[Priorité à Maximilien Middle]

Loreana dévisagea l'élève face à elle. Assise à son bureau, elle regardait, l'air amusé, le petit Gryffondor tenter d'obtenir ce fameux breuvage... En vain. Pour sa première tentative, l'élève avait obtenu un espèce de liquide rose visqueux assez éloigné du résultat souhaité. Après, il avait abandonné à cause du nuage de fumée noire qui s'échappait de son chaudron. Et on en était là. Miss Wilde avait décidé de laisser une dernière chance à ce deuxième année... Mais c'était lassant de le regarder stresser pour savoir quand mettre dans la potion tel ingrédient... Tiens, voilà qui fit ressurgir un souvenir... C'était... En 5ème ? Durant un cours de potion, elle était assise à côté d'un Serpentard qui la draguait. Ils devaient justement confectionner un filtre d'amour. C'était très drôle... Le Serpentard avait passé son temps à la regarder... Résultat, au moment de rendre un échantillon, il avait fourré tous les ingrédients pêle-mêle dans son chaudron. Mauvaise idée. Il s'en était suivi une détonation...

??? « BOUM ! »

Un grand bruit tira la directrice des Serdaigle de ses souvenirs. Le Gryffondor, le visage noir, la regardait comme s'il venait de faire une bêtise... Tiens, où était le chaudron, d'ailleurs ? Loreana regardait autour d'elle... Et elle comprit l'air du jeune élève. Le chaudron gisait sur le sol, au milieu de débris de verre... Une armoire avait été heurtée de plein fouet, et était à présent vide... Tous les flacons brisés répandaient leur contenu sur le sol. Loreana leva les yeux, respira un bon coup, puis se tourna vers le Gryffondor.

LOREANA « Bon, ça suffit, Aaron. Sortez. Je vais être obligée de vous mettre un P. De plus, vous irez voir le concierge jeudi, pour votre retenue. Je ne vous retiens pas. »

Le jeune Gryffondor sortit rapidement sans demander son reste. En soupirant, la prof de potion se leva, contourna le bureau et ramassa le chaudron, puis le remit à sa place, dans une armoire. Puis, d'un geste de la baguette, elle nettoya le banc. Au passage, elle remarqua une inscription. Un dialogue écrit sur le banc, il semblerait.


Tu penses ?
Oui, je crois... Enfin, c'est ce qu'on dit.
C'est un peu gros, non ?
Ouais, mais après tout, c'est Max...
Mais Wilde, c'est pas rien...


Tiens ? Voilà qu'elle se retrouvait dans les discussions sur les bancs... Et qui était ce Max ? A vrai dire, il y en avait un petit paquet, de Max, à Poudlard... Des Maxence, Maxime, et autres Maximilien. Bah ! Pas grave. C'était sans grande importance, en fait. Elle aurait le temps de mener son enquête une fois qu'elle aurait terminé de ranger cette pagaille... Le plus tôt serait le mieux. Restait plus qu'à réparer tous les flacons, puis à déterminer quel liquide allait dans quel flacon...

Au bout d'un petit quart d'heure, elle avait terminé. Regardant l'heure, elle se dit qu'elle n'avait pas envie de retourner dans son appartement de Poudlard tout de suite. C'est pourquoi elle prit quelques échantillons des potions d'une classe et se mit à analyser.
Le premier était raté. Un D était déjà très généreux ! Et le suivant... Aah ! Parfait, voilà qui méritait un E ! Et le suivant...

??? « Toc Toc Toc ! »

Loreana leva la tête. Quelqu'un avait frappé à la porte...

LOREANA « Entrez ! »

LOREANA « Entrez ! »

Ceci dit, elle se saisit d'un autre flacon, et en analysa la couleur, la consistance, etc. Hmm... pour celui-là, un A... Au bout de deux analyses, la personne qui était entrée prit la parole.

MAXIMILIEN « Bonsoir, excusez moi de vous déranger si tard, professeur, mais j’aimerais vous parler de mes rondes. Puis-je ? »

Loreana leva la tête. Son regard se posa sur Maximilien Middle, élève de sa maison en... sixième année. Un garçon au charme non-négligeable, mais avec un caractère de chien. Un "bad boy", si on veut... Un préfet, aussi. Mais pas toujours très responsable. Il était plus du genre à s'amuser dès qu'il le pouvait, même si Miss Wilde ne pouvait se plaindre de ses aptitudes. Pourtant, il était un gosse de riche, pourri-gâté à ce qu'on disait. En général, les riches éduquaient mieux leurs enfants.... Bon, physiquement, il fallait avouer qu'il était du genre... Beau gosse ? Moui, ça convenait... Son sourire charmeur, son regard perçant, son attitude en général étaient toujours pleins de sous-entendus, de provocations... Surtout, et ça, la jeune Wilde l'avait bien remarqué, avec elle. Il lui jetait toujours des coups d'œil dans la grande salle, il s'arrangeait toujours pour la frôler dans les couloirs, et ne parlons même pas des cours ! En plus, les potions étaient la matière préférée du jeune homme, ce qui n'arrangeait pas les choses... Loreana lui rendit son sourire. Tiens... Max...

LOREANA « Tiens donc ? Maximilien Middle, surnommé Max, je suppose... Quel honneur ! Assieds-toi, je t'en prie... »

Le jeune homme s'assit donc. Loreana le regardait dans les yeux. De beaux yeux couleur bleu azur, d'ailleurs... HUM ! Qu'était-elle, là ? Une gamine pleine d'hormones, ou une adulte responsable ? La deuxième option, bien entendu... Quoique... Bon ! Se ressaisir, et voir avec ce préfet ce qu'il voulait exactement.

LOREANA « Bien. Tu as un problème avec tes rondes ? Nous en avions discuté avec les autres, et à ce moment-là, tu semblais d'accord... Alors, où est le problème ? »

Loreana posa un regard sévère, bien qu'un peu adouci, sur le jeune homme, ce qui signifiait qu'elle ne voulait pas perdre son temps avec des histoires sans intérêt. Si il n'était venu que pour rire, pour la voir ou encore pour la draguer, il allait être déçu...

LOREANA_ « Entrez ! »

Maximilien ne se fit pas prier et poussa la porte qui s’ouvrit dans un faible grincement : Poudlard devrait réparer ses portes. Il fit un pas à l’intérieur et avant de regarder son professeur, referma la porte dans le même grincement. Il se tourna alors enfin vers la directrice de sa maison et ce fut avec plaisir qu’il découvrit les habits qu’elle portait aujourd’hui. Un pentacours en jeans qui laissait voir le bout des jambes qui semblaient parfaitement lisses et magnifiques, de plus il était moulant et il était sur qu’en se décalant un peu, il pourrait voir la forme de ses fesses. Quand au haut, elle portait un magnifique t-shert blanc légèrement décolleté qui moulait légèrement ses hanches et surtout les formes généreuses de sa poitrine…Elle possédait cet air doux et autoritaire à la fois et posa sur lui ses magnifiques yeux bleus clairs qui lui transperçaient la peau…Maximilien se sentit frissonner légèrement à force de la regarder. Il se ressaisit alors, se rappelant le but de sa visite. Il s’approcha de son professeur et lui dit d’une voix calme et douce :

MAXIMILIEN_ « Bonsoir, excusez moi de vous déranger si tard, professeur, mais j’aimerais vous parler de mes rondes. Puis-je ? »

Il avait parlé sur un ton distingué, le dos bien droit, le regard sur élevé. Maximilien avait toujours cet air d’enfant parfait non seulement avec les adultes mais aussi avec les adolescents même lorsqu’ils s’amusaient. Son éducation restait et il en était assez fier. Celui lui permettait de faire bonne figure et de se permettre des choses que d’autres n’auraient pas pu. Comme par exemple avec Mademoiselle Wilde ici présente. Nombreux étaient les adolescent qui fantasmaient sur elle, ils en parlaient beaucoup dans les couloirs, elle n’était pas la seule prof, mais elle avait quelque chose en plus mais aucun jeune n’osait lui faire d’allusion, ni la draguer, elle était bien trop sévère Loreana Wilde était du genre à imposer le respect et le silence avec un seul regard mais cela ne marchait pas sur Maximilien. Dans le fond, rien ne marchait sur Maximilien, à part les regards de sa douce Elisa, cette femme qui l’avait élevée. Le jeune Middle était un anarchiste dans l’âme, il avait cet art de faire ce qu’il voulait sans jamais dépasser les limites, il posait parfois un orteil dessus mais jamais plus ce qui faisait qu’on ne pouvait jamais rien lui reprocher, il était bien trop intelligent pour aller trop loin ce qui ne l’empêchait pas d’être honnête, max avouait chacune de ses bêtises et n’avait jamais aucune honte. Il assumait tout : ses choix, ses décision etc. Mais bon pour en revenir à miss Wilde, Max était le seul à oser lui faire des sous entendus, à oser la frôler et puis de toute façon…Il ne l’aurait jamais alors pourquoi en faire toute une histoire.

LOREANA_ « Tiens donc ? Maximilien Middle, surnommé Max, je suppose... Quel honneur ! Assieds-toi, je t'en prie... »

Il ne se fit pas prier et alla poser ses magnifiques fesses si désirées sur un des bancs utilisés en potion. Il n’allait quand même pas s’asseoir sur une chaise non ? Il écouta attentivement son professeur, fixant surtout ses lèvres rose et pulpeuse et fut surprise d’entendre qu’elle lui parlait de son surnom mais n’y prêta pas directement attention après tout, rien de très grave ? Mais il savait bien qu’il n’allait s’empécher de faire un commentaire par la suite, mais d’abord il écouta la suite. Alors elle était honorée de le rencontrer en privé. Cela l’amusait car il sentait un brin de sarcasme dans sa voix. Il ne fut en revanche pas surpris d’entendre le tutoiement. Le professeur Wilde était connue pour tutoyer tous ses élèves en privés.

MAXIMILIEN_ « Moi de même Miss Wilde, honoré. Mon surnom est en effet Max mais certaines personnes m’appellent Enzo, vous pouvez en faire de même, si cela vous chante ! »

Il lui fit un grand sourire de ses dents blanches. Non il n’avait pas l’air ridicule où d’un salle gosse en train de draguer, d’ailleurs, là il n’était pas en train de draguer. Il était juste poli en ce moment même, c’était une habitude pour lui de sourire. Il souriait tout le temps, c’était un enfant heureux…Il n’avait qu’un seul manque : il manquait d’affection mais n’avait aucune intention de le montrer en publique et encore moins devant un professeur tel que Loreana. Bref, il attendit un moment et une fois que le silence fut bien passé, Loreana se remit à parler afin de discuter des raisons de la venue de ce cher Maximilien Middle :

LOREANA_ « Bien. Tu as un problème avec tes rondes ? Nous en avions discuté avec les autres, et à ce moment-là, tu semblais d'accord... Alors, où est le problème ? »
MAXIMILIEN_ « En fait voilà, j’ai des rondes le vendredi soir de vingt heure à minuit mais le vendredi, je ne peux pas…je suis occupé ! »

IL n’avait pas envie d’expliquer ses occupations car elles étaient plusieurs et pas toujours très claires…Il voulait juste permuter ou les décaler mais c’était sans compter la curiosité de son professeur…

MAXIMILIEN « Moi de même Miss Wilde, honoré. Mon surnom est en effet Max mais certaines personnes m’appellent Enzo, vous pouvez en faire de même, si cela vous chante ! »

Cette réflexion fit naître un sourire plus franc sur les lèvres de la jeune prof. De même que sur celles du jeune homme. Un sourire éclatant, et un peu charmeur sur les bords. Mais Loreana ne le releva pas. Après tout, c'était la nature du jeune Middle. Et c'était aussi ça nature d'être poli en toutes circonstances. Du moins, grâce à son éducation. Autant les parents de Maximilien avaient été laxistes au niveau des mœurs, autant ils avaient inculqué les bonnes manières à leur fils. C'était d'ailleurs très séduisant, ce côté gentleman. Même pour une jeune femme de 24 ans. Même pour une prof responsable et sévère. Même si elle avait bien vu le regard (qui en disait assez long, d'ailleurs) du jeune élève. Vu et senti, même. En plus, en répondant à sa question, il venait de lui apporter une autre réponse. C'était bien -ou du moins, il y avait beaucoup de chances- lui qui était l'objet de la conversation sur les bancs. Il voulait parler de ses rondes, non ?

LOREANA « Bien. Tu as un problème avec tes rondes ? Nous en avions discuté avec les autres, et à ce moment-là, tu semblais d'accord... Alors, où est le problème ? »
MAXIMILIEN « En fait voilà, j’ai des rondes le vendredi soir de vingt heure à minuit mais le vendredi, je ne peux pas…je suis occupé ! »

Le sourire, qui avait disparu du visage de Loreana, revint assez vite. Il était occupé ? Vraisemblablement, il ne tenait pas énormément à dire à quoi il était occupé... Et pourtant ! Et pourtant c'était nécessaire. Il allait devoir tout lui dire. Oh, pas parce qu'elle voulait savoir à tout prix, ni parce qu'elle allait le faire chanter... Mais tout simplement parce que permuter des rondes était assez important et nécessitait une bonne raison. Une raison plus que valable.

LOREANA « Je vois... Je vais devoir te demander ce que tu fais le vendredi soir entre vingt heures et minuit. Oh, pas par curiosité, mais parce que décaler voire permuter des rondes peut créer des problèmes, et il ne faudrait pas que les couloirs se retrouvent sans surveillance... C'est pourquoi il faut une bonne raison pour pouvoir le faire... »

Elle faillit ajouter une remarque sarcastique à propos de possibles "escapades nocturnes", mais se retint. Pas la peine de martyriser ce pauvre élève. Enfin, pauvre, façon de parler... Quand on savait que ses parents étaient pleins aux as, que lui pouvait tout se permettre (financièrement, j'entends) et qu'il avait été pourri-gâté, l'appeler "ce pauvre élève" ne sonnait pas très bien. Et puis franchement, Max devrait pouvoir se tirer de toutes les emmerdes dans lesquelles il irait se fourrer : avec son charme naturel, on ne pouvait rein lui refuser -ou presque. Loreana ne serait pas étonnée d'apprendre qu'elle était pour l'instant la seule à avoir repoussé ses avances (discrètes, certes, mais des avances quand même) et ce, plusieurs fois. Mais comment en vouloir aux filles qui se laissaient piéger par ces yeux si bleus ? Hum ! Il fallait quand même en revenir au sujet de l'entretien...

LOREANA « Alors, Maximilien, ou Max, ou Enzo, comme tu préfères, si tu veux vraiment déplacer ces rondes, il va falloir expliquer ton planning. »

Ceci dit, elle se leva de sa chaise, rangea les flacons avec les échantillons, puis s'assit en tailleur sur son bureau, regardant fixement Max dans les eux, voulant, bien malgré elle, se perdre dans l'océan bleu azur de ces yeux...

LOREANA « Je t'écoute... »

petti sorry, un peu à court!

Maximilien avait une façon bien à lui d’alpaguer les gens comme le disait Léo, lui préférait dire aborder ou attirer mais bon pas besoin d’épiloguer sur une telle question de vocabulaire. Le fait étant qu’en effet le jeune Middle avait acquis avec le temps des traits de caractères qui lui étaient non seulement bien propres mais aussi très avantageux. Il avait cette manie de sourire et de mettre les gens en confiance par son comportement, sa posture et sa façon de parler qu’elle soit polie avec les adultes et excessivement relax avec les jeunes, il avait une façon de dire sa façon de pensé sans complexe ce qui bien souvent faisait rire les gens, en parlant de rire, il possédait un tel sens de l’humour. Celui-ci lui permettait d’attirer grand nombre de monde autours de lui, nombreux étaient les gens qui essayait de l’imiter ou qui se servait de lui comme model. Mais le plus du plus c’était que le jeune homme ne jouait pas la comédie, il ne se forçait pas du tout à être ainsi, loin de là, c’était quelque chose de naturel et cela se sentait tellement fort que les gens étaient tout de suite relax avec ce jeune homme excessivement tolèrent qui ne jugeait ni ne critiquait !

Maximilien possédait aussi une façon de parler, un voix douce, calme et rassurante mais en même temps suffisamment grave et forte pour se faire entendre, il avait l’art d’utiliser qui convenait à chaque situation, peu importe si parfois ils étaient crus ou dur à attendre : la vérité ne faisait jamais de mal bien au contraire. Il détestait mentir, cela ne servait à rien, qu’importe ce que l’on avait fait, il fallait l’assumer, cependant il aimait garder certains trucs secrets non pas parce qu’il était gêné ou avait peur d’en parler, simplement parce que c’était son intimité et qu’il n’aimait pas étalé sa vie privé devant tout le monde cependant sa chère professeur de potion ne semblait pas voir les choses de cette façon, il fallait qu’il lui explique son emploie du temps et dans le fond, elle n’avait pas complètement tord…

LOREANA_ « Je vois... Je vais devoir te demander ce que tu fais le vendredi soir entre vingt heures et minuit. Oh, pas par curiosité, mais parce que décaler voire permuter des rondes peut créer des problèmes, et il ne faudrait pas que les couloirs se retrouvent sans surveillance... C'est pourquoi il faut une bonne raison pour pouvoir le faire... »

Sa professeur avait raison. Il avait été choisi pour être préfet et avait accepter d’assumer son rôle et faire des rondes faisait parti de son rôle, il avait promit et par conséquence si jamais il se permettait de remettre son rôle en question ou tout du moins une petite partie, il était obliger de soumettre une raison et une raison valable. Maximilien aurait du le savoir, néanmoins parler de cela avec son professeur le mettait mal à l’aise. Il avait plusieurs occupations le vendredi. La première étant ses devoirs, non ce n’était pas une blague, Maximilien était du genre à faire ses devoirs à l’avance, à travailler sans arrêt. Il faisait souvent ses devoirs qui ne demandait pas de recherche le vendredi afin de pouvoir faire ses recherches samedi et d’être libre dimanche : organisé notre jeune Middle non ? Il s’apprêta donc à répondre à son professeur mais celle-ci le devança :

LOREANA_ « Alors, Maximilien, ou Max, ou Enzo, comme tu préfères, si tu veux vraiment déplacer ces rondes, il va falloir expliquer ton planning….Je t'écoute... »
MAXIMILIEN_ « Et bien pour être honnête, j’utilise souvent le vendredi pour faire mes devoirs. Non, non je ne ments pas, je suis sérieux, cela me permet d’avoir mon dimanche de libre ou si jamais j’ai besoin de travailler en plus. Et puis après mes devoirs, mon meilleur ami. Vous devez le connaître Léo Sanchez, qui est aussi débordé a son vendredi soir de libre et nous l’utilisons souvent pour répéter. Oui nous jouons de la musique ensemble ! »

LOREANA « Je t'écoute... »

Assise en tailleur sur son bureau, Loreana regardait Maximilien dans les yeux. Elle attendait une réponse. Qui tardait à venir, d'ailleurs... Mais qu'à cela ne tienne, la jeune Wilde détailla -une fois encore- son élève du regard. Grand, les cheveux brun, il dégageait une aura de force. Son regard, qui brillait bien souvent d'une flamme de détermination, était toujours perçant et trahissait une intelligence vive, bien que souvent mal utilisée... Un sweet blanc à capuche cachait le torse, probablement assez musclé, du jeune homme.

MAXIMILIEN « Et bien pour être honnête, j’utilise souvent le vendredi pour faire mes devoirs. Non, non je ne ments pas, je suis sérieux, cela me permet d’avoir mon dimanche de libre ou si jamais j’ai besoin de travailler en plus. Et puis après mes devoirs, mon meilleur ami. Vous devez le connaître Léo Sanchez, qui est aussi débordé a son vendredi soir de libre et nous l’utilisons souvent pour répéter. Oui nous jouons de la musique ensemble ! »

Loreana avait regardé tout ce temps son interlocuteur, tantôt dans les yeux, tantôt perdant son regard sur ses lèvres, ou encore dévisageant le jeune homme en entier. En gros, il voulait déplacer une ronde pour... Faire ses devoirs. Mmmm... Etait-ce la vérité ? Pas moyen de le savoir. En tout cas, faire ses devoirs et jouer de la musiques paraissaient de bien légers prétextes. Enfin, après tout, ce n'était pas à elle de juger, mais au directeur. Tout ce qu'elle avait à faire, elle, c'était de transmettre la demande audit directeur.

LOREANA « Pour être franche, Maximilien, je pense que ce sont des raisons insuffisantes pour décaler une ronde. Enfin, je vais quand même transmettre ta demande au directeur, mais je ne te promets rien... »

Guettant une réaction sur le visage de Maximilien, Loreana eut la surprise d'y découvrir un air qui semblait vouloir dire "je m'en doutais". Et puis bon, c'était pas ça faute, si Max n'avait pas de meilleurs prétextes ! Il avait qu'à ne pas accepter ses rondes quand on les lui a proposées. Il n'avait pas réfléchi, tant pis pour lui. Lâchant un instant le Serdaigle du regard, Loreana découvrit une autre étagère écroulée. Apparemment, le chaudron avait une victime de plus à son actif... Et voilà comment perdre ENCORE plus de temps... Quoique... A la réflexion, puisque le Serdaigle était toujours là, autant qu'il se rende utile...
Elle se leva, se rapprocha un peu de Maximilien, un grand sourire sur les lèvres. L'élève sentait-il l'arnaque ? Possible, mais en tout cas il ne bougea pas.

LOREANA « Dis-moi, Maximilien... Tu ne fais rien, ce soir ? Non ? Parfait, tu vas m'aider ! »

Elle désigna du regard l'armoire effondrée.

LOREANA « Il faut remettre les flacons à leur place. J'ai une liste, là. On doit vérifier que rien ne manque et tout doit aller à sa place. C'est noté là. Tu peux commencer par le bas, je m'occupe du haut. Bien sûr, je pense que Serdaigle pourrait gagner 15 points si tu fais ça bien... »

Loreana gratifia Max d'un autre sourire, puis lui mit une main sur l'épaule, comme pour le faire se lever.

LOREANA « Allez ! Au boulot ! »

Sur ce, elle se dirigea vers l'armoire en question et la remit debout. Puis se saisit d'un flacon, analysa son contenu, consulta la liste et le plaça à sa place. Puis recommença. Au passage, elle jeta un regard en biais à Max, qui s'était lui aussi mit à ranger. Dans le fond, il était peut-être plus gentil et serviable qu'il ne le laissait croire... Perdue dans ses pensées, un flacon à la main, Loreana grimpa sur une chaise pour mettre le flacon en question dans la dernière niche de l'étagère. En équilibre, la jeune prof remit une mèche de ses cheveux en place...

??? « CRAAAAC ! »
LOREANA « Oh, merde ! »

Un des pieds de la chaise avait lâché, causant un déséquilibre... Et Loreana entama une chute vers l'arrière...

[me suis rattrapée ^^ deux pages word]

La raison qu’avait cité Maximilien était faible, très faible, excessivement faible et il le savait parfaitement bien. Non pas qu’elle n’était pas juste, bien au contraire, elle était totalement vraie, il ne lui serait même pas venu à l’idée de mentir, il détestait cela mais sa raison n’était tout de même pas valable. Il en avait conscience et il en avait conscience bien avant de venir ici. Jouer de la musique et faire de devoirs, en devenant préfet, elle avait accepter de faire cela en plus de ses rondes et par conséquent de s’organiser, c’était un devoir, quelque chose qu’il devait faire parce qu’il s’était engager alors ses excuses, bien qu’elle soit fait pour s’en servir et qu’elle soit totalement juste, n’en n’était pas pour autant utile et valable. Maximilien l’avait comprit avant même d’être entré dans ce bureau mais il avait bien du trouver de quoi parler. Il n’aurait pas pu venir juste pour rester assis et la regarder, bien qu’il aurait apprécié l’idée, elle ne l’aurait pas permise alors il avait fallut qu’il trouve de quoi parler, et c’était la seule idée qui avait germer de sans esprit même si elle était totalement stupide et inutile.

Cette jeune femme était magnifique, et tout en parlant, il ne pouvait s’empécher de laisser son regard descendre encore et encore partant de ses yeux à sa bouche rosée et pulpeuse qu’il voulu soudainement embrasser, jusqu’à son coup qui semblait goûteux et ses seins, bien formé et surtout d’une proportion très intéressante et ses hanches, ses jambes ! Maximilien ne pouvait détacher son regard de cette femme qui était malheureusement son professeur et qui de plus ne devait même pas le trouver beau. Certes il avait vu son regard défier vers ses lèvres et il connaissait bien ce genre de regard mais il n’y accorda pas d’importance parce que venant d’un professeur cela ne pouvait pas vouloir dire grand-chose en tout cas sûrement pas ce que lui aurait voulu que cela veuille dire…Si seulement il avait su, l’imbécile. Il aurait suffit d’un pas en avant pour l’embrasser et peut être qu’elle ne l’aurait pas repousser mais mieux valait ne pas prendre le risque…

LOREANA_ « Pour être franche, Maximilien, je pense que ce sont des raisons insuffisantes pour décaler une ronde. Enfin, je vais quand même transmettre ta demande au directeur, mais je ne te promets rien... »

Il fut tiré de sa rêverie par la voix douce, calme et tellement magnifique de cette femme parfaite qui se trouvait en face de lui. Il releva alors à nouveau la tête pour fixer ses yeux dans ceux de la jeune femme. Ils étaient bleus comme les siens et il aurait pu se perdre de dans si on ne venait pas de lui refuser une requête qu’il avait su dés le début inacceptable. Il eut un petit sourire en coin et il savait bien qu’elle pouvait lire dans son regard qu’il avait toujours su que cela n’était pas valable mais il s’en fichait de toute façon, il avait prévu de la draguer un peu alors autant mieux qu’elle soit prévenue de ses intention…Le premier problème était qu’il devait rester dans cette salle de classe. Il regarda les alentours et constatant qu’il y avait des flacons partout, il se douta qu’elle avait du être en train de ranger lorsqu’il était entré et donc qu’il l’avait déranger, quoi de mieux pour se rattraper que de lui proposer de l’aide. Maximilien faisait cela non seulement par charité et bonté mais aussi parce qu’il n’était pas contre passer quelques minutes de plus avec Miss Wilde !

LOREANA_ « Dis-moi, Maximilien... Tu ne fais rien, ce soir ? Non ? Parfait, tu vas m'aider! »

Elle l’avait devancée, la coquine. Max se surprit à avoir un petit sourire en constatant qu’ils avaient la même idée pratiquement en même temps. Et puis il comprenait la jeune femme, si il avait eut à disposition un jeune homme aussi beau que lui (juste un peu narcissique) et aussi fort que lui…Il lui aurait aussi demandé de l’aide. Peut être qu’il poussait un peu dans ses propres compliments. Quoi qu’il en soit, il suivit de regard celui de la jeune femme qui lui désignait les armoires cassées :

LOREANA_ « Il faut remettre les flacons à leur place. J'ai une liste, là. On doit vérifier que rien ne manque et tout doit aller à sa place. C'est noté là. Tu peux commencer par le bas, je m'occupe du haut. Bien sûr, je pense que Serdaigle pourrait gagner 15 points si tu fais ça bien... »

IL n’allait certainement pas refusé parce que non seulement il allait aider quelqu’un mais en plus il allait faire gagner des points à serdaigle et en plus il allait passer du temps avec son professeur de potion. Il avait hâte de raconter sa à Léo. Il s’apprêta à se lever mais fut stopper dans son geste parce que la directrice de sa maison venait de le devancer. Il pu alors admirer les courbes de la jeune femme se déployant tandis qu’elle se levait pour s’approcher de lui. Il frissonna en tant les mains de cette femme se poser dans son dos pour l’encourager à se lever. C’était comme une décharge électrique. Il se leva alors tandis qu’elle continuait de l’encourager avec la parole cette fois :

LOREANA_ « Allez ! Au boulot ! »
MAXIMILIEN_ « Avec plaisir professeur. Vous savez que vous m’avez coupez l’herbe sous le pieds. Lorsque vous m’avez demandé mon aide, j’allais justement vous le proposer ! »

Il lui fit un grand sourire et se leva pour la suivre jusqu’à l’étagère. Elle commença alors son tri et il fit de même. Il attrapa la première fiole et l’ouvrit pour en sentir le contenu. Il reconnu directement le nom de la potion à l’odeur et la plaça sur la bonne étagère en dessous de la bonne étiquette. Il était plongé dans son travail. Les potions, il adorait ça et c’était bien un des seuls trucs qui pourrait lui faire oublier qu’il se trouvait à côté du magnifique femme…cependant un bruit assez tordu le fit sursauter tandis qu’il venait de passer derrière la chaise sur laquelle était assise son professeur.
Par réflexe et pur réflexe, il se retourna, ouvrit les bras et accueillit dedans son professeur qui tombait en arrière. En la rattrapant il avait sans faire exprès, je le promet, poser ses mains sur ses seins. Mains qui y étaient toujours et la fiole qu’il avait eut en main à se moment là venait de se briser et de tomber sur son pull. Mais il n’y fit pas tout de suite attention. Reprenant ses esprits et tenant toujours cette femme dans ses bras. IL ne sut trop que faire puis il constata qu’il la tenait par derrière, les mains posées sur sa forte poitrine. IL les retira alors tout de suite et fit un sourire gêné. Cela ne l’avait pas dérangé au contraire mais simplement qu’il s’était dit pour la draguer profiter d’une telle situation ne serait pas idéal et puis bien franchement il était un peu décontenancé par les évènements et son regard était un peu embuée n’en revenant pas de ce qu’il avait pu tenir entre ces mains durant ces 3 secondes…

Il baissa alors la tête et ce ne fut qu’à ce moment là qu’il constata que la potion qu’il avait renversée sur lui en rattrapant son professeur était une potion absorbante de tissus et que son sweet préféré était en train de se carboniser ici et là créant des trous qui allait faire arriver la potion à sa peau. Reflex, encore une fois, il enleva directement son sweet sans faire attention à son professeur et le jeta par terre. Ce ne fut que lorsqu’il fut torse nu qu’il se rendit compte de son geste, qu’il leva la tête, les joues légèrement rouges et qu’il dit d’une voix douce :

MAXIMILIEN_ « Je…je n’ai pas eut le choix. Désolé, vous n’avez pas quelque chose qui traîne que je puisse me le mettre sur le dos, le temps de vous aider à ranger ? »

Il préféra ne pas reparler de la scène avec sa poitrine !

??? « CRAAAAC ! »
LOREANA « Oh, merde ! »

Violemment, un pied de la chaise sur laquelle Miss Wilde se trouvait debout avait cédé. Déséquilibrée, Loreana sentit la chaise se dérober sous ses pieds et se mit à tomber. Et voilà, elle allait s'écraser au sol, avec un peu de malchance elle s'ouvrirait le crâne et se serait fini, elle retrouverait ses parents, son oncle... Ah ? Tiens, non, elle ne s'était pas écrasée... Ou alors, le sol était très doux et délicat, et sentait très bon. Mmmm, non, ça ne devait pas être le sol. Parce que le sol n'aurait pas ses mains posées sur sa poitrine. Elle mit plusieurs secondes à se rendre compte de ce qu'il venait de se passer. D'abord, elle était tombée de la chaise, un pied avait lâché. Ensuite, Max l'avait rattrapée. C'est là qu'il a dû -sans le faire exprès, surement- poser ses mains sur ses seins... La première réaction de la jeune prof fut la gêne. Puis, peu à peu, la prof se rendit compte que les mains de l'élève n'étaient pas désagréables... Pas du tout, d'ailleurs. A ce moment-là, et pour une seconde, elle imagina quelque chose de pas trop catholique... Mais elle se repris très vite. Comme Max ne réagissait pas, Loreana se racla bruyamment la gorge dans un grand "HUM HUM". L'élève remit donc sa prof debout, puis... Heu... C'était une farce, là ? Non, parce qu'il venait de retirer son sweet...

MAXIMILIEN « Je…je n’ai pas eut le choix. Désolé, vous n’avez pas quelque chose qui traîne que je puisse me le mettre sur le dos, le temps de vous aider à ranger ? »
LOREANA « Heu... Non, sauf si tu veux que j'enlève mon T-shirt... HUM ! Désolée. Je suis fatiguée... Non, j'ai rien... Mais ça ne me dérange pas... »

Et c'était vrai. Loreana regardait discrètement le torse musclé de Maximilien, qui semblait fort gêné. Qu'est-ce qu'il pouvait être beau quand il rougissait comme ça... Ah, tiens, merde ! Il fallait pas dire, ça !

LOREANA « Oui, heu, enfin... ça me dérange pas si tu rentres à ton dortoir, je ne t'onblige plus à rester, étant donné que la situation a changé... »

Effectivement, la situation avait bien changé. Que dire ? À part le fait qu'ils s'étaient regardées dans les yeux (et que ça l'avait fait craquer), qu'il se retrouvait torse nu dans le local de classe et qu'il avait posée ses mains sur sa poitrine (ce qui, elle devait l'avouer bien malgré elle, n'avait pas été désagréable), tout était comme avant... Mais Loreana espérait, sans vraiment l'espérer, que Max partirait. Parce que, à cette heure-ci, après les deux heures de cours de rattrapage avec le Gryffondor (qui avaient été assez éprouvantes pour les nerfs de la jeune prof), et avec Max torse nu dans la pièce, elle pourrait ne plus répondre de ses actes...

Ils étaient ronds et fermes, ils étaient proportionnels et très agréables au touché, il semblait doux et appétissant et Maximilien n’avait aucune envie d’enlever ses mains de seins de son professeur. Elle était légèrement couché dans ses bras et Maximilien l’avait retenu et sans faire exprès poser dans sur sa poitrine. Elle sentait bon, il avait son nez plongé dans les cheveux, près du coup de la jeune femme et il eut envie de la sentir encore plus fort afin d’être imprégner par son odeur, il était près de son coup, il avait envie de l’embrasser, de le lécher, de lui montrer l’affection et le désir qu’il ressentait pour elle en se moment mais il n’en fit rien, se contentant de la garder dans ses bras, les mains sur sa poitrine sans trop bouger. Aucun des deux ne semblaient bien s’en rendre compte et Loreana encore moins cependant elle fut quand même, malheureusement, la première à prendre conscience de la situation. Elle toussota alors légèrement, sortant Maximilien de sa rêverie. Il enleva alors les mains de ses seins, les plaça sous ses bras et la redressa légèrement. Une fois sur qu’elle tenait bien debout il baissa les yeux.

Il constata alors que la potion qu’il avait renversée sur son pull était une potion à brûlure et elle était en train de carboniser son pull qui se parsemait de trou partout. Cette mixture risquait d’atteindre sa peau et alors là Maximilien n’était pas sûr que son corps resterait joli, magnifique et sexy bien longtemps. Saisi d’un reflex et sans prévenir, il passé les bras son sweet et le retira violement pour le jeter au sol loin de lui. Il se retrouvait torse nu mais sain et sauf au moins. Le seul souci c’était qu’il n’était pas seul ici. Il se retrouvait torse nu devant cette jeune femme qu’il désirait et sur laquelle il avait plus d’une fois fantasmer. Il n’était nullement gêné par sa nudité, au contraire il était complètement à l’aise avec cela. Pour l’homme était né nu et mourrait nu mais simplement qu’il trouvait déplacé de se retrouver torse nu devant cette femme qui lui donnait cours tous les jours dans une petite salle de classe, cette femme qui avait de l’autorité sur lui. Certes il était aussi déplacé de la draguer comme il l’avait déjà fait sauf que là ce n’était pas prévu et ça l’agaçait assez…remarquant le regard intrigué de Miss Wilde sur lui, il lui fit un petit sourire avant de lui expliquer :

MAXIMILIEN_ « Je…je n’ai pas eut le choix. Désolé, vous n’avez pas quelque chose qui traîne que je puisse me le mettre sur le dos, le temps de vous aider à ranger ? »
LOREANA_ « Heu... Non, sauf si tu veux que j'enlève mon T-shirt... HUM ! Désolée. Je suis fatiguée... Non, j'ai rien... Mais ça ne me dérange pas... »
MAXIMILIEN_ « Vous pouvez is vous voulez, ça ne me dérangerai pas et désolé…Je suis fatigué aussi ! »

Il n’avait pu s’empécher, en entendant cette jeune femme lui proposé cela, il n’avait pu s’empécher de répondre, de jouer avec, de la provoquer et de la draguer, de lui faire des avances, il n’avait pu se retenir mais avait quand même su se rattraper. Après tout si elle pouvait dire des bêtises sous la fatigue pourquoi pas lui, n’est ce pas ? Et puis elle le provoquait aussi beaucoup. Elle était là avec un grand sourire, ses yeux bleus le chauffaient lorsqu’elle le regardait, ses lèvres pulpeuses qui laissait apercevoir sa langue rose lorsqu’elle parlait, ce pantalon, ses hanches qu’il rêvait de toucher. Dieu ce qu’il voulait la prendre par la taille et l’attirer à lui pour l’embrasser et puis il y avait ces seins qu’il rêvait de re toucher comme il l’avait fait tout à l’heure. Dieu ce qu’il voulait la voir nu tout d’un coup, nu en dessous de lui. Il fut soudain pris d’une bouffée de chaleur tandis que des images apparaissaient dans son esprit. Il rêvait de l’entendre crier son nom et STOP. Il devait se ressaisir bien vite avant d’avoir une réaction et puis un minimum de respect pour cette femme si intelligente parce que oui…Loreana n’était pas seulement un corps magnifique, elle était indépendante, autoritaire, sûre d’elle et très intelligente, autant de qualité qui attirerait un homme très rapidement à elle et Maximilien se surprit à être jaloux en pensant aux nombres d’hommes qui avaient déjà pu la toucher…

LOREANA_ « Oui, heu, enfin... ça me dérange pas si tu rentres à ton dortoir, je ne t'oblige plus à rester, étant donné que la situation a changé... »
MAXIMILIEN_ « Je non…Je ne vais pas vous abandonner, je vais rester vous aider et puis plus tard il sera lorsque je sortirai d’ici moins j’aurai de chance de croiser des gens et moins les questions et rumeurs seront nombreuse le lendemain ! »

Il y avait un truc à ne pas oublier après tout…Si il était torse nu maintenant, il allait devoir sortir torse nu, son sweet étant complètement foutu. Il allait devoir remonter jusqu’en haut, les sept étages jusqu’aux tours sans se faire voir alors il valait mieux qu’il soit suffisamment tard. Il fit alors un sourire à son professeur, s’approcha d’elle et passé à côté d’elle prenant bien soin de lui frôler les hanches, il se dirigea vers les étagères et dit d’un ton amusé

MAXIMILIEN_ « Il serait plus prudent que je m’occupe des étagères du haut ! »

Le rangement allait être drôle entre frôlement et autres…Maximilien allait adorer cette soirée, il le sentait !

MAXIMILIEN « Je non…Je ne vais pas vous abandonner, je vais rester vous aider et puis plus tard il sera lorsque je sortirai d’ici moins j’aurai de chance de croiser des gens et moins les questions et rumeurs seront nombreuse le lendemain ! »

Aïe... Voilà exactement la réponse que redoutait Loreana. Non pas qu'elle n'aimait pas Maximilien, bien au contraire, il était séduisant, bon élève, un bon préfet, bien que parfois irresponsable, bref, quelqu'un de sympathique. Non, le problème était plutôt dû au fait qu'il était torse nu, qu'il commençait à se faire tard, et, surtout, voilà quatre ans que Loreana n'était plus tombée amoureuse, voilà quatre ans qu'elle n'avait plus personne à qui dire "je t'aime", quatre ans sans pouvoir se blottir dans les bras musclés d'un homme, quatre longues années... Alors, je pense que là, on peut facilement comprendre pourquoi Loreana savait que la soirée allait dégénérer... Même si la jeune prof allait tout faire pour que, justement, ils restent loin l'un de l'autre, pour qu'ils ne se touchent pas, qu'ils ne se frôlent même pas. Elle n'allait même pas le regarder. Parce que le regarder était synonyme, inévitablement, de baisser le regard... Sur son torse. Et ça, c'était le meilleur tremplin vers la case "n'importe quoi". Et ça, pas question !

Tiens, les rumeurs... C'est sûr que les rumeurs allaient bon train, à Poudlard. D'ailleurs, ça lui rappelait une phrase, devenue célèbre, du non moins célèbre Albus Dumbledore : "C'est un secret absolu, et, par conséquent, toute l'école est déjà au courant..." Et, franchement, même deux cents ans plus tard, on ne pouvait pas lui donner tord. Alors, effectivement, il valait mieux éviter de donner de quoi jacasser aux très (trop ?) nombreux élèves... Surtout vu le nombre incroyable d'élèves qui fantasmaient sur elle...

MAXIMILIEN « Il serait plus prudent que je m’occupe des étagères du haut ! »

Mmmm... Plus prudent ? Oui ! C'est ça, plus prudent. Dans les deux sens. A savoir pour éviter une nouvelle chute, et... Pour éviter les conséquences de la précédente chute... Bon, il était temps de terminer le rangement. Loreana laissa Max s'occuper des étagères du haut, et elle du bas. Alors, voyons voir... Une gorgée de Désenflage... En moins de temps qu'elle ne l'aurait cru, Loreana avait terminé la niche la plus basse. Alors, la première potion à ranger au niveau supérieur... Ah ! Le Doxycide... Où est-ce qu'il était passé, celui-là ?

LOREANA « Maximilien ? Tu ne vois pas le Doxycide, par hasard ? »

Et bien, si, Max le voyait. D'ailleurs, Il lui tendait le flacon en question. Loreana se rapprocha, tendit la main pour saisir le flacon. C'est ce qu'elle fit. Mais elle ne put s'empêcher de s'approcher encore. Elle regardait Max dans les yeux, approcha son visage... Encore... Tout près, vraiment tout prêt... Et s'arrêta. Elle sentait le souffle chaud de son élève lui caresser les lèvres... A Maximilien de continuer.

Maximilien ne savait pas trop si c’était une bonne idée de rester finalement. IL regardait cette jeune femme en face de lui, elle était inaccessible, tellement inaccessible que cela en devenait frustrant. Il savait qu’en restant là il aurait du mal à résister à la tentation mais il allait le faire par prudence à cause des rumeurs et aussi parce qu’il aimait être avec elle. Il détestait avouer ce genre de chose mais sa compagnie était agréable. Si seulement il avait su qu’elle partageait les mêmes craintes. Il aurait pu s’en douter en fait.
Maximilien possédait un certain charme, il en était conscient. Il allait bien souvent dans les extrêmes, il se tenait soit très droit, soit complètement penché en avant, les cheveux blonds en batail toujours un sourire sincère et sur de lui accroché sur les lèvres, il avait l’avantage de se montrer autoritaire et légèrement supérieur sans pour autant arrivé à de l’égocentrisme bien qu’il l’était légèrement vu qu’il adorait quand même se mettre en avant mais en rigolant. Il ne prenait pas les gens de haut mais il aimait néanmoins se la jouer encore et encore…Mais il doutait sérieusement que ce charme et comportement qui faisaient craquer toutes ces bimbos stupides feraient craquer cette femme…Non mais OH, pourquoi est ce qu’il pensait ainsi, elle n’était qu’une femme comme les autres, une femme qu’il aimerait mettre dans son lit mais cela s’arrêtait là !

Alors peut être que cette idée de rester n’était pas super…Mais maintenant qu’il l’avait dit, il allait le faire, Max était un garçon d’honneur, il tenait parole et n’hésitait pas à dire ce qu’il pensait et surtout à faire ce qu’il disait, il avait l’art de prévenir les gens ainsi donc, il avait toujours été infidèle mais n’avait jamais pris personne en traître bien au contraire. Chaque fille avec laquelle il couchait, il leur disait que c’était sans lendemain et que si elle voulait rester avec lui, bien mais il ne serait pas fidèle. Il croyait pas à l’amour et ne comptait pas y croire et si toutes ces filles l’aimaient et bien tampis pour elle. Il pouvait passer pour sans cœur mais au moins il n’était pas hypocrite, il disait la vérité et donnait le choix à la personne de refuser en connaissant la suite des évènements.

Bref, il devait arrêter de penser à tout cela, il allait finir par croire que cette femme signifiait plus…Peut être enfin de compte. STOP ! Il devait arrêter ça. Il lui dit alors un sourire et toujours torse nu, penché en avant, les mains dans les poches, il se dirigea vers les flacons posés par terre ou sur les tables et commença à les trier. Prenant bien soin de ne pas se tromper, il se mit à renifler attentivement chaque flacon en regarder la couleur, il se surprit même à être excessivement attentive à la façon dont il les posait sur l’étagère. Il était serviable aujourd’hui apparemment, ce vieux fou enfin ce jeune fou ! IL sourit intérieurement en passant près de son professeur pour ramasser un flacon qui traînait par terre. IL l’ouvrit et sentit le contenu…Doxycide, c’était reconnaissable entre tous !

LOREANA_ « Maximilien ? Tu ne vois pas le Doxycide, par hasard ? »
MAXIMILIEN_ « Si le voici ! »

Quelle coïncidence, apparemment le ciel faisait tout pour les réunir ce soir, pour les coller, pour qu’il se rapproche….Maximilien saisit néanmoins l’occasion. Il s’approcha de son professeur, près, très près et lui tendit le flacon qu’il tenait dans sa main droite. Il vit la main de Miss Wilde se rapprocher de la sienne et la frôler, la toucher…Sa main était chaude et moite, Maximilien fit un pas en avant et vit la directrice de serdaigle en faire deux en avant vers lui. Ils étaient proches, très proches. Il sentit la poitrine de son professeur se relever au rythme de sa respiration contre son torse, il sentait son souffle sur son visage, sur ses lèvres, il avait les yeux rivés sur la bouche de cette femme magnifique…IL n’allait pas résister bien longtemps…

Et en effet, il fit le dernier demis pas en avant, posa le flacon sur la table qui se trouvait juste à côté de lui et posa délicatement ses mains sur les hanches de son professeur. Il la ramena doucement à lui, délicatement. Elle se laissa faire, et semblait comme lui subjugué par le moment présent. Maximilien se pencha encore un peu en avant et posa délicatement ses lèvres sur celle de son professeur…Il se colla un peu plus à elle et voyant qu’elle ne le repoussait pas, il lui clémanda l’accès total à sa bouche en frottant sa langue contre ses lèvres. Il espérait juste qu’elle accepte afin qu’ils puissent ensemble approfondir ce baiser !

LOREANA « Maximilien ? Tu ne vois pas le Doxycide, par hasard ? »
MAXIMILIEN « Si le voici ! »

Loreana tendit la main, Max de même. Ils s'approchèrent l'un de l'autre. Lentement. Loreana attrapa le flacon. Max ne le lâcha pas. La jeune prof regarda son élève dans les yeux. Il s'approcha. Elle aussi. Ils continuèrent... Et voilà. Loreana le savait, mais c'était trop tard. Elle s'arrêta, regardant toujours Max. Elle tenta de réfléchir. De se modérer. D'arrêter ça maintenant. MAINTENANT... Eh bah non, trop tard. Max déposa le flacon sur la table, fit un demi pas en avant, posa ses mains sur les hanches de son professeur et l'attira à lui, délicatement. Loreana, complètement désorientée, ne chercha pas à le repousser. Elle regardait alternativement ses yeux et ses lèvres. Puis, soudain, Max posa ses lèvres sur les siennes. Surprise, elle ne tenta pas de l'en empêcher. Elle sentit que Max voulait aller plus loin, il frottait sa langue contre les lèvres de Loreana.

Tout allait vite. Trop vite. Loreana, incapable de réfléchir, laissa à Max libre accès à sa bouche. Ainsi, leurs langues se touchèrent, se rencontrèrent. Elles se cherchèrent, dans un ballet fantastique. Le baiser fut intense et passionné. Se laissant complètement aller, Loreana caressa de ses mains le torse de l'élève. Elle avait craqué. Elle n'aurait pas dû, elle savait qu'elle allait s'en vouloir. Et puis, elle était prof ! Elle était adulte ! Elle se devait d'être responsable ! La fatale réalité lui revint. Elle brisa le baiser, recula de quelques pas.

LOREANA « Oh, non... Oh, non... Je... Maximilien. Je ne te retiens pas. Pars... PARS ! »

Elle était totalement désorientée. Loreana n'avait aucune idée de ce qu'elle devait faire. Elle était complètement dépassée par les évènements. De panique, elle avait crié sur son élève, lui ordonnant de partir. Voilà, il fallait l'éloigner. Le plus possible. Le plus vite possible. Le jeune homme paraissait tout aussi dépassé qu'elle. Il sorti lentement, jettant constamment des regards interrogateurs sur sa prof. Une fois seule, Loreana sortit rapidement du local, en ferma la porte et se dirigea vers son appart. Là, elle se mit à pleurer. Et voilà que ça recommençait... Comme si IL ne l'avait pas assez blessée, il fallait qu'elle recommence ses conneries... Pleurant à chaudes larmes, elle se jeta sur son lit. Valérie. Oh, comme elle avait envie de lui parler... Mais Valérie avait sûrement déjà pas mal de choses à faire avec les deux enfants... Cette soirée était vraiment un désastre. Comment avait-elle pu se laisser aller à ce point-là ? A la limite, qu'elle puisse se dire qu'il était beau passait encore, mais... L'embrasser ? C'était vraiment elle ? Elle n'aurait jamais fait ça... Et pourtant... Le pire, c'est qu'elle se remit à penser à Lui... Mais Son image disparut bientôt pour faire place à celle du jeune Maximilien... NON ! STOP ! Il fallait arrêter de penser à ce qu'il venait de se passer. C'était une erreur, une bêtise, une connerie qui ne se reproduirait plus. Elle était prof, et lui élève. ça n'avait pas lieu d'être. Valérie saurait trouver les mots pour la réconforter, elle... Elle qui savait tout sur Loreana, elle qui la comprenait rien qu'en la regardant... Valérie, sur qui elle avait toujours pu compter... Et d'ailleurs, c'était réciproque... Loreana avait été là pour Valérie quand elle s'était retrouvée avec les enfants de sa sœur sur les bras. Voilà, elle avait pris sa décision. Elle DEVAIT voir Valérie CE SOIR.

Se levant, séchant ses larmes, elle s'empara d'une plume et se mit à écrire sur un bout de parchemin.


Citation :
Valérie, j'ai absolument besoin de te parler. J'arrive dans un quart d'heure.

Loreana

Ceci fait, elle sortit sa chouette blanche de sa cage, lui donna le petit parchemin en lui caressant la tête, et lui fit s'envoler, direction le Chemin de Traverse. En attendant une réponse, elle comptait se détendre un peu dans un bain pour oublier les évènements de la soirée.

Ploc. Ploc. Quelques gouttes tombaient encore du robinet, perçant la mousse. La jeune femme, allongée dans l'eau, avait fermé les yeux. Elle respirait lentement. Rien ne bougeait plus dans la pièce. Ploc. Tout était calme. Du moins, en apparence. Ploc. Parce que, malgré elle, Loreana se repassait sans arrêt ce fameux baiser... elle tenait de comprendre pourquoi elle l'avait fait, pourquoi il l'avait fait. Elle savait bien que Max la draguait, mais jamais elle n'aurait pensé qu'il oserait aller si loin... Elle savait bien que Max était un dragueur invétéré, qu'il avait eu des aventures avec de très nombreuses filles, mais jamais elle n'aurait imaginé qu'il essaierait d'en avoir une avec elle... Certes, il était beau, sympathique, responsable, intelligent, en résumé, il serait le compagnon idéal... Mais Loreana s'était juré de ne plus jamais tomber amoureuse depuis... LUI. Oh, non, elle n'était pas amoureuse. Mais elle ne pouvait nier qu'elle se sentait, même très légèrement, attirée par le jeune homme. Et ça, ça tombait très mal... Ploc. Ploc. Ploc. Lentement, Loreana se leva, sortit de la baignoire, se sécha, se rhabilla et sortit de la pièce.

Debout devant sa cheminée, Loreana regardait le feu crépiter. Puis, elle prit une poignée de poudre de Cheminette. Elle la jeta dans les flammes, qui devinrent vert émeraude. Entrant dans la cheminée, elle énonça sa destination.

LOREANA « Chemin de Traverse. »

Les flammes consumèrent son corps, elle disparut de la pièce.

Elle était proche de lui, elle n’était qu’à quelques millimètres de lui, il sentait son souffle sur son visage, sa poitrine contre son torse. Il n’était qu’un homme après tout, elle était si belle, ses yeux bleus le perçaient, il n’allait pas tenir bien longtemps…Il n’allait pas résister, subjugué par sa beauté, il posa le flacon sur la table juste à côté et posa par la suite ses mains sur les hanches de son professeur, elle ne le rejeta pas, il fit alors un demis pas en avant, elle fit le dernier et prit par un désir fou, Maximilien traversa les derniers centimètres et captura délicatement les lèvres de son professeur. Il se colla un peu plus à elle et voyant qu’elle ne le repoussait pas, il lui clémanda l’accès total à sa bouche en frottant sa langue contre ses lèvres. Il espérait juste qu’elle accepte afin qu’ils puissent ensemble approfondir ce baiser !
Elle accepta et ouvrit sa bouche, Maximilien glissa alors sa langue à l’intérieur de la bouche de son professeur et leurs langues se rencontrèrent dans un jeu infernal, elles se cachèrent, se cherchèrent, se trouvèrent et s’enlacèrent dans un torrent de salive. La pression était forte, et Maximilien enlaça complètement le dos de son professeur tandis qu’elle glissait ses mains autours de son coup…

Jamais au grand jamais, Maximilien n’avait eut autant de plaisir en embrassant quelqu’un, et pourtant Dieu savait combien de filles il avait déjà embrasser mais aucune n’était aussi douée, aucune n’était aussi fascinante et aussi parfaite…Maximilien se sentait partir au paradis et il descendit alors sa main pour la glisser sous le t-shert de son professeur…Il aurait peut être du éviter. Ce geste fit prendre conscience à la directrice de serdaigle ce qui se passait. Elle se recula vivement et repoussa Maximilien qui encore sous le choc du baiser la regardait avec des yeux ronds n’avait qu’une envie l’embrasser encore et encore pour lui montrer toute l’affection et tout le désir qu’il ressentait pour elle en ce moment, il ne voulait pas parler. Lui qui n’avait jamais sa poche dans sa bouche, n’avait aucune idée de ce qu’il pouvait dire. Miss Wilde, elle en revanche savait ce qu’elle avait à lui dire :

LOREANA_ « Oh, non... Oh, non... Je... Maximilien. Je ne te retiens pas. Pars... PARS ! »

Il s’était attendu à beaucoup de chose : à une claque, à une discussion, à perdre des points, à sa retrouver chez le directeur mais sûrement pas à se faire crier dessus en lui demandant de partir le plus loin possible. Maximilien n’était pas quelqu’un de lâche et n’avait aucune envie de partir après tout cela, bien au contraire, mais il savait que c’était la meilleure chose à faire pour l’instant, son professeur avait besoin d’être seule, de faire le point et lui aussi pour être totalement franc. Il baissa la tête et commença à reculer vers la porte, espérant qu’elle le retienne, qu’elle lui dise de rester afin de discuter ou même de finir ce qu’ils avaient commencé…Mais elle ne le fit pas. Maximilien arriva alors à la porte, fit un pas dehors et juste avant de sortir il lui dit :

MAXIMILIEN_ « Je suis désolé de vous avoir blessé…Mais je vous promet que ce n’était pas prémédité »

Il ferma alors la porte et se retrouva torse nu dans les couloirs du cachot. Il ne considérait pas cela comme une erreur, bien au contraire. Si c’était arrivé c’est que cela devait arrivé. Il se mit à marcher dans les couloirs et ne pouvait s’empécher de repenser à ce baiser qu’elle voulait oublier et dont il voulait se souvenir toute sa vie…Il revoyait son visage, elle était magnifique, jolie et parfaite. Il regrettait juste de ne pas être avec elle, et si jamais il l’avait blessé, il sentait responsable à vie…
Il parcourait les couloirs et ne voulait qu’une chose, être seul dans sa chambre, seul sans personne même pas Léo…Il entra alors dans la salle commune et aperçu son meilleur ami pas très loin. Celui-ci couru tout de suite vers lui.

LEO_ « Pourquoi tu es torse nu ! »
MAXIMILIEN_ « Je l’ai aidé à ranger et j’ai renversé un flacon de bruxant sur mon sweet ! »
LEO_ « ça va tu n’as pas l’air bien ! »
MAXIMILIEN_ « Je…Je veux juste être seul ! »
LEO_ « ok »

Maximilien savait que son ami était choqué, et il comprenait il n’était pas dans ses habitudes même lorsqu’il avait mal d’envoyer chier Léo…Mais il voulait juste être seul. Il monta alors dans sa chambre, enleva son pentacours et se coucha en boxer dans son lit. Il serra sa peluche contre lui et s’endormit, rêvant d’une certaines professeur de potion…