Appelo Mor†em (old)
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Appelo Mor†em (old)


 
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Loreana Wilde
Prof. de Potion
Dir. de Serdaigle
Un jour, je vais crier : "Stop, arrêtez le Terre, je veux descendre !" Loreana Wilde
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Féminin

99 messages
Amour : Bah, euh... J'peux pas l'dire, m'voyez... Parce que... Oh et puis zut ! Ce Serdaigle si sexy...

Pensine
Orientation Sexuelle: Hétérosexuel
Année d'étude: Diplômé
Caractère: Lunatique ° Complexe ° Amoureuse ° Compréhensive ° Innocente ° Renfermée

MessageSujet: Re: Pardonne moi Pardonne moi - Page 2 Icon_minitimeJeu 25 Juin 2009 - 19:33

    Dans les bras d’un ange. Elle s’égarait dans les bras d’un ange. Mais ce n’était pas l’Ange Gabriel… Non, c’était un nouveau venu : l’Ange Maximilien. Pourtant, ce bel Apollon, elle l’avait rencontré quelques années auparavant… Elle se souvenait encore de sa petite bouille de troisième année, à l’époque ou il était encore (relativement) innocent… Les choses avaient bien changé. D’ailleurs, c’était un peu après leur première rencontre qu’il s’était mis à manifester un intérêt déplacé pour elle. Il abordait toujours ce petit sourire séducteur, il la complimentait toujours… A l’époque, il ne représentait pas un grand danger : il était si jeune ! Mais il a grandi… Il est devenu bel homme, poli, aimable, terriblement sexy… Et il ne cessait pas de la draguer, de lui glisser de très nombreux sous-entendus… Et, au bout de plusieurs années, Loreana avait enfin cédé. Il avait eu ce qu’il voulait. Il l’avait mise dans son lit. Et comment s’était-il conduit, cet ange ? En véritable ordure, en connard : il l’avait abandonnée. Mais aujourd’hui, c’était différent. Loreana le sentait. Dans ces caresses, dans sa respiration, dans sa voix… Il y avait quelque chose qui manquait dans la cabane. Cette fois-ci, il ne la laisserait pas seule. Cette fois-ci, il resterait…

    Mais Loreana avait autre chose à penser. En fait, non : elle était tout bonnement incapable de penser lucidement. Assise sur son lit, Maximilien à genoux face à elle, la situation était de plus en plus chaude. Le Serdaigle avait tôt fait de déshabiller sa directrice de maison, qui n’était maintenant plus qu’en sous-vêtements. Il distribuait généreusement caresses et coups de langues sur tout le corps cabré de la brunette, qui se retenait tant bien que mal de gémir de plaisir. Elle devait bien avouer que ce gosse était particulièrement doué. Jamais un homme ne l’avait mise dans cet état. Et pour cause : elle sentait que cet ange entre ses jambes, c’était le bon. C’était avec lui qu’elle voulait le faire. Et ce sentiment était apparemment réciproque. Malgré tous ces efforts, la jeune prof ne put retenir un léger gémissement quand Maximilien remonta et vint lécher sa poitrine, toujours prisonnière de ses sous-vêtements. Mais le Serdaigle passa à la vitesse supérieure : il repoussa Lor’ un peu plus loin sur le lit, et il vint se coucher sur elle, l’embrassant au passage. Lui laissant les commandes, elle subissait avec excitation toutes les tortures que lui imposait son ange. Il décida de la torturer encore, et la débarrassa de son soutien-gorge en un geste, pour s’emparer de ses seins. Le souffle de Loreana s’accélérait et se mua en faibles gémissements quand l’aigle lui titilla les tétons de sa langue. De plaisir, Loreana se cabra et en profita pour redevenir maîtresse de la situation. D’un coup de hanches puissant, elle stoppa net son bien-aimé et, en un sourire coquin, s’empara de ses lèvres. Elle descendit progressivement, lui léchant le cou, lui mordillant les épaules, caressant son torse, léchant des abdos… Et puis elle rencontra un bout de tissu. Elle jeta un dernier regard au visage de son amant avant de le dénuder complètement et de libérer une verge déjà bien dure. Elle la contempla quelques instants avant de la prendre en main et de commencer un va-et-vient très lent au début. Ne lâchant pas le membre dressé, elle refit le sa langue le chemin inverse et remonta embrasser son Roméo alors que sa main était de plus en plus rapide. Elle constata avec un sourire en coin qu’il ne savait retenir un gémissement de plaisir et qu’il luttait déjà contre un plaisir trop rapide. Avec un autre sourire, Loreana stoppa net son mouvement, arrachant à Apollon un gémissement de protestation et lui murmura en un souffle :


    LOREANA « Moi, je préfère les desserts avec de la Chantilly… »

    Son sourire s’élargit quand Maximilien croisa son regard, un regard animé d’une lueur de désir. Ayant deviné ses intentions, le Bleu et Bronze la laissa quitter le lit, à moitié nue. Elle mit volontairement beaucoup de temps, d’une part pour faire languir son bel amant, et d’autre part parce qu’elle avait remarqué le plaisir avec lequel Maximilien la contemplait. Une fois dans la cuisine, elle se fit la réflexion que cette idée ne lui aurait jamais traversé l’esprit, si l’homme allongé nu sur le lit n’avait pas été Maximilien. Avec un sourire en coin, elle ouvrit le frigo et se saisit d’une bombe de crème Chantilly. Le simple fait d’imaginer la scène qui allait suivre l’excitait au plus haut point. Elle revint vers le lit, toujours d’une démarche très lente, histoire de faire languir l’ange impatient. Quand elle se rassit sur le lit, il voulut dire quelque chose, mais Loreana le coupa net en ouvrant la bouteille de Chantilly et en commençant à s’enduite le ventre et les seins. Puis elle déposa la bombe et se tourna vers son élève, le regard empreint d’invitation. Et il ne se le fit pas dire deux fois : il invita son professeur à se coucher puis se positionna au-dessus d’elle et débuta immédiatement son œuvre : il lécha d’abord le ventre, pour l’en débarrasser de la crème blanche, et suivait le même parcours que Loreana. Plus il s’approchait de sa poitrine, moins la brunette parvenait à se maîtriser. Elle commençait à bouger sous lui, accueillant un plaisir progressif. Enfin, il arriva à ses seins. Le nombre de gémissements qui parvenaient à quitter la gorge de la belle brunette augmentait toujours, alors que le jeune homme s’était enfin décidé à lui enlever ce morceau de dentelle superflu. Ils étaient donc tous les deux nus. Ses caresses devinrent de plus en plus virulentes et agréables, et le sort qu’il réservait à ses seins la fit se cabrer encore. Il les léchait, les suçait, mordillait les tétons… Que du bonheur !

    Lorsqu’il l’eut débarrassé de la plus grande partie de la crème, il remonta vers son visage et l’embrassa, la couvrant de Chantilly sur le visage, ce qui lui arracha un petit rire. Puis il décida qu’il en avait assez fait, et que c’était à elle de faire le reste. Elle le regarda tendrement s’enduire consciencieusement de crème et se coucher. Loreana savait déjà par où commencer. Elle se coucha à côté de Max, qui tourna la tête vers elle, et entreprit de lui laver le visage à coups de langue. Elle en profita au passage pour lui arracher un baiser passionné et, quand le visage du Serdaigle fut libre de toute crème, elle se mit à lui lécher le cou, en parsemant de baiser chaque centimètre carré de peau libéré de cette fameuse crème. Elle descendit ensuite un peu plus bas, lui léchant les épaules et le torse, titillant de la langue ses petits tétons, s’arrangeant pour couvrir chaque millimètre de son corps de baisers. Elle descendait toujours plus bas et avant de lécher ses abdos, elle s’empara du doigt d’un peu de Chantilly et laissa Maximilien lui lécher le doigt, pendant qu’elle débutait à ses adbos. A mesure qu’elle s’approchait du membre dressé, Loreana sentait son cœur s’accélérer. Les abdos étaient maintenant débarrassés de toute leur crème, et Loreana se trouva face à la verge bien dure. D’un regard malicieux, elle donna un coup de langue, un seul, sur le gland de son élève, puis laissa le membre sans plus y toucher et commença à lui lécher les testicules. Elle prenait un malin plaisir à les sucer, tout en évitant soigneusement la verge de son Apollon. Puis, elle descendit encore et nettoya méticuleusement ses jambes de son prince avant d’enfin reconsidérer son membre. Elle se plaça entre les jambes du jeune adolescent et lécha dans un premier temps son membre sur toute sa hauteur. Puis, jugeant qu’il avait assez attendu, le prit entièrement en bouche et, tout en continuant de la nettoyer de sa langue, débuta un lent mouvement de va-et-vient. Elle accélérait progressivement, tout en entendant les gémissements rauques de l’amour de sa vie.

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Maximilien E. Middle
Admin | Serdaigle
Loosing control...Help him to get up! Maximilien E. Middle
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Amour : Loréana Wilde est et sera pour toujours l'amour de sa vie!

Pensine
Orientation Sexuelle: Bisexuel
Année d'étude: 7ème année
Caractère: Sincère, honnête, fou, motivé, drôle, beau parleur, inteligent, charmeur, loyal, passioné, passionant, têtu, bien élevé, révolutionnaire, débrouillard, autonome, sarcastique, protecteur, volontaire, amusant, sportif, classe, patient, franc, écrivain, artiste! etc

MessageSujet: Re: Pardonne moi Pardonne moi - Page 2 Icon_minitimeJeu 25 Juin 2009 - 21:30

    Pardonne moi - Page 2 Chace-chace-crawford-3621336-100-100 Pardonne moi - Page 2 Thirte10
    « Tatoue moi sur tes seins, fais
    le du bout de mes lèvres
    » Mikealangelo


    Il en avait culbuté des filles, le jeune serdaigle. Des blondes, des brunes, des noirs, des jaunes, il les avait tous baisé les une après les autres, les faisant tous hurler de plaisir et de joie, prenant un plaisir sans fin à les renverser par derrière ou par devant. Il n’avait jamais été particulièrement doux mais il avait l’art d’être doué et surtout la particularité de s’adapter à aux envies et désirs de ses partenaires. Ainsi donc il était devenu l’amant idéal des femmes comme des hommes pour être exact qu’il avait souvent pris ou par qui il avait souvent été pris ! Oui, il avait eut un nombre de conquête assez inconsidérable et pour cause, il les ramassait n’importe ou. Dans des bars, à Poudlard, chez lui, dans la rue, dans les parcs, dans la forêt, dans les salles de bains. Il était le serviteur de ces dames et de ces sieurs qu’il baisait à chaque fois avec plaisir. Oui, baiser était le mot parce que « faire l’amour » c’était ce qu’il allait faire à Loreana et cela ne correspondait à aucune de ses anciennes parties de jambes en l’air. Jamais il ne s’était senti aussi bien dans les bras d’une femme, jamais il ne s’était senti aussi à l’aise, aussi confiant et jamais, oh jamais, -et pourtant il en avait des points de comparaisons- il n’avait ressentit autant de désir pour quelqu’un ni autant de plaisir en compagnie d’une de ses conquêtes. Mais peut-être parce que Loreana n’était pas qu’une simple conquête, il le savait maintenant, elle n’était pas qu’un fantasme d’adolescent. Non, elle était LA Femme qu’il lui fallait. La femme du destin, du chemin. L’ange que Dieu lui avait envoyé, la perfection qu’on lui avait gentiment présenté. C’était elle, et là, alors qu’il était couché sur elle, il le savait, c’était d’elle qu’il avait besoin, c’était à elle qu’il voulait faire l’amour, c’était elle qu’il voulait posséder, elle qu’il voulait prendre, avec elle qu’il voulait construire quelque chose. Quelque chose de beau, quelque chose de vrai et d’unique, quelque chose dont ils seraient les suzerains, elle la reine et lui son roi dévoué ! Il voulait lui appartenir totalement ! Oui, Loreana était celle qu’il avait souvent attendu et chercher à travers le sexe de toutes ces filles faciles et maintenant qu’il savait qu’elle était LA bonne, il ne la lâcherait pas, c’était clair et il lui ferait l’amour autant de fois qu’elle le voudrait !

    Il se mit alors à la lécher des pieds à la tête. Il fallait qu’il lui enlève cette chantilly pour la voir à nouveau nue. C’était comme une double récompense. Il commença alors par lui nettoyer le ventre tout en la débarrassant du dernier bout de tissus superflu : le sous-vêtement du bas. Il entreprit d’avaler la chantilly par grand goûte tout en lui titillant le nombril et les seins. Il la mordillait, l’embrassait, la câlinait tout en mangent la chantilly que Loreana avait eut la bonne idée d’aller chercher en tortillant du corps pour se faire désirer. Maximilien commença à remonter doucement le long de son corps, se frottant à elle pour monter l’excitation, il ne put s’empêcher de gémir en sentant la pointe des tétons de la belle se durcir et se pointer violement dans sa bouche. Il frissonnait, avait du mal à respirer tant il avait déjà envie de la prendre. Mais le plaisir allait durer, il le fallait parce que rien n’était plus beau que ce moment intense qu’ils partageaient. Il remonta dans sa gorge qu’il entreprit de nettoyer aussi à grands coups de langues, s’enduisant au passage le nez et le bouche de chantilly. C’était fait exprès, ainsi il pu remonter allégrement pour l’embrasser et lui mettre quelque peu de crème dans la bouche et sur le nez, nez qu’il entreprit de lécher aussi, baisant le contours de ses yeux, son fronts, ses cheveux alors que ses mains s’égarait du côté de ses fesses qu’il malaxait comme il avait tant de fois rêver de le faire. Les deux mains sur les hanches, il l’embrassait encore et encore jusqu’à ce qu’il décide de changer un peu le cours des choses. Il voulait se sentir soumis, il voulait la voir au dessus, la sentit au dessus, la sentir s’agiter contre lui. Il voulait avoir sa bouche sur son corps, sa langue aussi et ses mains encore et encore. Il était temps d’échanger à nouveau les rôles et que Loreana reprenne à son tour les choses en mains ! Oui, il avait hâte de savoir ce qu’elle était capable de faire et il ne doutait pas que les choses allaient être grandiose et que le septième ciel serait à lui pour l’éternité.

    Il attrapa alors la bouteille de chantilly qui avait été balancé sur le côté lors du premier coup. C’était à son tour de s’en décorer. Il secoua quelque peu le flacon et appuyant le petit bouton entreprit de s’en enduire doucement. Il commença par son coup puis descendit tranquillement, pour se faire désirer, le long de son torse en commençant par ses pectoraux, le ventre et sans omettre le nombril. Il descendit alors encore plus bas, se demandant où cette audace allait le mener. Il n’avait pas idée à quel point le voyage allait être mémorable ! Lorsqu’il eut terminé, il envoya valser la bouteille au loin et il n’eut même pas le temps de parler que Loreana l’avait déjà allongé sur le lit pour se mettre à l’embrasser longuement. Ce fut son tour de jouer l’aspiration, elle se mit à le lécher en le lavant de toute chantilly, dévoilant petit à petit des morceaux de peaux qu’elle embrassait ce qui retirait de petits gémissement de plaisir au serdaigle qui ne pouvait déjà plus s’empêcher de bouger légèrement du bassin. Elle descendit encore plus bas pour arriver au torse qu’elle continuait de lécher afin de se débarrasser définitivement de cette fameuse crème chantilly. Pendant ce temps, elle n’oublia pas de faire travailler Maximilien. Tandis qu’elle l’embrassait, tandis qu’elle le mangeait de baiser et le torturait de sa langue, elle passa son doigt dans la chantilly et le remontant vers le haut, le plaça juste devant la bouche de Maximilien. Le serdaigle prit alors le doigts fin de sa bien aimée dans sa main et entreprit de le lécher longuement puis de le sucer tandis qu’elle descendait toujours plus bas au fur et à mesure qu’elle débarrassait son corps de cette crème blanche. Elle arriva enfin en face du sexe du jeune homme au quel elle donna un seul et unique coup de langue. Maximilien se cabra sous le plaisir et la frustration. Il avait envie de la sentir contre lui, maintenant ! Mais la belle en avait décidé autrement. La tête en face du sexe du jeune homme, elle se mit à le torturer en s’occupant uniquement des testicules. Elle les lécha longuement et généreusement le débarrassant de toute chantilly et faisant frissonner, gémir et hurler Maximilien qui n’en pouvait plus. Et puis, enfin, elle se dirigea vers le membre tendu et le nettoya aussi. Elle le lécha longuement ici et là, de haut en bas, de long en large, mordillant ici et là et l’embrassant, Maximilien en hurlait de plaisir et puis finalement, le bouquet final : elle prit la verge dans sa bouche. Commença alors un va et viens avec sa bouche. Elle refermait ses lèvres à certains endroits comme si elle savait où il fallait le faire pour le faire hurler et cela marchait parfaitement bien. Maximilien atteignait l’extase et il fallait qu’il arrête la machine maintenant parce qu’il ne tiendrait plus très longtemps !

    Il se redressa alors légèrement pour faire signe à Loreana de remonter vers le haut. Il l’attrapa par les dessous de bras, frôlant sa poitrine afin de la guider vers le haut et lorsqu’elle fut au même niveau que lui, il se mit à l’embrasser langoureusement et d’un coup de hanche bien sentie, il inversa la situation. Il avait envie de descendre et d’embrasser le sexe soyeux de la jeune femme mais il fallait qu’il la pénètre, maintenant ! L’attente commençait à se faire douloureuse et il savait qu’il aurait le loisir de faire cela une autre fois. Alors d’un coup de hanche, il se retrouva donc au dessus et il commença à l’embrasser doucement, les mains sur les hanches de la jeune femme, il se plaça au bon endroit et la pénétra d’un coup de rein. Mon dieu ce qu’elle était soyeuse, ce qu’elle était étroite et humide. Maximilien en hurla de satisfaction de se sentir enfin en elle. Ils restèrent un cours instant immobile et puis finalement, enfin, il se mit à bouger tout d’abord doucement d’avant en arrière. Il voulait la fouiller entièrement mais petit à petit le rythme s’accélérait. Il l’embrassait encore, la touchait, la caressait, lui mordillait les lèvres et les oreilles. Il lui faisait l’amour comme il ne l’avait jamais fait à personne et puis lorsqu’il sentit qu’il ne tiendrait plus, il lui pinça les tétons. Il voulait qu’elle parte au paradis en même temps que lui. Il accéléra alors au maximum sa cadence, encore plus vite, encore plus fort, encore plus loin, encore plus bon et puis enfin, dans un hurlement rauque, il se libéra en elle. Son membre tendu pu enfin se soulager. Il hurla alors de plaisir, se cambra en arrière en sentant le périnée de Loreana se rétracter autours de son membre.

    Il lui avait fait l’amour, enfin. Il lui avait fait l’amour comme un serviteur, comme un roi, comme un fou, comme un soldat. Il l’avait aimé plus que tout et tandis que, toujours en elle, il se reposait bien contre elle, la tête sur la poitrine, il comprit qu’il l’aimait encore et qu’il l’aimerait toujours !

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MessageSujet: Re: Pardonne moi Pardonne moi - Page 2 Icon_minitimeJeu 25 Juin 2009 - 22:55

    L’Ange avait été bien audacieux pour descendre si bas avec la Chantilly, mais ça ne déplaisait pas à la brunette, que du contraire. Le petit jeu auquel jouaient les deux tourtereaux, où chacun tentait de se faire désirer le plus possible, battait son plein. Pour l’instant, c’était Loreana qui menait, par 3-1. Il fallait dire que le match n’était pas difficile, car Maximilien ne semblait plus apte à attendre quoi que ce soit. Il s’était laissé aller à son désir, abandonnant toute lucidité, ce qui n’était pas plus mal, d’ailleurs. Toutefois, il parvint à marquer un point lorsque vint le moment de s’enduire. Il avait fait traîner les choses sciemment, laissant à sa prof des regards provocateurs. Loreana avait attendu, maîtrisant son corps tant bien que mal, se mordant la lèvre inférieure pour ne pas céder. Mais Maximilien sut ô combien l’épreuve avait été rude : à peine eut-il lâché la bombe de Chantilly que la brunette lui sautait dessus et se mit à lécher cette bouille d’ange qu’elle avait tant désiré. Elle n’omit aucun détail : elle lui lécha le front, le nez, les lèvres, le menton, les joues… Mais sa préférence venait quand même aux lèvres, qu’elle captura une énième fois de l’après-midi, après les avoir léchées et reléchées. Quand elle eut finalement terminé avec son visage, elle prit ses lèvres une dernière fois avant de continuer son parcours en descendant par le cou. Elle commença son « nettoyage » à grands coups de langue, et sentir son ange frissonner sous ses caresses l’excitait encore davantage. Alors, elle se mit à parsemer chaque centimètre découvert de baisers fiévreux, dans l’unique but d’exciter le bel Apollon encore plus. Et force était de constater que cela marchait. Mais elle sentait son désir de le sentir en elle s’accroitre démesurément, et elle savait qu’elle ne tiendrait plus longtemps. Alors, elle pressa le mouvement, léchant toujours aussi passionnément le corps de son bien-aimé. Petit à petit, lentement mais surement, elle descendait vers l’entrejambe excitée du Bleu et Bronze. Elle avait déjà sa petite idée du sort qu’elle allait lui réserver alors qu’elle s’attaquait au torse du jeune homme. A peine ses tétons libérés, elle les titilla de la langue et alla jusqu’à les mordiller, alors qu’elle mit un peu de Chantilly sur un doigt qu’elle présenta à Maximilien, histoire qu’il puisse avoir un avant-goût de ce qui l’attendait. Elle en arrivait donc à ses abdos, qu’elle explora de la langue en vantant intérieurement la beauté et la pureté du corps de son bel amant. Et, enfin, elle arriva à hauteur du sexe d’un Maximilien extrêmement excité.

    Un coup de langue. Un seul. C’est là toute l’attention qu’elle daigna accorder au membre dressé de son jeune Apollon. Avec un sourire malicieux, elle lui fit comprendre qu’elle comptait bien le faire languir le plus longtemps possible. Il fallait lui apprendre la patience, à cet ange impulsif… C’est pourquoi elle évita la verge, au grand dam du jeune ange, et se concentra d’abord sur ses testicules, elles aussi pleines de Chantilly. Elle les lécha, les suça, les lécha encore, et resta là le plus longtemps possible, pour obtenir le meilleur effet lorsqu’elle s’attaquerait enfin au sexe de son élève. D’ailleurs, ça ne serait pas très difficile, tellement Maximilien avait envie d’elle (même si l’inverse était également vrai). Quand elle n’eut plus d’autre choix, elle daigna enfin se concentrer sur la verge bien dure. Elle la lécha sur toute sa hauteur, mordillant ici, suçotant là, trouvant les bons endroits pour faire hurler son chéri. Puis la belle le prit entièrement en bouche, continuant de le titiller de la langue, faisant hurler l’homme de plus belle. Elle entama un lent va-et-vient, qu’elle accéléra en sentant l’excitation de Maximilien atteindre des sommets en même temps que la sienne. Le jeune homme ne tenait plus : il gigotait du bassin, tenant apparemment de retenir un plaisir énorme, il hurlait son plaisir, s’agrippait aux draps, ployant sous les caresses de la belle. Et elle, voyant l’effet qu’elle avait sur lui, accélérait le mouvement, le faisant hurler de plus belle. Mais soudain, il se redressa légèrement, faisant clairement comprendre à la brunette qu’il la voulait, là maintenant. S’était d’ailleurs également ce que voulait la jeune femme : le sentir en elle, maintenant. Loreana entreprit de remonter vers lui, mais Maximilien la saisit par les hanches et la ramena à lui, prenant ses lèvres dans un long baiser passionné avec un arrière-goût de Chantilly. Décidant de laisser les commandes à son bien-aimé, Loreana ne résista pas lorsqu’il se plaça au-dessus d’elle d’un puissant coup de hanches. Il posa ses mains sur les siennes, de hanches, et l’embrassa langoureusement, avant de la pénétrer d’un coup bien placé. Loreana ne sut se retenir plus longtemps et hurla de plaisir, en même temps que son ange. Enfin elle sentait en elle cet homme puissant, cette verge bien dure… Ils restèrent immobiles l’espace d’un instant, haletants, puis Maximilien se mit à bouger lentement d’avant en arrière, manœuvre qui arracha de nouveaux cris à la belle brune. Elle se colla plus fort à Maximilien alors qu’il accélérait le rythme, l’embrassant sur les lèvres, lui léchant les lobes. Le cœur de Loreana s’emballait, sa respiration s’accélérait à mesure que Max marquait la cadence. Le souffle court, elle le sentait aller et venir en elle, ce qui la faisait brûler de l’intérieur. Bientôt, une douce chaleur s’emparerait d’elle : le plaisir.

    Mais pour l’heure, Max était enfin en elle, allant et venant de plus en plus vite. Petit à petit, elle sentait qu’elle montait vers l’extase, et elle sentait que Maximilien ne tiendrait plus très longtemps. Comme pour confirmer sa pensée, celui-ci accéléra encore la cadence, arrachant à la dirlo de Serdaigle des cris de plus en plus rauques, et il se mit à lui pincer les tétons. Maximilien fut le premier à atteindre le septième ciel et se déversa en elle, ce qui eut pour conséquence de la catapulter dans l’extase elle aussi. Ils hurlèrent leur plaisir ensemble alors que la belle se cabrait sous l’effet du plaisir.

    Puis ils se turent. Max posa sa tête sur sa poitrine qui se soulevait rapidement. Elle ruisselait de sueur et quelques mèches de cheveux étaient plaquées contre son front. Elle se sentait bien, si bien… Max était encore en elle, et il respirait vite, très vite. Elle posa une main dans ses cheveux et l’autre dans son dos. Elle effleura son ange du bout des doigts en réalisant que cette fois, il resterait, que cette fois était le début de leur histoire. Lentement, elle parvint à dompter sa respiration et à se calmer. Mais elle eut un dernier gémissement de plaisir lorsque Max se retira et se coucha à côté d’elle. Cette fois-ci, il resterait. Cette fois-ci, s’était différent. De toute façon, la jeune prof avait pris la précaution de fermer la porte de son appartement : il ne pourrait pas sortir, quoi qu’il arrive. Elle eut un léger sourire à ces pensées et lâcha le plafond des yeux pour regarder son prince. Il était aussi essoufflé, en sueur, et il la regardait. Loreana lui sourit et s’approcha pour l’embrasser.

    Mais une question trottait dans sa tête depuis un bon moment déjà. Elle craignait de la poser, car elle savait que la réponse ne lui plairait sans doute pas. Après tout, Maximilien l’avait toujours déçue à ce niveau-là. Songeuse, elle se décida enfin de se jeter à l’eau et de la lui poser, peu importe le résultat. Après une grande inspiration, elle se lança :


    LOREANA « Max… Qu’est-ce que tu ressens pour moi, là, maintenant ? »

    Elle posa sur lui un regard doux, même si elle regretta sa question la seconde après l’avoir posée.


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MessageSujet: Re: Pardonne moi Pardonne moi - Page 2 Icon_minitimeVen 26 Juin 2009 - 0:21

    Pardonne moi - Page 2 Chace-chace-crawford-3621336-100-100 Pardonne moi - Page 2 Thirte10
    « Tatoue moi sur tes seins, fais
    le du bout de mes lèvres
    » Mikealangelo


    Il était incapable de penser normalement, incapable de se contrôler, incapable de diriger ses actions. Elle le rendait fou, elle le menait à la baguette, elle le contrôlait totalement d’un seul et unique baiser, elle faisait lui sa chose, sa poupée. Il était à sa disposition, il lui était dévoué, il lui appartenait totalement et il ne pourrait plus survivre sans elle, il ne pourrait plus faire comme si il ne l’avait jamais connu. Il ne pourrait plus s’enfuir et finalement c’était tant mieux : il devait faire face et assumer ce qu’il ressentait et c’était pas plus mal. Il allait être heureux, il le sentait dans les bras de cette femme, il serait le plus heureux des hommes et jamais, ni ses parents, ni ses amis, ni personne ne pourrait détruire ce qu’ils allaient construire. Rien ne le rendrait aussi joyeux que ce qu’il était maintenant et encore moins l’argent des Middle qui valait encore moins maintenant qu’il avait rencontré Loreana, maintenant qu’il l’avait entendu parler, vu sourire et surtout maintenant qu’il avait senti sa langue sur son corps. Il ne pourrait plus jamais sans passer, il ferait tout pour elle, abandonnerait tout pour elle ! Il lui donnerait sa vie si elle en avait besoin. Oui elle était sa vie, elle était son cœur, elle était son ange, sa lumière, sa puissance et maintenant qu’elle était là, il l’avait enfin compris. Mieux valait tard que jamais mais il aurait tellement voulu qu’elle soit sa première fois, qu’elle lui fasse découvrir le sexe et l’amour parce que lui toute sa vie n’avait connu que le sexe et il le regrettait amèrement. Pour la première fois, il savait ce que c’était l’amour et le sexe, les deux ensemble était le plus beau mélange chimique, le plus beau mélange naturel…La plus belle chose au monde et pour un peu, la tête de Loreana entre ses jambes, il aurait pu croire que Dieu existait ! En fait, c’était elle sa déesse, son univers, sa princesse. Il ne trouvait même plus de mots tant il était ailleurs, tant il était bien !

    Le jeu qui consistait à se faire désirer était remporté haut la main par Loreana qui en fit la dernière démonstration. Elle venait de descendre lentement mais sûrement du haut de sa bouche, en passant par le torse pour arriver à son sexe. Elle y déposa un coup de langue, un seul et unique coup de langue qui eut pour conséquence de faire hurler Maximilien de plaisir et d’anticipation. Il voulait plus et toujours plus mais la princesse n’était pas prête à lui accorder ce plaisir tout de suite. Non, elle allait lui apprendre la patience ! Elle dirigea alors doucement sa bouche vers les testicules. Elle entreprit tout d’abord d’enlever toute la chantilly qui se trouvait dessus faisant gémir Max alors qu’elle léchait, reléchait, suçotait et re suçotait. Il n’en pouvait plus mais apparemment, elle avait encore la capacité d’attendre alors elle s’attarda longuement sur les deux petites boules faisant gémir le serdaigle de frustration. Il fallait qu’elle fasse quelque chose et lorsqu’elle sentit, qu’il n’y pouvait plus, elle daigna enfin accorder sa précieuse attention à la verge douloureusement tendue du bleu et bronze qui n’attendait qu’une chose : qu’elle le touche. Ce qu’elle fit enfin avec sa langue. Elle la baladait de long en large faisant bouger Maximilien dans tous les sens. Il n’en pouvait plus, le pauvre tandis qu’elle prenait à malin plaisir à le mordiller ici et là pour finalement prendre le membre dans sa bouche. Enfin ! Le souffle chaud sur le pénis, fit à nouveau gémir Maximilien alors que la belle princesse, s’occupait d’entamer un va et viens avec sa bouche tout le long de sa verge. Maximilien ne se tenait plus, il s’accrochait au drap pour ne pas partir trop vite, il se tenait où il pouvait pour ne pas trop gigoter mais c’était plus fort que lui, son bassin avançait d’avant en arrière. Son membre grossissait encore malgré lui…Au final, lorsqu’il sut qu’il fallait qu’elle remonte maintenant sinon ils n’arriveraient pas au bout de l’acte, il lui attrapa les joues en se redressant un peu pour l’aider à la remonter vers le haut. Il glissa ensuite sa main sous ses bras, lui frôlant les seins, il la fit remonter totalement et lorsqu’elle fut totalement à sa hauteur, il l’embrassa longuement et langoureusement en échangeant d’un coup de hanche leurs positions !

    Il se plaça enfin convenablement. Il était au dessus et elle en dessous, c’était la meilleure position pour la pénétration alors il entreprit de l’embrasser à nouveau, de la caresser sans omettre un seul recoin de sa peau, tout y passait et puis enfin, il se plaça au bon endroit et la pénétra violemment d’un coup de rein bien placé ! Ils hurlèrent en même temps sous l’effet de la nouvelle vague de plaisir qui se déversait en eux. Il resta immobile un cours un instant pour savourer cette sensation de fraîcheur, de douceur. Ce qu’elle était soyeuse à l’intérieur et puis tellement étroite, tellement humide, c’était comme fluide. Maximilien avait l’impression que son vagin était fait pour accueillir son pénis et inversement. Leurs corps étaient fais pour être ensemble et si c’était ressentir cela que de trouver sa moitié alors Maximilien l’avait enfin trouver, sa moitié ! Petit à petit, il se mit à bouger à l’intérieur de sa lumière si bien que les vas et viens s’accélèrent rapidement. Il commençait déjà à voir des étoiles et puis il bougeait, plus il l’embrassait et plus il se sentait partir. Il aurait voulu tenir encore plus longtemps pour que l’instant magique ne s’arrête jamais mais il n’y tenait plus, c’était impossible alors il avança encore plus vite, encore plus loin, encore plus fort. Il voulait qu’elle vienne en même temps que lui ou tout du moins qu’elle le suive de très près. C’était un de ses principes : ne pas jouir sans avoir attendu sa partenaire ! Alors il accéléra à nouveau la cadence et lui pinça finalement les tétons et c’était fini. Il se cambra violement en arrière, hurlant son plaisir. Il se sentait si bien. Dieu, jamais il n’avait ressentit ça ! Il sentit le périnée de Loreana se refermer violement sur son membre et à nouveau il hurla, en même temps qu’elle. Il hurla son prénom, il le cria tellement fort, qu’il eut peur que les murs du château ne s’effondrent sous la force du cri. Ils étaient partis ensemble, ils étaient ensemble et ce pour toujours, il l’avait décidé ! Et lorsqu’un Middle a quelque chose dans la tête, il ne l’a pas ailleurs, croyez-moi !

    Il resta un instant à l’intérieur de la jeune demoiselle. La tête, contre sa poitrine, il la sentait se soulever au rythme de la respiration de la belle. Respiration qui était tout aussi essoufflée que la sienne et ceci n’était pas peu dire. Il transpirait, les cheveux lui collaient au crâne et il senti une fine brise s’y engouffrer lorsque Loreana plaça une main dans ses cheveux et une autre dans son dos. Le paradis de l’amour et du silence. Les secondes passaient et finalement, Maximilien sortit de sa princesse, s’arrachant un hurlement au passage et à elle aussi d’ailleurs et il s’étendit à ses côtés en tentant de reprendre sa respiration ce qui n’était pas une mince affaire. Petit à petit, les souffles du couple se calmèrent et le silence se fit total dans la pièce qui sentait encore bon le sexe, bon l’amour et le cœur. Maximilien n’avait jamais senti une telle odeur lui traverser le nez, jamais ! Il se sentait si bien mais il savait que tout cela n’allait pas durer éternellement et qu’il finirait pas tout gâcher. Il ne savait encore ni quand, ni comment mais il faisait confiance au destin Middle qui s’abattait sur lui pour venir foutre un peu le bordel dans cette magnifique, parfaite petite situation. ET en effet, quelques temps plus tard, Loreana tourna la tête vers lui et lui demanda d’une petite voix encore essoufflée :


    LOREANA_ « Max… Qu’est-ce que tu ressens pour moi, là, maintenant ? »

    Et voilà, qu’est ce qu’il avait pensé ! C’était exactement ça, la question qu’il ne fallait pas poser. Pas maintenant en tout cas, pas après ce moment parfait parce que même si cette fois-ci, il ne s’enfuirait pas et bien il n’était pas prêt à le dire. Oui, il l’aimait Loreana, à la folie et oui il avait envie de lui crier mais les mots ne sortiraient pas de sa bouche. IL n’arriverait pas à les dire. On le lui avait dis si peu de fois, qu’il n’arrivait pas à laisser son cœur hurler ces trois petits mots « je t’aime ». A vrai dire il les avait souvent sortit à tord, pour rien que maintenant ils avaient perdu toute valeur à ses yeux et il le regrettait tellement. Loreana méritait mieux encore que ces trois mots malheureusement si la langue française était une langue bien riche, elle était pauvre sur ce point parce qu’il n’y avait qu’une seule façon de dire « je t’aime », c’était de dire « je t’aime » ! Mais il fallait bien lui répondre quelque chose, il ne pouvait pas éviter son regard à l’infini, il allait devoir répondre. Il fallait qu’il trouve le courage. Il tourna alors la tête vers elle et tenta de parler :

    MAXIMILIEN_ « Je…je…Je t’apprécie ! »

    Quel crétin ! Mais quel crétin ! Si au moins il avait pu trouver mieux, mais non « je t’apprécie ! ». Dire que les mots avaient toujours été ses amis, aujourd’hui, cet après-midi, ils lui faisaient défaut et c’était le pire moment. Il fallait qu’il trouve quelque chose à dire, qu’il laisse parler son cœur. Il pourrait peut-être rattraper le coup. Alors en regardant sa belle dans les yeux, il dit la seule chose qui lui vint dans le cœur, une chose réelle et vraie qui ne pourrait alors que la toucher.

    MAXIMILIEN_ « Je peux juste te dire que j’aurai voulu que aujourd’hui soit ma première fois ! »

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Loreana Wilde
Prof. de Potion
Dir. de Serdaigle
Un jour, je vais crier : "Stop, arrêtez le Terre, je veux descendre !" Loreana Wilde
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Amour : Bah, euh... J'peux pas l'dire, m'voyez... Parce que... Oh et puis zut ! Ce Serdaigle si sexy...

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MessageSujet: Re: Pardonne moi Pardonne moi - Page 2 Icon_minitimeVen 26 Juin 2009 - 14:27

    Oubliant tout ce qui l’entourait, oubliant ses principes et ce qu’elle s’était jurée –à savoir de ne plus jamais se faire avoir par ce joli cœur–, Loreana avait céder à ses passions, à ses pulsions. Si elle s’était, dans un premier temps, contentée d’embrassé l’Ange déchu, elle n’avait pu résister bien longtemps à l’appel du désir et de son frère jumeau, le plaisir. Mais comprenez-la : il était si beau, si séduisant, si… parfait. Et puis, elle le savait maintenant : IL était son âme sœur, sa moitié, son ange, son petit prince… Mais alors, pourquoi diable la faisait-elle souffrir ainsi ? Pourquoi l’avoir abandonnée dans la cabane ? Tâchant d’oublier ses doutes et de mettre entre parenthèses ses interrogations, la brunette avait conduit son petit prince vers le lit, et avait même commencé à le déshabiller. Autant dire qu’elle comptait bien profiter du moment présent et aviser ensuite. Au début, Maximilien se laissait faire docilement, mais la jeune prof savait bien qu’il ne tarderait pas à craquer et à dominer. Alors, il l’avait déshabillée à son tour puis, tous deux en sous-vêtements, il l’avait poussée un peu plus loin sur le lit et, l’embrassant encore et encore, l’avait débarrassée de son soutien-gorge et parsemé son corps de baisers, arrachant quelques gémissements à la belle. Interrompant son ange, elle avait reprit le dessus, l’avait totalement dénudé et avait décidé, pour une raison qui lui échappait encore, de se lever pour aller chercher de la crème Chantilly. Et quelle bonne idée elle avait eu ! La scène qui avait suivi l’avait excitée au plus haut point, et préparée finalement à la pénétration. Elle s’était enduit le ventre et la poitrine de chantilly, invitant Max à venir la nettoyer, ce qu’il fit avec plaisir de sa langue. Il était incontestablement doué et Loreana n’avait pu que subir ses caresses en gémissant. Puis il l’avait à son tour dénudée et s’était enduit de chantilly. Même ainsi recouvert, il était si beau et attirant !

    Jouant à son tour leur petit jeu, Loreana avait couché son élève puis l’avait léché, commençant par son visage si doux, puis descendait progressivement, passant par le cou, le torse, les abdos… Et la voilà maintenant face au sexe bien dressé de son élève. Elle voulait encore le faire languir, elle voulait qu’il la désire encore plus, c’est pourquoi elle se contenta de donner un unique coup de langue sur le pénis de son Apollon, ce qui le fit crier, puis elle se désintéressa de la verge pour se concentrer sur les testicules. Quelle cruelle torture elle lui imposait, et avec quel cruel plaisir elle le faisait ! Elle resta longtemps jouer avec ces deux petites boules, elle les léchait, les suçait, parfois les mordillait très légèrement, puis, lorsqu’elle sentit que son élève n’en pouvait plus, elle laissa là les deux organes et reporta son attention sur le membre bien dur. A nouveau, elle donna un grand coup de langue, qui débuta à la base du pénis pour remonter jusqu’au gland. Maximilien semblait apprécier, au vu du mal qu’il avait à rester immobile. Jugeant qu’il avait assez attendu, la brunette daigna enfin prendre toute la verge en bouche, causant une sorte de transe chez l’ange. Il n’en pouvait plus, il gigotait dans tous les sens, accompagnant le mouvement de va-et-vient de la belle par un mouvement du bassin d’avant en arrière. A ce rythme-là, il ne tiendrait pas bien longtemps. Pourtant, la jolie brunette prenait un malin plaisir à le repousser jusqu’à ses limites, juste pour voir jusqu’où il tiendrait.

    Mais ses limites furent vite atteintes : au bout de quelques minutes, Maximilien se redressa, appelant Lor’ à remonter vers lui. En un sourire, la jeune femme donna un dernier coup de langue à la verge excitée et répondit à l’appel de son petit prince. Dès qu’elle fut arrivée à sa hauteur, il s’empara de ses lèvres comme si ce serait leur dernier baiser, inversa les rôles d’un coup sec des hanches. Loreana se trouvait donc en-dessous de son élève, excitée au plus haut point, et le simple fait de savoir ce qui allait se passer la faisait gémir. D’ailleurs, ce gémissement se mua bien vite en un grand cri inarticulé lorsque le Serdaigle la pénétra d’un coup violent. Le simple fait d’enfin le sentir en elle lui offrait les clés du Septième Ciel, même si l’Ange était pour l’instant immobile. Quelques secondes plus tard, il commença un mouvement lent qui la fit décoller doucement. Puis le mouvement s’accéléra, amplifiant la vague de plaisir qui la submergeait et l’obligeant à crier son plaisir. Le sang battait férocement ses tempes et sa respiration était de plus en plus saccadée à mesure que l’Ange accélérait. Captivée par le visage de son prince, elle ne pouvait faire autrement que le regarder, il était si beau… Il transpirait abondamment, ses cheveux étaient plaqués contre son crâne et il semblait avoir chaud, si chaud… Loreana avait chaud, elle aussi. Mais cette chaleur était tellement agréable ! Maximilien vint coller ses lèvres à celles du prof de potions, qui en profita pour caresser sa langue de la sienne. A la fin de ce baiser, court mais passionné, Loreana sentit que Max ne tiendrait plus longtemps. Ses cris se faisaient de plus en plus rauques, ses coups de reins violents mais agréables, son souffle court. Comme pour confirmer sa pensée, l’Ange se mit soudainement à accélérer encore et à lui pincer les tétons, ce qui la rapprocha de très près de l’extase. Maximilien jouit et se libéra en elle, ce qui la fit jouir à son tour, et ils unirent leur voix dans leur extase, chacun criant le prénom de l’autre. La belle se cabra, gesticula sous son Ange, incapable de résister au plaisir divin qui s’insinuait dans chaque millimètre de son être. Elle crut mourir de plaisir tant sa respiration était saccadée. L’ange posa ses cheveux blonds sur sa poitrine qui se levait irrégulièrement au rythme de sa respiration emballée. Loreana voulut le prendre dans ses bras, lui dire qu’elle l’aimait et l’embrasser, mais la seule chose qu’elle fit fut de passer une main dans les cheveux du jeune homme, tandis qu’elle effleurait son dos de l’autre. Ils restèrent ainsi, Max couché sur Lor’, dans Lor’, sans bouger, pendant quelques minutes.

    Puis le petit prince se retira, ce qui les fit gémir une dernière fois, et ce coucha à côté de sa belle. Essoufflée mais heureuse, la directrice des Serdaigle tentait de calmer sa respiration en regardant le plafond. Elle repassait dans sa tête tous les évènements de la veille, tout ce qui l’avait conduit à se retrouver ainsi essoufflée dans son lit, nue, à côté de Maximilien Middle, essoufflé et nu lui aussi. Dire qu’elle lui avait interdit de quitter le canapé ! Elle ferma les yeux, maudissant et bénissant en même temps ce moment qu’elle venait de vivre. Le silence était total dans la pièce, si on excluait la respiration vive des deux amants. Loreana pencha la tête vers son petit prince, le contempla et lui sourit. Pour la première fois, elle pouvait lire de l’amour dans son regard. Pour la première fois, Loreana était sûre qu’il était le bon. Sans pouvoir résister à cette envie, elle l’embrassa. Mais il y avait cette question, cette satanée question qu’elle voulait poser tout en craignant la réponse. Cette question qu’elle se posait depuis l’épisode de la cabane, cette putain de question qui la torturait jour et nuit, qui la poursuivait et la faisait douter… Elle savait bien qu’elle ne devait pas la poser, car la réponse de Max allait tout gâcher, mais c’était plus fort qu’elle, elle ne put pas s’en empêcher. En posant cette question, elle commit la bourde du siècle.


    LOREANA « Max… Qu’est-ce que tu ressens pour moi, là, maintenant ? »

    Andouille ! Pourquoi avait posé cette question, bon Dieu ? C’est si compliqué que ça d’attendre que Max trouve la force de le lui dire ? Et voilà, c’est malin, ça t’avance à quoi, Lor’ ? Tout ce que ça va apporter, c’est une déception de plus ! Après tout, on en a jamais assez, des déceptions ! Surtout que Max, malgré toute ses qualités, était avec elle le roi de « j’aurais mieux fait de me taire », alors c’était pas une raison pour lui tendre des perches aussi évidentes… Parce que là, tu vas te la prendre en pleine figure, la perche, et tu l’auras bien cherché !

    MAXIMILIEN « Je… Je… Je t’apprécie ! »

    Et Vlan ! La réplique avait assommé la brunette comme un coup de massue. « Je t’apprécie », c’est tout ? Je t’apprécie ?! Totalement perdue, la brunette se détourna de son Ange maladroit et regarda le plafond, les larmes aux yeux. Je t’apprécie. Mais même à ses poissons rouges, il disait plus que « je t’apprécie ! ». Même si elle s’y attendait, cette phrase avait été particulièrement dure à encaisser pour la maîtresse des potions. Le plafond devenait flou, tant les larmes se précipitaient pour sortir, mais la brunette mit un point d’honneur à ne pas pleurer. Conscient qu’il venait de commettre une erreur de taille, Max tenta de se rattraper.

    MAXIMILIEN «Je peux juste te dire que j’aurai voulu que aujourd’hui soit ma première fois ! »

    Sans le regarder, Loreana quitta le lit. S’en était trop. Max était surement l’homme de sa vie, mais il était aussi l’homme le plus maladroit. Même si elle ne voyait pas son Ange, elle devinait sa question muette. Ramassant sur le sol ses sous-vêtements, son jeans et son T-shirt, elle adressa, à l’attention du jeune homme sur le lit, sans toutefois se retourner :

    LOREANA « Vais prendre une douche. »

    Le ton de sa voix indiquait clairement qu’elle voulait être seule, si bien que l’Ange ne tenta rien pour la rejoindre. Les larmes aux yeux, elle quitta le salon et se dirigea vers la salle de bain. D’un geste brusque, elle jeta ses affaires dans l’évier et entra dans la cabine de douche. Elle tourna d’un geste le bouton de l’eau froide, et le liquide se mit à couler. Loreana frissonna au contact de l’eau glacée, mais resta sous la douche : l’eau froide lui permettait toujours de mettre ses idées au clair. Sous l’eau, la jeune femme posa ses mains sur ses épaules, geste qu’elle accomplissait toujours lorsqu’elle réfléchissait. C’est là que sa main droite entra en contact avec quelque chose, elle remonta sa main pour la porter à hauteur de ses yeux. De la Chantilly. A cette vue, Lor’ eut un sourire triste, alors que la crème était déjà balayée par l’eau froide. La brunette ferma les yeux et revit le regard plein d’amour de son Ange alors qu’il la pénétrait. Elle savait parfaitement ce que Maximilien ressentait pour elle, elle l’avait lu dans ses yeux. Et pourtant, il ne parvenait pas à le lui dire… Il avait besoin de temps. De beaucoup de temps. Il avait toujours besoin de temps. Agacée mais compréhensive, la brunette ne savait plus quelle attitude adopter. Il lui fallait prendre une décision. Elle coupa soudainement l’eau et sortit de la cabine en se saisissant d’une serviette. Elle s’essuya vite fait et enfila ses sous-vêtements, puis son jeans et son T-shirt. Son T-shirt ? Non ! Elle avait prit par mégarde celui de son prince, qui était beaucoup trop serré au niveau de la poitrine mais beaucoup trop grand, surtout au niveau des manches : ses mains ne dépassaient même pas ! Avec un sourire tendre, elle sentit le vêtement. Il avait une odeur si douce, si agréable… Celle de Maximilien. Attendrie, elle sortit de la salle de bain, direction le salon. Maximilien n’avait pas bougé… Ah si, il avait remis son boxer. Elle s’approcha du lit et se coucha à côté de Max, se blottissant dans ses bras puissants. Malgré tout ce qu’elle pouvait dire, elle se trouvait quand même si bien auprès de Max ! Ce dernier l’entoura d’un bras protecteur, mais la demoiselle ne put s’empêcher d’aborder un air boudeur et de lui dire :

    LOREANA « T’es qu’un crétin, mon ange. »

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Maximilien E. Middle
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Amour : Loréana Wilde est et sera pour toujours l'amour de sa vie!

Pensine
Orientation Sexuelle: Bisexuel
Année d'étude: 7ème année
Caractère: Sincère, honnête, fou, motivé, drôle, beau parleur, inteligent, charmeur, loyal, passioné, passionant, têtu, bien élevé, révolutionnaire, débrouillard, autonome, sarcastique, protecteur, volontaire, amusant, sportif, classe, patient, franc, écrivain, artiste! etc

MessageSujet: Re: Pardonne moi Pardonne moi - Page 2 Icon_minitimeVen 26 Juin 2009 - 15:45

    Pardonne moi - Page 2 Chace-chace-crawford-3621336-100-100 Pardonne moi - Page 2 Thirte10
    « Tournent les vio, tournent les vio tournent et s'en vont...
    Tournent les vio, tournent les vio, tournent les violons.
    » Jean Jacques G.


    Il y était, enfin ! Il se trouvait au dessus d’elle, près d’elle. Son corps nu était collé et transpirant contre le sien. Il sentait le liquide vaginal de la demoiselle couler contre ses jambes. La chantilly qui restait entre eux, rendait leur corps visqueux et appétissants. Ils se frottaient l’un à l’autre, ils se caressaient sans cesse. Les mains de Maximilien erraient sur la rondeur de seins, la douceur de ses hanches et la cambrure de ses seins. Partout, où elles pouvaient passer, Maximilien les plaçait et alors il caressait, malaxait, triturait. IL n’en pouvait plus. Les mains de la belle en faisaient autant. Il sentait ses doigts sur ses fesses, entre ses jambes, dans ses cuisses, dans le bas du dos, sur son coup, dans ses cheveux. Ils n’avaient jamais assez de contact, ils avaient toujours besoin de plus et encore plus. Toujours plus proches, il fallait qu’ils se touchent, qu’ils soient en contact encore et toujours. Leurs peaux devaient être toucher, Maximilien ne voulait plus qu’il y ait un millimètre d’air entre eux. Il fallait qu’il soit encore plus en symbiose pour la pénétration malheureusement l’étreinte n’était jamais assez étroite et la force de ceux qui veulent s’aimer jamais assez forte alors lorsqu’il n’y tient plus, le jeune serdaigle se plaça correctement entre les jambes de sa princesse et il la pénétra d’un violant coup de rein. Ils hurlèrent en même temps sous la puissance de la vague de plaisir qui les envahit simultanément. Maximilien resta un petit instant immobile. C’était tellement puissant, tellement bon de se sentir enfermé à l’intérieur de Loreana. IL lui appartenait enfin, elle lui appartenait enfin, ils étaient l’un à l’autre et pour toujours, pour la vie. Il le savait et il le lisait dans les yeux de sa belle qu’ils allaient former quelque chose de sérieur et il savait qu’elle pouvait lire la même chose dans ses yeux bleus à lui. Oui, tout pouvait se lire à travers l’acte sexuel qui se déroulait cet après-midi, dans cette chambre entre un professeur et son élève. Puis tout d’un coup, Maximilien se remit petit à petit en mouvement. Son bassin allait d’avant en arrière, délicatement, encore et encore mais petit à petit il augmentait la puissance de son rythme et il allait plus loin, toujours plus loin. Il lui faisait l’amour comme jamais il ne l’avait à quiconque. Il mettait toute sa puissance, toute sa force, tout son amour et tout son cœur. C’était magique de la sentir ainsi autours de son membre, de sentir les pointes de ses seins ainsi dressées contre sa poitrine. Mais il ne tiendrait plus très longtemps. Il était au bord de l’extase, au bord de la jouissance, c’était un sentiment tellement parfait ! Il accéléra alors encore une fois. Il voulait partir en même temps qu’elle, il voulait lui faire l’amour, une bonne fois pour toute et c’était maintenant ou jamais. Plus loin, pour fort, plus grand, plus puissant ! Les vas et viens se faisaient ininterrompus et toujours meilleur, toujours plus bon. Alors enfin, ils atteignirent la jouissance. Maximilien embrassa Loreana langoureusement en lui pinçant les tétons et c’était fait. Il jeta sa tête en arrière, hurla de plaisir et dans un hurlement rauque, se libéra enfin en elle…Il sentit Loreana partir quelques secondes après lui et ils unirent leur hurlement dans une contraction de périnée qui fit se cambrer le jeune aiglon. Il lui avait enfin fait l’amour !

    Essoufflé, fatigué, à bout d’énergie, Maximilien resta à l’intérieur de Loreana quelques instants. Toujours couché sur elle, la tête entre ses seins, le jeune adolescent tout transpirant de plaisir, se sentait parfaitement bien, là tout, contre elle. Jamais de sa vie, il ne s’était senti aussi complet, aussi à l’aise avec une femme, aussi relax. Cette fois-ci, il ne partirait pas, il ne s’enfuirait pas au loin comme il l’avait fait dans la cabane. Même si il avait peur, même si il craignait un peu la suite des évènements, il était prêt à prendre son courage à deux mains et à le faire juste pour elle, juste pour cette magnifique femme qui se tenait essoufflée et nue en dessous de lui. Loreana Wilde. Rien qu’à penser à son prénom, ne donnait des frissons au serdaigle qui ne pouvait s’empêcher de passer doucement ses doigts sur la hanche de SA princesse. Elle en faisait de même avec ses cheveux et avec le bas de son dos en essayant vainement de reprendre le contrôle sur les évènements. Il fallait reprendre contenance, enfin ! Maximilien sortit alors de la brunette, ce qui leur arracha un dernier hurlement de plaisir et aussi de frustration. Il se coucha à ses côtés et contempla un long moment le plafond, devinant qu’à côté de lui, elle en faisait de même. Il se sentait si bien. C’était cela le bonheur, il en était sûr à présent. C’était d’être avec elle, que d’être lui-même. Mais il savait que le bonheur était une drogue que l’on ne pouvait presque plus se procurer et dont les effets étaient éphémère. Ils s’en allaient aussi vite qu’ils étaient venus et bientôt quelque chose lui tomberait sur la tête. Il se connaissait trop bien. IL ne savait pas encore ni comment, ni pourquoi, mais il allait tout gâcher, il le savait. Un mauvais pressentiment, une peur s’était prise de son cœur. Il ne voulait pas que ce moment s’arrête, il voulait reste ainsi, à côté d’elle pour l’éternité mais malheureusement, le destin en avait décidé autrement.


    LOREANA_ « Max… Qu’est-ce que tu ressens pour moi, là, maintenant ? »

    C’était juste la question qu’il fallait éviter. Mais Maximilien la comprenait, elle ne pouvait pas vivre dans le doute. Elle avait besoin qu’il le dise pour être rassuré. Il fallait qu’elle donne un sens à ce qui venait d’arriver et même si elle avait pu lire son amour dans ses yeux, elle voulait qu’il lui dise. Oui, Maximilien le comprenait mais il savait aussi qu’il n’était pas prêt à lui dire ces mots. Il risquait beaucoup, il risquait de la perdre, c’était vrai mais il ne pouvait pas lui mentir. Il voulait que la fois où il lui dirait ces trois putains de mots, soit unique et parfaite et surtout que ce soit pensé. Mais aujourd’hui, maintenant, il ne pouvait pas. C’était trop tôt, il avait besoin de temps. Si il l’aimait ? Oui, il l’aimait, comme un fou, comme un soldat, comme le plus fidèle des serviteurs. Il était à ses pieds, il l’adorait. Elle était si belle, si douce, si jolie et puis cette voix, sa voix tellement mélodieuse. Il lui suffisait de l’entendre pour se sentir rassurer. Il lui suffisait d’un sourire pour s’en voler. Oui, elle était tout pour lui ! Mais de là à réussir à le lui dire, il y avait une marche. Bizarre, n’est ce pas ? Maximilien l’orateur de ces dames, le chef des mots, le roi des lettres, le prince de l’éloquence n’arrivait pas à dire trois petits mots qu’il ressentait vraiment en plus. Ce soir, les mots n’étaient pas de son côté et pourtant il voulait les appelait, il aurait pu leur hurler de revenir, les supplier mais cela ne servirait à rien. Son cœur n’était pas prêt à les dire parce qu’il avait trop peur de souffrir ensuite…Mais que pouvait il dire ? Il n’allait pas éviter son regard toute sa vie. Il fallait qu’il lui dise quelque chose, maintenant…

    MAXIMILIEN_ « Je…je t’apprécie ! »

    Quelle nouille ! « Je t’apprécie ». Ridicule. Si au moins il avait pu trouver mieux mais « je t’apprécie ». Franchement, il arrivait à libérer plus d’amour lorsqu’il parlait à ses chevaux alors franchement, là…Il se sentait minable…Mais c’était plus fort que lui. IL n’arrivait pas à faire suffisamment confiance à Loreana pour lui dire ces trois mots…Les seuls personnes qui pouvaient se vanter de les avoir entendu sortir de la bouche de ce cher serdaigle étaient au nombre de cinq : Léo, son frère jumeau de cœur ; Travis, son autre frère de cœur ; Caleigh, sa mère de cœur ; Maxence, son père de cœur et Elisa, celle qui l’avait élevé et éduque. Mais c’était les seules personnes en qui il avait eut suffisamment confiance pour réussir à dire « je t’aime. » IL avait confiance en Loreana, une confiance aveugle mais il avait peur qu’elle s’en aille, que leur relation n’arrive pas à évoluer après tout, il n’était qu’un enfant pour elle et peut-être qu’elle le laisserait tomber pour un homme de son âge…Ne surtout pas penser à cela…IL ne fallait pas qu’il se sente inférieur à elle. Si il voulait construire avec elle, il fallait qu’ils soient à égalité mais ces mots là. IL n’arrivait pas à les dire…Pourtant, rien qu’à voir Loreana se retourner et clignoter des yeux pour ne pas pleurer lui déchirait le cœur. Il était responsable de sa tristesse et de son désarroi mais il ne savait pas comment y remédier. IL ne savait pas que faire pour qu’elle sourie à nouveau, pour qu’elle se sente bien dans ses bras comme il y avait quelques minutes, avant la fameuse question. Finalement, il se retourna vers elle et et pris le menton de sa belle entre ses doigts pour la forcer à le regarder dans les yeux. Il voulait lire sa tristesse pour la ressentir. Il savait qu’il aurait mal et il voulait se punir de l’avoir faire souffrir ainsi. Mais lorsqu’il vit ses yeux, il sentit son cœur se craquer en deux…Il déposa un chaste baiser sur ses lèvres et lui dit alors la seule chose qui lui venait à l’esprit, qui lui venait sur sa langue et surtout qui lui venait du cœur :

    MAXIMILIEN_ « Je peux juste te dire que j’aurai voulu que aujourd’hui soit ma première fois ! »

    C’était beau ce qu’il venait de dire. Il venait de lui dire qu’il l’aimait plus que quiconque et qu’elle était la seule qu’il désirait, la seule qu’il aimait suffisamment pour lui faire l’amour. Il venait de lui avouer qu’il regrettait de ne pas avoir découvert l’amour et le sexe à ses côtés mais malheureusement ce n’était pas assez pour la princesse. Il avait été maladroit avant et ce n’était pas en une phrase qu’il se rattraperait aux yeux de sa lumière et pourtant Dieu ce qu’il avait envie de voir cette jolie rose s’épanouir à nouveau ! Loreana avait malgré tout besoin d’être seule, besoin de prendre de la distance, besoin de réfléchir à ce qui se passait. Il le comprenait. Elle se dégagea alors de ses bras et se redressa légèrement. Maximilien put apercevoir un peu de liquide s’échapper du long de ses jambes. Un mélange de sperme et de sécrétion vaginal, seul témoin de leurs ébats. Mais elle n’y fit pas attention et elle se contenta de se lever tout à fait. Elle lui tournait le dos mais Maximilien n’eut même pas envie de profiter du spectacle. Il s’en voulait tellement qu’il s’en mordait la langue jusqu’au sang. Qu’avait il fait, bon Dieu ! Pourquoi n’était il pas comme les autres ? Capable de dire « je t’aime » ! Il voulait que ces mots aient un sens. Il regarda alors avec regret, sans savoir rien faire, Loreana s’en aller. Il avait envie de lui courir après mais ses jambes étaient paralysées, il avait envie de la supplier de le comprendre et de lui pardonner mais au lieu de cela, il resta couché…

    LOREANA_ « Vais prendre une douche. »

    Sa voix était froide et distant et Maximilien reçu parfaitement bien le message : elle lui en voulait et avait besoin d’être seul donc pas question pour lui de la suivre. De toute façon, il n’en n’aurait pas eut le courage. Il avait envie de se cacher sous le lit tant il se sentait mal…Mais finalement, il aurait du s’en douter de tout cela, il aurait du prévoir la tournure des évènements et s’arranger pour qu’elle ne souffre pas. Il soupira et se leva alors à son tour : serait il à la hauteur un jour ? Il fit le tour de la pièce, à la recherche de son boxer et il finit par le trouver dans un coin, le pauvre avait été envoyé valser bien loin. Il sourit de nostalgie et attrapa la petite pièce de tissus qu’il enfila rapidement. Il n’était pas pudique mais ne voulait pas que Loreana ne pense qu’il n’était ici que pour le sexe et en restant nu, ce serait sans doute le message qu’il aurait fait passé. Mais il ne pouvait pas se rhabillé complètement non plus sinon ça voulait dire : « j’ai eut ce que je voulais alors je m’en vais ! ». Il fallait faire les choses dans la juste mesure, pour une fois ! Son boxer enfin enfilé, il revint alors se mettre au lit et s’y allongea sans retenue. Il plaça un bras sous sa tête et se replongea dans la contemplation du passionnant plafond afin de s’enfermer à nouveau dans ses réflexions sans fins…Il se mit alors à penser à Loreana, à ce qu’elle devait ressentir, à ses parents, à ses envies, à ses désirs, à ses idées et à sa façon de concevoir une famille. IL ne doutait pas que tout cela allait bien décevoir les parents Middle mais ils allaient devoir s’y faire quoi qu’il arrive parce que même si il ne réussissait pas encore à prononcer ces quelques mots, un jour il le ferait et un jour, il se marierait avec Loreana. Ce n’était pas un rêve de gosse, ni un délire d’adolescent, c’était la décision d’un adulte qui avait enfin trouvé la clef de son cœur !

    Profondément plongé dans ses pensées, Maximilien n’entendit pas la porte de la salle de bain s’ouvrir mais en revanche, il sursauta lorsque Loreana la claqua, sans doute sans faire exprès, violemment derrière elle. Il tourna alors la tête vers sa belle et constata qu’elle était habillée. Il prit cela pour un message bien clair : plus de sexe ! Elle n’avait pas tord de toute façon mais quelque chose clochait. Maximilien la regardait avancer et constata alors que ce n’était pas un t-shert à elle qu’elle portait mais le siens : son t-shert de pyjama…Il lui allait à ravir. Il était un peu large au niveau des manches et des hanches mais bien serrés au niveau des seins qui ressortaient violemment du bout de tissus. C’était plus fort que lui, Maximilien ne put s’empêcher de regarder sa poitrine se soulever et se rabaisser au rythme de ses pas, c’était tellement beau, tellement doux, tellement apaisant. Il s’approcha de lui et se coucha alors à ses côtés. Maximilien ne savait trop comment prendre cette situation et se comportement mais après quelques minuscules secondes de réflexion, il décida de passer son bras autours des épaules de la belle tandis que celle-ci posait son visage contre son torse. Il l’avait dans ses bras, cela voulait dire qu’elle ne le rejetait pas…


    LOREANA_ « T’es qu’un crétin, mon ange. »

    IL avait bien sentit dans le son de sa voix qu’elle ne lui en voulait pas mais les deux derniers mots qu’elle avait prononcés, lui avaient réchauffé le cœur. Elle l’avait appelé « mon ange », alors tout ceci n’était pas un rêve, quelque chose se formait entre eux, une relation sérieuse et soutenue qu’ils allaient entretenir et construire petit à petit. Maximilien eut un petit sourire parce qu’encore une fois son professeur avait raison : il était un véritable crétin ! Et c’était le moins que l’on pouvait dire. Il s’était vraiment comporté comme le dernier des gougea mais elle ne lui en voulait pas trop. Heureux, au paradis, Maximilien embrassa sa fleur sur ses cheveux avant de lui murmurer à l’oreille d’une voix taquine :

    MAXIMILIEN_ « ça fait parti de mon charme, joli cœur ! »

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Loreana Wilde
Prof. de Potion
Dir. de Serdaigle
Un jour, je vais crier : "Stop, arrêtez le Terre, je veux descendre !" Loreana Wilde
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MessageSujet: Re: Pardonne moi Pardonne moi - Page 2 Icon_minitimeVen 26 Juin 2009 - 17:37

    Il faisait chaud, beaucoup trop chaud. Loreana suffoquait, haletait. Son regard était flou, elle ne parvenait à distinguer clairement que le visage du prince penchée au-dessus d’elle. Lui aussi, il avait chaud. Il transpirait, ça se voyait à ses mèches littéralement collées à son front. Il maintenait la cadence à un rythme effréné, hurlant de bonheur, faisant hurler sa princesse. Le sentir en elle, c’était si bon. Il était si puissant, si dur, si… doué ! Il allait de plus en plus vite, de plus en plus profond. Elle se mordit la lèvre inférieure rien qu’en imaginant le plaisir dont elle serait victime quand il se serait déversé en elle. Lui, toujours plus puissant et rapide, tirant parfois sur le violent, ne lâchait pas la brunette des yeux. Il se pencha pour l’embrasser tandis que ses mains se baladaient sur son corps, la faisant se cabrer. De son côté, elle posa ses mains sur les fesses de son amant et profita de ce moment sans se soucier de ce qu’il se passerait après. Le jeune aigle continua son mouvement et la jeune femme criait de plus en plus fort, avide de sensations auprès de cet homme si puissant. Regard dans regard, elle se colla le plus possible à son Ange : elle voulait fusionner, elle voulait ne faire qu’un avec lui, elle voulait partir en même temps que lui… Connaître l’ultime jouissance avec cet Ange, et pas un autre. Soudain, la verge en elle se fit plus rapide et violente, et la jeune femme sentait son compagnon aux portes du paradis. Elle n’en était pas loin non plus, et finit par atteindre le Septième Ciel quelques secondes après lui, lorsqu’il éjacula en elle. Sans qu’elle puisse rien y faire, son dos s’arqua, sa tête roula sur un côté et elle hurla le prénom de son
    Ange, en même temps que lui le sien. Essoufflée, heureuse et encore étourdie, elle accueilli son amant qui vint poser sa tête sur sa poitrine soulevé irrégulièrement par sa respiration saccadée. Alors que le jeune homme était toujours en elle et qu’il caressait ses hanches, Loreana passa une main dans ses cheveux et l’autre effleura son dos, lui causant quelques frissons. Fermant les yeux, elle profitait du moment présent, même si son cœur continuait de battre à vive allure rien qu’à penser aux minutes qui allaient suivre. Mais pour l’instant, elle était bien. Elle se sentait mieux qu’entre les bras de n’importe quel homme, se sentait plus détendue et plus heureuse que jamais auparavant. Jamais au grand jamais elle n’avait connu pareille extase dans les bras d’un homme. Jamais elle n’aurait cru goûter aux plaisirs combinés de l’amour et du sexe. Car elle avait été comme lui, dans sa jeunesse à Poudlard : une couche-partout, multipliant les conquêtes, cherchant dans le sexe un remède contre le malheur. Mais tout c’était brutalement terminé et depuis ses ASPICs, elle n’avait eu que deux hommes dans sa vie. Et Maximilien était le deuxième, et sûrement le bon. Et tout semblait le prouver : son cœur qui battait la chamade lorsqu’elle le voyait, tout le plaisir qu’il lui avait donné cet après-midi, le fait qu’elle n’arrivait pas à lui en vouloir vraiment… Tout portait à croire qu’elle avait enfin trouvé son Tristan, son Roméo, son Apollon, son Ange… Oh oui, elle l’aimait, il n’y avait plus aucun doute maintenant. Toutefois, elle était comme lui : elle ne parvenait pas à le lui dire. Oh, il ne le lui demandait pas, le pauvre, couché sur elle, couché dans elle !

    D’ailleurs, l’Ange se retira quand leur respiration se fut plus ou moins calmée, leur arrachant de petits cris. Ce geste tout con avait fait ré accélérer la respiration de la brunette, qui fixait maintenant le plafond avec un mélange d’amour, de bonheur et d’anxiété. Elle attendait la suite des évènements. Allait-il partir, l’abandonner, une fois de plus ? Ou bien allait-il rester et se montrer à la hauteur de ses attentes ? Son cœur lui disait qu’il allait rester, car elle avait lu dans son regard tout l’amour qu’il lui vouait, mais son cerveau répliquait qu’il allait tout gâcher. Cette pensée fit apparaître un léger sourire sur le doux visage essoufflé de la brunette, qui tourna la tête pour contempler son petit Ange fatigué, son petit Prince revenant d’une bataille. Même dans cet état, il était si beau ! Loreana s’approcha de lui et lui déposa un baiser chaste sur les lèvres, tout en posant une main sur son torse transpirant le plaisir. Alors qu’elle le contemplait, elle se retenait de la poser cette question idiote, cette question qui allait tout gâcher. Oh oui, elle le savait, mais oh non, elle ne pouvait pas se retenir de le lui demander. Bataillant pendant quelques secondes contre elle-même, se persuadant tour à tour qu’elle devait poser cette question puis qu’il ne fallait surtout pas le faire, elle se décida finalement et la posa, cette connerie de question :


    LOREANA « Max… Qu’est-ce que tu ressens pour moi, là, maintenant ? »

    A peine ces mots avaient-ils franchi ses lèvres qu’elle aurait voulu les ravaler et les enfermer au plus profond de son être. Elle se mordit la lèvre inférieure, consciente d’avoir commis une grosse erreur, et voulut se détourner. Mais elle ne le fit pas. Tant qu’à faire, puisqu’elle l’avait finalement posée, la question, autant attendre la réponse. La première réponse du Bleu et Bronze fut muette. Il n’arrivait pas à la dire, mais dans ses yeux elle pouvait le lire : il l’aimait. Mais Lor’ avait besoin d’amour et besoin qu’on la rassure : cette réponse muette ne lui suffisait pas, elle voulait l’entendre de la bouche du Serdaigle. Et pourtant, elle savait qu’il ne parviendrait qu’à répondre de travers… Et c’est ce qu’il fit, d’ailleurs.


    MAXIMILIEN « Je… Je… Je t’apprécie ! »

    Même si elle s’y attendait, cette réponse fit mal à la prof de potions. Elle pensait quand même que Max aurait trouvé quelque chose de mieux… Elle se sentait abandonnée, délaissé, seule. Il fallait qu’elle tombe amoureuse du seul mec incapable de dire « je t’aime ». Elle se détourna de son ange et contempla le plafond, les larmes aux yeux. Non, elle ne pleurerait pas. Pas devant lui en tout cas. Totalement perdue, déboussolée, elle sentit Max lui saisir délicatement le menton et lui tourner le visage vers lui. Une larme parvint à franchir ses yeux, mais elle retint les autres. Fixant son élève dans les yeux, elle voyait combien sa tristesse déchirait le Serdaigle, ce qui était une autre preuve d’amour, mais Loreana ne voulait qu’un chose : entendre Max prononcer ces trois mots à la con… Dévastée, elle ne fit rien pour empêcher l’élève de poser chastement ses lèvres sur les siennes.

    MAXIMILIEN «Je peux juste te dire que j’aurais voulu que aujourd’hui soit ma première fois ! »

    Même si ce n’était pas ce qu’elle attendait, ces quelques mots firent quand même leur effet sur Loreana. Elle mit plusieurs secondes à réaliser ce que venait de dire son ange, mais se rendit compte qu’elle ne pourrait retenir ses larmes plus longtemps, c’est pourquoi elle se libéra de l’étreinte de son prince et quitta le lit, sans accorder le moindre regard à Max. Lui tournant le dos, elle laissa une larme s’échapper, larme qui perla le long de sa joue, puis de sa poitrine pour enfin se mêler au mélange de sperme et de sécrétion vaginale qui coulait le long de sa jambe. Elle n’y prêta guère attention et ramassa dans les vêtements éparpillés ses sous-vêtements, son jeans et son T-shirt. Se dirigeant d’un pas mal assuré vers la salle de bain, elle annonça à l’Ange dans le lit qu’elle allait prendre une douche et sans autre cérémonie quitta le salon. Arrivée dans la salle de bain, elle jeta négligemment ses affaires dans l’évier et entra dans la cabine de douche. Depuis toujours, les douches d’eau froide lui permettaient de réfléchir, c’est pourquoi elle tourna d’un coup sec le bouton bleu, laissa la douche déverser sur elle l’eau glacée. Si elle frissonna dans un premier temps, elle s’habitua bien vite à la température de l’eau et put fermer les yeux. Elle posa ses mains sur ses épaules, signe qu’elle réfléchissait, et sentit un peu de Chantilly sur son épaule droite. Ce petit évènement fit naître sur ses lèvres un léger sourire, qui se teinta de tristesse lorsqu’elle vit en pensée le regard plein d’amour de son Ange lorsqu’il la pénétrait. Il avait juste besoin de temps, elle le savait bien ! Mais elle, elle voulait aussi du temps, mais elle voulait avant tout entendre Max lui dire qu’il l’aimait. Elle se prit à l’imaginer, quelques années plus tard, père de son enfant, lui demandant sa main… Bah, pour cela, il faudrait qu’il parvienne à lui avouer ses sentiments !

    Puis Loreana mit brusquement un terme à sa réflexion, ferma le robinet et quitta la cabine de douche. Il était temps d’affronter Maximilien et ses défauts. Après s’être grossièrement essuyée, elle enfila ses sous-vêtements et son jeans. Mais lorsqu’elle dut enfiler son T-shirt, elle constata avec amusement qu’elle s’était emparée de celui de son Ange. Ne voulant pas sortir de la salle de bain en soutien-gorge, elle enfila le T-shirt aux manches trop longues, tout en s’imprégnant de son odeur si attirante… Elle quitta la salle de bain et reviens vers le salon où l’Ange attendait, uniquement vêtu de son boxer. Avec un demi-sourire, Loreana revint se coucher dans le lit, contre Maximilien, et se blottit dans ses bras où elle se sentait si bien, si complète. L’élève n’osa pas prononcer un mot mais il referma ses bras sur sa prof. Ce fut elle qui brisa le silence :


    LOREANA « T’es qu’un crétin, mon ange. »

    Non, elle ne lui en voulait pas. Oui, elle l’avait appelé « mon ange ». Après tout, elle avait décrété qu’à partir de maintenant il était son ange à elle et qu’il lui appartenait. La première réponse de l’Ange en question fut d’embrasser la belle sur ses cheveux encore humides. Face à cette petite attention, Loreana ne put s’empêcher de sourire. Puis il lui répondit, d’un air taquin :

    MAXIMILIEN « Mais ça fait partie de mon charme, joli cœur ! »

    La réplique fit sourire la belle, qui tenta de poser une main sur celle de son Ange, mais qui dut bien vite abandonner l’idée à cause de ses manches décidément bien trop longues. Elle se détacha alors des bras de son prince et s’assit en tailleur sur le lit, inspectant de plus près ces foutues manches.

    LOREANA « T’as de longs bras, mon ange… Et puis m’appelles pas joli cœur, parce que le joli cœur ici, c’est toi ! »

    A ces mots, elle se saisit d’un oreiller et donna un grand coup à Maxou. Devant son air surpris, la brunette éclata de rire. Mais son rire fut interrompu : l’Ange ripostait. S’ensuivit alors une pagaille indescriptible, les oreillers volaient en tous sens, les draps étaient cruellement éventrés… Ployant sous les coups du jeune homme, la jeune femme poussa finalement son prince sur le lit et se coucha sur lui, souriant jusqu’aux oreilles, et lui dit :

    LOREANA « Max ? Tu m’invites chez toi pour les vacances ? »

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Maximilien E. Middle
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Amour : Loréana Wilde est et sera pour toujours l'amour de sa vie!

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MessageSujet: Re: Pardonne moi Pardonne moi - Page 2 Icon_minitimeVen 26 Juin 2009 - 19:16

    Pardonne moi - Page 2 Chace-chace-crawford-3621336-100-100 Pardonne moi - Page 2 Thirte10
    « Tournent les vio, tournent les vio tournent et s'en vont...
    Tournent les vio, tournent les vio, tournent les violons.
    » Jean Jacques G.


    ***
    Il faisait bien frai dans l’immense demeure Middle. Maximilien venait de passer les portes du salon et il se dirigeait vers l’immense table de la salle à manger qui se trouvait juste derrière la prochaine grande porte. Soupirant, son sac sur le dos, il continuait d’avancer. Il savait qu’il allait se jeter dans la gueulle du loup mais il était grand maintenant, il venait de terminer l’école et il était temps que ses parents se rendent compte qu’il ne serait jamais comme eux. Il fallait qu’il se débarrasse de ce pouvoir, de cette ascendance qu’ils avaient encore sur lui. Il ne pouvait plus dépendre d’eux et même si ils le reniaient, même si ils lui coupaient les vivres, il devait s’assumer. Il pourrait survivre sans cette immense demeure, sans ses piscines, sans ses chevaux tant qu’il était avec Loreana. Il allait avoir tout ce dont il allait besoin et tout ce que ses parents ne lui avaient jamais apporté. Il ne supporterait pas plus longtemps la pression qu’ils plaçaient sur ses épaules à lui et à Lor’ surtout sur celle de son ange. Ils n’avaient pas le droit de les faire souffrir. Maximilien avait décidé qu’il ferait sa vie avec qui il voulait qu’importe le milieu social, qu’importe l’argent, tant qu’il serait heureux avec cette personne. Mais ses parents ne le voyaient pas du même avis, depuis qu’il leur avait annoncé, il y a de cela six mois qu’il avait une relation sérieuse avec son professeur de potion, eux qui n’en n’avait jamais rien eut à faire de lui, ne le lâchait plus d’une semelle. Il recevait des dizaines de lettres et de visites. On le menaçait mais il tiendrait bon ! Il s’avança alors courageusement vers la deuxième pièce et poussa violemment les portes de l’endroit. Apparut alors devant lui l’univers sobre et effrayant dans lequel il avait grandis : une immense table où les gens s’installaient le plus loin possible les uns des autres. Ses parents se trouvaient là, tout au bout. Tremblant légèrement, Maximilien se rapprocha d’eux et prit place sur la chaise juste en face. Au bout de quelques secondes de silence, il se mit alors à parler :


    MAXIMILIEN_ « Père, Mère. J’ai enfin fini Poudlard. Je vous annonce que je ne vais pas reprendre tout de suite les filiales de l’empire Middle ni même une petite entreprise. Je souhaite poursuivre mon étude des potions et pour cela, je dois rester à Poudlard ! Je vais aussi épouser Loreana Wilde cette année et cela, rien n’y personne ne pourra m’en empêcher… »

    Sans attendre la réponse de ses parents, Maximilien se releva en raclant la chaise sur le marbre lisse et leur tourna le dos pour partir. Lorsqu’il fut sortit de la salle à manger, il claqua la porte derrière lui. Le plus dur était fait, maintenant il n’avait plus qu’à retourner à Poudlard, filer dans l’appartement de Loreana et lui demander sa main !
    ***


    Maximilien secoua sa tête sur le côté. Il devait vraiment arrêter de fumer, il commençait à délirer…En parlant de cigarette, comment Loreana prendrait elle le fait qu’il fumait ? Ils en parleront plus tard, là n’était pas le moment ! Il avait d’autres choses en tête qui devaient faire partie de ses priorités comme le fait qu’il avait été incapable de lui dire qu’il l’aimait. Le pauvre pathétique gosse ! Incapable de laisser son cœur parler. Il s’était vraiment enveloppé d’une poche de glace et tout cela à cause de ses parents, ses horribles parents. Il les haïssait de plus en plus. Si ils s’étaient occupés de lui, il n’aurait pas eut besoin de calmer ses malheurs dans le sexe et il aurait alors pu dire « je t’aime » à Loreana…Mais voilà, il en était bien incapable et maintenant, elle était partie pleine de tristesse et de déception dans le cœur vers la salle de bain sans qu’il n’ait pu faire quoi que ce soit. Il se sentait mal de la savoir ainsi dans la douche, seule, avec ses larmes parce qu’il se doutait qu’elle devait pleurer mais pourquoi donc ces quelques mots étaient ils si importants ? Maximilien ne voulait pas spécialement que Loreana lui dise qu’elle l’aimait. Il préférait qu’elle le lui montre par ses actions, c’était plus utile et plus précieux même si il devait admettre que parfois les mots réconfortaient et rassuraient, il ne voulait pas que leur relation tourne autours de cela sinon ils ne construiraient jamais rien ensemble. Il leva les yeux au ciel et se leva finalement pour trouver son sous-vêtement. Après quelques recherches, il trouva son boxer dans un coin du salon. Le pauvre bout de tissus avait été jeté au large par les mains ravageuse et pleine d’envie de la belle Loreana. Maximilien sourit de nostalgie à ce souvenir. L’après midi qu’ils avaient passés ensemble avait été merveilleusement douce et paradisiaque. Un fois le boxer enfilé, il se redirigea vers le lit et se recoucha en attendant sa belle princesse.

    Il était tellement plongé dans ses pensées qu’il n’avait pas entendu la porte de la salle de bain s’ouvrir en revanche il l’entendit claquer derrière Loreana lorsqu’elle en sortit. Il sursauta légèrement et tourna la tête vers sa belle ingénue. Elle s’était habillée à nouveau mais elle n’en restait pas moins magnifique. Les cheveux mouillés lui tombaient dans le dos, le jeans lui moulait les jambes et le t-shert qu’elle portait…Une minute…Ce t-shert, c’était le sien. Il avait pris son t-shert à lui. Maximilien sourit, c’était tellement mignon. Les manches lui tombaient bien bas et le t-shert était bien trop large au niveau des hanches par contre, il était bien trop serré au niveau de la poitrine qu’il moulait sans vergogne. Les deux seins bien moulés pointaient vers le haut et se balançaient au rythme des pas de la belle. Maximilien ne pouvait pas s’en détacher le regard. Elle était tellement ravissante, c’était comme l’apparition d’une révélation. Il avait l’impression d’halluciner d’être ainsi couché dans son lit et de la voir s’avancer vers lui avec une démarche féline juste après lui avoir fait l’amour. Elle vint alors vers lui et se coucha à ses côtés. Alors, elle ne lui en voulait plus, c’était ce message qu’elle lui faisait passer : elle n’était plus fâché contre lui. Même si elle devait regretter qu’il ne puisse, lui dire « je t’aime », elle n’avait pas l’intention d’en tenir rigueur aujourd’hui…Maximilien sourit et la serra bien contre lui, très fort contre lui. Il voulait sentir son cœur battre dans sa poitrine…


    LOREANA_ « T’es qu’un crétin, mon ange. »

    Mon ange ! Que ce mot sonnait doux dans sa bouche. Tellement mélodieux, tellement parfait, tellement agréable et reposant. Maximilien la serra encore plus fort contre son corps tant il était heureux de constater qu’elle ne lui en voulait pas et puis surtout, elle avait raison, comme toujours d’ailleurs. N’était-elle pas professeur ? C’était le meilleur de toute, la plus performante, la plus professionnelle enfin exception faite avec lui apparemment parce que finalement ce qui venait de se passer entre eux n’avait rien d’une relation professeur – élève, bien au contraire même. Ils étaient hors la loi mais Maximilien ne voulait même pas y songer parce que l’amour n’avait aucun rapport avec la légalité et la logique du cerveau, c’était la logique du cœur qui devait être privilégiée et elle gagnait toujours, du moins pour Maximilien Middle, c’était ainsi qu’il concevait les choses !

    MAXIMILIEN_ « Mais ça fait partie de mon charme, joli cœur ! »

    La jeune demoiselle aux longs cheveux lui jeta un coup d’œil amusé et agacé en même temps et elle lui donna un petit coup sur l’épaule, signe que son humour n’était pas tout à fait approprié mais elle souriait alors finalement, il était assez content de lui avoir lâcher un petit commentaire de détente. Toujours allongée contre lui, Loreana voulu alors poser une main sur son torse mais elle tenta le geste vainement car les manches du t-shert de Maximilien étaient bien trop longues et sa main ne dépassait pas du vêtement !

    LOREANA_ « T’as de longs bras, mon ange… Et puis ne m’appelles pas joli cœur, parce que le joli cœur ici, c’est toi ! »
    MAXIMILIEN_ « Comment ça, de trop longs bras ? JOLI CŒUR, c’est toi qui en as des trop pe… »

    Alors qu’il venait d’insister fortement en appuyant sur le mot « joli cœur », Maximilien n’eut pas le temps de terminer sa phrase qu’il se reçu un objet mou dans le visage. En rouvrant les yeux, il constata qu’il s’agissait d’un oreiller que la lumière venait de lui envoyer. Il sourit. Elle ne l’emporterait pas au paradis. Maximilien saisit à son tour un coussin et l’empoigna pour attaquer sa moitié d’un petit coup sur le côté. S’en suivit un véritable massacre ! Les sacs de plumes valsaient dans tous les sens, se cognaient, souffraient le martyr tandis que le couple se défonçait en s’amusant avec eux. Les rires fusaient dans la pièce et on sentait que l’amour explosait entre eux derrière cette petite bataille…Finalement, au bout d’un moment, à bout de souffle, ils se couchèrent sur le lit et se regardèrent dans le blanc des yeux, un air béa affiché sur le visage et un sourire idiot montant jusqu’aux oreilles. On aurait dis deux enfants innocents qui se découvraient pour la première fois, tout cela avait quelque chose de magique, d’indescriptible et de féerique…

    LOREANA_ « Max ? Tu m’invites chez toi pour les vacances ? »

    IL ne s’était pas du tout attendu à cela. Dire qu’un peu plus tôt, il avait réfléchis à la réaction des parents Middle et en avait conclus que pour l’instant, moins ils en savaient, mieux cela valait mais comment annoncer cela à son ange. Maximilien soupira et se releva du lit. Il savait qu’elle voulait une réponse mais il devait réfléchir à ce qui allait se passer ensuite alors et comment il allait faire. Il fit le tour de la pièce et trouva enfin son pantalon de pyjama : heureusement qu’il prévoyait toujours tout. Il glissa sa main dans la poche droite et en sortit un paquet de cigarette. Il en sortit une du paquet qu’il referma et qu’il glissa à nouveau dans la poche. Puis il attrapa sa baguette et d’un geste alluma la clope. Il tira une fois dessus et se rendant compte qu’il n’était pas chez lui et que Loreana n’appréciait peut-être pas la fumée, il se dirigea vers la fenêtre du fond et l’ouvrit afin d’aérer la pièce. Il se pencha alors au dessus pour fumer avec la tête dehors. Il tira plusieurs grosses bouffées pendant que son cerveau fonctionnait à pleine allure. Il venait de se rappeler que ses parents n’étaient pas là en juillet et peut-être même en août, ils partaient en voyage d’affaire. Maximilien, toujours la main qui tenait la clope dehors, tourna sa tête vers sa jolie demoiselle et lui dit dans un grand sourire :

    MAXIMILIEN_ « Avec plaisir. J’ai hâte de tout te montrer. Nous irons nager, nous jouerons au quidditch, nous monterons à cheval…Tu vas voir, l’aile est du château, la mienne, est magnifique ! »

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Loreana Wilde
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MessageSujet: Re: Pardonne moi Pardonne moi - Page 2 Icon_minitimeVen 26 Juin 2009 - 22:43

    Loreana fermait les yeux sous l’eau froide. Enfin, elle se mit à penser à ce qu’il venait de se passer. Voilà, elle l’avait fait. Elle avait fait l’amour avec Maximilien. Elle ne savait plus trop quoi penser. Bien sûr, ce moment avait été merveilleux, et encore, le mot était faible. Elle n’avait jamais ressenti pareille sensation durant un ébat. Mais ça, c’était grâce à l’amour. Oh oui, c’était clairement de l’amour, il n’y avait aucun doute. Ni de son côté, ni de celui de son Ange. Dans sa tête, tout était clair : elle était amoureuse de ce joli cœur, de ce tombeur de dames. Depuis combien de temps, ça, elle l’ignorait. Mais ce n’était pas sa préoccupation principale. Elle savait que Max l’aimait, mais elle avait un besoin insurmontable de se l’entendre dire. Elle était comme ça : il fallait qu’on la rassure, qu’on lui parle, qu’on lui manifeste son soutien. Mais l’Ange n’était pas encore prêt à ça. Il avait besoin de temps. Mais Loreana était-elle vraiment prête à lui accorder ce temps ? Elle voulait l’aimer librement, et maintenant. Elle n’avait pas envie d’attendre. Mais elle allait le faire pour lui. Pour l’amour qu’elle lui vouait. Pour le moment magique qu’ils venaient de passer. Oui, c’est ce qu’il convenait de faire. Mais allait-elle y parvenir ? Après tout, Max, malgré tout l’amour qu’il lui portait, n’arrivait pas à lui dire trois putains de mots. Ne sachant prendre une décision quant à l’attitude à adopter, elle décida de sortir de sa douche et elle aviserait ensuite. Se séchant sans grande attention, elle guettait le moindre bruit en provenance du salon. Elle craignait que Max n’ait profité de sa douche pour se faire la malle –encore. Décidant de raccourcir le plus possible le temps qui la séparait de son retour dans le salon, elle ne prit pas la peine de sécher ses cheveux et enfila ses sous-vêtements. Puis elle mit rapidement son jeans et son T-shirt. Mais quelque chose la gêna : le T-shirt était trop serrant au niveau de la poitrine et beaucoup trop long pour les manches. Elle se rendit compte en un sourire qu’elle avait prit par mégarde le T-shirt de son Ange ! Doublement satisfaite, d’une part parce qu’elle pouvait sentir l’odeur si attirante de son petit prince, et d’autre part parce que Max devait être dans la chambre, car il ne serait jamais sorti torse nu et en pyjama.

    Pénétrée dans salon, la jeune femme constata trois choses : premièrement, Max était resté. Deuxièmement, il avait enfilé son boxer. Et troisièmement, il avait fumé dans la pièce. Dégoûtée par la fumée, elle alla directement se blottir contre son petit Serdy à elle. Elle le força quelque peu à la serrer dans ses bras et, après quelques instants, lui lança :


    LOREANA « T’es qu’un crétin, mon ange. »
    MAXIMILIEN « Mais ça fait partie de mon charme, joli cœur ! »

    La réponse de Max avait amusé la jeune prof, mais elle lui donna tout de même un petit coup sur l’épaule, signe qu’elle n’appréciait pas le surnom utilisé. Pour elle, joli cœur avait une connotation un peu péjorative. L’Ange devait sans doute l’ignorer, sinon il se serait bien gardé de lui attribuer ce petit nom. Elle tenta de poser sa main sur son torse, mais fut bien incapable d’y arriver : les manches du T-shirt étaient décidément trop longues ! Elle leva les bras, jetant un regard noir à ces manches et s’assit, tenant de les plier pour leur attribuer une longueur raisonnable. Ce fut peine perdue. Posant un regard innocent sur son petit prince, elle lui dit :

    LOREANA « T’as de longs bras, mon ange… Et puis m’appelles pas joli cœur, parce que le joli cœur ici, c’est toi ! »

    Elle regarda son élève d’un regard taquin, lui adressant un léger clin d’œil.

    MAXIMILIEN «Comment ça, de trop longs bras ? JOLI CŒUR, c’est toi qui en as des trop pe… »

    Avec un air faussement offusqué, elle interrompit son Ange insolent en lui lançant ce qu’elle pouvait sur la tête. Il s’avéra que l’objet le plus proche était un simple cousin, cousin qui vint s’écraser sur le visage de Max en un grand BLOF ! Ce dernier s’en débarrassa et regarda sa moitié en souriant. Apparemment, il avait l’intention de se venger, ce qu’il fit en saisissant à son tour un cousin qu’il lança dans sa direction. Elle se jeta sur le côté pour esquiver le premier projectile, mais un deuxième l’atteignit en plein visage. Jurant de se venger à son tour, elle se saisit du cousin qui lui était arrivé en pleine face et s’en servit comme massue pour s’attaquer vaillamment à son Ange guerrier. Elle n’eut aucune pitié pour son amant, esquivant un coup par ici, s’en prenant un par là, en donnant un par ici… Puis elle décida d’abandonner ses armes et se jeta plutôt sur Max. Pris au dépourvu, celui-là ne put faire autrement que de se coucher, Loreana au-dessus de lui. Elle avait un sourire béat totalement idiot et le regardait, essoufflée. Elle déposa un chaste baiser sur le torse de son Ange, puis sur ses lèvres, avant de lui demander, sous l’impulsion d’une soudaine idée :

    LOREANA « Max ? Tu m’invites chez toi pour les vacances ? »

    Elle se doutait bien que sa question le prendrait au dépourvu, mais pas à ce qu’il la repousse délicatement, se lève et aille chercher dans son pantalon de pyjama une clope. Il se dirigea vers la fenêtre qu’il ouvrit et commença à fumer, apparemment en plein réflexion. Pendant ce temps-là, Loreana ôta le T-shirt de sn cœur et entreprit de retrouver le sien, lorsque l’Ange se retourna et lui annonça, avec un grand sourire :

    MAXIMILIEN « Avec plaisir. J’ai hâte de tout te montrer. Nous irons nager, nous jouerons au quidditch, nous monterons à cheval…Tu vas voir, l’aile est du château, la mienne, est magnifique ! »

    Devant cette réponse positive, Loreana en oublia qu’elle était en soutien-gorge et sauta au cou de son Ange, lui arrachant sa cigarette et la lançant au loin, et l’embrassa passionnément. Elle posa son menton sur son épaule et le serra fort dans ses bras. Puis elle revint face à lui et lui dit, très sérieuse :

    LOREANA « Par contre j’ai horreur du tabac. Tu pourrais arrêter, non ? Pour moi ! »

    Consciente que ce qu’elle lui demandait était colossal, elle se décida à l’encourager d’un baiser langoureux et en laissant ses mains caresser son torse. Quand le baiser se termina, elle le regarda droit dans les yeux, et, tout à coup grave, lui fit remarquer :

    LOREANA « Max… J’adore être avec toi, mais… Je t’attendrai pas toute ma vie, tu sais ? »


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Maximilien E. Middle
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Amour : Loréana Wilde est et sera pour toujours l'amour de sa vie!

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MessageSujet: Re: Pardonne moi Pardonne moi - Page 2 Icon_minitimeDim 28 Juin 2009 - 14:22

    Pardonne moi - Page 2 Chace-chace-crawford-3621336-100-100 Pardonne moi - Page 2 Thirte10
    « Tournent les vio, tournent les vio tournent et s'en vont...
    Tournent les vio, tournent les vio, tournent les violons.
    » Jean Jacques G.


    Maximilien coinça la petite feuille roulée à la commissure de ses lèvres, serrant bien les deux extrémités autours de la cigarette afin qu’elle ne s’échappe pas. Il attrapa alors son pantalon dans une mit et commença à fouiller avec l’autre main dans ses poches jusqu’à trouver sur l’objet tant désiré : Sa baguette magique. Il murmura un petit sort et une flamme s’échappa du bout de bois. Il dirigea alors la fameuse baguette vers sa cigarette et celle-ci s’alluma enfin. Soupirant de soulagement, l’adolescent tira une grande bouffée de CO2 avant de se rappeler qu’il n’était pas du tout chez lui et que Loreana n’aimait peut-être pas la fumée. Il se dirigea vers une fenêtre qu’il entreprit d’ouvrir grand afin d’expulser tout cet air nauséabonde au dehors. Certes il en resterait toujours dans la pièce car la fumée de cigarette était quelque chose de collant et de persistant mais moins il y en avait, mieux cela valait. Il ne voulait pas la mettre en colère lorsqu’elle sortirait de la douche, après tout, il avait déjà engendré suffisamment de dégât comme cela ! Il tira à nouveau sur sa divine cigarette et un sourire vint se loger sur le bout de ses lèvres. Il fumait toujours après baiser ! C’était un truc qu’il avait remarqué, il y a bien longtemps et apparemment le fait de faire l’amour ne changeait pas grand-chose au fait de coucher sans sentiment. Il avait toujours autant envie de fumer juste après. IL avait partout qu’il aurait du éviter de se mettre la clope au bec mais c’était plus fort que lui. Il voulait que le reste de l’après midi avec elle se passe du mieux que possible et il allait devenir excessivement nerveux si il ne fumait pas maintenant. Il avait donc légitiment décidé de s’en cramer une vite fait pendant qu’elle était dans la douche ce qui lui permettrait de réfléchir en même temps aux évènements qui venaient de se dérouler ! Maximilien s’appuya sur le rebord de la fenêtre et jeta un rapide coup d’œil dehors. L’appartement de Loreana donnait sur un bout du par cet d’ici il pouvait apercevoir quelques élèves qui jouaient au loin. Cela lui fit penser à Léo et Travis qui devaient se demander où ils étaient. Il haussa les épaules. Ces deux là avaient l’habitudes de le voir disparaître plusieurs heures, il ne s’inquiéteraient vraiment que lorsque la nuit serait tomber : cela voudrait dire qu’il devait rentrer dans le dortoir des serdaigles ce soir. Malheureusement ! Il soupira et tira à nouveau sur sa cigarette, expulsant ensuite une bouffée de fumer qu’en fut balayé par un coup de vent…Il ferma les yeux et se laissa bercer par la brise, la cigarette et par ses douces pensées.

    Rien n’avait laissé deviner ce qui s’était passé aujourd’hui. Non rien, la vielle au soir, n’aurait pu permettre à Maximilien, de prévoir ce qui s’était passé cet après-midi. Il aurait même cru que ce serait totalement l’inverse. Hier soir, il était venu sonner à cette porte et s’était retrouvé coincé ici pour la nuit. Ce matin même, il lui avait préparé un petit déjeuné et avait essuyé les reproches mérités de la jeune dame et les remerciements. Ils avaient discutés calmement longuement et puis, elle était partie se laver et lui s’était permis de feuilleter quelques bouquins. Il semblait si passionné que la jeune princesse, lui permis de rester un instant. Finalement vint le temps de manger et ils déjeunèrent en tête à tête autours d’un plat de pâtes particulièrement copieux…Et puis, il s’était pris une gifle, un baiser s’en suivit et ils avaient finis par faire l’amour avec un peu de chantilly. Quel bonheur ! Il s’était sentit si bien mais les choses avaient rapidement basculé lorsqu’elle lui avait demandé ce qu’il ressentait pour elle…Comment aurait il pu lui répondre. IL n’avait même pas assez confiance en lui-même pour admettre son amour complètement et pour s’assurer de ne pas souffrir alors comment lui dire qu’il était fou amoureux d’elle, qu’il était à ses pieds, qu’elle était tout pour lui et que ce qu’il ressentait était si puissant, si majestueux que cela en devenait douloureux ! Il se sentait si bien dans ces bras…C’était merveilleux, juste un moment parfait qu’il aurait voulu vivre et revivre pour l’éternité. Maximilien tira finalement une dernière fois sur sa cigarette et l’écrasant sur le bord de la fenêtre, il la jeta du haut de l’appartement de Loreana…IL la regarda un instant tomber et lorsqu’elle fut trop bas pour qu’il puisse encore ne fuse que l’apercevoir, il tourna le dos à la fenêtre qu’il referma juste avant de partir et il se redirigea vers le lit. Il s’y allongea rapidement et attrapa le drap pour s’en couvrir les mollets. Avec la fenêtre ouverte, l’air et la température de la pièce s’étaient considérablement refroidis, si bien qu’après cette intense activité physique, il avait maintenant un peu froids…Il plaça son bras sous la sa tête et se replongea dans sa contemplation du plafond en attendant que la belle sorte enfin de la salle de bain. Il se demandait si elle lui en voulait encore, si elle allait lui pardonner, si elle allait attendre qu’il soit prêt à lui dire qu’il l’aimait. Son cœur hurlait et suppliait le ciel de l’obliger à lui pardonner afin qu’il puisse lui prouver son amour par d’autres gestes qu’il espérait rendre encore plus fort et surtout encore plus crédible que n’importe lequel de ces stupides mots qu’il n’arrivait pas à prononcer !

    La belle sortit enfin de sa pièce à eau. Elle se dirigea à pas de loup vers le lit et Maximilien ne put s’empêcher de la contempler. Elle, contrairement à lui, s’était complètement enveloppée de bout de tissus tous plus agréable à regarder les uns que les autres et tout particulièrement celui qui lui décorait le buste. C’était son t-shert à lui. Il lui allait à merveille et Maximilien esquissa un petit sourire coquin en la voyant ainsi accoutré. Ce t-shert était bien trop long au niveau des manches et au niveau des hanches mais il lui moulait parfaitement bien les seins…Ces deux petites boules qu’il avait tant aimer toucher, caresser, suçotait et léchouiller encore et encore, se tenaient dressés sous le t-shert de tel façon que personne ne pouvait les louper si la belle était prise d’une envie soudaine d’aller se promener ainsi habillée…Elle se rapprocha du lit et s’y installa à son tour. Là, tout contre lui, elle vint se lové. Maximilien la resserra contre lui comme si elle était la chose la plus précieuse qu’il ne lui jamais été permise de voir. Il la serrait fort parce qu’il savait que si elle était venue se mettre ainsi dans ses bras, c’était qu’elle lui avait pardonner…Peut-être pas totalement mais au moins, elle avait décidé de lui offrir une nouvelle chance, elle avait décidé de lui donner le plus beau cadeau qu’il soit : la chance d’être avec elle et de lui montrer son amour de mille et une façon et cette fois-ci, il n’allait pas échouer, oh cela non !


    LOREANA_ « T’es qu’un crétin, mon ange. »
    MAXIMILIEN_ « Mais ça fait partie de mon charme, joli cœur ! »
    LOREANA_ « T’as de longs bras, mon ange… Et puis ne m’appelles pas joli cœur, parce que le joli cœur ici, c’est toi ! »
    MAXIMILIEN_ « Comment ça, de trop longs bras ? JOLI CŒUR, c’est toi qui en as des trop pe… »

    Maximilien affichait un air faussement outré tandis qu’il caressait d’une main distraite les cheveux de sa belle. Elle avait tenté de lui mettre la main sur le torse mais comme les manches faisaient trois fois sa taille, elle n’avait réussi qu’à frôler ses abdos avec ce bout de tissus superflu. Elle l’avait donc accusé d’avoir de trop grand bras. Typiquement féminin de reporter la faute sur le dos des autres mais cela n’avait pas dérangé Maximilien qui avait préféré riposter sur le même point. Mais le malheureux n’eut pas le temps de terminer sa phrase qu’une sorte de sac à plume atterrit sur son visage. Outré, il voulu vérifier et s’assurer qu’il ne venait pas d’arriver ce qu’il croyait…Mais si : Loreana lui avait bel et bien envoyé un coussin à la figure ! Maximilien éclata de rire : elle ne l’emporterait pas au paradis. Il attrapa alors à son tour un coussin similaire et assaillit sa bien aimée avec en lui jetant le titre objet au visage. Un match sans gagnant débuta alors. Les coussins volaient, percutaient, frappaient. Les pauvres se faisaient éventrer au passage. Il y avait des plumes dans tout l’appartement mais cela ne semblait pas arrêter les deux enfants qui continuaient la batail qu’ils savaient pourtant match nul d’avance ! Les projectiles tournoyaient dans la pièce et atteignant régulièrement leurs cibles humaines et puis finalement, lassée de ce combat à distance, Loreana se jeta sur Maximilien avec un coussin et entreprit de le lui écraser dessus ! A bout de souffle, ils finirent par exploser littéralement de rire. Elle sur lui et elle sous lui. C’était si bon d’être réuni dans cette atmosphère remplie de joie et d’amour !

    LOREANA_ « Max ? Tu m’invites chez toi pour les vacances ? »

    Aie ! Question qu’il fallait aussi éviter. Non pas qu’il ne la voulait pas au près de lui durant l’été, bien au contraire mais il n’avait aucune idée de comment arranger le coup avec ses parents. Ils avaient beau ne pas se croiser souvent dans cet immense demeure, ils allaient remarquer que Maximilien n’était pas rentré seul de Poudlard et il se voyait mal leur annoncer quelque chose comme « Père, Mère…Je vous présente ma fiancée : Loreana Wilde, la professeur de potion du château ». Non vraiment, c’était impossible. Il soupira et attrapa Loreana par les bras pour la repousser quelque peu sur le côté ! Il devait se relever et réfléchir. Par réflexe, il se dirigea à nouveau, comme quelques minutes plus tôt, vers son pantalon et entreprit de le fouiller à nouveau à la recherche de son paquet de cigarettes qu’il ne tarda pas à trouver. A nouveau, il en alluma une à l’aide de sa baguette magique et il se dirigea vers la fenêtre, se rappelant qu’il n’était pas chez lui. Il se mit alors à fumer tranquillement, la tête dans les nuages, il réfléchissait. Il voulait Loreana chez lui mais comment faire pour l’emmener sans entraîner une crise ou une batail titanesque qui allaient avoir des répercussions colossales sur leurs vies à tous les deux. IL voulait éviter un massacre ! Mais…Une petite seconde. Maximilien se souvint tout d’un coup que ses parents lui avaient envoyé une lettre dernièrement lui annonçant qu’il parait juillet et début août pour l’étranger dans le but de faire fleurir les affaires Middle ! C’était tant mieux ! Loreana allait pouvoir venir chez lui !

    MAXIMILIEN_ « Avec plaisir. J’ai hâte de tout te montrer. Nous irons nager, nous jouerons au quidditch, nous monterons à cheval…Tu vas voir, l’aile est du château, la mienne, est magnifique ! »

    Il se retourna alors vers elle, laissant sa main avec la cigarette dehors…Il voulu lui sourire calmement mais il reçu un poids violant contre son corps : Loreana en soutiens gorge venait de se jeter dans ses bras…D’un main, il encercla son dos et il approcha l’autre main de sa bouche afin de tirer une bouffée, qu’il cracha dehors en tournant la tête. Il était ravi que cela lui plaise autant et à vrai dire, lui aussi était fou de joie. IL s’imaginait déjà dans sa piscine avec la belle et puis à cheval dans le parc derrière. Il l’emmènerait dans les restaurants Middle, il lui montrerait les laboratoires de potion qu’ils avaient au sous-sol du domaine. Ensembles, ils allaient vivre les meilleurs vacances de leur vie ! Il voulu lui embrasser le front mais avant qu’il n’ait eut le temps de le faire, elle saisit sa cigarette et la jeta par la fenêtre sans autre forme de procès. Maximilien la regarda les yeux écarquillés et attendit une explication :

    LOREANA_ « Par contre j’ai horreur du tabac. Tu pourrais arrêter, non ? Pour moi ! »
    MAXIMILIEN_ « Hé…Ma clope ! Tu sais que ça coûte de l’argent et puis tu aurais pu mettre le feu…Franchement, ces professeurs, des irresponsables ! »

    Il éclata de rire et attrapa sa belle Loreana. Il la souleva de quelques centimètres et entreprit de la faire tourner dans les airs tout autours de lui. Il la serra bien contre lui, heureux comme il ne l’avait jamais été et puis il lui dit :

    MAXIMILIEN_ « Pour l’arrêt je ne te promets rien mais…je peux faire autre chose pour toi ! Aurais tu une guitare dans le coin ? »

    Plus le temps passait, mieux il se sentait à ses côtés, un vrai paradis ! Tous deux souriaient, rigolaient et s’amusaient comme deux enfants qui n’auraient pas vu le soleil durant tous l’hivers et qui se réveilleraient au printemps pour courir entre les fleurs, fidèles serviteurs de l’astre brûlant ! Mais Loreana redevint subitement particulièrement sérieuse. Elle regarda Maximilien dans le fin fond de ses yeux et lui dit d’une voix posée :

    LOREANA_ « Max… J’adore être avec toi, mais… Je ne t’attendrai pas toute ma vie, tu sais?»
    MAXIMILIEN_ « Je sais, Lor’ et je ne t’en demande pas tant…Donne moi juste un petit peu de temps ! »

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MessageSujet: Re: Pardonne moi Pardonne moi - Page 2 Icon_minitimeDim 28 Juin 2009 - 18:11

    LOREANA « T’es qu’un crétin, mon ange. »

    Blottie dans les bras de son prince, Loreana se sentait bien. Même s’il n’était qu’un crétin. Un crétin maladroit, mais un crétin terriblement séduisant et sexy. Couché contre elle, il venait de refermer ses bras puissants sur sa prof et commença à lui caresser ses cheveux encore humides. Amusée par ce geste, la jeune femme se rapprocha encore de son ange, ce qui augmenta le nombre de caresses prodiguées par le jeune élève et le poussa à déposer un baiser sur sa chevelure. Elle se frotta à lui et écouta sa réponse, abordant un sourire en coin :

    MAXIMILIEN « Mais ça fait partie de mon charme, joli cœur ! »

    Amusée, Loreana soupira bruyamment avant de donner un petit coup d’épaule à son ange, lui indiquant que son humour était déplacé et qu’elle n’appréciait pas trop le surnom. Combien elle aurait préféré « mon amour », ou encore « ma chérie » ! Mais non, le crétin avait choisi « joli cœur ». L’envie de lui donner deux baffes saisi la jeune prof, mais elle se retint en souriant. Sur quel Ange innocent et maladroit elle était tombée ! D’un geste, elle tenta de poser une main sur le torse toujours nu de son bel amant, mais sans succès. Ces foutues manches étaient décidément bien trop longues ! Elle les tendit sur le lit pour en estimer la longueur. Rooh, il lui manquait bien dix centimètres pour arriver au bout ! Amusée par cette constatation la brunette compara discrètement son bras à celui de son ange. Celui-ci, ayant remarqué la manœuvre, la regarda d’un air interrogatif. Pour tout justification elle lui dit en souriant :

    LOREANA «T’as de longs bras, mon ange… Et puis ne m’appelles pas joli cœur, parce que le joli cœur ici, c’est toi ! »
    MAXIMILIEN «Comment ça, de trop longs bras ? JOLI CŒUR, c’est toi qui en as des trop pe… »

    Le faire taire. Elle devait le faire taire, sinon elle allait s’énerver. Elle se détacha bien vite de son étreinte et se saisit du premier objet qui lui tombait sous la main. Un cousin, un gros cousin. Parfait. Avant que le Serdaigle n’ait pu terminer sa réplique, Loreana lui envoya le paquet sur le visage. Quand celui-ci comprit se qui lui était arrivé, il décida apparemment de se venger. Avant qu’elle n’ait pu esquisser un geste, un autre cousin vint s’écraser dans sa figure. Oh, mais c’est qu’il la cherchait ma parole ! Il ne l’emporterait pas au paradis, l’ange crétin ! Attrapant un troisième oreiller, Loreana se jeta dans la bataille. Et tout ce qui n’était que calme et amour se changea en chaos et joie de vivre. Les cousins volaient dans tous les sens et Loreana décida qu’elle devait quitter le lit pour ne pas subir trop de dégâts. Assise par terre, elle esquivait tel cousin, renvoyait tel autre, interceptait celui-là et se prenait celui-ci en pleine figure. Au bout d’un moment, comme aucun des adversaires ne prenait le dessus, elle décida de laisser tomber le combat indirect et de passer au corps-à-corps. Se munissant d’un oreiller bien sélectionné, elle continua de canarder l’adolescent pour qu’il ne se doute de rien et s’approcha en rampant. Quand elle fut assez proche du lit, elle se leva et se jeta sur le jeune homme en hurlant. Celui-ci, pris au dépourvu, se défendit du mieux qu’il put dans ce tourbillon de plumes.

    Alors que la bataille faisait rage, Loreana lâcha son arme et poussa le jeune homme qui fut contraint de se coucher sur le lit. Sans attendre qu’il se relève, elle se coucha sur lui, essoufflée. Elle le regarda dans les yeux, ses cheveux humides lui gênant quelque peu la vue, et éclata de rire. Au bout d’un long moment de silence pendant lequel Lor’ regardait son appartement ravagé, elle se prit à se demander comment était l’aile du château de Maximilien. Elle était surement très grande, mais combien de pièces comportait-elle ? Y avait-il une piscine ? Ou alors un jacuzzi ? Avait-il des domestiques ou était-il servi par des Elfes ? Combien de chevaux avait-il ? Toutes ces questions lui firent arriver à une conclusion : elle irait chez Max cet été. Bien sûr, il ne lui avait pas encore donné son accord, mais elle s’en passerait. Elle lui demanda toutefois, pour la forme :


    LOREANA « Max ? Tu m’invites chez toi pour les vacances ? »

    La question prit le Serdaigle au dépourvu. A tel point qu’il repoussa la brunette, qu’il se leva et qu’il sortit un paquet de cigarettes. Loreana leva les yeux au ciel, agacée. Il n’allait tout de même pas fumer ici ? Si ? Roooh ! En souriant, Loreana se promit intérieurement de lui faire arrêter de fumer. Encore un grand défi à relever avec Maximilien. Au moins, il se rendit compte que la fumée incommodait la brunette et se dirigea vers la fenêtre pour tirer sur sa cigarette. Il observa le parc d’un air songeur. La question était pourtant simple, et la seule réponse acceptable était oui. Après tout, il l’aimait, alors qu’est-ce qui pouvait bien le déranger ? Il n’avait pas à avoir honte de son chez lui, il était plein aux as depuis plusieurs générations ! C’est en se faisant cette réflexion que la jeune femme comprit : ses parents. D’après le peu qu’elle en savait, les parents du jeune homme ne l’avaient jamais aimé. Taisant les tonnes de questions qu’elle voulait lui poser, elle décida d’aborder avec lui ce sujet, mais plus tard. Pour l’heure, un sourire venait d’illuminer le visage du Serdaigle, alors que Loreana venait de libérer son T-shirt et de se mettre à la recherche du sien. Elle se tourna pour lui faire face et accueillit sa réponse avec un large sourire :

    MAXIMILIEN « Avec plaisir. J’ai hâte de tout te montrer. Nous irons nager, nous jouerons au quidditch, nous monterons à cheval…Tu vas voir, l’aile est du château, la mienne, est magnifique ! »

    Cette réponse était parfaite. Mis à part peut-être pour le Quidditch, parce que Loreana, malgré les bons conseils et les cours d’Adriel, avait encore un peu de mal à garder son équilibre sur un balai. Mais pour la natation et l’équitation, c’est parfait. Ne se retenant plus, elle sauta dans les bras de son petit gosse de riches à elle. Mais ce crétin continuait de fumer. Amusée rien qu’à l’idée de voir comment il réagirait, Loreana lui arracha sa cigarette de la bouche et, sans lui laisser la moindre chance de la récupérer, la jeta par la fenêtre. Puis, posant son front contre celui de l’Ange, elle lui dit d’une voix douce :

    LOREANA « Par contre j’ai horreur du tabac. Tu pourrais arrêter, non ? Pour moi ! »

    Et, comme pour l’encourager, elle lui déposa un chaste baiser sur les lèvres. Mais l’Ange esquiva sa question, dans un premier temps :

    MAXIMILIEN «Hé…Ma clope ! Tu sais que ça coûte de l’argent et puis tu aurais pu mettre le feu…Franchement, ces professeurs, des irresponsables ! »

    Loreana lui indiqua un mécontentement factice en lui donnant un très léger coup sur le nez, puis répondit, du tac au tac :

    LOREANA « Ouaip, tous irresponsables… De toute façon ça fait du bien d’être irresponsable de temps en temps… »
    MAXIMILIEN « Pour l’arrêt je ne te promets rien mais…je peux faire autre chose pour toi ! Aurais-tu une guitare dans le coin ? »

    Loreana lui fit signe que non et se retint d’ajouter qu’elle avait en revanche un piano. Elle n’était pas d’humeur à jouer de la musique, ni à en écouter, d’ailleurs. Elle voulait juste être avec Maximilien pour le restant de sa vie. Elle voulait juste l’entendre lui dire « je t’aime ». A cette pensée, elle redevint très sérieuse, et lui dit :

    LOREANA « Max… J’adore être avec toi, mais… Je ne t’attendrai pas toute ma vie, tu sais ? »
    MAXIMILIEN « Je sais, Lor’ et je ne t’en demande pas tant…Donne moi juste un petit peu de temps ! »

    Cette réponse, loin de la calmer, fit rejaillir en elle certains doutes. Elle voulait absolument parler à Caleigh, mais elle n’osait pas. Oh, non pas qu’elle doutait de sa meilleure amie, mais elle savait pertinemment que les relations entre un professeur et un élève étaient formellement interdite, et pourtant… A moitié rassurée, elle embrassa Maximilien dans un baiser passionné, puis lui dit, éprouvant le besoin de réfléchir s’il convenait ou non d’en parler à Caleigh :

    LOREANA « Tu devrais y aller, je crois. Tes amis vont s’inquiéter. »


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Maximilien E. Middle
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Amour : Loréana Wilde est et sera pour toujours l'amour de sa vie!

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Orientation Sexuelle: Bisexuel
Année d'étude: 7ème année
Caractère: Sincère, honnête, fou, motivé, drôle, beau parleur, inteligent, charmeur, loyal, passioné, passionant, têtu, bien élevé, révolutionnaire, débrouillard, autonome, sarcastique, protecteur, volontaire, amusant, sportif, classe, patient, franc, écrivain, artiste! etc

MessageSujet: Re: Pardonne moi Pardonne moi - Page 2 Icon_minitimeMar 30 Juin 2009 - 14:04

    Pardonne moi - Page 2 Chace-chace-crawford-3621336-100-100 Pardonne moi - Page 2 Thirte10
    « Tournent les vio, tournent les vio tournent et s'en vont...
    Tournent les vio, tournent les vio, tournent les violons.
    » Jean Jacques G.


    MAXIMILIEN_ « Comment ça, de trop longs bras ? JOLI CŒUR, c’est toi qui en as des trop pe… »

    Le pauvre jeune homme n’eut pas le temps de terminer sa phrase que tout de suite après, il reçu quelque chose de mou et de soyeux en plein visage. Surpris et sonné, il ouvrit grand les yeux pour comprendre ce qui venait d’arriver et son regard tomba d’abord sur sa princesse qui le contemplait avec un petit air coquin et un mis sourire affiché sur le bout des lèvres. Il comprit alors qu’elle venait justement de lui envoyer quelque chose pour le faire taire. Son regard se porta alors un peu plus bas, sur le lit et c’est là qu’il aperçu le projectile : un coussin ! Elle lui avait envoyé un coussin ! Maximilien n’en revenait pas mais cela ne l’empêcha pas d’éclater de rire. Elle n’allait pas l’emporter au paradis, cela non ! Maximilien se retourna alors délicatement comme si il s’apprêtait à sortir du lit afin de l’avoir par surprise alors là, il attrapa le coussin en question et d’un coup de main habile l’envoya sur sa belle qui le reçu sur le nez ! Alors, une véritable guerre débuta entre les deux amoureux. Les coussins valsaient, volaient, tournoyaient, tournicotaient, frappaient, touchaient, rataient leurs cibles. C’était un véritable champ de batail à plume et les deux amours ne semblaient pas se rendre compte du bazar qu’ils étaient en train de créer dans l’appartement. Ils n’étaient que deux enfants qui s’amusaient à se frapper avec des oreilles. La batail devint rapidement violente, virulente et acharnée, aucun des deux ne semblaient vouloir abandonner avant d’avoir frapper le dernier coup. C’était un massacre sans fin jusqu’à ce que, agacé, Loreana finisse par se jeter sur Maximilien, un coussin à la main, elle entreprit de le lui abattra sur le visage à plusieurs reprise jusqu’à ce que Maximilien, mort de rire, ne puisse plus se défendre. Alors, à ce moment là, la belle se mit à rire aussi et s’allongea sur lui. Ils devaient reprendre leur souffle peut-être pour mieux repartir à la guerre ou peut-être pour simplement se mettre à discuter…Le destin choisit la deuxième option, au grand dam de Maximilien !

    LOREANA_ « Max ? Tu m’invites chez toi pour les vacances ? »

    C’était demandé avec une telle puissance dans la voix, avec une telle mélodie d’envie et de sincérité que Maximilien eut envie de lui dire « oui » tout de suite et de l’embrasser en scellant ses lèvres aux siennes pour l’éternité mais ce n’était pas possible ! Il regretta à nouveau de n’être pas un élève comme les autres, de n’être pas né avec un autre nom de famille qui lui aurait permis d’accepter la requête de sa belle sans hésiter mais là…Il y avait les parents Middle, les dirigeants de tellement de plusieurs puissances du monde magique et il n’avait pas la possibilité d’arriver chez eux, chez lui aussi d’ailleurs, en présentant Loreana comme étant sa petite amie. Premièrement elle était son professeur mais en plus elle n’avait pas ce que ses parents appelleraient « un sang noble »…Il pouvais entendre son père d’ici : « Fils, enfin, comment pouvais tu envisager, que nous laisserions entrer dans la famille, une personne de classe moyenne ! ». De plus pour ses parents, elle ne serait « qu’une simple professeur de potion » ! Ils allaient leur rendre la vie impossible et Maximilien n’était pas encore prêt à les combattre ! Il ne pouvait pas l’inviter chez lui, ils allaient en souffrir tous les deux et leur amour n’allait pas résister, il pouvait en mettre sa main au feu ! Il ne voulait pas que Loreana subisse la folie ridicule de ses parents, leurs idées carrées et mal venues. Elle n’avait pas à écouter tout ce qu’ils allaient débiter, et toute l’agressivité et l’hostilité avec laquelle ils allaient l’accueillir, elle n’avait pas besoin de faire face à tout cela ! Ce serait inutile, superflu et dangereux pour eux et Maximilien ne voulait en aucun cas mettre leur couple en péril !

    Il se redressa alors finalement de quelques centimètre et poussa la jeune demoiselle, couchée sur le lui, sur le côté. Il avait besoin de bouger pour réfléchir et être allongé sur le lit de sa belle, avec elle étendue de tout son long sur lui ne l’aidait pas. Il se leva donc complètement et se dirigea vers son pantalon de pyjama resté un peu plus loin. Il avait besoin d’une bonne cigarette pour réfléchir. Il se doutait que Lor’ ne verrait pas d’un bon œil le fait qu’il fume chez elle mais il avait réellement besoin de sa petite clope si il voulait trouver une solution et lui fournir une réponse qui ne la décevrait pas comme il l’avait déjà si souvent fait autrefois ! Il coinça sa feuille de papier roulée entre ses lèvres et l’alluma à l’aide de sa baguette magique…Décidant de ne pas pousser le bouchon trop loin, il se dirigea vers la fenêtre qu’il ouvrit afin de s’y pencher et de fumer dehors. Il tira sur la cigarette et expulsa immédiatement le CO2. Il se prit alors à s’imaginer l’été merveilleux qu’il pourrait passer si Loreana pouvait réellement venir chez lui. IL l’emmènerait dans tous les restaurants Middle, ils prépareraient ensemble des potions dans le laboratoire du sous sol, il lui jouerait de la musique, lui apprendrait à monter sur un balai, ils feraient de longues balade à cheval dans le bois derrière le domaine, Maximilien pourrait même lui apprendre le basket. Ce serait merveilleux ! Le serdaigle soupira en expulsant à nouveau une quantité exponentielle de fumée de sa bouche et il se mit à réfléchir. Ses parents n’étaient jamais là toutes les vacances alors peut-être pourrait il l’inviter durant les jours où ils seraient partis mais…Une petite seconde ! Le jeune fronça les sourcils en se rappelant la lettre qu’il avait reçu de son père il y a de cela quelque jour. Cette même lettre qui lui annonçait que Noah et Lauren partaient en voyage d’affaire dés début juillet jusque mis août environ si pas plus ! C’était parfait ! UN sourire jusqu’au oreille, le bleu et bronze se retourna vers son professeur et lui annonça :


    MAXIMILIEN_ « Avec plaisir. J’ai hâte de tout te montrer. Nous irons nager, nous jouerons au quidditch, nous monterons à cheval…Tu vas voir, l’aile est du château, la mienne, est magnifique ! »

    Immédiatement après, un poids quelque peu plus volumineux que le précédent coussin lui atterrit sur le corps ! Sa belle venait de se jeter dans ses bras de joie et de soulagement. Elle était en soutiens-gorge parce qu’apparemment elle avait tenté de retrouver son propre t-shert ce qui ne devait pas se révéler facile dans ce chantier qu’ils avaient créé en se bagarrant tout à l’heure mais qu’importe, elle était là, contre lui et surtout elle était heureuse. Maximilien l’enlaça à son tour en prenant bien soin de laisser sa main avec la clope dehors, il n’était pas question qu’il lui empeste les poumons, il la voulait toujours en bonne santé alors il n’allait pas venir l’enfumer…C’était hors de question. Seulement la belle semblait penser la même chose de lui ! Elle attrapa alors violemment la cigarette de son amour et la jeta pas la fenêtre. Maximilien prit un air faussement scandalisé par l’action et attendit qu’elle parle la première pour expliquer son geste. Il aviserait en fonction mais de toute façon, il était incapable de rester fâchée sur elle. De plus, des cigarettes, il pouvait en avoir des millions juste en claquant des doigts tandis qu’elle, il ne l’avait qu’une fois et une fois pour toujours, il ne la laisserait pas filer !

    LOREANA_ « Par contre j’ai horreur du tabac. Tu pourrais arrêter, non ? Pour moi ! »

    Elle lui déposa un chaste baiser sur les lèvres. La pauvre ! Ses lèvres devaient être froide et puer le tabac à des kilomètres à la ronde mais cela n’avait pas l’air de la décourager. Maximilien sourit en se disant que oui, peut-être qu’il pourrait arrêter de fumer pour elle. A vrai dire il n’avait jamais envisager d’arrêter parce qu’il n’était pas dépendant de la cigarette, il la prenait parce qu’il avait envie et pas parce qu’il en avait besoin, par conséquence aucun stress ne naissait en lui par rapport à cela et il n’avait pas très envie d’arrêter non plus mais si vraiment elle le voulait…Pourquoi pas ! IL entreprit quand même d’éviter sa question en premier lieu :

    MAXIMILIEN_ « Hé…Ma clope ! Tu sais que ça coûte de l’argent et puis tu aurais pu mettre le feu…Franchement, ces professeurs, des irresponsables ! »
    LOREANA_ « Ouaip, tous irresponsables… De toute façon ça fait du bien d’être irresponsable de temps en temps… »
    MAXIMILIEN_ « Pour l’arrêt je ne te promets rien mais…je peux faire autre chose pour toi ! Aurais-tu une guitare dans le coin ? »

    Oui, il pourrait arrêter la cigarette quand il le voulait mais c’était la vérité : il n’avait pas du tout envie d’arrêter de fumer. Comme disait Léo « Il faut bien mourir de quelque chose ! ». Maintenant si Loreana y tenait, ne pourrait il pas faire un effort ? Sans doute mais il allait devoir y réfléchir. Ce qu’il pouvait faire en revanche et cela n’importe quand, n’importe ou, c’était jouer pour sa belle. Elle était devenue sa muse et il sentait que son âme de musicien allait lui écrire et lui composer de magnifique chanson. Il avait hâte d’attraper sa guitare pour s’y mettre. Elle méritait les plus belles notes, les plus belles mélodies et surtout les plus belles paroles. Elle était si merveilleuse, si majestueuse, si rayonnante, si souriante. Elle lui réchauffait le cœur, elle l’emmenait au paradis avec un seul sourire. Il avait envie d’être près d’elle pour l’éternité. Cependant, alors qu’il s’apprêtait ç rigoler à nouveau à propos de la cigarette, Loreana redevint subitement sérieuse et le regarda dans les yeux :

    LOREANA_ « Max… J’adore être avec toi, mais… Je ne t’attendrai pas toute ma vie, tu sais?»
    MAXIMILIEN_ « Je sais, Lor’ et je ne t’en demande pas tant…Donne moi juste un petit peu de temps ! »

    Il savait pertinemment que ce n’était pas avec cette réponse qu’il allait calmer ses doutes et ses inquiétudes mais il ne savait absolument pas quoi faire, ni quoi dire. Il valait mieux lui dire la vérité que de lui mentir, et de cela il en était sûr. Ainsi il suivait cette voix là même si cela lui faisait perdre quelques points, il restait persuadé qu’au final, cela allait lui en faire gagner. Il ne pouvait en être autrement. Il n’avait jamais eut de véritable rapport de couple, mais il avait la bonne impression d’être sur le bon chemin avec cette façon de considérer les choses. De toutes façon, ils n’avaient tous les deux pas vraiment le choix, il fallait bien qu’ils patientent…

    LOREANA_ « Tu devrais y aller, je crois. Tes amis vont s’inquiéter. »
    MAXIMILIEN_ « Ils passent tous après toi ! »

    En réalité, ce n’était qu’à moitié vrai. C’était clair que Loreana était l’élue de son cœur et qu’elle avait le privilège de pouvoir tout lui demande, elle passerait toujours avant mais elle se trouvait en fait sur le même étage que Léo et Travis, ils étaient ses frères de cœur et rien ne pourrait changer cela. N’empêche que Léo et Travis avaient l’habitude de le voir disparaître comme ça et ne risquait pas de s’inquiéter…A tout bien réfléchir…Peut-être un peu parce que en général, Maximilien s’arrangeait toujours pour les prévenir qu’il ne rentrerait pas de si tôt…Il soupira et jeta un œil par la fenêtre et c’est là que son regard s’attarda sur deux silhouette qu’il reconnu aussi tôt : les deux serdaigles auxquels il avait pensé quelques seconde plus tôt. Ils marchaient dans le par cet passait d’un groupe à l’autre. Immédiatement Maximilien comprit qu’ils demandaient aux élèves si il ne l’avait pas vu ! Il soupira et se retourna vers Loreana :

    MAXIMILIEN_ « Mais tu as raison…je devrais y aller ! »

    Il l’embrassa encore une fois et se détacha d’elle pour s’habiller. Il n’avait qu’un pyjama mais traverser le château dans cette tenue ne lui faisait pas peur. La plus part des gens l’avait déjà vu nu et puis personne n’oserait se moquer de lui…Une fois habillé, il embrassa passionnément son amour et il lui murmura à l’oreille :

    MAXIMILIEN_ « Tu vas me manquer…Je reviens bientôt ! »

    Il sortit alors des appartements de Loreana et s’en alla, heureux dans la tour des serdaigle pour se changer afin d’aller retrouver Léo et Travis !


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