Prio à mon chéri de la box

• « Chaque écrivain est passé par des dilemmes, celui de la page blanche est le plus important: doit-on la remplir? »
  
  
  Il y a des jours ou on a qu’une seule envie: frapper sur tout ce qui passe à notre portée, que ce soit humain, animal ou même fantômes. Lorsque des accès de rage comme ceux-là nous prennent, plus rien n’a d’important, de sens. La seule chose qu’on veut c’est frapper même si cela ne nous détend pas pour autant, même si cela de que nous énerver plus chaque secondes, même si cela ne donne aucune réponse à la malheureuse équation de la vie. Bref, pourtant c’est dans le genre humain, même les gentils ont un jour frapper un autre, peut être l’ont-ils regretté ensuite mais ils l’on fait. Le fait de donner un sens à la rage qui habite une personne lui donne l’impression de se sentir plus grand, de réussir à contrôler d’une manière plutôt violente ses sentiments. L’être humain est d’un pathétique désespérant. Voilà ce que se disait Laura en tapant sur ce pauvre pan de mur dans les cachots sombres des méandres du château, car même si elle se rendait compte du ridicule de la situation, la verte et argent savait également qu’elle n’échappait pas à la règle de la débilité de la violence humaine. Laura avait beau faire partie de la noble maison de Salazard, et donc de faire parties des rusés, elle faisait malheureusement et heureusement également parti du genre humain, et d’autre part du genre sorcier. Elle savait donc qu’elle était d’un pathétique plus qu’humiliant pour ceux qui se disaient race supérieure, Laura le disait souvent la Terre avait une peau, cette peau grouillait de microbes et de maladie incurable, l’une d’entre elle s’appeler l’être humain.
  
  Sa main s’abattit une nouvelle fois sur le mur de pierre, bientôt suivis d’un pied, le bruit sourd retentit dans tout le couloirs, allant se perdre dans les profondeurs du château, noir comme la colère qui l’habitait. Pourquoi fallait-il que ça tombe sur elle? Qu’avait-elle fait par les glandes de Salazard! Pourquoi? Sa vie n’allait pas assez travers comme ça? Il fallait en plus que cet idiots de mur fasse des siennes! Sa journée avait bien plus que mal commencé, avait continué de manière catastrophiques , et se finirait sûrement comme un cataclysme. Car aujourd’hui Laura avait l’impression que les dieux de l’olympe avaient décidés que la poupée de porcelaine allait en baver sans temps de repos. Pour commencer la matin même elle avait raté une marche dans les escaliers du dortoir, hop hop hop direction l’infirmerie pour se faire soigner, fracture de poignet, départ avec bandage et trois semaine. Ensuite durant le cour de DCFM la pauvre petite avait été victime d’un sort de stupéfixion, reçut en pleine poitrine et non préparé à un tel choc elle avait volé à travers la pièce pour finir sur le mur de la salle. Hop hop hop retour direct pour l’infirmerie, entorse du poignet gauche, deuxième bandage de la journée. Cour de potion incapable de servir de ses mains, elle avait loupé sa potion et avait prit un T. Durant le diner elle avait renversé son plat sur son T-Shirt, retour pour la salle commune pour se changer et cet idiot de mur refuser de s’ouvrir.
  
  ||Laura|| MAIS TU VAS T’OUVRIR OUI!JE SUIS A SERPENTARD ESPECE DE SOMBRALS STUPIDE! OUVRE TOI!…MAIS JE VIENS DE LE DONNER LE MOT DE PASE!…SANG PUR! MAIS TU M’ECOUTE QUAND JE TE PARLE OUI!
  
  Laura frappe une nouvelle fois sur le mur et laissa échapper un cri de douleur, son poignet u faisait extrêmement mal, tellement que les larmes coulèrent sur les joues de la petite fille à bout de nerfs. Elle entendit alors des rire dans son dos, Laura se retourna les verts et argents ne s’y étais pas préparé mais elle tenait fermement sa baguette dans ses main, un demi sourire sadique aux lèvres, la verte et argent était heureuse elle allait pouvoir calmer ses nerfs et malheureusement ça tombait sur ses pauvres garçons qui ne rigolaient peut être même pas de la malchanceuse du jour toute catégories. Les sorts fusèrent de sa baguette, deux sorts bien nets qui allèrent les toucher en pleine poitrine, elle n’avait pas louper son coup. Comme d’habitude. Un sort, ou plutôt 2 de confusions de quoi leur donner du fil à retordre durant un certains moment, le sourire de la jeune fille élargit alors qu’elle rangeait sa baguette dans la lanière cousue sur le cotés de sa robe de cour, elle regretta pour rien au monde son geste, peut être aurait-elle dut? Personne ne saura. En même temps Laura ne comprenait pas comment on pouvait regretter un geste, ce qui était fait l’était pour toujours, penser à ce qui se serait passé ne changera pas son geste.
  
  Laura était comme ça elle préférait assure mer ce qu’elle avait fait plutôt que de parlementer durant des heures sur ce qui se serait passé à la place. Après tout qu’importe! Ca fait quoi se savoir ce qui se serait passé si on avait laissé ce garçon plutôt que de lui parler, serait-il devenus Devan aujourd’hui, si on avait passé notre chemin plutôt que d’aider Amanda serait-elle notre amie aujourd’hui, si plutôt que de boire du rhum on avait bu du coca, Seeley aurait-il été notre première fois, le premier qui nous aurait jamais touché et consommé. Après tout comme disent les moldus avec des si on mettrait Paris dans un dé à coudre. C’est vrai quoi les gens comme ça Laura aurait très bien put les étrangler sur place, c alu sortait pas la tête, alors la fille qui pleurait parce qu’elle avait fait quelque chose elle l’aurait pendu sur place avec un sort adapté.
  
  Elle se mit à marcher sans s’en rendre compte, regardant ses pieds, elle ne tenait pas vraiment savoir ou elle allait puisque de toute façon elle savait pas, à elle avait une belle touche la pauvre Laura, les cheveux décoiffé à force d’essayer de se les arracher toutes les deux minutes, le maquillage coulant sur son visage vus qu’elle avait pleuré, son T-Shirt remplis de sauce tomate, et bien sur il était blanc, et en plus de ça elle avait deux bandages sur chaque mains, sales à cause des potions, non je vous assure, elle ressemblait vraiment à une sorcière tout droit sortis de l’imagination d’un enfant moldus. Elle sortis dans le parc, sans s’en rendre compte, et ce qui devait arriver arriva, elle finit apr rentrer dans quelque un à force de regarder ses pieds. Et comme d’habitude La poupée de porcelaine ne chercha pas à comprendre, le sort partit presque tout seul, une sort de stupéfixion. Elle se releva et se rendit compte de son erreur que lorsque le visage de sa victime entra dans son champ de vision
  
  ||Laura|| Seeley! Oh mon chéri je suis vraiment désolé, Est-ce que tu vas bien, répond moi

Seeley avait eut une journée plutôt simpathique, voir même agréable en faite... Il c'était levé de bonne Humeur ( Allison & Lynne n'étaient pas venue rêveiller Shawn en hurlant! ), avait passé une matiné plutôt simpatique. Métamorphose, Sorts & Enchantements puis DFCM, que de la pratique qu'il avait fait avec délice aprésciant grandement de se sentir un peu moins con, un peu comme tout le monde... Il avait tout de même été l'un des plus rapide à effectuer les exercices demandés puis à glander comme d'habitude mais glander en regardant les autres échouer c'était fort amusant! Surtout que sur trois cours seul celui de Sorts & Enchantements avait été en commun avec les Serdaigles ce qui lui avait permit de discuter culture avec deux d'entre eux en attendant que les autres aient finit.

Une clope, un déjeuné plus tard il avait eut potion et là... IL avait dû avouer avait été un peu interloqué... Laura habituellement si dué avait faillit faire exploser son chaudron... Bon, évidement, Seeley était bien trop occupé à déshabiller Magdalena du regard - comme d'habitude - pour se formaliser des problemes de Laura, quoique sentant le brûler il avait regardé sa douce amie... Il avait eut envie de la rattraper aprés le cours pour la faire sourire avec ses mots à lui mais quand il sortit elle avait déjà filé... Bon, il la retrouverait plus tard, certainement! Au pire au diné! Enfin, au diné... Diné... Ce n'était pas tellement dans se genre d'endroit qu'il parlait à Laura qui s'installait souvent prés de son frére qui en suserain semblait vouloir dominer la Table. Seeley n'avait guére peur de Baël mais il aimait bien Laura et n'aurait pas voulu vaner son frére devant elle, ça ne se fait pas! Voyons, même si parfois la grosse tête de Baël lui donnait franchement envie de rire... XD

Donc! Il avait soupé tranquillement puis avait filer en voyant que la Table des Lions était en train de se transformer en joyeuse cacophonie ou tous parlaient Quidditch... IL fut dans les premier à quitter le réféctoire puisqu'il n'avait presque pas manger, Laura était encore à table pas encore taché lorsqu'il était partit... Il sortit dans le parc et referma sa veste en sweet. Oui, le jeune Homme c'était changé avant manger, il avait été enfiler un jean, un tee-shirt et son sweet gris foncé.

Seeley fila vers le Lac pour aller trainer par la bas ayant envie de prendre l'air, il marcha doucement jusque la bas puis prit la direction de la forêt interdite qu'il longea laissant la nuit déjà bien là tombé entierement. Il s'adossa à un arbre aprés avoir parcourut quelques métres dans la forêt pour se fumer un joint tranquillement... Il disparut ainsi de la surface pendant quelques temps. Il ressortit d'entre les arbres et doucement entreprit de traverser le Parc...

Il venait de s'arrêter et de se mettre une clope entre les lévres quand il baissa les yeux vers le sol en cherchant son briquet dans celles si. Soudain il sentit quelqu'un lui rentrer dedans alors qu'il n'avait pas fait attention aux gense présent puisqu'à cette heure là il était habituellement seul ou presque... Il releva la tête et sans savoir comment il évita le sort que venait de lancer Laura... Certainement en bougeant vivement et poussant la main de la jeune fille par reflexe habitué à se méfier des couteau... Celà ne lui sauva pas la vie mais le sauva d'une stupéfiction certaine...

Il enleva sa cigarette de ses lévres tandis qu'elle s'excusait et regarda le filtre et le moignon de tabac... Le choc avait cassé sa cigarette et il venait d'en perdre plus de la moitié...

XxXOui je vais bien Laura, on ne peu pas en dire autant de ma clope parcontre... Je te savais soucieuse à mon propos mais pas au point d'assassiner mes cigarettes...

Il avait bien évidement reconnu sa douce amie, comment ne pas la reconnaitre ? Il en connaissait chaques morceau, chaque courbes, son odeur aussi il la connaissait et puis, elel avait un regard qu'on n'oublie pas...

XxXEt toi, comment va tu ?

Seeley semblait être une entité solitaire, seul et prête à consoler Laura comme un grand frére... Quoique Seeley n'était pas un bon grand frère, non, disont plutôt comme un ami, un simple ami de Gryffondor, Loyale, courageux et à l'écoute de ses amis... Ses yeux noir brillaient dans le crépuscule et il semblaient pétiller de malice.

IL ne baissa pas les yeux mais une chose était sur il le ferait pour récuperer l'autre morceau de la cigarette et glisser le tout dans ses poches. Sa rencontre avec Laura venait de lui couper l'envie de s'en griller une...

Le choc qu’elle ressentit alors que la main de Seeley venait pousser la sienne, lu arracha une grimace de douleur, pas de cris, non bien sur que on, elle était dehors, et elle n’était pas seule. Alors avant de savoir qui c’était jamais elle ne se permettrait de montrer qu’elle pouvait avoir mal. Bonne petite Serpentard va. Plutôt mourir que de montrer aux autres qu’elle était une être humaine tout comme les gens normaux. Pourtant elle l’était, elle n’était pas une demi-dieu contrairement à ce qu’elle laissait voir aux autres. La douleur remonta le long de son poignet, elle sentit chaque vibrations, chaque paries des os réduits en bouillie le matin même qui venaient de hurler. Mais alors qu’elle tombait sur les fesses, elle eut le mauvais réflexe de mettre ses mains an arrière, et cette fois ci elle ne put s’en empêcher le cri sortit tout seul, ainsi qu’une larme qui coula lentement le long de ses joues. Et bouse alors, pourquoi Est-ce qu’elle n’avait pas pris ses médicaments, elle n’était donc pas têtue au point d’en devenir idiote tout de même Elle ne les avait pas montrés à Baël et donc elle ne les prenait pas, espérons que le serpent fasse vite son apparition.

Elle se releva, cherchant des yeux sa baguette, qu’elle trouva vite, à cotés des pieds de…Non ce n’était pas possible, cette journée n’en finirait donc jamais, qu’avait-elle fait pour mériter ça voilà qu’elle s’attaquait à Seeley, voilà qu’elle s’en prenait à son lions préféré. Ce qu’elle pouvais être bête, comment avait-elle put, les réflexes? Très certainement peut être qu’elle l’avait confondu avec quelque un sans même s’en rendre compte. Mais même cela n’excusait pas ce geste particulièrement dégradant à l’encontre de Seeley qu’elle venait d’avoir. Elle se précipita donc sur lui, attrapant sa baguette alors qu’elle prenait de ses nouvelles.

|Seeley|Oui je vais bien Laura, on ne peu pas en dire autant de ma clope par contre... Je te savais soucieuse à mon propos mais pas au point d'assassiner mes cigarettes...

Laura poussa un soupir de soulagement, passant pour la énième fois de la journée sa main dans ses cheveux comme si elle n’était pas assez décoiffée, en même temps, disons qu’au stade ou elle en étais, ce n’était pas un peu plus ou peu moins qui allait faire a diférence. En fait pour faire simple, une de ses amie lui avait tout simplement dit qu’elle donnait l’impression de sortir d’une bagarre avec un magyar, ou avec son frère. C’est dire la réputation qu’il pouvait avoir parfois celui-là. Bref, tout ça pour dire que parfois elle pouvait faire peine à voir. Et ces fois là étaient tellement rare, habituellement elle ne sortait jamais dans cet état là, elle n’osait même pas se montrer dans la salle commune, tout ses ami avaient eut un choc en voyant son état. En voyant à quel point ce qu’elle vivait en ce moment avait put faire d’elle. Un petit être fragile, presque à plier à tout instant, prête à mourir. Vide de toute énergie. Bien sur elle avait des moments ou elle souriait, mais plus maintenant, elle avait tellement l’impression que tout allait mal qu’elle ne faisait même plus attention à son apparence. Indigne de la Laura d’avant. Elle ne changeait pas, elle évoluait, et en beaucoup mieux selon ses amis.

Laura releva la tête vers lui, depuis qu’elle était arrivé elle ne l’avait pas regardé dans les yeux, elle n’avait pas put, elle ne voulait pas qu’il voit, qu’il comprenne qu’elle n’allait pas bien ,et qu’elle n’irait plus jamais aussi bien qu’avant. L’autodestruction était la solution qu’elle avait choisi, elle pouvais mentir aux autres, elle pouvait toujours leur dire que tout allait bien, que ce n’était qu’une impression. On ne mentait pas à ses mais, on ne mentait donc pas à Seeley. Enfin elle croisa le regard de Seeley, elle frissonna, ne sachant pas quoi dire, quoi faire, elle avait envie de sortir une de ces phrases dont elle avait le secret, une petite phrase qui répondrait et qui embrouillerait la personne qui lui faisait face. Une phrase qu’il n’était pas inhabituel d’entendre dans la bouche de la verte et argent, des bêtise comme elle aimait en dire. Ca faisait combien de temps qu’elle n’en avait pas dit?….Tout foutait le camp.

||Laura|| Au moins celle là ne te feras pas de mal, tu devrais me remercier plutôt que de dire que je les assassine.. De toute façon tu sais très bien ce j’en pense de ces saloperies!

Menteuse Laura, menteuse! Qui Est-ce qui s’était fumé un petit pétard avec Maximimi pas très loin de la fôret interdite? Oui. Elle. Heureusement personne n’en avait jamais rien sut, sauf peut être Devan et Amanda. Elle n’en avait pas forcément honte, elle avait au moins essayer, d’ailleurs à ce moment là et pour la première fois depuis des semaines qu’elle s’était sentis tellement bien qu’elle aurait aimé rester dans cet état plus longtemps. Dépendante? Non pas dut tout elle n’avait absolument pas recommencé depuis. Avait-elle plaisanté alors? Non elle n’en était plus capable depuis maintenant quelque semaines, et elle n’en avait même plus envie.

|Seeley|Et toi, comment va tu ?

|Laura|Et bien sa va plutôt bien….menteuse la petite Laura? Non non pas du tout, oui bon d’accord un peu, elle fit mine de regarder par-dessus les épaules de son amie mais elle sentit très vite les larmes qui montaient doucement le long de ses yeux, et elle sentait que ça n’allait pas tarder à exploser…Bon d’accord tout va mal en ce moment! Baël est odieux, je perd mes mais et en plus de ça je ne me souviens plus du tout de ce que je fais!!

[ argh c'est minuscule ]

Seeley la regarda presque intriguer qu'elle soit dans un état si déplorable... Elle fit une réfléxion sur le fait qu'il se bousille la santé ce qui lui arracha un haussement d'épaules. Oui il savait ce qu'elle en pensait, ses pères pensaient pareils mais ce n'est pas pour cela qu'il avait arrêté... Il n'y arrivait de toute façon pas, pas faute d'avoir essayé... Il ne dit rien la laissant parler, il avait vue des les premiers mots qu'elle n'allait pas bien, comment aurait-elle put aller bien tout en manquant de le tuer d'un sort ?

Seeley la regarda et silencieusement s'approcha d'elle pour la prendre dans ses bras et qu'elle puisse pleurer tranquillement sans se soucier des autres, quand ils étaient ensemble personne ne cherchaient à les approcher. Il la prit donc dans ses bras en faisant bien attention aux mains de la jeunes filles. Plus grand qu'elle il lui offrait une protection, une petite bulle pour pleurer le temps qu'elle voudrait. Laura lui aurait demandé de l'aider à enterrer un cadavre qu'il l'aurait fait comme il se serait levé à quatres heures du matin si elle avait eut besoin de lui, comme il abandonnait tout ses projets et ce qu'il allait faire pour être là, prés d'elle, pour la soutenir... Parfois il n'en revenait pas d'être comme ça avec elle tout en ayant couché avec... *_* Mais bon, il était comme ça, il n'avait pas envie de changer et elle ne semblait pas avoir envie qu'il change aussi puisqu'elle venait de lui dire ce qui n'allait pas. Il devait être l'un des seuls à obtenir aussi vite de tels aveux mais ne se rendait pas compte de ce que cela signifiait trop préoccupé par son bien être à elle.


« Shut, je suis là, va y, laisse toi aller, sa va te faire du bien ma belle... »


Sa voix était douce, murmuré, comme un secret, chaude, suave elle permettait de se sentir en sécurité. Il avait oublié sa clope, il y en aurait d'autre mais des Laura il n'y en avait qu'une et il n'aimait pas que l'unique Laura soit comme ça. Il savait qu'en ce moment elle n'était pas au top mais là... Elle touchait presque le fond... Il fallait faire quelques chose là !


« Pour tes mains on va arranger ça avec quelques sorts, je vais le faire si tu veux. Pour Baël ne t'en fait pas, il fait simplement sa crise d'adolescence un peu plus tard que les autres... Quand à tes abscences on va chercher, ne t'en fait pas, je suis là, toujours là. »


Elle était l'une des rare à avoir le droit à un être sentimentale, elle était l'une des rare à savoir Seeley romantique, attentionné, prés à être là pour ses amis. Il déposa un bisou sur son front comme un frère ne s'occupant plus que d'elle. C'était fou combien ils avaient changés tout les deux... Au début amants, puis amis et maintenant ? Maintenant la nuit qu'ils avaient passé semblaient bien loin... Seeley ne pouvait pas oublier pareil souvenir, les courbes, les soupirs et les carresses de son amie l'avait plutôt marqué et il ne l'oublierait pas mais quand il la voyait cela ne faisait plus pareil... Il ne pensait pas à ce moment doux mais à tout les autres, leurs rires, leurs larmes, leurs calins de réconfort en toute amitiers, une amitier tendre qui ne changerait certainement plus maintenant. Si il devait présenté ses amis il présenterait Laura comme une petite soeur de coeur, oui, c'était ça, une petite soeur, un être qu'il protégeait, protegerait et qui avait toute son attention...

Elle ne l’avait pas entendu approcher. Elle n’avait même pas sentit son parfum qu’elle connaissait tant. Elle avait juste senti ses bras musclé se refermer autour de sa frêle petite personne, comme un géant qui se mettrait en tête de protéger un petit lutin malin qui chercher les problèmes de touts les cotés. Mais Laura ne chercher pas els problèmes, elle n’était plus ce petit lutin malin qui allait se cacher derrière son géant ami elle n’était plus rien. Et puis, même si Seeley était d’une grandeur inhabituelle il n’était pas un géant. Il n’était une barrière contre tous els problèmes de la terre, loin de là, juste une barrière à ces problèmes tant qu’elle se trouvait avec lui. Qu’une loque perdue dans les remous d’un océan de sadisme. Son moral au plus bas elle ne cherchait même plus à se défendre elle ne voulait même plus s’en sortir d’une certaine manière. Dans un complaisance malsaine de cet état qu’elle ne parvenait plus à quitter. La jeune sorcière sentit enfin le parfum doux et masculins de son ami, elle respira à grande bouffé cette senteur qu’elle avait oublié durant un petit instant. Enivrant ses sens, cherchant de l’aide juste comme ça.

Enfin les larmes coulèrent se déposant sur le T-shirt du rouge et or, elle sentit que sa vue se brouillait, elle sentait surtout qu’elle n’avait plus qu’une envie, ne jamais quitter les bras du jeune homme qui était là, comme toujours pour s’occuper d’elle. Et pourtant, elle faillit sourire en se rappelant leur première rencontre, mais son moral était trop bas. Pourtant il lui était impossible d’oublier ce moment, elle savait que cette amitié était d’une forme un tout petit malsaine. Après toute était il pas sa première fois? La première personne à l’avoir faire pencher du cotés empoisonné de plaisir du corps humains? Et pourtant, oui aujourd’hui rien de ce genre n’animait les deux jeunes gens. Quelques chose qui aurait put les détruire touts les deux, mais qui les avait sauver en quelque sorte. Elle leva une de ses deux mains bandés pour essuyer le torrent de larmes qui venait de se déverser sur ses joues de porcelaine.

||Seeley||«Shut, je suis là, va y, laisse toi aller, sa va te faire du bien ma belle...

Quel doux rêve se passait-il à l’instant, bien sur elle avait de nombreux amis, Laura n’était pas aussi solitaire que ce que els gens pensait, oui bien sur elle ne s’ouvrait pas comme un livre ouvert à chaque fois, mais enfin. Seeley était l’un des seuls qui était toujours la pour elle. Ses amis de Serpentard restant dans des étreintes bien plus formelle, plus courte et qui se serait légèrement reculer en sentant la jeune fille respirer difficilement alors qu’elle pleurer. Les larmes tiens parlons en, elle laissa sur ses joues des sillons de feu, Laura avait l’impression que de fines ouverture apparaissait sur ses joues à chaque passage d’une larme. En cet instant elle aurait aimer s’arrêter, mais bien malgré elle, et même si sa fierté en prenait un sacré coup, mais elle suivit le conseil du jeune homme. Peut être parce que la voix du rouge et or était étonnement protectrice, peut être aussi parce qu’elle avait besoin qu’on lui dise ça, qu’on lui dise enfin qu’il fallait de temps en temps pleurer que cela faisait un bien fou.

||Seeley|| Pour tes mains on va arranger ça avec quelques sorts, je vais le faire si tu veux. Pour Baël ne t'en fait pas, il fait simplement sa crise d'adolescence un peu plus tard que les autres... Quand à tes absences on va chercher, ne t'en fait pas, je suis là, toujours là.

Elle releva la tête, plongeant son regard dans le sien, pourtant elle n’avait pas besoin de ça pour savoir qu’il était sincère. Elle sentit les lèvres de Seeley se poser doucement sur son front et elle ferma les yeux à ce contact, enfin un contact humain. Depuis le début de l’année, elle avait bien sur eut des moments d’humanité, des rires avec ses amis, des moments partagé avec un amour, des moments de câlin avec son frère. Mais depuis le début de l’année, elle sentit plus que tout que là ce geste n’était pas hypocrite. Et seulement maintenant, elle se sentit revenus chez elle, elle eut l’impression que le château redevenait sa maison, qu’il n’allait pas la laisser tomber.
Oui, en revenant, Laura n’avait jamais eut l’impression qu’elle était chez elle, même son été chez ses parents avait été plus joyeux, pourtant inutile de dire que l’ambiance morose, qui régnait dans la maison en la présence des enfants Owned était, en quelque sorte, des plus étouffante. Non elle n’aimait pas ses parents, petite elle les avait aimé. Oui elle se souvenait des moments passé avec sa mère alors qu’elle riait en faisant des crêpes, mais aujourd’hui l’amour avait laissé la place à la haine. Des deux cotés d’ailleurs, il semblait qu’il n’y ait plus de place pour l’amour dans leur vie. Il ne lui tardait que d’une chose….Que ses parents meurent…. Une pensée des plus méchante mais qui était pourtant véridique.
||Laura||| J’ai été voir l’infirmière pour mes mains tu sais… C’est à cause de ça que j’ai raté aussi bêtement ma potion….

Elle était parvenus arrêter ses pleurs, elle avait besoin de se calmer pour parler, pas de respirer aussi bruyamment….Laura se rendit alors compte que quelque un aurait put les voir, entendre la petite voix douce de Laura montrait et faire ressortir le désespoir qu’elle ressentait. Elle rebaissa les yeux sur ses mains, touchant délicatement ses bandages mais malgré tout, même avec ce genre de précaution elle grimaça de douleur, sentant que plus rien de ne serait jamais pareil. Non elle n’aurait pas de cicatrice, l’infirmière était douée, ses mains seraient comme neuves dans pas très longtemps. Mais, la douleur qu’elle ressentait laisserait des marques infinie, la douleur morale était quelque chose qui ne se refermait, plaie ouverte, béante qui souriait à la vie infinie que pouvait lui offrir l’être humain. C’était tellement chimérique de se dire qu’un jour elle redeviendrait heureuse. Aussi heureuse en compagnie de son frère, que lorsqu’il y a quelques mois.
Malgré elle, Laura ne put retenir un rire étouffé lorsque Seeley lui parla de la crise d’adolescence de son frère. Elle n’en avait pas eut envie, mais comme de coutume Seeley avait trouvé la bonne phrase pour la faire sourire, et encore mieux la faire rire. Son propre rire résonna dans ses oreilles comme une délivrance, cela lui faisait un bien fou d’entendre son propre rire qui était pour une fois sincère. Elle ferma les yeux, sentant le souffle chaud de l’étudiant sur son visage, Laura avait froid mais ce n’était pas une grande nouvelle, elle avait toujours froid.

||Laura|| Heureusement que tu es là mon chéri parce que je ne sais pas ce que je ferais sans toi, tu remplacerais Baël sans problème, comme grand frère parfait s'entend….. Comment fais-tu pour me supporter comme ça

Non elle n’était absolument pas débile, mais comment dire ce qu’elle ressentait. Elle-même détestait entendre des gens se plaindre, elle ne supportait pas d’entendre leurs larmes et de penser qu’elle devenait gardienne d’un secret pour tant banal: les sentiment humains. Ces sentiments que l’on cache parce qu’il sont, en quelque, sorte une honte à eux tout seul. Elle passe ses doigts sur le visage du jeune homme, attendant une réponse quelconque, n’importe quoi lui ferait du bien à ce moment là. Tout simplement parce qu’elle n’en pouvait plus, elle avait l’impression d’être prisonnière de l’eau elle-même, étouffante et silencieuse….Les larmes recommençaient à couler…..