Appelo Mor†em (old)
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MessageSujet: Always There. Always There. Icon_minitimeJeu 2 Juil 2009 - 15:33

Priorité à Maximilien.

    Les reflets du soleil donnaient un petit air roux à la jeune fille qui marchait. Un léger vent s’engouffra dans ces cheveux en bataille, elle frissonna légèrement. Pourtant le beau temps était à son apogée et Lùbelle aurait du dansait dans le lac de poudlard, en un tourbillon sans fin, recevant des tonnes d’eau sur le visage que lui envoyait ses amis. Au lieu de ce petit bonheur auxquelles elle aurait pris part avec joie, la jeune poufsouffle devait rendre visite à son père. On était samedi, cela faisait au moins cinq mois qu’elle ne lui avait pas passé un coucou. L’envie n’y était pas et puis elle en ressortait toujours déprimée. Lùbelle n’aimait pas cet homme, c’était à cause de lui si toute sa famille vivait dans le malheur et elle n’était pas prête du tout de lui donner son pardon.
    La prison se situait au milieu d’un désert, impossible de s’évader. Lùbelle avait emprunté la voiture de son cousin ne pouvant pas se servir de la magie. Grâce à un job d’été en plus de ses études, le jeune homme s’était trouvé une voiture d’occasion. Bien utile. La jeune fille fixait l’énorme bâtiment, parfois, des cris s’échappaient de ses murs. Elle en avait la chaire de poule rien que de penser à toute les horreurs qui pouvaient bien se trouver dans cet endroit. Elle inspira. Puis expira. Encore une fois inspira. Loin d’être chaleureux dans son apparence, cet endroit renfermait des personnes encore moins chaleureuse. Penser que celui dont elle était issu en faisait partis était inconcevable. Mainte fois elle avait tenue tête à ses murs. Mainte fois elle les avait observé, puis avançait, comme si de rien n’était. Comme si tout cela n’était qu’un cauchemar les yeux grand ouvert. Les sens en alertes. Entrer dans une prison, pour le voir lui. Indescriptible. La porte claqua dans son dos, les évènements commencèrent à s’enchaîner, impossible à présent de reculer.

    Elle fixa l’homme devant elle. Il avait vieilli, les rides sur son front, devenues plus distincte avec le temps, lui donnait un air d’homme usé par la vie. Sa barbe devenue blanche, épaisse et sale, laissait entendre qu’il avait perdu toute notion de propreté. Ses yeux plissés nous signalaient « mal voyant ». Lùbelle eut un haut le cœur, elle ne l’avait pas imaginé aussi changé. Il n’était pas difficile de comprendre que ce jour comptait dans les quelques derniers qu’il lui restait. Un an s’il avait de la change, six mois s’il se faisait attaquer. Il la fixait de ses yeux noirs. Il la regardait toujours ainsi, bien qu’elle ne veuille pas le reconnaitre, sa mère lui disait toujours qu’elle avait hérité du regard de son père. Perçant. Elle s’assit en face de lui, plusieurs prisonniers la regardaient avec insistance. Un jour, un gardien lui avait confié que c’était parce qu’elle était belle et que les femmes ici se faisaient rare. Lùbelle avait haussée les épaules, que la raison soit plaisante ou pas, cela ne changeait rien : ici, c’était un animal en cage.

      « Tu es venue. Enfin. Mais pourquoi ? »
      « Salut. Moi aussi je suis heureuse de te voir. Merci. » Dit-elle ironiquement. L’accueil avait toujours été très chaleureux avec son père. La joie et la bonne humeur. Apparemment deux mots bannis des prisons. Elle sourit quand même, autant se forcer après tout ce chemin.
      « Tu as grandi. Une belle et forte jeune fille. »
      « Comment vas-tu ? »
      « Comme un personne en cage ma chérie. » Elle tiquait. Jamais Lùbelle n’avait été sa chérie. Ni avant. Ni maintenant. Ni jamais.
      « Bien. Disons que tu payes ta dette. » A son tour de grimacer. Il n’aurait pas été derrière ces barreaux, Lùbelle se serait pris une gifle. Ce n’est pas parce qu’elle se trouvait en face de lui, qu’elle devait être gentille alors qu’elle le démontait devant tout le monde. Il n’avait que ce qu’il méritait.
      « Oh. Je pensais que tu avais plus de sens de la répartie Lùbelle. Tu me déçois. »
      « Je ne t’ai jamais montré mon sens de la répartie. D’ailleurs, je n’ai envie de te montrer aucune partie de moi. J’ai passé un agréable moment en ta compagnie, j’espère ne pas t’avoir donné trop d’illusion. »
      « Je t’aime. »


    Lùbelle hocha la tête. Il lui disait environ une fois par an. Cette fois, il l’avait chuchoté, mais ce n’était que des paroles. Malheureusement. Elle se leva, marcha vers la sortie, sans se retourner.


-------------------


    Le sang tourbillonnait dans ses veines, les pensées se multipliait dans sa tête, la cadence de ses pas se faisait rapide. Une larme coula sur sa joue. Elle l’enleva. C’était la première et la dernière larme qui culait pour lui aujourd’hui. Elle ne craquera pas après des années. Cette entrevue avait été particulièrement pénible, elle revoyait le visage du vieil homme. La jeune fille en avait presque … Pitié. Lùbelle mis tout cela dans un tiroir de sa mémoire. Retourner à poudlard ne semblait pas être une bonne idée. Elle pouvait bien rentrer ce soir en cachette dans son dortoir. Donner les raisons de son absence semblait bien trop pénible pour le moment. Le petite poufsouffle emprunta le passage du chaudron baveur, un sourire exquis se dessina sur ses lèvres. Ces pierres qui bougent la faisaient toujours rire, elle avait l’impression de retrouver ses yeux et son cœur d’enfant qui se mêlait si bien l’un et autre. Toujours en commun accord. Tout était beau. Tout était possible. A présent même si le cœur souffrait, il fallait arborer un visage neutre ou joyeux, comme un masque. Le phénomène marchait aussi dans l’autre sens. Tout cela pour n’offenser personne, nous sommes plus des enfants, nous ne pouvons évidemment pas être innocents. Lùbelle soupira.

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Maximilien E. Middle
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Amour : Loréana Wilde est et sera pour toujours l'amour de sa vie!

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Caractère: Sincère, honnête, fou, motivé, drôle, beau parleur, inteligent, charmeur, loyal, passioné, passionant, têtu, bien élevé, révolutionnaire, débrouillard, autonome, sarcastique, protecteur, volontaire, amusant, sportif, classe, patient, franc, écrivain, artiste! etc

MessageSujet: Re: Always There. Always There. Icon_minitimeJeu 2 Juil 2009 - 17:02



    Le grand Ovide avait écris il y a de cela quelques siècles qu’il ne fallait pas gâter une femme avec de lourds et chers cadeaux car dés lors, elle ne nous aimerait que pour l’argent et non plus pour l’amour pur que l’homme lui portait. Le poète en avait profiter pour expliquer que de petites intentions étaient bien plus touchantes que n’importe quel gros présent et que malheureusement, déjà à l’époque, les gens ne comprenaient plus cela…Personne ne voyaient la force des sentiments dans un poème, on préférait trouver de l’amusement dans l’argenterie et dans ces futilités qui faisaient marcher la société…Une femme, disait il, préfère malheureusement un barbare à un homme cultivé pourvu que celui-ci puisse lui offrir tout ce qu’elle désire. Depuis le temps d’Ovide, rien n’avait vraiment changé finalement et Maximilien l’avait rapidement appris. Les femmes avec qui il avait souvent couché ici et là ne l’avait fais que pour le sexe ou pour les cadeaux mais il ne s’en était jamais plains après tout, il voulait des nuits dans leurs bras et il avait de l’argent alors quel intérêt que de réfléchir durant des heures à ce qui était bien et mal ? Il n’en voyait aucun. Cependant les choses avaient bien changées depuis quelques mois. Depuis quelques mois, le serdaigle était amoureux et pas n’importe quel amour : le vrai amour, le beau, le bon, le parfait, celui qui vous tient le cœur et qui vous emmène au pays des rêves. Maximilien avait enfin la femme de sa vie : Loreana Wilde ! Malheureusement pour l’adolescent, il ne pouvait pas s’afficher avec elle, ni la sortir : comment expliquer qu’un élève sorte avec un professeur ? C’était invraisemblable ! Le couple devait donc vivre cacher mais cela ne les dérangeait pas outre mesure. Ils trouvaient le moyen de se voir régulièrement, de s’aimer et d’avoir de vrais rapports de couple…Si Maximilien s’était stabilisé entre les bras de Loreana, ce n’était pas pour rien : elle n’était pas comme les autres femmes. C’était tout l’opposé, elle ne voulait pas de son argent, elle voulait juste son amour et c’était pour cette raison que Maximilien savait qu’en plus des morceaux de guitare qu’il écrivait en son nom, il pouvait se permettre de lui acheter des tas de cadeaux parce que ce qu’il allait lui offrir ne deviendrait jamais la base de leur relation !

    LEO_ « Maxou, tu m’écoutes ? »

    Maximilien sursauta vivement en entendant la voix de son ami. Les mains dans les poches, la tête en l’air, il se retourna vers lui, comme si il était surpris de le trouver là….Ce qui finalement n’était pas totalement anormal vu qu’il se trouvait en ce moment dans le dortoir des serdaigles qu’il partageait avec Léo et Travis et ce depuis sa première…Mais penser à Loreana avait toujours emmené Maximilien dans un autre monde et cette fois-là, alors qu’il enfilait son pantalon, et qu’il cherchait sa baguette magique dans le fourbi de la pièce, ne fit pas exception…Il soupira alors tout en remontant la braguette de son pentacours blanc et regarda son ami dans le blanc des yeux pour lui dire :

    MAXIMILIEN_ « Excuses moi, j’étais perdu dans mes pensées, tu disais ? »
    LEO_ « Ou vas-tu ? »
    MAXIMILIEN_ « J’étouffe un peu à Poudlard, je vais faire un tour au chemin de traverse ! Tu veux quelque chose ? »
    LEO_ « Ok…Ouai, je veux bien, j’ai pas trop envie de sortir ! Rapporte moi une nouvelle balance de potion, j’ai cassé la mienne et si tu passe au magasin de quidditch, achète moi un nouveau brillant pour mon balai, s’il te plait ! »
    MAXIMILIEN_ « ça roule, j’en profiterai pour acheter un truc pour Trav’, cela lui remontera peut-être un peu le moral ! »
    LEO_ « Bonne idée, à tout ! »

    Maximilien envoya un lointain bisou à son meilleur ami et vérifiant qu’il n’avait rien oublié, sortit du dortoir en prenant bien soin de fermer la porte derrière lui. IL savait pertinemment que Léo détestait qu’on vienne le déranger lorsqu’il se reposait. Il quitta ensuite la tour des serdaigles en sautillant et se mit en route pour pré au lard, direction le transport de cheminée…Il marchait tranquillement dehors, sifflotant, les mains dans les poches, la tête dans les nuages, il se questionnait sur ce qu’il allait bien pouvoir offrir à sa belle. Un vêtement aurait été trop classique et puis il ne savait absolument pas ce qu’elle aimait comme habits donc c’était peine perdue. Loreana ne savait pas voler sur un balai donc rien de ce style, pas de livre non plus parce que vu la bibliothèque qu’elle avait, Maximilien aurait du mal à trouver un livre qu’elle n’ait pas déjà en sa possession. Qu’allait il donc pouvoir acheter ? Il n’en n’avait vraiment aucune idée ! Il se dit alors qu’il irait d’abord faire les courses pour Léo et peut-être qu’en passant dans le magasin de potion, il trouverait quelque chose à offrir sa jolie directrice de maison. C’était une très bonne idée. Maximilien accéléra alors le rythme, se disant qu’il ne fallait pas trop traîner si il voulait être rentrer pour le dîner. Il arriva donc rapidement au village et se dirigea vers la petite pièce à cheminée. Il paya les cinq noises demandées et attrapa la poudre de cheminette avant de s’engouffrer dans un des âtres ! Il murmura le nom de sa destination et en un rien de temps se retrouva à virvoleter à toute allure entre les tuyaux pour se retrouver au chaudron baveur !

    Le jeune homme épousseta quelques peu ses vêtements devenus noirs de sciures par le trajet et adressant un signe de main au barman, sortit enfin sous le doux soleil brûlant de ce milieu d’après-midi. Immédiatement, il se sentit comme chez lui, ici et plaçant ses mains dans ses poches, il se mit en route…L’endroit était bondé, comme d’habitude mais ce n’était pas plus mal au moins personne ne ferait trop attention à lui et on ne risquait pas de venir lui sortir quelque chose comme « Monsieur Middle, pouvez vous prévenir votre père que… ». Non, aujourd’hui il aurait une paix royale pour faire ses petits achats et cette idée le mettait en joie. Il n’était pas souvent seul, ce bon vieux serdaigle ! Il était toujours avec Travis et Léo pour son plus grand plaisir et souvent avec d’autres connaissances et amis mais parfois la solitude avait du bon et c’était le cas aujourd’hui. IL pouvait flâner, sa musique sur les oreilles, il avait enfin le droit de penser, de réfléchir sans avoir besoin de discuter et de jouer le « Maximilien tout va bien ! »…Heureux, il avançait courageusement en zigzaguant entre les sorciers et sorcières présents lorsqu’une silhouette au loin lui sembla bien familière : sa petite poufsouffle Lùbelle Harringston. La jeune femme progressait à vive allure sur le chemin et ne s’arrêtait même pas pour regarder une seule boutique. Immédiatement, Maximilien sentit qu’il y avait quelque chose qui clochait quelque part. Ne lui demandez pas pourquoi, il était comme cela, Maxou, à force d’être le confident de tant de mondes, il avait fini par analyser les sentiments des gens dans leur comportement. Mais finalement qu’importe l’état d’esprit de la belle, cela faisait longtemps qu’il ne l’avait pas croisé et, au diable la solitude, pourquoi ne pas passer un moment avec elle. Il se mit alors à crier :


    MAXIMILIEN_ « Lùbelle, Lùbelle ! »

    Mais la jeune demoiselle ne se retournait pas, sans doute ne l’entendait elle pas. Vu le monde, elle ne devait pas l’entendre et vu l’endroit où elle se trouvait, elle venait d’arriver du chaudron baveur. Maximilien se mit alors à courir dans sa direction en bousculant quelques personnes au passage :

    MAXIMILIEN_ « Hé, Lùbelle, attends moi ! »

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MessageSujet: Re: Always There. Always There. Icon_minitimeVen 3 Juil 2009 - 21:59

Spoiler:


    La jeune fille qui marchait à vive allure sentait les regards des passants s’arrêter sur elle. Quand quelque chose diffère de la normal autour de vous, les gens ont cette manière à la fois provocante et persistance de vous observer. Ils vous détail de haut en bas et bizarrement, c’est un des rares moments où l’œil voit se qui n’est pas important, les détails qui vous échappent habituellement. Alors et seulement à ce moment, ils se tournent vers leur compagnon pour lui chuchoter à l’oreille, en se moquant de vous, de regarder la scène. Ceux qui n’ont personne avec eux, tâches de pouffer de rire devant votre petite personne, de sortes que quelqu’un d’autre soit attiré. Ainsi de suite. C’est de cette manière que dans votre fort intérieur, des gens inconnus et sans importances à vos yeux arrivent à vous déstabiliser. Lùbelle était dans ce cas là. Pourquoi ? Parce qu’une personne chère à ses yeux lui courait après en poussant tout le monde et des gamins la montraient du doigt « c’est elle ! ». Simplement, la jeune poufsouffle n’était pas déstabilisée le moins de monde. Elle souriait avant même de se retourner pour voir de ses yeux, qu’elle ne s’était pas trompée. Cette voix était parfaitement reconnaissable : il est vrai que lorsque l’on passé quelques années à côtoyer cette personnes et que par la même occasion, elle vous était proche, il était impossible d’oublier sa manière de parler. Maximilien E. Middle. La jeune fille tourna enfin la tête et afficha pour la première journée un sourire franc, beau. Il devait sûrement y rester quelques cicatrices de cette matinée, des signes qui ne trompaient pas mais ils partiraient bien assez tôt. Tout s’arrange avec le temps, même si la période est très courte. La journée ne serait pas un gâchis total, Maximilien devait sûrement être son illumination. Elle décida de faire aussi un pas vers la chance, celle-ci ne vient jamais seule : il faut toujours l’aider, c’était une phrase importante que Lùbelle avait appris durant son enfance et qui l’avait toujours aidée. Alors, ralentissant sa vive allure et avança déterminée vers Maximilien. Il courait pour la rattraper, poussant au passage des personnes qui avaient leur regard fixé sur lui et sur la fille qu’il poursuivait ainsi. Le reste se déroula très vite. Enfin ils furent au même niveau.

    « Hé, Lùbelle, attends moi ! » Lui fit-il entre deux souffles. Cette course effrénée avait du quelque peu l’essouffler. C’était une bonne chose qu’il ait décidé lui aussi de venir se promener sur le chemin de traverse. Le destin faisait-il sa petite affaire ? Parlons-en du destin, il se peut qu’il n’existe même pas. Et pourtant il frappe toujours : la roue tourne comme disent certains moldu. D’autres croient que le hasard fait bien les choses : comme s’il pointait sa baguette magique sur els personnes que le destin oublis, qu’il écrivait une page de leur histoire. Mais alors lorsqu’il s’agit de l’avenir d’une personne, le destin et le hasard se regroupent pour ne former qu’un. C’est une belle théorie : une de celle qui vous rassure. Elle vous permet avant de vous coucher, pour ceux qui son oublier du monde ou au contraire le côtois plus que n’importe, de se dire que demain sera une journée meilleure. Peut-être avait-il regardé d’un peu plus près Lùbelle et Maximilien aujourd’hui. Les personnes intriguaient par la course du jeune homme avaient continué leur chemin, ne trouvant plus rien d’intéressant. Un nouveau phénomène avait du se produire. Lùbelle souriait.

      « Max ! Quelle surprise. Je ne m’attendais à croiser personne ici, aujourd’hui. Je suis heureuse que tu sois là. »


    Par cette journée ensoleillée, tous les élèves de poudlard devaient s’éclater dans le lac, à faire des batailles d’eau ou même la fête avec ses amis. Maximilien était de ceux qui aimait faire la s’amuser : il ne raté jamais aucune fête de l’école, aucune fête tout court que les professeurs soient au courant ou pas d’ailleurs. Il était bizarre donc qu’il se trouve sur le chemin de traverse en ce jour. Tout seul de plus : le jeune serdaigle se baladait toujours avec quelqu’un à ses côtés, un ami, une copine, un membre de sa famille … De toute manière la question était réglée, Lùbelle comptait bien rester avec lui, cela faisait longtemps qu’ils ne s’étaient pas retrouvés pour se parler. Il était tant. Tout de même, ce détail signifiait que monsieur Middle n’était pas dans son assiette. Il devait penser à quelque chose qui le préoccupait beaucoup, peut être n’avait il pas envie d’en parler. Lùbelle ne comptait pas aborder des sujet fâcheux de toute manière, à moins qu’il le demande lui-même : elle avait juste envie de passer une agréable après-midi en sa compagnie, comme à chaque fois qu’ils se voyaient. Ce qui était bien avec Maximilien, c’est qu’elle pouvait lui dire pratiquement tout, il comprenait afin parfois il essayait de comprendre.

      « Je pensais que tu serais en train de t’éclater à poudlard, comme d’habitude. Que fais-tu ici ? Viens, on marche se seras plus agréable. »


    Lùbelle commença à avancer. Maximilien la suivrait. Elle avait envie de savoir ce que le jeune homme venait faire ici. Quelque course peut-être, nous étions en plein chemin de traverse, c’était presque une évidence. Presque une évidence, Lùbelle n’était pas ici pour des courses après tout. Elle le regarda de ses yeux noisette en souriant.

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Maximilien E. Middle
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Année d'étude: 7ème année
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MessageSujet: Re: Always There. Always There. Icon_minitimeVen 17 Juil 2009 - 19:27

Spoiler:

    Il avait toujours détesté cette sensation et ce depuis qu’il était enfant. Bien qu’il ne l’utilisait que très rarement car d’après ses riches parents « c’était salissant », il s’était toujours senti mal à l’aise dans une cheminée et ce sans compter le fait que cette horrible poudre le faisait tousser. Depuis l’enfance, le jeune avait compris que ce moyen de transport n’était pas pour lui et qu’il ne s’y habituerait jamais. Tant qu’il pouvait s’en passer, il s’en passerait mais l’adolescent se voyait mal aller en ballai jusqu’au chemin de traverse et comme il n’avait pas encore son permis de transplanage…Il n’avait eut d’autres choix, pauvre serdaigle, que d’aller utiliser le réseau de transport par cheminé. Il se trouvait donc ainsi en train de passer d’un tuyau à l’autre en toussotant, crachotant et surtout en étouffant. C’était tellement étroit qu’il avait l’impression qu’il resterait parfois coincé éternellement dans certains tuyaux. Il lui arrivait parfois d’apercevoir la tête ou le bras de quelqu’un d’autre qui, comme lui, se baladait dans le réseau pour atteindre une destination bien précise. IL frissonnait alors qu’il sentait la suie lui rentrer dans les narines. La pression sur son corps augmenta et il sentit se sentit alors accélérer. La vitesse ce serrait d’augmenter elle aussi et puis enfin, enfin, il sentit ses pieds atterrir violemment sur le sol provocant une secousse dans tous son corps et affaiblissant ses genoux. Non seulement le voyage était abominable mais l’atterrissage ou l’arrivée était aussi atroce…Il aurait vraiment voulu préférer se passer de cet horrible transport. Il se promit donc que la prochaine fois qu’il voudrait venir ici, il s’arrangerait pour y aller autrement et tous les moyens étaient bons pourvus qu’il puisse éviter de remettre un pied dans un cheminé. Oui, vous l’aurez compris, Maximilien Enzo Middle haïssait bel et bien le transport par poudre de cheminée, il l’avait même en horreur et rien que d’y penser lui donnait des boutons. Il soupira et entreprit de passer sa main partout sur ses vêtements pour en être un maximum de suie. C’était dégoûtant. Mais alors qu’il tentait de se nettoyer, il reçu un grand coup dans le derrière…L’idiot était resté devant le cheminée, bloquant le passage aux prochains. Il s’excusa alors et s’en alla rapidement en soupirant. Maudit transport !

    Il marchait vite. Il avait toujours du marcher vite et droit. Son père disait que c’était ainsi que devait se montrer un Middle et c’était une façon de faire qui était malgré tout rester dans son comportement. De grandes enjambées élégantes et distinguées qui faisaient en sorte qu’on ne pouvait que reconnaître son rang et son nom : Middle. Certaines personnes le regardaient, d’autres l’ignoraient mais c’était comme partout, les gens trouvaient toujours intéressant de regarder fixement les autres et Maximilien n’avait jamais vraiment compris pourquoi. Quel intérêt y trouvaient ils ? Tout cela était un mystère mais il n’avait pas le temps d’y songer et d’y réfléchir maintenant. Il fallait absolument qu’il se dépêche de trouver un cadeau pour Loreana afin de pouvoir rentrer à Poudlard mais la question actuelle était « ou aller ? » et sans doute aussi « que acheter ». Mais en fait, qu’aimait Loreana ? La lecture, les potions et sans doutes tellement d’autres choses qu’il n’avait pas encore eut le temps d’apprendre sur elle. Il soupira et continua d’avancer dans le chemin de Traverse, se disant qu’il passerait d’abord par le magasin de potion. Mais tandis qu’il marchait encore, il aperçu, quelques mètres devant lui, la silhouette d’une jeune femme qui le sembla familière. Il bouscula quelques personnes pour pouvoir la distinguer et c’est là qu’il la reconnu. De longs cheveux noirs, des hanches fines, une démarches sûre et frémissante : il ne pouvait s’agir que de Lùbelle Harrington.


    MAXIMILIEN_ « Lùbelle, Lùbelle ! »

    Elle ne semblait pas l’entendre et vu le monde qui serpentait sur le chemin de traverse en parlant, criant, cela n’avait rien d’étonnant. Maximilien soupira. Il détestait les gens, la foule, il n’y avait rien de plus étouffant –si ce n’est le transport de cheminé- qu’un brouillard de personnes marchant dans un endroit clos pour aller dans des endroits différent. C’était l’enfer et l’air y était toujours irrespirable. A vrai dire, il n’y avait même plus d’air dans ces endroits là et Maximilien se demandait comment faisaient les enfants qui arrivaient aux genoux de tout ce monde pour survivre, c’était mystère aussi. Il se mit alors à courir. Il y avait longtemps qu’il ne l’avait pas vu et il n’allait surtout pas manquer l’occasion de lui parler sous prétexte qu’un tas de zigoto se trouvait sur son chemin. Le jeune middle se mit à serpenter dans la foule, ne pouvait s’empêcher de pousser quelques personnes, il passa plus de temps à s’excuser qu’à avancer. Il hurlait après son amie, lui demandant de l’attendre et surtout priant pour qu’elle entende sa demande. Et puis enfin, Dieu accéda à sa requête en portant grâce au vent sa voix et son contexte jusqu’aux oreilles de la demoiselle qui se retourna alors subitement en…souriant. Il parcouru alors les derniers mètres qui la séparait encore d’elle et s’arrêta enfin pour reprendre son souffle.

    LUBELLE_ « Max ! Quelle surprise. Je ne m’attendais à croiser personne ici, aujourd’hui. Je suis heureuse que tu sois là. »
    MAXIMILIEN_ « Moi. Aussi…Je…suis content…de…te voir ! »

    Il parlait un peu de façon saccadée parce que toujours essoufflé, il n’avait pas suffisamment d’air pour prononcer toute cette phrase d’une seule et même traite. Il sourit à la jeune femme tandis qu’il sentait enfin le rythme cardiaque de son cœur diminuer. Il s’approcha alors d’elle et lui fit la bise. Il fallait bien être un minimum poli vous penser bien. Surtout que Maximilien adorait vraiment Lùbelle, peut-être aussi parce que la relation qu’ils avaient nouée était intrigante. N’étaient ils pas les deux face opposés d’une même pièces. Tellement différents mais tellement proches. C’était presque ahurissant et c’était exactement ce qui plaisait à Maximilien, cette originalité, cette bizarrerie même. Après tout, leurs éducations, leurs milieux étaient des antithèses, deux choses incapables de se confondre où de se mélanger et voilà que les deux enfants se parlaient et mieux encore étaient amis. Cela aurait dressé leurs cheveux sur la tête des parents Middle mais Maximilien n’en n’avait rien à faire. Il avait toujours tracé son chemin lui-même, pris ses propres décisions et fréquenté qui il avait envie de fréquenter et ce n’était certainement pas maintenant, ni aujourd’hui ni même dans quelques semaines que cela allait changer. Têtu comme il était !

    LUBELLE_ « Je pensais que tu serais en train de t’éclater à poudlard, comme d’habitude. Que fais-tu ici ? Viens, on marche se seras plus agréable. »

    Maximilien éclata de rire. Il était vrai qu’il ne venait que rarement sur ce chemin de Traverse. Il jugeait qu’il y avait tout ce qu’il fallait à pré au lard et venir dans le coin l’obligeait à traîner près de l’endroit où se trouvait le domaine Middle, ce dont il avait horreur. Il sourit alors à la jeune fille avant d’obéir à sa requête. Il fallait mieux marcher. Il la prit alors par la taille pour avancer. IL avait toujours fait cela avec tout le monde, fille ou garçon et on avait toujours l’impression, lorsqu’on le voyait avec quelqu’un, qu’il était en couple avec mais non. Il était juste tellement proche et tellement intime avec certaines personnes que l’amitié pouvait se permettre de comporter ce genre de geste comme le fait de marcher ici avec la main autours de la taille de la Poufsouffle. De toute façon, si cela la dérangeait, Maximilien aurait immédiatement arrêté. Il détestait mettre les autres mal à l’aise.

    MAXIMILIEN_ « A vrai dire, je serais sans doute en train de m’éclater, comme tu dis, à Poudlard mais j’ai quelques cadeaux à acheter et toi, dis moi, que fais tu là ? J’aurais pensé te voir travailler à Poudlard ou traîner dans le parc ? »

    En fait les étudiants du château ne venait que très rarement sur cette rue commerciale. Ils avaient un village du même style et peut-être même plus complet en magasin pour jeune, près de là où ils travaillaient alors venir sur le chemin de traverse était presque inutile mais apparemment…Il y avait des exceptions à tout…

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