| Priorité a Evy d'amuuur |

Lorsqu'elle s'était réveillée ce matin-là, le jour n'était pas encore tout à fait lever. En général, elle profitait du sommeil jusqu'à la dernière minute, car il lui arrivait très souvent de se coucher très tard. Mais le soir précédent, elle était montée dans son dortoir de bonne heure. Pourtant, elle n'était pas fatiguée. Mais elle avait fini par s'endormir et avait fait le même rêve qu'elle faisait depuis des mois sans jamais en comprendre la signification. A vrai dire, elle n'était même pas certaine qu'elle n'avait pas, un jour, imaginé cela elle-même et qu'elle en avait rêvé ensuite. Une chose est sûre, si c'était une sorte de message que son esprit lui envoyait, elle avait du mal à en capter le sens.

C'est à ce rêve qu'elle pensait, allongée dans son lit, droite comme un balai. Mais elle fut sortie de ses pensées par les ronflements d'une de ses condisciples de chambre. Erin grogna, agacée de ne même pas pouvoir penser à cause de sales fainéantes. Elle se décida alors à sortir, comprenant très bien que ce n'était pas le bon endroit pour se laisser aller à ses pensées. Elle sortit donc de son lit et alla prendre une douche rapide. Lorsqu'elle en sortit, elle remarqua que les filles qui dormaient encore n'avaient pas bougées et que certaines émettaient encore des bruits étranges. Eloise soupira, exaspérée. Elle se dirigea vers sa valise qui était posée à terre, à côté de son lit, et en sortit un slim noire ainsi que chemisier blanc légèrement transparent. Elle laissa volontairement quelques boutons ouverts puis enfila des chaussures à talons. Lorsqu'elle fut encore coiffée et maquillée, elle attrapa sa baguette qui était jusqu'alors posée sur sa table de chevet ainsi que son sac qui gisait au pied de son lit. En sortant, elle prit soin de claquer la porte du dortoir, en espérant en avoir au moins réveillé une. Elle arriva ensuite dans la salle commune des Gryffondors qui était déserte à cette heure. Cela n'avait rien d'étonnant, nous étions samedis et, en général, les élèves en profitaient pour se reposer. Mais Eloise avait décidé de sortir et c'est ce qu'elle fit.

Elle enleva alors ses chaussures et laisser ses pieds froler l'eau. Il faisait magnifique pour une matinée de septembre. Et puis ce calme dans le parc. Tout ça faisait qu'elle se sentait bien, là, mi-allongée dans l'herbe, les pieds dans l'eau et les premiers rayons du soleil donnant sur son visage. Oui, elle était bien et serait bien restée là des heures. Si seulement on ne l'avait pas dérangée...

| Concierge | " Qu'est-ce que vous faites là ? On est pas à la plage ici ! "

| Eloise | " C'est certain, à la plage on ne croise pas des vieux croûtons dans votre genre ... "

Sourire. Le vieux concierge dévisa Eloise de la tête aux pieds. Cette petite insolente ! Ce n'était pas la première fois qu'elle jouait à la grande avec lui. Pas qu'Eloise soit méchnate et impolie, c'était une gryffondor ne l'oublier pas. Mais elle détestait l'autorité, et ce vieux crouton lui donnait presque des ordres. Ca la mettait en petard. Non, cette fois, c'était trop. Il ne pouvait pas la laisser se ficher de son autorité encore une fois, hein ! Non, il fallait qu'il sévisse...

| Concierge | " Retenue ! Vous exagerez miss Smith, ça ne peut plus durer ! Vous viendrez dans mon bureau vers 14h et je vous donnerais du travail ! "

Le concierge eut soudainement un air fier, un air de supériorité qu'on lui reconnaissait lorsqu'il envoyait quelqu'un en retenue. Et pourtant, si il avait su qu'Eloise s'en fichait pas mal. Une retenue de plus, une retenue de moins ... Et ça lui ferait une excuse pour échapper à son cours de rattrapage en métamorphose, quel chance ! C'est avec un grand sourire qu'elle répondit au concierge.

| Eloise | " Très bien ! A toute à l'heure ! Vous pouvez partir maintenant... "

Déconcerté, le concierge partit à grande enjambées vers le château, agacé de n'avoir pas su, une fois de plus, punir Eloise Smith comme il le fallait. Pendant qu'il s'éloignait, Eloise reprit sa "scéance de bronzage".
Vers 13h45, Eloise se leva et prit la direction du château. Elle arriva devant la porte du bureau du concierge à 14h piles. Elle toqua à la porte mais il n'y avait personne. Elle entra tout de même et s'assit devant le bureau. Lorsque le concierge arriva quelques minutes plus tard, il la fit le suivre, sans un mot. Il la mena à la salle des trophées.

| Concierge | " Voilà une occupation qui devrait vous plaire. Vous allez me récurer toutes les armures de la pièce, sans baguette bien évidement ! Et que ça brille ! "

Sur ce, il sortit de la pièce, triomphant. Si Eloise s'était attendue à cela... Elle n'aurait peut-être pas fait la maline. De toutes les punitions qu'elle avait déjà eues, celle-là était la pire. Et elle savait de quoi elle parlait, ce n'était pas la première fois qu'elle devait jouer à la femme de ménage. Cependant, la dernière fois, c'était les médailles et coupes qu'elle avait du nettoyer. Elle se mit tout de suite au travail. Elle essaya d'abord d'utiliser sa baguette mais il semblait qu'elle ne savait pas l'utiliser dans cette pièce. Eloise, qui croyait sans sortir à bon compte, jura. Elle s'assit par terre et regarda les armures qui l'entouraient de toutes parts. Bien qu'elle n'eut aucunement peur, cela la fit frissoner tout de même. Quelqu'un de froussard aurait sans doute pris ses jambes à son coup, tant elles étaient impressionantes. Environ une demi-heure plus tard, elle avait presque fini la première des armures. Ce n'était pas facile car on aurait dit qu'elles n'avaient plus été nettoyées depuis 20 ans. Elle éternua, juste au moment où la porte s'ouvrit, laissant apparaître le concierge.

| Concierge | " Je vous ai amené de la compagnie ... "

Il se recula et laissa apparaître une jeune fille, qui devait elle aussi se retrouver en retenue. Eloise eut du mal a cacher son sourir, le concierge venait de lui faire un des plus beau cadeau au monde ! Elles allaient etre propre ses armures !

Concierge : « Synopsis ! SYNOPSIS ! Revenez ici immédiatement ! Par Merlin, SYNOPSIS VENEZ ICI ! »

Evy continuait de courire à toute jambe, il n'était que dix heures du matin, ce samedi là, et le concierge lui courrait déjà après, ce qui était plutôt amusant. La jeune fille avait juste fait exploser des bombabouses devant son bureau, c'était sa course habituelle du samedi matin, sauf que cette fois, l'horrible concierge l'avait surprise et la pourchassait désormais corps et âme. La jeune fille éclata de rire en entendant le concierge la traiter de « vaux rien de gnome » et continua de courire avant de bifurquer au bout d'un couloir. Pars chance, il s'agissait du hall bondé d'élèves qui se pressaient pour gagner la Grande Salle ou le parc et Evy n'eut aucun mal à se fondre dans la masse. Elle entendit distinctement le concierge pousser un juron derrière elle car il l'avait perdu de vue et quelques secondes plus tard, elle se faufilait dans la Grande Salle pour manger quelque chose. Elle se dirigea vers sa table et croisa alors Olivia qui se pencha pour l'embrasser sur le front. Evy lui sourit et essaya de controler sa respiration mais la jeune fille vit vite qu'elle était essouflée et se douta immédiatement de quelque chose même si elle ne dit rien. Elle se contenta de regarder ses joues rosies et sortit de la Grande Salle avec un sourire. Evy s'assit donc à sa table, rejoignant Tristan qui était attablé seul et déjeuna en sa compagnie. Elle laissa gambader Tommy, son boursoufflet vert, dans une assiette qu'elle remplit de quelques nourritures dont raffolait la bestiole et se plongea en pleine conversation avec son ami.


***

Le Concierge : « Ah ah ! SYNOPSIS ! Pris la main dans le sac en train de... Qu'est-ce que vous fabriquiez encore Synopsis ? » Gronda le vieux concierge.

Evy ne répondit pas et se contenta de lui adresser un sourire insolent. Elle fit un pas de coté pour écraser son mégot de cigarette avant qu'il ne le voit et sortit de l'ombre du bosquet. Le concierge l'avait traqué toute la matinée et c'était à 14 heures dix, devant ce bosquet, qu'il l'avait retrouvée. Avec amertume, Evy pensa que ce vieux crouton n'avait vraiment rien de mieux à faire que de la traquer en ce samedi.

Le Concierge : « Suivez moi Miss Synopsis ! J'ai du travail pour vous ! Vous allez voir ce qui arrive à ceux qui font exploser des bombabouses sous mon nez ! »

Vaincue, ou du moins peu désireuse de se battre plus longtemps, Evy balança son sac sur son épaule, attrapa Tommy qui jouait dans les branches du bosquet et le mis dans sa poche avant de suivre le concierge qui paradait, triomphant d'avoir mis la main sur la personne qu'il traquait depuis ce matin là. La Poufsouffle croisa les bras en soupirant devant son air joyeux et remonta l'allée du parc derrière lui. Lorsqu'il se retournait pour voir si elle ne lui avait pas fait faux bond, elle lui adressait le sourire le plus hypocrite dont elle était capable. Elle fut désanchantée cependant de voir tous les élèves assis dans l'herbe ou au bord du lac, à profiter de cette belle journée et croisa quelques connaissances à qui elle adressa des grimaces et des petits sourires. Ensuite, le concierge la conduisit à l'intérieur du château puis devant la salle des trophés. Qu'avait-il en tête ce vieux chnock ? Malheureusement, Evy comprit à l'instant où il ouvrit la porte et qu'il s'adressa à une personne invisible.

Le Concierge : « Je vous ai amené de la compagnie... »

Evy entra à sa suite et vit alors Eloïse, appliquée à nettoyée une des armures imposantes de la salle des trophés. Evy lui adressa un sourire rayonnant mais ne fit pas le moindre geste autre qui signifiait qu'elle connaissait la Gryffondor sinon, le concierge les auraient séparées. Il expliqua sa tâche à Evy et s'en alla, en leur indiquant qu'il ne reviendrait qu'a 18 heures, si elles avaient finit de tout astiquer. Enfin, il ajouta que cela avait intéret à briller à son retour et il ressortit en claquant puis verrouillant la porte. Evy jeta alors son sac dans un coin de la pièce sans ménagement et s'avança vers Eloïse en la prenant dans ses bras et l'embrassant sur la joue.

Evy : « Est-ce qu'on va vraiment nettoyer ces armures sans broncher ? » Demanda t-elle innocemment.

Mais son sourire en coin signifiait clairement que le vieux crapeau allait s'en mordre les doigts de les avoir enfermées ici pour l'après midi.

Entre le déclic de la porte qui se déverrouillait et le moment où la porte s’ouvrit, Eloise se lançait des paris à elle-même sur l’identité du nouvel arrivant. La jeune fille cessa quelques secondes de se balancer sur sa chaise et se releva en un bond, elle commenca a astiquer les armures. Ce n'était pas le moment de se prendre une heure de plus. Surtout si elle se retrouvait avec un ringard de première, qui avait l'intention de faire son heure de colle dans la calme et le serieux. Pour seul raison d'avoir oublié de rendre un devoir et d'avoir supplié le professeur de le punir. Croyez moi ou non mais ca existe, je le sait. La porte s'ouvrit, lentement, laissant place au concierge accompagné de ... Le vieux en face d'elle prit un air fière de celui qui avait réussit son coup mais qui, en fait, venait sans le savoir de passer pour le plus gros cretin de la terre. Tout les professeurs savaient que mettre les deux personne qu'il avait réunit dans cette pièce était une erreur. Une grosse erreur qu'il allait bientôt regretter. Au moin, il venait de faire deux heureuse sur terre. Il pourrait en etre fière, c'est plutôt bien, non, de rendre les gens heureux ? Tout dépend des circonstances. Elle ne sauta pas directement au cou de son amie, oui, le concierge les aurait séparé. Eloise attendit, patiemment, qu'il sorte de la salle. Elle prit Evy dans ses bras puis l'embrassa a son tour sur la joue. La jeune Gryffondor ne pu s'empecher d'éclater de rire, quelle coincidence ! N'empeche le hasard fait bien les choses des fois ! Tout dépend encore une fois tu côté dans lequel on se trouve.

| Evy | " Est-ce qu'on va vraiment nettoyer ces armures sans broncher ? "

Eloise dévisagea son amie quelque seconde. Elle avait très bien compris mais c'était pour rester dans l'ambiance. Rester ici et nettoyer ses armures ? N'importe qui les connaissant en aurait rit ! Ele restèrent planté la a se fixer, une lueur d'amusement dans les yeux. Elle se comprenaient rès bien. Il était hors de questions de rester l'après-midi enfermé dans cette salle par ce temps. Non, ce temps la, c'était pour faire la fête, pas les femme de ménages.

| Eloise | " Et si on y mettais le feu, on auras plus qu'a passé le balai. De toute manière je suis sur qu'il comprendra qu'on veuille profiter de notre jeunesse, elle regarda la fenetre. Devenir comme lui n'ai pas une destiné particulièrement interressante. "

Sa tête se tourna furtivement vers Evy. Il est vrai qu'elle n'était pas du tout etonné de la voir ici. En heure d ecolle quoi. Oui une vieille habitude diffile a perdre. C'est vrai, certain naissent pour être sage, avoir une femme et des enfants, devenir médicomage et vivre une vie tranquille, d'une banalité sans pareille et ennuyeuse a mourrir. D'autre, plus jeune, se forge un caractère et vivent une vie pleine d'entrain, agrementé par une ou deux igarette et une bouteille d'alcool a le main, une fete tout les deux jours a en avoir la tête qui explose. Ainsi il peuvent exploté leur caractère entouré d'amis. Cette vie la n'est pas sans conséquence bien sur, tout a un prix. Le prix d'aujourd'hui était cette heure de colle. Qui n'allait pas avoir lieu.

| Eloise | " Comment t'as atterit ici cette fois Evy ? "

THE question. THE réponse. Evidemment, Eloise se doute qu'elle n'avait pas supplier un professeur parce qu'elle avait oublier de rendre un devoir. Non, ce devait etre bien plus exitant et amusant. Même seule, la fille qu'elle avait en face d'elle était capable du pire. Imaginez avec plusieur personne ? Parfois, quand elle faisait leur tour de passe-passe toute les deux, Eloise se demandait si serpentard ne les aurait pas acceuillit a bras ouvert. Bon, c'était le seul moment ou elles avaient vraiment l'attitude d'une serpenatrd. Les conneries ... Les heures de colles ... Ils faut de tout pour faire un monde, la jeune fille se demandait bien se qu'elle allaient pouvoir faire cette fois ci. Eloise attrapa leur deux chiffon, ainsi que les produits de nettoyage puis les rassembla par terre. Elle sortit sa baguette puis leur mit le feu. Héhé, plus rien ! Plus d'heure de colle !

| Eloise | " Evy, j'ai une horrible nouvelle. Nous ne pourrons pas faire notre heure de colle parce que j'ai maladroitement mit le feu a nos outils. Ont va quand même pas nettoyer avec les mains ?! "

Elle lui fit un grand sourir. Genre, quesqu'on attend pour filer !

Il y avait parfois des jours où l’on aurait mieux fait de rester coucher au fond de son lit parce que l’on enchaînait les bêtises et que les conséquences n’étaient pas toujours gaie à assumées, parce que le sort s’acharnait contre nous sans que l’on sache pourquoi, parce que la vie avait décidé d’être méchante avec nous ce jour là et que les salles histoires et salles moments s’enchaînaient en une seule et unique journée…Des journées dont chaque être humain se seraient bien passés mais qui pourtant existait bel et bien afin de mettre un peu de piment dans une vie bien trop tranquille de l’avis du sort, pour mettre un peu de bordel dans un rangement bien trop parfait : ces journées ne servaient à rien d’autre que de permettre au diable de s’amuser un peu ou peut-être aussi de stopper l’ennuie mortel d’une personne mais les effets qui en ressortaient de ces terribles journées n’étaient jamais positifs et généralement ces jours-là on faisaient tout pour les éviter mais on était pourtant toujours sûr de les trouver sur son chemin ce qui fut le cas de Maximilien aujourd’hui même…Et pourtant c’était un magnifique samedi ensommeillé et tout avait semblait il bien commencé mais malheureusement pour lui, cette journée qui commençait bien, allait finir par devenir bien néfaste pour le pauvre jeune homme qui n’avait rien demandé à personne.

Il était très tôt le matin, tout le monde dormait encore, et lui aussi d’ailleurs. Il était bien au fond de sa couette, dans la douce chaleur et le doux repos de l’aube, à rêver tranquillement de choses dont on ne citera pas le nom lorsqu’il sentit un corps chaud se placer bien, tout contre lui…Il bougea légèrement et vint placer son nez dans les cheveux de la personne à côté de lui, respirant son odeur à fond, il encercla la taille de cette même personne de son bras et se colla à elle…Toujours encore endormie malgré la présence nouvelle dans son lit, il se mit à respirer l’odeur corporelle de l’intrus…Il se sentait si bien tandis qu’une main chaude traçait un chemin sur sa joue, jouant avec ses cheveux blonds jusqu’à ce qu’il ouvre la tête et qu’il se retrouve face à un de ces meilleurs amis : Travis Cohen ! IL clignota légèrement des yeux, se serrant contre cet homme à qui il tenait tant, respirant encore et encore l’odeur qu’il dégageait, enfuyant son nez dans son coup, dans ses cheveux : il était si bien ce matin très tôt à côté de lui, encore endormis…Il savait pourquoi Travis était là. Il lui avait demandé la vielle de venir le réveiller tôt parce qu’il devait faire ses devoirs. Travis, se levait toujours tôt ces temps-ci, devenu limite insomniaque depuis la mort de son frère, il avait les yeux ouverts depuis cinq heure du matin et cela, Maximilien le savait bien, voilà pourquoi, il avait demandé à son meilleur ami de le lever à sept heure ainsi, il allait faire ses devoirs et allait avoir tout l’après midi pour Léo et Travis, ils allaient aller à pré au lard, boire des verres, s’amuser et surtout oublier ! Voilà ce qui était prévu. Il clignota alors longuement des yeux pendant que son meilleur ami lui secouait légèrement le bras pour l’empêcher de se rendormir mais aucun risque : il n’avait pas envie de bouger, trop bien contre le serdaigle ! Mais lorsqu’il fallait quelque chose, il le fallait ! Il embrassa alors Travis sur le front et se leva enfin bien décidé à finir au plus vite son travail !
IL se dirigea alors directement vers la salle de bain, laissant celui chargé de son réveil dans son lit, et alla donc prendre sa douche tranquillement. IL se frotta longuement et revint alors en serviette dans son dortoir. Il constata avec un sourire que Trav’ s’était rendormi dans son lit, son ami allait peut-être pouvoir rattrapé le sommeil en retard ! IL se dirigea vers son coffre, en sortit un boxer, un pentacours blanc et un t-shert noir qu’il enfila rapidement avant de sortir de son dortoir, le sac à dos sur les épaules ! Jusque là, tout allait bien mais les choses allaient se gâcher dés maintenant…

Tout d’abord, il se mit à courir en direction de la bibliothèque bien décidé à en finir au plus vite avec le plus ennuyeux mais tandis qu’il dévalait les marches des escaliers deux à deux à une vitesse folle, il ratta une marche et se vautra dans les escaliers, tombant à la renverse et surtout : tombant sur son cul ! Il avait très mal à la cheville et savait alors qu’il se l’était foulée, lâchant une ribambelle de juron, il ôta sa chaussure et sa chaussette et pointa sa baguette vers son pied murmurant un « férula » il se confectionna un bandage vite fait avant de forcer son pied mal à en point à re rentrer dans sa chaussure ! IL se remit donc en route, lentement, boitillant mais sûrement ! Les choses s’enchaînèrent alors parce que lorsqu’il arriva à la bibliothèque, il trouva les portes fermées avec un mot écris dessus « Fermée pour la matinées, jour de congé de la bibliothécaire ! » IL étouffa un nouveau juron mais était bien décidée à ne pas laisser ces portes clauses quitte à être le seul à l’intérieur de la bibliothèque : il allait entrer. IL sortit alors sa baguette et après avoir tester de nombreux de sorts, il réussi à ouvrir la porte et surtout à la poussée. Il se glissa à l’intérieur et plaça alors la porte contre, ravi d’avoir ce lieu immense pour lui tout seul…Mais les choses n’allaient pas être aussi simple, il aurait du s’en douter !
Il s’installa d’abord à une table, sortit toutes ses affaires de son sac ainsi que sa bouteille de jus de citrouille gazeux…Mais en l’ouvrant, le gaz, qui avait été trop secoué par sa chute, fit sortir le liquide de sa bouteille et tâcha le t-shert du serdaigle qui agacé, sortit sa baguette pour se lancer un sort et se sécher au passage ! La journée commençait déjà à l’énerver mais cela allait mieux en travaillant, du moins, c’était ce qu’il pensait ! Il alla chercher plusieurs bouquins, toujours en boitillant et commença à travailler sérieusement lorsqu’il entendit la porte grincée ! En relevant la tête, il constata qui le concierge avait remarqué la porte contre et était entré : il allait avoir des ennuies !

CONCIERGE_ « Que faites vous là, monsieur Middle ? »
MAXIMILIEN_ « Je travaille, Monsieur ! »
CONCIERGE_ « N’aviez vous pas vu que la bibliothèque était fermée ce matin ? »
MAXIMILIEN_ « Si Monsieur mais je devais absolument finir mon devoir et… »
CONCIERGE_ « Ce n’est pas mon problème ! Sortez de là, Middle et retenu à trois heure, rendez-vous directement salle des trophées ! »

Quel vieux gripsou, celui-là ! Non décidément, Maximilien savait maintenant qu’il n’aurait pas du demandé à Travis de le réveiller, il aurait du faire ses devoirs le lendemain mais c’était trop tard maintenant ! IL n’allait pas pouvoir aller à pré au lard…Mais bien décidé à continuer cette journée dans la joie, il se dirigea vers la grande salle pour déjeuner. Bien sûr il se renversa du cacao brûlant sur le pantalon et fit tomber, sans le faire exprès un premier année mais à part cela aucune catastrophe majeure ne fut à signaler ! Il monta alors dans son dortoir pour prévenir ses deux meilleurs amis qu’il n’allait pas se joindre à eux pour le sortie hebdomadaire ! Léo déçu, lui demanda pourquoi et Maximilien lui expliqua le tout…Une fois l’histoire terminée, Travis le regarda longuement avant de déclaré ‘une voix ferme :

TRAVIS_ « La salle des trophées hein ? Il va te faire nettoyer quelque chose ! Prend donc une éponge et ensorcelle là avant d’y aller, ainsi tu utilisera la magie sans qu’il le sache parce qu’il va te l’interdire ! »
MAXIMILIEN_ « Pas bête, merci vieux ! »

Aussitôt dis, aussitôt fait. Maximilien attrapa un vieux morceau de torchon dans sa valise et Léo chercha son livre de sorts. Les trois amis, soudés comme les doigts de la main, se mirent ensemble à feuilleter le livre, espérant trouver le sort approprié. Après une heure de recherche et une autre heure d’entraînement, Max sut lancer le sort et le fit sur le chiffon qu’il plaça alors dans la poche de son pentacours, priant pour que ce vieux concierge tout rabougris ne le remarque pas. L’heure avait bien tourné et Trav’ et Léo devaient partir maintenant, ils s’embrassèrent et Léo promit à Max de lui ramener des plumes en sucres…Ayant retrouvé légèrement le sourire, Maximilien se dirigea vers le salle des trophée pour sa « super » retenue. IL y trouva le concierge qui l’y attendait tranquillement. Celui-ci le fit alors entrer, poussa la porte et dit :

CONCIERGE_ « Miss Synopsie, vous pouvez partir, votre demi heure est finie ! Miss Smith, restez, je vous ai emmené un autre compagnon, Allez Middle au travail, les armures, et que ça brille ! »

La première jeune fille sortit et le vieil homme poussa alors l’adolescent à l’intérieur et claqua la porte derrière lui, laissant alors Maximilien fasse à une jeune femme, d’apparement gryffondor d’après l’écusson…Celui-ci soupira et ne sachant trop que dire s’approcha vers elle. IL n’était pas de très bon humeur mais avant quand même un sourire affiché sur ses lèvres : il n’allait pas être seul et puis bon, il y avait demain. IL avait reprit un peu confiance en sa journée et surtout le contrôle de ses émotion pour redevenir « Mister positif attitude » Il sourit alors à la jeune fille et lui dit :

MAXIMILIEN_ « Salut ! Moi c’est Max, et tu es ? »