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Au coin du feu {Only & every Serdaigle Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
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Maximilien E. Middle
Admin | Serdaigle
Loosing control...Help him to get up! Maximilien E. Middle
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Amour : Loréana Wilde est et sera pour toujours l'amour de sa vie!

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Orientation Sexuelle: Bisexuel
Année d'étude: 7ème année
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MessageSujet: Au coin du feu {Only & every Serdaigle Au coin du feu {Only & every Serdaigle Icon_minitimeVen 17 Juil 2009 - 21:55

Spoiler:

    La cuillère tournoyait dans l’assiette de l’adolescent sans faire un seul allé et retour vers sa bouche. Il semblait soucieux et le délicieux hachis Parmentier qu’il s’était servi une vingtaine de minutes plutôt ne semblait pas arranger les choses. Son esprit était totalement ailleurs et il ne semblait pas réussir à oublier ce qui le tracassait. C’était tenace. Autours de lui, les conversations des jeunes et plus âgés élèves allaient bon train sans que personne ne se soucie de lui et cela n’était pas plus mal finalement. IL fallait dire qu’il était d’assez mauvaise humeur, le jeune serdaigle. Sa journée avait été exécrable. Le pauvre s’était réveillé en retard tout cela parce qu’il avait encore une fois envoyer balader Travis qui lui servait de réveil matin et par conséquent n’avait pas pu déjeuner mais pire encore était arrivé en retard en cours de potion et là…Petit ami ou pas…Loreana lui avait passé un savon digne de l’ancien Severus Rogue et il la comprenait. Elle avait prévenu au début de l’année qu’elle ne tolérerait aucun retard et voilà que lui, Monsieur Middle, se le permettait. Cela lui avait quand même mis le moral au fond des chaussettes pour le reste de la journée. Si bien qu’il ratta sa potion, obtint un F en sortilège et enchantement et un D en défense contre les forces du mal. Mais contre toute attente, il avait eut un O en Botanique. Lui qui détestait la botanique, ce qui lui permit donc de remonter dans son estime de lui-même ce qui en ce jour déplorable n’était pas du luxe. IL n’avait rien mangé à midi parce que lorsqu’il ratait son petit déjeuné, il n’arrivait à plus rien avaler et à la place s’était contenté d’aller prendre une douche mais il était tellement resté longtemps sous l’eau qu’il avait perdu notion du temps et était arrivé en retard pour son deuxième cours de potion de la journée. Inutile de préciser qu’il déclencha une véritable tempête chez Loreana Wilde qu’il était sûr de payer un soir lorsqu’elle lui refuserait sa couche. Elle l’avait de plus mis dehors et avait retiré quinze points à serdaigle. C’était donc désabusé et triste qu’il s’était dirigé vers la salle de retenue pour travailler, comme elle le lui avait demandé, sous surveillance et réaliser, comme elle l’avait aussi demandé, un mètre de parchemin sur l’utilité des horaires. Le pauvre y avait passer toute sa fin d’après midi parce qu’il n’avait plus cours et n’avait presque rien trouver à mettre. Le pauvre ! Lui qui considérait qu’il n’était jamais en retard que c’était les autres qui étaient en avances avait eut bien du mal à trouver des arguments mais il avait quand même fait la moitié. Le voilà, à présent, dans la grande salle pour le dîner en train de ruminer sa journée comme une vieille vache railleuse.

    LEO_ « Salut Max, tu n’as pas l’air dans ton assiette ! »

    Maximilien haussa les épaules en grognant. Voilà son meilleur ami qui débarquait comme une fleur après avoir suivi les deux cours de potion avoir eut trois A en sortilège, défense et botanique. Voyant la tête qu’affichait son ami, Léo n’insista pas, il le connaissait par cœur et savait qu’il fallait le laisser digérer et attendre le bon moment pour le faire rire et donc retrouver le Maximilien habituel. Léo se servit donc et commença à manger en observant du coin de l’œil l’autre zigoto qu’était le jeune Middle et puis finalement il sortit sa baguette et donna un coup de coude au jeune héritier :

    LEO_ « Je sais ce qui va te faire rire, regarde ! »

    Léo cacha sa baguette sous la table et la dirigea vers la table des serpentard. Maximilien suivit le mouvement et attendit patiemment oubliant presque pourquoi il était sensé être de mauvaise humeur. Léo murmura alors « wingardium Leviosa ! ». Immédiatement l’assiette dans laquelle Thomas Morgan, l’ennemi juré de Maximilien, venait de plonger l’assiette se fit léviter et s’envola quelques centimètre plus haut. D’un mouvement du poignet, Léo fit en sorte qu’elle bouge et qu’elle aille aplatir son contenu sur le visage de son possesseur…Thomas hurla de rage et chercha partout l’auteur de la plaisanterie qu’il n’avait pas l’air de trouver à son goût. Maximilien, lui éclata de rire et donna une tape dans le dos de Léo pour le remercier. Il avait retrouvé sa bonne humeur. Il se mit alors à manger tranquillement enfin plus goulûment que tranquillement mais il avait enfin l’esprit reposé et il pouvait remplir son pauvre estomac qui criait famine, ce qu’il fit avec plaisir. Lorsqu’ils eurent tous deux fini de manger, les deux compères quittèrent la table des serdaigles et se dirigèrent avec entrain vers leur salle commune. Il était temps de se reposer un peu parce qu’après ils devraient faire leur devoir et le pauvre Maximilien devrait finir sa rédaction ce qu’il n’avait absolument pas envie de faire, vous le pensez bien. Ils grimpèrent les escaliers quatre à quatre et répondirent tranquillement à la question posée par la statue de serdaigle et pénétrèrent dans la salle commune.

    LEO_ « Salut tout le monde ! »
    MAXIMILIEN_ « Salut les gars, alors tout le monde va bien ? »

    Entre fracassante des deux amis mais tous avaient l’habitude et puis en général on les appréciait bien donc…Les deux jeunes filèrent s’installer dans un des seuls fauteils encore libre…

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Jules E. Cohen
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La mort est-elle la meilleure délivrance de la souffrance? Jules E. Cohen
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MessageSujet: Re: Au coin du feu {Only & every Serdaigle Au coin du feu {Only & every Serdaigle Icon_minitimeMer 29 Juil 2009 - 21:40

    On avait toujours un secret à cacher. Pour Travis, il était clair que son secret était bien caché, et qu’aucun n’aurait pu le deviner sans lui parler de sa vie privée. Jules chercherait le temps qu’il faudrait, mais s’il pouvait le trouver, il le trouverait. Tout n’était qu’une question de temps. Et là, assis seul devant la cheminée de la salle commune bleu et bronze, il restait pensif devant les cendres de la veille. Encore une fois, Travis le travaillait. Pourquoi ? Parce qu’il avait cru l’apercevoir en allant à la bibliothèque. A cause d’un devoir, les recherches parmi les livres lui avait permis de croiser Emma, et de papoter sur leurs devoirs. Ils devaient déranger les lecteurs qui souhaitaient réellement travailler, mais qui au goût de Jules, restaient peu nombreux. On pouvait dire que c’était une faible excuse, mais encore une fois, ils pouvaient parler et s’en donner à cœur joie. Dans leurs discussions, les autres avaient des têtes étranges ; les devoirs étaient difficiles ; ceux qui les entouraient faisaient des bruits bizarres ; il manquait tel ou tel livre. Leurs discussions se résumaient principalement aux autres et aux devoirs. Ce n’était pas des discussions très intéressantes pour certains, cependant elles suffisaient aux deux jeunes serdaigle. Il leur arrivait quelques fois de se plonger dans un livre, puis d’en sortir aussitôt pour se parler à voix haute, ce qui interpellait de suite la bibliothécaire. Contre leur gré, ils avaient obligation de quitter la salle car ils dérangeaient les autres. C’était rare, mais en cette fin d’après-midi, c’était ce qui était arrivé. Jules et Emma prirent chacun leurs affaires, en prenant évidemment le plus de temps possible, histoire de se venger de leur exclusion temporaire. Sur le chemin de la sortie, Jules aperçut dans un coin de la bibliothèque une ombre qui ressemblait à Travis ; il stoppa net, et fit tomber le livre qu’il avait dans ses mains. S’il allait lui parler ? Non, ce n’était pas possible. Il pouvait parler à un mur, ce serait toujours les mêmes réponses. De toutes façons, un vautour le guettait juste derrière, à la limite de lui crier de se dépêcher. Sentant ce regard pesant sur lui, il se baissa pour ramasser son livre, et raccompagna Emme qui s’était aussi stoppée pour regarder ce qui troublait Jules. Ils sortirent de la salle sous le regard noir et sévère de la bibliothécaire.

    Lorsqu’Emma lui demanda s’il voulait manger avec elle, il ne lui répondit pas immédiatement. Il était partagé ; soit il mangeait avec la fille pour qui il commençait à ressentir un sentiment un peu plus fort que de l’amitié, ou bien il retournerait dans la salle commune, seul, pour poser ses affaires et songer à l’état de son frère. Le choix ne fut donc pas long à prendre ; s’il allait manger, Travis resterait dans sa tête, et il ne pourrait pas se concentrer pleinement sur Emma. A contrecœur, il refusa, et gagna la salle commune des serdaigle. Par politesse, elle le raccompagna jusqu’à la tour. Qu’elle était belle, polie, et tendre avec Jules ! Il en était sûr, elle ressentait quelque chose pour lui. Mais imaginons que ce ne soit que des idées qui s’incrustent dans la tête de Jules parce qu’elle met des étoiles plein les yeux du jeune Serdaigle, il se pourrait qu’il se trompe totalement ! Autant l’oublier de suite, et ce serait un problème de régler. Jules entra dans la salle commune, en se retournant dès qu’il franchit le passage ; il voulait voir Emma une dernière fois avant de s’enfermer. Elle avait une démarche élégante, surprenante. La statue se referma, et ce fut la fin du rêve éveillé.

    Le nouvel arrivant ne savait tellement où s’assoir ; la place ne manquait pas, d’où le problème. Où se placer, quand la plupart des fauteuils sont libres ? Chacun avait sa spécificité, le plus agréable étant celui près de la cheminée, lorsque le feu nous procurait une chaleur réconfortante. Après une petite hésitation, Jules posa son sac au pied de ce fauteuil, s’installa en s’enfonçant dans le dossier et posa ses bras sur les accoudoirs. La cheminée n’arborait pas encore les couleurs rouges et jaunes du feu, mais rien qu’en y songeant, Jules trouvait le fauteuil plus agréable qu’avant, et sourit pour lui-même. Que c’était reposant ! Lui avait la chance d’être là sans qu’on s’occupe de lui, tout penaud, alors que Travis, lui, demeurait seul dans son antre peu accueillante et peu confortable. Le pauvre ! Il devait avoir froid, si jamais il dormait là toute la nuit. Alors qu’ici… ce n’était pas le paradis, mais on s’en rapprochait !

    Le jeune serdaigle se retrouvait seul, assis dans son fauteuil, face à la cheminée remplie de cendres, en pensant à son frère. Il avait de quoi rester longtemps sur ses pensées ; Travis, son frérot, était loin d’être un sujet intarissable. Un puits sans fond de tortures mentales. Et à chaque fois, il nous faisait tous penser à son frère, Tristan. Jules se lassait de tourner en boucle, et toujours se repasser les mêmes histoires, avec les mêmes hypothèses, les mêmes personnages. Il pouvait changer de sujet, non ? Autour de lui, il ne vit personne à qui il avait envie de parler. Il avait son sac à ses pieds ; il en sortit un rouleau de parchemin, et chercha une plume ; il avait du oublier sa dernière dans la bibliothèque. Dans son fauteuil, il se sentait mou comme une limace, alors avec un « accio ! » attira une plume deux sièges plus loin. Il commença à écrire, sans trop savoir si cela avait un sens. Il n’était pas près pour ses BUSES ! Au bout de dix minutes d’ennui, il relut, mais sans comprendre ses écrits. C’était nul, il savait que le prof de botanique n’acceptera jamais une telle rédaction sur ses fichues plantes, mais rien d’autre ne lui venait en tête. Il pensait à Travis évidemment ! Il était fatigant, à ne plus être supportable. Jules ferma les yeux pour arrêter de penser ; et comme par magie, il se libéra de ses pensées en s’assoupissant.

    Emma et sa sœur Wendy regardaient Jules. Ils étaient tous les trois, dans une salle qui sentait la bougie parfumée à la vanille. Le parfum préféré de Jules ! C’était envoûtant, et les deux jumelles le savaient. Elles lui avaient proposé de s’allonger sur le lit rose et d’ôter sa chemise pour qu’elles lui fassent un massage. Jules s’exécuta, et s’allongea. Il ferma les yeux et se détendit ; quatre mains se posèrent sur son dos, enduites d’huile de massage. Elles glissaient sur son dos, pour bientôt ne former qu’une seule ligne qui glissait sur son dos, qui ondulait. Jules ouvrit les yeux, regarda d’un côté, puis de l’autre, aucune jumelle en vue. Il se leva en vitesse, et se tapa le dos avec sa chemise pour voir ce qui glissait sur son dos : une horrible vipère était descendue de son dos, pour tomber sur le lit ! Jules sauta du meuble, et se dirigea vers la porte la plus proche. La vipère courait avec ses deux jambes, chacune se terminant par une basket rouge. Jules atteignit la porte, et lorsqu’il se retrouvait de l’autre côté, il s’aperçut qu’il était au septième étage du château, pas loin d’un tableau avec des trolls. La vipère quant à elle ne put franchir la porte, comme si une barrière invisible la retenait prisonnière dans la chambre. Et malgré cela, elle rigolait, riait à s’en extraire les poumons du corps. Soudain elle s’arrêta. Puis elle ouvrit la bouche pour parler.

    "Salut tout le monde ! "

    En grand sursaut, Jules se réveilla. Il n’était plus dans le couloir du septième étage, mais dans la tour de sa maison. Quelques serdaigles l’avaient rejoint, et s’étaient assis dans les fauteuils aux alentours. Parmi eux Maximilien et Léo, qui venaient juste de débarquer et de s’assoir.

      Maximilien : " Salut les gars, alors tout le monde va bien ? "

    Jules les regarda, et se rappela ce qu’il faisait ici ; il se remémora la bibliothèque, Emma, et Travis. Il ne savait combien de temps il était resté là, à dormir et à cauchemarder. En se frottant les yeux, son estomac lui rappela qu’il n’avait pas mangé depuis un petit moment. Autant demandé, peut-être que quelqu’un aurait un petit truc à grignoter !

    Jules : « Salut vous deux ! Vous avez pas ramené un truc à manger, j’ai hyper faim, je crois que j’ai oublié de dîner… et j’ai trop la flemme de descendre dans la salle ! Au fait, en parlant de la salle, est-ce que vous auriez vu Emma, j’étais censé la rejoindre, je crois… »

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MessageSujet: Re: Au coin du feu {Only & every Serdaigle Au coin du feu {Only & every Serdaigle Icon_minitimeLun 3 Aoû 2009 - 1:34


    Emma était assise dans la grande salle, elle écoutait d’une oreille distraite la conversation que menait sa sœur avec une autre amie. Elle n’était pas très intéressée par leur histoire de travaille ou de cours, enfin pas pour le moment. Ses pensées allaient au comportement distant d’Amy, sa sœur ainée. Elle se comportait assez bizarrement ces temps-ci à en croire sa conduite. Elle toujours prête à rire, elle s’énerve plus vite, remballe les gens alors qu’ils n’ont rien fait. Elle est devenue lunatique, mais rien ne prouve qu’elle ne se sente pas bien. Emma jeta un œil sur la table des poufsouffles et aperçois sa sœur en train de rire. La jeune serdaigle se détourna et reposa ses yeux sur Wendy, toujours entrain de parler elle ne se souciait pas de sa sœur, elle était partit dans une discutions sur les fonctions des préfets. Ce genre de discutions énervait Emma, parce que ça lui rappelait que sa sœur jumelle était préfète et que sa grande sœur faisait partit de l’équipe de Quidditch de poufsouffle, alors qu’elle était sans intérêt car elle n’avait aucune position importante. Elle se sentait d’ailleurs toujours caché derrière ses deux sœurs. En plus de cela elle était timide et donc cela l’étouffait encore plus, on ne la voyait plus, entre ses deux sœurs elle ne savait plus quelle place prendre et ça la frustrait de ne pas savoir où elle en était. Le pire était quand on la confondait avec sa sœur, au début cela la faisait rire mais maintenant elle y avait perdu gout.

    Emma planta sa fourchette dans le contenu de son assiette et la leva machinalement pour faire l’allée retour jusqu’à sa bouche. Ce geste machinal ne l’empêchait pas de penser à sa journée. Ses cours s’était passé plutôt bien, elle ne s’était pas fait remarquer et avait fait assez correctement son devoir pour l’histoire de la magie. Elle avait réussie à ne pas être en retard pour tous ses cours. Puis après ses cours, pour échapper à l’atmosphère de la salle commune, elle s’était dirigée vers la bibliothèque. Elle avait emmené toute ses affaires pour pouvoir s’avancer dans tous ses devoirs. Mais une fois arrivé là-bas, elle s’était rendue compte qu’elle n’y arriverai pas. Jules était arrivé et s’était posé à sa table. Et comme d’habitude quand il était là, la jeune serdaigle n’arrivait pas à se concentrer et tout les deux, au lieu de travailler sérieusement, ils avaient bavardé bruyamment ne se concentrant pas sur leurs lectures et leurs devoirs. A un moment, Emma et Jules avaient parlé si fort que la bibliothécaire furieuse de voire que deux serdaigles bavardait de tout et deux rien à voix haute les avaient renvoyé de la bibliothèque. La jeune serdaigles n’avaient pourtant pas eut le sentiment de déranger quelqu’un. Mais elle ne se souciait pas de ça, les deux serdaigles avaient lentement et bruyamment débarrassé leurs affaires et en prenant bien soin d’énerver le plus possible la bibliothécaire. Emma n’aimait pas que l’on l’oblige à aller autre part alors qu’elle était si bien installée là où elle était. Puis, Jules s’était comporté bizarrement, il avait laissé tomber le livre qu’il tenait dans ses mains et avait regardé dans le vide en se concentrant. Emma avait regardé dans la même direction que lui mais n’avait rien vu. Elle lui avait demandé qu’est-ce qu’il n’allait pas mais il avait marmonné une réponse vague en ramassant son livres et elle n’avait insisté.
    Elle lui avait alors proposé de venir manger avec elle, pensant qu’elle ne serai pas seule pour une fois sur la table des serdaigles. Mais Jules avait refusé, elle avait été un peu déçut mais ne le montra pas. C’était son choix après tout. Elle l’avait raccompagné et l’avait laissé avec un dernier sourire. Elle ne savait pas qu’elle était la nature de ses sentiments pour lui, elle le considérait comme un frère peut-être? Puis elle s’était éloignée vers la grande salle.

    Emma regarda le fond de son assiette, finalement elle n’avait pas faim et Jules n’était toujours pas venue la rejoindre. Elle emporta quelques gâteaux pour Jules et s’excusa auprès de sa sœur puis partit en direction de la salle commune. Elle avait le moral à zéro sans savoir pourquoi, et était assez fatiguée. Elle grimpa les escaliers quatre à quatre se disant que plus vite elle serait arrivé plus vite elle pourrait s’évader dans ses rêves et ne plus se soucier de rien le temps de quelques heures. Elle longea les couloirs restant vers le mur, il n’y avait pas grand monde à cette heure-ci dans les couloirs, ils terminaient presque tous de manger tranquillement. Em’ longea le dernier couloir et aperçut Léo et Maximilien rentré dans la salle commune. Elle se présenta devant la statue et répondit assez facilement à la question malgré son état de fatigue. Elle franchit enfin l’entré et vit Jules parler à Maximilien.

    Léo : « Salut tout le monde! »

    Maximilien : « Salut les gars, alors tout le monde va bien? »

    Jules : « Salut vous deux ! Vous n’avez pas ramené un truc à manger, j’ai hyper faim, je crois que j’ai oublié de dîner… et j’ai trop la flemme de descendre dans la salle ! Au fait, en parlant de la salle, est-ce que vous auriez vu Emma, j’étais censé la rejoindre, je crois… »


    Emma rejoignit les garçons et tendit à Jules les gâteaux qu’elle avait récupéré.

    « Salut vous deux. Tient Jules, c’est pour toi. »

    Elle sourit et lui dit gentiment.

    « Heureusement que je suis là, qu’Est-ce que tu ferais sans moi! »

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Timothé N. Smith
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MessageSujet: Re: Au coin du feu {Only & every Serdaigle Au coin du feu {Only & every Serdaigle Icon_minitimeSam 15 Aoû 2009 - 4:36

    Timothé se trouvait dans un endroit qu'il ne connaissait pas. C'était un champ immense dans lequel il marchait depuis quelques minutes déjà. Entouré d'herbes hautes le dépassant largement, le garçon ne voyait pas vers où il allait, ni par où il était passé. C'était un sentiment de crainte qui le faisait aller de l'avant, sans vraiment comprendre. Sa baguette à la main, un faible "Lumos" éclairait la voie, traçant son passage discret. Au-dessus de lui, la nuit régnait sur le monde, étalant ses magnifiques étoiles, et sa lune, pleine ce soir-là. Plus Timothé marchait, et plus la boule au creux de son estomac s'agrandissait. Il n'était pas heureux de se trouver là, et il sentait qu'un truc allait bientôt se passer. Sans savoir ni pourquoi, ni comment et ni quand... soudain, il s'arrêta brusquement, pointa sa baguette sur sa droite. Un faible bruissement s'était fait entendre non loin de lui, mais le silence était si pesant que le Serdaigle n'avait eu aucune difficulté à l'entendre. Il sut à cet instant qu'il devait suivre le bruit, et se rendre dans sa direction. Le danger rôdait, et il fonçait en plein dessus... mais c'était ce qu'il devait faire, il en était persuadé. Le regard confiant, mais pourtant craintif, le jeune Smith prit une petite pause. Il enleva sa veste et la jeta un peu plus loin, dévoilant un t-shirt bleu ajusté. Il continua ensuite son chemin, alerte, suivant les bruissements d'herbe à quelques mètres devant lui. On l'appelait, on savait qu'il était là. Timothé savait que ce qu'il l'attendait ne serait pas agréable, mais son esprit lui hurlait de s'y rendre quand même, et ses jambes faisaient tout le travail pour lui. À peine cinq minutes plus tard, il atteignit une jolie clairière, qui n'avait pourtant rien de rassurant cette nuit-là. Une silhouette se tenait tout près de lui. Vêtu d'une longue cape noire, et vêtu d'une cagoule de la même couleur. Vu sa carrure, il s'agissait sans aucun doute d'un homme. Et le septième année, loin d'être dupe, compris à l'instant même où il illumina la silhouette à l'aide de sa baguette magique qui était cet homme. Comme pour confirmer ses soupçons, l'homme abaissa sa cagoule, laissant l'opportunité à Timothé d'observer son visage. Le garçon eut un petit rictus amusé. Il le savait. Il le savait depuis le début. L'heure de la confrontation avait sonné. Bartemius Croupton Junior se tenait devant lui, ses yeux perfides et vides de toute émotion plongés dans les siens. Le corps s'était séparé de son esprit... Timothé ignorait pour quelle raison, mais s'y attendait, sans savoir pourquoi.

    « Timothé Norman Smith. Tu ne peux pas t'imaginer à quel point moi, sang-pur, est heureux d'avoir quitté ton sale corps souillé par le sang de moldu... »
    « Où sont-ils ? »

    Le garçon avait parlé d'une voix crue, et s'il avait pu les cracher ses paroles à la figure de ce monstre, il l'aurait fait. Mais il ne voulait qu'une seule chose. Savoir où ils étaient. Où étaient ses amis, sa famille ? Qu'avait-il fait de tous ceux qui lui étaient chers ? Cela faisait maintenant deux heures qu'il parcourrait ce champ à leur recherche. Plus le temps s'écoulait, et plus Timothé perdait espoir. Les visages de Julia, Eloïse, Amanda, Maximilien, Laura, Léo, Noah, Krystal, Tyler, Charlotte, Heaven et tous les autres ne cessaient de lui revenir en mémoire. Leurs corps figés dans une expression de terreur, au moment même où ils étaient disparus sous les yeux impuissants du Serdaigle. Ce n'était qu'un jeu pour ce satané mangemort. Il pointa sa baguette sur lui, le visage crispé, prêt à le tuer à tout moment. S'il tentait la moindre chose à son encontre, il prononcerait la formule interdite et mettrait fin à cette loque humaine qu'était ce Croupton. Pour seule réponse, le psychopathe éclata d'un rire dément tandis qu'il invitait Timothé à le suivre. Ce dernier le suivit, toujours aux aguets, prêt à se défendre. Ils marchèrent à peine quelques mètres, que Bartemius s'arrêtait déjà et prononçait une formule que le jeune ne connaissait même pas. Et tout d'un coup, tout s'écroulait. Il tomba à genoux, immobile, les yeux aussi ronds que des balles de golf. Tous ses muscles tremblaient et une profonde terreur s'empara de tout son corps, le clouant au sol. Ils étaient là... tous les gens qu'il aimait... les yeux ouverts, éternellement effrayés, morts dans une flaque de sang interminable. Et le voilà qui se mettait à rire, rire en voyant Maximilien démembré, Julia poignardée... il était content... il était enfin débarrassé d'eux.

    « OH MON DIEU, NON! »
    « Monsieur Smith, que se passe-t-il, bon sang ? »
    « Je... je... vais être malade. »

    Sous les yeux écarquillés de ces camarades et de son professeur d'Arithmancie, Timothé poussa sa chaise brusquement et se précipita vers la sortie. Il entendait derrière lui les conversations qui fusaient de toutes parts, se demandant ce qui pouvait bien lui arriver. Voilà, tout le monde saurait qu'il était parti vomir aux toilettes en plein cours... à Poudlard, tout finissait par se savoir d'une manière ou d'une autre. Le garçon n'eut même pas le temps de se rendre jusqu'aux toilettes des garçons que déjà il s'arrêtait, appuyant ses mains contre un mur et se penchant vers l'avant. Il vomit ses tripes, vomit les images que son sommeil lui avait voir... il vomit aussi sa méchanceté, sa démence... lorsque tout fut sorti, il s'essuya le coin des lèvres et passa une main troublée dans ses cheveux. Pourquoi avait-il fait un cauchemar aussi horrible ? Il était vraiment en train de devenir dingue. Les visages inertes de Maximilien et Julia défilaient dans sa tête et formaient un tourbillon terrible dans son esprit. Il s'écroula de ton son long contre le mur, et appuya sa tête contre ses genoux. Timothé resta dans cette position un bon moment, ne sachant plus quoi faire. Devait-il se rendre dans le bureau du directeur et avouer que l'esprit d'un mangemort démoniaque le possédait ? Devait-il demander qu'on l'enferme à Azkaban, là où il ne pourrait plus faire de mal à personne ?

    « Tim ? Ça va mon vieux ? »
    « Fiche-moi la paix... »

    Il ne prit même pas la peine de relever la tête pour observer son interlocuteur. Peu importe qui c'était, cette personne ne méritait pas d'endurer son comportement agressif. Repoussant d'un coup sec la main qui s'était posée sur son épaule, il se mit debout et s'enfuit en direction de la salle commune. Apparemment, les cours étaient terminés, et plusieurs se précipitaient à la Grande Salle pour manger. Mais Timothé n'avait pas faim, et n'avait pas non plus envie de marcher au beau milieu du flot d'élèves qui déambulerait dans les couloirs. Il prit donc un détour peu fréquenté, et se dirigea vers la tour des Serdaigles dans la plus grande discrétion. Arrivé devant la statue menant aux dortoirs des Aigles, il subit l'énigme habituelle permettant aux étudiants d'entrer. Mais sa tête était si préoccupée qu'il ne trouva pas la réponse, et resta ainsi coincé jusqu'à ce qu'un petit de première année réponde correctement et permette à Timothé de le suivre jusqu'à la salle commune. Il ignora le sourire un peu trop fier du jeune élève et rejoignit la pièce la plus chaleureuse qu'il avait connu jusqu'à ce jour. D'ailleurs, quatre personnes se trouvaient dans la salle commune. Jules, le frère de Travis qu'il connaissait très peu, Emma, une cinquième année qu'il ne connaissait pas vraiment non plus, Léo... et Maximilien. À la vue de son ami, Timothé figea, horrifié. Il l'observa de ses grands yeux ronds, comme pour se prouver à lui-même qu'il était bien vivant. C'est d'ailleurs d'une toute petite voix que Timothé s'exprima au groupe, sous les regards perplexes des quatres adolescents. Il faisait peur à voir le pauvre Smith, avec le teint verdâtre de quelqu'un de très malade, les mains qui tremblaient légèrement, et les yeux remplis de larmes. On aurait dit que Maximilien venait de revenir à la vie sous ses yeux. Mais il était vrai que la dernière image qu'avait eue Timothé de son meilleur ami était celle de son corps démembré, à côté de celui de sa Julia...

    « Max... Max... »

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Nicolas Malorn
Ingénieur en Balaironautique
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MessageSujet: Re: Au coin du feu {Only & every Serdaigle Au coin du feu {Only & every Serdaigle Icon_minitimeSam 29 Aoû 2009 - 17:33

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Porcy Forer – Serpentard et Gryffondor, adversaires ou ennemis ? - Etagère des histoires de Pourdlard – Cotation : HDP – F34
Antoine Galland - Les Sonnets d’un Sorcier – Etagère des Livres Dangereux – Remise – Cotation : RLD – G04
Hermy Gauss – Stratégie du Quiddich en trois volumes – Etagère du Quiddich – Cotation – QUI – G02
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    * Quoi ? ! *

    Nicolas était en train de lire une liste des livres de la bibliothèque pour chercher si ils avaient en leur possession un célèbre roman d’action et d’histoire qui racontait les révoltes de gobelin du point de vue de l’un d’entre eux, dont il avait entendu parler en histoire de la magie. Nicolas en avait lu un passage qui semblait être relativement bien écrit, et, comme il ne savait pas trop quoi faire, il avait eu l’idée, en arrivant à la bibliothèque, de chercher ce livre. Et comme les réponses aux questions nous tombent dessus toujours quand on ne les cherche pas, il fallait presque s’y attendre, il découvrit la première trace écrite de l’existence de ce foutu « Sonnets d’un sorcier » en près de sept ans de recherches.

    Il frémit en lisant et relisant cette fameuse ligne d’où provenait tout son bonheur de l’instant… « Antoine Galland - Les Sonnets d’un Sorcier – Etagère des Livres Dangereux – Remise – Cotation : RLD – G04 » Comment était-ce possible ? Qu’est-ce qu’un tel livre faisait ici ? Non, ce n’était PAS possible. Vu qu’il était dans sa valise, fermement attaché et fermé avec un verrou magique. Mais en tout cas, il était déjà passé par ici, par cette bibliothèque. Quand et comment ? C’était une autre histoire. Y aurait-il un deuxième exemplaire ? Par curiosité, Nicolas demanda à la bibliothécaire s’ils avaient encore le livre. Elle partit dans une arrière salle et revint avec un parchemin magique sur lequel était inscrits tous les livres de la bibliothèque, classé par ordre alphabétique. Liste apparemment tenue à jour par un sortilège de vérification permanent, lui avait-elle dit. Bien plus efficace que la vieille liste qu’il avait trouvé dans un rayonnage à la portée de tous…

    Il n’y était pas. Pas de deuxième exemplaire, ni de premier. C’était plus probable que le livre fut passé par là, mais aie été sortit par quelqu’un d’autre. Peut-être était-ce un élève, qui en avait justement profité pour le glisser dans le chaudron de Nicolas au magasin de livre ? Peut-être était-ce un adulte qui l’avait découvert et avait décidé, devant la dangerosité et l’inutilité du livre, de l’expédier ailleurs que dans ce château où il n’avait strictement pas sa place…

    Nicolas retourna à sa place dans la bibliothèque. Il relu une nouvelle fois cette ligne qui l’avait fait frémir. Antoine Galland. Ce nom ne lui rappelait strictement rien. Aucun livre de mages célèbres ne parlait de lui, aucun ensorceleur connu ne portait ce nom… Comment avait-il alors pu inventer un tel enchantement ? Je t’aime Delphine ! Tout cela n’avait aucun sens… Aucune logique…

    Ainsi Nicolas avait continué à chercher… Des heures durant… Ce nouveau nom devait forcément avoir un antécédent quelque part. Si cet homme avait écrit un tel livre, il devait être un minimum connu. C’était la première fois depuis si longtemps que Nicolas tombait sur une piste qu’il se sentait renaître, il se sentait tant de courage qu’il aurait été capable en cette instant de relire un à un tout les livres de cette bibliothèque.

    Il y avait passé deux jours. Un week-end complet, ne s’arrêtant que pour dormir et manger. Il n’avait fait que ça. Tous ses autres devoirs étaient passés à la trappe. Rien. Il n’y avait aucun sorcier répertorié à ce nom. Personne. Désespéré, il avait commencé à chercher parmi des auteurs moldus. Et après deux heures de recherches supplémentaires, il avait enfin trouvé quelque chose.

    Habitué de la Bibliothèque royale, antiquaire du roi Clovis IV et de son successeur Chilpéric III, académicien et, pour finir, lecteur au Collège royal. Que des trucs moldus. Nicolas était désespéré de ne pas avoir trouvé mieux que ça. Il récupéra quelques bouquins moldus et chercha encore un peu des informations sur cet homme, mais le cœur n’y était plus. Un moldu ? Etait-ce un sorcier qui se faisait passer pour un moldu ? Ou encore plus désastreux pour Nicolas, un moldu qui s’était fait aider par un sorcier pour écrire ce livre… Nicolas n’en savait rien, et il était désespéré devant la longue recherche qu’il avait encore devant lui. Il n’avait pas appris grand chose de plus, en somme, à part le nom d’un auteur moldu qui avait signé le livre, et l’époque à laquelle il avait été écrit…

    Et en plus, il lui restait une tonne de devoirs à faire pour le lendemain. Le week-end venait de passer à une vitesse affolante, on était Dimanche soir, et il n’avait encore rien fait. Il se replia vers la salle commune des Serdaigles, définitivement désespéré avec le moral si bas qu’il était descendu dans ses chaussettes, et la mine si désappointée que même les fantômes les plus comiques du coin n’auraient réussit à la faire sourire. Avant d’entrer dans la salle, il prit une minute pour se recomposer une expression correcte, presque souriante et joyeuse, ne voulant pas s’attirer la curiosité de ses camarades, puis il entra.

    Il sourit vaguement aux quelques personnes qu’il croisa et fila dans son dortoir pour aller chercher ses affaires de cours. Il redescendit dans la salle commune et trouva un siège libre dans un coin, sortant ses affaires sur ses genoux, il commença à filtrer sr son agenda ce qu’il allait faire et ne pas faire. Après un premier filtrage il restait trop désespéré pour vouloir faire encore autant de devoir, il en aurait au moins jusqu’au lendemain matin pour finir un tel programme. Il vira une ou deux matières de plus et commença les devoirs, sachant qu’il serait bienheureux d’avoir finit à minuit, et que si jamais il avait terminé avant, il entamerais rapidement autre chose…

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