Appelo Mor†em (old)
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Juste nous deux, comme avant ... Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
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MessageSujet: Juste nous deux, comme avant ... Juste nous deux, comme avant ... Icon_minitimeMar 8 Juil 2008 - 11:10

    Priorité à ma soeur adorée Razz

    Le soleil était encore présent lorsque Baël quitta sa salle commune aux allentours de sept heures du soir, mais pas pour aller manger. De toute manière, une fois encore, il n'avait pas faim. Ce n'était pas son truc à notre vert et argent de s'emprifrer jusqu'à pas d'heures de toutes les bonnes choses qu'on nous servait à Poudlard. Il préférait la sollitude, de loin une de ses meilleurs amies. Tandis qu'il remontait les escaliers, ses pas le conduirent machinalement vers les toilettes de Mimi Geingnarde, qui n'étaient plus les siens depuis longtemps. Non pas qu'il soit une sorte d'idiot à vouloir regarder les filles, mais plutôt parce que cette salle avait des tons dramatiques. D'abord parcqu'elle était et resterait l'entrée de la chambre des secrets, et une des solutions d'exterminations de tous les nès moldus de Poudlard. Ensuite parce que Tom E. Jedusor, alias Lord Voldemort, était le déscendant direct de l'ilustre Salazar Serpentard. Les livres sur le mage noir était tellement courant que Baël ne pouvait même pas se vanter de tout savoir sur lui, mais une chose était sûr : presque personne n'avait lû entièrement tous les livres de magie noire de la résèrve. Et personne ne prévoyait de faire revenir à la vie le seigneur des ténèbre. A moins que celà ne soit déjà fait ? Oh ... encore l'impression que sa vie lui échappait, qu'il oubliait. Qu'avait dit Eloïse ? Ah oui, le match de Quidditch .

    Baron Sanglant >> " Baël Mathias Owned, le seul garçon à qui j'aime encore parler ! "

    A l'entente de son nom, le vert et argent avait sursauté. Ayant à présent reconnu le fantôme de sa maison, il fut rassuré. Depuis bien longtemps, personne n'osait plus approcher le baron, mais Baël avait un jour décidé que lui, il allait le faire. S'en était suivies de longues discussions sur Poudlard et de bonnes recommandations pour pénétrer illégalement dans la réserve, ainsi que des conseils sur la magie noire. Mais, aux yeux de tous, les conversations n'avaient pas lieux. Sinon, le baron pouvait dire adieux à l'école ...

    Baël >> " Baron ! Comment allez vous aujourd'hui ?
    Baron >> Bien, comme d'habitude. Et vous, encore entrain de traîner dans les couloirs ...
    Baël >> On ne change pas les bonnes habitudes ! Dîtes moi, depuis combien de temps la chambre des secrets n'a t'elle pas été ouverte ? "

    Le baron considéra Baël pendant un instant, cherchant une faille dans son regard de glace. Mais non, le jeune homme ne rigolait pas, il voulait une réponse, et une réponse rapide à ses questions. Ils continuèrent leurs échanges mutuelle et, au bout d'un certain temps, le baron déclara, mal à l'aise.

    Baron >> " Je dirais quelques jours ... Il se passe des choses étranges Baël. Mais je n'irais pas plus loin sur le sujet. Une chose est sûr, nous avons un fourchelangue dans nos couloirs. Bonne nuit Baël ... "

    Il disparut dans un mur, laissant un Baël abasourdit mais heureux. Ses impressions étaient bien confirmées, de choses vraiment très étranges se produisaient à Poudlard ces derniers temps, même s'il semblait être un des seul élève à s'en rendre compte. Une puissante magie, et il le sentait, se répendaient comme une vague de fraicheur à travers les murs. De plus en plus étranges. Il poussa la porte des toilettes et se dirigea vers le lavabo, et passa son doigt sur le robinet. Un serpent apparut, pareille réplique que la photo dans les livres. Inutile d'essayer de rentrer, il n'était pas Fourchelangue. Le vert et argent resta plantait devant, attendant qu'on ne sait quelle réponse vienne à ses questions. Combien de Serpentards étaient-ils restés devant ce lavabo, attendant de découvrir un des plus grand mystère de leurs maison ? Les serdaigles avaient le diadème, les Gryffondors l'épée, les poufsouffles avaient jadis la coupe, mais les Serpentards, eux, avaient encore la chambre. Et d'après le baron elle avait été ouverte ! Il aurait aimé plus que questionner, demander qui l'avait ouverte . Mais le baron, qui n'était pas facilement impressionable, avait peur. Un doute remplit Baël pendant quelques secondes : de lui ? Avait il eu peur de lui ? Il chassa cette idée débile de sa tête et quitta des yeux ce lavabo pas très bavard.

    Baël s'approcha de la fenètre et contempla le parc. Ca avait un certaine impression de déjà vue, comme quand il était venu pour la première fois dans cette pièce. C'était juste après avoir reçu une lettre de ses parents qui lui faisait s'avoir qu'il désonorait la famille en étant à Serpentard.Que de mots agréables, comme vous pouvez l'imagniner sans doute. Mais cette pièce ne lui rapelait pas que des moments tristes, car c'était ici aussi qu'il avait envoier la première lettre à Laura lui racontant tout depuis le début, le voyage dans le train, ce qu'il avait pensé en ce moment là, le trajet en barque que Baël avait qualifié " d'ennuyeux à mourir ", la salle commune des Serpentards, sa répartition ... Chaque jour une nouvelle lettre, toute rédigée dans ce lieu qui était peu à peu devenu une sorte d'obsession. Il y venait à chaque fois qu'il le pouvait, regardant toujours avec envie ce foutu lavabo jusqu'à ce qu'un jour, il l'éspérait, il pourait entré. Et maintenant, il apprenait que quelqu'un y était vennu il y a à peine quelques jours ! N'est ce pas formidable ?

    Perdu dans ses pensées, il ne remarqua l'intruse - qui n'en était pas vraiment une - que quelques minutes après son arrivé. Cette dernière le regardait, silencieuse, attendant qu'il la remarque. Ce n'était d'autre que sa chère et tendre petite soeur, Laura, qui comme à son habitude était radieuse. Il s'avança vers elle et lui offrit un petit sourire d'escuse, éspérant que celà suffirait à lui faire oublier le temps de réaction avant de l'aperçevoir. La prenant dans ses bras, il lui déposa un bisous sur la joue avant de se reculer, la regardant de ses beaux yeux bleus.

    Baël >> " Comment tu vas Laura ? "

    A vrai dire, elle semblait en parfaite santé. En plus, il savait pertinemment qu'elle n'avait pas encore de petit ami, ce qui le réjouissait. Sinon, il allait encore falloir aller voir si le petit ami en question méritait sa soeur. Et comme ce n'était jamais le cas pour notre vert et argent, il y aurait eut vraisemblablement un serpentard en bonne santé en moins dans cet école. Dûr façon de voir les choses, mais réaliste.

    Baël >> " Et ... d'ailleur que fais t u ici ? Non pas que tu me dérange, mais je trouve curieux que nous nous retrouvions ici, dans un endroit peu fréquenté, à la même heure, dans un délais de quelques minutes de différence ... Je n'ai jamais crû au coincidence ."

    Il sourit à sa soeur, de toute façon il n'était pas fâché contre elle, seulement intrigué. Quand Laura avait une idée en tête, c'était toujours farfelu et intéréssant de la connaître. Surtout lorsqu'on est concerné. L'avait elle fait suivre ? Si c'était le cas, ce n'était pas étonnant. Laura ne lui avait pas caché ces inquiétudes face à ses migraines et ses pertes de mémoires, et lui avait repproché à plusieurs reprises de lui parler mal parfois. Mais se faire suivre par sa propre soeur ? Non quand même pas, elle devait sûrement avoir une meilleure explication. Il la considéra des pieds à la tête, se disant que sa petite soeur n'avait vraiment pas changé. Les mêmes joues rebondies, le même teint halé, toujours beaucoup de goût pour s'habiller et le caractère. Oui parce que ce petit bout de femme en avait, du caractère. Calculatrice, méchante, perspicace ... Parfaite petite Serpentard và ! Mais avouons quand même qu'elle à vraiment, mais alors vraiment de qui tenir ! Lui même, vous vous en serez douter. Rien qu'en regardant les deux Owned, il était tout simplement impossible de ne pas voir leur lien de parenté. Celà pulsait tellement dans chacun de leurs gestes : la même grâce féline lorsqu'ils se déplacaient, le même ton de voix froid et pourtant doux, lê même regard pénétrant et tous deux dégageaient une sorte d'aura du style " fais gaffe, je ne suis pas un ange ".

    Baël >> " Dit moi Laura, aurais je était désagréable avec toi ces derniers temps ? C'est une question stupide, mais ne cherche pas à comprendre. Répond moi, sincèrement. "

    C'est vrai que Baël estimait la question idiote, dans la mesure où il aurait dû pouvoir y répondre lui même . Oui mais voilà, toujours cette mauvaise impression de s'enfoncer dans un trou noir sans aucune sortie de secour, de perdre le contrôle de ses actes. Sortilège ? Devenait-il fou ? Laura détenait peut être une des clés des réponses en lui répondant. Et puis, même si il détestait s'éscuser, s'il avait commis des actes irréparables envers sa propre soeur et qu'elle le faisait suivre pour ces raisons, il était en droit de savoir au moins ce qu'il avait bien pû dire non ? Les escuses, on vera plus tard, après mûre réfléxion. Et s'il s'avérait qu'un crétin, qu'il soit Serpentard où d'une autre maison, s'amuser à lui lançer des sortilèges, il allait falloir que ce crétin en question se cache. Et bien. Parce que ce n'était pas un minable sortilège de confusion que l'inconcient allait reçevoir - si inconcient ily avait, pour l'instant ce n'était que l'hypothèse d'Eloïse - mais un très mauvais sortilège, foi de Baël Owned. Nerveux, notre vert et argent regardait sa soeur. La patience n'était pas une de ses plus grandes qualités, ni le fait de faire dans la finesse. Cogner avant, discuter après, comme le disait il souvent. C'est vrai, les gens ont plus tendance à vous parler vite après deux ou trois petits coups bien placés. Mais c'était sa soeur, il n'allait donc pas la brutaliser. Le jeune homme éspérait au moin qu'elle se rendait compte de la chance qu'elle avait d'être sa soeur, parce que sinon il lui aurait délié la langue, et rapidement.

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Laura Owned
Admin | Serpentard
Ein Mondmädchen, in einer mystischen Welt Laura Owned
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Amour : Une Langue de Plomb

Pensine
Orientation Sexuelle: Hétérosexuel
Année d'étude: 6ème année
Caractère: Incontrolable, méchante et cruelle....De toute facon, mon caractère ne te regarde, viens le découvrir plus tot!

MessageSujet: Re: Juste nous deux, comme avant ... Juste nous deux, comme avant ... Icon_minitimeMar 8 Juil 2008 - 22:32

    Laura monta doucement les marches, de tout le château, elle finit par se retrouver des toilettes de Mimi, ce matin la lorsqu’elle s’était réveillé et qu’elle s’était rendus compte qu’une nouvelle fois elle ne se souvenait pas de ce qu’elle avait fait la veille, elle avait craquer. Elle était descendus digne et hautaine comme touts les matins, avait traversée la grande salle prit son petit déjeune en compagnie de son meilleure ami le plus naturellement du monde. Pourtant elle avait mal, elle avait terriblement mal au fond d’elle, mais elle avait sa fierté, elle ne voulait pas pleurer devant les autres,leur montrer ses faiblesses, qu’elle pouvait avoir des sentiments aussi humains que les autres, pour elle c’était impossible, elle ne l’avait jamais fait et elle ne le ferais jamais elle ne voulait pas qu’ils sachent. Le reste de la journée ce fut la même chose,en cour elle resta aussi froide que d’habitude aucune tristesse au fond des yeux, elle ne savait pas ce qui lui arrivait durant des petites périodes. La veille elle se souvenait qu’elle était resté plus longtemps dans la salle commune pour finir un devoir de potion, le matin lorsqu’elle s’était réveillé elle était dans son lit, sans souvenir d’y avoir été à un moment ou à un autre. C’était de plus en plus fréquent, elle ne savait pas ou elle allait durant certaines période de la journée. Ca l’atteignait même si elle en avait parlé à personne.

    Elle avait finis par aller dans les toilettes de Mimi Geignarde, elle ne savait pas vraiment pourquoi ses pas l’avaient porté la, sûrement à cause de la fascination de son frère pour ce lieu, il passait son temps dans ses toilettes à cause de la célèbre chambre des secret, cette chambre qui renfermait un animal capable de tuer, selon certaines personnes il y a un basilic dans cette chambre, pourtant d’autre disent que Harry Potter à tué le dernier des basilic de la chambre. Secrètement elle espérer que Potter l’avait tué, non pas qu’elle admire ce nabot aux yeux vert, mais elle avait une peur bleue des serpents, bizarre qu’elle soit à Serpentard alors? Pas tant que ça il suffisait de voir le caractère qu’elle avait pour en etre sur! Elle était une pure serpentard on le voyait rien qu’a son regard qui lançait des éclairs dès qu’on l’embetait. Elle savait parfaitement que son frère lui avait toujours envoyé des lettres de cet endroit, jamais d’un autre. Elle trouvait parfois que cet amour était peut etre malsain, trop important pour quelque un de son age, mais elle se rassurait bien vite, il ne parlait pas Fourchelang sinon elle le saurait. Elle savait toujours tout sur son frère, ce frère qui en ce moment lui faisait tellement de mal.

    Car oui, non contente de perdre la mémoire, les relations avec son frère allaient en se dégradant, elle ne parvenait plus à le cerner comme avant, se jetant dans ses bras lorsqu’elle le voyait, lançant des piques à cet mini homme qu’elle aimait tant. Mais depuis quelques temps c’était finis toutes ses preuves d’amour intempestives et gênante devant les copains de son frère, il passait presque tout son temps à l’envoyer balader, la prenant parfois même pour son chien ,bien sur soumise inconsciemment au sortilège de l’imperium elle se rendait compte que son frère était plus distant et méchant. Elle détestait ce nouveau frère qui pouvait se montrer aussi vil et cruel qu’un mage noir, mais aussi doux et mignon que son ancien frère. Car oui, il la plongeait dans le doute, il l’envoyait balader et quelques minutes plus tard il venait lui-même la chercher pour passer du temps avec lui, alors qu’il venait de lui dire qu’elle était trop collante. Elle détestait ça elle ne voulait plus subir ce genre de chose, mais seulement voila, le même sang coulait dans leurs veines, le même amour aussi et surtout elle ne parvenait pas à se détacher de celui qui représentait l’intégralité de sa vie.

    Elle s’assit sur un lavabo, avant de redescendre, elle ne voulait toujours pas pleurer, elle releva les yeux vers le miroir, regardant son miroir, elle jouait bien la comédie, même si elle était triste, ça ne se voyait plus ou alors il fallait vraiment chercher au fond de ses yeux, la petite savait parfaitement cacher ses sentiments, elle maîtrisait totalement la larmes, le cris hystériques, le sourire ou même le regards de te quel bref savoir réellement les sentiments de Laura lorsqu’elle chercher à les cacher relever du miracle. Une seule était capable de le faire et malheureusement cette personne ne se montrait aussi gentil qu’avant avec elle, et surtout ne se montrait pas aussi prévenant envers elle. Elle observa durant un petit moment son reflet cherchant par touts les moyen de savoir si sa tristesse se voyait, mais non, parfois elle se disait que cacher ses sentiments était stupide, les gens ne savaient jamais lorsqu’il fallait la consoler et la faire rire. Mais cette pensée sortait très vite de sa tête lorsqu’elle posait le pied dans la salle commune, personne ne devait montrer se sentiments. Il n’y avait réellement que dans les dortoirs qu’on pouvait pleurer, seulement voila Laura détestait lorsqu’une de ses camarades pleurait et qu’elle tentait désespérément de dormir à ce moment là, aussi elle ne pleurer pas.

    Elle entendit la porte s’ouvrir, elle n’y fit pas attention, pensant que c’était une fille qui venait chercher un peu de solitude et qui tomberait malheureusement sur une Laura remontée à bloc qui pourrait alors sortir toutes sortes de phrase plus méchantes les unes que els autres afin de blesser un maximum. Elle fut qu’a moitié surprise lorsqu’elle vit qu’en fait c’était son frère qui venait de rentrer, il ne faisait même pas attention à elle,ce qui aurait put mettre la jeune fille dans une rage folle, mais non elle savait que son frère aimait qu’elle soit bien habillée, aussi elle prit le temps de remettre ses chaussettes en place, resserrer sa cravate et redescendre légèrement sa jupe et surtout de remettre ses cheveux en place. Mais cela ne lui prit pas vraiment du temps, aussi elle attendit, bientôt elle ne put retenir le sourire qu’elle gardait depuis tout à l’heure. Son frère, il était comme ça toujours dans ses pensées lorsqu’il venait ici. Inutile de le sortir de ses pensées, elle ne voulait pas qu’une fois de plus il se retourne cette lueur inconnue dans les yeux et que pour ne pas changer il l’envoie balader.

    Finalement il la vit, elle tressaillit légèrement lorsqu’il vint la prendre dans ses bras, pour déposer un baiser sur sa joue, elle aurait tellement aimé qu’il ne la lâche pas si vite, rester dans ses bras, comme lorsqu’elle était petite et qu’il prenait dans ses gros bras un petite fille perdue, parce qu’elle était perdue, elle ne se souvenait pas l’avoir vu aujourd’hui, mais elle gardait le souvenir cuisant qu’il l’avait tout simplement virer de la salle commune lorsqu’elle était rentrée en compagnie de Jules, pourtant il n’aurait dut rien dire. La salle commune était comme son nom l’indiquait commune et elle rentrait de cour ce n’était pas comme si elle revenait d’une escapade avec son amie. Jules lui n’avait pas chercher à comprendre à la vue de son frère il s’était tassé sur lui-même, puis il était partis en courant vers son dortoir laissant Laura seule, elle avait bien pris le temps de lui envoyer quelques regards meurtrier mais le regard que lui avait lancé son frère l’avait fait fuir, elle était partis en courant dans son dortoir hésitant à rejoindre son ami dans dortoir.


    |||Baël|| Comment tu vas Laura?

    Elle regarda son frère, sentant les larmes remontait en elle, c’était sûrement la seule personne qui avait un jour vus Laura pleurer dans tout Poudlard, mais elle se retint elle ne tenait pas à lui donner cette satisfaction, comme prévus elle ne répondit même pas à la question, jugeant tout simplement que son frère se moquait d’elle. Comment pouvait-il poser cette question alors qu’il lui faisait du mal depuis le début de l’année, petit et jusqu’à l’année dernière elle avait vraiment crus qu’elle ne serait jamais séparée de son frère, pourtant c’était ce qui se passait. Elle était tombée de haut, chutant de s bulle magnifique qu’elle occupait jusqu’alors. Brisant le monde utopique dans lequel elle vivait pour se retrouver dans un monde nouveau, méchant et qu’elle détestait, elle aurait tellement voulus remonter dans sa bulle. Que son frère redevienne comme avant, mais même avec touts les efforts du monde, jamais plus rien ne serait pareil, elle le savait ou plutôt elle le sentait tout au fond d’elle.

    Laura se contenta de lui lancer le regard le plus meurtrier qu’elle put trouver, elle ne voulait pas avoir de conversation avec lui ce soir, elle ne tenait pas tellement à recevoir une nouvelle tripotée, car c’était ce qui lui était parfois arrivée lorsqu’elle avait contredit son frère depuis le début de l’année, une fois ou cette lueur c’était réveillée dans ses yeux, il l’avait tout simplement fait léviter dans la salle commune, déserte à ce moment la heureusement jusqu’à ce qu’elle promette de ne plus d’approcher de lui lorsqu’il était dans son état normal, afin de l’éloigner de toutes personnes susceptibles de le faire se réveiller et Laura faisait partis de ces personnes apparemment.


    ||Baël||Et ... d'ailleur que fais t u ici ? Non pas que tu me dérange, mais je trouve curieux que nous nous retrouvions ici, dans un endroit peu fréquenté, à la même heure, dans un délais de quelques minutes de différence ... Je n'ai jamais crû au coincidence .

    Laura l’observa pourquoi posait-il cette question elle le dérangeait peut etre, ce qui vus les récent épisodes de la semaine ne l’étonnerait, même pas elle le bouscula pour passer et se dirigea vers la porte, elle ne voulait pas se tenir à proximité de lui lorsqu’elle lui répondre

    |||Laura|| Ne t’inquiète pas monsieur le petit prince je ne vais pas te déranger bien longtemps!

    Elle posa sa main sur la poigné, c’est vrai elle avait peut etre exagérer et prit ses sentiments envers lui trop au sérieux, mais voila, elle ne savait plus vraiment quoi faire, la phrase qu’il avait dit l’avait mise dans le doute, on ne disait pas à quelque un qui ne nous dérangeait pas justement qu’est que tu fais la, ça ne se faisait pas tout simplement. Mais il lui avait dit qu’elle ne le dérangeait pas.

    ||Baël||Dit moi Laura, aurais je était désagréable avec toi ces derniers temps ? C'est une question stupide, mais ne cherche pas à comprendre. Répond moi, sincèrement.

    Laura tourna vivement la tête vers lui, elle avait encore la main sur la poignée de la porte, si elle avait déjà lancé des regards pas très sympas à des personnes celui qu’elle venait d’adresser à son frère dépasser touts les autres. Un regard qui faisait presque peur tellement il était noir et méchant, un regard qu’elle n’avait jusqu’alors jamais eut. Sa respiration s’accéléra, devenant saccadée, comme lorsqu’elle se mettait en colère et tout le monde le savait lorsqu’elle hurlait tout simplement ce n’était pas grave l’orage était de courte, même de très courte durée. Mais seulement voila, lorsqu’elle se mettait à respirer de la sorte et à lancer ce genre de regard c’était que l’orage n’était pas loin. Enfin l’orage, c’était plutôt une véritable tornade, un séisme une catastrophes naturelles impossible à gérer. Elle lâcha la poignée de la porte, avançant de sa démarches féline vers son frère un doigt pointé sur sa poitrine, il était bien plus grand qu’elle mais il ne lui faisait pas peur.


    ||Laura|| Désagréable Baël? Tu as été odieux! Je ne te reconnais plus, tu me donnes envie de vomir Baël, je ne te supportes plus, tu passes ton temps à me ridiculiser, m’humilier, me rabaisser comme la dernière des traînées et ceux constamment en public, tout le monde croit que tu ne m’aimes plus!….Ne poses de questions de ce genre, les réponses que je te donnerais te laisserait sans voix, tu ne sais pas ce que tu m’as fais subir cette semaines, la seule avec laquelle tu n’as pas changé c’est avec Eloise! Encore et toujours la même!

    Ca y’est elle venait de dire tout ce qu’elle avait sur le cœur à son frère ou presque, ça se voyait puisque qu’elle continuait de respirer fort et que son doigt était toujours posé sur la poitrine de son frère, elle sentait son cœur battre, c’est vrai elle n’avait qu’une envie s’était de se jeter dans ses bras, de lui demander ce qui lui arrivait, elle tenait tellement à son frère, mais elle était énerver elle ne supporter plus ses sarcasme tout ce qui lui tombait sur la tête depuis le début de la semaine. Lorsqu’elle était rentré à Poudlard, elle avait souris heureuse de rentrer chez elle, ce qui serait pour toujours sa seule et unique demeure mais quelques jours plus tard elle ne savait plus rien. Elle ne savait même plus si elle tenait à rester ici, elle voulait seulement partir loin d’ici emportant avec elle cette pale copie de son frère pour le faire redevenir comme avant.

    ||Laura|| Qu’est qui t’arrives Baël?….Tu le sais pourtant que je t’aimes plus que tout, alors pourquoi agis-tu comme si tu avais oublié ce qu’on a vécu ensemble… Tu ne veux pas que l’on recommence à se disputer comme lorsqu’on était si jeunes et innocent….Baël regarde moi quand je te parle et explique moi la raison du pourquoi et le pourquoi du comment

    Elle avait profiter du temps ou elle avait réfléchis à touts ces trucs pour réfléchir et surtout se calmer, elle posa sa main douce sur la joue de son frère, la caressant, elle cherchait au fond de ses yeux à savoir ce qu’il pensait à ce moment la, elle sentait que petit à petit les larmes montaient, et même si elle ne le voulait pas elle sentit que les larmes coulaient le long de se joues les inondant. Elle avait honte de pleurer, elle savait qu’elle était tellement faible lorsqu’il s’agissait de son frère, il était la seule personne qui était capable de la rendre si humaine face à de telle situation, elle le savait si ça avait été une de amies de Serpentard elle aurait passé l’éponge et ce serait vengée, mais voila elle ne pouvait pas se venger de son frère et surtout elle ne pouvait pas passer l’éponge . Elle posa son regard sur son visage, dans ses yeux bleus, ses yeux dans lesquels il faisait tellement bon se réfugier lorsqu’on avait des problèmes, et surtout c’était grâce à ses yeux qu’il mettait la plupart des filles dans sa poche, même si il fallait l’avouer il faisait partis des plus garçons de tout le château, il était même carrément canon, c’était sur si il n’avait pas été son frère elle lui aurait déjà sauter dessus

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https://appelo-mortem.forumactif.org/-t31.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/relations-f29/j-avais-decide-d-etre-heureuse-mais-pas-forcement-entoure-t973.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/journal-intime-f27/ecrire-c-est-hurler-en-silence-t668.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/hiboux-f28/petit-petit-petitapelle-le-hibou-la-t232.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/envie-d-un-rp-f30/laura-owned-d-t50.htm
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MessageSujet: Re: Juste nous deux, comme avant ... Juste nous deux, comme avant ... Icon_minitimeVen 11 Juil 2008 - 21:28

    Baël regarda le visage de sa soeur se décomposait sans rien pouvoir faire. Doucement, il s'approcha une nouvelle fois d'elle et tendit la main, effleurant avec douceur la joue de Laura. De tristesse son visage passa à fureur, et Baël se prit en pleine face son regard meurtrié, capable de vous taillader le corps comme un coup de couteau ajusté. Lentement, il s'éloigna d'elle à reculons, une lueur d'incrédulité dans les yeux. Que diable avait-il encore fait pour mériter un pareil acceuil ? Il toisa sa Serpentarde de soeur avec mépris cette fois ci, lui en voulant à son tour de ce comportement pueril. Son manque de connaissance par rapport au sois disant crime dont il serait victime le mit hors de lui. Se déplacant avec une rage féline peu commune, il posa une main plus dûr sur le visage de sa soeur, la forcant à le regarder droit dans les yeux. Baël la regardait avec une telle méchanceté qu'il fut surpris par lui même, mais cette fois Laura l'avait cherché. Il lui avait pourtant bien dit qu'il ne se souvenait pas de ses actes, mais une fois encore elle avait passé l'éponge sur ses plates escuses - pourtant vraies. Et la revoilà qui repartait à l'assaut et qui était le fautif dans tout ça ? Lui bien sûr, toujours lui le méchant frère odieux qui était d'après les dires en train de devenir pire. Pire que le mal, c'était possible ? Le vert et argent mettait tout le monde au défis d'encore lui annoncer qu'il tournait mal. Et puis quoi encore, que Laura se retourne contre lui et se mette à le haïr ? Il ne fallait pas non plus trop le chercher, sinon il risquait d'avoir du dégât. D'un geste dédaigneux il lâcha sa soeur, pointa sa main d'un geste accusateur et recula, loin d'elle et de sa prétension. Pour qui se prenait elle à présent, à vouloir à tout pris tout savoir ? Il n'avait aucun compte à lui rendre. Petite soeur. Tout était dans le nom, elle était plus jeune et lui devait le respect. Quoi qu'il eut fait ! Sauf que voilà, il ne savait même pas ce qu'il lui avait fait subir. Mais ca ne devait pas être bien horrible non ?

    Il s'entendit lui demander ce qu'elle fichait ici, et ne put qu'être heureux que sa voix ne soit pas aussi méprisante envers elle que ses pensées. Si Laura n'avait pas été sa soeur, celà ferait bien longtemps qu'il l'aurait frappé, elle qui le regardait si mal et pensée pouvoir lui repprocher tous ses petits traquas de la vie. Une rupture encore ? Un repproche sur la façon dont il avait traité un de ses prétendants ? Mais quand il ne serait pas là, elle aurait du mal à réussir à se débrouiller. Sa soeur voulait qu'il lui foute la paix ? Et bien soit ! Qu'elle comprenne un peu qui à raison, dans cette école ! Se retournant de nouveau vers lui, elle lui cracha d'une voix glaciale qui ne fit que redoubler l'intensité de la colère du jeune Baël. Non, s'en était vraiment beaucoup trop à présent.

    Laura >> " Ne t’inquiète pas Monsieur le petit prince, je ne vais pas te déranger bien longtemps! "

    Il réduisit à néans la distance qui le séparait de sa soeur, et d'un geste posa sa main sur les épaule de sa soeur, la retournant pour la plaquer contre le mur. Malgrès sa colère, le tout se fit avec une douceur non feinte. Baël ne supportait pas de lui faire du mal physiquement. Ses beaux yeux bleus emplis de mépris s'ancrèrent dans ceux de sa soeur tandis qu'il la tennait toujours, et que sa voix devenu menacante s'exclame, en proie à une brusque pique de colère nouvelle.

    Baël >> " Ne me parles pas sur ce ton, Laura Owned ! Tu es vraiment incapable de montrer un temps sois peu de respect ? Je t'ai dit que tu ne me dérangeais pas, quoi que.A présent je doute. Si tu n'es là qu'uniquement pour piquer une crise, Dégage ! "

    Baël avait de plus en plus de mal à se reconnaître. Pire même, l'impression que quelqu'un d'autre régissait chacun de ses mots, chacun de ses gestes. Mais sa soeur, sa soeur .... Là elle dépassait purement et simplement les bornes ! Merde ! Il ne lui avait vraiment rien fait, celà faisait même deux jours qu'elle ne lui adressait pas la parole. Et à présent, elle se montrait méprisante. Poussant un grognement de rage, il se baissa au niveau de yeux de sa soeur, tout bonnement terrifiant. De sa main libre, il écarta une mèche de cheveux de son visage angélique avant d'y déposer un baiser de glace sur sa joue. Ses actes, toujours polis en rendait la situation encore plus terrifiante, comme un tueur en série pret à frapper mais qui faisait patienter la situation en jouant avec des victimes qui lui appartienne. Le souffle brulant jouant sur la visage de Laura, Baël la lacha et lui tourna le dos, s'installant ensuite sur un lavabo. Jamais il n'avait était si peu humain, ni jamais aussi beau.

    D'un geste désinvolte, il se passa la main dans les cheveux sans même jetter un regard à sa soeur. C'était tellement idiot de croire que Laura comprendrait ses troubles de mémoire et tacherait de l'aider. Non, elle se contentait d'essayer de se rendre justice face à des choses qu'il n'avait pas le souvenir d'avoir commises. Qu'attendait-elle ? Qu'il s'escuse ? Quand il neigerait en Août. Faisant appelle au dernière resources de douceur, il lui demanda le plus poliment du monde s'il avait été désagréable avec elle à un moment ou à un autre. Le vert et argent connaissait la réponse, vu l'état de colère de sa soeur, mais il voulait de plus amples informations sur le sujet. Avec un rictus mauvais, il regarda la fine silhouette de sa soeur avançait vers lui, un doigt accusateur pointé vers son torse. Il se leva, la dominant de toute sa hauteur et lui attrapa la main, enlacant ses doigts au sien dans un geste encore térrifiant. Avec une lègère pression l'incitant au calme, il la lacha de nouveau. Ses yeux océan se fixèrent dans ceux de sa soeur, et Baël attendit, impassible, qu'elle déballe sa tirade sencé le blesser. A ce stade là, il allait en falloir beaucoup.

    Laura >> " Désagréable Baël? Tu as été odieux! Je ne te reconnais plus, tu me donnes envie de vomir Baël, je ne te supportes plus, tu passes ton temps à me ridiculiser, m’humilier, me rabaisser comme la dernière des traînées et ceux constamment en public, tout le monde croit que tu ne m’aimes plus!….Ne poses de questions de ce genre, les réponses que je te donnerais te laisserait sans voix, tu ne sais pas ce que tu m’as fais subir cette semaines, la seule avec laquelle tu n’as pas changé c’est avec Eloise! Encore et toujours la même! "

    Le vert et argent regarda la jeune femme avait haine, et en même temps incrédulité. Odieux ? Lui ? Enfin oui, comme toujours mais avec elle ? Non, ca ne lui ressemblait pas. Et puis même si c'était le cas, il s'en souviendrait non ? Baël était quasiment sûr que si il en demandait plus à soeur, les dates auxquelles il se montrait méprisables colleraient jours pour jours, heures pour heures avec ses drôles " d'absence ". Non, c'était quasiment sûr. D'après Laura, il avait vraiment dû être d'une méchanceté gratuite et sans aucuns scrupules. Hum ... intéressent. Il fallait qu'il dise à Eloïse que pendant ses absences il n'était pas du tout le même. En parlant d'elle, Baël en avait plus qu'assez que les deux jeunes femmes ne se supportent pas. Combien de fois avait il dû les séparer, alors qu'elles étaient en proix à un crépage de chignon ? Et pourquoi, je vous le demande ? Pour lui. Et oui, la jalousie des filles n'a jamais été un fait discutable : c'était une évidence.

    Les yeux de sa petite soeur passait du noir à l'humidité, et il la deviné apte à fondre en larmes. le gentil Baêl, celui qui ne supportait pas ça se serait jeté sur elle pour la serrer dans ses bras à l'en étouffer. Pas aujoud'hui, alors qu'il n'avait rien fait et qu'elle le savait. Il s'approcha néanmois, sa main figée en l'air dans un geste hésitant. Il avança la main, une fois, deux fois puis la retira et la posa sur sa tête. Pour une raison incconu, il ne supportait plus son contact, et pourtant le désirait plus que tout. Tiraillé entre deux parties sans comprendre, sa fureur se derversa une nouvelle fois sur le seul être de la pièce qui en prit pour son grade, une nouvelle fois.

    Baël >> " Ecoutez moi l'experte en relation. Mais Laura, je t'ai dit plusieurs fois que je ne me souvenais pas de ces moments. En quelle langue faut il que je te le dise, hein ? Tu n'as même pas assez confiance en moi pour reconnaître qu'a des moments on dirait que je suis quelqu'un d'autre, et que ca m'échape ! Eloïse ? Tu parles d'elle ? C'est bien la seule qui essaye de m'aider à comprendre ce qui m'arrive ! Toi, toi, toi ... ma chère soeur qui en se moment ne trouve rien d'autre à faire que blâmer son frère ! Depuis quand m'évites tu Laura Owned ? Que sais tu de ce qui m'arrigve ? Prend tu de mes nouvelles ? "

    Il ne laissa pas le temps à sa soeur d'encaisser, lui attrapant férocement la main pour la plaquer contre son front brûlant qui frôler les quarente degrès, ou plus. Il irradiait de chaleur, véritable soleil ambulant tirraillé par sa migraine. L'explosion atomique continua ...

    Baël >> " Tu sens là, comme c'est chaud ? J'aurais pu partir de cette école dans un brancard sans que tu t'en aperçoive ! Tu m'évite, Laura ! Et c'est moi le fautif ? Alors que tu sais que je ne suis pas responsable ? Tu me déçois tellement ... "

    Il lâcha sa main et s'éloigna d'elle brusquement, faisait à présent les cent pas dans cette salle devenue une obsession malsaine. Il abbatit son poing contre une porte, faisant sursauté sa soeur. Il continua à marcher, tourner en rond à grandes enjambés, fulminant pour ne pas partir en courant sans jamais se retourner. Marre de devoir payer les crimes de choses qu'il n'avait pas commise. Marre du regard horrifié et enragé que lui adresser sa soeur. Rageur contre elle qui au lieu de l'aider l'ensevelir sous une tonnes de reproches. Il n'était plus "lui même " dans certains moments, c'était si dûre à comprendre. Furieux, il donna un coup puissant dans un mur, à présent il avait en plus le pied douloureux. Laura s'approcha de lui, et il recula. Toujours se refus de proximité. De plus en plus étrange ...

    Laura >> "Qu’est qui t’arrives Baël?….Tu le sais pourtant que je t’aimes plus que tout, alors pourquoi agis-tu comme si tu avais oublié ce qu’on a vécu ensemble… Tu ne veux pas que l’on recommence à se disputer comme lorsqu’on était si jeunes et innocent….Baël regarde moi quand je te parle et explique moi la raison du pourquoi et le pourquoi du comment"

    Elle se rapprochait, trop, beaucoup trop. Soudain, une main hésitante vint se plaquer contre sa joue, à la fois caressante. Baël se dégeait déjà, mais lorsqu'il la vit fondre en larmes il stoppa net son geste, la laissant à son loisir de le toucher. Grand bien lui fasse. Des larmes salés coulaient le long de ses joues, inondant son visage d'eau translucide, une chose qui la rendait bien plus belle qu'avant. Son frère la regarda, d'abord avec indifférence puis peu à peu ses instincts protecteurs reprirent le dessus. En soupirant, il passa un bras autour de la taille de Laura, puis, se laissant tombé en douceur, l'autorisa à se blottir contre son torse. Doucement, il attendit que le flot interminable de ses larmes se tarissent, puis d'une voix toujours aussi froide - ca, il n'y pouvait rien - il déclara :

    Baël >> " Laura ... Je te répete depuis des jours que ce qui m'arrive n'a aucun sens. Trous de mémoire, migraine, perte de connaissance ... Je n'y peut rien, je perd doucement le fil de mon existense qui m'échappe entièrement ... "

    Les minutes passèrent dans un silence seulement rompu par les pleurs de la jeune femme, qui se furent de plus en plus distant avant de disparaître. Il ne relacha pas son étreinte, bien qu'il fut ailleurs. En train de réaliser que ces brusques changements de sa personnalités auraient du l'inquiéter. Au lieu de ça il éprouvait de la ...fascination ? Un certain tentation ? Mais aucunes hésitations.

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MessageSujet: Re: Juste nous deux, comme avant ... Juste nous deux, comme avant ... Icon_minitimeDim 13 Juil 2008 - 14:28

    Il fallait qu’elle se l’avoue le regard de mépris que venait de lui lancer son frère lui avait mal, bien plus que ce qu’elle avait jamais ressentit, pourtant beaucoup de personnes lui avaient un jour fait mal, l’avait trahis, mais le simple fait que ce regard vienne de son frère l’horrifiait. Petits ils avaient échangés biens des regards provocateurs, méchant et même haineux, mais jamais au grand jamais elle ne l’avait regarder comme ce qu’il venait de faire. Encore perdue dans ses pensées elle se rendit compte que Baël venait de se mettre en mouvement, s’avança de sa démarche féline, celle qu’il adoptait dès que quelque un l’énerver, c’était un réflexe familial sûrement vu qu’elle avait cette même démarche. Pourtant elle ne s’attarda pas sur ce fait, elle sentit une main sure se refermer sur sa je il ne lui faisait pas mal, jamais il ne lui faisait mal, mais sur le moment, alors que sa main se refermait sur sa joue elle tressaillit, il lui faisait peur elle ne pouvait le cacher c’était comme ça, c’était peut la seule personne sur terre qui pouvait lui faire révéler touts ses états d’âmes, enfin lorsqu’il était normal et pas aussi agressif.

    Elle lui répondit alors qu’elle le laissait tranquille le plus froidement qu’elle le put, depuis la rentrée c’était toujours lui qui avait été odieux, à son tour un peu, elle ne tenait pas à partir sans avoir au moins jetée une pique à son frère. Pourtant elle regretta aussitôt son geste, puisqu’il se rapprocha à nouveau d’elle, la regardant très méchamment avant de la plaquer contre le mur, pas violement non. Et juste pour ça elle pouvait s’estimer heureuse d’etre sa sœur, si une autre personnes avait été présente, elle serait déjà à l’infirmerie. Pourtant malgré ses certitudes face à son frère elle eut peur et avant d’entrer en contact avec le mur elle ferma les yeux s’attendant peut etre à un choc plus violent, à un geste tellement brusque qu’il lui aurait fait mal. Mais non, elle ne fit que frôler délicatement le mur, comme si elle s’était appuyée dessus volontairement, elle rouvrit les yeux, mais elle eut presque de suite envie de les refermer, le regard que lui donnait son frère lui faisait peur.


    ||Baël || Ne me parles pas sur ce ton, Laura Owned ! Tu es vraiment incapable de montrer un temps sois peu de respect ? Je t'ai dit que tu ne me dérangeais pas, quoi que. A présent je doute. Si tu n'es là qu'uniquement pour piquer une crise, Dégage !

    Et voila ça y’est, il venait de lui sortir son nom et son prénom, et lorsqu’il l’appelait comme ça il valait mieux se mettre à l’abris,c‘était qu‘elle allait en prendre pour son grade dans les minutes qui suivraient, mais elle ne pouvait pas, elle ne pouvait plus bouger, elle n’y tenait pas non plus, elle encaissa les mots de son frère, ils glissaient sur la carapace qu’elle s’était fabriquée lorsqu’elle était née. La carapace que possédait tout les Serpentard dignes de leur maison. Alors qu’elle pensait qu’il allait enfin la lâchait un peu il s’abaissa justement à son niveau ,ce qui en soit était plutôt courageux de sa part puisqu il faisait quelques tête de plus qu’elle et qu’il n’était pas réputé pour s’abaisser au niveau de ses adversaires. Elle observa le regard qu’il lui lançait toujours le même cette petite lueur qui brillait au fond de ses yeux comme si il n’avait rien fait de mal. Son autre main vint finalement repousser une mèche qui venait de tomber sur son visage, elle commença à gigoter sur place

    |||Laura|| Baël, lâche moi tu me fais vraiment peur là!

    Pourtant loin de la lâcher il continua à la regarda finalement elle vit son visage se rapprocher du sien, se rapprochait trop à son goût, elle recula autant qu’elle le put, ce qui était potentiellement impossible puisqu’elle était déjà contre le mur, mais elle parvint à reculer son visage de celui de son frère, pourtant il finit par poser ses lèvres sur sa joue, elle tourna presque aussitôt la tête, ce n’était pas que ce contact lui déplaisait elle avait toujours aimée les baiser de son frère, mais il n’était pas dans son état normal et elle n’aimait pas ça. Elle l’observa s’installer sur le lavabo, alors qu’il lui posait une unique question,une question qui la mit dans une rage folle, elle en oublia même jusqu’à ça peur, comment osait-il lui demander si il lui fait du mal, n’avait-il pas compris, son comportement n’était pas assez explicite pour lui? Ou alors il était tout simplement stupide!

    Mais alors qu’elle s’avançait vers lui, elle faillit reculer une nouvelle fois, voyant son frère se redressait de toute sa hauteur, Laura eut l’impression qu’elle n’avait qu’une envie: prendre ses jambes à son cou et se réfugier dans les bras de son meilleur ami comme à chaque fois. En ce moment c’était vrai, Jules était le seul garçon qui était encore capable de contenir la jeune verte et argent lorsqu’elle partait dans des hurlements de rages, certainement parce qu’il ne répondait pas se contentant de la regarder attendant que ça passe. Mais voila, même si il lui faisait peur elle voulait dire ce qu’elle pensait, elle voulait qu’il comprenne ce qu’il lui avait fait, bien qu’elle doute fortement avoir les mots juste pour lui dire ce qu’il lui avait fait subir. Il tendit une main vers la sienne, et vu l’état de colère dans lequel il se trouvait elle n’aurait même pas était étonnée si il lui avait broyé la main, ce qui en soit n’était pas très compliqué vu la force qu’il possédait face à la celle de Laura. Pourtant il se contenta de l’inciter au calme avec une légère pression, elle le sentait même si il avait envie de frapper sur tout ce qui bougeait il n’avait pas envie de lui faire du mal.

    Elle n’avait pas sut comment le dire pourtant elle le vit, ne pouvant détacher ses yeux des prunelles bleu de son frère, le regard plein de haine qu’il lui offrait depuis quelques minutes avait laissé place durant quelques secondes à l’incrédulité, avait-elle était trop loin? Elle le savait qu’elle regretterait ses actes, mais elle ne tenait pas non plus à s’arrêter la première tant qu’elle n’aurait pas tout dit, tant qu’il ne serait pas au courant de tout ce qu’il lui avait fait. Elle sentit que els larmes montait dans ses yeux, mais elle ne voulait pas pleurer, pas devant le monstre d’égocentricité qu’était devenus son frère, elle ne voulait pas lui donner une raison de la rabaisser une nouvelle fois. Mais comment cacher à la seule personne qui était capable de lire en vous le besoin intense de pleurer qu’on avait à l’instant même Détourner le regard, hors de question, elle ne baisserai jamais le regard face à lui, il tendit une main vers elle, mais la ramena vite en arrière, pourtant il la retendit, Laura vit qu’il hésitait. D’une part parce que sa main tremblait lorsqu’il la tendait vers elle mais aussi parce qu’il venait de la poser sur sa propre tête.


    ||Baël|| Ecoutez moi l'experte en relation. Mais Laura, je t'ai dit plusieurs fois que je ne me souvenais pas de ces moments. En quelle langue faut il que je te le dise, hein ? Tu n'as même pas assez confiance en moi pour reconnaître qu'a des moments on dirait que je suis quelqu'un d'autre, et que ca m'échape ! Eloïse ? Tu parles d'elle ? C'est bien la seule qui essaye de m'aider à comprendre ce qui m'arrive ! Toi, toi, toi ... ma chère soeur qui en se moment ne trouve rien d'autre à faire que blâmer son frère ! Depuis quand m'évites tu Laura Owned ? Que sais tu de ce qui m'arrigve ? Prend tu de mes nouvelles ?

    Ca y’est l’orage venait d’éclater ce fut plus doux que ce qu’elle avait imaginer, mais pourtant les paroles qu’il venait d’avoir la blessait à nouveau, comment avait-il put un jour croire qu’elle l’avait complètement délaissé comme si il n’était rien à ses yeux. De toute façon comment pouvait-elle aider une personne qui lui demandait sans cesse de partir lorsqu’elle se trouvait dans la même pièce que lui? Comment elle aurait bien voulus mais sa seconde personnalité ne lui en laissait pas l’occasion. Eloise avait de la chance il n’y avait que le gentil Baël qui se tournait tout le temps vers elle, mais Laura elle….Elle en prenait toujours pour son grade ces temps ci lorsqu’elle s’approchait de son frère, elle aurait voulus tout lui expliquer mais il enchaîna.

    Une nouvelle fois, Baël lui prit la main, plutôt violement peut etre plus que ce qu’il n’aurait voulus, ça elle ne le saurais jamais, elle ne savait pas vraiment si elle retrouverait un jour le frère qu’elle avait depuis qu’elle était jeune. Elle ne savait plus si elle pourrait l’aimer comme avant, mais une chose était sure alors qu’elle touchait son front, alors qu’il parlait elle sentit la chaleur qui émanait de son front. Elle était sure que le reste de son corps devait etre à la même température, seules ses mains n’étaient si chaude, soudain elle se rendit compte du mal dont il souffrait, elle ne s’était même pas aperçus de ce que son frère avait, sur que Eloise avait dut le remarquer, elle était tout le temps au petits soins pour son frère.


    ||Baël|| Tu sens là, comme c'est chaud ? J'aurais pu partir de cette école dans un brancard sans que tu t'en aperçoive ! Tu m'évite, Laura ! Et c'est moi le fautif ? Alors que tu sais que je ne suis pas responsable ? Tu me déçois tellement ...

    Laura tourna les yeux vers lui, et cette fois ci ce n’était pas la peur qui se lisait dans ses yeux, mais bien de la déceptions, avait-il vraiment crus une seconde qu’elle ne s’en serait pas rendus comptes, avait-il vraiment crus qu’elle avait oublié jusqu’à son existence sur cette terre. Elle l’avait peut etre déçus mais lui venait de le faire, et ce qu’il venait de lui dire lui fit l’effet d’un couteau planté dans le cœur. Un peu comme si elle vivait ça comme une trahison. Elle retira doucement sa main de son front, elle ne supportait pas ce contact de voir qu’il allait si mal, parce que si elle le regardait, elle se rendait forcément compte qu’il allait mal.

    |||Laura|| Tu crois vraiment que je t’aurais laissé partir seul Baël, tu sais très bien que les médicommages n’auraient jamais put t’emmener…. Tu sais très bien que j’aurais fait tout un scandale pour pouvoir partir avec toi, et si je n’aurais pas put tu aurais eu une lettre de moi tout les matins….Oui je t’évite, parce que même si je t’aime je ne sais plus comment réagir face à tes réactions, ton comportement devient trop étrange pour moi….Mes problèmes sont peut etre rien comparé au tiens mais cesse donc de croire que tu es le seul à en avoir……

    Finalement, et heureusement pour elle il lâcha sa main, pour aller taper dans une porte, la faisant sursauté elle était contente qu’il tape sur la porte et non pas sur elle, elle le savait parfaitement si elle n’avait pas été sa sœur, ça aurait fait longtemps qu’il aurait utilisé ses poings, peut etre et même sûrement moins fort que si elle avait été un mec, mais il ne se serait pas gêné. C’était son tempérament, on s’y faisait, tout le monde le savait de toute façon dans le château, on n’embetait pas Baël Owned si on ne voulait pas se recevoir une pluie de coup sur le coin de la tête. Bien sur, au début de l’année certains premières année s’amusaient à vouloir faire les courageux, mais très vite il retournait dans les jupes de leurs mères sous les rires moqueurs des Serpentard et plus particulièrement ceux de Laura.

    Au moment ou elle commençait à s’avancer vers lui, il donna un violent coup de pied dans la même porte, remerciant mentalement la porte d’avoir été la, elle regarda son frère se reculer alors qu’elle s’avançait vers lui, jamais il n’avait fait ça de cette manière, enfin si mais seulement lorsqu’elle s’énervait ce qui malheureusement pour lui arrivait plutôt souvent ces derniers temps. Comme si il refusait que sa sœur le touche, elle lui demanda alors ce qu’il avait, pourquoi il se comportait comme ça en fait au fond d’elle elle avait presque crus qu’Eloise aurait trouvée. Elle trouvait toujours tout, d’ailleurs elle se demandait encore comment cette fille avait fait pour ne pas tomber chez les Serdaigle, et si seulement elle était tombée chez les Serdaigle et non pas chez les lions, peut etre que l’animosité qu’il y avait entre les deux jeunes filles serait moins forte et aurait disparus au fils des années. Juste le temps que Laura grandisse dans sa tête et qu’elle assimile le fait que son frère pouvait rester avec une autre fille qu’elle.

    Finalement elle finit par avaler les derniers centimètres qui la dépassait de Baël pour venir poser une main sur sa joue, elle avait hésité à le faire, mais elle était sa sœur, ces dernier jours elle n’avait pas été la pour l’un des seuls garçons qu’elle ne méprisait pas du tout ce qui se faisait de plus en plus rare en ce moment. Elle sentit qu’il avait fait un léger mouvement pour se dégager, et ça plus tout le stress accumulait tout le long du début de l’année la faire fondre en larmes, il s’immobilisa à son plus grand plaisir. Elle était tellement heureuse et rassurée d’etre à nouveau si proche de son frère, comme avant, qu’elle ne se rendit même pas compte qu’au début il la laissait faire avec une telle indifférence que ça en faisait peut etre peur. Mais finalement elle sentit qu’il passait un main derrière sa taille, il en eut vite fait le tour d’ailleurs, elle était tellement fine….Voyant qu’il ne la rejetait pas elle posa finalement sa tête sur le torse de son frère repensant à tout ce qui avait put se passer depuis qu’elle était revenus à Poudlard, pourtant elle ne parvenait pas à arrêter le torrent de larmes qui se déversaient sur ses joues.


    ||Baël || Laura ... Je te répete depuis des jours que ce qui m'arrive n'a aucun sens. Trous de mémoire, migraine, perte de connaissance ... Je n'y peut rien, je perd doucement le fil de mon existense qui m'échappe entièrement ...

    Elle l’écouta attentivement pour la première fois depuis des jours et des jours, restant tout de même dans ses bras, c’était la qu’elle se sentait le plus en sécurité comme si touts ses problèmes s’évaporer dès qu’elle était avec lui. Et alors qu’il regardait autre part, elle le sentait ailleurs mais pourtant il ne relâchait pas son étreinte, elle prit le temps de l’observer, il suait à cause de la température, ses yeux bleu était cernés d’immenses cernes bleuâtre comme si il n’avait pas dormit depuis des jours et des jours, il était blanc comme un cachet d’aspirine, pourtant il était et resterait toujours beau. Finalement ses larmes se firent plus espacées, plus calmes et elle finit doucement par s’arreter, comme si elle avait l’impression que le fait qu’elle pleure le dérangerait dans ses pensées.

    Durant un moment elle hésitât à lui dire, qu’elle aussi avait quelques périodes de blancs, c’était rare dans son cas, ou en tout cas pas aussi fréquent que Baël, ça n’arrivait que els soirs lorsqu’elle quittait Jules dans la bibliothèque pour rejoindre la salle commune, elle se voyait parfaitement regagnant la salle commune mais le lendemain lorsqu’elle se réveillait elle ne se souvenait pas etre rentrer dans la salle commune s’etre doucher, parfois elle retrouvait ses chaussures d’uniforme tachées de boue. Seulement voila elle n’en avait jamais fait part à son frère pour ne pas lui faire peur toujours, pourtant alors qu’elle le retrouvait réellement pour la première fois depuis la rentrée elle ne put se retenir


    |||Laura|| Baël, il faut que tu saches…Tu n’es pas le seul à avoir des périodes de blanc, généralement lorsque tu te montre odieux avec moi, tu peux etre sur que le soir même je sais que je ne me souviendrais pas de ma soirée…..

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MessageSujet: Re: Juste nous deux, comme avant ... Juste nous deux, comme avant ... Icon_minitimeSam 23 Aoû 2008 - 16:59




    Dehors un hurlement sinistre retentit, en rajoutant sur l’ambiance mortelle de la situation. Il faut dire que de l’extérieur, cela aurait put paraître ironique, les enfants inséparables se déchirant en silence. Tout ce passer dans le regard, les iris bleus de Baël foncés par la colère, yeux plissés et lèvres retroussées dans un rictus effroyable. Elle, immobile, hypnotisée par tout le mépris que lui jette son frère. Sans se soucier de la blesser, sans lui épargner toutes les horreurs de paroles acides et de mouvements méprisable. Petit bout de femme qui ne comprend pas et pourtant puise encore dans ses forces pour lui rendre la pareille. Étonnant et pourtant insuffisant. De sa démarche féline, il s’approchait d’elle, lion affrontant l’agneau. La distance entre eux fut réduite à néants en quelques instant et la main glaciale du jeune homme s’abattit sur sa joue. Tressaillement.
    La jeune femme se reprit avec difficulté, lui assenant de sa voix glaciale qu’elle le laissait tranquille. Détestant le ton avec lequel elle lui répondait, il se rapprocha autant qu’il était possible, plaquant contre le mur le corps frêle et tremblant de sa petite sœur, toute raison envolée. Il voulait taper, entendre crier, taper encore et toujours plus fort. En quelques secondes, détruire Laura d’un simple coup bien placé, dans les tempes, le ventre ou ailleurs. Celà aurait était tellement simple qu'il ne se serait même pas amusé. Pourtant il se controla, chassant toutes envies noires de son esprit. Plutôt mourir que de toucher à un seul de ses cheveux. Pas parce que c’était une fille - en passant inutile de faire de cadeaux aux femmes, ce sont des vipères qui peuvent aussi mordre - non, parce qu’elle était de sa famille. Il la haïssait en cet instant. Et alors. Au moins, la haine est une passion. Inutile pour autant de provoquer un crime passionnel.

    Toujours d'une gentilesse incoparable, il lui cria des choses toujours agréable à entendre, ne se souciant même pas de l'impolitesse de son geste. Il aurait voulu qu'elle le déteste qu'il ne s'y serait pas pris autrement. Les mots semblèrent pourtant à peine l'effleurer, comme de l'eau coulant sur une surface lisse et imperméable. Glissant jusqu'a se disparaitre complétement. Tel frère telle soeur non ? Après tout ils avaient grandis au même endroit, endurer les mêmes choses. Et à présent ils s'affrontaient, et le jeune homme prenait la tête. Victoire pourtant peu glorieuse vu le mal qu'elle provoquait. Il s'abaissa à sa hauteur, yeux dans les yeux, combat toujours aussi inégal. Elle était fine et lui musclé et fort. Lui confiant elle térifiait. Et à ce moment, Baël imobil et Laura gigotant sur place. Pareille différence était haïssable lorsqu'on savait que tous les deux s'aimaient plus que tout.

    Laura : "Baël, lâche moi tu me fais vraiment peur là!"

    Le mot qu'il ne fallait pas, qu'il ne désirait pas entendre. Se transformait-il en un monstre incapable de gentillesse, de tendresse et de dévoument ? Peut-être. Et à quoi bon résister ? On ne force pas la nature à se plier à nos règles, c'est nous qui devons nous incliner. Chaque personne à un destin, non inchangeable. Si Laura était le prix à payer d'une hideuse transformation, alors même s'il était élever celà n'empecherait pas Baël de devenir ce à quoi il était destiné. Coup de poker jouait à l'aveuglette ? Peut-être. Mais le jeune homme était tellement destabilisé en cet instant qu'il refusait de mettre en doute ce en quoi il avait toujours cru : la présence d'une destinée incontournable. Et il était destiné à de grande chose. Il n'était pas normal. Il n'était pas un être parmis tant d'autre. Il voulait être l'exeption à la règle, avoir son nom dans un livre et qu'on parle de lui. Il voulait être mage noir. ^
    Jamais cette envie n'avait été aussi forte, jamais il n'avait eu pareille révélation. C'était à la fois effrayant et exitant.
    La respiration haletante de sa soeur le fit redescendre dans le monde présent, le commun des mortels et la banalité du temps qui passe sans que rien ne change. Approchant son visage de celui de la jeune fille, il ne prit pas compte du dégout évident que Laura éprouvait et déposa un bisous sur sa joue. D'un geste déplaisant pour Baël, elle détourna la tête.

    Baël : " Parfois, l'idée d'être fils unique en devient alléchante. Quand la raison même de votre existence détourne la tête de telle façon. Note bien Laura : Sans moi tu ne serais rien. Sans moi tu n'existerais pas. Et si tu n'étais pas ma soeur, tu n'existerais déjà plus. "

    La délaissant subitement, il s'éloigna d'elle pour s'installait sur le Lavabo. Il eut alors l'impression que son crâne se déchirait de toute part, lui envoiant des images. Lui devant le ce lavabo, avec un serpent sur un robinet, des sons étranges sortant de sa bouche . Baël sursauta avant de se lever brusquement, sans comprendre. Ce n'était qu'un rêve, ce n'était qu'un rêve ... Il regarda Laura qui s'approchait de lui et éclata une nouvelle fois. La rejoignant, il s'empara de sa main et la plaqua sur son front incandescant, lui asénant que c'était ELLE qui ne faisait pas attention à lui, ELLE qui ignorait son propre frère. C'était tellement plus simple que se soit elle la coupable, plus facile pour se sentir mieu sur tout. Mais c'était sans compter Laura qui ne se départissait jamais de sa fougue, même lorsqu'elle était triste.

    Laura : "Tu crois vraiment que je t’aurais laissé partir seul Baël, tu sais très bien que les médicommages n’auraient jamais put t’emmener…. Tu sais très bien que j’aurais fait tout un scandale pour pouvoir partir avec toi, et si je n’aurais pas put tu aurais eu une lettre de moi tout les matins….Oui je t’évite, parce que même si je t’aime je ne sais plus comment réagir face à tes réactions, ton comportement devient trop étrange pour moi….Mes problèmes sont peut etre rien comparé au tiens mais cesse donc de croire que tu es le seul à en avoir ... "

    Il la défia du regard, l'envie de taper soudain ranimer en lui. Il le fallait. Maintenant ! Frappant dans une porte à plusieurs reprise, il canalisa sa colère, trop grande pour tenir dans son soeur corp.Un bruit sourd s'éleva, rompa le silence morose de la situation. Laura. S'il n'y avait pas eu c'est sa soeur qui aurait encaisser sa colère. Bysarement, se rendre compte qu'il était comme une bombe à retardement, pret à exploser à la moidre secousse ne le rendit pas heureux.
    Il aurait put la blésser.
    La réalité sembla le rattraper de plein fouet, lassérant ses chairs, brisant ses os d'un seul coup. Le vide puis la douleur de la voir pleurer. Laura. Ce qu'il pouvait être con. En quelques enjambées il la rejoignit et tendis une main hésitante vers sa joue, mais la distance semblait plus longue qu'il ne l'avait compter. Comme si son bras était trop court pour la toucher et qu'un barière invisible les séparer. Il voulait la toucher, sentir la saveur boisé de sa peau et la chaleur de son corps, sécher ses larmes qui inondées ses joues. Il ne pouvait pas. Tremblante, sa main se posa sur sa tête et son regard changea, de fureur a culpabilité. C'est étrange, lorsqu'on prend concience de ses actes il est parfois trop tard. Vous êtes déjà jugé et condamner sans passer par un tribunal, condamné à perpetuer à regretter chacun de vos actes.
    Prenant l'initiative, la douce main de Laura vint se posait sur celle, moite, de Baël, qui transpirait sous l'effet de la fièvre. Un horrible sentiment s'empara de lui quand il réalisa qu'il ne suportait pas le contact de sa soeur.
    Voulant se dégager, il déclancha une nouvelle crise de larmes.

    Baël était honteux, plus qu'il n'était possible de l'être. Il avait fait tellement de mal à sa soeur qu'elle ne lui pardonerait probablement jamais. Et le pire était de savoir qu'il aurait pu la blesser, ou pire. Désireux de se racheter, il passa un bras autoutr de sa taille et l'attira contre lui, se laissant tomber au sol pour mieu l'enlacer. C'est quand on a failli perdre quelqu'un qu'on se rend compte que sans lui on ne serait plus rien. Et un monde sans Laura ne serait plus un monde. Les minutes filèrent, chacun perdus dans ses pensées. Mais le silence n'était plus un ennemis, plus aucun regard aîné. La distance les séparents n'était pas hostile, et il pouvait presque sentir la douce fragrance de leur retrouvaille. Il avait besoin de retrouver sa soeur, comme avant cette ... chose. La Chose. Il l'appellerait comme celà désormais.

    Laura :" Baël, il faut que tu saches…Tu n’es pas le seul à avoir des périodes de blanc, généralement lorsque tu te montre odieux avec moi, tu peux etre sur que le soir même je sais que je ne me souviendrais pas de ma soirée…"

    Enième coup de poignard pour le jeune homme. La Chose était elle une sorte de virus qui se propageait, contaminant ses amis et famille ? Devait il se mettre en quarentaine ? Car, au fond de lui il était persuadé que la souche de ce " virus " était en lui, que le responsable n'était personne d'autre. Il le sentait. La Chose était malsaine, mais il ne voulait pas s'en débarasser. Il voulait apprendre, savoir la contrôler et si possible, la posseder. Mais que sa soeur en sois victime ? HORS DE QUESTION !

    Baël : " Si seulement je savais Laura. Ecoute, après cette soirée je ne veux plus que tu m'approches durant ... trois semaine. Aucun contact d'accord ? Juste pour voir si c'est moi le responsable de tout ses blancs. Celà n'a rien de personnel, je veux juste te proteger ... tu es ma priorité. Tu sais que je t'aime. "

    Baël contempla la mimique frustrée de sa soeur qui, sans doute, ne comprenait pas cet éloignement forcé. Pourtant, celà était inévitable, il avait besoin d'être fixé. Et, si jamais il s'avérait que sans l'approcher elle redevenait normale, alors une séparation plus définitive se déssinerait à l'horizon. Pour la proteger.



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MessageSujet: Re: Juste nous deux, comme avant ... Juste nous deux, comme avant ... Icon_minitimeMer 27 Aoû 2008 - 21:01

    Le comportement de son frère, il semblait la haïr, un sentiment qu’il n’avait jamais eu envers elle auparavant, oh bien sur il y avait eu des disputes, des provocations, des mots plus que méchant. Mais de la haine jamais, même jeune alors qu’ils se faisaient une guerre à laquelle Laura ne voulait pas mettre fin, jamais elle ne l’avait hais, ou du moins pas a ce point. Elle tremblait, faible, face à celui qu’elle aimait plus que tout, face à la chose qu’était devenus son frère. Nouveau tremblement, se contrôler. Jamais, elle ne le pourrait jamais, pas face à lui, si il y avait bien une personne qui pouvait lui faire perdre ses moyens c’était bien lui, personne d’autre ne pouvait le faire, même Devan ne le pouvait pas. Et ce n’est pas pour autant qu’elle n’aimait pas son ami, seulement voilà, la nature humaine est très compliqué, alors pourquoi Laura serait-elle aussi simple que toutes ces filles qui l’entourent et donc par conséquent prévisible? Non, inutile.

    Un baiser, le seul qu’il lui avait accorder depuis des jours et des jours, normalement elle aurait sourit, fermé les yeux par le simple contact des lèvres de son frère sur sa joue, mais pas là. Elle redescendait d’un rêve, le réveil d’une petite sœur en regardant son frère. Réveil douloureux, obligé de faire face à la vision anti utopique qu’elle s’était faite depuis toujours. Mon grand frère ce héros, l’homme parfait, mais aussi le protecteur. Baël Matthias Owned, l’amour de sa vie, celui qu’elle allait toujours voir, celui sur qui elle se reposait son pilier. Si elle avait peur la nuit, c’était dans son lit qu’elle se traînait se fichant éperdument des regards des serpentard du dortoir de son frère, c’était sur lui qu’elle venait s’asseoir dans la salle commune après une journée épuisante dans son assiette qu’elle piquait de quoi manger même si la sienne était encore plein. C’était avec lui qu’elle avait vécu les meilleurs moments de sa vie, et dans son rêve dans sa petite bulle elle avait eut l’impression que ça durerait toujours, encore et encore.


    Baël : " Parfois, l'idée d'être fils unique en devient alléchante. Quand la raison même de votre existence détourne la tête de telle façon. Note bien Laura : Sans moi tu ne serais rien. Sans moi tu n'existerais pas. Et si tu n'étais pas ma soeur, tu n'existerais déjà plus. "

    Le pensait-il vraiment? Fils unique, il voulait réellement être fils unique à ce moment là, se rendait-il compte de ce qu’il venait de dire? De la douleur qu’il venait d’infliger à sa propre sœur, à celle qui l’avait toujours soutenu. Si il était son pilier principal elle avait toujours cru être le sien, alors pourquoi? Comment pouvait-il être aussi cruel avec elle, c’est vrai elle devait se l’avouer sans lui elle n’existerais pas ou du moins elle ne serait pas ce qu’elle est aujourd’hui. Il la délaissa aussi soudainement qu’il s’était approché, elle le regarda s’installer sur le lavabo. Elle ne parvint pas à répondre, comment le pouvait-elle? Elle ne savait pas quoi répondre, le seul qui pouvait la faire taire, lui lancer des phrase auxquelles elle ne pouvait pas répondre venait de faire son œuvre. Une nouvelle fois, comme d’habitude.

    Un rayon de soleil vint illuminer le visage du jeune homme, i semblait tellement angélique, c’est comme ça qu’était tout les mages noirs, dans leurs enfance tout le monde disait qu’ils étaient tellement beau, angélique… Le regard de son frère sur elle, ce regard bleu azur, bleu océan qui l’avait si souvent fait voyager en terre inconnu, dans les lacs, des lagons, des pays qui faisaient rêver la jeune fille. Un seul regard et il la faisait voyager, au rythme des mots qu’il maniait comme sa baguette. Ses cheveux tombant sur son visage, blond, ou châtain clair, sur qu’ils ne se ressemblait absolument pas niveau physique, mais niveau mental. Oh comme elle pouvait l’aimer malgré tout ce qu’il lui faisait. Elle n’avait qu’une envie, promener sa main sur sa joue, lui faire comprendre qu’elle ne lui en voulait pas tant qu’elle que ça Sentir ses mains puissante se refermer dans son dos pour lui montrer qu’elle était en sécurité ave lui.

    Un bruit sourd la ramena sur terre, l’arrachant à ce monde dans lequel elle aurait aimer se plonger de tout son être, il venait d’écraser son poing sur la porte qui lui faisait face, que ce serait-il passer si c’était elle qui avait reçu ce coup? Elle en serait certainement morte, elle savait la puissance de son frère, ce qu’il était capable de faire, et elle savait surtout qu’il était bien plus judicieux d’être son ami que son ennemi. Par contre, parfois être sa sœur lui pesait, comment pouvait-elle en faire autrement, obligé d’écouter toute ces filles parler de son frère, baver sur lui comme des escargots, et elle ne devait rien dire. Non, jamais. Laura était une bombe prête à exploser dès qu’on parlait de son frère. Ses camarades de chambre avaient sûrement le souvenirs de la colère qui l’avait prise un jour. Carolina avait tout simplement dit qu’elle le trouvait tellement sexy, Laura lui avait jeter un sort et il avait fallu l’aide de 3 septième année pour la calmer et la maîtriser. Un simple regard pouvait déchaîner la haine de la verte et argent, une fille qui regardait son frère dans le couloir, alors qu’il passait devant elle son regard descendait sur son fessier et Laura faisait de la vie de cette fille un enfer total.

    Elle se mit alors à pleurer, la tristesse la rattrapant, comme lorsqu’on fuit par tout les moyens comme un crabe sur une plage, il est tranquille peut se prélasser seul, et puis du jours au lendemain, une horde de touriste s’installe, et le voilà obligé de fuir face à des petits enfants trop curieux à son goût, il recule, recule mais voilà, au bout d’un moment il ne plus reculer et il se retrouve dans un seau de plage en train d’essayer de s’échapper. C’était ce qu’elle était à ce moment là, un simple crabe, ou peut être même un simple pions dans le jeu machiavélique de son frère. Les larmes coulaient doucement sur es lèvres, elle sentait l’eau salé rentrer dans sa bouche, doucement. Alors qu’il s’approchait elle eut peur, peur de subir le même sort que la porte, pourtant elle n’eut aucun mouvement de recul, elle savait tout au fond d’elle qu’il ne pouvait en aucun cas lui faire du mal.

    Et finalement alors qu’elle ne l’espérait plus, qu’elle se disait qu’il ne voudrait plus jamais d’elle, il la pris dans ses bras, entourant sa fine taille de ses bras, elle enfoui alors sa tête dans son cou, sentir son parfum encore une fois, comme un renouveau, pourtant elle le connaissait ce parfum, par cœur même mais chaque fois ça lui faisait le même effet, l’impression d’être dans la sécurité la plus complète. Par pur réflexe, elle passa doucement sa main dans la nuque de son frère, puis dans es cheveux, innocemment comme lorsqu’ils étaient petit, comme lorsqu’elle s’ennuyait. Elle faillit sourire en se souvenant que lorsqu’elle faisait ça et qu’ils se trouvaient à l’école il faisait semblant que ça le déranger. Après tout se faire câliner par sa petite sœur dans le cour de l’école il y avait de quoi mourir de honte à l’age de Baël, surtout lorsqu’on est en primaire et qu’on est censé etre un gros dur.

    Elle plongea son regard dans le sien, silence. Pesant? Non jamais, pas entre eux, pas entre les inséparables. Ou du moins pas dans des moments comme celui-ci. Sa main continuait de caresser la nuque du vert et argent, perdu dans se pensées, tirant toutes sortes de conclusions plus saugrenue les unes que les autres, des supposition naissaient dans son esprits. Des question également.


    Baël : " Si seulement je savais Laura. Écoute, après cette soirée je ne veux plus que tu m'approches durant ... trois semaine. Aucun contact d'accord ? Juste pour voir si c'est moi le responsable de tout ses blancs. Cela n'a rien de personnel, je veux juste te protéger ... tu es ma priorité. Tu sais que je t'aime. "

    Stupeur? Frustration? Déception? Un peu de tout ça en même temps? Tr7s certainement, après tout ce temps elle retrouvait enfin son frère, elle pouvait à nouveau le sentir contre elle, lui parler sans qu’une hostilité quelconque ne vienne s’immisce entre eux. Sans que rien ne les dérange, pas même un élève, ou plutôt une élève qui voudrait profiter de cette salle, pour ne pas voir qu’elle pleure. Non rien ni personne, et même encore si jamais quelque un était rentré à ce moment là? Ils seraient resté comme ça Ou peut être que par pudeur plus qu’autre chose, ils se seraient séparé, se relevant, et faisant face à l’élève il auraient démenti. Quelle option était la bonne, personne ne le saurait jamais puisque ça ne s’est pas passé.

    Elle repensa alors à ce qu’il venait de dire, supporterait-elle l’éloignement une nouvelle? Alors qu’elle savait qu’il n’avait pas réellement changer? Elle allait encore devoir supporter, bravant le regard curieux des autres, qui se demandaient bien ce qui se passait entre les deux jeunes. Les regards curieux, bien qu’elle déteste ça ce ne serait pas ça qui la dérangerait le plus, ce serait de savoir qu’Eloise serait encore proche de lui. Qu’elle serait là a ses cotés, alors que elle, sa propre sœur serait obligé de rester en retrait, de regarder son frère descendre de plus en plus bas… Aller très certainement de plus en plus mal sans pouvoir rien faire. Quelle pire torture pouvait exister? Voir la décadence de l’objet qui faisait son bonheur.

    Elle baissa de nouveau les yeux, retirant brutalement sa main de sa nuque, la posant sur joue brûlante, moite,son autre main vint se plaque sur l’autre joue de son frère, plongeant son regard dans celui de son frère. Cherchant au fond de ce regard une once de malice, se moquait-il d’elle ou est qu’il était sérieux, non ça ne pouvait pas etre possible, elle se mit à genoux devant lui, ils se faisaient désormais face. A genoux l’un en face de l’autre, éperdu dans la tristesse et le désir de voir l’autre heureux.


    ||Laura|| Non non par pitié, je viens juste de te retrouver et je te perd si vite….

    Elle retira une de ses main et la posa sur la sienne, puis elle vint déposer ses lèvres sur la joue de son frère, sentant la chaleur du corps de Baël sur ses lèvres glacé, alors que quelques secondes auparavant ce geste pourtant bénin lui aurait sembler impossible, maintenant elle le faisait. Dans un sens pour rattraper ce qu’elle ne lui avait pas fait, et dans un autre sens pour qu’il la rassure. Qu’il lui dise que c’était pour son bien, une nouvelle fois, même si ce n’était pas vrai. Elle ne mentait pas lorsqu’elle disait qu’elle se fichait totalement de savoir si c’était lui qui lui donnait touts ces blancs, elle voulait juste rester à ses cotés, le voir, le sentir.

    Elle reposa une nouvelle fois ses lèvres sur la joue de son frère, s’accrochant éperdument à lui, pour ne pas le perdre, pas maintenant, pas si vite, elle ne voulait et elle ne pouvait pas. N’avait-il pas compris qu’elle avait souffert durant le temps ou il l’avait rejeter, il fallait qu’elle le explique une nouvelle fois? Qu’elle lui fasse un dessin? Ou bien qu’elle hurle une nouvelle fois? Si ça continuait à ce rythme là il allait se détruire mutuellement et sans même s’en rendre compte. Elle re décolla ses lèvres une nouvelle fois


    ||Laura|| Je me fiche de savoir si tu es responsable, tu l’as déjà dit je n’existe pas sans toi….Je suis perdu Baël, si tu me laisse seule….Je préfère avoir des blancs je t’en pris, je ne plus te perdre comme ça…S’il te plait Baël….

    Elle enfoui son visage dans le cou de son frère, fermant ses yeux, elle ne voulait pas laisser les larmes couler à nouveau, et pourtant elle ne put pas, elle savait qu’elle était faible, mais c’était comme ça, elle sentit que les larmes coulaient à nouveau le long de se joues pour venir se déposait dans le cou de son frère, se déposant comme la rosé du matin. Elle releva finalement la tête vers lui.

    ||Laura|| Ou alors moins longtemps, genre 3 jours, c’est le week end dans trois jours, pendant les cours on se voit presque pas, ça ne sera pas si dur, mais les week end! Et puis si jamais j’ai peur la nuit, chez qui je vais aller, Devan et Jules ne comprendrait pas!

    La frustration venait de faire place à la peur, et ça se lésait dans ses yeux, elle avait arrêter de pleurer durant sa tirade, elle avait parler sans reprendre son souffle, sentant qu’elle ne pourrait pas tenir. Elle le regarda puis se releva se mettant devant la vitre, elle ne jeta aucun regard à son frère, puisant au fond de ses forces pour trouver une solution, pourtant elle savait qu’il n’y en avait pas elle ne trouverait jamais. La séparer de son frère c’était une destruction totale de sa propre personne, elle savait qu’elle aurait peur dans la nuit, elle avait toujours eut peur, lorsqu’il faisait orage, elle avait peur depuis qu’elle avait vu la foudre s’abattre sur un arbre, le carbonisant….Elle resta de face à la vitre jetant un regard dans le parc, ses bras serré contre elle.

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