|Prio’ à Julia!|

Quelle drôle d'idée... Pourtant j'avais cru que se serait fortement amusant... Qu'est-ce qui cloche?!

Couchée sur le dos une petite brunette avait le souffle coupé, après avoir reçu de plein fouet un coup du saule cogneur, elle avait atterrit quelques mètres un peu trop loin. La tête commençait à lui tourner fortement et elle se disait vraiment qu'elle n'aurait pas dû s'approcher trop près de cet arbre qui semblait pourtant bien endormi. C'était probablement dans ses pires moments qu'il frappait, quand on s'y en attendait le moins quoi. Elle avait tout de même trouver le moyen de sourire, parce qu'il fallait avouer qu'une fois encore elle c'était mis dans de mauvais draps, et c'était de sa faute. On aurait dit qu'elle faisait drôlement exprès de se retrouver dans des situations pas possibles, mais surtout qu'il lui faisait toujours assez mal au final. C’était comme ça, lorsque Keiko se lançait un défi, elle ne pouvait écouter sa conscience qui lui hurlait de ne pas faire de conneries. Pourtant la vie est bien plus intéressante de cette façon. Mais la plus récente question à toute cette petite japonaise était venue se promener près de cet arbre… En cet après-midi nuageux, la belle jaune et noir n’avait trouvé aucun garçons à séduire et elle avait cherché jusqu’à ce pointé devant le saule. Elle connaissait sa réputation mais elle ne l’avait jamais réellement vu en action… Et bien elle l’avait vu… Et d’assez près à vrai dire.

Ouais... Ça n’a l'air de rien mais un coup dans le ventre c'est assez douloureux... Mais bon, il faut bien que je me reprenne, allez hop on se lève!


Elle se leva d'un bon sur les pieds, sans oubliant de se tordre de douleur une fois ceci fait. Elle n'avait pas penser que ça lui ferait plus mal debout, et c'était ce qui lui avait le plus surpris lorsqu'elle s'était mise sur ses pieds. Bref, elle se mit à marcher vers l'entrée de l'école, les sourcils froncés de douleurs et en titubant légèrement. Vraiment, ça lui apprendra à avoir des idées aussi idiotes... Non d'accord… C’était faux de prétendre qu’elle apprendrait de ses erreurs… Keiko allait refaire des conneries c'était certain, écoutez c’était comme croire qu’un chien n’aboierait plus jamais… Bon étrange comparaison mais nous allons nous en contenter! Peut-être que ce cou lui avait laissé on ne sait quelles marques et c’est à cette pensée que la jaune et noir fut le plus décourager. Il fallait dire qu’elle était assez superficielle et si elle avait des bleus elle ne se montrerait à personne durant un bon bout de temps… Elle mit un temps fou à monter les marches qui la séparait de l’école… Et dites moi donc comment allait elle grimper jusqu’au sixième étage alors qu’elle souffrait tant?? À pas assez ralentit, elle montait une à une les marches qui les séparaient de quelconques remèdes... Voilà un étage de monté...

Oh là là, juste un étage de monté?! Bon d'accord, on prend notre souffle, on respire! >.< Bon... Huuu... Huuuuu... Huuuuuuuuuuuu. Et voilà de deux! Mais c'est quoi cette idée de mettre notre infirmerie aussi haute quand on souffre autant?! Allez encore un effort! HANNNNNNNNNNNN! HANNNNNNNN! Mais bon sang! Je ne peut plus monter une seule marche de plus sinon je vais mourir! Et je suis rendue où là? Ah! Au cinquième… Mais non…Je n’y arriverai jamais! Mieux vaut se réfugier dans la salle sur demande je pourrai me reposer comme je le souhaite!

C’est donc en suivant cette pensée, mais surtout dut au mal qui lui tenaillait les côtes, la japonaise tituba à nouveau mais cette fois-ci vers un paradis de plaisir. À mesure qu’elle avançait, et plus elle essayait de se défaire de sa douleur en passant à autre chose. Par exemple, elle était en train de se faire un top 3 des mecs de l’école. Ensuite, elle avait commencé à penser à une personne bien particulière… Et dans ce cas-ci je veux dire une fille… Parce que oui, normalement Keiko est hétéro mais il n’y a que deux femmes sur cette terre à avoir fait exception. La raison était simple, elle semblait comprendre les filles puisqu’elles se ressemblaient… Et si ce n’était que ça! La façon dont ils vivaient leur relation était tout bonnement parfaite… Elle pensait maintenant à Valérie… Elle était nouvellement en charge de deux enfants mais ce genre de choses ne dérangeait pas du tout la japonaise, au contraire même… Pourtant, avec ses deux filles elle ressentait un petit quelque chose qu’elle ne ressentait pour aucun de ses coups d’un soir. Ce n’était pas de l’amour mais au moins elles n’étaient pas indifférentes dans son cœur. Bref, elle ne ressentait plus du tout ça douleur et c’est avec un soulagement qu’elle entra dans la salle sur demande, après avoir fait tout le nécessaire pour ouvrir la porte bien évidemment. Comme à toutes les fois qu’elle y venait, elle ne bloquait pas l’entrée aux autres, préférant et de loin se retrouver en compagnie de quelqu’un. Elle se fit donc apparaître un fauteuil avec ses pensées et s’y installa prudemment avant d’enlever son t-shirt, laissant ainsi apparaître un immense bleu et son soutien-gorge noir. Elle se fichait de se faire prendre bien évidemment!

Lia s'était réveillé tôt ce matin. Enfin tôt, oui on pouvait dire que 8 heure le matin c'était tôt. Et pour faire quoi ? La jeune fille n'avait pas eut envie de quitter son lit douillé ce matin. Elle n'avait envie de rien à faire, et les journées comme ca, s'annonçait toujours ennuyeuse. Banale. Mais courageuse, comme une vraie rouge et or, la jeune fille s'était pourtant levé, tant bien que mal. Elle avait tiré sa grande valise qui reposait sous son lit et comme chaque matin son petit chat décidé d’y fourrer son museau. Depuis qu’elle était a Poudlard, il avait semble-t-il, trouvait ce jeu très amusant, puisqu’il faut le précisé cela amusé beaucoup Lia de le voir farfouiller dans cette valise, il donnait un peu l’impression lui aussi de se trouver quelques chose a mettre pour la journée. Et heureusement pour lui, il n’avait vraiment pas se problème là, certaines fois Lia l’envier beaucoup d’être un chat, il avait beaucoup moins a ce soucier de toutes ses choses futile, telle que les vêtements. Elle soupira et regarda sa valise qui encore une fois se retrouvée en bazar pas possible qu’elle rangea. La jeune Gryffondor s'avança vers la salle de bain des filles et décida de prendre un bain, pour passer le temps ou se détendre, elle en avait bien besoin ! Elle s'amusa avec les bulles et la mousses qu'il y avait. Cela n'avait rien avoir avec la salle de bain des préfets mais ca lui allait très bien D’ailleurs lorsqu’elle aurait un peu plus de temps, elle se disait qu’il faudrait qu’elle y retourne, avoir cette grande salle de bain pour elle seule, oh oui, elle contait bien y aller seule et non avec ses deux acolyte sans quoi son petite plaisir solitaire ce serait alors transformé en une méga bataille d’eau. Enfin. Ensuite la jeune rouge et or, décida de s'habille puis elle laissa ses cheveux retomber sur ses épaules. Elle était enfin prête pour affronter cette journée de ronde. Oui car aujourd’hui était son jour et personne ne peut y échapper. Ce pourquoi après avoir passé le portrait, et descendu les escaliers, elle s’arrêta au 6° étage ou elle commença sa ronde.

Elle avançait machinalement dans le couloir. Il faut dire que ce n’était pas un couloir beaucoup visité, au mieux, elle pouvait y croiser qu’elle que élèves rendant visite à leurs camarades présents dans l’infirmerie, donc aucune infraction. Et puis elle pouvait aussi y croiser quelques professeurs, puisque leurs appartements ce trouve a cet étage. Mais ça elle n’en avait pas vraiment envie. Elle avançait donc dans les couloirs sans grande conviction. Puis elle entendit des cris, provenant du bout du couloir, un groupe de jeune qui venait dans sa direction, ils courraient. Pourquoi ? Etaient-il poursuivit ? Cela aurait pu être drôle. Lorsqu’elle les vis s’approcher d’elle, elle remarqua qu’ils n’avaient rien de jeunes effrayé et tout semblait aller bien.

[Julia] Je suppose que vous vous rendez à l’infirmerie, alors il est inutile de courir, votre ami ne va pas partir, il est cloué dans son lit et puis pensez au calme des autres s’il vous plait. Allez circuler calmement.

Et bien qu’elle intervention, il n’y avait pas de quoi fouetter un chat. Si toute sa journée devait ce dérouler ainsi, elle allait vraiment s’ennuyer*Soupire*.

Elle se trouvait a présent au 5° étage et pas mécontente que les escaliers, pour une fois, n’en ai pas trop fait rien qu’a leur tête. Nombre de fois qu’elle c’était fait avoir lors de sa premier année. Il faut dire que cela avait été toujours une source de rigolade, avec Fred et Hiru. Elle avança dans le couloir, vérifiant que tout allé bien. Les tableaux discuter entre eux, et pour certains dormais encore. Elle n’enviait pas leur place, non vraiment. Elle trouvait sa journée bien ennuyante, mais la leur ne devait pas être terrible non plus. Alors qu’elle regardait les tableaux accroché au mur, il lui semblât entendre un soupire de l’autre côté du mur. Elle avança encore un peu et colla son oreille contre le mur. Vous allez me penser n’importe quoi, comme si avec l’épaisseur des murs de cette école, elle allait entendre quoi que ce soit. Et bien détrompé vous. Il y avait bien quelqu’un, ou alors, chose tout à fait nouvelle dans cette établissement, les murs se mettait à respirer, ce qu’elle pensait peut probable. Puis il lui vint une idée, c’était a cette étage que ce trouvait la salle sur demande. Et comme la curiosité de notre rouge et or est assez prenante, elle voulait savoir et découvrir qui était là. Elle ce dit alors que si elle avait pu entendre le soupir ici, c’était que le mur était plus fin ici, donc que la porte ne devait pas être loin. Elle passa et repassa devant ce mur

*Je voudrais découvrir ce qu’il y a dans cette pièce. Je voudrais découvrir ce qu’il y a dans cette pièce. Je voudrais découvrir ce qu’il y a dans cette pièce. Je voudrais découvrir ce …*

Ce fut a cet instant que la porte apparu alors devant elle. Elle s’avança, saisit la poigné et poussa la porte. La pièce était calme et lumineuse, il n’y avait pour seule bruit que cette respiration saccadé, cette même respiration qui l’avait conduite jusqu’ici. Une fois à l’intérieur, elle avança prudemment vers le fauteuil qui se trouvait en son centre. Qu’elle ne fut pas sa surprise d’y découvrir Keiko, en sous-vêtement avec un bleu immense. Elle s’accroupi au coté de cette dernière

[Julia] Mais qu’est que…Enfin c’est quoi ce…ça va ? Non tu peu pas rester là

Elle ne savait pas trop quoi dire à son amie. D’autant que cela faisait un bout de temps qu’elles ne c’étaient pas vu toutes les deux.