Appelo Mor†em (old)
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Un divan, une table et des bonbons Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
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MessageSujet: Un divan, une table et des bonbons Un divan, une table et des bonbons Icon_minitimeMer 17 Sep 2008 - 19:13

|Prio à Laura|


    Nemo sourit. A présent, ça l’amusait. Etrange n’est-ce pas ? Personne ne l’aurait cru. Lui, le petit poisson qui passait tout son temps à dénigrer cette personne. Il y mettait tout ses talents d’acteurs, dans cette scène. Ce court moment qui ne durait même pas deux minutes. Il faisait tout son possible pour que ça paraisse vrai. Il le devait. Imaginez que le vilain Baël, le terriblement méchant Baël Owned découvre la supercherie, ce serait terrible ! Il faisait de son mieux. Il avait essayé de se préparer à crier des injures, ils les avaient même imaginés. La première fois, il avait été surprit. Ce qu’il avait voulu dire avait été remplacé par un autre mot, une autre insulte. Il avait dit quelque chose de beaucoup plus méchant, plus tranchant et plus féroce que ce qu’il aurait voulu. Ca n’avait pas étonné les autres. Il disait toujours la même atrocité avec la même volonté. Il devait se rendre à l’évidence : Il lui avait crié dessus pendant plus de deux ans. Au fil du temps, il avait prit l’habitude. Les mots sortaient tout seul. S’il voulait s’arrêter, ça aurait été difficile. Un obstacle dans lequel il aurait du y mettre tout son cœur et toute sa force. Il était lancé. Il ne pouvait s’arrêter comme ça. Comme il avait eu dur à ouvrir la bouche et l’attaqué verbalement. Quand il l’avait vu, ce matin, dans le couloir, juste en face de lui, à même pas dix mètres, près de sa meilleure amie, Amanda, il aurait voulu courir vers elle, la prendre dans ses bras et la faire tourner, tourner. Dix, vingt, trente fois sur lui-même, tourner encore jusqu’à tomber à la renverse. Oui, il l’aurait tant voulu. Rien que ça, juste la serrer contre lui et sentit son odeur, ce petit quelque chose qui faisait battre son cœur happé par Cupidon. Nemo aurait tant voulu l’embrasser, gouter ses lèvres, à plusieurs reprises. Balader ses doigts dans les cheveux bruns de sa belle, la chatouiller, la choyer, et l’embrasser, encore et encore. De ca, il n’en était jamais repu, ne le serait jamais. Il n’en n’aurait jamais assez. Alors il maudit cette situation où il la regardait dans les yeux, sans rien pouvoir faire. Il s’était arrêté de marcher. Il l’avait juste regardé et fut prit d’une nouvelle rêverie, une de plus. Il n’avait fait que croiser son regard marron. L’azure dans l’ambre. Il avait ouvert la bouche, perdu. Il ne savait plus que faire, que dire. Un ami, John lui donna un coup de coude. John était un blond aux yeux verts. John était fiable. Il marchait toujours derrière Nemo. Il était son chien de garde, les yeux derrière le dos qu’il n’avait pas. Il était son ombre. Et quand il avait remarqué le manque de réaction de son copain aux cheveux noirs, il s’était inquiété. Il n’avait pas cherché à comprendre ce qui arrivait au gryffondor. Il avait juste agit. John était un bon chien de garde. Il faisait toujours tout ce qu’il devait. Il lui ne lui manquait que la réflexion, et il aurait été parfait. Il n’était pas du genre à se poser de questions. C’était peut-être à cause de sa blondeur, ou alors de l’accident qu’il avait eu à ses cinq ans. Il était tombé sur la tête. C’était peut-être ça, peut-être pas.

    Le coup de coude qu’il reçu le fit revenir sur terre. Nemo tourna la tête vers le blond, le regarda et sourit. Il l’avait tiré d’affaire. Il devait encore faire quelque chose pour paraître parfaitement normale, pour que personne ne se rende compte de rien. Ce n’était pas facile. Sa gorge resta nouée un instant. Il sera ses livres de cours, froissa la vieille couverture d’un livre de potion et ouvrit la bouche. Il pria pour qu’un son, n’import lequel sorte. Il se repassa en tête toutes les injures qu’il avait concoctées le matin même. Ca ne fonctionnait pas, rien ne sortait. Il serra encore plus fort ses livres, ferma la bouche et grinça des dents. Cette fille avait la capacité de le rendre complètement dingue, ou stupide, c’était au choix. Il devenait ce gamin paumé sous la pluie. Sauf qu’il était plus fort que ce maudit jour. Il n’y arrivait tout simplement pas.


    « Je savais que j’étais ravissante, mais de la à te faire perdre la parole, Alive… Es-tu tombé sur la tête ces derniers jours, emportant le peu de cervelle de Troll qui te restait ? »

    Il rouvrit la bouche sous la surprise. Elle avait osé ?! Est-ce qu’elle avait osé faire ce qu’il pensait qu’elle venait tout juste de faire ? Elle n’avait quand même pas fait ça pour l’aider, non… C’était impossible… Bon, c’est vrai qu’elle n’était plus la vilaine chipie que Nemo connaissait en sixième. De la à le ridiculiser en publique. Il aurait voulu le faire. Oui. La humilier devant tout ces gens avant qu’elle ne réplique. La rendre idiote, la faire rougir de colère. Il reconnaissait que ce n’était pas galant de penser de telles choses de sa dulcinée. Elle venait juste de dire ce que lui, pauvre petit poisson nommé Nemo, beau jeune gosse des rouges et or n’avait pas réussit à prononcer ?? Il était aussi monstrueux qu’elle en bref. Deux monstres qui s’aime, n’est-ce pas romantique ? Il desserra ses livres, sourit, d’un sourire mauvais. Il était un monstre, arrogant et cruel. Elle allait le découvrir.

    « Whaou ! Tu as travaillé cette réplique durant toutes tes vacances ? Ca m’étonne que tu puisses être capable d’aligner autant de mots… Ne serait-ce pas plutôt ton cerveau, à toi, qui aurait subit une amélioration… Nooon c’est impossible. Personne ne serait assez fou pour te donner une nouvelle cervelle, ou alors, une encore plus médiocre que celle que tu possède maintenant. Tu veux connaître la raison de mon silence ? Je me sens de bonne humeur aujourd’hui. Je la jouais gentleman, te laisser la première réplique, pour t’enfoncer encore plus dans la bouse de dragon. Bien que tu as été un peu lente à répliqué, il me semble que j’ai réussi. Sur ce… Je ne te dis pas bonne journée, elle sera certainement mauvaise vu que tu viens de me croiser… »

    Il ferma la bouche, prit une grande inspiration. Son cœur battait à tout rompre. Il ne l’avait pas lâché des yeux une seule seconde. Son azur était devenu une mer glaciale, un océan, l’antarctique. Il l’avait foudroyé de parole, de colère et d’insulte. Comme au bon vieux temps… Il n’était plus un an en arrière. En repensant à ce qu’il venait de dire, il voulu vomir. Merlin ! qu’il était un horrible garçon. Il était un monstre. Il aurait voulu être une pâquerette. Une belle petite fleur stupide, se faisant piétiner par chaque gnome passant par là. Un végétal inoffensif, attendant que sa vie passe, qu’il soit cueilli par une petite moldue sans intérêt. Mais il n’était pas une pâquerette inerte. Il était un monstre armé de dents pointues, de griffes lacérantes, d’une queue puissante. Il était un combattant. Il ne pouvait pas se laisser faire. Il ne voulait toujours pas s’en rendre compte. Son corps, lui, l’avait comprit. Au fur et à mesure que son flot de parole s’était déversé dans l’air, l’excitation s’était baladée dans ses veines, le rendant encore plus assoiffé de méchanceté. Foutue habitude ! Wally claqua la langue, dégouté de sa réaction et s’en alla. Il passa à côté de sa douce, sans un regard pour elle. Il ne devait pas la regarder sinon il aurait continué. Il ne devait pas. Ca aurait fait de lui un être encore plus abject. Il tourna à gauche, se retrouvant dans un couloir. Il s’excusa auprès de ses amis et se rendit aux toilettes. Il voulait se claquer la tête contre le mur. Ce n’était pas une idée très raisonnable. Il claqua ses livres au sol, produisant un son dur, mais bref. Il respira calmement et se dirigea vers un lavabo, le deuxième en partant de la gauche. Il s’appuya sur celui-ci. Il passa de l’eau sur son visage, commença à se calmer. Il s’observait dans le miroir. L’eau ruisselait sur sa peau, ses cheveux étaient un peu mouillés. Il s’enfonça son propre regard. Il se jugeait lui-même. La mâchoire serrée, il esquissa un sourire qui devint un rictus de colère. Non. Il n’était pas content, ne le serait pas. Pas tout de suite. Si ce petit manège devait durer une année, Nemo devrait être moins sensible. Il l’injuriait sans problème, il pouvait continuer à le faire. Mais il avait peur, peur que ces mots ne la blesse, ne la rendre triste. Si jamais elle pleurait par sa faute… Il se claquerait vraiment la tête contre le mur. Restons patient. Ce moment n’était pas encore arrivé. Et le noiraud priait pour que ça n’arrive jamais. Il était dans ce moment où les amoureux flottaient dans un parfait bonheur, ne voulant rien voir de l’avenir. S’ils devaient se séparer, ils le feraient. Il devait déjà entrevoir cette possibilité avant même de concevoir que les deux tourtereaux risquaient de se séparer. Il rigola un peu. Il devenait une vraie guimauve avec elle dans son cœur. Il ne s’en plaignait pas. Ne s’en plaindrait jamais. Il se calma, sourit, d’un vrai sourire. Il ramassa ses affaires jonchant le sol et alla dans la grande salle où ses amis l’attendaient certainement.

    Le gryffondor finissait de manger quand il se dirigea vers la volière. Il entra dans la vieille tour et se boucha le nez. L’odeur de fiente d’oiseaux et de plumes n’était pas ce qu’il préférait. Il fit une grimace et chercha sa chouette noire, Kellogg mangeant avec ses cousines. Il la trouva près d’un autre volatile plus petit que les autres. Il prit sa chouette et tira un bout de parchemin de sa poche arrière sur lequel il avait griffonné quelques mots un peu plus tôt. Il tapota la tête de l’animal, lui disant où il devait aller. La chouette cria deux fois, signe qu’elle avait bien comprit ce qu’elle devait faire. Il sourit et donna le bout de papier à Kellogg, qu’elle coinça dans son bec. L’oiseau ouvrit ses grandes (?) ailes et s’envola. Nemo toussa et enleva les plumes s’étaient callées sur ses lèvres. Quel mauvais goût ça avait. Sur le parchemin, on pouvait lire :

    Citation :
    « Coucou belle hirondelle,
    Rendez-vous dans la salle sur demande à 21h45 ce soir.
    Tu ne peux pas dire non.
    Nemo. »

    Comme indiqué sur le papier, Nemo se retrouvait dans la salle sur demande à 21h40. Il aimait avoir de l’avance, ne pas être en retard. Il avait apprit dans la rue que une mauvaise coordination pouvait être fatale et aller faire un petit tour dans un endroit fermé, humide et très peu éclairer. Il n’avait jamais eu l’honneur de visiter une cellule de prison, et il ne voulait pas connaître ce privilège. Il faisait toujours son possible pour être à l’heure. Il avait quitté la salle commune des gryffondors tout heureux, un peu anxieux peut-être. Il portait un jeans délavé et une chemise blanche. Il aimait bien s’habillé simplement. Dans la salle sur demande, il n’y avait rien de bien spécifique. Il y avait juste un divan en cuir brun, très moelleux –Nemo a prit un certain plaisir à l’essayé-, une table basse sur laquelle était disposé quelque bonbons. Il était assit sur le canapé, sa baguette était déposée sur le table basse, à portée de main. Il regarda les bonbons, se demandant si c’était bien ou non, pour ses dents d’en prendre un. Il venait de se brosser les dents. Il haussa les épaules, passa au dessus des règles d’hygiène de base et prit un bonbon. C’était un au citron. Il fronça les sourcils. Ce n’était pas son goût préférer. Il continua de le manger, se disant qu’il devait avoir une palette de goût plus que raisonnable. Il regarda sa montre. 21h46… Il haussa les sourcils. Les filles étaient connues pour ne pas être ponctuelles. Il pensa que Baël, le terrible devait tenir sa belle entre ses crocs de serpents. Ssssss, Baël, vilain pas beau… Il devrait un jour mettre les points sur les i avec ce gars. Il n’allait pas précipiter les choses. Il ne le ferait que s’il avait l’accord de son amour. Il pencha sa tête en arrière. 21h49. Il joua avec les bonbons, les faisant léviter, aller d’une coté de la salle sur demande à un autre. 21h52.

    « Rhaaaaa ! »

    Avais-je oublié de dire que Nemo n’était pas doté d’une grande quantité de patience ? Il ronchonna dans sa barbe et miracle ! La porte s’ouvrit ! Les bonbons étaient revenus dans leurs récipients en verre sculptés. Il posa sa baguette sur la table en bois et se releva. Il réajusta sa chemise blanche et avança vers la brune. Il lui sourit, de toutes ses dents bien blanches et alignées. Il ouvrit ses bras, sa belle vint s’y loger. Il la serrer bien fort et tendrement contre lui.

    « Coucou mon hirondelle. »

    Il était heureux de la retrouver, enfin. Il la trouvait si belle. Elle était magnifique. Elle lui avait manqué. Sa belle, sa douce. Il était accro à elle, il l’aimait, Laura…






Edit de Léo : essaye de mettre [list*][justify*] Texte [/list][/justify] en enlevant les * se sera plus joli =P

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Laura Owned
Admin | Serpentard
Ein Mondmädchen, in einer mystischen Welt Laura Owned
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Féminin

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Amour : Une Langue de Plomb

Pensine
Orientation Sexuelle: Hétérosexuel
Année d'étude: 6ème année
Caractère: Incontrolable, méchante et cruelle....De toute facon, mon caractère ne te regarde, viens le découvrir plus tot!

MessageSujet: Re: Un divan, une table et des bonbons Un divan, une table et des bonbons Icon_minitimeVen 19 Sep 2008 - 19:08

    ||Devan|| Laura ce n’es pas pour te presser mais tu es en retard pour tes cours, Amanda t’attend devant le mur, j’allais tout de même pas la faire rentrer, un Pouffy dans la salle commune des serpentard….
    ||Laura|| fais gaffe tête de cognard, si jamais tu dis du mal d’Amanda je vais me voir dans l’obligation de m’énerver.


    Elle adressa un sourire à son meilleur ami, avant de se précipiter dehors, elle ne prit même pas le temps de dire bonjour à la jeune fille, elle ne le faisait jamais entre elle les regards suffisaient amplement, les paroles superflu n’existaient pas, à quoi bon se dire bonjour et s’embrasser alors que la vie était aussi courte. C’était une perte de temps et Laura voulait tout sauf que son amie perde du temps dans sa vie, elle voulait qu’elle la vive pleinement, sans aucun nuages noirs juste le rose de la vie, le ciel bleu. La belle vie quoi? La vie est une chose magnifique et il fallait en profiter, il y a encore quelques années Laura pensait qu’elle avait toute la vie devant elle pour faire certaine chose, mais seulement voilà elle avait rencontré Amanda, et ce jour là, ce jour ou elle avait sut ce qu’elle avait elle avait pris une claque dans la figure. Ainsi qu’une très jolie leçon de vie. D’ailleurs elle se demandait encore comment elle faisait pour vivre avec un tel poids sur les épaules.

    Un coup de coude ramena la verte et argent sur terre, elle tourna la tête vers Amanda lui jetant un regard assez noir, après tout la jaune et noire venait tout simplement de lui couper la respiration assez violement et devant tout le monde. Elle releva donc la tête vers elle, ne prêtant aucune attention au reste du couloir. Nouveau coup de coude. Non mais elle le faisait exprès ou elle était complètement stupide? Laura s’arrêta au milieu du couloir, se plaçant de profil à son amie. Nouveau coup de coude, non la c’était trop, Laura le savait si elle continuait la petite princesse des Poufsouffle allait prendre l’orage de la petite princesse des vert et argent sur le coin du nez. Nouveau coup de coude, cette fois c’en était trop elle allait lui faire comprendre qu’on ne la frappait sans raison apparente si on ne voulait qu’elle s’énerve


    ||Laura|| Tu as décidé de te lancer dans l’ablation de ma rate ou tu es complètement stupide…suis-je réellement obligé de te faire remarquer que ce genre de geste fait aussi mal que de se faire brûler par un scroutt à pétard?

    Mais son amie lui fit un mouvement de tête vers l’autre bout du couloir, le genre de coup de tête qu ressemble à un ordre et que pourtant Laura écoutait, parce que généralement après ce genre d’ordre elle savait qu’elle allait se faire plaisir. Un élève à embeter très certainement, mais lorsqu’elle tourna également la tête il fallait qu’elle l’avoue son cœur eut raté, et il manqua quelques battements de cœur, tout s’emballa à l’intérieur d’elle, elle eut soudainement l’impression que son cœur voulait sortir de sa poitrine, qu’il voulait hurler à l’être qui lui faisait face qu’il l’aimait et qu’il ne battait désormais que pour lui. Le regard de Laura croisa celui de Nemo, nouveau battement en moins, mais Laura se disait très souvent que La vie ne se mesure pas par le nombre de respirations prises mais par le nombre de moments qui vous ont coupé le souffle. Et ce garçon là était capable de lui couper le souffle plus que les autres. Et pourtant elle allait devoir se montrer odieuse avec lui, pour que personne ne le sache.

    Elle tourna la tête vers Amanda, être odieuse elle faisait ça tout le temps, elle était réputée pour ça c’était naturel chez elle. Élevée comme ça, suivre les pas de son grand frère sans même réfléchir qu’un jour une personne pouvait venir et balayer toutes ses convictions d’un seul regard. Et pourtant devoir continuer devant els autres, elle savait qu’elle allait devoir faire ce qu’elle faisait le mieux au monde. Je ne dis pas qu’elle y prenait plaisir désormais, loin de là, d’ailleurs elle ne voulait pas le faire, elle n’avait pas envie, ou du moins elle ne voulait as lui faire de mal.

    Car oui, ce petit jeu l’amusait au plus haut point, savoir que personne ne s’en rendait compte alors que ça se voyait comme un hiboux hurleur, mais les gens ne voyaient rien, comme deux sombrals qui s’aiment en secret. Parfois elle aurait aimé le dire que tout aille bien ,mais seulement voilà Baël, il bloquait tout. Elle avait peur, peur de la réaction qu’il pouvait avoir, elle ne voulait pas que le pauvre petit poisson qu’elle aimait ne se fasse pêcher par le rapace que pouvait être Baël surtout depuis son changement de caractère. Sur qu’il n’en aurait fait qu’une bouchée, il suffisait de voir ce qu’il faisait au simple prétendant le la jeune fille. Notamment les torturé dans la salle commune lorsqu’il faisait partis des serpentard. Les enfermer dans une salle abandonnée au fond des cachots pendant deux jours avant de le libérer, et d’autres réjouissance de ce genre. Pour protéger sa petite sœur le grand frère était un esprit remarquable. Et puis surtout et encore parce qu’elle ne voulait pas qu’il ai a affronter un nouveau choc, pas encore, trop dur pour lui.

    Elle releva soudainement le menton, l’entrevue fut aussi brève qu’explicite et banale aux yeux des autres, elle avait attaquait et il avait répliquait, sacrément bien répliqué d’ailleurs, à force de se hurler dessus on finissait par pouvoir sortir toute sortes de bêtises qu’on ne réfléchissait même plus avant de sortir. Seulement ce qu’il ne savait très certainement pas c’est que oui sa journée risquait d’être mauvaise étant donné qu’elle venait de le croiser q et qu’elle n’avait eut droit que de lui lance qu’un regard assassin. Elle n’avait pas put ses serrer contre lui, le toucher, sentir son parfum envoûtant goûter ses lèvres sucré. Tourner avec lui, perdre la tête comme une enfant. Car oui c’était ce qu’elle devenait une enfant qui avait besoin qu’on la chouchoute qu’on s’occupe d’elle. Un rêveuse qui s’élever encore plus haut à chaque fois qu’elle le voyait, s’élever au septième ciel pour y être avant même de l’atteindre. Une princesse qui attend son prince charmant tout en sachant qu’il est à coté. Savoir qu’il est était à coté et n’avoir pas le droit de faire tout ça la rendait folle, plus que ce qu’elle n’était déjà.


    ||Amanda|| Pourquoi tu fais ca! Je ne comprendrais jamais! Tu l’aimes non? Et pourtant tu es odieuse Laura!
    ||Laura|| Crois moi je ne le fais pas par pur plaisir, enfin Amanda regarde le, il est tellement parfait, beau et craquant à souhait, si ça se savait je m’attirerais encore la jalousie des autres filles génial non! J’adore ça les faire rager…Mais t’imagine si Baël d’amour l’apprend…Il le tuerai sur place, je suis sûre qu’il serait sans cesse sur son dos, il a beau être parfait il ne résisterait jamais face à mon frère. Tu m’a déjà vu hors de moi, Baël est 10 fois pire…_______________________________________________________________________

    ||Le professeur|| Mademoiselle Owned je vous serez tellement reconnaissant d’écouter un tant soit peu mon cour, je sais très bien que ce que je racontes n’es pas très passionnant mais enfin….Donner moi ce papier je vous pi

    Laura leva soudainement les yeux vers son professeur d’histoire de la magie, matière soporifique au possible, mais elle arrivait à avoir des bonnes notes, comment elle ne savait puisque généralement elle s’endormissait dans les premières minutes du cour, bercé par els guerres entre gobelins et sorcier. Mais aujourd’hui non, elle serrait un petit papier dans se main, apporté par une chouette qu’elle connaissait assez bien maintenant. Elle le lisait et le re-lisait sans faire attention a ce que pouvait raconter le prof, souriant et affichant un air tout particulièrement ravis, mais pour une fois elle dormait pas. Elle referma sa main sur le mot à l’écriture brouillonne et qu’elle aimait pourtant, un mot qui ne pouvait provenir que d’une seule personne

    Citation :
    « Coucou belle hirondelle,
    Rendez-vous dans la salle sur demande à 21h45 ce soir.
    Tu ne peux pas dire non.
    Nemo. »

    Et elle ne pouvait pas dire non comme i l’avait prévus, mais si le prof lisait ça devant toute la classe elle était fichu, tout le monde saurait et elle était perdus. Elle regarda le prof une expression de défis dans le regard, comme si elle le défiait de venir chercher lui-même le mot qu’elle tenait dans sa main, ses doigts tapotant la table nerveusement, si jamais il insistait elle allait se voir dans l’obligation de se faire virer de cour, sinon plus rien n’irait plus.

    ||Laura|| Non je suis désolé, les relations et les mots que j’entretiens avec certaines personnes ne vous regarde absolument pas, je refuse de vous montrer ce papier, si vous insistez vous vous verrez dans l’obligation de me demander de sortir de cour…..

    ____________________________________________________________________

    ||Baël|| LAURA!!! Ou tu pars comme ça

    Laura s’immobilisa,20h45, tendus comme un arc, elle eut un soupir agacée, pourquoi Est-ce qu’il fallait toujours qu’il sache toujours tout, elle ne le supportait plus, elle se retourna assez tot pour voir son frère faire un croche patte à un élève de première année, un sourire sadique sur le visage alors que le pauvre garçon faisait une rencontre violente et très rapproché avec les dalles de pierre de la salle commune. Ensuite il se mit en marche, s’avança vers elle, de sa démarche de félin, la regardant dans les yeux, les regards tournés vers eux comme à chaque fois que les deux se parlaient. Tout le monde avait peur, peur que ça dégénère et tout le monde le savait lorsque ça dégénérait entre eux il ne fallait surtout pas être dans les parages.

    Le cerveau de Laura fonctionnait à toute vitesse, cherchant une solution. Partir en courant? Non bien sur que non, son frère la suivrait. Mentir? Et puis encore comment faire croire quelque chose de totalement faux à l’être avec qui on a grandi. Dire la vérité? Et pourquoi pas, après tout personne n’y croirait et certainement pas son frère il suffisait…qu’elle y croit…Qu’elle y croit bref, elle n’allait tout de même pas se laisser faire quand même Elle attendit que son frère soit juste devant elle et baisse son visage juste devant le sien. Le regard de Laura baissa sur la montre de son frère 21h50, Nemo allait la tuer i détestait les retard allez savoir pourquoi. Elle replongea son regard dans celui de son frère.


    ||Laura|| Mais voyons Baël tu ne sais pas, je vais voir Alive bien sur, parce que tu ne sais pas c’est que je l’aime de tout mon cœur.

    Sourire dans la salle, bientôt suivis de rire, elle et Nemo? Mais bien et pourquoi pas un princesse avec un paysan, pour faire bonne figure elle se mit à rire elle aussi ,il n’était pas rare qu’elle sorte ce genre de phrase mais soi disant inventer une relation avec celui que tout le monde croit son pire ennemi c’est vraiment fort. Elle faillit pleure rien qu’a savoir que même si elle voulait dire la vérité personne n’y croirait, tout le monde allait rire comme maintenant. Mensonge, elle le détestait tellement à présent, pourquoi avait-il fallu que ce soit lui qu’elle aime. Pourquoi? Pourquoi il était si parfait, si adorable, si beau si Nemo. Pourquoi elle avait voulu lui faire la guerre depuis le début alors qu’elle aurait put l’aimer tout simplement?
    Elle profita de l’agitation générale pour sortir, non sans un dernier regard sur la montre de son frère qui étaient en train de rire avec ses amis, sur sa petite sœur décidément hilarante. Comme si elle sortait par une porte dérobée dans sa chambre de princesse pour justement aller retrouver ce que els autres appeler le paysan.

    ______________________________________________________________________________

    Elle poussa la porte, regardant à l’intérieur, il était debout, là à l’attendre, alors qu’il ouvrait les bras et lu adressait ce sourire dont il avait le secret, elle se jeta dans ses bras, pouvant enfin toucher celui quelle aimait. Nemo, Nemo,Nemo Nemo, sa drogue, elle ne pouvait pas se passer de lui. Il referma ses bras sur elle, elle sourit.


    ||Nemo|| Coucou mon hirondelle.

    Elle releva la tête vers lui, un sourire au lèvres, elle se dressa sur la pointe de ses pieds déposant un baiser furtif sur els lèvres douce et chaude du rouge et or. Rouge et or, une autre raison de ne pas dire ce qui les unissait, les maisons qu’ils occupaient, les lions contre les serpents une haine fusionnelle qui existait depuis le tout début du château. Laura posa un regard sur le reste de la pièce, un divan qu semblait assez confortable d’ailleurs elle était certaine qu’il devait être très confortable, après tout c’était Nemo qui avait créer cette pièce non? Une petite table avec un plat de bonbons…O h lala les friandises le péché mignon de la jeune fille. Qu’Est-ce qu’elle aimait ça les bonbons.

    ||Laura|| Oh mon petit poisson je t’assure que je n’ai pas fait exprès d’être en retard, le grand fléau Baël m’est tombé dessus alors que j’essayais de partir….J’ai dut dire que je venais te voir en cachette pour qu’ils me laissent partir cette bande d’imbécile…Même si on le disait tu vois personne ne croirait…..

    Elle lui adressa un sourire et se détacha de lui,ce n’es pas parce qu’elle ne l’avait pas vu de la journée, ou plutôt pas parce que els seuls mots qu’ils avaient échangés dans mal journée avaient été des insultes qu’elle devait resté collé comme un chwing gum à lui. De toute façon tout le monde le savait les Owned n’étaient pas forcément réputé pour être les personnes les plus collante du monde. Elle alla vers la table, lequel choisir, enfin voyons c’est vrai si elle tombait sur l’un de ceux qu’elle n’aimait pas ça allait la mettre de mauvaise humeur, bien qu’elle sache très bien que lorsqu’elle regarderait dans un certain coin de la pièce. Elle attrapa un bonbon rouge…fraises tout allait bien.

    Elle se retourna vers le jeune homme, croisant son regard, et comme le matin même elle eut l’impression que son cœur allait s’arrêter de battre, sans lui elle irait tellement mal, elle rata quelque battement de cœur, on lui avait dit que la joie de vivre ne se résumer pas au nombre de fois ou l’on avait respirer mais au nombre de moment qui nous ont coupé le souffle. Etre avec lui, c’était comme être en apnée, dans un monde nouveau. Dans un monde….qu’elle aimerait, dans un monde qu’elle n’avait pas envie de quitter et que pourtant à chaque fois elle devait quitter pour mieux savourer la fois d’après. Elle lui sourit et s’assit sur le divan.


    || Laura|| Alors Nemo as-tu une idée de ce que nous pourrions faire ensemble….


HJ:Désole pour ce post plus que merdique

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MessageSujet: Re: Un divan, une table et des bonbons Un divan, une table et des bonbons Icon_minitimeSam 4 Oct 2008 - 22:27

    This is like the sun. It’s shining inside.


    Nemo eu une bouffée d’air, une bouffée d’oxygène vitale pour lui. C’était une petite inspiration insignifiante et pourtant différente des autres, une emplie de cette odeur si particulière. Cette odeur qui lui ferait mourir une dizaine de fois et le ferait revenir aussi tôt à la vie trente fois. Elle lui rappelait le paradis. Cette petite chose qui faisait battra son cœur lui rappelait effectivement le paradis. Bien qu’il n’ait jamais connu cet endroit idyllique, le sien était là, à porté de main et il en profitait, juste un moment, un tout petit moment, presque insignifiant aux yeux de Dieu. A cet instant, il s’en fichait de ça, de ce Dieu, des sorciers et du chère Baël qui pourrait le guetter au moindre coin sombre du château. Oui, tout ceci était insignifiant. La seule chose qui comptait, c’était qu’il était là, debout, et surtout, elle était la, elle, Laura, également debout, dans les bras du poisson. Elle était sa bouffée d’air frais qui vous caresse tout le corps, juste une seconde. Nemo se devait de savourer ce contacte, de ne faire qu’un avec cette brise. Ca ne durait pas, il le savait, c’était certainement ce qui faisait son charme. Il vivait chaque seconde comme un trésor unique, un diamant sans valeur et sans prix. Il ne pouvait se l’offrir, ce bijou, alors il l’avait dérobé, dans cette boutique de quiddicht. Il était devenu un tout petit voleur de cœur. Héhé ! À sa grande surprise, il avait plutôt bien réussit. Il l’avait dérobé, le cœur de Laura. Aller savoir ce qui lui était passé par la tête à ce moment. Il avait juste agi, poussé par un sentiment timide au début, et qui s’était fait plus présent, plus fort de seconde en seconde. Bien vite, sans qu’il ne s’en rende compte, Laura, aussi, lui avait volé son cœur. Alors, Nemo, petit égoïste, de temps en temps, avait oublié cette nature profonde qui lui était propre. Elle avait son cœur ? Qu’est-ce que ça devait lui faire ? Ce petit organe battant, produisant ces petits « boum boum » réguliers, qui calme le moindre individu, pour peu qu’il l’entendu, il était dans les mains de la vert et argent. Et le Gryffondor, son cœur dans le bec d’une hirondelle, se portait comme un charme. Certes, si on lui avait dit ça quelques années auparavant, il n’aurait jamais cru le pauvre idiot qui aurait eu l’idée de lui raconter de telles balivernes. Pourtant, ce mensonge c’était révélé vrai. Il le vivait, le respirait. Il était enivré par cette histoire digne des comptes de fées. Ils étaient tous les deux des monstres, rappelez-vous. Les monstres, ne sont-ils pas faits pour s’aimer entre eux, même si personne n’y croit ?

    Le fauve observa le reptile scruter la pièce de gauche à droite. Il est vrai que le tour était vite fait. Il n’aimait pas faire des choses compliquées. Il la devina sourire en voyant les bonbons posés sur la table. A la base, ce n’était pas un présent qu’il avait prévu pour la belle. Il adorait les sucreries. Il avait prévu d’en manger une ou deux, rien que pour lui. Se remplir la pense de glucose, ça en serait fini. Cependant, si ça faisait plaisir à Laura, il était heureux. Il pourrait toujours mentir en disant que bien sûr, il avait pensé à sa douce en créant cette pièce. Ca ferait un bon point en plus pour lui.


    ||Laura|| Oh mon petit poisson je t’assure que je n’ai pas fait exprès d’être en retard, le grand fléau Baël m’est tombé dessus alors que j’essayais de partir….J’ai du dire que je venais te voir en cachette pour qu’ils me laissent partir cette bande d’imbécile…Même si on le disait tu vois personne ne le croirait…..

    Nemo la regarda tendrement de ses yeux azures et lui adressa un doux sourire, mélangé d’une pointe de peine. Il avait, tout d’abord, pensé à s’étouffer quand Laura lui raconta ce qu’elle avait du faire pour se sortir des crocs de l’abominable serpent. Imaginez que le vilain Baël la croit. Qu’est-ce que le petit poisson aurait pu faire ? S’en aller dans l’océan indien et vivre sa vie d’animal sauvage craignant la moindre vipère qu’il croiserait ? Hum… Non. Plus sérieusement, Nemo aurait du l’affronter, le frère de Laura. Ils se seraient retrouvés l’un devant l’autre, se dévisageant, puis, Baël se serait servit de sa baguette, Nemo aussi. Il l’aurait fait, au risque de se retrouver six pieds sous terre. Le noiraud était doté une certaine fierté, il ne pouvait pas la perdre simplement parce que monsieur Owned décidait que sa sœur lui était exclusivement réservée. De ce fait, le lion lui aurait fait face. Ca n’aurait pas été particulièrement de gaité de cœur, mais s’il devait le faire, il l’aurait fait.

    Mais voilà, personne n’avait cru ce que Laura racontait. Ils s’étaient tous écroulés de rire. Chaque élève de la salle commune s’était effondré devant cette ‘blague’, qui pourtant, n’en était pas une. Tout le monde avait rigolé, personne ne la croyait. Personne ne voulait croire à leur histoire. C’était compréhensible. Qui le pouvait ? Cette idée, que eux deux, les pires ennemis de la terre s’embrassent. C’était comme voir Voldemort sauté sur Harry Potter et qu’ils passent une nuit de folies… Autant dire que c’était impossible. Le monde des sorciers avait plus de chance de voir un magyar à pointes s’entiché d’une fée. Où était donc ce dragon amoureux de la fée ? Puisque Laura et Nemo était là, dans la salle sur demande, où était cet animal cracheur de feu? Le rouge et or serra faiblement les poings. Il n’y en avait pas, de dragon. Il était triste. Pendant un instant, il regretta d’avoir toujours craché sur le visage du serpent. Jamais, jamais ils ne vivraient leur amour au grand jour. Jamais il ne pourrait profiter d’elle quand il le souhaitait. Que c’était injuste ! Que la vie était cruelle ! Qu’avait-il donc fait pour avoir une existence semée d’un si grand nombre d’embuches ?! Un poussa un soupir agacé, passa ses doigts fins dans ses cheveux. Ca ne servait à rien de se prendre la tête à cet instant. Il y avait quelqu’un qui occupait toute son attention. Ca aurait été stupide de l’oublier, et très ignoble de sa part.

    Wally cligna à plusieurs reprises des yeux et avança, quittant son état de végétal sur le point de prendre racine. Les mains dans les poches, il approcha de la table, se pencha légèrement au dessus du pot de bonbon. Il tendit la main vers les sucreries, s’arrêta juste avant de toucher un bout de papier protégeant la friandise.


    || Laura|| Alors Nemo as-tu une idée de ce que nous pourrions faire ensemble….

    Il tourna sa tête vers sa belle, et lui sourit. Oui, il avait une idée de ce qu’ils allaient faire. Mais en attendant, il se repencha sur un cas qui lui demandait toute son attention. Lequel choisir ? Il fronça les sourcils et plongea sa main dans le bol en verre finement travaillé.

    « Oui, j’en ai bien une, laisse moi juste… Ah ! »

    Un nouveau sourire vint illuminer son visage. Il l’avait trouvé, la confiserie parfait. Sa main sortit du bol, tenant entre ses doigts une petite boule enroulée dans un emballage bleu. Il fit tourner l’emballage et le bonbon sortit –il eu vite fait de rencontrer le bouche du combattant. Son visage s’illumina une fois de plus. C’était le bon goût cette fois-çi, à la pomme… Laura devait le trouvé stupide en train de se retrouver aussi heureux qu’un enfant pour quelque chose d’aussi simple. Nemo était comme ça, et la brune l’aimait comme il était. C’était donc, une bonne chose. Toujours debout, il tapota les poches de son pantalon. Nemo sentit quelque chose. C’était bon. Il ne l’avait pas perdu, parfait. Il s’assit calmement à côté de sa douce.

    « Je vais juste te demander, si tu peux.. » Il approcha les mains du visage de Laura « Fermer les yeux, comme ça » Il posa ses mains sur les yeux bruns de l’hirondelle. « Voilà. Tu ne regardes pas hein ! »

    Il passa à plusieurs reprises sa main devant les yeux clos de Laura. Ce n’est pas qu’il ne la croyait pas capable de se tenir comme ça deux secondes. Il avait parfaitement confiance en elle. Il la connaissait presque parfaitement. Dès lors, il savait qu’elle aurait été tentée d’ouvrir les yeux pour voir ce qu’il fabriquait. Elle était une grande curieuse, un peu enfantine sur les bords. C’est une de ses facettes qui lui plaisait le plus. Il repassa sa main devant le visage de Laura. Pas de réaction. C’était ce qu’il voulait. Il fourra sa main dans sa poche de gauche. Zut ! Ce n’était pas la bonne. Il la fourra dans celle de droite. Ses doigts rencontrèrent un petit objet métallique et froid. Il sortit le petit objet, et le mit dans sa main droite. Il sourit malicieusement, tendit ses deux poings fermés vers la vert et argent.

    « Tu peux ouvrir tes jolis yeux. » L’azure rencontra l’ambre. Il lui indiqua ses mains d’un geste du menton. « Dans quelle main ? »

    Il avait ce petit sourire pendu au coin des lèvres. Lui aussi avait un comportement un peut enfantin. Il observa le visage de Laura. Elle était partagée. Il lui indiqua malicieusement dans quelle main se trouvait l’objet mystère. Elle le désigna du bout du doigt. Nemo ouvrit sa main. Dedans, s’y trouvait un tout petit anneau, en argent, orné d’une pierre verte. Non, ce n’était pas une émeraude, et non, ce n’était pas une demande en mariage.

    « Ca te plait ? »

    Nemo était inquiet de savoir si ce présent faisait plaisir à sa douce. Il n’était pas un grand fana des bijoux, cependant, il avait passé beaucoup de temps dans cette petite boutique perdue dans Londres, se demandant quelle couleur était la meilleur pour sa belle, devait-il prendre de l’ambre, comme ses yeux ou alors une Jade, comme sa maison… Il s’était farci les neurones, puis, il l’avait trouvé, dans un petit coin d’une vitrine. Ca n’avait pas été facile pour lui. Le choix de la bague avait été crucial, la réaction de Laura l’était tout autant. Il voulait tellement qu’elle apprécie son cadeau. Si elle ne l’aimait pas, ce n’était pas grave, mais ça lui aurait broyé le cœur… Là, légèrement inquiet, il attendait la réaction de son hirondelle.

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MessageSujet: Re: Un divan, une table et des bonbons Un divan, une table et des bonbons Icon_minitimeJeu 9 Oct 2008 - 21:19

    L’amour est un poison, une drogue faites de sincérité et de sentiments tellement infinis qu’ils sont indéfinissables. L’amour est une drogue dont on devient dépendant dès la première fois, dont on ne peut plus se passer même si on le veut. Un jour Laura s’était juré de se faire aimer par quelque un elle a réussis et puis ça a foiré quelques temps après. Elle s’était alors jurée de ne plus jamais aimée, et maintenant elle se rendait compte qu’elle avait foiré lorsqu’elle avait pris cette décision . Et alors qu’elle posait son regard sur le visage du poisson elle était très fière et heureuse d’avoir foiré ça. Laura était une droguée, de la vie et de Nemo. A chaque fois qu’elle sortait, qu’elle n’était plus dans le même pièce que lui, qu’elle ne croisait dans les couloirs, qu’elle ne pouvait pas le toucher elle était en manque. Comme els droguées, l’impression qu’on n’allait jamais remonté à la surface, les mains moites la tête qui tourne, tourne, tourne et retourne dans les touts les sens. Et lorsqu’elle était dans le même pièce que son poisson elle planait à des kilomètres au dessus de la terre, elle se sentait dans un autre monde, elle se sentait toujours très bien. Lui. Sa drogue. Ses médicaments. Son sourire et sa joie de vivre.

    Elle ne comprenait pas, elle ne comprenait comment elle avait put le haïr de la sorte, tout ça à cause d’une remarque. Comment avait-elle put ne pas remarquer ses yeux, océans de magie et de voyage, ses lèvres fines et attirante, ses cheveux toujours en bataille et pourtant coiffé. Comment avait-elle put ne pas le remarquer tout simplement le juger aussi qu’un troll sortant d’un marécage boueux alors que toutes ses amies fondaient sur son passage. Comment? Laura ne savait pas, et maintenant cette haine passionnelle qu’ils avaient apparemment entretenue durant toute ces années les emprisonnée. Dans le silence et le mensonge le plus complet. C’est vrai quoi, d’habitude mentir l’excitait au plus haut point faisait battre son cœur à cent à l’heure lui donnait une raison de se lever le matin. Alors pourquoi mentir sur ses sentiments la rendait si malheureuse et malade, pourquoi Est-ce qu’elle se sentait si mal lorsqu’elle voyait que Nemo et Baël se croisait dans les couloirs. C’était tellement dur pour elle, elle ne comprenait plus comment elle arrivait à supporter ça certes ce petit jeu de rôle l’amusait au plus haut point, à qui ça ne plairait pas berner tout le monde sans même avoir besoin de sortir le même mensonges? Mais lorsqu’elle le voyait parler à d’autres filles, qu’elle voyait les regards qu’il suscitait elle avait l’impression qu’elle allait commettre des meurtres. Comme elle aurait aimé resserrer ses mains sur la gorge de es filles, enfoncer ses mains manicuré dans les cuisses de ces pimbêche qui s’approcher de trop près de son poisson. Mais elle ne pouvait pas, elle avait l’impression de creuser sous une ville magnifique pour mettre au jour une bourgade sans intérêt. Cette recherche archéologique stupide allait achever de la rendre totalement folle.

    Elle finit par se laisser tomber dans le divan, moelleux, parfait comme chaque fois qu’ils venaient ici et que le jeune homme choisissait le lieu, pas de meubles superflu, le minimum vital à la vie habituelle des deux jeunes. Qui pourrait d’ailleurs être tellement banale et routinière, se voir touts les soirs dans le salle sur demande, mentant touts les jours. Mais non, rien n’était acquis chaque jours étaient différent, c’était d’ailleurs sûrement pour ça qu’il parvenait encore et toujours à faire battre le petit cœur habituellement de pierre glacée à la verte argent. L’adrénaline qui la prenait chaque fois qu’elle sortait, qu’ils allaient dans un lieu différent, qu’ils s’exposaient ainsi au danger de l’éradication pure et simple de la moindre trace de vie du rouge et or sur terre par son frère. Elle demanda alors ce qu’ils allaient pouvoir faire, se demandant réellement, alors qu’il tournait la tête en lui souriant.


    « Oui, j’en ai bien une, laisse moi juste… Ah ! »

    Elle ne put s’en empêcher de voir son petit visage se pencher u dessus des bonbons, les sourcils froncé dans une moue qu’elle connaissait désormais si bien, le regardant choisir son bonbon comme si sa petite vie en dépendait. Pour finalement choisir le bon et le montrer le plus clairement possible, elle ne put s’empêcher de laisser échapper un petit rire cristallin. Un sale petite garce comme ça qui rigole, étonnant qui dans les couloirs pouvait se vanter de l’avoir entendu réellement rire parce qu’une situation lui plaisait. Les serpentard et certaines personnes des autres maisons, mais dans les couloirs elle ne faisait que rigoler avec sadisme, ironies et supériorité. Le genre de rire qui ne plait personne et surtout pas à la personne visée. Combien de fois Nemo avait-il dut subir ce genre de rire sous les regards de tous ses amis? Incalculable, de méchanceté et de sadisme elle vaut toujours sut faire preuve envers lui sans jamais se soucier de ce qu’il pouvait réellement penser d’elle et de ce qu’il pouvait dire dans son dos.

    Parfois elle se disait qu’il était un grand enfant, surtout lorsqu’elle voyait comment il se comportait à ce moment précis, mais comment Est-ce qu’elle pouvait lui en vouloir? Il n’était pas parfait, personne n’est parfait, mais touts les petits qu’il possédait la faisait fondre chaque jour un peu plus. Elle l’aimait comme il était, c’est vrai parfois son comportement l’agacer au plus haut point, mais qu’Est-ce qui n’agacer pas la petite princesse? Et comme à chaque fois, lorsqu’il se tourna vers elle, son petit sourire qui semblait coller sur son visage grâce à un sort de glue perpétuelle elle ne put s’empêcher de lui sourire en retour. . A chaque fois elle avait l’impression de vivre un chagrin d’amour. C’était peut être aussi ça le plus dur, c’est de réapprendre à agir, lui dire simplement les pires horreurs du monde alors qu’on veut simplement lui dire qu’on l’aime, c’est avoir constamment envie de l’embrasser, c’est étoiles qui apparaissent dans les yeux de Laura chaque fois qu’elle le croise, c’est rencontrer ses amis et leur dire les pires horreurs du monde, c’est de sourire malgré elle de ses manies qu’elle connaît si bien, c’est vouloir l’oublier quand on est en cour et ne pas y parvenir, c’est se sentir coupable de le voir malheureux parfois, c’est sourire en écoutant la chanson qu’il fredonne souvent,c’est l’aimer malgré le mal que ça lui fait, c’est rire avec les larmes au yeux lorsqu’on le croise, c’est l’indifférence qui s’installe en elle sur tout et n’importe quoi, c’est se surprendre à l’attendre en sachant qu’il ne viendra pas, ‘est le regarder sans avoir le droit de le toucher. Aimer ce petit poisson là c’était un combat.


    « Je vais juste te demander, si tu peux.. » Elle vit les mains du poisson des rouges et or se rapprochait doucement mais sûrement de son visage « Fermer les yeux, comme ça » Nemo finit par poser ses mains sur le regard et donc els yeux de Laura, doucement et délicatement comme si il était en train de manipuler un fiole qui renfermait une potion particulièrement dangereuse. Qu’a tout moment cette potion pourrait détruire ce qui se trouvait autour d’elle juste en faisant respirer son odeur. Dangereuse? Oui Laura était une personne dangereuse elle ne reculait jamais devant rien, même si on lui disait que c’était dangereux elle n’en faisait qu’a sa tête, disant que si jamais on voulait vraiment se dire que tout ce qu’on avait vécu en valait la peine, il fallait faire des découverte. Et malheureusement pour elle généralement ce genre de crise d’égoïsme lui faisait comme cadeau des petits accidents, des bleus et même parfois des sorts méchants et mal intentionnés. Mais au moins elle pourrait dire qu’elle avait fait l’expérience par elle-même plutôt que de se baser sur les avis des autres. Être avec Laura c’était être surpris chaque jour que le petit bon dieu faisait. « Voilà. Tu ne regardes pas hein ! »

    Tu ne regarde pas, plus facile à dire qu’a faire, elle sentit les mains du petit poisson qui se décollait de son visage, durant une demi seconde elle hésita, elle voulait les ouvrir ses yeux, elle voulait savoir ce qu’il fabriquait, elle l’entendait gigoter à ses cotés. Mais qu’Est-ce qu’il était bien en train de fabriqué? Elle laissa échapper un soupir, elle voulait tellement savoir que ça l’ennuyait. Pourtant alors que l’envie presque irrépressible d’ouvrir les yeux la prenait de tout son être elle décida de jouer le jeu, et pour être sure qu’elle n’y verrait rien du tout, elle fronça les sourcils. Un peu plus qu’elle se serait mise à sautiller sur place toute seule, elle attendait simplement, touts les sens en alerte, le cœur s’accélérant à chaque fois plus chaque minute qui faisait qu’elle attendait. Elle pensa alors et pour une raison inconnue à ce qu’Amanda aurait dit en voyant son amie respecter un vœu comme ça, elle aurait sûrement dit que ce n’était pas possible, qu’il fallait l’amener à l’infirmerie. Mais c’était ça la magie de l’amour, la personne que l’on aimait faisait faire à l’autre tout et n’importe quoi sans que la personne se pose de questions,. Parce que voilà Nemo avait un pouvoir qu’aucune baguette ne pourrait jamais rompre, qu’aucune potion ne pourrait jamais détruire, il l’aimait et elle l’aimait. Il la faisait rire comme un enfant, il la faisait sourire en un regard, il lui faisait faire tout ce qu’il voulait sans qu’elle réfléchisse, il était Nemo.

    « Tu peux ouvrir tes jolis yeux. Dans quelle main ? »

    La verte et argent ne se fit pas prier deux fois, au moment ou il dit qu’elle pouvait ouvrir les yeux ils étaient ouvert, elle trouva bien vite la raison de touts ces mystères et de ce petit jeu qu’avait mis en place le jeune homme, après tout il la regardait les poing fermé et lui demandait dans quelle main. Il ne fallait pas être doté d’une intelligence hors du commun pour comprendre. Laura ne sut d’abord pas quelle main choisir, elle ne voulait surtout pas se tromper, le petit cotés de sa personnalité qui voulait que tout ce qu’elle faisait soit parfait. Au début, alors qu’elle était jeune elle n’était pas comme ça, si elle faisait des erreurs elle recommençait jusqu’à réussir, et puis elle était arrivé à Poudlard et avait très vite compris qu’a Serpentard il fallait être parfait, son frère avait fait d’elle cette petite poupée parfaite. Agissant à la perfection, elle faisait partis des rares filles du château qui portait la jupe à la hauteur exigé, qui était toujours à l’heure. Elle était parfaite… Et elle en était fière, aussi elle savait parfaitement que si elle se trompait dans e choix des mains elle allait s’en vouloir pendant un petit moment.
    Finalement Laura n’eut même pas besoin de choisir elle-même puisqu’une certaine personne lui indiqua laquelle il fallait choisir. Elle releva le regard vers le rouge et or regardant ce sourire qu’il lui lançait elle pointa alors très timidement la main qu’il venait de lui montrer. Il ouvrit alors la main, révélant un petit objet, brillant et orné d’une pierre verte sur le dessus, l’esprit de Laura réfléchit à une vitesse éclair alors qu’elle ouvrait en grand la bouche, elle leva les yeux vers lui, une bague, il lui offrait une bague, simple certes mais une bague quand même. Il semblait inquiet de sa réaction.


    « Ca te plait ? »

    Ca lui plait? Comment pouvait-il poser cette question, l’expression qui venait de se coller sur son visage n’était pas assez explicites à son goût, elle pris la bague dans la main de Nemo ne laissant pas au poisson le temps de réagir elle la passa a son doigt, elle tendit ensuite le bras devant elle, pour regarder quel effet ça faisait sur sa main, magnifique tout simplement magnifique, aux couleurs de sa maison et par conséquent de sa couleur préféré. Elle eut un sourire satisfait, c’était bizarre comme tout ce qu’il lui offrait lui allait à la perfection et lui faisait plaisir.

    |Laura|| Elle est vraiment magnifique….Non non elle est extraordinaire….heu non elle est géniale…Merci mon petit poisson, si tu savais comme je t’aime!

    Elle se pencha vers lui et déposa ses lèvres sur les siennes une nouvelle fois, cette sensation de voler au plus haut des cieux la prit, elle avait une nouvelle fois l’impression de ne plus être elle, d’être quelque un d’autre, mais avantage il avait le dons de la rendre meilleure. C’était aux choix avec lui, soit il la faisait voler au plus haut des cieux soit il faisait nager au plus profond des océans mais il la faisait voyager. Elle se détacha finalement de lui, pas pour longtemps elle posa sa tête dans le creux de son épaule, sentant les cheveux de son amour lui chatouiller doucement les oreilles au rythme de leurs respiration, elle posa ensuite sa main sur la joue du poisson et lu caressant doucement un petit sourire au lèvre alors qu’elle regardait sa bague.

    ||Laura|| Vraiment Nemo tu me gâtes trop, et moi je te fais presque jamais de cadeau.

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