Appelo Mor†em (old)
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« Miroir, mon beau miroir. Dis moi que je suis le plus beau. » Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
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MessageSujet: « Miroir, mon beau miroir. Dis moi que je suis le plus beau. » « Miroir, mon beau miroir. Dis moi que je suis le plus beau. » Icon_minitimeMar 19 Aoû 2008 - 0:02

PRIO MAXOU. <3


Découvrez Naast!

« The best thing about tonight's that we're not fighting... »
La meilleure chose est que ce soir, nous ne nous battrons pas. -- Secondhand Serenade ;; Fall for You


    On entendait un brouhaha perpétuel dans le Chemin de Traverse en ce Dimanche. Pourquoi. Pourquoi donc le jeune Narcisse s'était il aventuré ici, et pas dans le vieux Londres comme il avait l'habitude de le faire? D'une part, il ne voulait pas revoir ceux à cause de qui il avait failli perdre la vie à de nombreuses reprises, et de deux, il avait un énorme besoin de réfléchir, seul. Il marchait, sans savoir il pourrait aller, mais tout cela, la tête haute, comme on le lui avait appris. Il dévisageait les sorciers et sorcières qu'il croisait, et ce qui lui esquisser un sourire, n'était d'autre que leur réaction impulsive: ils changeaient de suite de trottoir. Il arpentait la plus célèbre des rues de tout le Royaume Uni depuis une heure déjà, et était passé s'acheter deux trois choses à grignoter, étant donné qu'il n'avait rien avalé depuis la veille. A part une bouteille de Vodka en compagnie de June. Mais ça, ça ne comptait pas. En repensant à cela, le vert et argent tourna alors dans une petite ruelle sombre, et finit par se retrouver dans l'Allée des Embrumes. Il ne comptait plus le nombre de fois où son père l'avait emmené dans ce sordide endroit, pour on ne sait quelle affaire douteuse. Il fit abstraction à tout cela, et poussa vite la porte du Serpent de Nuit, et ne jeta pas un seul regard derrière son épaule. Il connaissait et était parfaitement connu dans ce bar. Il y passait le plus clair de son temps les week-end, à broyer du noir, et à faire ses devoirs même. Tout était bon pour ne pas retourner au manoir familial. Il y emportait ses parchemins et ses plumes, et le pire, c'était que le patron ne le virait pas; comme il le faisait d'ordinaire avec les élèves de Poudlard qui se voulaient un peu trop présents à son goût. Cet endroit était censé être le repère de tous les malfrats du monde sorcier, alors imaginez lorsque vous y voyiez des adolescents... Ca ne vous donne pas trop envie de vous y aventurer lorsque vos attentions ne sont pas de toute netteté. Le jeune Hebgons, lui, faisait partie des rares privilégiés à pouvoir s'attabler lorsqu'il le voulait à cet endroit. Il en profitait, et ne s'en privait pas le moins du monde... Le barman l'adorait, et lui servait toujours son éternel 'Soho – Jus d'orange' dès qu'il entrait.
    Et ce jour là ne fit pas exception à la règle... Sans un mot, il empoigna le verre, et le but d'un coup. Le reposant délicatement sur le comptoir, et adressant un 'merci' de la tête à son confrère d'infortune, il lança son sac contre le mur, qui vint littéralement s'écraser sur la chaise, qui était devenue depuis quelques années, sa place réservée. Il s'y dirigea à son tour, et s'y assit. Narcisse ne sut que faire, ou en commander un deuxième, ou s'adonner à ce qu'il faisait le mieux en ce moment: penser. Il opta pour la seconde solution, mais se prit un petit whisky pur feu pour tout remettre en place dans sa tête. Il l'avala cul sec, et s'affala sur la table. Sa main gauche pendant légèrement dans le vide, il commença peu à peu à somnoler. Des rêves l'assaillèrent, tantôt le mettant en scène, tantôt ses amis proches. Il se redressa en sursaut, les yeux exhorbittés, et explosa de rire face à sa propre bêtise. Il se remit debout, et s'aperçut qu'un énième trou vint compléter déjà la grande collection qui ornait son vieux jean. Ce jour là, il n'avait pas lésiné sur l'accoutrement, pour le moins provocateur. Il avait revêtu une veste de cuir ornée de multiples badges, avec en dessous une chemise blanche, à la quelle il avait décidé de mettre une cravate. Le tout représentait clairement le Serpentard. Il ne mettait quasiment jamais rien d'autre lorsqu'il sortait sur le Chemin de Traverse... Il ressemblait comme deux gouttes d'eau à ces chanteurs et groupes punks des années 1970. Il y a une éternité de cela donc. Hebgons entendit le couinement singulier de la porte d'entrée du pub, et s'attarda quelques secondes sur celui qui venait d'entrer. Il sourit...

      Innocent L. Hebgons: « Maximilien. Quel plaisir de te voir en ces lieux! »


    Une de ces douces ironie dont il avait le secret vint orner sa phrase, et un sourire vint illuminer son visage. Il ne bougeait pas de sa place initiale, et attendait avec impatience que celui qui avait été son amant ne décroche un mot.



{Un peu court disoulé ^^'

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Maximilien E. Middle
Admin | Serdaigle
Loosing control...Help him to get up! Maximilien E. Middle
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Amour : Loréana Wilde est et sera pour toujours l'amour de sa vie!

Pensine
Orientation Sexuelle: Bisexuel
Année d'étude: 7ème année
Caractère: Sincère, honnête, fou, motivé, drôle, beau parleur, inteligent, charmeur, loyal, passioné, passionant, têtu, bien élevé, révolutionnaire, débrouillard, autonome, sarcastique, protecteur, volontaire, amusant, sportif, classe, patient, franc, écrivain, artiste! etc

MessageSujet: Re: « Miroir, mon beau miroir. Dis moi que je suis le plus beau. » « Miroir, mon beau miroir. Dis moi que je suis le plus beau. » Icon_minitimeMar 19 Aoû 2008 - 1:00

[J’éspère que ça va te plaire, le premier passage est un peu hard et j’espère qu’il te plaira ! Je ne sais pas si tu as mis une croix rose mais il faudrait en mettre une xD]

    Attrape moi si tu peux, mange moi si tu veux mais suce moi je meurt


A son nom que l'on crie
Au fond des verres de vin
A se dire que la vie
Oui, n'était qu'une putain


    Elle était belle, nue, penchée au dessus de lui, elle était d'autant plus magnifique que l’on distinguait que faiblement la silhouette de son corps gracieux et magnifique. La lumière de la lune plaine semblait vouloir jouer avec sa peau âcre, semblait vouloir l’éclairer tout entier afin de montrer la beauté de son sexe au monde entier mais cette femme était tellement puissante, tellement belle, que la lune, elle-même s’inclinait devant cette beauté, devant cette demande de liberté qu’elle exprimait à travers l’acte suprême…La lune, elle-même, acceptait de ne montrer de son corps uniquement ce que cette femme voulait qu’on en aperçoive, elle semblait tout contrôler et sous son visage d’ange, ses boucle brune qui tombait élégamment dans son coups, qui se collait sur son front en sueur et qui bataillait pour éviter de devenir une crinière de lione, on pouvait apercevoir une grande tristesse, un grand désarrois et peut être même une grande peur qu’elle semblait vouloir cacher derrière ses hurlement, derrière les contraction presque forcées de son périnées mais lui, il pouvait les sentir les cicatrices, lorsqu’il la touchait, il sentait ses fins bouts de peau qui semblaient avoir été arrachés…Ces blessures physiques cachait, il le sentait dans sa voix à elle brisée par le désir et les sanglot, un mal-être moral bien plus grand mais d’en dessous, Il ne pouvait rien faire…Il n’avait d’ailleurs ni le cœur ni l’envie de faire…Juste ce désir de sentir encore ce corps chaud se mouvez bien serré autours de son membres, de pouvoir encore une fois prendre ce doux menton dans ses mains pour attirer ces lèvres si douce à sa bouche froide à lui… Elle lui réchauffait le cœur malgré cette puissante détresse qu’il percevait au fond d’elle…Ils étaient en symbiose et en même temps que ce plaisir intense, il ne pouvait s’empécher de ressentir ce même désarrois et cette même peur de l’homme…Il ressentait même la peur que cette femme penchée au dessus de lui avait contre lui-même…Il ressentait cette peur d’atteindre le ciel et de devoir en redescendre après…Et tandis qu’il la laissait lui faire l’amour, il comprenait que de nombreux gens se trompaient…Le sexe n’était pas un acte vulgaire…Juste une association poétique de deux corps à la nuit tombée, à l’abris des regards, dans la pudeur et la dépudeur la plus total…Juste un paradoxe à lui tout seul…Un peur de voir l’autre partir sans sois même et une envie simple d’accompagné l’autre dans le moment qui suivra chaqu’un de ses cris…Et même si il n’y avait pas d’amour, le sexe pouvait être une façon de communiquer, de parler et de raconter tout ce que des mots n’avaient pas la force de révéler…A la faible clarté de la lune, il percevait les larmes qui coulaient sur ses joues rosies de plaisir et tout en criant il sentit ses larmes s’échapper de ses yeux à lui et pour la première fois, il resta sans voix devant la puissance d’une femme…

    MAXIMILIEN_ « Attends…Je ne connais même pas ton prénom… »
    FEMME_ « Et alors ? On ne se reverra sans doute jamais…Et c’est bien mieux comme ça. Merci ! »

    Sa voix redevenue froide sonnait faux aux oreilles du jeune serdaigle qui la regardait s’éloigner dans cette robe blanche courte et large mais qui lui collait quand même à la peau tout en virevoltant grâce à ce vent, cette brise fraîche qui venait alourdir un peu plus le rouge des joues de Maximilien qui ne pouvait s’empécher de la regarder s’éloigner avec cette grâce, cette légèreté dont elle semblait avoir été doté à la naissance…Il la regardait partir, trouvait cette liberté qu’elle avait extrêmement touchante et il sentit une larme, une seule cette fois-ci s’écouler sur sa joue alors dans la froide douceur de la nuit, il se retourna et commença à son tour à marcher…Il avait la tête vide mais la tête pleine, cette fille ou cette femme peut être qu’en savait il ? l’avait emmené en une seule nuit au plus profond de ses doutes, au plus profond de son désarrois, au plus profond de ses questions et au plus profond de ses paradoxes…IL n’avait envie de rien si ce n’est de la reprendre elle…ou une autre…Elle ou un autre…Il n’avait rien envie de rien sauf peut être de la frapper pour l’avoir emmené si haut et l’avoir fait redescendre si bas…Il n’avait envie de rien parce qu’il avait peur de lui en ce moment…Peur de ses pensées, de ses actes, de ses envies…Peur de se vide qu’il ressentait et qu’il avait cherché à ressentir toute ses années sans l’obtenir et maintenant que cette nuit…Il l’avait, il le tenait enfin en main, cette oublie de son histoire cet oublie de manque d’affection, il en avait peur, il voulait le fuir…Il avait reçu en une nuit plus de question et de réponse qu’il n’en n’avait jamais eut de toute sa vie et il ne souhaitait qu’une chose que ses anciens doutes reviennent remplacer les nouveaux qui lui tiraillait l’estomac durant cette agréable nuit…
    Il ne savait même pas où il allait…Il errait plus qu’il ne marchait…Il se baladait sans but, sans même savoir où il était, où il allait, comment était il arrivé là…Ce corps chaud, brûlant, tremblant, transpirant et en même temps si fragile qu’il avait tenu entre ses mains quelques secondes plus tôt semblait ne pas vouloir quitter sa tête…Ses pas le conduisirent encore dans un barre…Il en poussa la porte et à peine fut il entrer que son regard se porta sur le bar où il le reconnu lui…

    Il le voyait là, tranquillement assis au bar, en train de discuter avec le barman…Il semblait tranquille, il paraissait même à l’aise et pour ça, pour ce bonheur que ce garçon semblait éprouvé en ce moment, Maximilien l’aurait envoyé contre le mur, l’aurait frappé sans aucun remord pour lui faire regretter ce bonheur dont lui n’avait pas droit, n’avait pas accès en ce moment…Et pourtant de le voir si calme, si beau, si mystérieux au fond de ce barre miteux, Maximilien eut une forte envie de se diriger derrière lui et de le prendre, là comme ça, au milieu de tout le monde sans état d’âme, sans même se soucier si il allait lui faire mal…Il voulait juste faire passer à quelqu’un tout ce qu’il ressentait en ce moment, ce désir, cette tristesse et ces doutes que cette fille lui avait passé, il voulait les donner, les offrir à Narcisse et peut être s’en débarrasser par la même occasion…La porte grinça derrière lui lorsqu’elle se ferma et tandis que ses pas le conduisirent encore vers le bar, vers Narcisse il sentit le regard de celui-ci se poser sur lui et il entendit sa voix ironique froide s’insinuer dans ses oreilles…


    NARCISSE_ « Maximilien. Quel plaisir de te voir en ces lieux! »
    MAXIMILIEN_ « Il n’est que peu partagé…Je t’offre un verre ? »

    Maximilien n’avait pas envie de faire la conversation, surtout pas avec lui…pas avec cet individus ingrat plein de haine et d’égoïsme, cette individu qu’il avait envie de plaquer contre le mur de gifler et d’embrasser…Maximilien avait peur de tout ce qu’il ressentait en ce moment là, il ne se reconnaissait pas mais il y avait une chose dont il était sûr…Il voulait communiquer ce soir sans un seul mots, ses doutes à Narcisse…

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MessageSujet: Re: « Miroir, mon beau miroir. Dis moi que je suis le plus beau. » « Miroir, mon beau miroir. Dis moi que je suis le plus beau. » Icon_minitimeLun 25 Aoû 2008 - 0:07


      Maximilien M. Middle: « Il n’est que peu partagé…Je t’offre un verre ? »


    Toujours dans la gentillesse et la bonne humeur. Narcisse, en son for intérieur, riait. Ce qu'il pouvait être beau ce Max lorsqu'il avait des problèmes plein la tête. Le vert et argent se délectait d'ors et déjà de la haine qui coulait des yeux de son ami. Non. Pas de la haine. Comme un mélange de rancoeur et d'interrogation, tout cela étant évidemment parfaitement accordé avec les soucis qu'il devait déjà avoir emmagasiné depuis le début de l'année. Une vraie petite bombe à retardement pour être bref. Lui adresser la parole plus de cinq minutes aurait été se confronter à un simili apocalypse. Narcisse le connaissait tout de même assez bien pour affirmer qu'il n'était pas au mieux de sa forme. Okay, okay, ils se détestaient. Mais cela ne pouvait pas empêcher le fait qu'ils étaient irrémédiablement attiré l'un vers l'autre.
    Il ne voulait se l'avouer, mais dès que le Serpentard avait entendu la voix du garçon, un frisson l'avait parcouru. Cette voix, ce souffle chaud qui l'avait bercé et le berçait encore la nuit tombée. Les fois où leurs deux corps s'étaient unis dans la plus belle des symbiose ne laissaient au jeune homme que de sublimes souvenirs. Il ne se lassait pas de se repasser ses images, encore et encore, dans son inconscient. Rares étaient les jours où ils ne s'engueulaient pas. C'était ça qui rendait le tout des plus excitant.

      Narcisse L. Hebgons: « Oh si tu veux. Tu ne va pas me souler pour abuser de mon pauvre et frêle corps n'est ce pas?! »


    Il savait qu'il jouait avec le feu, enfin surtout, il essayait de plus ou moins déstabiliser Maximilien pour parer à ses défences. Ce que Narcisse pouvait aimer être au dessus des autres, c'était comme une seconde nature. C'était bien la seule et unique valeur que lui avait inculqué son père, et cette famille qu'il s'évertuait à oublier. Comment pouvaient ils ainsi le laisser s'autodétruire? Tous les jours sa vie se dégradait, tous les jours il était un peu plus malade et désorienté par ses abus. Il ne trouvait du soutien que dans ses amis. Et surtout dans les bras de Tristan. Celui qu'il considérait depuis toujours comme son meilleur ami. Il était le grand frère qu'il n'avait jamais eu, malgré le fait qu'ils aient le même âge. C'était lui qui sauvait le vert et argent lorsqu'il était à deux doigts de se tuer, et dieu sait que c'était arrivé souvent. Dès qu'on le laissait seul plus d'une heure, sa vie ne semblait plus avoir aucun sens. Il se lassait de tout, ne pensait plus qu'à une seule chose: sa mère, et la mort qui le guettait à chacun de ses pas. Cette femme qui l'avait mis au monde s'en était allé... Personne n'avait voulu savoir ce qu'elle était venu faire, ce 8 août là, au manoir de la puissante famille des Hebgons. Elle y avait laissé un nourisson, un petit garçon répondant au doux nom de Narcisse.
    Il n'avait même pas remarqué la position peu orthodoxe qu'il abordait à présent. Complètement avachi sur le comptoir, les bras croisés et la tête posé sur ceux ci. Il soupira, et releva les yeux. Un signe de faiblesse de sa part, comment avait il osé faire cela, alors que c'était lui même qui devait mettre l'autre 'hors d'état de nuire'? Il ne se comprenait pas des fois... Ce bar sordide n'arrangeait rien à son humeur des plus ombrageuse. Et pourtant, il souriait. Il ne voulait pas que les autres voient ce qu'il y avait en lui. C'était bien la dernière des choses qu'il aurait souhaité sur cette foutue planète. Son coeur battait à tout rompre, s'il continuait ainsi, il allait baisser sa garde, et ça, ce n'était pas bon. Ne pas parler, ne pas sourciller, ne laisser transparaitre aucune émotion. Les règles qu'il s'était fixée étaient simples, mais efficaces. Un silence pesant s'installa peu à peu dans la pièce, ce qui eut le don de plus ou moins émoustiller le jeune homme, qui voulut rompre la glace avec son voisin... Pour une fois.

      Narcisse: « Tu caches tellement mal tes émotions... Je trouve ça mignon venant de toi tu sais. »

    Ce n'était peut être pas ce qu'il fallait dire s'il avait un tant soit peu réconforter son 'ami'...

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MessageSujet: Re: « Miroir, mon beau miroir. Dis moi que je suis le plus beau. » « Miroir, mon beau miroir. Dis moi que je suis le plus beau. » Icon_minitime

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