis au passage, il avait laissé sa langue parler comme elle le désirait. D’ordinaire son cerveau commandait, analysait ce qu’il pouvait ou pas dire, ce qu’il devait ou pas dire mais non aujourd’hui, c’était son cœur de parler. Trop heureux de l’avoir au près de lui, de l’avoir vu parler d’elle il avait décidé d’en faire autant pour lui rendre l’appareil. Alors il lui donna des information de base d’abord : nom, prénom, âge et puis ils lui avait parlé de ses goûts, de ses choix, de ses affaires, de l’endroit où il vivait. Certes il n’avait pas parler de ses parents mais pourquoi aurait il prononcé leurs noms, ils étaient tellement insignifiant à ses yeux, tellement ridicules, tellement inexistants qu’il ne voulait surtout pas gâcher ce superbe moment qu’il pouvait enfin partager avec son professeur préféré.


    LOREANA_ « Gosse de riche ! »

    Ça n’avait été qu’un murmure, un murmure riquiqui qui fit pourtant beaucoup de dégâts dans le cœur du serdaigle. Lui qui détestait ce monde dans lequel il avait été plongé dés sa naissance et dans lequel il avait été élevé, venait de se prendre la vérité en pleine face. Sans doute qu’elle n’avait pas voulu lui faire du mal mais c’était pourtant ce qu’elle avait fait. Il s’était toujours battu pour échapper à son milieu de richard. Il se fondait dans la masse, traitait tous les autres élèves comme ses égaux alors que ses parents lui soufflaient que de par son nom et son argent il devrait se sentir supérieur. Ce milieu où l’argent, l’apparence et l’hypocrisie étaient les seules valeurs faisait fuir Maximilien. Il ne rêvait que d’une seule chose : s’en détacher pour toujours. Combien de fois n’avait il pas regretter de s’appeler Maximilien Middle ? Pourtant, il n’avait pas le choix, il devait faire avec. Il était l’héritier du nom et même si il profitait de sa jeunesse pour appliques ses propres idéaux, il savait qu’un jour il devrait reprendre le flambeau : suivre les pas de son père au ministère, reprendre ses activités, le contrôle des restaurants, des boutiques, des hôtels. C’était tout ce qu’il ne voulait pas. Il rêvait d’un avenir simple, sans embrouilles, d’un avenir utile. Il voulait faire professeur pour instruire les futur générations, les aider et peut-être leur offrir ce que lui n’avait pas eut la chance de recevoir. Mais pour l’instant, il ne faisait que fuir tout cela, fuir son futur et fuir ses parents. Mais si eux, il pouvait les oublier, ses souvenirs, son histoire et sa fortune, il ne pouvait pas les changer même si il aurait bien voulu alors ce que venait de dire Loreana le mit très mal à L’aise.

    Pourtant il riait, d’un rire doux et cristallin, elle n’avait pas conscience que ça remarque l’avait blessé et cela provoqua un mis sourire dans le cœur du bleu et bronze. Elle était tellement douce, tellement innocente : c’était son petit colibris à lui mais malgré son sourire, malgré ses yeux, malgré sa voix, il ne pouvait pas se sortir cette remarque de la tête. Gosse de riche ! C’était donc comme ça qu’elle le voyait ? N’était il donc que cela à ses yeux ? Un salle gosse gâté et plein de fric ? Parce que si c’était ça qu’elle croyait, il fallait qu’elle sache que c’était loin d’être la vérité. Ses parents l’avaient abandonné, n’avaient jamais voulu de lui et rien n’irait pour s’arranger bien au contraire. Se refrognant alors un peu, il décida de passer le reste du déjeuner dans le silence. C’était peut-être stupide, mais il avait besoin de faire une pause paroles sinon il sentait qu’il allait souffrir de trop. Il fallait que la blessure cicatrice et même si cela ne mettrait pas beaucoup de temps, il avait besoin de ces quelques minutes durant lesquelles un mal aise s’installa.

    Il termina son assiette rapidement. Elle avait fini avant lui mais n’avait rien dis, respectant son silence et sa solitude. Il avait parfois besoin de s’enfermer à l’intérieur de lui-même pour réfléchir ou pour prendre le dessus sur une émotion, ici la tristesse ! Maintenant, c’était fait ! Il était même prêt à réparer le petit mal aise qu’il avait mis in intentionnellement en place. Il se leva alors dans la belle et bête idée de ranger et de faire la vaisselle peut-être aussi de prouver à Loreana qu’il n’était pas qu’un gosse de riche. Il avait un petit sourire accroché au coin des lèvres, son bonheur revenait. Il attrapa les assiettes qu’il alla plonger dans l’évier. C’était un offert incommensurable pour le bonhomme qui n’avait presque jamais mis un pied dans sa cuisine. Il n’avait jamais touché un couvert salle, ni un balai ni rien du tout. Ses parents ne l’auraient pas supporté. Il déposa le tout dans l’évier et réussi à ouvrir l’eau, c’était le même système que la douche alors…Il attrapa ensuite l’éponge qu’il inspecta sous toutes ses coutures et saisit l’objet qui causera son malheur : la bouteille de savon ! Ridicule, me direz vous mais pas pour Max ! Il n’avait jamais toucher un truc pareil de sa vie alors imaginez sa vie lorsqu’il du trouver la façon d’ouvrir ce tube apparemment moldu. Il commença alors à l’observer sous toutes les coutures et le rire gracieux de son professeur derrière lui réchauffant le cœur ne fit que le motiver encore plus…Rien n’y faisait, la bouteille semblait gagner la bataille ! Il entendit alors la chaise de la belle grincer : elle se dirigeait vers lui. Sans doute l’avait elle prit en pitié, pauvre enfant !


    LOREANA_ « Je te suggère d’abandonner, tu vois bien que cet adversaire est trop fort pour toi… Laisse faire les elfes, ils adorent… »

    La phrase semblait suspendue dans les airs, comme perdue au milieu du monde merveilleux qui venait de s’ouvrir à eux. Tout en parlant, Loreana s’était permise de glisser sa main sur celle de Maximilien pour lui prendre les bouteilles des mains. Il était têtue le jeune serdaigle et voulait savoir comment s’ouvrait ce savon et elle semblait avoir l’intention de l’instruire, c’était son rôle non ? Sa main chaude était restée sur la sienne. Elle était douce, rassurante et Maximilien sentait son cœur battre à vive allure, il se sentait fluide et mal à l’aise. Plongeant ses yeux dans ceux azures de son professeur, il fut pris d’une envie soudaine dans l’embrasser mais il n’avait pas le droit. La confiance s’installait en eux et il ne se voyait pas tout gâcher pourtant il lisait dans ses yeux qu’elle en avait envie aussi. Leurs corps commençaient à se rapprocher encore et encore, toujours plus lorsque…CLAC ! Une main de forte poigne venait de s’abattre sur la joue de Maximilien. Un choc violent qui lui fit prendre une tête de merroux sorti de l’eau avec la bouche en cul de poule. Il ne s’y était pas attendu et apparemment l’auteur de la gifles, son professeur en l’occurrence, non plus. Un acte impulsif qui les secoua tous les deux. Ils se tenaient là, surpris jusqu’à ce qu’enfin, elle se mit à parler…

    LOREANA_ « ça c’est pour ce qui c’est passé dans la cabane…Et ça, c’est pour le petit déjeuné ! »

    En un clin d’œil, le regard surpris et agressif de la prof de potion s’adoucis et son visage se rapprocha. Elle était belle, magnifique et Maximilien n’avait pas le cœur de la repousser alors il la laissa s’avancer et poser ses lèvres sur les siennes. La douleur à la joue s’envola aussitôt qu’elle posa ses lèvres sur les siennes. Elles étaient chaudes, douces et agréables. Le baiser était chaste mais il ne fallait pas trop en demander au serdaigle. Ne pas lui sauter dessus lorsqu’ils parlaient était une chose mais là comme ça alors qu’il se tenait contre ses lèvres, contre son corps…IL n’était pas un surhomme le pauvre ! Il avança alors doucement sa langue pour clémander le passage à sa bouche. Passage qu’il obtint finalement rapidement. Aussitôt leurs langues se mélangèrent, se mêlèrent, se cachèrent, se cherchèrent, se trouvèrent et s’enlacèrent à l’infini. Maximilien posa alors ses mains sur les hanches de Loreana, n’osant pas les placer ailleurs de peur de la brusquer, de faire un geste de trop même si il en mourrait d’envie il se contrôlait pour elle, pour eux et au nom de ce qu’il ressentait…
    Cependant même si ses mains ne bougeaient pas, leurs langues continuaient de se câliner et petit à petit, il se mit à reculer vers le salon sans trop savoir pourquoi…Comme un réflexe naturel ! Ils avançaient encore et encore mais à bout de souffle, ils durent ses séparer. Yeux dans les yeux, il commença à se sentir mal à l’aise. Ses lèvres gonflées par le baiser, il n’avait qu’une envie se pencher pour l’embrasser à nouveau mais il se contenta de bégayer, espérant qu’elle fasse le premier pas à nouveau…


    MAXIMILIEN_ « Je… »

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MessageSujet: Re: Pardonne moi Pardonne moi Icon_minitimeLun 22 Juin 2009 - 20:58

    Si elle avait su, hier soir, que tout cela terminerait ainsi… Elle aurait peut-être tout changé. Non. Tout compte fait, elle aurait tout laissé comme ça. Mine de rien, et si on excluait la désastreuse nuit de la veille, elle avait passé de bons moments en compagnie du jeune Middle. Oh, bien sûr, il y avait cette gêne omniprésente, mais qui se faisait de plus en plus légère et imperceptible. Le repas se déroulait dans la bonne humeur, et dans un climat de confidence, même si la discussion entre la prof et son élève n’était pas des plus confidentielles. Loreana avait parlé d’elle et de son passé avec une aisance qu’elle n’avait jamais manifesté jusque là, ce qui ne manqué pas de la surprendre, et Maximilien avait offert à sa directrice de maison un portrait beaucoup plus agréable de sa personne. Tout cela autour d’une assiette de spaghettis. C’est fou ce que des pâtes peuvent influencer sur le bon déroulement d’un repas ! Mais en l’occurrence, le repas commençait à s’éterniser, dans un climat de gêne instauré par une réplique maladroite mais innocente de la jeune dirlo des aigles :

    LOREANA « Gosse de riches… »

    Dans son esprit, bien sûr, ce n’était qu’une petite phrase taquine, pas méchante, qui était avant tout là pour détendre l’atmosphère. Mais c’est tout le contraire qui se passa : apparemment, Max prit mal cette petite remarque et s’emmura dans un silence qui devenait de plus en plus lourd. Loreana termina son assiette avant son élève et l’attendit en l’observant, respectant son besoin de silence. Devinant bien la cause de la gêne qui s’installait entre eux, elle était tout de même loin de s’imaginer à quel point cela avait pu blesser le Serdaigle. Bien sûr, elle ne le voyait pas comme l’héritier fortuné et orgueilleux d’une famille riche et influente que snobait tout le monde, mais plutôt comme un beau jeune homme qui avait encore besoin de comprendre qui il était vraiment et qui il voulait vraiment être. Et pour cela, il avait besoin d’affection. Affection que, d’après ses dires, il n’avait jamais reçu de ses parents, mais plutôt de sa nourrice. Si Loreana admirait le travail des nourrices, elle détestait les parents qui leur confiaient l’éducation des enfants. Pour elle, ces parents-là étaient des lâches et étaient fragiles ; ils ne se sentaient pas capables d’assumer leurs ébats et d’élever leur enfant. Alors ils confiaient leur enfant à une nourrice pour continuer à vivre dans leur monde pourri et égoïste. Loreana avait une vision bien déterminée du rôle des parents. Pour elle, pas question de confier qui que ce soit à une nourrice.

    Un bruit la tira cependant de ses pensées. Maximilien se levait, visiblement dans l’intention de débarrasser la table. Intriguée, Loreana l’observa et ne manqua pas de remarquer son sourire retrouvé. Il posa les assiettes dans l’évier sous le regard amusé de la jeune femme. Comptait-il vraiment faire la vaisselle ? Ce serait la meilleure ! Oui. Il comptait faire la vaisselle : il avait déjà ouvert le robinet. Amusée, Loreana le regardait, curieuse de voir comment il allait s’en sortir. Ses gestes maladroits trahissaient un manque d’expérience flagrant et l’ex-Serdaigle se prit à penser que les parents du jeune homme n’avaient eux-mêmes pas dû faire la vaisselle très souvent. Le Bleu et Bronze se saisit d’une éponge, ce qui laissait quand même penser qu’il avait une idée globale de ce qu’il fallait faire. Bon, d’accord, il examina l’éponge en question pendant deux bonnes minutes afin d’enfin décréter qu’elle lui convenait, mais au moins il n’avait pas saisi la bouteille d’huile qui traînait un peu plus loin…

    Ça devint drôle quelques secondes plus tard. Dans son excès de zèle, le jeune Middle s’empara d’une bouteille de savon qui lui causerait bien des tracas. Prenant quelques secondes pour examiner ce nouvel ennemi, Max passa à la charge en essayant de l’ouvrir. De son côté, Loreana observait, tentant de se retenir du mieux qu’elle pouvait d’éclater de rire. Malgré les nombreuses attaques virulentes de Max, la bouteille résistait, encore et toujours. C’en fut trop, Loreana ne put plus retenir son rire, qui éclata dans la cuisine, pur et cristallin. Pas découragé pour autant, l’élève s’enhardit et tenta de plus belle d’ouvrir cette fichue bouteille. En vain. Pourtant, le jeune Middle persistait. Se maîtrisant entre deux fous rire, Loreana hésita entre deux solutions : venir à son secours ou le laisser s’acharner pendant des heures. Au bout d’une réflexion volontairement longue, elle se décida enfin à opter pour la première option et se leva. Maximilien fit comme si elle n’était pas là et s’acharna.


    LOREANA « Je te suggère d’abandonner, tu vois bien que cet adversaire est trop fort pour toi… Laisse faire les elfes, ils adorent… »

    Mais rien n’y fit, Max n’abandonnait pas la lutte. Voyant son élève s’entêter encore, Loreana fut contrainte de lui arracher la bouteille des mains et de la reposer plus loin. Seulement, pour une raison qu’elle ne comprenait pas, elle avait laissé sa main gauche sur celle, mouillée, de Maximilien. Lorsqu’elle s’en rendit compte, elle posa ses yeux dessus, remonta du regard le bras du Serdaigle avant de voir qu’il le regardait et qu’on pouvait lire dans ses yeux toute l’envie qu’il ressentait. Loreana partageait cette envie, mais le peu de raison qui lui restait encore lui dictait de se tenir éloignée. Puis elle céda, rapprocha son visage de celui de son élève… Et CLAC ! Dans un ultime sursaut de lucidité, elle avait violemment envoyé sa main dans la figure de son élève qui avait reçu la gifle dans un cri de surprise. Il la regardait, incrédule.

    LOREANA « Ça, c’est pour ce qu’il c’est passé dans la cabane. »

    Maximilien était toujours aussi surpris lorsque le regard meurtrier de sa prof d’adoucit instantanément, et qu’elle céda enfin à son envie mordante de l’embrasser. Elle s’approcha du visage d’ange de l’élève qu’elle aimait et posa, dans un geste d’une infinie douceur, ses lèvres sur les siennes. Ses bras vinrent, dans un réflexe, s’enrouler autour du coup de Maximilien alors que les mains de celui-ci se posèrent sur ses hanches. Le Serdaigle n’eut même pas à quémander le contact de leurs langues, la prof le lui accorda immédiatement. Si Maximilien avait pris les commandes, Loreana fit quelques pas en direction du salon, forçant son élève à reculer. Ces quelques pas rendirent le baiser plus passionné encore. Ils avaient presque quitté la cuisine quand ils durent enfin se séparer. Le regard du professeur de potions ne quitta pas celui de son élève, et elle n’avait qu’une envie : unir leurs lèvres à nouveau. Elle lisait le même désir dans les yeux profonds de son élève, mais aussi une crainte : celle d’aller trop vite, de la brusquer. C’est pourquoi il bégayait et lui laissait le soin de refaire un pas.

    MAXIMILIEN « Je… »

    Loreana lui posa un doigt sur la bouche, lui intimant l’ordre muet de se taire. Ils restèrent quelques secondes immobiles, les yeux dans les yeux, puis Loreana brisa le silence :

    LOREANA « Oui, je sais, tu veux savoir comment on ouvre cette bouteille… Je te montrerai après »

    Sans laisser à son élève le loisir de répondre quoi que se soit à cette boutade, elle posa à nouveau ces lèvres sur les siennes et força doucement le barrage de ses lèvres. Alors que leurs langues dansaient un ballet infernal, elle reprit sa marche vers le salon, et plus précisément le lit. Dans le même temps, elle entreprit d’ôter à son élève le haut de son pyjama, qui était en réailté un T-shirt. Quand ce fut chose faite, quand elle eut enfin accès à ce torse qui lui faisait tant envie, elle laissa ses mains se balader sur la moindre parcelle de peau du tronc de son élève. Le baiser prit fin, et Maximilien ne dit toujours rien. De toute façon, Loreana ne lui en laissa pas le temps : à peine le baiser fini, elle reposait ses lèvres sur celles de son élève. Ses mains se baladaient toujours sur le torse de Maximilien, mais descendaient de plus en plus… Pour finir par débarrasser le jeune homme de son pyjama. Pleine de désir, Loreana se colla à son élève nu et sentit que le désir s’emparait également du Bleu et Bronze. Sans cesser de l’embrasser, elle se dirigeait lentement mais surement vers le lit.



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Maximilien E. Middle
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Amour : Loréana Wilde est et sera pour toujours l'amour de sa vie!

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Orientation Sexuelle: Bisexuel
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Caractère: Sincère, honnête, fou, motivé, drôle, beau parleur, inteligent, charmeur, loyal, passioné, passionant, têtu, bien élevé, révolutionnaire, débrouillard, autonome, sarcastique, protecteur, volontaire, amusant, sportif, classe, patient, franc, écrivain, artiste! etc

MessageSujet: Re: Pardonne moi Pardonne moi Icon_minitimeLun 22 Juin 2009 - 22:30

    Pardonne moi Chace-chace-crawford-3621336-100-100 Pardonne moi Thirte10
    « Tatoue moi sur tes seins, fais
    le du bout de mes lèvres
    » Mikealangelo


    Surprise et surprise. Cette journée, depuis hier soir à ce midi n’avait été qu’un ramassis de surprises, de coïncidences, de pulsions, de bonheurs et de chances. D’abord il y avait eut cette pulsion inexpliquée, cette pulsion pleine d’amour et d’espoir qui avait poussé Maximilien à se rendre en pleine nuit, alors que tout le monde dormait chez son professeur, tel un bandit il s’était arrangé pour réussir à entrer dans ce lieu interdit. Il y avait aussi eut cette « dispute » entre lui et Loreana Wilde qui s’était éternisé et qui surtout avait fait en sorte de rajouter une petite embûche sur le chemin parce qu’à force de discuter, le temps avait tourné et lorsque la jeune professeur avait voulu mettre son élève dehors, cela s’était révélé impossible puisqu’un professeur montait la garde dans le couloir juste devant : Maximilien s’était retourné condamné, si on pouvait appeler cela une condamnation, à rester dormir dans l’appartement de cette femme pour qui il ressentait des choses si fortes. Il s’était ainsi retrouvé sur le canapé. Oui, je le reconnais, ce n’était pas un endroit bien confortable et on aurait pu espérer mieux, mais sachez que Monsieur Middle, élevé dans le luxe, s’en contenta tout simplement parce qu’il se savait à proximité de la jeune femme au cœur d’or ! Ensuite, il avait fallu que le destin le fasse se réveiller plus tôt que d’habitude et qu’il trouve le courage –je vous dis qu’il aurait du aller à gryffondor- de se lever pour aller faire le petit déjeuné, risquant au passage de s’attirer les foudres, de gigantesques foudres de la maîtresse des Lieu qu’on aurait pu appeler Zeus si son sexe avait été différent. Lorsque la jeune déesse s’était enfin donné la peine de se lever et qu’elle s’était précipité, en rage il n’en doutait pas, dans la cuisine, il avait fahit un miracle monstrueusement colossal du destin pour qu’elle ne se fâche pas à l’apercevant encore ici, au petit matin, en pyjama dans sa cuisine comme si de rien était. On aurait dis Maximilien la fleur ! Oui parce que finalement c’était ça, Maximilien débarquait ici comme une fleur, comme si rien ne s’était passé et se permettait tout et n’importe quoi. Mais rien n’était encore terminé, le destin avait décidé de réunir ces deux tourtereaux et pour de bon, si vous voulez mon avis.

    Après ce succulent petit déjeuné, il avait à nouveau suffit d’une impulsion de Loreana qui lui dit d’aller faire un tour dans le salon, le temps qu’elle aille prendre sa douche…Là où le destin intervenait moins c’était dans le fait que Maximilien trouve des livres de potions dans le salon…Il aurait pu tomber amoureux de botanique, c’est vrai, ce qui serait très mal tombé d’ailleurs mais non chance et rechance il était tombée raide de la prof de potion et comme c’était sa matière préférée : tout tombait à pique. En parlant de tomber, Maximilien était donc TOMBER sur un livre de potion qui l’intéressait vraiment et vu qu’il était venu comme une fleur, il s’était aussi servi comme une fleur. Quand ça commence à pousser, c’est presque impossible à déraciner, Un middle ! Bref il s’était alors assis par terre, afin de bien s’encrer dans le sol, pour commencer à lire tranquillement. Il n’avait pas été plus loin que les dix premières pages, Lorsque Loreana déjà de retour, se laissa attendrir –Merci Aphrodite ou Vénus- par la vision de son petit serdaigle passionné par un livre. Elle lui proposa alors de rester ici ce qu’il accepta avec plaisir. Finalement comme dernier coup de chance, les douze coups de midi sonnèrent en même temps que les estomacs qui grognaient violemment et il fut alors l’heure pour nos deux crapauds d’aller manger…Des spaghettis. Des belles discussions parsemèrent ce repas, qui fut bien agréable. Même lorsque Loreana lâcha une petite remarque qui blessa légèrement Maximilien, elle se rattrapa rapidement avec son rire doux et cristallin qui résonna dans toute la cuisine. Destin, quand tu t’y mets ! Lorsque le déjeuné fut terminé, Maximilien décida alors de faire la vaisselle : grande première pour ce fils de RICHE, qui ne comprenait pas grand-chose ni aux éponges, ni aux bouteilles de produits de vaisselle si bien qu’il se rendit totalement ridicule en tentant désespérément d’ouvrir ce petit trésor qui lui permettrait d’avoir la gratitude de la jolie gazelle assise juste derrière…Mais peine perdue, ce fut la gazelle qui du intervenir pour aider son petit aigle préféré. Bien sûr, l’aigle plus têtue qu’un serpentard refusa d’abandonner son combat jusqu’à ce que la main de Loreana erra sur la sienne…Figé, il ne put faire un seul moment de plus et c’est là qu’apparut alors la surprise : une claque monumentale qui venait de s’abattre sur sa joue !


    LOREANA_ « Ça, c’est pour ce qu’il c’est passé dans la cabane. »

    Les yeux écarquillés, Maximilien contemplait Loreana une main sur la joue, encore sous le choc du coup qu’il venait de se prendre. Il avait un peu du mal à réaliser – le pauvre. Personne n’avait encore jamais osé lever la main sur lui. C’était faux, il s’était battu de nombreuses fois mais c’était pour défendre ceux qu’il aimait mais jamais quelqu’un qu’il aimait avait du le frapper parce qu’il avait déçu ou blessé. C’était une première et il se sentait terriblement honteux, pas d’avoir reçu une gifle, mais surtout de mériter cette gifle. Parce que oui, il la méritait et bien plus que ça même, elle aurait pu le frapper plusieurs fois, il n’aurait rien à trouver à redire parce qu’il avait été vraiment horrible ce fameux soir dans la cabane d’Hagrid, tellement horrible qu’il s’était enfuis en courrant après lui avoir fait l’amour…Mais heureusement que c’était la journée surprise parce qu’après la mauvaises surprise vint enfin la plus belle des surprises : Loreana s’approcha de lui et posa délicatement ses lèvres sur les siennes…Immédiatement le sang de Maximilien s’enflamma, il se sentit brûler de l’intérieur, brûler de bonheur et de joie. Il n’osait pas bouger de peur de rompre ce moment magique mais poussé par un instinct primaire, il se sentit obligé de clémander avec sa langue l’accès total à l bouche de Loreana Wilde. Accès qui lui fut –merci mon Dieu- accordé. Surprise et heureux, Maximilien pénétra alors délicatement sa langue dans la bouche de Loreana jusqu’à rencontrer sa langue à elle. Un jeu commença alors, elles se cachèrent, se cherchèrent, se trouvèrent, s’enlacèrent…Maximilien osa même poser une main sur la hanche de son professeur mais ce fut la jeune dame qui garda le contrôle des opération en le bousculant un peu pour le forcer à reculer : direction le salon qui était en même temps…La chambre à couché…Tout en avançant, ils furent finalement obligé de se séparer car à bout de souffle, ils avaient aussi besoin de se regarder dans les yeux…Maximilien ainsi noyé dans les belles pupilles de son professeur ne put s’empêcher de marmonner :

    MAXIMILIEN_ « Je… »
    LOREANA_ « Oui, je sais, tu veux savoir comment on ouvre cette bouteille… Je te montrerai après »

    Maximilien se sentit légèrement minable tout d’un coup. IL avait envie de dire tellement de chose, plein de chose encore des choses mais les mots ne venaient pas. Heureusement, Loreana sut le mettre à l’aise en posant un doigt sur ses lèvres et en plaisantant. Plaisanterie qui fut vite remplacée par la libido de la jeune femme. Elle posa alors ses lèvres sur celle du serdaigle et entreprit de le déshabiller. Sans qu’il n’ait le temps de faire ouf , il se retrouvait déjà torse nu. Les mains de Loreana parcouraient son corps avidement et il sentit son souffle devenir de plus en plus cours tandis qu’elle commençait déjà à glisser son pantalon vers le bas…Lorsqu’il fut enfin en sous-vêtement et qu’elle se colla à lui pour le pousser vers le mur, il ne se tint alors plus. Il aurait voulu rester calme pour lui montrer qu’il était gentleman mais de sentir son corps ainsi contre le sien, si proche, si beau, si doux…Il en voulait plus : il voulait sentir sa peau, là tout contre lui, contre la sienne, il voulait la voir nue, la toucher, la caresser, l’entendre crier son nom alors tandis qu’elle le poussait encore vers le lit, il passa doucement des mains en dessous du t-shert de la demoiselle et les posant sur le bout de tissus, entreprit de le monter vers le haut, frôlant au passage de ses mains le ventre parfait de Loreana, ses seins encore couvert d’un soutient gorge, enfin il passa l’habit par-dessus la tête de la jeune femme et l’envoya valser au loin. Ils s’approchèrent alors du lit et au dernier moment, Maximilien se tourna et plaça Loreana dos au lit, il la poussa alors légèrement vers l’arrière, la forçant à s’asseoir sur le meuble…les choses sérieuses allaient commencées.

    Il se mit à genoux devant la jeune femme prenant bien le soin en descendant de parsemer son coup de baiser tout comme ses seins, toujours tenus dans un sous vêtements, ensuite son ventre qu’il parsema aussi de coup de langues et puis il plaça alors ses mains doucement sur le ventre de la jeune femme alors qu’il se tenait toujours à genoux devant elle, il l’embrassait encore et encore pendant que ses mains dégrafèrent le bouton de son jeans qu’il fit glisser le long de ses jambes : elle était à égalité : en sous vêtement. Il se releva alors et se permet de les emmener un peu plus loin sur le lit. Il se coucha alors sur elle et commença à l’embrasser langoureusement tandis qu’il dégrafait d’un coup de mains expertes, le soutiens-gorge de la jeune femme libérant alors cette poitrine dont les tétons pointaient dangereusement vers le jeune homme : la nuit se promettait mémorable !


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Loreana Wilde
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MessageSujet: Re: Pardonne moi Pardonne moi Icon_minitimeJeu 25 Juin 2009 - 16:40

    La surprise se lisait clairement sur le visage du Bleu et Bronze. Il avait les yeux écarquillés, la bouche ouverte et une main sur la joue. Il semblait à la fois très surpris mais aussi honteux. Parce qu’au fond de lui, il devait savoir qu’il la méritait, cette gifle. Il devait savoir que ce qu’il lui avait fait dans la cabane était monstrueux. Non. Il le savait. Il le savait parfaitement, Loreana s’était chargée de le lui rappeler constamment durant ces quelques jours qui les séparaient de ce jour néfaste. Jour que la jolie brunette aurait préféré oublier mais qui, pour une raison qui lui était inconnue, s’était soudainement rappelé au bon souvenir de la jeune femme. Voir Maximilien de si près, après tant de jours où il l’évitait soigneusement, avait fait renaître en elle la rage et la colère qu’elle éprouvait depuis l’épisode de la cabane. Jamais au grand jamais elle n’avait voulu frapper son élève, mais ces émotions avaient pris le dessus et elle s’était laissée aller à son impulsion. D’ailleurs, la directrice des Serdaigle mourrait d’envie de recommencer, à tel point que le sang battait ses tempes et que sa main était totalement crispée. Parce qu’en plus, Max méritait une deuxième gifle. Mais Loreana ne put se résoudre à lever la main sur lui une deuxième fois. Sa colère s’était dissipée aussi vite qu’elle avait éclaté. La main de la prof de potions retomba mollement le long de son corps. Loreana était désemparée, perdue. Elle sentait au fond de son cœur une chaleur, une douce chaleur qui la calmait. Elle en était sûre, maintenant : ce sale gosse, cet élève de Serdaigle, elle l’aimait. Pour la première fois depuis sept ans, elle aimait. Cette soudaine prise de conscience lui fit manquer d’air. Elle se sentit faiblir. Mais quand son regard se planta dans celui de son ange, de son cœur, elle sut ce qu’elle voulait. Sans hésiter une seule seconde, elle s’approcha de lui et posa délicatement ses lèvres sur les siennes. Dans le même temps, elle s’empara de son cou alors que le Serdaigle recevait son autorisation. Et la pièce sombra dans le silence. Loreana se sentait enfin heureuse. Elle embrassait passionnément celui qu’elle aimait, et elle avait, pour être franc, d’autres projets encore. C’est pourquoi, sans interrompre le baiser, elle guida son élève, son ange, vers le salon. Puis le baiser se termina. Sans dire un mot, elle planta son regard azur dans celui de son élève, qui se voilait déjà de désir. Celui-ci, totalement surpris par la manœuvre de la brunette, ne put que bégayer quelques mots :

    MAXIMILIEN « Je… »

    Alors, pour interrompre sa gêne et lui faire comprendre qu’en ce moment, toute parole était superflue, elle lâcha son cou et vint poser un index sur les lèvres de son protégé, lui intimant l’ordre si doux de se taire. Elle ferma les yeux quelques instant, puis les rouvrit, et plongea dans ceux de Maximilien. Elle posa son front contre le sien, les rapprochant encore plus, et lui murmura, alors qu’elle sentait son souffle chaud et irrégulier :

    LOREANA « Oui, je sais, tu veux savoir comment on ouvre cette bouteille… Je te montrerai après »

    Avant que Maximilien n’ait pu dire quoi que ce soit, et de ce fait briser cet instant magique, elle remplaça son doigt par ses lèvres et embrassa à nouveau le jeune homme. Et elle reprit sa marche déterminée vers le lit. Maximilien semblait trop heureux pour réagir et se laissa faire docilement. Tant mieux. A mesure qu’elle approchait du lit, elle se sentait brûler de plus en plus, jusqu’à ce qu’elle ait si chaud que toute seconde de lucidité lui sembla une éternité. Cédant enfin à tous ces désirs, elle quitta les lèvres de son bien-aimé et descendit ses mains dans son dos pour le débarrasser d’une pièce de tissu superflue. Elle remercia silencieusement le Seigneur d’avoir laissé Maxou en pyjama : ça allait lui épargner quelques secondes d’attente qui l’auraient tuée. Elle enleva délicatement le haut du pyjama du Bleu et Bronze et put enfin accéder à ce corps qui la faisait rêver. Reposant une fois des plus ses lèvres sur celles de l’élève, elle laissa à ses mains le loisir de parcourir ce torse si attirant. Mais cela ne lui suffit pas. Totalement dirigée par ses pulsions, elle descendit ses mains de plus en plus bas, jusqu’à passer sous le pantalon du pyjama de son ange et caresser délicatement son entrejambe à travers le tissu de son boxer. Mais ce n’était pas encore assez. Sans attendre une réaction de la par du Serdaigle, qu’elle embrassait toujours avec un sourire malicieux, elle fit descendre progressivement son pantalon jusqu’à l’en débarrasser complètement. Il était en sous-vêtement, son bel Apollon, et elle brûlait de désir. Elle se colla à lui comme pour le tester, pour voir à quel moment il reprendrait le contrôle des opérations…

    Et le jeune homme ne se fit pas prier. Ni une ni deux, il passa ses mains si douces sous son T-shirt et entreprit de l’enlever, frôlant au passage son ventre, ce qui lui arracha quelques frissons. Dans le même temps, il avait repris le contrôle de leurs déplacements et c’était à présent lui qui la poussait vers le lit… Jusqu’à ce qu’ils y arrivent enfin. Restant aux commandes, Maximilien força d’un geste doux la brunette à s’asseoir sur son lit. Quant à lui, il s’était mis à genou devant elle et parsemait son corps si excité de baiser fiévreux et de coups de langue divins. Subissant toutes ces caresses, Loreana se mordait la lèvre inférieure pour éviter de gémir, à mesure que le Serdaigle descendait… Il s’attaquait déjà au jeans de la jeune femme et l’en débarrassa très vite. Mais il n’était toujours pas décidé à lui laisser le contrôle : d’un geste doux et mesuré, bien qu’empreint de désir, il la poussa un peu plus loin sur le lit et vint se coucher sur elle en l’embrassant. Fermant les yeux, elle profitait de cet instant en s’interdisant de penser à ce que ferait Maxou après. Pour l’heure, elle se concentrait sur les mains douces et chaudes qui dégrafaient son soutien-gorge. C’en était trop, elle ne tenait plus ; elle devait reprendre le contrôle. Alors, d’un seul coup de bassin, elle inversa la tendance et se fut elle qui se retrouva couchée sur son ange. Elle quitta sa bouche et vint lui lécher tendrement les lobes des oreilles, avant de parsemant son coup de baisers. Petit à petit, elle descendait vers l’entrejambe de son élève, n’épargnant aucune partie de son corps de ses baisers et de ses caresses. Quand enfin elle arriva à la hauteur fatidique, elle dévisagea le boxer avec une moue. Il était gênant, et elle n’allait pas se gêner pour l’enlever ! Et c’est ce qu’elle fit, libérant le membre tant désiré de son élève, qui pointait déjà vers le haut sous l’effet du désir. Loreana s’en saisit de la main droite et commença des vas-et-viens lents tout en remontant l’embrasser. Tout à coup, elle arrêta son geste et adressa un sourire taquin à Maximilien, qui gémissait déjà de frustration. Elle lui lécha le cou, puis remonta vers son oreille et lâcha, dans un murmure :


    LOREANA « Moi, je préfère les desserts avec de la Chantilly… »

    Maximilien avait parfaitement compris et décida apparemment de dompter son désir quelques minutes encore. Loreana quitta le lit toute excitée, se demandant d’où elle tenait cette idée de Chantilly. En tout cas, si ce n’avait pas été Maximilien dans ce lit, jamais elle n’aurait osé… Mais peu importe. Elle se saisit de la bombonne de crème Chantilly dans le frigo et revint vers le lit, d’une démarche féline, en jetant un regard coquin à son élève. Elle s’assit auprès de lui et, d’un geste, se mit de la Chantilly dessus. Elle commença sur son ventre et remonta d’un filet vers ses seins, qu’elle couvrit généreusement. Ensuite, elle lâcha la bombe et invita Max…

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MessageSujet: Re: Pardonne moi Pardonne moi Icon_minitimeJeu 25 Juin 2009 - 17:57

    Pardonne moi Chace-chace-crawford-3621336-100-100 Pardonne moi Thirte10
    « Tatoue moi sur tes seins, fais
    le du bout de mes lèvres
    » Mikealangelo


    Quelle délicieuse sensation d’être ainsi entre ses jambes. Quel endroit moelleux et doux. Maximilien s’en délectait, tandis qu’à genoux, il parcourait son ventre et ses cuisses de coup de langues bien senties. Il se sentait si bien et son entrejambe ne cessait de lui faire remarquer qu’il était temps de passer à la vitesse supérieur. Il se redressa alors et repoussa à nouveau légèrement Loreana un peu plus loin sur le lit. Il s’allongea alors doucement sur elle et commença à l’embrasser en long et en large, il lui mordillait la gorge, les épaules tout en les embrassant et en les léchant. Ses mains, pendant se temps là, se dirigèrent avec douceur tout en la caressant vers son dos où il libéra d’une main experte la volumineuse poitrine dont les tétons pointaient vers lui ! Il la contempla quelques secondes avec des étoiles dans les yeux. Quelle chance, il avait de la voir ainsi, nue et offerte à lui. Ses seins bien ronds et bien modelés l’appelaient si bien que Maximilien les embrassait avec douceur, prenant les tétons en bouche qu’il mordillait lentement. Quel délice. Il ne pu s’empêcher de gémir lorsqu’il la sentit s’agiter sous lui. Et puis, d’un seul coup, alors qu’il s’apprêtait à lui faire subir une douce torture, la belle en décida autrement. D’un coup de hanche particulièrement bien placé, elle inversa la situation et ainsi se retrouva au dessus. Maximilien, quant à lui, se retrouvait en dessous, bizarrement cela ne le dérangeait pas, bien au contraire. Elle s’agitait doucement au dessus de lui, collant son corps magnifique contre le sien. Ils semblaient faits pour s’accorder, son corps se moulait parfaitement au sien. Il sentait ses seins pointer contre son torse et il ne put s’empêcher de frémir à ce contact. Ce fut à ce moment là, que les choses sérieuses commencèrent.

    Loreana se mit à l’embrasser doucement sur la bouche puis commença à descendre doucement mais sûrement. Elle n’épargna ni de ses lèvres, ni de sa main aucune partie de son corps. Elle le torturait carrément. Elle s’attaqua à son coup le mordant, l’embrassant et laissant sa langue vagabonder à ses envies en direction de son torse. Ses mains parcouraient ses abdos et sa bouche avait pris d’assauts ses pectoraux alors elle descendit encore et encore tandis que Maximilien se cambrait sous ses caresses et gémissait à ne plus savoir se retenir. Parsemant encore son corps de petits baisers, elle arriva finalement à son entre jambe où elle dévisagea un petit instant le boxer qu’il portait encore alors finalement, comme agacé par sa présence, elle le fit glisser d’un seul coup vers le bas et saisit d’un main ferme la verge du garçon déjà tendue par le désir. En sentant les petits doigts de sa dulcinée se refermer sur son membre, Maximilien gémit de plaisir pendant qu’elle commençait à faire un petit vas et viens. Mouvement qu’elle se mit à accélérer petit à petit. Quel plaisir. Maximilien gesticulait tandis qu’il se retenait déjà d’éjaculer. Il voulait garder tout cela pour la pénétration mais elle le torturait et elle le savait bien, la petite coquine. Il ne tiendrait pas mais ce n’était pas bien grave, si les préliminaires allaient être comme il le prévoyait, ils seraient suffisamment longs pour avoir plusieurs longues vagues de plaisir. Il se laissa alors mener à la barque, sentant son membre se durcir de plus en plus lorsque tout d’un coup elle arrêta le mouvement. Maximilien releva la tête et gémit de frustration. Elle ne pouvait pas s’arrêter ainsi. Mais elle avait une idée derrière la tête. Elle remonta rapidement tout en l’embrassant longuement, elle se mit à lui mordiller le lobe d’oreille, arrachant une nouvelle série de gémissement au jeune serdaigle. Elle finit par se dégager finalement en lui murmurant :


    LOREANA_ « Moi, je préfère les desserts avec de la Chantilly… »

    L’adolescent avait alors bien vite compris la manœuvre et l’idée et ne put s’empêcher de sourire subtilement rien qu’en imaginant la scène qui allait suivre ! Il se dégagea alors de lui et sortit tranquillement du lit. Elle se dirigea en roulant des hanches vers la cuisine pour prendre la chantilly et Maximilien ne put s’empêcher de la regarder partir. Qu’elle était belle et magnifiquement sexy. Sa chute de rein était à tomber par terre et ses jambes fines et élégantes donnèrent des envies à Maximilien. Mais il fallait attendre. Elle revint en effet deux minutes plus tard. De face, elle était encore plus belle. Ses cheveux lui tombaient sur le visage et ses seins, nus, remontaient vers le haut d’une telle manière que le serdaigle en avait le souffle coupé. Mais ce n’était rien par rapport à ce qui allait suivre. Elle vient s’asseoir à nouveau sur le lit et avant que Maximilien n’ait pu dire quoi que ce soit, elle ouvrit la bouteille et s’arrangea pour le faire taire en commençant à s’enduire de chantilly. Le ventre d’abord et puis elle remonta tout doucement vers ses seins. Elle en était couverte. Quel plaisir ! Lorsque enfin elle eut terminé, Maximilien ne résista pas longtemps et il la fit s’allonger sur le lit et il se plaça au dessus d’elle. Lui aussi commença par le ventre, enfuissant son visage dans la chantilly, il se mit à la lécher, cherchant dans la crème blanche à atteindre la peau de la jeune femme. C’était si bon de manger en même temps. Ses mains quant à elles se posaient sur les femmes de Loreana qu’il malaxait petit à petit et tandis qu’il continuait de la lâcher, il se sentit déranger par cette culotte superflue si bien qu’il la fit glisser aussi. Ainsi ils étaient tous les deux nus. A force de bouger, Maximilien commençait lui aussi à avoir plein de chantilly sur le torse mais aussi sur le visage et plus encore lorsqu’il remonta vers la poitrine de Loreana. Il se mit à manger goulûment la crème chantilly en même temps qu’il suçotait ses seins, qu’il triturait et mordillait aussi. IL ne pouvait s’empêcher de gémir à ces contacts alors qu’elle se laissait totalement faire comme si elle était à lui…Il sentit son membre se durcir tandis qu’il s’imaginait déjà le moment où il allait la prendre, la pénétrer, la posséder et l’entendre crier son nom. Oh oui, il avait hâte d’y être mais ce qui se passait maintenant était aussi magique. Jamais une fille ne lui avait donné autant de plaisir, autant d’envie, autant de joie. Lorsqu’il se fut débarrassé d’un maximum de Chantilly, il remonta alors vers le visage de la brune et il l’embrassa à pleine bouche lui barbouillant ainsi la figure de chantilly. Ils devaient être beaux à voir, ces deux là !

    Lorsqu’il eut finit de l’embrasser, de la toucher, de la triturer, de la lâcher, il décida qu’il était enfin temps d’échanger un peu les rôles. IL avait envie de la voir prendre les commandes à nouveau, de la sentir bouger au dessus de lui, de sentir ses mains sur son corps, sa bouche sur son torse, sa langues partout sur lui. Oh oui, il voulait être à elle, il voulait être sienne, il voulait qu’elle le marque à vie, être à elle pour toujours. Il se redressa alors en résistant à l’envie de revenir l’embrasser, lorsqu’à son tour elle gémit de frustration, et il attrapa la bouteille de chantilly. IL commença alors à s’enduire les épaules et la gorge et puis doucement il descendit vers son torse et puis toujours plus bas, jusqu’à ses pieds. Il en était couvert, totalement couvert et c’était à présent à elle de jouer. Pour leur plaisir, pour le désir et surtout pour leur amour !

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