┤A l'intérieur de Poudlard├

Do not try to fool someone who fool everyone||FINIS Icon26

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- Priorité à Laura OWNED

Thomas - T'es pas obligé de te faire discrète. T'façon, c'est trop tard, t'es grillé j'tai vu. C'est pas bien Laura de ne pas respecter le couvre-feu

Vous connaissez les règles? Le règlement Non? Mais alors c’est que vous vivez au fond d’un étang! Laura elle connaissait les règles par cœur, sur le bout des doigts, par exemple elle savait parfaitement qu’il est interdit de se balader la nuit dans les couloirs, pourtant ça ne l’empecher pas d’y être touts les soirs, pire encore de sortir de l’établissement par un passage secret, connus par de nombreux élèves…Afin d’aller en boite d enuit, il lii était tellement facile de mentir sur son age, trop facile. Bref, l’occupation préféré de Laura étiat donc d’enf les règles de corrompre ceux qui les respeceter, pour qu’ils aient des problèmes à sa place. Ou alors, elle se contentait de poser un pied sur la ligne, mais juste assez pour qu’il y ait u nretour. Elle connaissait les limites, elle savait ou elle devait s’arrêter et le pire c’est qu’elle le faisait souvent. Faisant tourner en bourrique les professeur qui chercher la moindre occasion de la coller, mais il n’y arrivait que rarement et seulement parce qu’elle avait relaché sa vigilance. Oui elle était maligne et elle en profitait plus que tout. La nature lui avait offert ce don de la nature, hors de question qu’elle ne s’en serve pas pour arriver à ses fins.
Bref, alors qu’elle s’extirpait du passage, ses chaussures à la main, Laura se trouva une nouvelle dans le château bien après le couvre fue, sur que si on l’avait trouv, dans une tenue pareille et à cet heure ci elle aurait de nombreux ennuis. En effet, les vêtement de la jeune fille montraient clairement qu’elle n’avait pas passé la nuit dans son lit, un t-shirt Durty Hugs représentant un castor légèrement amoché avec un œil qui pendait hors de son orbite, des ents en moins, des cicatrices partout sur le visage, et le crâne légèrement ouvert, ou en tout cas assez pour que l’on aperçoivent son minuscule cerveaux. Un short noir, court, ajusté avec des collant noir également, il ne fallait pas qu’elle soit trop voyante non plus. Ses chaussures étant quand à elle des ballerines à tout petit talons, en plastiques des talons qu faisaient une vacarme épouvantable dès qu’il s’agissait de marcher la nuit dans les couloirs du château. Ensuite passons à son visage, un maquillage plutôt sombre sur els yeux, pour souligner son regard pétillant, des lèvres bien roses, contre lesquelles certains auraient aimé poser les leurs. Ses cheveux impeccable même après cette nuit de folie. Bref, pas besoin de plus d’explications, même avec toutes l’intelligence du monde, si u nprefet la trouvait elle ne pourrait sortir un mensonge qui la sortirait de ce mauvais pas. C’est surement pour cette raison, qu’elle mit autant de temps rejoindre sa salle commune.

Enfin, elle vit l’angle qui menait à sa salle commune, elle poussa un soupir de soulagement, contente de retrouver les cachots, contente de retrouver tout l’univers qu’elle connaissait, et non pas ces longs couloirs éclairé, lumineux qui se trouvaient à l’étage. La plupart des personnes trouvaient les cachots opressants, certains disait même qu’il étaient angoissant qu’on avait l’impression qu’a chaque moment la nuit, une bete pouvait sortir de l’obscurité des coins pour nous attaquer. Meme les préfets de sa maison hésitait à s’aventurer dans les lieux la nuit. Préférant de loin faire leur ronde d’un endroit ou l’on pouvait observer le lac. Elle non. Ce n’est pas qu’elle n’aimait pas la lac, loin de là, elle trouvait que c’était l’élément le plus magnifique du château, malgré sa couleur boueuse et sa mocheté. Laura aimait le lac, parce qu’elle aimait l’eau et le calme reposant des eaux… Mais, au final il était rare de trouver Laura dans les étages, hormis lorsqu’elle rendait visite à Tim, pour être sur de mettre le plus de distance possible entre elle et les serpents qui auraient put avoir envie de faire du mal à son ami. Non. Laura aimait la fraîcheur qui s’immis en elle lorsqu’elle s’enfon dans les cachots, l’odeur de l’humidité dut au lac qui se trouvait au dessus d’eau, les bruits qui se répercutaient sur les murs, qui résonnaient, cette sensation d’être toujours suivis par un regard que l’on sentait constament, mais jamais on n’avait découvert à qui il pouvait bien appartenir.
Au moment ou elle s’engageait dans le couloir, en sachant qu’il fallait parcourir une très grande partir du chemin à découvert, Laura entendit des pas venant de l’oposé et donc de la directement ou elle comptait se rendre. Elle se rabattit contre le mur, s’aplatissant contre la roche plus que fraîche du mur, espérant de tout son cœur que la personne ne remarque pas qu’elle était là. Soudain et comme à chaque fois qu’elle manquait d’être découverte, elle se sentit très en symbiose avec le mur. Laura aurait tout donné pour pouvoir se fondre dedans. Alors que la personne passait devant elle, elle retint sa respiration, sa cachette n’était pas idéale, mais l’etat de sobriété de la personne non plus. Elle ne le connaissait pa, mais il ne fallait pas être auror pour se rendre compte qu’il empestait le whisky pur-feu à des kilomètres à la ronde. Retenant une nausée dut à l’odeur qu’elle ne supportait pas Laura s’élanca dans le couloir, mettant le plus de distance possible entre elle et le jeune homme qui entamait maintenant une chanson. Alors qu’elle tendait l’oreille pour être sure qu’il ne revenait pas vers elle, elle se rendit compte qu’il chantait une comptine pour petit sorcier. Celle ou on leur apprenait l’alphabet et que tout sorcier connaissait, sauf si bien sur on était un sorcier d’orogine mol due.
Elle posa sa main contre le mur froid et prononca doucement le mot de passe.

Un bruit retentit alors que le mure la laissait passer, en même temps que le personne s’effondrait dans le couloirs, c’est sur celui là allait avoir de sacré ennuis le lendemain lorsqu’il le retrouvait, i laurait du mal à expliquer pourquoi il avait autant bus. Peut être un décès dans la famille, ça marchait à tout les coups ce genre d’excuse, Laura ‘lavait déjà utilisé cette année là, oh, elle n’avait pas faire mourir une personne de sa famille. Non, elle avait simplement dit que son petit chien chérie était mort et que ses parents ne l’avaient même pas prévenus, qu’elle les détestaient… Puis elle avait fondus en larmes, tapant une crise de sanglots incontrôlable. Elle avait écoper d’un avertissement, et d’une heure de colle, contrairement à la menace des points perdus… Depuis elle s’était promis de ne plus jamais boire autant, le souvenir de son mal de tête était encore vivace dans son esprit…L’impression que lutin malicieux dansait la java dans son crane, les nausées toutes les deux minutes…Oui une gueule de bois en bonne et due forme. En plus de ça son frère lui avait passé le savon de l’année, histoire de lui faire comprendre qu’il lui interdisait de boire autant, alors que lui revenait parfois dans des états encore plus minable qu’elle. Elle repoussa le mur, et posa ses chaussures sur le sol, s’apprê à les remettres, elle ne pouvait pas tacher encore plus ses collants tout de même elle avait une certaine hygiène. Elle se pencha doucement vers ses pieds pour fermer les boucles qui retenaient les chaussures à ses pieds, après tout elle ne tenait pas vraiment à jouer les Cendrillon en perdant sa chaussure dans la pénombre de la salle commune. Seul le feu dans l’âtre offrait une lumière réconfortante, une lumière chaude et douce.

||Thomas|| T'es pas obligé de te faire discrète. T'façon, c'est trop tard, t'es grillé j'tai vu. C'est pas bien Laura de ne pas respecter le couvre-feu.

La vois de Thoams retentit dans ses oreilles, s’imi dans son eprit, et lui flanquant la frousse de sa vie, après tout elle qui pensait être seule, voilà qu’une vois lu parvenait sur le moment elle ne reconnut pas tout de suite la voix de la personne Elle crut même qu’elle était tombé sur son frère et là elle était sure, qu’elle allait prendre l’abattage de sa vie. Peut être même pire que la fois ou on l’avait surprise morte bourrée. Parce qu’elle promis qu’elle ne ressortirait plus jamais, autant dire que entre les enfants Owned la parole est d’or, bien qu’ils sèchent tout les deux que l’un et’lautre ne respectaient pas forcément leur parole. Mais du moment qu’ils ne se prenaient pas en flagrant délit tout se passait bien ,seulement à partir du moment ou l’on se fisait prendre, c’était le drame et les autres élèves du château se cachaient le temps que l’orage pase. Car être pris dans l’orage Owned, c’était se mettre dans un bordel pas possible, c’était carrément du suicide, i létait étonnant de voir quel point ils étaient inséparable et ensuite voir les clash qu’il qu’il y avait entre eux. Heureusement elle se rendit compte que c’était Thomas

||Laura|| Je pourrais te retourner la même question, et puis les règles c’est pas mon truc.

Laura s’avad dans la umière de la cheminée, distinguant enfin le visage de celui qui lui faisait face, elle s’assit dans un fauteuil en face de lui, malgré l’heure tardive elle ne comptait pas se coucher.

HJ: dsl pour les erreurs j'ai un problème avec mon clavier,si vraiment tu ne comprend pas, j'esairai de tout corriger

Laura - Je pourrais te retourner la même question, et puis les règles c’est pas mon truc.

Thomas - Ça, j'avais cru le comprendre, mais tu sais que cela rend ton frère complètement fou ? Il en devient même paranoïaque. Ce serait embêtant pour toi s'il apprenait que t'es sortie cette nuit dans cette accoutrement et j'pense pas que c'était simplement pour rejoindre des copines

Le problème lorsqu’on se fait attraper par quelque un c’est qu’il a un moyen de pression sur notre petite personne, autant dire que si jamais Thomas se mettais en tête de dire à Baël dans quelle tenue il l’avait trouvé,la pauvre petite poupée fragile et gracile ne ressortirait pas indemne de cette confrontation. Car la seule personne au monde capable de lui foutre une trouille bleue c’était son frère, la seule personne au monde étant capable de faire fermer le claper de la jeune fille était également Baël. La seule personne capable de la faire avouer ses crimes était encore et toujours Baël, il avait une espèce de pouvoir mystique et bizarre sur sa jeune sœur, comme si il pouvait la contrôler juste avec les mots, pas besoin de contact ou de baguette, le simple fait de savoir que c’était lui calmais dans la seconde la jeune fille. Le plus bizarre étant que ce pouvoir était également vraie dans l’autre sens, Laura était capable de contrôler son frère jusque dans les moindres détails lorsque le besoin était indispensable. Un main de fer dans un gant de velours, une voix d’oiseau avec des ordres de chefs d’armée. Un contraste étonnant que personne n’avaient envie de critiquer devant elle. Car si Laura avait l’air d’une petite chose toute fragile, il ne fallait oublier qu’elle maniait les sorts aussi bien que les mots. Oh, bien sur elle avait des limites, jamais elle ne serait ressortit indemne d’un duel avec un élève plus agé, mais les sorts qu’elle connaissait, elle les lancait à la perfection. Bref, il devenait évident à ses yeux, que la seule chose qui importait à cet instant était de faire en sorte que le vert et argent boucle son clapet face à son frère, et non pas qu’il aille lui raconter tout ça.

||Thomas|| Ça, j'avais cru le comprendre, mais tu sais que cela rend ton frère complètement fou ? Il en devient même paranoïaque. Ce serait embêtant pour toi s'il apprenait que t'es sortie cette nuit dans cette accoutrement et j'pense pas que c'était simplement pour rejoindre des copines

Laura haussa un sourcil, regardant sa tenue, bon d’accord il était vraie que ce n’était pas une tenue approprié pour rentrer dans un château tel que Poudlard, mais que vouez-vous, c’était Laura et elle se croyait tout permis. Quand à la virée entre copine, Laura faillit sourire en s’imaginant la tête de ses amies lorsqu’elles apprendraient qu’elle était sortis sans elles. Laura n’aimait pas leur compagnie pour la plupart, elle ne supportait pas le regard qu’elle posait sur son frère, Devan ou encore Jules. Elle était presque jalouse de toutes celles qui avaient le malheur de s’approcher de trop près d’eux. Et puis, de toute façon, les conversations qu’elles entretenaient ne méritaient pas l’attention de Laura, qu’en avait-elle à faire après tout de savoir avec qui sortait le garçon le plus beau de Poudlard? Garçon qui changeait toutes les semaines bien entendus, à croire qu’ils ne pouvaient pas rester beau plus de trois heures de suite…Bref, comme je le disais ce genre de conversation énerver Laura plus qu’autre chose, qui préférait de loin traîner avec des personnes plus âgée qu’elle, si on oubliait Jules, mais lui ce n’était pas pareil, c’était comme un frère.
Son regard se posa ensuite sur la tenue du vert et argent, autant dire que les habits ne semblait pas être la priorité principale de Thomas qui était en caleçon, bon en même temps Laura ne pouvait pas le cacher il était bien foutus, savait -il seulement combien de fois son nom était apparue dans les conversation de ses amie? Très certainement pas, jamais une personne normalement constitué ne pouvait arriver à suivre leur conversations.

||Laura|| Ce que je fais de mes soirée, avec qui je les passes, et de quelle manière je m’habille ne te regardes absolument pas, d’autant plus que la tienne est encore plus dénudé que la mienne, je n’imagine même pas le choc d’une des filles si il lui venait à l’idée de venir ici….Sur qu’elle ferait un arrêt cardiaque en te voyant. En ce qui concerne mon frère, ce qu’il ne sait pas, ne lui nuit pas. Si il l’apprend je saurais que c’est toi…Et puis de toute façon, en ce moment, je doutes sérieusement qu’il prenne le temps de s’occuper de moi, il préfère traîner avec des gens bizarres…Et des élèves d’autres maison, ce que je ne comprend absolument pas. Donc le rendre completement fous, cela m'étonnerais puisqu'il l'est déjà...

Elle posa son regard sur la cheminée, appréciant largement la chaleur réconfortante des toutes petites flammes, après avoir courus dans presque touts le château, dans la fraîcheur de la nuit, et avoir eu des petites peurs c’était plutôt bien de pouvoir se réconforter auprès d’un bon feu. Elle s’enfonça encore un peu plus dans le fauteuil, réfléchissant à ce qu’avait dit Thomas. Son frère, c’est vrai qu’elle aimait. Mais en ce moment il était, comment dire, distant? Oui, il ne la laissait plus s’approcher de lui, disant à qui voulait l’entendre qu’il avait des choses bien plus importantes à faire. Envoyant bouler Laura lorsqu’elle venait le voir, mais venant quelques minutes plus tard, la bouche en cœur, les bras grands ouverts et avec l’envie de passer du temps avec elle. A chaque fois, Laura espérait une guérison miracle, mais le lendemain tout recommençait, pas de nouvelles durant des jours voir des semaines, et il revenait de lui-même. Ce que personne ne voyait c’est que ça la bouffait de l’intérieur, et malgré la conversation qu’ils avaient eu dans les toilettes de Mimi, malgré qu’il lui ai dit qu’il ne comprenait pas ce qu’il lui arrivait, malgré tout, Laura ne supportait pas cet éloignement forcé. En plus, il semblait que ce qu’avait attrapé Baël ne se propage dans son corps à elle, amnésie, comportement incontrôlable faisait désormais partie de son quotidien. Il y avait des moments ou elle ne savait plus ou elle était, comment elle s’était retrouvé là, avec qui elle était venus. Même St Mangouste il n’avait pas sus lui dire, en même temps pour trouver ce qu’elle avait Laura aurait peut être bien fait d’accepter la conversation. Mais non, elle avait préféré se murer dans le silence sous le regard contrit de Tim, et les claquements de langues du médecin, amusé par la petite fille, comme si il regardait une vête de foire. Pourtant loin de détester Maxence, Laura ne parvenait toujours pas à lui dire ce qui n’allait pas.
Son regard se reposa sur Thomas, elle n’avait jamais compris pourquoi il était comme ça, aussi froid à l’extérieur alors qu’a l’interieur il était quelque un d’adorable. Bon bien sur, il était tout le temps en train de traîner avec ce minable d’Hugo, mais personne n’est parfait même pas elle. Pourtant, elle aimait bien ce garçon qui prenait souvent un peu de temps pour elle, si elle avait sut que ce n’est que par intérêt, comment aurait-elle réagit? Oh très mal, et la plupart des personnes du château, seraient partis se cacher let temps que la fureur de la petite princesse ne retombe. Thomas aurait pris quelques coups, qu’il aurait facilement put contrer, elle était jeune, il partait de Poudlard’lannée prochaine. Mais, même sans baguette elle seraient dans la capacité de le blesser. Enfin, comme elle ne le savait pas, l’un comme l’autre était encore en vie, et aucune dispute n’avait commencé.

||Laura|| Et toi comment ça se fait que tu sois seul dans la salle commune, à une heure aussi avancée? Insomnie passagère? Ou bien, une envie non réalisable de me rendre un service immense et de faire quelque plans pour tuer le serpent qui dort dans le lit à cotés de toi? A moins bien sur que tu ne sois un pro elfe de maison qui tienne absolument à leur éviter quelques corvées en venant les aider dans les nuit, ce dont je doute énormément mais bon tout le monde réserve des surprises…

Elle lui sourit gentiment, attrapant sa baguette pour raviver le feu

Laura - Ce que je fais de mes soirée, avec qui je les passes, et de quelle manière je m’habille ne te regardes absolument pas

Thomas - A vrai je m'en fous mais ton frère ....

Laura - D’autant plus que la tienne est encore plus dénudé que la mienne

Thomas - Euh franchement, j'suis sur que j'ai autant de tissus sur moi que toi

Laura - Et je n’imagine même pas le choc d’une des filles si il lui venait à l’idée de venir ici….Sur qu’elle ferait un arrêt cardiaque en te voyant.

Thomas - J'imagine que cela n'est pas ton cas, donc tout va bien. Je me sentirais tellement désolé si j'avais ta mort sur la conscience à cause de mon corps de rêve

Laura - En ce qui concerne mon frère, ce qu’il ne sait pas, ne lui nuit pas. Si il l’apprend je saurais que c’est toi…

Thomas - Et alors tu me fera quoi pour me punir ?

Laura - Et puis de toute façon, en ce moment, je doutes sérieusement qu’il prenne le temps de s’occuper de moi, il préfère traîner avec des gens bizarres…Et des élèves d’autres maison, ce que je ne comprend absolument pas. Donc le rendre complètement fous, cela m'étonnerais puisqu'il l'est déjà...

Thomas - Des gens bizarres ? C'est à dire ? Tu sais quelque chose ?

Laura - Et toi comment ça se fait que tu sois seul dans la salle commune, à une heure aussi avancée? Insomnie passagère?

Thomas - On peut dire cela comme ça

Laura - Ou bien, une envie non réalisable de me rendre un service immense et de faire quelque plans pour tuer le serpent qui dort dans le lit à cotés de toi?

Thomas - A vrai dire, j'y ai bien pensé, il y a quelques minutes de cela. Pas pour te rendre service mais simplement pour moi, pour pouvoir dormir. Mais finalement, j'lui en suis reconnaissant de m'avoir obligé à descendre, sinon je serais jamais tombé par hasard sur toi en train d'aller à l'encontre du règlement.

Laura - A moins bien sur que tu ne sois un pro elfe de maison qui tienne absolument à leur éviter quelques corvées en venant les aider dans les nuit, ce dont je doute énormément mais bon tout le monde réserve des surprises…

Thomas - J'en réserve aussi des surprises, il suffit juste d'apprendre à me connaitre. Tu serais surprise, tu sais.

L’avantage que l’heure soit aussi avancée, c’est qu’ils étaient presque sur que personne ne viendraient jamais les déranger, au contraire, les chuchotis provenant de la salle commune la nuit pouvait en dissuader un bon nombre de descendre, quand au autres, il était clair qu’ils dormaient. Oui, si Laura avait voulu un rendez-vous secret à Timothée pour qu’ils puissent se parler, au final il n’aurait pas été nécessaire de se cacher dans les couloirs si on y réfléchissait bien, mais de tout simplement l’amener dans la salle commune, au nez et à la barb de tout le monde. Elle y penserait la prochaine fois, savoir qu’elle verait son aigle dans l’antre même de son meilleur ami…Une sorte de pensées jouissive de savoir qu’elle pouvait manipuler son petit monde sans qu’on s’en rende compte. Enfin, son regard se posa de nouveau sur le jeune homme qui prenait ses aises, visiblement il ne tenait pas à la laisser filer aussi facilement, ce qui n’était pas sans déplaire à Laura. D’un il avait une conversation plus intéressante que la plupart des personnes de son années, et ensuite il était pour le moment le seul à s’intéressait à elle.
Bien, comme la nuit promettait d’être longue, Laura décida qu’elle ne comptait pas rester dans une position inconfortable et avec ses foutue chaussures au pied, elle se pencha donc pour dénouer les lanières de ses ballerines, qu’elle finit par retirer et poser délicatement sur les bords du fauteuil. Puis, elle fit passer ses jambes par-dessus l’accoudoir du fauteuil, elle sortit sa baguette de la poche avant de son chort et l’agita vers le feu, qu ireprit immédiatement, laissant l’atmosphère se remplir de craquement de bois agréable, apportant également un peu plus de chaleur, ce n’était pas pour Thoomas qu’elle faisait ça, mais plutôt pour réchauffer ses os. Il faisait tellement beau loriquet était sorti, l’erreur de jeunesse fatale de penser que le temps nous attendras toujours.

||Thomas|| A vrai je m'en fous mais ton frère ....

Le visage de Laura se referma immédiatement de la petite fille malicieuse et souriante à laquelle il avait eut affaires quelques secondes plus tôt, il n’y avait plus trace. Elle fit passer quelques cheveux devant son visage pour qu’il ne remarque pas les yeux qui commençaient à se brouiller. Même si elle s’était trouvé face à Amanda, Laura n’aurait jamais put laisser couler les larmes librement, c’était d’ailleurs son frère qui lui avait toujours dit, que si jamais elle avait besoin de pleurer il fallait le faire loin des regards, dans une pièce isolé, ou on était sur de ne pas être surprise. Garder toujours sa fierté, ne jamais montrer ses faiblesses, phrase maîtresse de l’éducation qu’il avait donné à sa petite sœur, car ce n’était pas les parents de Laura qui l’avait éduqué comme il se doit, c’était toujours Baël. Aussi, elle préféra ignorer la remarques en espérant que Thomas change très vite de sujet.

||Thomas|| Euh franchement, j'suis sur que j'ai autant de tissus sur moi que toi
||Laura|| On pourrait aisément prouver le contraire Thomas, vu le nombre de vêtement que j’ai a enlever…Alors que toi…

La verte et argent baissa le regard vers ses habits, une moue blessé sur le visage, elle n’était pas si déshabiller que ça, et puis, elle n’avait jamais eut l’intention d’aller faire la fête habillée comme esquimau. Seul les autres étaient persuadés qu’elle était une sage petite fille, non, elle avait beau avoir l’air d’une poupée de porcelaine, elle avait quand même certaine liberté. Non ça ne la dérangeait pas forcément que le regard des hommes se posent sur elle, et pas forcément pour son intelligence. C’était bien ça le problème de touts ces garçons, ils regardaient d’abord le physique, ensuite elle n’avait plus qu’a faire en sorte de montrer qu’elle était supérieure à eux. A imposer choix et volonté, parce que contrairement à eux sa tête était remplis d’un cerveau en état de marche, et qu’elle savait s’en servir. En fait, Laura adorait mettre à sa botte la plupart des gens qu’elle croisait, avec certains ça ne marchait, un grand nombre même, mais pour ceux dont le cerveau manquait à l’appel, il lui était tellement aisé de s’en servir ensuite…Pour faire quelques actes…Douteux? De telle sorte qu’elle n’ai pas à se salir les mains, ou même être soupçonnée

||Thomas||J'imagine que cela n'est pas ton cas, donc tout va bien. Je me sentirais tellement désolé si j'avais ta mort sur la conscience à cause de mon corps de rêve
||Laura|| Ca aurait put l’être…Si j’avais bu un peu plus…Mais j’imagine que rentrer dans un état déplorable n’est pas la meilleure chose à faire avec tant de monde sur mon dos.

Elle reposa son regard sur l garçon qui lui faisait face, un drôle de bonhomme qu is’était révélé existant aux yeux de Laura seulement depuis quelques temps, pourtant les entrées fracassante de Laura n’étaient pas rares dans le dortoir des septième. Que ce soit pour aller chercher des affaires à son frère, le réveiller car elle jugeait dommage d’être la seule de la famille levée, ou encore pour lui hurler dessus tout simplement. Bref, elle n’avait jamais vraiment fait attention au brun, c’est vrai qu’elle l’avait remarqué du coin de l’œil, elle connaissait son nom…Mais si on lui avait dit qu’ils allaient un jour être ami, jamais elle n’aurait mis sa amin à couper. Au début elle aurait très bien put l’adorer, pour tout ce qui se passait entre Hugo et lui, rare était les préfets qui n’avaient hurlé durant des heures après le couples diaboliques qui semblait s’être donné pour but de s’entre tuer. Mais ensuite ils étaient devenus, ce qu’on pourrait appeler ami, et rien que pour ça, elle n’avait jamais fait le premier pas. Pourtant aujourd’hui, ils était là a parler comme si ils avaient toujours fait ça. Bon ce n’était pas le grand amour non plus, mais ce n’était pas de la haine qui les unissait, et ça c’était plutôt un grand début pour Laura qui avait légèrement tendances à s’attirer des ennemis.

||Thomas|| Et alors tu me fera quoi pour me punir ?
||Laura|| Ne t’inquiète pas, je suis très imaginative pour ce genre de trucs, à toi de voir si tu veux tester ou pas.

Il sourit, laissant clairement ressortir les pensées qu’il venait d’avoir, Laura eut un sourire moqueur, presque méprisant, elle n’était pas choqué, elle avait appris à ne plus se choquer pour si peu. Il suffisait de se promener touts els jours en compagnie de cinquième année, pour s’habituer à ce genre de remarques. Cependant cela l’exaspérer toujours autant, comment on pouvait réfléchir seulement avec un organe important de l’anatomie masculine, cela restait pour elle un grand mystère. Sa réponse à elle était également à double sens, mais il la prendrait dans le sens qu’il voudrait, qu isait ou ça pouvait les mener. Et puis ça ne la dérangeait pas plus que ça de passer une nuit, seulement une, avec lui. Elle n’était pas prise, elle faisait ce qu’elle voulait. Il faudrait seulement songer à faire attention à ce que ça ne s’ébruite pas jusqu’au oreilles de son pauvres grand frères. Si elle ne voulait pas passer un quart d’heure.

||Thomas||Des gens bizarres ? C'est à dire ? Tu sais quelque chose ?

||Laura|| A l’Epouvantard l’autre jour, des gens qui faisaient plutôt peur à voir…Pas comme touts les pauvres pochtrons qui viennent se remplir comme des tonneaux touts les soirs, non…Le genre de personne qu’on t’interdit de fréquenter avant même que tu puisse réfléchir apr toi-même. Je n’ai pas vus leur visage, je ne vois jamais leur visage, mais, leur voix…La première fois j’ai vraiment crus que j’allais m’enfuir en courant, et puis ce dont-ils parlent, j’ai entendus plusieurs fois le mot magie noire, ou encore le moment est venus…En plus de ça, je n’avais pas l’impression de voir Baël, comme si c’était son corps, mais…Une autre conscience… Ensuite, à chaque fois, je me souviens qu’il me voit, et puis plus rien.

Comme à chaque fois, elle le suivait, par pur plaisir de retrouver ce bonheur de petite fille, la petite sœur qu suit pas discrètement du tout son grand frère pour savoir ce qu’il fiche en ville. Avant elle faisait ça par jeux, comme un jeux entre eux, et à chaque fois il faisait semblant de ne pas la voir…Maintenant elle faisait ça par curiosité, pour savoir ce qui ce passait, mais à chaque fois il la surprenait…Et ensuite c’était le trou noir, elle se souvenait juste de la couleur de ses pupilles, sa manière de la regarder comme si elle était un insecte qui dérange. Quelque chose à éradiquer. Elle avait désormais peur de son frère, comme si il allait soudainement se retourner contre elle, comme si elle était en train de le perdre. Chaque jour, il y avait de plus en plus de distance entre eux. Comme précédemment elle remit des cheveux devant son visage, retenant les larmes qui manquaient de sortir de ses yeux, retentant tout ce qu’elle avait envie de hurler. Car si ça n’avait tenus qu’a elle? Laura aurait hurlé tout ce qu’elle pensait, tout ce qu’elle gardait en elle depuis septembre.

||Thomas|| A vrai dire, j'y ai bien pensé, il y a quelques minutes de cela. Pas pour te rendre service mais simplement pour moi, pour pouvoir dormir. Mais finalement, j'lui en suis reconnaissant de m'avoir obligé à descendre, sinon je serais jamais tombé par hasard sur toi en train d'aller à l'encontre du règlement.

||Laura|| Si tu veux je peux aller l’étouffer dans son sommeil, ça ne me dérangerait pas le moins du monde... Moi aussi je suis plutôt contente d'être tombé sur toi, plutôt que sur un des ces autres dégénéré dees hormones.

Elle avait dit avec un peu plus de volume que ce qu’elle avait voulus, mais elle n’avait pas put réprimer cet envie irrésistible de parler fort. Comme si elle espérait qu’il entende, et qu’il attaque. Le premier, c’était bizarre comme elle ne parvenait pas à l’attaquer la première. Ce jeu l’irritait autant qu’i l’amusait, sur le moment elle détestait ce garçon, et puis lorsque ça faisait plusieurs il fallait qu’elle aille le voir d’elle-même. Comme si il était sa propre marque d’héroïne, comme une droguée en manque de sa haine, qui semblait s’éteindre.

||Thomas||J'en réserve aussi des surprises, il suffit juste d'apprendre à me connaitre. Tu serais surprise, tu sais.

||Laura|| Parfois, j’aimerai que quelque un parvienne à me surprenne mais à mon avis plus rien n’a de goût.

HJ: dsl de la qualité

Laura - On pourrait aisément prouver le contraire Thomas, vu le nombre de vêtement que j’ai a enlever…Alors que toi…

Thomas - Mais le nombre de vêtement ne fait pas tout. Moi au moins, je ne montre que ce que les gens sont en droit de voir

Laura - Ca aurait put l’être…Si j’avais bu un peu plus…Mais j’imagine que rentrer dans un état déplorable n’est pas la meilleure chose à faire avec tant de monde sur mon dos.

Thomas - Je saurais pour la prochaine fois que l'alcool ne te laisse pas indifférente à mon charme. Et je pense que si tu étais rentré complètement bourré, ton frère aurait encore eu plus de mal à encaisser

Laura - Ne t’inquiète pas, je suis très imaginative pour ce genre de trucs, à toi de voir si tu veux tester ou pas.

Thomas - Pour ce qui est de l'imagination, je me débrouille pas trop mal aussi et quoi que tu tente, tu n'aura pas le dessus sur moi

Laura - A l’Epouvantard l’autre jour, des gens qui faisaient plutôt peur à voir…Pas comme touts les pauvres pochtrons qui viennent se remplir comme des tonneaux touts les soirs, non…Le genre de personne qu’on t’interdit de fréquenter avant même que tu puisse réfléchir apr toi-même. Je n’ai pas vus leur visage, je ne vois jamais leur visage, mais, leur voix…La première fois j’ai vraiment crus que j’allais m’enfuir en courant, et puis ce dont-ils parlent, j’ai entendus plusieurs fois le mot magie noire, ou encore le moment est venus…En plus de ça, je n’avais pas l’impression de voir Baël, comme si c’était son corps, mais…Une autre conscience… Ensuite, à chaque fois, je me souviens qu’il me voit, et puis plus rien.

Thomas - Il doit forcément y avoir une explication. Mais tu ne devrais pas le suivre. Tu ne sais pas qui sont ses gens et il serait plus prudent que tu te tienne éloigné de tout cela

Laura - Si tu veux je peux aller l’étouffer dans son sommeil, ça ne me dérangerait pas le moins du monde...

Thomas - Je ne doute que cela te ferait même plaisir d'être débarrassé de lui et je dois dire que cela ne me dérangerait pas plus que cela.

Laura - Moi aussi je suis plutôt contente d'être tombé sur toi, plutôt que sur un des ces autres dégénéré des hormones.

Thomas - Parce que tu pense que je suis différent des autres ?

Laura - Parfois, j’aimerai que quelque un parvienne à me surprenne mais à mon avis plus rien n’a de goût.

Thomas - Il ne faut jamais dire jamais et peut-être que des fois les surprises viennent de là où les attend le moins

Laura faillit sourire en se rendant compte de la situation dans laquelle ils se trouvaient. Lui, presque nus, et elle dans une tenue des plus provocante. Un duo qui aurait put faire parler quelques ragots si une personne était arrivé, car cette même personne aurait très certainement eut des pensées bien plus différentes que les leurs. Non pas que la jeune fille soit contre, c’était toujours un joli mec à ajouter à son petit tableau personnel. Évidement, même si cela arriver un jour, rares seraient les personnes qui seraient au courant. Laura n’était pas du genre à étaler sa vie privée devant tout le monde, elle avait très vite appris que le mystère était la meilleure solution pour être désirable. Elle n’aimait pas vraiment voir toutes ses amies afficher leur liste au dessus du cadre de leur lit, comme un tableau de chasse. Elles donnaient l’impression qu’a leurs yeux, les hommes n’étaient que des animaux à attraper, mettre en cage puis jeter comme si ils n’avaient jamais exister. Laura avait été comme ça pendant une période, elle ne s’en cachait pas, mais ne s’en vantait pas non plus. Depuis, elle avait rencontré certaines personnes qui l’avait grandir, évoluer, à son plus grands bonheur. Elle avait appris à se mettre en retrait par rapport aux autres, et surtout à ne plus faire souffrir son frère. Souffrir la seule personne qui s’inquiétait de savoir ce qu’elle devenait. Tout ça avait aujourd’hui disparu, elle se souvenait de leur scolarité dans l’école moldu ou il se trouvait. Souvent, lorsqu’elle allait mal, Laura allait se cacher dans les porte manteaux de la classe de son frère, et elle attendait jusqu’à ce qu’il sorte. Ses amis allaient souvent le prévenir qu’elle était là, puisqu’ils avaient vu les manteaux bouger de façon suspecte. Et puis, ensuite ils restaient là, seulement à se regarder, attendant que leurs maîtresses respectives viennent les chercher. Aujourd’hui, plus personne ne faisait attention à elle, ou ‘Est-ce qu’elle était, qu’Est-ce qu’elle faisait…

||Thomas||Mais le nombre de vêtement ne fait pas tout. Moi au moins, je ne montre que ce que les gens sont en droit de voir

Laura avait des jolies formes, elle le savait, elle en usait. Elle ne comprenait pas toutes ces filles qui passaient leurs temps à cacher leur corps, en disant qu’il fallait ne pas se respecter pour les montrer. Enfin, Laura n’était pas parfaite elle était loin de l’être, chaque personne possédait un défaut. Ce qui l’énervait au plus au point, c’était ceux qui se vantaient de leur corps, qui disaient être parfait. Il ne fallait pas moins de deux minutes à Laura pour les descendre en public. C’était quelque chose qu’elle adorait, remettre les gens qui se prenait pour des demi-dieu à leur place. Bien sur, pour la plupart ces personnes étaient belles, mais le simple fait de se vanter de leur corps les rendaient hideux aux yeux de la jeune fille. Laura, quand à elle se contentait de se servir de son physique lorsqu’elle en avait besoin, en prouvant aux personne qui n’y croyait pas ce qu’elle était. Bref.
Laura releva un regard noir sur le jeune homme, de quel droit se permettait-il de croire qu’elle avait put faire quoi que ce soit ce soir là? Ce n’était pas parce que l’on était habillé d’une certaine façon qu’on finirait forcement dans un lit le soir même. Laura était déçue, ça se voyait dans son regard, enfin si la lumière éclairait assez son visage bien sur, déçue qu’en tant que Serpentard, et donc de la maison des rusé, le jeune homme ai tout de suite pensée à l’explication la plus simple. Decevant n’Est-ce pas? Elle poussa un long soupire adresser directement aux remarques persiflant du jeune homme, afin de bien lui montrer qu’elle ressentait plus du mépris qu’autres chose à son égard, à cet instant précis.

||Laura|| Je rêve ou tu est presque en train de me traiter de pute…Une fille un peu dénudée et c’est forcément pour coucher avec quelque un apparement, et malgré ton appartenance à cette maison, tu ne sembles pas connaître l’art de la manipulation. Le plus regrettable étant que les hommes ont souvent besoin de ce genre d’artifices pour pouvoir les approcher... Pour information, je ne suis pas un pute, je suis assez responsable pour ne pas me laisser toucher.

Il était vrai ce gros mensonge? Bien sur, elle se respectait trop pour se laisser embarquer dans ce genre d’acte stupide. La seule fois ou elle l‘avait fait, c’était avec Seeley, elle avait tellement bus ce soir là, qu’elle ne s’était pas rendue compte de ce qu’elle faisait. Ce qui en avait résulter par une enguelade avec son frère, un gros malaise, et finalement un second grand frère. Seeley s’étant promis que plus personne ne la toucherait tant qu’il ne le mériterait pas. Si il savait, seulement combien de fois elle avait outre passé certains de ses ordres, il aurait très certainement un arrêt cardiaque. Bref, elle eut un sourire moqueur. Le genre de sourire qu’elle ne lançait que lorsqu’elle savait qu’on ne la croirait pas, mais qu’elle disait la vérité. De toute façon, rien ne pourrait l’atteindre ce soir, elle avait obtenus ce qu’elle voulait, quelques informations sur les derniers achats de son frère, dans une boutique d’apothicaire, des ingrédients tellement rares et tellement chers qu’elle se demandait encore à quoi ça allait bien pouvoir lui servir. Le principal cependant était de noter ces ingrédients quelques part, d’attraper un génie des potions dans le couloir, et de le faire travailler à sa place pour savoir. Comme toujours, elle n’allait pas se casser la tete pour ce genre de trucs, elle préférait de loin laisser les autres se creuser les méninges, tirer les ficelles dans un sens et dans l’autre, et tout ça rien que pour elle. Bien sur, parfois, elle aimait résoudre elle-même ces énigmes, quel bonheur de sentir qu’on arrive au but, de toucher la réponse du doigt et de la savoir. Bref.

||Thomas|| Je saurais pour la prochaine fois que l'alcool ne te laisse pas indifférente à mon charme. Et je pense que si tu étais rentré complètement bourré, ton frère aurait encore eu plus de mal à encaisser

En fait si, quelque chose pouvait encore pourir sa soirée, quelque chose que certaines personnes ne comprenaient pas, au début elle aussi. Petite, la guerre qui l’unissait à son frère était semblable à celle qu’elle menait contre Hugo, quelques chose de calme et parfait. Une haine que tout le monde connaissait, mais dont personne ne connaissait les ficelles, personne ne savait quand l’orage éclateraient, qui sera la première personne à craquer. Et puis, du jour au lendemain, ils étaient devenus inspérables alors que personne n’y croyaient. Au début, ils s’attendaient tous à ce qu’au bout de quelques jours ça éclate, et que tout reparte comme avant. Visiblement ce n’était pas le cas, pusique ça faisait déjà quelques années qu’on ne pouvait pas s’en prendre à l’un sans avoir l’autre sur le dos. Ce n’était pas par méchancetée que Laura s’était parfois retourné contre ses propres amis. C’était par amour, par amour par exemeple qu’elle s’était refusé à devenir une amie de Maximilien Middle, parce que lui et son frère ne pouvaient se voir. Par amour, qu’elle ne pouvait pas avoir n’importe laquelle qui touchait à Baël, c’était juste pour éviter qu’il ne souffre. Par amour égaleent, qu’elle l’écoutait, qu’elle lui parlait même lorsqu’il voulait rester seul…Elle l’aimait, au fond elle avait toujours dut l’aimer, mais au début elle ne savait pas le montrer tout simplement.

||Laura|| Encore faudrait-il que tu parvienne seulement à me faire boire, et comme je n’approche plus l’alcool lorsqu’il y a un homme dans le coin….

Elle ne répondit pas à ce qu’il avait dit sur son frère, elle ne voulait pas, elle ne pouvait pas. Comment aurait-elle put dire par exemple, que ces jours ci elle pouvait faire ce qu’elle voulait, puisqu’il ne voulait même plus lui parler. Qu’il ne voulait même plus la voir. En fait, dès le début de l’année, Baël et elle avait une conversation, une grosse conversation. Les mots qu’il avait prononcé alors qu’il l’avait pris dans ses bras sonnaient encore comme une menace de perdition dans son crâne: " Si seulement je savais Laura. Écoute, après cette soirée je ne veux plus que tu m'approches durant ... trois semaine. Aucun contact d'accord ? Juste pour voir si c'est moi le responsable de tout ses blancs. Cela n'a rien de personnel, je veux juste te protéger ... tu es ma priorité. Tu sais que je t'aime. "
Les trois semaines étaient passés, et puis encore 3, et de 3 en 3, ils ne s’était plus revus, ou presque, elle avait dut évoluer dans un monde qu’elle ne connaissait qu’avec lui. Dans un monde hostile, sa petite bulle avait exploser, la lachant sans filet de protection dans un univers hostile. Dans un univers qu’elle ne voulait pas connaître sans lui. Elle avait beaucoup pleuré, hurlé seule dans son dortoir, cauchemardé, depuis elle n’était plus la même Ils n’étaient plus aussi unis. Désormais, les conversations étaient courtes, seuls les regards qu’il lui lançaient parfois prouvait qu’ils s’aimaient toujours autant. Car comment tourner le dos à celui qu’on aimait depuis toujours? Comme ça du jour au lendemain?

||Thomas|| Pour ce qui est de l'imagination, je me débrouille pas trop mal aussi et quoi que tu tente, tu n'aura pas le dessus sur moi
||Laura|| Tu sembles bien sur de toi… Qui te dit que tu auras le dessus tant que tu n’auras pas tester…

Si lui semblait aussi sur de lui, il ne connaissait pas la détermination dont elle savait faire preuve. Encore moins, les moyens qu’elle pouvait mettre en place pour toujours parvenir à être celle qui maîtriser la situation. Elle ne se laissait faire que lorsqu’elle le décidait, principalement lorsqu’elle devait laisser faire la fierté des autres. Ils en avaient pour la plupart marre de se faire dominer par une fille plus jeune qu’eux, et surtout beaucoup plus fragile autant sur le plan physique que sur le plan moral. Enfin,cela dépendait qui normal. Il fallait savoir se laisser faire parfois.

||Thomas|| Il doit forcément y avoir une explication. Mais tu ne devrais pas le suivre. Tu ne sais pas qui sont ses gens et il serait plus prudent que tu te tienne éloigné de tout cela
||Laura|| Je saurais me défendre, malgré les menaces, jamais il n’a put me blesser, il l’a plusieurs fois voulus après ce genre de moment, mais sa main s’est toujours arrêté, ses sorts ont toujours déviés, et il est partit loin de moi…De toute façon il est hors de question que je laisse tomber Baël, il a besoin d’aide, si plus personne ne veut l’aider ce n’est pas mon cas, je ne peux pas le laisser souffrir seul…Quoi qu’il arrive Thomas, c’est le même sang que lui qui coule dans mes veines, qui me fait vivre, tu peux comprendre ça quand même…

Elle s’était juré de le sauver, elle se l’était promis. Laura avait également dit à ses amis que le jour ou elle saurait qui lui faisait ça, elle l’éliminerai purement et simplement la cause de leurs malheurs. Une fois, elle avait crus avoir trouvé, elle avait sauté dans le lac, et sans l’intervention de sa meilleure amie, aujourd’hui elle serait morte. Ce jour là, Laura avait complètement péter les plombs, elle avait crus qu’elle était la cause du problème, alors qu’elle avait sentit l’eau entrer dans son corps, elle avait compris que ce n’était pas elle. Mais elle n’avait pas voulus remonté, Laura n’avait put accepter la défaite, elle avait préféré rester sous l’eau plutôt que d’affronter les regards de son frère, qui aurait de toute façon appris ce qui c’était passé.

||Thomas|| Je ne doute que cela te ferait même plaisir d'être débarrassé de lui et je dois dire que cela ne me dérangerait pas plus que cela.
||Laura|| Tu es pourtant son ami, tout le temps avec lui, ce n’est quand même pas du cinéma, ou alors tu joue très bien la comédie.
||Thomas|| Parce que tu pense que je suis différent des autres ?
||Laura|| Je penses que tu est plus respectueux et plus intelligent qu’eux. Enfin, j’espère, sinon tant pis, ce ne sera pas la première fois que l’on me décoit.

Elle le regarda faire apparaître des jus de fruits, l’esprit de Laura fit presque aussitôt le raprochement avec le problème de l’alccol soulevé plus tôt dans leur conversation. Elle lui adressa un sourire, chaleureux ou amical, comme il voudrait l’entendre.

||Thomas|| Il ne faut jamais dire jamais et peut-être que des fois les surprises viennent de là où les attend le moins
||Laura|| Trouves quelque chose qui puisse me surprendre dans cette pièce alors, sans faire entrer la magie, personnellement je ne vois que deux verres de jus, un jeune homme bien trop sage, et un feu qui crépite, le reste du décor au couleurs d’une maison, et encore le reste dans la pénombre…Fade…

HJ: Je t'avais dit que ca bloquait, dsl pour ce rp qui n'avance absolument pas la situation

Laura - Je rêve ou tu est presque en train de me traiter de pute…

Thomas - Non juste d'allumeuse.

Laura - Une fille un peu dénudée et c’est forcément pour coucher avec quelque un apparemment, et malgré ton appartenance à cette maison, tu ne sembles pas connaître l’art de la manipulation.

Laura - Le plus regrettable étant que les hommes ont souvent besoin de ce genre d’artifices pour pouvoir les approcher... Pour information, je ne suis pas un pute, je suis assez responsable pour ne pas me laisser toucher.

Thomas - Je veux bien te croire

Laura - Encore faudrait-il que tu parvienne seulement à me faire boire, et comme je n’approche plus l’alcool lorsqu’il y a un homme dans le coin….

Thomas - Tu t'es déjà abandonner à un homme sous l'effet de l'alcool ?

Laura - Tu sembles bien sur de toi… Qui te dit que tu auras le dessus tant que tu n’auras pas tester…

Thomas - Alors faudra que je pense à tester un jour pour te montrer l'étendue de mon talent

Laura - Je saurais me défendre, malgré les menaces, jamais il n’a put me blesser, il l’a plusieurs fois voulus après ce genre de moment, mais sa main s’est toujours arrêté, ses sorts ont toujours déviés, et il est partit loin de moi…

Thomas - Et qu'en serait-il lorsqu'il ne sera plus maîtr de ses actes et que sa main ne se stoppera pas ?

Laura - De toute façon il est hors de question que je laisse tomber Baël, il a besoin d’aide, si plus personne ne veut l’aider ce n’est pas mon cas, je ne peux pas le laisser souffrir seul…

Thomas - J'te parle pas de l'abandonner, simplement de faire attention à toi. Si ses mecs là parlent de magie noir avec ton frère, c'est qu'ils peuvent être dangereux et eux, ils n'auront peut-être aucun scrupules pour téliminer

Laura - Quoi qu’il arrive Thomas, c’est le même sang que lui qui coule dans mes veines, qui me fait vivre, tu peux comprendre ça quand même…

Laura - Tu es pourtant son ami, tout le temps avec lui, ce n’est quand même pas du cinéma, ou alors tu joue très bien la comédie.

Thomas - Ami, c'est quoi réellement un ami ? Ouais, j'traine avec lui et alors ?

Laura - Je penses que tu est plus respectueux et plus intelligent qu’eux. Enfin, j’espère, sinon tant pis, ce ne sera pas la première fois que l’on me déçoit.

Thomas - Je ne sais pas si je mérite tes compliments mais en tout cas, je ne souhaite pas te décevoir

Laura - Trouves quelque chose qui puisse me surprendre dans cette pièce alors, sans faire entrer la magie, personnellement je ne vois que deux verres de jus, un jeune homme bien trop sage, et un feu qui crépite, le reste du décor au couleurs d’une maison, et encore le reste dans la pénombre…Fade…

Thomas - J'suis pas franchement doué pour les surprises et encore plus lorsqu'on me prend de court. Mais tu penses que je suis trop sage ? Tu préférerais que je le soit un peu moins ?

Que savait-elle de Thomas au final? Elle ne le connaissait pas tant que ça si on regardait bien, ça ne faisait pas si longtemps que ça que Laura connaissait le jeune homme. Quelques mois, et pourtant avec ses mots, son attitude, il avait tout simplement réussis l’exploit de se rapprocher d’elle, et ça de façon à pouvoir la faire parler de tout et n’importe quoi. Le jour même ou il avait engagé la conversation, Laura avait crut comprendre qu’il n’était pas comme les autres, les petites attentions comme savoir ce qui se passaient entre elle et Baël, ce que plus personne ne voulait savoir. Très vite, et sans même qu’elle s’en rende compte, Laura avait confiance à ce jeune homme, elle lui avait permis de rentrer dans un cercle plutôt fermé, que seules les personnes qui la touchaient la ou il fallait rentrait. Beaucoup auraient aimé avoir cette chance, rares étaient ceux qui y parvenaient, parce que justement ils le voulaient. Au yeux de la verte et argent, jamais Thomas n’avait demandé ouvertement ça, c’est n’est qu’a force de conversation et de rires qu’elle lui avait permis de s’approcher.
Quoi qu’il en soit, c’était la première fois que Laura se trouvait énervé face à lui, ou en tout cas contre lui, car le nombre de choses qui avaient le pouvoir d’irriter Laura étaient incalculables. Combien de fois pouvait-elle dire qu’elle n’aimait pas telle ou telle chose dans la journée? Infinis, ce qu faisait de Laura une personne râleuse au possible, parfois au point que ses amis lui lançaient un regard appuyé, histoire de lui dire qu’il fallait qu’elle arrête. Et si elle refusait de se stopper, ils partaient histoire de ne plus entendre ses jérémiades incessantes. Mais, pour la première fois Laura était énervé contre lui, c’était nouveau, elle ne savait pas vraiment comment elle devait gérer ce sentiment. Avec certaines personnes elle se fichait totalement de savoir ce qui allait se passer par la suite, elle déballait ce qu’elle avait à dire. Avec d’autres, elle essayait d’être plus délicate, même lorsqu’il s’agissait comme dans le cas présent de lu dire qu’il n’était qu’une vraie langue de basilic. Bref, elle ne savait pas dans quelle catégorie le placer.

||Thomas||Non juste d'allumeuse.

Laura ouvrit légèrement la bouche, prête à lancer une des es remarques acerbes et sadique, mais elle se retint au dernier moment, sachant qu’elle ne pourrait jamais le dire sans hausser le ton, que si jamais elle lui disait clairement ce qu’elle pensait, tout les Serpentard allaient être au courant, et il n’était pas vraiment très malin d’ameuter préfet, amis et surtout son frère. Aussi elle referma la bouche, préférant ignorer la remarque tout en sachant que ça bouillait à l’intérieur d’elle. Comme une cocotte minute, chaque secondes qu’elle passait sans dire ce qu’elle pensait, lui faisait de plus en plus serrer la mâchoire, la faisant ressembler à un chien qui attend le moment propice pour attaquer le genre de chien qui attaque lorsque la personne est de dos. Car en plus, ce n’était pas un problème pour Laura d’attaquer par derrière, après tout elle faisait également parti de la maison des lâches. Les serpentard étaient réputés pour attendre avant de frapper, attendre que le moment soit parfait, pas de témoins, un duel en tête à tête, ou alors à ridiculiser l’élève sans qu’il sache que c’est lui.

||Laura|| Si j’étais toi je la mettrais en veilleuse…

Une menace? Certainement, ce n’était pas une surprise venant de Laura, elle menaçait souvent les personnes, tout en sachant que nombreux étaient ceux qui prenaient ces menaces pour une blague. La plupart ne se moquait plus en suite, après avoir reçu un sort en plein milieu du visage dans la Grande Salle. Ou bien lorsque la petite poupée fragile le prenait seul à seul dans un coin, histoire de lui montrer qu’elle maniait très bien la baguette, et qu’elle aimait bien faire des travaux pratiques sur les autres. Qui bien sur, ne se souvenait jamais de qui lui avait subir ça, sans même avoir subit de sortilège d’oubliette. Laura aimait lorsque la peur tordait les entrailles de ceux qu’elle n’aimait pas sentir la peur chez une personne qui se trouve en face de soi, c’est un moyen plutôt bon pour se sentir supérieur. Pour ne pas perdre le contrôle de la situation. Elle savait très bien, que jamais Thomas ne prendrait ses menaces au sérieux, comment aurait-il put, comment Est-ce qu’elle pouvait lui faire peur? Impossible, ou en tout cas pas tant qu’il n’aurait pas subit les foudres de Laura. Qui pouvaient se révéler beaucoup plus impressionnantes que ce qu’il pensait.

||Thomas|| - Je veux bien te croire

Laura jeta un regard vers lui, cherchant si il moquait d’elle ou pas. Comment aurait-elle put le savoir avec certitude, personne ne pouvait le savoir, il aurait fallut être lui. Elle remarqua ensuite son regard, presque par réflexe, elle remonte son t-shirt vers le haut. Pourquoi elle avait eut ce geste, elle n’en savait trop rien, elle n’avait pas l’impression d’être elle en fait, elle avait juste l’impression d’être une espèce de poupée barbie. Car au fond, lorsqu’elle était petite, ses parents la faisait jouer avec des poupée, a laquelle ils n’auraient jamais voulus qu’elle ressemble. Comment des parents auraient-ils put demander à leur fille de se maquiller comme une pute, et de mettre des vêtement avec des tailles trois fois trop petite. En fait, depuis qu’elle était toute petite on lui avait mis sous le nez, ce qu’elle ne devait jamais devenir. Et la petite fille elle-même le savait, jamais aucunes petites fille n’avait rêver de porter ce genre de vêtement elles les aimaient sur leur poupée pas sur elle. Et si elles l’avaient voulus, elles auraient très vite changé d’avis en les voyant sur elle.
Elle ne répondit cependant pas, préférant hocher la tête, parfois les mots étaient bien trop trompeurs, et puis elle ne savait pas si il disait la vérité. Laura ne tenait pas à le remercier, de quoi à la base de toute façon, alors qu’il s’était bien foutus de sa gueule. Non, c’était contre nature, en fait, les mercis et les pardons étaient très dur à faire sortir de la bouche de Laura, avec ceux qu’elle aimait, ils sortaient peut être un peu trop facilement. Mais avec les autres, inutile de l’attendre, il fallait vraiment qu’il y ait fautes graves, du genre un incendie dans une chambre. Mais comme c’était toujours, ou la plupart du temps, un pardon ironique ce n’était pas forcément bien reçu par les personnes qui l’entouraient.

||Thomas|| Tu t'es déjà abandonner à un homme sous l'effet de l'alcool ?
||Laura|| Un gryffondor… Pour ma première fois, quelques bouteilles, une gueule de bois et pas que… Ce n’est pas forcément ma plus grandes fierté à vrai dire, mais j’ai gagné un ami véritable, je ne m’en plains donc pas trop.

Non, effectivement ce n’était pas une fierté au regard de Laura, en fait elle n’en avait pas honte, elle préférait que ça se passe comme ça, elle n’aurait pas supporter de tomber dans les bras de quelque un d’autre. Au moins elle était tombé dans les bras d’une personne qui avait été des plus doux avec elle, et tout aussi bourrée. Ils étaient touts les deux fautifs dans l’histoire, ce qu faisait que Laura n’en voulait à personne. Et puis, de toute façon ce n’était pas un mauvais souvenir, du peu qu’elle se souvenait, elle n’en retenait que de bon souvenir. Seeley avait été très bon, au moins pour une première fois c’était bien. Quand elle entendait les autres dire qu’elles avaient eut mal, ou encore qu’elles n’avaient pas aimé, Laura remerciait le ciel en silence de lui avoir donné ce qu’elle avait eu. Certaines personnes n’appréciaient pas vraiment la relation qu’elle entretenait avec Seeley, mais elle s’en fichait. Car si il avait été le premier à la consommer, ils étaient ensuite devenus ami, de façon à ce que tout le monde voit qu’il n’y avait absolument rien entre eux. Une relation plutôt fraternelle en fait.

||Thomas||Alors faudra que je pense à tester un jour pour te montrer l'étendue de mon talent
||Laura|| C’est bien ce que je disais…Trop sur de toi…

Laura lu adressa un sourire, et reposa son regard sur le feu, pour s’aérer l’esprit, le feu avait toujours exercer sur elle une sorte de fascination bizarre .Comme si il avait le pouvoir de la calmer, elle aimait voir les flammes dansait, se tordes dans de longues danses sensuelles. Ce n’est pas pour rien que la sensualité avait été assimilé au feu. La destruction également, les incendies. Le feu avait plusieurs facettes, facettes qui intéressait énormément Laura, elle aimait se dire qu’elle ressemblait au feu. Froide et distantes, Joyeuses et pacifistes. Des contraires, des paradoxes. Le feu.

||Thomas|| Et qu'en serait-il lorsqu'il ne sera plus maître de ses actes et que sa main ne se stoppera pas ?
||Laura|| Il…Ne peut pas me frapper c’est au dessus de ses forces.. C’est mon frère.. Ce serait renier ce qu’on a toujours construit ensemble…

Ça lui semblait impossible, qu’il puisse un jour la frappait, elle avait souvent eu peur que ça arrive et puis elle avait compris. Jamais sa main ne se lèverait tout simplement parce qu’a chaque fois, il parvenait à se contrôler, à chaque fois qu’il croisait son regard, qu’il lisait la peur dans les yeux de Laura, qu’il comprenait qu’elle n’était pas une proie. Et puis les yeux devenaient doux, les gestes tendres, enfin lorsqu’il restait. Combien de fois elle avait osé le frapper, en tant que petite sœur elle avait presque tout les droits, grave erreurs..

||Thomas||J'te parle pas de l'abandonner, simplement de faire attention à toi. Si ses mecs là parlent de magie noir avec ton frère, c'est qu'ils peuvent être dangereux et eux, ils n'auront peut-être aucun scrupules pour téliminer
||Laura|| Ils n’auraient aucun intérêt à m’éliminer…Je ne suis qu’une étudiante, et puis Baël sera toujours là…Ou peut être pas…

Elle n’avait jamais penser que les hommes pouvaient se retourner contre elle, pour elle la menace était toujours venu de son frère, que l’un de ses hommes aient l’idée de s’en prendre à elle, la dépassait, en fait elle n’y avait pas songer…Elle releva les yeux vers lui, ne comprenant pas comment elle n’y avait pas penser. Surprise et prise de court, on aurait dit un pitiponk sortit de force de l’eau, effrayé? Sûrement un peu. Totalement peut être, elle ne savait pas vraiment ce qu’elle ressentait, elle n’y avait pas penser, ça la remplissait de colère contre elle-même, pas contre les autres… Mais la peur, Est-ce qu’elle était là?

||Thomas||Ami, c'est quoi réellement un ami ? Ouais, j'traine avec lui et alors ?
||Laura|| Bein…c’est le fait que tu aimes une personne sans expliquer pourquoi…C’est…Mais enfin ce sentiment qui pousses l’être humain à vivre en société… Heu…Mais c’est quoi cette question? Si tu ne connais pas l’existence de l’amitié, comment tu peux parler avec moi. Hugo est ton ami, ça se voit comme le nez au milieu de la figure.

Elle haussa les épaules surprise, ce serait bien la première personne qu’elle rencontrait qui lui poserait une question aussi bizarre, sans avoir apparemment la solution. Elle ne comprenait pas le concept, comment ensuite Est-ce qu’elle avait put se livrer à lu ide la sorte? Elle rigola soudain, il se disait qu’il n’avait pas d’ami, mais il en avait, il ne s’en rendait tout simplement pas compte. Elle lu adressa un sourire moqueur, il ne tarderait pas à découvrir ce qu’était l’amitié, tout le monde était capable de sentir l’amitié.

||Thomas|| J'suis pas franchement doué pour les surprises et encore plus lorsqu'on me prend de court. Mais tu penses que je suis trop sage ? Tu préférerais que je le soit un peu moins ?
||Laura|| Effectivement, tu es trop sage, ou en tout cas-tu parait, je n’aurai pas put rentrer tranquille avec un autre…Alors oui, surprend moi, cesse de surveiller le moindre de tes gestes, on verras bien ou ça nous mène.

Si ça c’était pas une demande, c’était rien d’autre, mais avec Laura tout pouvait arriver, elle voulait surtout le tester, savoir jusqu’ou il irait, ce qu’il ferait…

Laura - Si j’étais toi je la mettrais en veilleuse…

Laura - Un gryffondor… Pour ma première fois, quelques bouteilles, une gueule de bois et pas que… Ce n’est pas forcément ma plus grandes fierté à vrai dire, mais j’ai gagné un ami véritable, je ne m’en plains donc pas trop.

Laura - Il…Ne peut pas me frapper c’est au dessus de ses forces.. C’est mon frère.. Ce serait renier ce qu’on a toujours construit ensemble

Thomas - Si tu le dit. Mais les autres ?

Laura - Ils n’auraient aucun intérêt à m’éliminer…Je ne suis qu’une étudiante, et puis Baël sera toujours là…Ou peut être pas…

Thomas - Une étudiante peut-être mais qui sait beaucoup trop de choses sur eux. Enfin, j'dis cela pour toi, après tu fais ce que tu veux, t'es assez grande pour cela.

Laura - Bein…c’est le fait que tu aimes une personne sans expliquer pourquoi…C’est…Mais enfin ce sentiment qui pousses l’être humain à vivre en société… Heu…Mais c’est quoi cette question? Si tu ne connais pas l’existence de l’amitié, comment tu peux parler avec moi. Hugo est ton ami, ça se voit comme le nez au milieu de la figure.

Laura - Effectivement, tu es trop sage, ou en tout cas-tu parait, je n’aurai pas put rentrer tranquille avec un autre…Alors oui, surprend moi, cesse de surveiller le moindre de tes gestes, on verras bien ou ça nous mène.

Thomas - Bonne nuit miss

||Thomas||Bonne nuit miss

Le jeune homme remonta alors dans so ndortoir, laissant Laura seule, complètement éberluée par son comportements. Certes elle n’aurait pas été contre couché avec lui, mais le simple fait qu’il la respecte de la sorte lu faisait une sensation bizarre. Il ne l’avait pas touché, non, décidément il n’était pas comme les autres et ne le serais jamais. Lui au moins avait quelque chose dans la caboche qu’on appelait cerveau, pas comme touts les autres crétins de l’école. Qu ‘ils aient 17 ans ou 15 ans, seules les plus jeunes ou les plus timides maladifs auraient quitté la salle de cette manière, sans rien tenté.
Elle passa une main sur son front, ou les lèvres de Thoams s’était posé, u ndemi sourire au lèvres, il venait de faires ses preuves, sans même qu’il le sache la mise à l’épreuve était terminée. Elle ne s’était pas vraiment rendue compte qu’elle avait eut besoin de le tester. Ce n’est que maintenant qu’elle se rendait compte que c’était nécessaire. Qu’elle l’avait fait avec tous ceux qui étaient passés avant lui, et que feraient tous ceux qui passeront après lui.

||Laura|| Bonne nuit…

Les mots a demi chuchoté dans l’obscurité allèrent chercher un interlocuteur qui n’était plus, le bruit d’une porte qu’on ferme venait de lui indiquer que le garçon venait de rentrer dans son dortoir, allait passer la nuit près de son frère sans même lui parler. Combien aurait donné Laura pour dormir dans la même chambre que son frère, être là lorsqu’il se réveillerait en sueur assaillit de doutes? Tout, même sa vie. Sauf que ça, Baël ne le saurait jamais. Il le devinait, mais elle se refusait à le dire. Elle se refusait à lui dire en face surtout, les mots tendre ne manquait pas, mais jamais au grand jamais ils n’avaient évoquer la certitude d’une séparation définitive.
Elle se releva, silencieuse comme un chat, attrapa totues ses affaires et monta se coucher, elle avait hésité, oh que oui elle avait hésité. Laura aurait bien voulus faire comme les années auparavant, aller se blottir au creux de sbras de son frère, en disant qu’elle ne parvenait pas à dormir. Se réveiller le lendemain parce que le grana frère avait essayer de se lever sans la réveiller, toujours sans grands résultats. Et puis elle avait renoncé, depuis le premier jour de cette nouvelles années, touts avait changé, à ses dépends la plupart du temps. Avec une dernière pensées pour sa conversation avec Thomas et son comportement Laura se glissa dans son dortoir, silencieuse comme la nuit. Es pérant que les bras de Moprhée lui donnerait capacité à réfléchir, à comprendre, comme toujours…

THE END

. messages

┤A l'intérieur de Poudlard├

Cachots

Salle commune des Serpentard

┤A l'intérieur de Poudlard├

Cachots

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