Appelo Mor†em (old)
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Tel un majestueux lion... Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
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MessageSujet: Tel un majestueux lion... Tel un majestueux lion... Icon_minitimeLun 15 Sep 2008 - 21:21

    |Prio à Maxi'|

    C’était une journée banale, entre deux heures de cours. Nemo venait de sortir de la salle de défense contre les forces du mal avec quelques copains. Ils avaient eu droit à une leçon particulièrement ennuyeuse sur « comment repoussé un troll ». L’idée de donner un tel sujet était stupide. Emettre l’hypothèse de rencontrer un troll était loin d’être possible dans l’enceinte de Poudlard. Le noiraud ne se risquerait jamais à dire bonjour à ces créatures pour le plaisir. Il ne voulait en aucun cas se retrouver avec la tête enfoncée dans le cou, vous savez, comme les personnages de cartoon. Lui, il n’en était pas un. Il était un humain. Et comme tout humain normalement constitué, son ventre se mit à crier famine, sans prévenir. Zut ! L’heure de midi était passée, et il n’avait pas envie d’aller faire un tour dans les cuisines. Il se stoppa dans un couloir, se mettant contre le mur de vieilles pierres. Ses amis ralentirent et le regardèrent. C’était un blond, que le rouge et or n’appréciait pas spécialement.

    «Alors, tu ralentis l’allure ? Je savais qu’on était rapide, mais à ce point.
    -Tais-toi Steve. J’ai faim, c’est tout. »


    Nemo passa une main dans ses cheveux. Oui, il avait faim. Oh ! Il ne crevait pas la dalle. Il pouvait supporter un appétit beaucoup plus grande, plus profonde. Jeune, il avait du s’habitué à ne rien manger pendant plusieurs heures, attendant patiemment qu’Arthur lui apporte à manger. A ces moments là, il était un peu comme un chien abandonné par son maitre, mais qui l’attendait toujours, parce qu’il avait confiance en l’homme. La rue n’avait pas de loi. Il l’avait bien apprit. Mais Il n’était plus un sans-abri. Il pouvait avoir ce qu’il voulait, quand il le voulait. Il aurait pu se décoller du mur, partir puisé dans sa réserve de nourriture planquée en dessous de son lit et revenir le ventre plein pour le prochain cours. Il aurait pu. Il n’en avait pas envie. Il se prit la tête entre les mains.

    « J’ai faiiiiim !! »

    Ses amis rigolèrent. Nemo n’espérait pas recevoir un bonbon de leur part. Il pouvait juste avoir un peu de pitié, et encore. Ses camarades avaient l’habitude de ce genre de spectacle, ils devaient attendre que le pauvre animal en ai marre de mendier sa nourriture et de courir aux cuisines. Nemo était comme ça. Il était fatigué, affamé, il n’avait rien à sa mettre sous la dent. Un nouveau gargouillement vint casser la conversation des jeunes étudiants en magie. Les regards se retournèrent directement vers lui. Il ferma et ouvrit les yeux à plusieurs reprises, regarda la foule avec des yeux ronds et fit mine de ne pas comprendre ce qu’il se passait. Soudain, son visage s’illumina. Il eu le bon reflexe de secouer la tête et de pointer du doigt un autre individu. Les jeunes rigolèrent de l’élève parfaitement innocent. Le pauvre ne savait pas pourquoi il était sujet à des moqueries. Le gryffondor soupira de soulagement et se laissa glisser contre le mur. Il n’aimait pas se faire remarquer –à peine direz-vous. Pas quand il ne le voulait pas, précisons le. Les jeunes défilaient devant lui.

    « Nous, on y va, continue de te lamenter si tu veux. »

    Nemo adressa un sourire rayonnant à ses amis, toujours le cul au sol. Il les regarda partir avec un peu de regrets. Il ne pouvait plus se lamenter de son sort si personne n’était pas là pour l’écouter. Il ne se laissa pas abattre. Seul, il pouvait se laisser aller à des petits tours de passe-passe avec les autres élèves. Avec un peu de chance, un petit poufsouffle serait en train de prendre un casse-croute. Nemo n’aurait plus qu’à lui chopper. Voleur ? Parfaitement. Et puis, s’il tombait sur un élève plus que bien portant, ca ne ferait pas de mal à l’enfant. Lui, il aurait des réserves dans lesquelles puisés. Le noiraud n’en avait pas.

    Il se leva, fier d’avoir trouvé un plan. Maintenant, il ne lui restait plus qu’à trouver sa prochaine cible, celle qui allait souffrir de l’impitoyable méthode de survie numéro six du gryffondor. Il se frotta les fesses, retirant le peu de saleté attachées à son uniforme d’apprenti sorcier. Il desserra sa cravate et repassa sa main dans les cheveux, encore une fois. Il se rendit vite à la grande salle, saluant quelques connaissances au passage. Entretenir des liens avec les autres était important. Il faisait tout pour avoir le plus de contacte. Il ne se retrouvait jamais en manque de gens avec qui parler. Il passa les massives portes de vieux bois et scruta les environs. Hum… Il y avait deux professeurs et le concierge. Ce n’était pas une bonne idée de faire le plein de provision dans le coin. Il risquait de se faire prendre la main dans le sac et de faire perdre des points à sa maison. Il faisait tout son possible pour que les Lions aient le plus de point, non pas pour qu’ils perdent la face devant les serpentards ou les serdaigles. Il voulu repartir, mais un élève de cinquième l’arrêta, demandant de l’aide. Il n’arrivait pas à faire son devoir. Nemo grogna. Il se demanda s’il devait écouter son estomac, son cœur ou son cerveau. Il secoua la tête de gauche à droite et alla près de son ami.


    « Ah ! Nemo, j’ai besoin de ton aide, tu vois, le cours de potion, on a un devoir et… »

    Bla, bla, bla. Wally n’écoutait même pas ce que lui disait le roux. Il s’installa à côté de lui et prit la feuille des mains de son voisin. Il commença à lire les mots, les phrases. Il se gratta le haut du crâne, bailla un instant. Il prit la plume d’oie, trempa la bout dans l’encrier et se mit à écrire deux trois broutilles sur une page vierge. Son ami le regarda, ou plutôt il regardait la main qui écrivait les mots, intensément. Après une minute, Nemo releva la tête, il mordilla distraitement la plume, relu ce qu’il venait et sourit à son camarade.

    « Voilà, j’pense que c’est bon. Maintenant, te reste plus qu’à trouver le reste ! »

    Il n'allait pas tout faire non plus. Ca ne choqua pas plus le roux. Il remercia vivement Nemo. Sa main à nouveau libre de la torture subie, il sortit de la grande salle en vitesse. Il ne voulait pas se faire attraper par une autre personne en détresse. Il marcha un peu, puis suivit une jeune fille qui était attirante. Elle arriva dans le parc, le gryffondor, bien évidemment derrière elle. Il s’arrêta non loin d’elle, observant les fesses de la demoiselle. Il serait bien resté planté là. Il se souvint subitement de quelque chose. Il se claqua la main contre la tête. Qu’est-ce qu’il pouvait avoir faim !! Ce petit assemblage de chair avait complètement oublié son but premier en était attiré par un ensemble d’hormones. Il pesta contre ce qu’il avait entre ses jambes. Il mit ses mains dans les poches de son pantalon noir, frappa le sol de son pied. Il allait commencer à pleurer son malheur quand… Une odeur forte vint s’insinuer dans son nez. Ses narines bougèrent un peu, ses sourcilles se levèrent. De la nourriture ! Il y en avait à moins de dix mètre !! Où ça ?? Il tourna à gauche, pas là. Il tourna à droite. Là ! Un joli petit élève de la maison des Aigles. Ce n’était pas les yeux verts ni ses court cheveux noirs qui attirait son regard. Non. La chose qu’il tenait en main, c’était… c’était… A manger !!

    Ni une, ni deux, il s’approcha d’abord lentement de l’élève. Il tentait de faire mine de rejoindre quelqu’un un peu plus loin que le garçon. Son estomac ne cessait de crier qu’il y avait ce qu’il voulait là, juste sous ses yeux et à porter de main. Mais il ne pouvait pas ! Pas maintenant, pas si vite ! Il se devait d’agir avec ruse et rapidité. S’il voulait réussir son coup, sa proie ne devait pas le voir venir. Il devait faire comme la lionne chassant la gazelle. Il était l’ours près à sauter sur le saumon remontant péniblement la rivière qui l’avait vu naitre. Il était l’aigle près à bondir sur le lapin, le serpent sur le point de mordre la souris, l’araignée tissant sa toile pour attraper les stupides insectes. Il devait son confondre au requin blanc fondant sur la masse de poisson flottant dans l’océan. Il était l’homme près à tuer le cerf, il était…il était affamé ! Il était tout proche, il devait se contrôlé… Une fois de plus, il ne le put ! Son cerveau reçu une dose d’adrénaline. Il se mit à courir, il s’approchait de sa proie à toute vitesse. Lui, le fauve, puissant et majestueux sauta sur le paquet de nourriture. Il l’arracha des doigts du pauvre élève de troisième. Ce dernier cria en voyant son déjeuné s’envolé, être emporté par l’aigle imposant. La gazelle était entre les crocs du lion. Le roi de la jungle baby ! C’était lui, le petit poisson du récif traversant tout le récif pour trouver de quoi manger. Toujours en train de courir, il fit un signe à l’élève qui, malheureusement, le pourchassa. Ne pouvait-il pas manger son du honnêtement gagner tranquillement ? C’était lui qui l’avait trouvé le premier, pas ce petit bout de chair qui lui courait après. Nemo regardait s’il réussissait à distancer la pauvre bestiole le poursuivant. Merlin ! Qu’est-ce qu’il était tenace l’élève ! Le poisson risqua de tombé, réussit à garder l’équilibre. Il tourna à gauche, deux fois à droite et sauta au dessus d’un muret et Boum !! Il se retrouva pour la deuxième fois, le cul au sol, bien que cette fois-ci, il ne le faisait pas pour le plaisir. Il regarda qui avait osé le faire tombé.


    « Oh ! Maxi’ ! Super, tu tombes bien ! »

    Il tira de toutes ses forces sur son ami qui était resté debout. Lui aussi se retrouva au sol, caché de la vue des autres par le muret. Nemo chercha du regard le paquet de nourriture qui lui avait échappé des mains après la collision. Où est-ce qu’il pouvait bien être ?! Ah ! Il si mit à plat ventre pour récupérer le sac. Une fois son bien entre ses mains, il se colla contre les pierres. Il ferma les yeux, tenta de respirer calmement. Il voulait savoir s’il avait semé l’autre élève. Il inspira deux fois, retint son souffle. S’effacer de ce monde. Il n’était plus là. Nemo venait de disparaître de cet univers. Il rouvrit les yeux, calmés, sur d’avoir tout fait pour ne pas avoir droit à une nouvelle confrontation avec son ancienne proie. Il tourna la tête vers Maximilien. Encore un peu et il l’oubliait.

    « Dis ! Dis ! Si tu vois un petit élève de ta maison, cheveux noirs, yeux verts, ou bleus –‘sais plus- et qu’il regarde par ici, fait comme si de rien n’était ! »

    Il se retourna, attendit un moment et osa passer sa tête par-dessus le muret. Il le vu, de derrière, le gamin. Il était encore en train de chercher le malfaiteur qu’était William. Il fronça des sourcils. Quand le gosse se tourna vers leur position, sa réaction ne se fit pas attendre. Il pesta à nouveau et se cacha. Le ventre presque contre le sol il pria pour que celui là ne vienne pas vers eux.

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Maximilien E. Middle
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Loosing control...Help him to get up! Maximilien E. Middle
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Amour : Loréana Wilde est et sera pour toujours l'amour de sa vie!

Pensine
Orientation Sexuelle: Bisexuel
Année d'étude: 7ème année
Caractère: Sincère, honnête, fou, motivé, drôle, beau parleur, inteligent, charmeur, loyal, passioné, passionant, têtu, bien élevé, révolutionnaire, débrouillard, autonome, sarcastique, protecteur, volontaire, amusant, sportif, classe, patient, franc, écrivain, artiste! etc

MessageSujet: Re: Tel un majestueux lion... Tel un majestueux lion... Icon_minitimeVen 19 Sep 2008 - 0:20

    PROFESSEUR_ « Vous n’oublierez donc pas, Monsieur Middle, la réunion des préfet et préfète en chef que vous aurez le lendemain, matin ? »
    MAXIMILIEN_ « Non monsieur ! »

    Il fallait croire que ce professeur le connaissait très bien, voir même plus. Parce que, la phrase qu’il lui avait dit hier soir, juste à la fin de la journée, Maximilien l’avait déjà oublié ce matin et ce fut en déjeunant tranquillement en compagnie de son meilleur ami Léo Sanchez que Travis, son autre compagnon de route, lui demanda si il n’avait pas oublier quelque chose, lui faisant ainsi remarquer qu’il avait finalement oublier cette fameuse réunion enfin cela l’avait rien de bien étonnant, il était une vraie tête de linotte ces temps-ci. Et ce matin là, il avait béni les Dieu que Travis fut préfet et qu’il connaissait donc tous les horaires de réunions même celles auxquelles il ne devait pas assister mais quoi qu’il en soit : Maximilien avait oublié cette fameuse réunion de la semaine : enfer et damnation ! Dans l’absolu, il s’en fichait assez de cette réunion, il n’était pas du genre préfet cafteur mais juste quelqu’un de responsable, qui ne profitait jamais de sa potion et entendre les autres crétins de certaines maisons déblatérée des choses affreuses sur ces pauvres élèves, qui comme eux, avaient envie de se promener la nuit, l’agaçait au plus au point mais il était de son devoir de s’y rendre…Et de s’y rendre à l’heure ce qui depuis cette année n’était jamais arrivé ! Il était constamment ailleurs, il ne savait trop pourquoi mais il se sentait perturbé par pleins de choses, Loreana Wilde était malheureusement de celle-ci parce qu’il ne comprenait pas cet intérêt, ce flash soudain pour elle et sincèrement, bien qu’il adorait ne fuse que la voir, il se trouvait ravis que ce n’était pas elle qui présiderait la réunion d’aujourd’hui mais simplement ce stupide professeur d’histoire de la magie, le même qui lui avait rappelé l’existence de la réunion la vieille !

    Enfin tout ça pour dire que Maximilien Middle était tranquillement à table, la fourchette plantée dans ses œufs aux plats, se préparant mentalement au cours qui allait suivre lorsque Travis s’installa à côté de lui avec un petit sourire amusé. Immédiatement, la curiosité et l’intérêt de Max pour son ami, lui avaient fait demandé ce qu’il trouvait de si drôle en cette matinée. Et ce fut ce moment là que Travis choisit pour lui faire remarquer qu’il avait peut-être oublier quelque chose. Le pire fut que Max ne voyait pas du tout où le serdaigle voulait en venir et ce ne fut que lorsque le jeune Cohen lui désigna son badge de préfet en chef accroché sur sa poitrine, d’un geste du menton que Maximilien comprit alors le problème qui venait de lui tomber sur la tête : il avait oublier la réunion des préfet qui avait pour seul avantage de lui faire rater les cours de la matinée jusqu’au déjeuné ! Tout se bouscula alors, la réunion allait avoir lieu dans cinq minutes et…Il était toujours là, comme un bouffon, assis à table, à ne même pas vouloir lever son vieux cul de ce banc pourtant totalement inconfortable, c’était dire que la fainéantise du serdaigle allait loin aujourd’hui ! Mais bon, le devoir l’appelait, et il allait devoir bouger ses jolies petites fesses bien rondes et surtout bien utiles de cet endroit et devoir quitter la compagnie pourtant plus qu’agréable de Léo et Travis pour rejoindre celle enquiquinante et glacial de cette salle de réunion que Maximilien avait prit pour habitude d’appeler « La vieille prison qui sent le vieux pet de dragon ! »

    Il se leva alors, pestant comme d’habitude lors de ces infâmes jours, se dirigeant vers son dortoir afin de prendre son sac à les notes qu’il aurait du prendre sur les élèves peu sages du château. Il monta les escaliers à son aise, bien que la réunion devait à présent avoir déjà commencer et fini, enfin, par arriver dans le dortoir qu’il partageait avec certains amis et deux gars totalement inconnu à qui il ne voulait même pas parler. Il expira bruyamment en constatant que cela sentait le vieil hippogriffe jamais laver et alla alors ouvrir la fenêtre afin de faire rentrer un peu d’air dans la pièce dans laquelle il allait devoir dormir ce soir ! Il posa alors nonchalamment son sac sur le dos et l’ouvrit pour y enfourner une vieille feuille sur laquelle était gribouiller quelques mots à propos de quelques élèves dont il allait devoir parler ce matin. Il ne faisait pas cela de gaîté de cœur mais à force de ne jamais ramener personne, on avait fini par l’accuser de mal faire son boulot et le pauvre se retrouvait obliger de dénoncer des jeunes gens qui ne faisaient rien d’autre que s’amuser comme lui le faisait mais…la loi est dure mais c’est la loi ! Alors…Le voilà enfin qui démarrait, avec l’impression qu’on poids énorme lui tombait sur les épaules ! Il marcha alors tranquillement dans les couloirs, à son aise, pas presser pour un sous, totalement indifférent à son retard et lorsqu’il arriva enfin « à la vielle prison qui sent le vieux pet de dragon », il toqua et poussa alors la porter lorsqu’il s’entendit avoir la permission d’entrer…


    PROFESSEUR_ « Tu es en retard, Maximilien ! »
    MAXIMILIEN_ « Je sais bien, Monsieur, je m’en excuses ! »

    Et sans donner la possibilité au professeur de lui répondre, il lui tourna la dos et ferma alors la porte dans un claquement qui voulait bien dire, qu’il était là, et pas par plaisir. Il se dirigea alors vers le préfet en chef de gryffondor : Lycan Mannel qui était encore le seul potable dans cette pièce et posa son postérieur à ses côtés. Attendant patiemment que les choses reprennent là où il les avait interrompue ce qui ne tarda par à arriver et les choses que Maximimi haïssait plus que tout se mettait maintenant sur le tapis. Il entendit Baël, son ennemi juré, déblatéré un tas de nom gryffondorien, Lycan dire un tas de nom serpentien, Amy sortir un tas de nom de serdaigle et ainsi de suite et lorsqu’on se tourna vers lui pour avoir ses noms à lui afin que les professeurs soient prévenus des élèves en retenues ou à surveiller Maximilien se trouva confronter à son dilemme hebdomadaire : dire ou ne pas dire ? Oh bien sur la deuxième proposition clignotait en jaune fluo dans son esprit mais il n’avait pas envie qu’on lui retire ce titre parce qu’il ne pourrait plus protéger les petits nocturiens qui l’aimaient tant et qu’il aimait tant alors bon…Il fallait bien en sacrifier quelques un pour le bonheur universel non ? Il détestait cette vision mais il n’avait pas trop le choix !

    MAXIMILIEN_ « J’ai remarqué que Natasha McLauren de Poufsouffle faisait beaucoup de sortie nocturne quant à Nicolas Vanhosselt de Serpentard, il sort bien souvent du château sans autorisation ! »

    Voilà, cela devrait suffir et si ils n’étaient pas content et bien ils n’avaient cas aller voir ailleurs, il voulait bien faire le vilain petit canard mais il y avait des limites à sa capacité à retourner ses principes…Heureusement pour lui, cela fut accepté par le professeur qui gribouilla tout cela méchamment sur son vieux parchemin tout jauni par le temps…La réunion allait alors continuer par des nouvelles consignes, des débats pour des idées pour la sécurité. En gros encore une bonne heure : super, il allait pouvoir s’ennuyer un peu à écouter de cela. Mais Maximilien avait une botte secrète, sa technique infaillible. Il avait l’art d’afficher un regard excessivement intéressé sur son visage mais de ne rien écouter, de n’en n’avoir rien à faire mais à entendre quand même, c’était particulier. Il entendait suivait, arrivait à afficher un air passionné et pourtant il était plongé dans ses pensées, ses rêves mais arrivait à en émerger si cela était nécessaire. Il avait juste un fort contrôle sur lui-même. Bref, il passa donc le reste du temps à jouer à ce jeu là et à ne prendre la parole que quand c’était vraiment nécessaire, que lorsqu’il n’avait pas le choix, où qu’on lui demandait son avis alors il lâchait une petite phrase vite fait. Toujours courte, toujours réfléchie, qui provoquait toujours un débat pour les autres de plusieurs minutes et lui laissait le temps de dormir un peu : un vrai petit cornichon…Qui bien qu’amusée par ces bavardages incessant ne fut pas mécontent lorsque le professeur annonça la fin de cette réunion !

    Il était donc midi et des poussières lorsque le jeune serdaigle, épuisé, lessivé, agacée, énervé, totalement frustrer par cette stupide réunion, sortit enfin de cette vieille pièce toute pourrie en compagnie des autres préfets qui pour certains se saluèrent avant de partir, d’autres se nièrent pour finir par partir aussi. Maximilien, resta donc là, seul, appuyé contre le mur, ravi d’être débarrassé de ces stupides scrout à pétard ! Il respira profondément et entendit son ventre gargouiller violement : il avait faim ! Oui mais voilà, il avait vraiment besoin d’être un peu seul où à la limite en compagnie de Léo, Travis ou un autre ami vraiment très proche, du moment qu’il avait de l’air. Il décida donc de faire un petit tour de le parc, ainsi donc, il respirerait, serait seul et réfléchirait tranquillement à un moyen de se vider totalement la tête et puis si il y avait bien un endroit où il risquait de rencontrer Léo, c’était dans le parc, à draguer les belles nanas ! Oui, voilà, il allait faire ça, se promener dans le joli parc du château…Il se mit donc en route, les mains dans les poches et bien qu’il ne se sentait pas très à l’aise en cette belle journée, il n’en montra rien. Un grand sourire était affiché sur ses lèvres et un ton doux et calme sortait de sa bouche lorsqu’il croisait des élèves qui le saluait bien qu’il ne voulait qu’une chose : être dehors ! Ce qui arriva enfin ! Il se mit alors à se promener, tranquillement, les mains dans la poche, savourant pleinement l’air qui rentrait dans ses poumons et dont il avait l’impression d’avoir cruellement manqué ! Lorsque tout d’un coup…

    Il sentit un choc contre sa poitrine, alors qu’il longeait tranquillement un muret du parc. Il reçu un fort poids contre sa poitrine, comme si un animal, fort, puissant et lourd venait de lui rentrer dedans…Il regarda alors ce qui venait d’arriver tout en se massant le torse et trouva alors un garçon par terre. Il ne mit pas longtemps à le reconnaître : il s’agissait de Nemo Alive, un vieux camarade de Gryffondor qu’il avait rencontré à une soirée mondaine chez la mère adoptive de celui-ci ! Il se souvenait de cette soirée comme d’hier et surtout à quel point il s’était ennuyé, comme chaque fois, et à quel point il avait été heureux de s’y faire un ami qui était resté bon ami avec lui. Un gryffondor bien sympathique qu’il appréciait vraiment beaucoup et qui venait…De lui rentrer dedans en sautant au dessus d’un muret qui se trouvait dans un parc : c’était à ni rien comprendre mais Max avait appris à ne pas juger Nemo et même si il ne comprenait pas tout du comportement du jeune homme, c’était ce qui faisait son charme…


    NEMO_ « Oh ! Maxi’ ! Super, tu tombes bien ! »
    MAXIMILIEN_ « Vraiment ? »

    IL n’eut pas le temps de terminer sa phrase, et de saluer son ami, qu’il sentit celui-ci lui agripper la main et tirer dessus comme un fauve. Pris par surprise, Maximilien tomba à la renverse et se retrouver assis à côté de son ami, tout contre le muret, ne comprenant pas trop ce qui lui arrivait, enfin bon…IL n’allait de toute façon pas tarder à le savoir. Tout du moins, il l’espérait parce que franchement, il avait assez eut de salles histoires ce matin, pour toute sa journée au moins…ET en y repensant ces salles chnock qui avaient cafter tous ces pauvres élèves avaient eut bien de la chance de ne pas prononcer le nom Léo Sanchez sinon ils se seraient retrouver dans le mur mais cela n’avait pas d’importance à ce moment là. Maximilien se retourna vers Némo qui lui fit un sourire en lui disant d’une voix calme, bien qu’essoufflé par la course qu’il venait apparemment de faire :

    NEMO_ « Dis ! Dis ! Si tu vois un petit élève de ta maison, cheveux noirs, yeux verts, ou bleus –‘sais plus- et qu’il regarde par ici, fait comme si de rien n’était ! »

    Qu’est ce que c’était que ce charabia…Non mais qu’est ce que ce vieux Némo, avait pu encore faire comme connerie pour qu’un gosse de serdaigle le poursuive ainsi à travers le par cet vu la tête de Némo on aurait dit que le garçon aux yeux verts, cheveux noirs, de sa maison, était bien parti pour vouloir le tuer…Némo se serait il donc battu pour sa survie : tant de mystère…Quoi qu’il en soit il s’apprêta à répondre à son ami lorsqu’il entendit des bruits de pas : quelqu’un courait et se dirigeait par ici, cela ne pouvait être que le salle mioche qui avait pourchassé le griffon et bien que Max ne connaissait pas le fin mot de l’histoire, il partait toujours favoris pour ses ami. Alors il se leva, se redressant dans toute sa splendeur pour se retrouver face à un gosse de troisième année. Celui-ci le regarda étonné, ne pouvant s’empêché de tourner la tête de droite à gauche comme pour chercher quelqu’un. Maximilien lui dit alors d’une voix qui se voulait glaciale et autoritaire :

    MAXIMILIEN_ « Dis moi, petit, que fais tu là ? »
    PETIT_ « Je…Cherche quelqu’un ! »
    MAXIMILIEN_ « Tu devrais être à la grande salle, c’est l’heure du déjeuné. Je ne veux pas entendre d’explication foireuse ! TU file ou je te fou en retenue ! »

    Oui…Maximilien n’était pas de ceux à utiliser son pouvoir sauf…Dans un seul et unique cas : lorsqu’il s’agissait de « protéger » un ami, n’importe lequel, qu’il ait fait une connerie ou non, il allait le protéger bec et ongle parce que Max était sans doute la personne la plus fidèle (en amitié bien sûr) qui pouvait exister sur cette planète. Oh bien évidemment, il n’aurait jamais filer une retenue au mome et puis sur quel motif ? Mais il lui avait fait suffisamment peur et le petit était parti alors en courant sans demander son reste, sans doute se remplir l’estomac. Max le regarda s’enfuir avec un sourire satisfait avant de se retourner et de s’asseoir près de Némo et de retourner sa tête vers lui pour lui dire alors d’un ton peu satisfait :

    MAXIMILIEN_ « Faut quand même que tu m’explique quoi, là ! »

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