Appelo Mor†em (old)
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

Appelo Mor†em (old)


 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -45%
PC Portable LG Gram 17″ Intel Evo Core i7 32 Go ...
Voir le deal
1099.99 €

« Il y a toujours des gens à éviter, à ignorer. Mais est-ce toujours possible ? » Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Auteur Message
Invité
Invité
.


messages


MessageSujet: « Il y a toujours des gens à éviter, à ignorer. Mais est-ce toujours possible ? » « Il y a toujours des gens à éviter, à ignorer. Mais est-ce toujours possible ? » Icon_minitimeMar 19 Aoû 2008 - 3:34

EDIT DE MAXIMILIEN: LISTER TON TEXTE STP, je le fais cette fois-ci mais la prochaine fois pas!





Priorité à :

« Il y a toujours des gens à éviter, à ignorer. Mais est-ce toujours possible ? » Chace-10

Monsieur Maximilien.


    Sept heures. Sept heures trente peut-être. Il est malheureusement l’heure de se lever pour la jeune femme. Oui, Tabatha considère qu’à seize ans maintenant, elle est une jeune femme et plus une jeune fille. Elle a mûrît, grandit. Elle le sait. Comment, pourquoi maintenant, etc. Elle ne le sait pas. Peut-être est-ce le fait de se lever si tôt un dimanche matin pour finir un devoir qui est une preuve de maturité ? Oui, ça doit être ça. Elle est autonome, elle sait se prendre en main maintenant tout en gardant son tempérament de feu. Et sa mère peut bien la mettre en garde, elle n’est jamais, pour l’instant, tombée sur plus fort qu’elle. C’est tant mieux.

    Les lendemains de buveries. Que ces instants sont savoureux. La tête dans les nuages, les yeux à demi clos, les cheveux en l’air et surtout le sommeil lourd. Les sommeils chauds et doux, le genre de sommeil qui nous empêche de nous extirper de la couette. Il n’y en qu’en buvant que l’on peut ressentir ça. Et tel fut son état ce matin là. Ces matins là, lui rappellent une autre soirée. Une unique soirée, qu’elle a vécue il y a quelques mois de ça. L’année dernière, Tabatha a craqué pour Lui. Maximilien. Elle n’est pas une coureuse de jupons, au contraire, elle s’interdit l’amour, les rapports trop proches avec le sexe opposé, elle cherche le bon, le Parfait. Elle le veut beau, intelligent, charmeur, avec une pointe d’originalité, un je-ne-sais-quoi. Ne croyez pas que Maximilien soit ainsi, elle a juste craqué, sous la pression peut-être.

    Décrivons Maximilien. Il est certes charmeur, il a une beauté incomparable, mais a-t-il ce je-ne-sais-quoi, Tabatha n’a pas encore eu le temps de le déceler. Elle n’a pas encore cerner son personnage, et pourtant. Bien plus qu’un simple baisé, bien plus qu’un flirt. Maximilien a une capacité qui n’est pas donné à tous, l’intelligence. Il a une tête d’intelligent et pendant plusieurs années, Tabatha et Maximilien ont souvent travaillé en collaboration, il y avait une bonne entente entre eux, conviviale, joviale. Ils n’étaient pas des inséparables, ni des amis proches, un peu plus que des connaissances, des amis tout au plus. Tabatha n’a pas su résister à la longue aux yeux doux de son ami, à ses sourires d’une blancheur alléchante. Elle a craqué. C’est un souvenir bien trop présent dans son esprit encore, car la jeune femme s’était promis de trouver le bon, elle s’était mis des barrières. Elle ne cesse de se dire que c’était une folie rien de grave. Mais son subconscient, l’oblige à faire des demi-tour à la simple vue d’une de ses mèches de cheveux, au simple son de sa voix au loin. Honte, pudeur, gêne. Telle est Tabatha.

    A présent, elle est seule pour faire ses devoirs, plus de Maximilien et de Tabatha vont faire leurs devoirs à la bibliothèque. Tant pis. Il faut se motiver malgré tout. Rien de bien compliquée, des cheveux en arrière, des vêtements de moldus que l’on dit « décontract’ ». Rien de bien aguichant, rien de bien exaltant. Les couloirs sont vides. Normal. C’est dimanche. Il est très tôt. L’inconvénient avec les lendemains de buveries, c’est le mal de tête qui arrive une fois que l’on est bien réveillé. C’est à l’angle du couloir du premier étage que celui-ci ce fit sentir. Une barre au dessus des sourcils. Tristan est un odieux petit gamin qui entraîne les autres dans ses buveries, enfin surtout Tabatha. C’est faux. Tout le monde le sait, Tabatha adore s’amuser avec lui, malgré les regrets des lendemains matins. Ce beau brun comprend un minimum Tabatha, car lui aussi il a un frère jumeau et ensemble ils peuvent discuter des manies de leurs frères qui les agacent. Oui, Adam agace Tabatha parfois, souvent même. Et Tabatha l’agace aussi, lui fait peur même.

    Jamais, Adam n’a vraiment effrayé Tabatha, c’est un garçon impulsif, elle a souvent craint sa réaction, mais elle n’a jamais eu vraiment peur de lui. Par contre, Adam a peur de Tabatha. C’est lui-même qui un soir lui a expliqué, quelques jours après son altercation plutôt violente avec Mary-Jane dans le Poudlard express. Mary-Jane est une sale peste, une idiote, après l’avoir provoqué, Tabatha ne put se contrôler, elle lui plaqua ses deux mains sur la gorge et tenta de l’étrangler. Voulait-elle vraiment l’étrangler, la tuer ou juste lui faire peur ? Dieu seul le sait. Dans tous les cas, Adam était là et il a calmé le jeu éloignant Tabatha. Depuis, elle ne parle plus à sa sœur, une personne de plus qu’elle évite. Elle ne veut pas la voir, elle ne sait pas si c’est par colère, honte ou tristesse qu’elle ne veut pas affronter sa soeur. Comment peut-elle l’accuser d’avoir tuer leur mère ? C’est faux. Elle les déteste.

    Elle s’installa à l’entrée de la bibliothèque, non pas qu’elle veuille se faire remarquer, mais c’est une curieuse de nature. Elle aime voir qui entre et sort. Commère ? Non. Mais elle aime tout savoir, juste pour son plaisir personnel. Nombriliste ? Oui. Elle aime que tout tourne autour d’elle, elle aime tout savoir que se soit sur elle ou sur les autres. Enfin bref. Elle se plongea dans un livre de botanique, son talon d’Achille. Elle n’y comprend rien et ne comprend pas l’intérêt d’étudier des plantes. Elle n’aime pas. C’est tout.

    Elle n’aime pas. Elle griffonna quelque note sur un bout de papier. Elle s’étira. Elle bailla. Puis regarda autour d’elle. La concentration n’est certainement pas au rendez-vous ce matin. Elle posa sa tête sur son tas de feuilles et ferma les yeux.

    Un petit diable ou le marchand de sable la tira vers un sommeil profond, lourd. Elle rêva cette scène. Elle, étranglant sa sœur, la voyant virer au rouge vif, puis au blanc. Elle me supplie. Tabatha a l’impression d’être un monstre, elle assiste impuissante à la mort de sa détestable de sœur, ses mains ne pouvant se desserrer du coup de Mary-J.
    « Arrête » hurle une petite voix en moi. Et cette phrase : « Tu as tué ma mère ».

    -« Salut toi ! »

    Sursaut. Tabatha ouvre les yeux, dans le brouillard, les larmes aux yeux. Après tout, faut qu’elle arrête. Elle ne l’a pas tué ! Elle souffla un coup, ce n’est pas à elle que l’on parle, la bibliothèque s’est rempli. Beaucoup de septièmes années se mettent au travail bien que se soit le début de l’année. Ils ne veulent pas avoir de retard sans doute. Tabatha, elle, elle en a. Il faut qu’elle finisse son devoir si elle veut pouvoir profiter de sa journée pleinement. N’est-ce pas pour cela qu’elle s’est levée si tôt ?

Revenir en haut Aller en bas
Maximilien E. Middle
Admin | Serdaigle
Loosing control...Help him to get up! Maximilien E. Middle
.
Masculin

5572 messages
Amour : Loréana Wilde est et sera pour toujours l'amour de sa vie!

Pensine
Orientation Sexuelle: Bisexuel
Année d'étude: 7ème année
Caractère: Sincère, honnête, fou, motivé, drôle, beau parleur, inteligent, charmeur, loyal, passioné, passionant, têtu, bien élevé, révolutionnaire, débrouillard, autonome, sarcastique, protecteur, volontaire, amusant, sportif, classe, patient, franc, écrivain, artiste! etc

MessageSujet: Re: « Il y a toujours des gens à éviter, à ignorer. Mais est-ce toujours possible ? » « Il y a toujours des gens à éviter, à ignorer. Mais est-ce toujours possible ? » Icon_minitimeMar 19 Aoû 2008 - 19:10

    « Il y a toujours des gens à éviter, à ignorer. Mais est-ce toujours possible ? » Chace-chace-crawford-2094377-100-100 « Il y a toujours des gens à éviter, à ignorer. Mais est-ce toujours possible ? » Chace-chace-crawford-2094382-100-100 « Il y a toujours des gens à éviter, à ignorer. Mais est-ce toujours possible ? » Chace-chace-crawford-2094379-100-100
    Parler à ceux à qui ont a voler leur bien le plus précieux: l'innocence.

Et j'avais les mots, l'a rendu accro,
Elle voyait déjà l'avenir dans mes bras
Et j'avais les mots, l'a rendu accro
Elle ne savait pas qu'elle ne me connaissait pas
Et j'avais les mots...


    Une douce clarté venait de passer in extrémiste entre les deux rideaux de la fenêtre bien fermé du sombre dortoir des garçons. Un faible rayon de soleil s’approcha délicatement du deuxième lit pour venir caresser calmement la bout du nez légèrement rosie du jeune blondinet endormis là…L’adolescent en question se retourna alors essayant d’esquiver cette doux chatouillis que ce rayon ne semblait pas vouloir stopper et qu’il commençait à diriger vers ses paupières toujours obstinément closes. Mais alors que son cerveau commençait tout doucement à s’éveiller et que lui continuait à cherché ce sommeil qu’il méritait encore quelques instant, ce rayon de soleil, amusé par la situation, continuait de la chatouiller, se glissant sous ses paupières, l’empêchant ainsi d’accéder au noir complet qui lui permettrait de dormir encore quelques minutes, voir peut être quelques heures mais l’un étant plus têtu que l’autre, cette lumière ne semblait pas vouloir le lâcher et c’est donc résolu que Maximilien ouvrit finalement enfin ses yeux. Il ne put s’empécher de cligner plusieurs fois sous la puissance du rayon de soleil, qui hilare pouvait enfin se glisser entièrement dans son œil pour lui titiller l’iris alors comme pour le chasser, le jeune serdaigle se frotta alors les yeux longuement essayant d’observer sous ses doigts les alentours et la pièce dans laquelle il se trouvait. Malgré cette faible lumière qui l’avait réveiller, il faisait encore assez sombre dans le dortoir et les lueurs orangé, rose et rouge qu’il arrivait à percevoir derrière les rideaux de la fenêtre démontrait que l’aube venait à peine de pousser la lune à aller à son tour s’endormir. On ne distinguait presque rien si ce n’est trois autres silhouettes dont le torse se soulevait avec grâce sous leurs respirations endormies. Quelle chance ! ! Se disant, qu’il aurait peut être la chance de pouvoir se rendormir et accompagné ses camarades dans leurs sommeils, Maximilien se retourna sur le côté, serra ses peluches contre lui, ferma ses yeux et essaya de se rendormir…En vain !

    Exaspéré par lui-même, il repoussa violement son draps et s’assis sur son lit. Il saisit sa montre qui affichait : sept heure du matin ! Il étouffa un juron qui aurait pu réveiller ses amis et sortit alors enfin complètement de ce lit si confortable et si douillet dans lequel il serait bien resté quelques heures de plus en ce magnifique samedi matin mais le sort en avait décidé autrement pour lui. Il attrapa alors quelques vêtements qui traînait mollement par terre à côté de son lit et sortit sur la pointe des pieds afin de ne pas réveiller ces heureux qui avait encore un accès plein à leur sommeil. Il ouvrit immédiatement la porte de la salle de bain sur sa gauche et déposant ses habits sur le sol marbré propre il monta dans sa douche, toujours les paupières mis closes, collées par le sommeil qui restait encore coincées dans son œil. Il ouvrit le pommeau d’eau chaude et laissa alors couler cette douce pression sur son corps encore endoloris. Il dégourdis ses membres un par un peu en les bougeant délicatement sous l’eau faisant involontairement craquer ses articulations et il finit par attraper le tube de savon. Il se lava alors, frottant jusqu’à avoir la peau imprégner de ce liquide propre toutes les parties possible et imaginable de son corps, puis il passa à ses cheveux qu’il frotta longuement, massant en passant son crâne encore lourd de sa nuit de sommeil et lorsqu’il fut certain d’être non seulement propre mais aussi bien réveiller, il rafraîchis l’eau dans le but de se laver, se rafraîchir et de se réveiller encore plus si cela était possible…
    Il sortit alors enfin, attrapant une serviette, se séchant jusqu’à ce que sa peau devienne rouge à certains endroits. Il se dirigea vers son miroir et commença à s’habiller.
    Il enfila tout d’abord son boxer blanc qui moulait parfaitement son sexe qui bien que soumis à aucun plaisir, y semblait déjà à l’étroit. Il enfila par-dessus un magnifique pentacours blanc, large en bas mais serrant un peu ses hanches parfaite et tout en contemplant ses muscles il enfila son t-shert noir par-dessus. Un t-shert bien large qui lui tombait même un peu en bas du dos…Ses cheveux blonds, toujours mouillés dégoulinaient dans son coup et mettait encore plus en avant le bleu azure de ses yeux et la rougeur de ses lèvres…Son nez légèrement troussé donnait l’impression de vouloir être croqué tout comme son coup, fin, léger et gracieux donnait envie d’être mordu…Après s’être contemplé quelques instants et avoir négligemment passer sa main dans ses cheveux, Maximilien sortit enfin de la salle de bain, bien décidé à aller faire ces devoirs…

    Il descendit les escaliers qui conduisait à cette immense et parfaite salle commune de serdaigle et constatant qu’elle était vide, ne se gêna pas pour sautiller gaiement vers la table sur laquelle il avait commencé ses devoirs hier soir avant de s’apercevoir qu’il lui manquait des information et qu’il ferait bien d’aller le lendemain à la bibliothèque. Finalement, ce n’était peut être pas si mal de s’être fait réveiller si tôt, ainsi il pourrait s’avancer sur ses devoirs dans la semaine et être plus tranquille en soirée pour discuter et passer du bon temps avec Léo et Travis…Rien à dire cette journée commençait très bien pour le jeune Maximilien qui sortit alors de la salle commune pour descendre vers ce lieu qu’il aimait plus que tout, ce lieu calme, paisible, emplis de solitude, de savoir et de sagesse : la bibliothèque…Il s’y rendit en sautillant et en chantant et à peine eut il poussé la lourde porte de la pièce que son regard se posa sur une jeune fille en train de travailler : cette jeune fille, il l’aurait reconnu entre mille...Il s’agissait de Tabatha Spencer…
    Il n’avait jamais eut beaucoup d’affinité avec les serpentard, il fallait bien l’avouer, mais avec elle tout avait tout de suite collé. Ils étaient tous deux studieux et avait donc dés le premier devoir de leurs cours communs, commencé à travailler ensemble, comme cela, sans même se l’avoir demandé, c’était venu comme un automatisme. Automatisme, qui par la suite était devenu une sorte de rituel entre les jeunes gens qui se retrouvaient ici pour travailler, lire et parfois même discuter. Et pourtant il y avait eut une nuit qui avait tout gâcher…Il l’avait inviter à boire un verre et ni lui, ni elle n’avait résister à la tentation alors il l’avait fait…Et pour une fois qu’il ne cherchait pas vraiment à draguer une fille, à lui faire l’amour…Il avait fallut que cela arrive…Et le pire de tout cela, c’était que lorsqu’il l’avait pris, il avait su qu’elle était vierge…Il lui avait pris sa première fois et n’avait pu faire marche arrière…
    Dire qu’il ressentait des remords serait faux, il n’en ressens jamais, cette nuit avait été merveilleuse pour et l’inexpérience de la jeune femme l’avait touché…Il aurait juste voulu que cela soit différent…Il s’approcha alors de Tabatha, sans laisser transparaître sur son visage tout ce à quoi il pensait et il lui dit d’une voix neutre…Comme si de rien était :


    MAXIMILIEN_ « salut toi ! »

    IL ne savait pas vraiment comment l’aborder et peut être même que le ton froid qu’il venait d’utiliser allait la blesser mais que faire ? Que dire ? Il avait passé de beau moment avec elle et même si il n’était pas dans son habitude d’aller revoir une fille avec laquelle il avait couché à part pour lui refaire l’amour, Tabatha pourrait peut-être être l’exception qui confirmait la règle…Voyant que la jeune femme avait quelques larmes qui parlaient au coin de ses yeux, il décida de les ignorer et d’attendre qu’elle lui en parle d’elle-même. Il posa alors ses affaires sur la table, tira la chaise d’à côté vers lui et dit :

    MAXIMILIEN_ « Je peux m’asseoir ? »

    Et sans attendre la permission, il posa ses magnifiques petites fesses sur ce bois froid de la chaise !

Revenir en haut Aller en bas
https://appelo-mortem.forumactif.org/-t43.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/-t1023.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/-t551.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/-t236.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/-t49.htm
Invité
Invité
.


messages


MessageSujet: Re: « Il y a toujours des gens à éviter, à ignorer. Mais est-ce toujours possible ? » « Il y a toujours des gens à éviter, à ignorer. Mais est-ce toujours possible ? » Icon_minitimeMer 20 Aoû 2008 - 20:47

    « Il a été mon exception. Suis-je la sienne ? »



    Rien de ce qu’elle écrivait ne voulait dire quelque chose. Elle était bien trop troublée. Par tout, elle ne comprenait plus grand chose, ne serait-ce qu’elle-même. Au fond, elle aimerait pourvoir revenir en arrière, effacer des choses qui pour l’instant sont inoubliables. Tout cela voudrait-il donc dire que Tabatha a des regrets ? La jeune fille n’est pas du genre à vouloir oublier, effacer, elle assume tout. C’est sans doute cette capacité à pouvoir tout assumer qui retourne chaque situation en sa faveur. Pourquoi changer maintenant alors ? Il n’y avait rien de grave. Rien d’irréparable après tout. Mary-Jane savait déjà que celle-ci la détestait, elle n’a fait qu’une fois de plus lui démontrer. Adam restait son fidèle compagnon, il restait fidèle à lui-même. Il fallait en faire de même. Et pour Maximilien, disons que c’est une erreur, il suffit de ne pas lui parler quelques temps et le contact se renouera seul, il suffit d’attendre le prochain travail qu’ils auraient à faire en commun. Pas de soucis. « Les Solynirs sont des plantes qui se transforment en hibou. » Max’ et Tab’ ne sont pas dans la même maison après tout, ils ne se croiseront pas de si tôt. « Elles sont en formes de fougères mais sont de couleurs rouges. » Puis, Poudlard est très grand. « Pour savoir si un hibou est ou non un Solynirs, … » Ce serait un acharnement de lamalchance si ils se croisaient, ou pire, si Mary-Jane, Maximilien et Tabatha se retrouvaient dans la même pièce. Crise d’angoisse assurée. Mais avant tous ça, il faut que la jeune femme termine son devoir et ce n’est franchement pas gagné. Cinquante centimètres de parchemin devant rassembler un ensemble de connaissances sur une catégorie de plantes. Tabatha ne connaît rien. Tabatha n’arrive même pas à écrire deux phrases droites sur son parchemin. Galère.

    -« Salut toi !
    - Oh… »

    Ce fut le seul son qu’elle pu articuler. Malchance quand tu nous tiens. Maximilien était plus beau que jamais. Cheveux en bataille encore mouillés, je crois que ce fut ça, le petit détail du jour à retenir. Par politesse sans doute, il demanda s’il pouvait s’asseoir, et sans attendre, il s’assit à côté de Tabatha. Si celle-ci avait eu le temps de lui répondre, elle aurait sans doute fait semblant d’avoir finit, elle se serait levée et elle aurait disparu aussi vite que Maximilien était arrivé à sa hauteur. Elle serait descendue dans la salle commune et aurait chercher quelqu’un qui l’aurait fait rire. Mais elle n’eut l’occasion de rien faire de tout cela, elle put juste le regarder s’asseoir, impuissante. Son « salut toi » n’avait rien de chaleureux. Etait-il venu voir Tabatha car il pensait qu’elle l’avait vu et qu’il était à présent impossible de faire demi-tour pour esquiver la jeune fille ? Etait-ce un salut forcé ? Avait-il quelque chose à reprocher à Tabatha ?

    Pendant que toutes ces questions défilés dans sa tête, Maximilien attendait sans doute quelque chose d’elle, ne serait-ce qu’un bonjour. Elle se contenta de lui sourire. Tout deux étaient dans la même position quelques mois auparavant, quelques heures avant qu’il ne lui vole sa virginité, son innocence. La chose qu’elle s’était promise de garder le plus longtemps possible, celle qu’elle ne donnerait qu’à la meilleure personne. Elle n’avait pas tenu sa promesse, car, vu la réputation de son cher Don Juan, Maximilien n’était pas la meilleure personne. Apparemment, il est le genre de garçon à prendre et à jeter. Vous voyez le genre ? Mais après tout, ce n’est qu’une banale promesse, elle n’a trahit personne et la libido est caractéristique de chaque être humain, tout le monde en veut un moment, tout le monde veut de l’autre un jour dans sa vie, ne serait-ce que par attirance physique. Il faut l’avouer, le dire et le redire, Maximilien ne manque pas de charme. Il avait eu les mots, il lui avait parlé, il l’avait fait rire. Et comme on dit « femme qui rit, femme à moitié dans son lit ». Tabatha et Maximilien avaient gardé leurs uniformes, Maximilien avait laissé sa cravate aux couleurs de Serdaigle à Poudlard, les trois premiers boutons de sa chemise étaient ouverts et celle-ci n’était pas bien rentrée dans son pantalon, elle dépassait à un ou deux endroits. Tabatha, elle, avait lâché ses cheveux, les laissant tomber devant ses yeux soulignant ses yeux bleus. A l’image de son compagnon, elle avait laissé sa cravate dans son dortoir et ouvert sa chemise laissant apparaître le début de sa poitrine. Le verre rapide que Max’ voulait lui offrir se prolongea, se transforma en dîner, puis en séance de discussion au bord du lac. Et sans s’en rendre compte, les deux amants se bécotaient, collés l’un à l’autre, l’un sur l’autre.

    Un bruit sourd. Le bouquin de botanique qu’elle avait posé en équilibre au bord de la table pour recopier quelques informations glissa et se referma par terre. Un peu d’action. Le silence gênait qui s’était installé entre eux fut rompu, pour le plus grand plaisir de Tabatha. Elle ramassa le bouquin, elle lui sourie en repensant aux longues heures où Maximilien lui avait expliqué de nombreuses choses sur la botanique. Ce temps lui manque. C’est sûre, elle veut que tout redevienne comme avant. Mais, égale à elle-même, sur le même ton que Maximilien, un peu froide, indifférente par politesse elle demanda :


    -« Au fait, as-tu réussi tes examens ? »

Revenir en haut Aller en bas
Maximilien E. Middle
Admin | Serdaigle
Loosing control...Help him to get up! Maximilien E. Middle
.
Masculin

5572 messages
Amour : Loréana Wilde est et sera pour toujours l'amour de sa vie!

Pensine
Orientation Sexuelle: Bisexuel
Année d'étude: 7ème année
Caractère: Sincère, honnête, fou, motivé, drôle, beau parleur, inteligent, charmeur, loyal, passioné, passionant, têtu, bien élevé, révolutionnaire, débrouillard, autonome, sarcastique, protecteur, volontaire, amusant, sportif, classe, patient, franc, écrivain, artiste! etc

MessageSujet: Re: « Il y a toujours des gens à éviter, à ignorer. Mais est-ce toujours possible ? » « Il y a toujours des gens à éviter, à ignorer. Mais est-ce toujours possible ? » Icon_minitimeMer 20 Aoû 2008 - 21:20

    Il s’abandonne aux actes les plus mal sains pour fuir la désespérante vérité…


On a construit des murailles privées de lumière
Rêvés de jardins, de fleurs, d'ombre et la poussière
J'y ai fait quelques mondes, quelques endroits
Ton préféré : celui d’où on se voit...


    Qu’aurait il pu dire d’autre ? IL l’avait salué, poliment, peut être un peu cruellement certes, mais il était venu vers elle, il avait fait le premier pas et malgré le fait qu’il n’en montrait rien, il se sentait légèrement mal à l’aise. Ce qu’il avait fait n’était pas dans ses habitudes…Enfin si mais pas ainsi : il ne dépucelait jamais une fille à vraie dire, sauf si elle le lui demandait et lui assurait qu’elle ne l’aimait pas non plus. Il n’était pas du genre à voler l’innocence d’une fille pour ensuite la faire souffrir mais cette nuit là…IL n’avait pas su et après cela avait été trop tard pour faire marche arrière…Il n’était pas du genre à faire souffrir. Il ne couchait qu’avec des filles (ou des garçons en fait) volontaires qui comme lui ne cherchaient que des histoires d’une nuit sans plus mais parfois…Il était dur de ne pas résister à la tentation et avec Tabatha, ils n’avaient pas vraiment eut le temps d’en parler avant…Le pire c’est qu’il n’avait aucune idée de ce qu’elle ressentait pour lui. En général ces réponses étaient claires dans un sens comme dans l’autre : Rien…Mais là, il s’agissait d’une amie quand même, si il pouvait l’appeler comme ça, qu’il fréquentait depuis plusieurs années, avec laquelle il avait beaucoup discuter, beaucoup papoter, beaucoup travailler, il avait passé de longue soirées avec elle sans arrières pensées mais cette nuit là, après ce verre, après ce dîner, près du lac, dans cette tenue si sexy…Aucun des deux n’avaient pu résister. Peut-être qu’elle l’aimait elle, peut être qu’elle était amoureuse de lui et qu’elle voulait plus avec lui dans ce cas là, la situation devait être éclaircie parce qu’il y avait une chose qu’il savait : lui ne l’aimait pas. Du moins pas de cet amour là, il lui offrait juste son amitié sans plus…Il ne voulait pas de relation fixe ni avec elle, ni avec une autre…A ce moment là, l’image de Loreana Wilde, leur professeur de potion s’imposa à lui et il la chasse d’un clignement de yeux afin de reporter son attention sur Tabatha.

    Il la regarda un cours moment avant de déposer violement ses cours sur la table devant laquelle elle était assis. Il lui demanda si il pouvait s’asseoir et sans attendre de réponse, posa ses jolies fesses sur la chaise la plus proche de la jeune serpentarde. Il ne savait trop que dire et apparemment elle non plus que le seul mot, non le seul son, qui était sortit de sa bouche depuis son arrivée avait été un « oh » et le mouvement qui avait suivi, avait été un tournement de tête et des joues rougissant. Bref, il était un peu gêné et tandis qu’il contemplait tous les livres qu’il y avait deux eux, il se souvint des longues soirées qu’ils avaient passés sur des devoirs, sur des cours, soirées qui se finissaient bien souvent en longues discussion personnelles. Non rien à dire, ce temps lui manquait et il était temps que cette distance s’arrête afin qu’il puisse à nouveau se parler et avec le temps redevenir peut-être même comme avant…
    Un bruit l’interrompit dans ses pensées : celui d’un livre qui venait de tomber. Il eut un petit sourire en voyant Tabatha se penchée pour le ramassé, étant à moitié gêné puis ce fut à son tour de détourner les yeux, lorsque ceux de Tabatha se posèrent sur lui pour lui parler où tout du moins pour entamer une faible discussion…


    TABATHA_ « Au fait, as-tu réussi tes examens ? »
    MAXIMILIEN_ « Oui avec Brillo…Tu me connais. Et toi ? »

    Et voilà, elle allait répondre et la discussion allait à nouveau s’arrêter là et après qui relancerait ? Est-ce que ça allait toujours être comme ça entre aux ? Aussi froid, aussi mal à l’aise, aussi distant, aussi bizarre ? Maximilien ne voulait pas ça et il refusait de voir cette situation s’installer, il refusait d’être son complice. Il voulait que les choses s’arrangent et si elles refusaient de s’arranger elle-même, il allait faire en sorte qu’elle bouge avec son aide. Il allait tout faire pour forcer le destin et retrouver cette complicité qu’il partageait à l’époque avec la jeune femme qu’il avait en face de lui, espérant qu’elle souhaitait la même chose parce que sans son accord...il n’allait pas aller très loin, il fallait quand même bien le reconnaître non ?
    Bien décidé à faire bouger les choses, il attrapa le livre que Tabatha avait dans les mains et lu le titre avant de l’ouvrir et de parcourir des yeux le sommaire et la première page du livre. Il referma ensuite le livre et se tourna vers Tabatha qu’il regarda dans les yeux avant un mis sourire pour dire d’une voix amusée :


    MAXIMILIEN_ « Huuum Les Solynirs…Joli sujet, c’est pour quel prof dis moi ? Sais tu que j’ai lu un livre sur eux pendant les vacances alors si tu as un soucis…Je peux t’aider, je suis devenu incollable sur ce sujet…Tu sais bien les livres de mon cher paternel…Plus complet, tu ne trouveras pas ! »

    Il parlait comme si tout allait bien, comme si rien ne s’était passé…Mais il savait qu’une fois qu’ils avaient fini de discuter des Solynirs, il allait devoir aborder LE sujet et il savait que c’était à lui de le faire et il se promet donc de le faire, attendant juste patiemment le moment venu…

Revenir en haut Aller en bas
https://appelo-mortem.forumactif.org/-t43.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/-t1023.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/-t551.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/-t236.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/-t49.htm
Invité
Invité
.


messages


MessageSujet: Re: « Il y a toujours des gens à éviter, à ignorer. Mais est-ce toujours possible ? » « Il y a toujours des gens à éviter, à ignorer. Mais est-ce toujours possible ? » Icon_minitimeJeu 21 Aoû 2008 - 3:32


    « Faut-il vraiment y croire, en l'amour ? »



    -« Oui avec Brillo… Tu me connais. Et toi ?
    - Tu me demandes à moi, si j’ai réussi mes examens ? Veux-tu vraiment m’entendre me jeter des fleurs ? Rires. Bien sûr que j’ai réussi. »

    Sourire en demi-teinte. Ce mal à l’aise en forme de boule au creux de son estomac venait de diminuer de quelques millimètres. Elle ne mentait pas, elle avait bien réussi, sauf en botanique et en astronomie. L’astronomie est une matière bien trop abstraite pour elle, les étoiles et leurs interprétations, les étoiles sont bien trop loin, bien trop hautes pour que quiconque ne puisse vraiment comprendre ce qu’elles veulent nous dire. Ne parlons pas des planètes… Puis Tabatha ne voit pas l’utilité de ces matières. Les plantes… Certains ont la main verte, d’autre pas, Tabatha fait partie des autres. Ces cours sont une sorte de torture, un enfer interminable où l’on doit s’empêcher de plonger dans un profond sommeil en imaginant le repas qui nous attend dans la grande salle. Puis d’ailleurs, combien de fois la jeune Spencer a-t-elle reçue une retenue pour « non écoute » et surtout bavardage. Combien de fois, Mary-Jane est passée devant elle en lui lançant un regard faussement désolé, qui voulait plus dire « pauvre de toi, tu me désoles pauvre fille, va ». Malgré leurs différences, elle reste sa sœur, sa triplette et chacun de ses regards ne sont qu’une pâle copie des siens. Car oui, Mary-Jane jalouse Tabatha. C’est bien connu n’est ce pas ? Bref. Il ne faut pas s’endormir et pour ne pas s’endormir, il faut s’occuper et il faut s’occuper comme on peut en cours. Et l’occupation la plus enrichissante est le bavardage ou plutôt le commérage. C’est simple, il suffit de se tourner à droite, à gauche ou derrière au choix. Si, comme Tabatha, vous privilégiez le fond de la classe, il suffit de tendre son pied et de tapoter gentiment le voisin de devant, celui-ci se retournera, mais privilégiez ceux de droites et de gauches. Pas besoin d’être à côté d’amis, mais évitez les ennemis tout de même, même si la personne ne veut pas vous parlez. Parlez ! C’est d’autant plus amusant que celle-ci va s’énerver et sans doute au bout d’un moment parler plus fort qu’il ne faudrait et donc ce faire sanctionner. Tabatha, vicieuse ? Point du tout ! Mais après six années de pratique intense, elle a sut affiner son jeu. Puis on peut être taquine, belle et brillante. La preuve en chair et en os.

    La discussion s’était arrêtée. A présent s’était regards en coins, joues rouges et mal être. Il fallait que ça s’arrête. Après tout, il n’y avait aucun cœur brisé. Il n’y avait aucun amour entre Tabatha et Maximilien, à moins que… Non, jamais. Pas lui. Mais peut-être croyait-il qu’elle… ? Non, il n’était pas si idiot. Enfin, on ne peut pas lui reprocher de ne pas comprendre les femmes et surtout Tab’. Tabatha est jeune femme entre le paradoxal et le compliqué. Personne, ne sait vraiment dire ce qui lui convient le mieux. Un jour elle va vous adorer et le lendemain, vous envoyer bouler ailleurs. Oui, c’est son caractère, un rien ne la met en colère, un rien la rend détestable. Elle n’a pas sa langue dans sa poche. Elle est lunatique. Il faut le dire, paradoxale. Mais elle ne sait jamais trop quoi penser d’une personne. Elle a peur de se tromper dans son jugement. Non pas qu’elle a peur de passer à côté d’une personne extraordinaire, mais elle a peur d’être déçue, comme avec ses parents, ou plutôt, sa famille en général. Elle veut mais elle ne peut. Expliquons en prenant l’exemple de Mary-Jane et Adam. Quand elle voit des sœurs, qu’ils soient jumeaux, ou pas. En général, ils s’aiment, sont complices. Elle voudrait pouvoir prendre Adam et Mary-Jane dans ses bras en même temps et leurs confier des secrets. Parler à Adam de son histoire avec Max’, l’entendre dire qu’il va le tuer et entendre Mary-Jane calmer Adam et lui donner des conseils avisés. Mais elle ne peut. En fait si, elle peut. Mais ce n’est pas dans son caractère et son passé ne lui permet pas. Elle veut mais elle ne peut. C’est trop fort pour elle. Complexe. C’est du Tabatha tout craché. Elle ne parle pas tellement en fait, mais elle en pense trop.


    -« Huuum Les Solynirs…Joli sujet, c’est pour quel prof dis moi ? Sais tu que j’ai lu un livre sur eux pendant les vacances alors si tu as un soucis…Je peux t’aider, je suis devenu incollable sur ce sujet…Tu sais bien les livres de mon cher paternel…Plus complet, tu ne trouveras pas !
    - C’est quoi cette idée tordue de lire un livre sur les Solynirs pendant les vacances en plus, dis moi ? »

    Elle lui avait répondu de la même manière que lui. Comme si de rien était. Il croyait que Tabatha était amoureuse de lui. Elle en était pratiquement sûre à présent. Car, si Maximilien pensait qu’ils avaient passé une bonne soirée ensemble point à la ligne sans se poser de question sur ce que ressentait Tabatha, il ne lui parlerai pas avec cet air du type qui contrôle la situation et de plus, il y aurait fait déjà allusion. Tel sont les hommes. Pas besoin de nier le contraire, il aurait déjà fait une allusion indélicate et pleine de grossièreté. Après tout, Tabatha vit avec un coureur de jupon. Elle l’entend parler et se retient même de lui mettre des gifles. Sans rire ! La maladresse des garçons fassent aux femmes est à mourir de rire quand la jeune fille n’est pas sous le charme. Sinon, c’est le drame. Et étant la sœur soit disant proche, toutes ses copines viennent voir Tabatha en pleurnichant : « Pourquoi est-il comme ça ? Qu’ai-je comme problème ? Il est toujours comme ça ? J’ai plus de nouvelle, il m’a largué ? » Au début, en âme charitable et en se disant que le ciel lui rendrait, elle prenait le temps de les écouter, de les aider. Mais maintenant, elle les renvoie d’où elles viennent illico presto. Et après passage de savon à Adam : « Tu soules à toutes les larguer elles viennent toutes pleurnicher dans mes jupes ! Arrête un peu, arrête ! » Toujours le même refrain. En vain, c’était Adam.

    Enfin. Ne voulant pas se mouiller, au risque de se tromper Tabatha ne dit rien, un sourire au coin, la situation la faisant rire. Il vaut mieux rire que pleurer, n’est ce pas ? Elle trouva un moyen d’en rire un peu plus en trouvant une question plutôt ambigu, allait-il penser que Tabatha voudrait que la réponse soit son prénom ou un simple : « toi » ? A mourir de rire. Elle baissa les yeux essayant d’imiter la honte et la timidité.


    -« Dis moi, de qui es-tu amoureux ? Enfin, si tu aimes… quelqu’un. »

Revenir en haut Aller en bas
Maximilien E. Middle
Admin | Serdaigle
Loosing control...Help him to get up! Maximilien E. Middle
.
Masculin

5572 messages
Amour : Loréana Wilde est et sera pour toujours l'amour de sa vie!

Pensine
Orientation Sexuelle: Bisexuel
Année d'étude: 7ème année
Caractère: Sincère, honnête, fou, motivé, drôle, beau parleur, inteligent, charmeur, loyal, passioné, passionant, têtu, bien élevé, révolutionnaire, débrouillard, autonome, sarcastique, protecteur, volontaire, amusant, sportif, classe, patient, franc, écrivain, artiste! etc

MessageSujet: Re: « Il y a toujours des gens à éviter, à ignorer. Mais est-ce toujours possible ? » « Il y a toujours des gens à éviter, à ignorer. Mais est-ce toujours possible ? » Icon_minitimeSam 23 Aoû 2008 - 14:06

[Hey déjà Maximilien n’a jamais cru qu’elle était amoureuse de lui, il ne l’a fait que le supposer mais dans l’absolu, il s’en fiche…Quant à ton rps, tu mélange le présent et le passé, merci de t’en tenir uniquement au passé simple, imparfait, plus que parfait ou même passé antérieur donc voilà !]

    « Nous nous réfugions dans l'orgueil, parce que nous avons
    peur de nous dire la vérité à nous-mêmes.
    » Okakura Kakuzo


Mon âme conteste
Ma peau proteste
Moi j' rêve de maintenant
Car je suis un enfant...


    Mettez deux hommes souriants et joyeux l’un à côté de l’autre et l’ont vous soufflera à l’oreille qu’ils sont de très bons amis. Mettez de femmes souriantes et joyeuses l’une à côté de l’autre et l’on vous soufflera à l’oreille qu’elles sont de très bonnes amies mais mettez un hommes souriant et joyeux à côté d’une femme souriantes et joyeuse on vous soufflera à l’oreilles qu’ils sont ensembles voir même plus…Et le problèmes avec ces chuchotements indiscrets et invasifs dans votre vie, c’était qu’à force de les entendre, on finissait par les réaliser, on fini vraiment par croire que ce n’est pas naturel d’être ami avec une personne du sexe opposé, que ce n’est pas dans la nature de l’homme et que quoi que tu fasse, on te prendra toujours pour quelqu’un voulant séduire l’autre personne…Ces masses de préjugées afflues en masse et sont loin d’être positive, elles influent la vie des adolescents, au point qu’eux même ne soient pas capable de se balader à côté du sexe opposé sans avoir d’idée derrière la tête, de remord, d’envie ou de désir et c’était malheureusement ce qui s’était passé pour Tabatha Spencer et Maximilien Middle. Ils se baladaient longtemps l’un à côté de l’autre, souriants et joyeux, ils travaillaient mains dans la mains, sortaient même de temps en temps boire un verre, en tout bien tout honneur, jamais, au début, ils n’avaient eut de penser Mal saine, même Maximilien n’y pensait pas. Tabatha était son amie de cours, sa compagne de bibliothèque, sa compagne de discussion même mais sans plus…La masse populaire s’étant mêlé, on avait cessé de lui murmurer dans l’oreille « alors tu as couché avec elle ? Elle est comment, depuis le temps que je la veux ? » « Quand, vas-tu enfin conclure, t’es con ou quoi, elle attend que ça ! ». Il avait fini par le croire même si en face de Tabatha, il essayait encore vainement de se persuader du contraire. Et voilà qu’une soirée au bord de l’eau, alcoolisé, il avait tout fait pour enlever de sa tête la voix de ses amis qui lui soufflait « allez, elle veut que tu la prenne » mais ce fut trop fort…Les idées embuées par l’alcool, il s’était penché et l’avait embrassé…Stupide pouvoir du peuple…

    TABATHA_ « Tu me demandes à moi, si j’ai réussi mes examens ? Veux-tu vraiment m’entendre me jeter des fleurs ? Bien sûr que j’ai réussi. »

    Il aurait du s’en douter, qu’elle idiot était il pour avoir ne fuse que poser la question ? Il aurait du savoir que Tabatha serait non seulement la première à avoir réussi mais aussi la première à s’en venter. Elle n’était pas du genre à cacher ses réussites mais plutôt du genre à cacher ses échecs…Mais ne ditons pas que l’orgueil est la meilleure façon de se cacher notre propre faiblesse ? Telle était en tout cas la vision de Maximilien. Il fallait avouer qu’il était aussi du genre à se mettre en avant mais pas pour les mêmes raisons. Cette façon qu’il avait de parler parfaitement bien, d’utiliser des mots corrects et tout ce qui va avec, c’était quelque chose d’encrer en lui depuis sa naissance, ses parents ne lui avait pas donnée le choix. Depuis petit on lui rabachait le fait qu’un Middle ne baissait jamais son nez et bien que rebelle aux idées de ses parents, il n’avait pu se défaire de toutes. L’éducation c’est la première chose qui permet de construire un enfant, il est logique que quoi que l’on fasse il en reste des traces, comment pourrait il en être autrement ? Alors Maximilien ne baissait jamais son nez, mais il avouait ses erreurs, sachant simplement les tourner à ses avantages, il connaissait ses faiblesses, ne les niaient pas mais utilisait son intelligence pour pouvoir s’en servir à bon escient ! Il aurait fait un très bon serpentard ce Maximilien, si il n’avait été si intelligent et aussi si libéraliste. Il n’était pas du genre à prôner la supériorité de sa famille, ni de son sang, un bon petit communiste et ce depuis bien longtemps…
    Histoire, d’arrêter de penser à droite à gauche, Maximilien attrapa le livre de Tabatha, et rigola en en voyant le sujet. Il lui expliqua alors qu’il avait lu tout un livre là-dessus pendant les vacances…


    TABATHA_ « C’est quoi cette idée tordue de lire un livre sur les Solynirs pendant les vacances en plus, dis moi ? »
    MAXIMILIEN_ « Mais…Tu sais, mon père ! Sa bibliothèque a beau être immense, il refuse de me prêter beaucoup de livre, sois disant il attend que je sois plus grand. Peut-être que si il m’avait un peu mieux regarder il s’apercevrait que j’ai 15 ans, il a du rester sur le dernier anniversaire qu’il m’a souhaiter à dix an…Du coup, j’ai hérité de ce bouquin et tu connais ma soif d’apprendre, même si ça pue le dragon…Je l’ai donc lu ! »

    Maximilien lui fit un petit clin d’œil, version Max, en souvenir de toutes ces soirées qu’ils avaient passés ici, soit disant pour travailler mais qui finissaient par de longues discussions sur leurs vies et sur le reste. Maximilien doit sûrement avoir été une de seule personne à qui Tabatha s’est ouverte autant, sans vouloir non plus trop en faire parce que c’était réciproque, il lui a aussi beaucoup parlé de lui-même sans non plus raconter sa vie en long et en large mais juste un minimum et en fait on aurait pu dire qu’avant de passer cette nuit ensembles, les deux adolescents avaient été de très bons amis et max était bien décidé à rattraper cette erreur et de redevenir comme avant, il ne savait pas encore trop comment aborder le sujet, mais il n’allait pas tarder à le faire. Ce fut cependant Tabatha qui le coupa dans son élan, apparemment, elle semblait plus pressé que lui d’en discuter ou juste qu’elle avait une idée claire de ce qu’elle voulait savoir de lui…

    TABATHA_ « Dis moi, de qui es-tu amoureux ? Enfin, si tu aimes… quelqu’un. »
    MAXIMILIEN_ « Je…Je ne sais pas ! »

    Il avait eut l’envie d’un seul coup de répondre : Oui…De Loreana Wilde, notre professeur de potion, car ce fut cette seule et unique image qui lui vint en tête lorsqu’elle lui posa la question mais depuis ce baisser qu’ils avaient échangé, rien était comme avant. Il secoua la tête pour chasser son professeur de sa tête afin de se reconcentrer sur la conversation. Pourquoi est ce qu’elle lui avait posé cette question ? Qu’attendait elle comme réponse ? Maximilien doutait qu’elle aurait voulu entendre un « de toi » ce n’était pas le genre de Tabatha d’espérer ce genre de chose mais peut-être que…Ah il fallait vraiment stopper cette histoire, il voulait redevenir ami avec elle, rien de plus et il espérait qu’elle veuille la même chose. Il prit alors son courage à deux mains. Attrapa la main droite de Tabatha pour la tenir dans la sienne, l’obligeant ainsi à se retourner pour le regarder. Ils étaient tous deux assis, tourner l’un vers l’autre, les jambes de Tabatha se trouvaient entre celles de Maximilien, qui tenait sa main droite dans sa main à lui. Il la regarda alors dans les yeux et dit :

    MAXIMILIEN_ « Tab, je crois qu’on doit parler de ce qui c’est passé… »

Revenir en haut Aller en bas
https://appelo-mortem.forumactif.org/-t43.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/-t1023.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/-t551.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/-t236.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/-t49.htm
Invité
Invité
.


messages


MessageSujet: Re: « Il y a toujours des gens à éviter, à ignorer. Mais est-ce toujours possible ? » « Il y a toujours des gens à éviter, à ignorer. Mais est-ce toujours possible ? » Icon_minitimeMar 26 Aoû 2008 - 0:59

[ J’avais compris que Max supposait juste que Tab’ était amoureuse de lui, mais elle, dans sa tête elle en est sûre. Et pour le rp, je n’avais pas fait attention, merci de me l’avoir fait remarqué ! Very Happy ]

    « Vous croyez que vous êtes modeste. Je ne vous savais pas si orgueilleux ! »

    Tabatha fut une jeune fille très orgueilleuse. A l’époque où ses parents étaient encore vivants, elle se comportait comme une princesse gâtée. Avec le recul, elle s’était rendue compte qu’elle en avait trop fait et suite au décès de son père, Anne-Lise, sa mère, dut non seulement supporter Tabatha mais aussi, Adam, qui, n’ayant plus personne sur qui passer ses états d’âmes se replia sur sa chère mère. A la réception de la lettre, Tabatha ne put reconnaître ses torts, elle manquait de maturité, de recul. Sa mère l’avait profondément blessé. Dernièrement, en repensant à tous ça, elle s’avoua avoir exagérer, mais jamais au grand jamais elle n’avouera être la cause première du suicide d’Anne-Lise. La cause première était sans doute la lâcheté qui animait madame Spencer, elle était faible et elle a montré brillamment à ses deux filles la route qu’elles ne doivent pas prendre dans leurs vies futurs. C’était une femme trompée par son mari, mais qui croyait coûte que coûte en l’amour de son couple. Elle croyait en l’amour qui les avait animé lors de la fécondation de leurs quatre enfants. Mais le côté orgueilleux, misogyne de son mari refit vite surface. Elle n’avait rien vu venir. Peter était le stéréotype même de l’homme arriéré. L’homme couchait, l’homme mentait, l’homme maltraitait, mais c’était normal, mais le plus atterrant c’était que la femme devait se taire, regarder faire et pleurer au mieux. Les parents Spencer étaient pathétiques. Du moins c’était l’image que Tabatha véhiculait d’eux. Ce fut la lâcheté la raison première du suicide de sa mère et le remords peut-être, le remords d’avoir été une femme faible et de ne pas avoir montré à sa famille se qu’elle pouvait faire d’autre qu’être une pauvre femme au foyer ne pouvant même pas, s’occuper comme il le fallait de ses enfants. Le désir de Tabatha de vouloir un homme parfait démarra de cette relation. Du couple Anne-Lise et Peter Spencer, le couple le plus pitoyable qu’elle n’a jamais vu. Ils se croyaient tout deux de modestes gens irréprochables, étant un couple basique. Les gens qui sont modestes, sont les gens les plus orgueilleux. Tabatha assumait son caractère difficile et hautain, c’était sa plus belle qualité, elle savait s’assumer telle qu’elle était.

    - « Mais…Tu sais, mon père ! Sa bibliothèque a beau être immense, il refuse de me prêter beaucoup de livre, sois disant il attend que je sois plus grand. Peut-être que si il m’avait un peu mieux regarder il s’apercevrait que j’ai 15 ans, il a du rester sur le dernier anniversaire qu’il m’a souhaiter à dix an…Du coup, j’ai hérité de ce bouquin et tu connais ma soif d’apprendre, même si ça pue le dragon…Je l’ai donc lu ! »

    Elle sourie au clin d’œil de Maximilien, le passé revenait au galop. Tant mieux.

    - « Dis moi, de qui es-tu amoureux ? Enfin, si tu aimes… quelqu’un.
    - Je…Je ne sais pas !
    - Allez dis moi ! Tu sais, je le sais, je demande juste confirmation ! »

    La jeune femme n’était pas du genre à savoir interpréter les regards, bien que celui-là fut trop flagrant, il s’était passé quelque chose dans la tête de Maximilien à ce moment précis. Mais elle ne sut interpréter cette illumination qu’il y avait eu dans son regard. Ces certitudes s’étaient envolées, elle ne savait plus s’il en était sûr ou s’il avait simplement supposé, l’espace d’un instant, qu’elle puisse être amoureuse de lui. Maximilien était assez troublant dans sa manière de penser. Elle essaya de se concentrer sur son devoir un minimum, elle ne comptait pas passer l’après-midi dans la bibliothèque alors que dehors, le soleil se levait sur le parc. C’était son moment préféré de la journée, il faisait frais et l’éveil doux du château donnait à Poudlard et à ses environs une douce sensation, comme si tout était enfermé dans un cocon de coton. Maximilien l’a sortit de ses pensées en lui attrapant la main, elle ne pouvait plus l’éviter. Le moment qu’elle redoutait le plus venait d’arriver, le moment où elle allait devoir expliquer, qu’il n’était en aucun cas en faute dans cette histoire, qu'il n'avait rien fait de mal, venait d’arriver. Elle voulait que tout redevienne comme avant. Mais cette explication était-elle indispensable ?

    -« Tab, je crois qu’on doit parler de ce qui c’est passé…
    - Tu crois ? Sommes-nous vraiment obligés… ? »

Revenir en haut Aller en bas
Maximilien E. Middle
Admin | Serdaigle
Loosing control...Help him to get up! Maximilien E. Middle
.
Masculin

5572 messages
Amour : Loréana Wilde est et sera pour toujours l'amour de sa vie!

Pensine
Orientation Sexuelle: Bisexuel
Année d'étude: 7ème année
Caractère: Sincère, honnête, fou, motivé, drôle, beau parleur, inteligent, charmeur, loyal, passioné, passionant, têtu, bien élevé, révolutionnaire, débrouillard, autonome, sarcastique, protecteur, volontaire, amusant, sportif, classe, patient, franc, écrivain, artiste! etc

MessageSujet: Re: « Il y a toujours des gens à éviter, à ignorer. Mais est-ce toujours possible ? » « Il y a toujours des gens à éviter, à ignorer. Mais est-ce toujours possible ? » Icon_minitimeMer 27 Aoû 2008 - 22:26

    «Mieux vaut la honte sur le visage
    que la tache dans le coeur.
    » Miguel de Cervantès


    Mettez un homme face à la plus grosse de ses erreurs et la seule réaction que vous obtiendrez de lui sera un baissement de tête, des joues rougissantes et par moment un petit mot désolé sortant faiblement de sa bouche, et ce comportement n’était autre qu’un moyen d’exprimé la honte qu’il ressentait mais au fond qu’était-ce la honte ? Etait-ce simplement ne pas être très fier d’une action ou était-ce bien plus ? La honte n’était nul autre le fait d’accepter qu’un de nos acte était un erreur et pour l’homme, qui était un animal empli de fierté, d’égoïsme et d’amour propre, il n’y avait rien de pire pour lui que d’admettre sa faute, baisser la tête et reconnaître qu’il n’y avait rien de glorieux bien au contraire dans ce que l’on venait de faire. Qu’il n’y avait rien à féliciter, rien à applaudir juste à dénigrer et à rejeter et l’homme avait bien souvent même honte d’avoir honte comme si elle était en elle-même une faute, une erreur, quelque chose qui ne devrait pas exister mais il y avait une chose que les hommes avaient toujours eut du mal à comprendre il y avait bien pire que la honte…IL y avait l’animosité, le désir de vengeance, il y avait la perte de quelqu’un…Il valait mieux avoir honte d’une action et le reconnaître que de prendre le risque de perdre quelqu’un à vie…IL valait toujours mieux baisser la tête et savoir la personne près de nous que de garder la tête levée et la regarder s’éloigner !

    Maximilien avait bien vite acquis cette règle de vie, bien sûr il ne l’avait pas fait seul et sa nounou d’enfance : Elisa l’avait aidé et lui avait beaucoup appris sur la vie et il se souvint même très bien en ce moment, d’un geste qu’il avait eut, enfin plutôt d’un mot qu’il avait dit. IL avait été de mauvais humeur ce jour là et avait dis à Elisa qu’il ne l’aimait pas. Rien de grave mais pour un enfant qui n’avait autre personne que cette femme c’était énorme surtout qu’il l’avait blessé. Il s’en était voulu terriblement mais avait refusé de lui dire que c’était faux, sa fierté le faisait garder la tête honte et surtout les phrase de son père avait tournés en boucle dans sa tête « UN middle ne fait jamais de faute, un Middle a toujours raison et ne baisse jamais la tête ». Elisa s’était alors assise sur son lit et lui avait dit de sa voix douce et calme : « Que préfère tu Maximilien, baisser la tête et avouer que tes mots étaient méchant, ou garder la tête haute et me regarder m’en aller triste ! » L’enfant avait alors compris, qu’il y avait bien plus grave que d’admettre un tord parce qu’il ne voulait pas faire souffrir cette femme qu’il aimait comme sa mère. IL avait alors baissé les yeux et avait serrée sa nounou contre lui et lui avait répété en pleurant : « Pardon, Pardon, Pardon…Pardon »…

    Maximilien savait qu’il avait fait une erreur avec Tabatha et bien qu’il ne regrettait pas cette nuit, il avait confiance qu’elle n’aurait jamais du avoir lieu et bien qu’il n’était pas le seul coupable car elle l’était mais il avait une grande part de responsabilité dans ce qui était arrivé et il ne contait pas la niait, bien au contraire, c’était loin d’être son genre. IL avait honte de s’être laissé aller, de lui avoir pris sa première fois, il avait honte de l’avoir fait souffrir, elle son amie…Il préférait lui dire qu’il était désolé et se diminuer un peu que de risquer de la perdre, de la voir partir pour ne plus jamais pouvoir lui parler, travailler en sa compagnie, discuter et tout ce qu’il y avec…Il était bien décidé à faire comprendre à Tabatha sa position et c’est sans doute pour cette raison qu’il ne prêta pas attention à l’insistance dont la jeune femme faisait preuve pour savoir de qui il était amoureux, mais qu’il se contenta de lui prendre la main et de la tourner vers lui pour l’obliger à le regarder. IL lui avait alors dit, qu’il fallait qu’ils parlent de tout ce qui s’était passé, qu’il était vraiment temps qu’ils en discute sérieusement…


    TABATHA_ « Tu crois ? Sommes-nous vraiment obligés… ? »
    MAXIMILIEN_ « Oui…Tabi, j’en suis même persuadé et tu le sais autant que moi… »

    IL ne savait pas comment continué ou plutôt par où commencer, il y avait tant de chose à dire mais, il ne savait pas vraiment laquelle serait le plus approprié pour démarrer cette discussion houleuse qui s’engageait…Il soupira et baissa la tête signe qu’il était non seulement gêné, embarrassé mais aussi en pleine reflection. Il était rare de trouver un max qui ne savait pas quoi dire, ce n’était presque jamais en fait mais aujourd’hui les mots lui manquaient réellement, il ne savait trop lequel employé sans paraître indiscret, trop présent, il devait se faire pardonner, il devait lui faire comprendre qu’il tenait toujours à elle et qu’il ne voulait pas la perdre malgré tout et pour cela il avait intérêt à se bouger et vite parce qu’une fille, il ne suffisait pas de lui envoyer une lettre surtout sur un pareil sujet…Finalement, bien décidé à parler, il releva la tête pour à nouveau, plongé ses magnifiques yeux bleu dans ceux de Tabatha…Il lui dit alors d’une voix douce et grave à la Maximimi :

    MAXIMILIEN_ « Tabatha, avant tout je voulais te dire que…je suis désolé. Je tiens à toi, très fort. Je ne regrette pas cette nuit…Elle était merveilleuse mais j’ai conscience que je t’ai sans doute blessé en fait… »

Revenir en haut Aller en bas
https://appelo-mortem.forumactif.org/-t43.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/-t1023.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/-t551.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/-t236.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/-t49.htm
Invité
Invité
.


messages


MessageSujet: Re: « Il y a toujours des gens à éviter, à ignorer. Mais est-ce toujours possible ? » « Il y a toujours des gens à éviter, à ignorer. Mais est-ce toujours possible ? » Icon_minitimeSam 11 Oct 2008 - 22:18


    « Posté devant la fenêtre,
    je guette, les âmes esseulés. »

    Tabatha a toujours eu l’art et la manière d’éviter les sujets tabous, tel que le sexe avec son frère, l’amour et l’orphelinat avec une quelconque personne et les erreurs passés. L’orgueil de Tab’ est tel qu’admettre qu’elle est une quelconque responsabilité dans quoi que ce soit est inimaginable, inconcevable. Elle coupait net à tous ces sujets interdits, elle se levait, partait, trouvait un autre sujet de conversation, mais n’en parlait en aucun cas. Maximilien n’avait pas à s’excuser de se qu’il s’était passé, ce n’était pas sa faute, ni celle de Tabatha, c’était la faute de la nature humaine, du désir que chacun avait produit chez l’autre. Mais Tabatha n’avait pas envie de lui dire qu’il n’y avait rien de grave, elle ne voulait pas lui dire que ses excuses ne servaient à rien. Elle ne voulait pas en parler, mais elle était coincée. Max’ lui tenait la main, il ne la serrait pas, elle pouvait se dégager de son étreinte et se levait, mais elle aurait eu des remords, tout d’abord parce qu’il faisait preuve de franchise envers elle et elle avait peur, en retirant sa main, qu’il prenne ce geste comme un rejet, elle ne voulait pas qu’il croit qu’elle était en colère, déçue, elle était juste gênée. Tabatha ne savait plus.

    Quelques années plus tôt, son frère assit en face d’elle l’a regardé l’air abattu, déçu et surpris. Il ne savait pas sa sœur aussi manipulatrice, aussi vile. « Pourquoi ? » fut le seul mot qu’il réussit à articuler, les points fermés, tremblant, il pouvait devenir violent. Tabatha avait usé de ses relations pour faire rompre son frère avec une espèce de pouf ignoble, qu’il aimait. Voilà en gros l’histoire qui les avait mené à ce face à face. Comment avait-il su que c’était elle ? Aucune idée, un mouchard, une fausse manipulation, un maillon faible. Il avait donc cru ce qu’il avait entendu, il y avait eu La Dispute, La Rupture et les règlements de compte. Tabatha ne l’aimait pas. Cette fille n’aimait pas et ne méritait pas son frère. Tel était son point de vue, mais elle ne voulait pas en parler car elle s’était trompée, elle l’aimait, elle l’avait prouvé. Tabatha avait agit en égoïste, elle se l’était avouée, mais elle ne pouvait l’avouer à son frère. Elle s’était trompée. Elle ne pouvait pas partir, changer de sujet ou lui sourire pour qu’il l’excuse. C’était trop grave. Tabatha ne savait plus. Elle avait du dire la vérité à son frère, elle avait pleuré, elle s’était rabaissée, elle n’avait pas aimé ça, mais c’était mieux que voir son frère partir sans se retourner. Certes, il était parti en colère, mais il l’avait regardé avant de partir, faute avoué, faute à demi pardonné. Ce n’est pas ce qu’on dit ? Certes, avec Maximilien il n’y avait pas de « faute grave », mais l’état d’âme dans lequel était Tabatha ressemble fortement à la situation dans laquelle elle se trouve.


    - « Tabatha, avant tout je voulais te dire que…je suis désolé. Je tiens à toi, très fort. Je ne regrette pas cette nuit…Elle était merveilleuse mais j’ai conscience que je t’ai sans doute blessé en fait…
    - Ecoute … Je n’ai pas franchement envie d’en parler ici, maintenant, mais ne t’excuse pas. Ne t’en fais pas, il n’y a aucun soucis ! »

    Savant moyen de répondre : l’esquive, feindre que tout va bien. C’est à la portée de tous, un sourire, une petite tape sur l’épaule et on part. Tout va bien, le monde est beau, même si c’est faux, on s’en fiche, tant que l’on évite les questions embarrassantes, les discours calamiteux et soit disant bienfaiteur à la relation en question. Tabatha aimait esquiver, mais elle savait aussi que l’esquive est un acte sans fin, car un jour où l’autre, il faudra esquiver encore et encore. Elle allait devoir esquiver par la suite la personne pour ne pas à avoir à esquiver la conversation. La vie est une esquive.
    Un grand sourire sur les lèvres, Tabatha essayait de capter le regard de Maximilien pour dégageait sa main doucement, espérant vainement qu’il ne s’en rende pas trop compte. Après tout ça elle ferma ses livres vivement, les rangea et se leva. Elle sentit un pincement au cœur, un doute étrange, sa tête voulait partir loin d’ici et pourtant ses pieds ne bougeaient pas, ils écoutaient son cœur. Elle avait des remords. Elle ne voulait pas le laisser ici seul, alors qu’il y avait un malaise, alors que tout n’allait pas bien. Elle ne voulait pas que le malaise s’installe définitivement, elle voulait lui avouer, lui dire tout ça, en apparence si simple à dire. Mais sa gorge était serrée, les mots ne sortaient pas, ni même un son. Elle restait plantée devant lui son sac sur l’épaule, à la limite de fuir. Rien de bien brillant.

Revenir en haut Aller en bas
Maximilien E. Middle
Admin | Serdaigle
Loosing control...Help him to get up! Maximilien E. Middle
.
Masculin

5572 messages
Amour : Loréana Wilde est et sera pour toujours l'amour de sa vie!

Pensine
Orientation Sexuelle: Bisexuel
Année d'étude: 7ème année
Caractère: Sincère, honnête, fou, motivé, drôle, beau parleur, inteligent, charmeur, loyal, passioné, passionant, têtu, bien élevé, révolutionnaire, débrouillard, autonome, sarcastique, protecteur, volontaire, amusant, sportif, classe, patient, franc, écrivain, artiste! etc

MessageSujet: Re: « Il y a toujours des gens à éviter, à ignorer. Mais est-ce toujours possible ? » « Il y a toujours des gens à éviter, à ignorer. Mais est-ce toujours possible ? » Icon_minitimeSam 18 Oct 2008 - 22:11

    Maximilien était quelqu’un qui détestait avoir quelque chose à se reprocher, cela lui donnait envie de vomir parce que généralement cela voulait dire qu’il avait fait une erreur avec quelqu’un, qu’il avait fait souffrir quelqu’un et c’était ce qu’il se refusait systématiquement. Il devrait se contrôler, il devrait diriger ses paroles, ses actions. Il devrait mesurer chacun de ses gestes mais qu’était ce que la mesure après tout ? Un juste milieu que chaque être humain se posait, une limite à ce que l’on pouvait faire mais dicter par qui ? La loi, les ministres, un autre être humain ou soi même ? Sans doute un peu de tout cela pour être honnête. Il y avait le code de l’être humain, ces bouts de feuilles qui devait garantir la sécurité de chacun en plaçant un début de frontière entre le bien et le mal : « Tu ne tueras point sinon… ». Il y avait l’éducation, et là c’était les parents qui se chargeaient d’apprendre à l’enfant ou mettre sa ligne entre le bien et le mal et cette partie là, Maximilien ne l’avait jamais reçue. Et puis pour finir, il y avait sa propre mesure, sa propre limite, sa propre loi, son propre code. Et là dedans Maximilien était un champion, il s’était élevé tout seul. Il avait observé, regardé, admiré, réfléchis, analysé et il avait compris que pour lui, ses amis passaient avant tout et surtout avant lui, avant ses envies, ses douleurs, ses peines et ses souffrances. Il avait appris à rendre ses problèmes minimes pour aider ceux qu’il aimait. Il avait appris à réduire ses envies pour satisfaire celles de ceux qu’il aimait. Oui, Maximilien était quelqu’un d’altruiste mais malheureusement pour lui, il faisait des faux pas. Il faisait des bêtises et cette nuit passée avec Tabatha en fut une !

    Il s’en souvenait comme si c’était hier. Cette soirée au bord du lac. Il faisait très chaud mais une légère brise rendait l’atmosphère fine et agréable. Il avait invité Tabatha la veille et ils s’étaient tous deux retrouvés là, près de cette immense étendu d’eau, couché par terre, dans l’herbe humide. Quelques bouteilles d’alcool vides trônaient à côtés d’eux, signe qu’ils avaient bu, ce qu’ils auraient du éviter. Ils se regardaient dans le blanc des yeux et le corps de tabatha, ainsi offert lui donnait horriblement envie. Oh il aurait du se retenir, il savait que son amie n’avait pas beaucoup d’expérience et qu’elle accordait beaucoup d’importance au fait de trouver la bonne personne. Certes il n’avait pas su qu’elle était vierge, enfin pas sur le moment et alors ils s’étaient embrassés. Et de là, tout s’étaient enchaîné, comment faire autrement ? Sa partie masculine avait été démarrée et l’alcool embuait son esprit, il ne pourrait donc plus se contrôler et ils s’étaient retrouvés nus, dans la salle sur demande, l’un sur l’autre à se caresser et ce n’était que lorsqu’il était rentré en elle qu’il avait senti cette fine barrière et là, il avait compris mais trop tard parce qu’elle avait déjà hurlé de douleur…Oh oui, il s’en voulait, il ne voulait pas la perdre, même si cette nuit avait été magnifique, Tabatha était son amie et il voulait qu’ils arrêtent de s’éviter, ils voulaient qu’ils en parlent, qu’il n’y ait plus malheur et que tout redevienne comme avant. Ce ne serait pas facile mais à force de travail, cela allait marcher…Maximilien en était persuadé :


    TABATHA_ « Ecoute … Je n’ai pas franchement envie d’en parler ici, maintenant, mais ne t’excuse pas. Ne t’en fais pas, il n’y a aucun soucis ! »

    Maximilien ne put s’empêcher d’avoir un semi sourire. Il la reconnaissait bien là, sa petite serpentard chérie. Toujours à éviter de parler de ce qu’elle ressentait, toujours à vouloir cacher son mal être, sa souffrance, ses blessures. C’était une des caractéristiques des serpentards, et Tabatha en avait naturellement hérité et c’était quelque chose qui plaisait au serdaigle. Devoir la cuisiner, devoir insister pour entendre sa belle voix, pour qu’elle se confie, pour qu’il puisse l’aider. Ce n’était jamais facile mais il savait qu’elle avait confiance en lui et quand il y avait un problème, elle venait lui en parler…Enfin ça avait été ainsi jusqu’à cette sacrée nuit et depuis, c’était un silence radio…Maximilien regrettait tellement. Il voulait lui dire quelque chose mais ne savait pas trop par où commencer, il sentait doucement la main de Tabatha glisser hors de la sienne mais il ne réagit pas…Il voulait trouver quelque chose à lui dire, quelque chose pour la faire réagir, pour qu’ils puissent parler…Pour que tout redevienne comme avant…Il vit Tabatha fermer ses livres et les mettre dans son sac mais il ne réagit toujours pas. Il la vit se lever et alors qu’il s’apprêtait enfin à parler, ce fut Tabatha qui réagit parce qu’elle se stoppa net dans son mouvement pour regarder Maximilien dans les yeux et alors là…Le bleu et bronze put lire dans ses yeux cette envie qu’elle avait elle aussi dé rétablir les choses, d’en parler, de dissiper le mal aise et Maximilien allait faire en sorte que cela arrive. Il leva alors doucement la main pour la poser sur l’avant bras de son amie et il lui dit doucement :

    MAXIMILIEN_ « Tabi…Reste s’il te plait…Tu sais comme moi que nous devons en parler. Les choses ne redeviendront peut-être jamais comme avant mais je veux qu’elles s’en approchent. Tabatha, s’il te plait, assieds toi et parles moi ! »

Revenir en haut Aller en bas
https://appelo-mortem.forumactif.org/-t43.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/-t1023.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/-t551.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/-t236.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/-t49.htm
Invité
Invité
.


messages


MessageSujet: Re: « Il y a toujours des gens à éviter, à ignorer. Mais est-ce toujours possible ? » « Il y a toujours des gens à éviter, à ignorer. Mais est-ce toujours possible ? » Icon_minitimeLun 20 Oct 2008 - 23:50


    « Once Upon A Time… »

    Et ils restaient là. Face à face, avec leurs doutes, leurs remords. Maximilien avait une moue qui faisait fondre Tabatha ainsi que chaque fille qu’il avait décidé de mettre dans son lit. Une main délicate sur l’avant-bras et une demande formulait d’une manière si… Maximilien. Tabatha ne pouvait refuser. Chaque homme à un pouvoir d’attraction, sinon, comment les femmes pourraient-elles tomber dans leurs bras ? Elles ne sont pas si stupides. Il y a le basique regard d’un bleu époustouflant, un bleu qui gagatise n’importe qui au premier regard. Et au premier seulement, parce qu’après on s’habitude, c’est comme un bébé que l’on trouve mignon au début, puis après, on se lasse. C’est comme tout, il faut donc utiliser ce pouvoir à bon escient. Il a le charme, une aura que dégage l’homme qui attire la gente féminine, mais une fois que celles-ci ont découvert les défauts de l’autre, une fois que le voile c’est levé et révèle enfin le Vrai Homme, le charme s’estompe. C’est encore une fois un pouvoir éphémère. Il y a ceux qui utilise de belles phrases, de beaux mots dont ils ne peuvent vraiment saisir le sens exact, des mots qu’ils ne peuvent faire vraiment vivre, des mots touchants mais sans suite, des mots et rien que des mots. Ce sont les pires, ce sont des goujats, des imbéciles, des salauds, des cons. Ils font souffrir. Et il y a les autres, les sincères, ils sont peu nombreux de nos jours. Tabatha pensait que Maximilien était un con avec du charme. Elle se trompait, du moins, avec elle, il n’était pas ça. Il faisait partie des sincères. Elle ne comprenait pas pourquoi, il voulait que tout redevienne comme avant avec elle. Il connaissait bon nombre de fille et bon nombre d’entres elles étaient passées dans ses draps. Etait-ce à cause du fait qu’il est été sa première fois ? Ou parce qu’il appréciait Tabatha. Elle n’osait même pas se demander pourquoi il l’appréciait. Elle n’osait demander ça à personne, elle se trouvait détestable, surtout quand elle ne connaît pas la personne, après, quand elle a confiance, c’est mieux, beaucoup mieux. Mais tout vient à point à qui sait attendre. Et pour ceux qui ont la patience de cuisiner Tabatha, elle se révèle vraiment, sous son vrai jour !

    Les sincères sont une espèce rare, un con peut devenir un sincère le jour où il tombera amoureux, le jour où il tombera sur une personne exceptionnelle. Mais les vrais sincères, le sont avec presque toutes les femmes, leurs mères ou substituts avant tout, leurs familles, leurs amies et leurs conquêtes. Maximilien est un sincère. Car même s’il accumule les conquêtes, ces jeunes femmes savent, qu’elles ne sont rien d’autres qu’une aventure, il peut, peut-être, par la suite y avoir une relation amicale, ou une relation basée sur le sexe. Il y en a certaines qui se font des films, des histoires dans leurs têtes. Mais Maximilien sait, qu’elles ne sont que des conquêtes et il ne fait pas croire à un moment ou un autre qu’il envisage plus avec ces jeunes femmes. Ou du moins, c’est l’image que Tabatha se fait de Maximilien depuis peu. Elle s’assit en face de lui, ce n’est qu’à ce moment là qu’elle remarqua le demi-sourire de celui-ci. Qu’est ce qu’il le faisait rire ? Cette situation ? Etait-ce l’aspect très romanesque de ce contexte qui le faisait rire ? Oui, cette situation est romanesque, un homme, une femme, une nuit folle et à présent des explications tendus, remplis d’espoirs et de : « ne pars pas !».


    -« Ok. Il y a un souci, c’est sûr. Saches, que je ne regrette rien. Je suis juste gênée, sans doute. C’est tout… »

    _* Je suis une jeune femme coincée dans des principes que je m’impose et ça, c’était tout ce que je m’interdis, je veux aussi que tout redevienne comme avant ! Je t’apprécie beaucoup, je veux pouvoir continuer à te regarder dans les yeux sans y voir cette nuit là. Je ne veux pas oublier, c’est une expérience qui peut peut-être nous faire avancer, ou pas. Qui sait vraiment ? Je t’aime Maximilien, tu es un ami hors paire, hors compétition. Disons que nous sommes jeunes et que notre libido a agit pour nous, ok ? *_ Etait-ce vraiment compliqué d’avouer tout ce la ? Pour Tabatha oui, se serait trop se dévoiler d’un coup, elle risquerait de verser une larme à cause de l’émotion. Foutue sentiment, foutue vie, foutue sexe.

    Tabatha n’aimait pas que l’on dépasse ses barrières, la forteresse émotionnelle qu’elle s’était forgée pour justement se protéger. C’était sa seule arme, et si quelqu’un les dépasse, si quelqu’un la pousse dans ses derniers retranchements, comment peut-elle se protéger ? Comment peut-elle éviter d’être blesser, de tomber, comment peut-elle s’empêcher de montrer ses sentiments. Il y en a marre de cette mascarade.

    Que le rideau tombe, que les masques se relèvent. La forteresse s’effondre lentement.


Revenir en haut Aller en bas
Maximilien E. Middle
Admin | Serdaigle
Loosing control...Help him to get up! Maximilien E. Middle
.
Masculin

5572 messages
Amour : Loréana Wilde est et sera pour toujours l'amour de sa vie!

Pensine
Orientation Sexuelle: Bisexuel
Année d'étude: 7ème année
Caractère: Sincère, honnête, fou, motivé, drôle, beau parleur, inteligent, charmeur, loyal, passioné, passionant, têtu, bien élevé, révolutionnaire, débrouillard, autonome, sarcastique, protecteur, volontaire, amusant, sportif, classe, patient, franc, écrivain, artiste! etc

MessageSujet: Re: « Il y a toujours des gens à éviter, à ignorer. Mais est-ce toujours possible ? » « Il y a toujours des gens à éviter, à ignorer. Mais est-ce toujours possible ? » Icon_minitimeJeu 23 Oct 2008 - 23:37

    Si quelque chose différenciait particulièrement bien Maximilien de la masse des garçons de son âge, c’était ses caractéristiques, ses traits de caractères principaux qui agissaient généralement à l’inverse d’un comportement qu’un garçon ayant sa vie, son argent et peut-être son physique se comporterait. La plus part des garçons étaient de ceux qui mentaient, arnaquaient, trichaient, et jouaient en permanence un jeu qui n’était destiné qu’à leur attirés monts et merveilles et à faire souffrir ceux à qui ils l’avaient promis. Maximilien, justement, n’était pas de ceux là. Il privilégiait l’honnêteté, la sincérité, et partait du principe que les gens allaient avoir moins mal, ils leur laissaient le choix ? Comment ? Dés le début, il n’y avait pas d’ambiguïté, il ne passait pas un mois ou deux à draguer une fille, lui promettre des fleurs, des cœurs, lui offrir des peluches ou l’emmener dîner au restaurant. Dés le début, il rencontrait une fille qui lui plaisait et si il sentait que c’était réciproque, il annonçait la couleur « Voilà, je ne t’aime pas, ne m’aime pas non plus. Couchons ensemble, ça s’arrête là. Si tu n’en veux pas, ce n’est pas bien grave, je préfère entendre un non que de voir des larmes par la suite ! » Bon ce n’était peut-être pas annoncé de but en blanc de cette façon mais c’était en gros ce qui en ressortait. Et si une fille ne voulait pas, il n’allait pas être vexé, se sentir profondément atteint dans son cœur d’homme, au contraire des autres garçons, il allait plutôt réagir « Je m’en fou, j’en ai d’autre. TU veux pas, ce n’est pas grave ». Il n’était pas de ceux qui courraient ensuite pour rendre la fille raide dingue de lui et se venger, bien au contraire. Il trouvait ça vraiment pathétique, bidon, déguellasse, inhumain et puis surtout inutile : pourquoi perdre son temps à faire souffrir les gens quand on peut l’éviter ? Voilà comment Maximilien voyait les choses.

    Et puis, il y avait un autre principe qui faisait que Maximilien était un garçon correct, convenable et pas un monstre sans cœur, insensible et totalement obsédé par sa propre petite personne et par ce qu’il avait dans le pantalon. C’était un principe qu’il s’était donné depuis tout petit, enfin depuis qu’il avait pu commencer à sortir et à se faire des amis, le principe de base étant que ses amis passaient toujours avant lui. Ce qui impliquait : interdiction de faire quoi que ce soit qui pourrait leur faire du mal mais…Et donc ce qui le différenciait bel et bien des autres garçons c’était ce idée : « Je ne couche pas avec mes Amies ni avec mes amis. Trop risqué, je tiens à eux, à leur amitié et à ne pas les faire souffrir ». C’était sa son idée de base, et puis l’amitié c’était le respect de l’autre et lors d’une nuit sans lendemain, il y a du respect mais pas assez, pas autant que celui qui Max donne à ceux qu’il aime…Mais malheureusement, on ne pouvait pas toujours respecter ses idéaux, ses principes et il y avait parfois, par moment, des dérapages, des ratés, qu’on regrettait bien longtemps pas la suite mais qu’on avait du mal à changer, parce que tout le monde sait que l’on ne peut pas revenir en arrière et changer le passé…ON peut juste faire en sorte que le futur soit plus beau et y travailler pour réussir : et c’était précisément ce que Maximilien était occupé à faire en ce moment. Essayé de faire en sorte que son avenir à lui avec Tabatha soient plus beau que ce qu’il lui avait fait cette fameuse nuit :


    TABATHA_ « Ok. Il y a un souci, c’est sûr. Saches, que je ne regrette rien. Je suis juste gênée, sans doute. C’est tout… »

    Ce n’était dans l’absolu pas grand-chose, elle n’avait pas fait un grand pas mais c’était quelque chose qui venait sortir du cœur de la petite serpentard et ça c’était quelque chose de très important pour Maximilien Middle. Il voulait qu’elle parle, qu’elle lui dise ce qu’elle ressentait et elle ne lui avait peut-être pas parlé en long et en large mais elle avait commencé à lui dire, à lui expliquer, à émettre des hypothèse sur son mal aise, sur ce qui n’allait pas, sur ce qui l’avait touché, l’a faisait souffrir et aussi sur comment allait évoluer leur relation. Il voulait savoir, comprendre et surtout se réconcilié. Il lui tira alors gentiment sur le bras, la forçant à se rasseoir près de lui, en face de lui, yeux dans les yeux. Ainsi donc la discussion allait peut-être pouvoir commencer, avancer et prendre forme :

    MAXIMILIEN_ « Moi non plus, je ne regrette rien…C’était magique, mais tu sais comme moi, que ça n’ira pas plus loin et c’est ça que je regrette. Tu es mon amie Tabatha et ce ne sont pas des choses que l’ont fait à ses amies. On ne couche pas avec eux et après il se passe du vent, c’est ça que je regrette. On ne vole pas leur première fois à ses amies alors dis le moi, Tabatha. Dis moi que tu es en colère, que tu me déteste, que tu m’en veux mais ne reste pas là, sans réagir, je t’en supplie ! »

Revenir en haut Aller en bas
https://appelo-mortem.forumactif.org/-t43.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/-t1023.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/-t551.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/-t236.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/-t49.htm
Invité
Invité
.


messages


MessageSujet: Re: « Il y a toujours des gens à éviter, à ignorer. Mais est-ce toujours possible ? » « Il y a toujours des gens à éviter, à ignorer. Mais est-ce toujours possible ? » Icon_minitimeLun 27 Oct 2008 - 1:13


    - « Moi non plus, je ne regrette rien…C’était magique, mais tu sais comme moi, que ça n’ira pas plus loin et c’est ça que je regrette. Tu es mon amie Tabatha et ce ne sont pas des choses que l’ont fait à ses amies. On ne couche pas avec eux et après il se passe du vent, c’est ça que je regrette. On ne vole pas leur première fois à ses amies alors dis le moi, Tabatha. Dis moi que tu es en colère, que tu me déteste, que tu m’en veux mais ne reste pas là, sans réagir, je t’en supplie ! »

    Devant ces paroles, Tabatha se rassit, comme mécaniquement en face de lui. Jamais on ne lui avait dit une telle chose, elle était son amie, donc il tenait à elle. Non pas que ce soit la seule personne qui considère Tabatha comme son amie, mais Maximilien était le premier à lui dire. Son père, bien trop occupé à aller voir ailleurs n’avait jamais montré l’attachement qu’il avait, ou pas, envers Tabatha, sa mère la haïssait, son frère serait bien incapable d’avouer son amour pour une quelconque personne et Mary-Jane hait Tabatha. Elle sourie. Ce n’était pas un banal sourire que l’on jette à tord et à travers toute la journée à chaque personne que l’on connaît, ce n’était pas non plus un grand sourire, le genre de sourire qui s’affiche lorsqu’on apprend une grande nouvelle, c’était un sourire léger, un sourire remplie d’émotion vraie, un sourire qui ne s’invente pas. Maximilien venait de toucher Tabatha. Maximilien était une personne rare, une pierre précieuse qui savait comment manipuler Tabatha, une des rares. Heureusement que celui-ci était un ami et non pas un ennemi. Tabatha leva les yeux en souriant, elle serra dans ses deux petites mains, celle de Max’. Elle commençait à ne plus regretter. Elle ne regrettait plus d’avoir donné sa première fois à Maximilien, car elle l’avait donné à quelqu’un qui avait de l’expérience et donc, elle avait passé une nuit superbe, mais en plus de tout ça, Maximilien était une personne de confiance et quoi de mieux que de partager ça avec quelqu’un que l’on aime. Certes, leur amour était purement amical, mais c’est mieux qu’un amour pur qui n’est après tout qu’éphémère. Un jour ou l’autre, l’autre aurait brisé le petit cœur de Tabatha ou inversement. Mais ça aurait sans doute était Lui, qui lui aurait brisé le cœur. C’est à cause d’une nature jalouse et possessive que Tabatha s’est créée une barrière entre son cœur et le reste du monde. Quand elle aime, elle s’attache vite, trop vite et très vite cette personne devient une raison de vivre, son unique souffle. Elle doit le voir, lui parler, le toucher. Ce qui en général fait fuir la personne et en mettant de la distance entre eux, il ne fait que déchirer le cœur de Tabatha. Puis il s’éloigne et va papillonner vers d’autres, là crise de jalousie et dispute à répétition car un rien va mettre le feu au poudre entre Tabatha et la personne, jusqu’à la rupture net, aucun lien, même pas d’amitié, que dalle. Et là, Tabatha s’en veut. Toujours le même shéma. Toujours les mêmes relations chaotiques. Alors que là, c’était une relation amicale et qui sait, peut-être que dans quelques années, en privée, ils en rigoleront.

    -« Maximilien. Tu es mon ami aussi. Je suis attachée à toi, c’est pour ça que cette gêne a prit forme, parce que j’ai eu peut-être peur que réagisse comme avec les autres filles… Et j’ai eu honte, honte parce que je me dis plus forte que les autres, incapable de briser mes frontières car je suis bien mieux que les autres, que jamais je ne m’abaisserai à coucher à droite et à gauche. Non pas que tu sois n’importe qui… Mais tu comprends… Enfin j’espère. »

    Elle marqua une pause. Histoire qu’il réalise qu’elle était en train de se livrer à lui, elle aussi devait réaliser, elle n’avait jamais eu une telle conversation, c’était peut-être bête, mais elle était émue. Elle devait se reprendre, elle était dans un lieu public et surtout elle ne voulait pas pleurer. Mais de toute manière, elle était un peu descendu dans l’estime des gens après que Baël, est révélé sa relation légèrement ambigu avec Max’. Elle avait cru que c’était un ami fidèle en toute circonstance, mais, après l’affront qu’elle lui avait fait en révélant quelque chose de faux aux mauvaises personnes, il ne resta que la haine, et la complicité laissa place aux coups bas. C’était dommage. Et une bonne partie de Poudlard savait, pour eux. Tabatha avait senti les regards se transformer, les regards accusateurs, les premiers temps elle s’était sentie agressé, c’était Elle, qui jetait des regards accusateurs aux autres. Et non l’inverse. Mais que pouvait-elle y faire ? Rien.

    -« Comprends bien, que je ne te déteste pas, après tout tu ne m’as forcé à rien. Je ne veux pas que notre relation se rapproche de ce que nous étions avant, je veux que ce soit comme avant. C’est tout. »

    C’était ça ou rien. Too much or not. Elle ne voulait pas de faux semblant, pas avec lui. Pas de faux sourire et de grande étreinte. Non, elle voulait qu’il lui parle de son père et de ses livres, de ses amourettes, de la dernière fille qu’il a mit dans son lit, des devoirs, de musique, du ciel, du dernier match de quidditch, qu’il se moque d’elle parce qu’elle n’y comprend absolument rien, rire avec lui, danser même, passer des soirée avec Tristan et d’autre, traumatiser les petits nouveaux, faire les cons. Et tout ça avec le Maximilien du bon vieux temps. Tabatha lâcha les mains de celui-ci, elle se sentait plus légère de lui avoir dit ce qu’il en restait de leur relation, mais en même temps, elle appréhendait sa réaction. Allait-il la prendre pour une pauvre niaise ? Pour une pauvre fille ? Allait-il se moquer ? Parce qu’elle, c’est ce qu’elle aurait fait. Elle aurait rigolé puis aurait essayé de se rattraper. Mais lui, il n’était pas elle. Du moins elle espérait, jamais encore elle n’avait été dans cette posture. Jamais encore, elle s’était sentie vraie, jamais, elle n’avait été Tabatha, et non Tabatha la vilaine serpentarde.

Revenir en haut Aller en bas
Maximilien E. Middle
Admin | Serdaigle
Loosing control...Help him to get up! Maximilien E. Middle
.
Masculin

5572 messages
Amour : Loréana Wilde est et sera pour toujours l'amour de sa vie!

Pensine
Orientation Sexuelle: Bisexuel
Année d'étude: 7ème année
Caractère: Sincère, honnête, fou, motivé, drôle, beau parleur, inteligent, charmeur, loyal, passioné, passionant, têtu, bien élevé, révolutionnaire, débrouillard, autonome, sarcastique, protecteur, volontaire, amusant, sportif, classe, patient, franc, écrivain, artiste! etc

MessageSujet: Re: « Il y a toujours des gens à éviter, à ignorer. Mais est-ce toujours possible ? » « Il y a toujours des gens à éviter, à ignorer. Mais est-ce toujours possible ? » Icon_minitimeSam 13 Déc 2008 - 23:18

    Maximilien se sentait terriblement mal à l’aise. Jamais il s’était senti aussi mal devant quelqu’un. Il lui semblait que les remords lui dévoraient le cœur, qu’ils lui retournaient l’estomac et lui arrachaient les entrailles, allant presque jusqu’à le manger lui. Il se sentait terriblement mal et une fiévreuse douleur s’était emprise de lui à l’instant même où il avait vu tabatha se relever. Il se sentait si faible et si malheureux. Ses jambes le picotait tant il avait envie de monter sur cette putain de table en bois pour hurler à Tabatha qu’il était désolé et qu’il ne voulait pas la perdre, tant il avait envie de se mettre à genoux devant elle pour qu’enfin elle consente à lui dire ce qu’elle ressentait et qu’elle consente enfin peut-être à lui pardonner. Il avait l’impression de voir flou et de n’être plus qu’une loque humaine. Certes il ne connaissait pas bien Tabatha mais il avait des principes, des principes qu’il se refusait de trahis et l’un des premiers était bel et bien de faire passer l’amitié avant tout. Il n’avait pas envie de voir Tabatha souffrir à cause de lui, il se refusait de laisser pleurer quelqu’un et surtout une jeune femme en qui il avait confiance et qui avait confiance en lui…Qui avait eut confiance en lui…Rien qu’à penser que cette confiance était à présent sans doute du passer, une page définitivement tourné, il fut saisi d’un haut le cœur et d’une envie presque irrépressible de la prendre dans ses bras de la serrer contre et de s’excuser encore et encore, sans jamais s’arrêter. Son cerveau baignait dans un liquide flou, ses yeux ne voyaient plus clairs peut-être qu’en réalité il se retenait de pleurer…Il n’en savait rien du tout ce qu’il savait c’était qu’il n’était pas question qu’il laisse Tabatha partir, il voulait absolument que les choses soient mises à plats, que les choses soient enfin éclaircies et qu’ils puissent reprendre leur amitié là où elle en était restée…Il en mourrait d’envie alors enfin il prit la parole. Sa voix tremblait légèrement mais elle était toujours pleine d’assurance parce qu’un Middle avait toujours appris à se tenir digne alors il lui dit d’un ton triste que non il ne regrettait rien, que c’était une magnifique nuit mais ce qu’il regrettait en revanche c’était de l’avoir fait souffrir et d’avoir risquer de la perdre pour une nuit dans ses bras…Leur amitié valait plus qu’une nuit de sexe embuée par l’alcool et il voulut qu’elle le sache à tout prix et peut-être ne s’en irait elle pas après avoir entendu tout cela…peut-être resterait elle pour le pardonner et pour parler…C’était en tout cas ce que Maximimi espérait de tout son cœur !

    ET son souhait le plus cher fut exhaussé. En entendant ses paroles, Tabatha se rassit ! Elle donnait l’air d’être un robot qui agissait sans trop quoi comme si les paroles de Maxou l’avait adroitement touché au plus profond de son cœur, au plus profond de son âme, au plus profond de son âme et qu’elle se sentait presque obliger, comme guidée par une voix intérieure de se rasseoir au côté de celui qui lui avait volé sa première fois et qui pourtant avait toujours su que c’était quelque chose d’important pour elle…Et puis enfin ses yeux changèrent s’expression pour laisser place à ce qu’elle ressentait : de la tristesse, de l’inquiétude, de la honte, de la peur et sans doute un peu de colère. Maximilien se sentit soulager…Non pas parce qu’elle était encore colère ou qu’il sentait qu’elle avait peur mais parce qu’elle avait abandonné son masque de froideur pour laisser place à la vrai Tabatha pour laisser parler ses sentiments et ça, ça voulait dire que tout n’était pas perdu, qu’elle était encore capable de se livrer à lui et de lui faire confiance. Doucement alors les Yeux de Maximilien Middle rencontrèrent ceux de tabatha Spencer. Leurs deux regards semblaient suffit pour communiquer mais Tabatha se mit quand même à parler de cette voix si douce et mélodieuse, cette voix que Maxou aimait tellement chez elle :


    TABATHA_ « Maximilien. Tu es mon ami aussi. Je suis attachée à toi, c’est pour ça que cette gêne a prit forme, parce que j’ai eu peut-être peur que réagisse comme avec les autres filles… Et j’ai eu honte, honte parce que je me dis plus forte que les autres, incapable de briser mes frontières car je suis bien mieux que les autres, que jamais je ne m’abaisserai à coucher à droite et à gauche. Non pas que tu sois n’importe qui… Mais tu comprends… Enfin j’espère. »

    Elle s’arrêta là, un petit moment. Petit moment durant lequel Maximilien réalisa que cela devait être la première fois qu’elle osait s’adresser ainsi, aussi franchement à quelqu’un en laissant tomber toutes ses défense et Maximilien se sentit très honoré de savoir que malgré ce qu’il avait fait c’était à lui qu’elle avait choisi de s’adresser ainsi et de lui dire nettement ce qu’elle ressentait pour lui…Il ne put s’empécher de penser avec un petit pincement au cœur que c’était peut-être ce qu’il devrait faire pour Loreana Wilde mais il chassa vite ses pensées de sa tête pour se reconcentrer sur Tabatha qui venait de lui dire qu’elle avait simplement eut peur que lui la lâche, qu’il l’abandonne et qu’elle baisse dans son estime or c’était l’inverse. Ça avait été lui le salop dans l’histoire parce qu’il savait parfaitement que Tabatha n’était pas du tout, contrairement à lui, du style à coucher facilement ici et là et qu’elle accordait beaucoup de valeur à quelque chose qui dans la société d’aujourd’hui ne voulait malheureusement plus rien dire.

    TABATHA_ « Comprends bien, que je ne te déteste pas, après tout tu ne m’as forcé à rien. Je ne veux pas que notre relation se rapproche de ce que nous étions avant, je veux que ce soit comme avant. C’est tout. »

    Maximilien se sentit tout d’un coup bien soulager. Ses entrailles cessèrent de se retourner, son cœur cessa de saigner, son cerveau cessa de dormir et les remords cessèrent de le ronger. Il se sentait tellement bien comme si un énorme poids venait enfin de s’envoler et de libérer sa poitrine qu’il obstruait depuis trop longtemps. Tabatha ne le détestait pas. Tabatha voulait comme lui qu’ils retrouve leur amitié. Transporté de joie, Maximilien se pencha en avant et embrassa son ami sur la joue, la serrant bien fort dans ses bras. Il n’avait pu se contrôler, trop heureux de l’avoir entendu prononcer ses mots. Il lui glissa alors délicatement à l’oreille :

    MAXIMILIEN_ « Je te promets alors Tabatha qu’on retrouvera cette amitié que j’ai fahit risquer de perdre ! Je ferai tout pour ! Si tu savais comme je t’aime ! »

    Il l’aimait en amitié bien sur. Cela allait de soit et il n’avait pas besoin de le préciser. Il se leva alors, attrapa ses livres en regardant sa montre. Il embrassa une dernière fois son amie et lui glissa à l’oreilles encore une fois :

    MAXIMILIEN_ « J’aimerai tellement rester avec toi pour rattraper ces semaines perdues mais je viens de rater une demis heure de mon cœur de métamorphose donc je fonce…On se revoit bientôt ! »

    Et il sortit en trompe de la bibliothèque, un immense sourire accroché sur ses lèvres…



Revenir en haut Aller en bas
https://appelo-mortem.forumactif.org/-t43.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/-t1023.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/-t551.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/-t236.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/-t49.htm
Contenu sponsorisé

.


messages


MessageSujet: Re: « Il y a toujours des gens à éviter, à ignorer. Mais est-ce toujours possible ? » « Il y a toujours des gens à éviter, à ignorer. Mais est-ce toujours possible ? » Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
« Il y a toujours des gens à éviter, à ignorer. Mais est-ce toujours possible ? » Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Permission de ce forum: Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Appelo Mor†em (old) :: 

┤A l'intérieur de Poudlard├

 :: 

4ème étage

 :: 

La bibliothèque

-
Créer un forum | ©phpBB | Forum gratuit d'entraide | Signaler un abus | Forum gratuit
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser