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Quand on sort il faut s'attendre à être surpri Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
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Seth Istari
Formation d' Auror
Seth Istari
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Amour : Aucun

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Orientation Sexuelle: Hétérosexuel
Année d'étude: Diplômé
Caractère: Froid et distant

MessageSujet: Quand on sort il faut s'attendre à être surpri Quand on sort il faut s'attendre à être surpri Icon_minitimeSam 26 Juil 2008 - 12:08

Priorité à Baël Mathias Owned


    La forêt est un endroit tellement dangereux que seul les malades ont le courage d'aller voir ce qu'il y a là-bas ou tout simplement les serpentards ^^. Les serpentards ont la réputation d'être des vilains sorciers qui utilise une magie interdite par le ministère de la magie. Une raison qui échapa à l'apprenti mage noir, seth était un élève modèle dans certain cours, il faisait toujours ses devoirs et les rendaient toujours en avance. Bref, vous l'avez compris que seth n'était pas que fait de muscles. Seth lui avait comprit que d'être un sorcier qui maîtrise toute sorte de magie était le sorcier le plus fort. Et oui pour le vert et argent c'était sa son petit but dans la vie, devenir le sorcier le plus puissna qu'il n'est jamais existé et pour sa il était pres à tout et il savait qu'il allait devoir faire des choses pas correct ...

    Seth se trouvait dans la salle commune avec baël et jack, il était entrain de leur parler un peu stratégie. Et oui seth était le capitaine de l'équipe de serpentard et il en était fière. Il regarda sa montre et décida que c'était l'heure pour que son cerveau commence un peu à arreter de réfléchir. Il sortit sa baguette magique et visa les papiers sur lesquels ils travaillaient et ils disparuent comme par magie. Il prit sa cape qui était lourde à cause d'un objet qui était dans une poche cousu pour sa et le vert et argent sortit de la salle commune en disant un simple salut. Seth connaissait Baël depuis 6 ans, il était son meilleure ami mais il ne lui disait pas tout, seth savait qu'il avait un secret mais baël ne voulait pas lui dire et seth comprenait. Avec jack c'était autre chose, lui s'était comme son petit frère, seth était toujours là pour lui et jamais il 'nallait le laisser tomber.

    La nuit était fraîche et le vent soufflé assez fort, de quoi faire s'envoler un premier année. Seth avait souvent l'habitude de sortir de cette endroit grâce à son expèrience dans le château, il y avait une fenêtre d'où il pouvait sauter, elle était assez haute mais avec une baguette magique tout était possible tongue . Seth ouvrit la fenêtre grâce au sortilège alohomora et il sauta sans aucune peur. Lorsqu'il toucha le sol le sorcier s'enfonça dans le sol, le sol était beaucoup plus moue à cette endroit. Le vert et argent marcha vers la forêt interdite sa cape sur ses épaules et sa capuche mise. Seth arriva dans la fo^ret interdite en dix minutes, une fois de-dans il sortit un épée en argent faite par les goblin, il avait apprit l'art de l'épée pendant les vacances, il y avait presque passé toute ses vacances à faire sa :s. Seth avait sa baguette dans sa main droite et l'épée dans la gauche. Le vert et argent laissait trainer son épée marcher normalement, il avait le regard vide comme si qu'il était sous l'effet d'un sortilège mais il en était rien ! Enfin trouva ce qu'il avait cherché depuis son arriver, ûne créature sur quatre pattes avec une énorme carapace. Seth attendit qu'elle bouge et ensuite il lui mit un coup d'épée dans la carapace et il lui donna le coup de grâce en la faisant exploser à l'aide d'un maléfice ...

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MessageSujet: Re: Quand on sort il faut s'attendre à être surpri Quand on sort il faut s'attendre à être surpri Icon_minitimeMar 26 Aoû 2008 - 13:50


    Le Réveil




    ** C’était comme se noyer. L’impression étrange du vide était oppressante, me comprimant de toute part, lacérant mes chairs, me privant d’oxygène. Je continuai à nager parmi cette marre de souvenirs, échos de moments vécus qui n’étaient pas les miens. Mais à quoi bon, j’avais perdu toute notion d’orientation, je ne savais même plus où était la surface. La raison me disait pourtant que je survivrai. Ce n’était pas l’esprit d’un ado de dix sept ans qui, une nouvelle fois, viendrait à bout de Lord Voldemort. L’histoire ne se répète jamais deux fois de la même façon. **


    Un vent glacial secoua les rideaux des lits à baldaquins, faisant teinter les anneaux qui retenaient les tissus, dans une mélodie sonnant comme la marche funèbre. Triste chant qui pourtant ne vint pas à bout du sommeil de plomb des élèves de septième année. Comme si le vent suivait les clichés d’un mauvais film d’horreur, la fenêtre s’abattit sur le rebord, donnant naissance à un bruit sourd. Dans la pénombre de la nuit, toutes les silhouettes semblaient indiscernables, comme si le noir enlevait les différences qui nous caractérisent tous. L’obscurité était sûrement la meilleure forme de la justice.
    Poursuivant sa course folle, le vent se fit presque caressant en effleurant les visages des verts et argents. Un frisson les parcourus et, d’un même mouvement sordide, les corps s’enroulèrent dans les draps, cherchant à se protéger de cette fraîcheur taquine. Une respiration, haletante, se discernait de celles des autres qui se voulaient lente et régulière. Sur le lit près de la porte, un jeune homme d’environ dix sept ans se débattait, comme s’il espérait pouvoir échapper à un monstre venu le chercher.
    Pâle comme un linge, yeux clos dans une mimique douloureuse, la transpiration collant ses cheveux blonds contre son crâne, Baël Mathias Owned semblait souffrir le martyr. Mâchoire et point serrés, comme prêt à combattre, son corps se cambrant face à de nouvelles vagues de douleur, il ne luttait pas contre le sommeil mais contre la Chose. C’était désormais le nom qu’il lui avait donné, maladie ou bien sortilège malsain qui ne lui accordait aucun répit, même lorsqu'il tâchait de récupérer quelques unes de ses nombreuses nuits blanches.
    Il arrivait toujours ou presque à la repousser, mais le combat semblait plus ardu de jour en jour comme si, non contente de le faire souffrir, la Chose semblait aussi vouloir le conquérir. Bataille sans fin qui poussait le jeune homme à être toujours en alerte. Mais ce soir, notre guerrier semblait fatigué. Ce n’était plus qu’une question de temps avant qu’il rende les armes .
    Suppliait la chose de lui foutre la paix ne servait à rien, elle semblait impitoyable et désirait la seul chose que Baël refusait de lui abandonner : son corps.

    ** On dit que quand on veut on peut. Je te veux, je peux ? **


    Sa tête semblait s’être transformée en bombe à retardement qui menaçait à tout moment d’exploser. Il avait l’impression que sa raison allait se briser en milles morceaux. Non, sa raison s’était briser en milles morceaux. La folie serait pourtant une juste délivrance après un tel taux de souffrance. Ce serait-il rendu coupable d’un acte interdit ces derniers jours ? Était-ce la punition, le prix à payer pour sept années de méchanceté et de bagarres, de rêves noirs et de pensées morbides ? L’heure du jugement dernier était-elle arrivée sans crier gare ? Après tout, avec tout le mal qu’il était capable d’engendrer, qu’il soit damner n’avait pas d’importance. Mais bon sang, que ça s’arrête !
    Malheureusement la Chose ne semblait pas en avoir finit avec lui. Le peu de force qu’il restait au malheureux Serpentard n’arriverait - et il le savait - pas à repousser un énième attaque. Résigné, le jeune homme, aussi courageux qu’il le fut, se laissa faire, n’ayant qu’une phrase en tête « Pitié, je vous en supplie, faîte tout ce que vous désirez de moi, mais que cela s’arrête … ». Serrant un peu plus les yeux, Baël eut l’impression de tomber dans un trou noir. La chute semblait infini, comme si il n’y avait pas de fond, et il s’enfonçait dans les profondeurs abyssales. Partout ce n’était que obscurité. Perdu dans une chute sans retour …
    Un cri traversa les lèvres ensanglantées de Baël qui les avaient trop mordues pour se retenir.

    Baël
    __ ARGGGHHH !

    Tom E. Jedusor ouvrit les yeux. Jamais il n’avait été aussi heureux d’inspirait une goulée d’air, de sentir ses poumons s’activaient, sa poitrine se soulevait à chaque inspiration, se baissant quand il expirait. Joie simple de la vie que personne ne remarque tant qu’il n’en à pas été privée. Il passa un main sur ses lèvres, en essuyant les gouttes de sang qui lui donnaient un air vampirique. Doucement, comme si le temps avait figé ses sens et qu’il avait du mal à bouger, il s’assit.

    Voix __ Quoi passe ?

    Paroles guindées et maladroites, sûrement dû au fait d’avoir été réveillé en pleine nuit par un cri. Tom, redressé de toute sa hauteur, n’avait qu’a faire de rassurer un gamin. Seulement, il fallait sauver les préjugés. De ses rares expéditions dans le corps du jeune homme, il avait appris beaucoup. Premièrement, le gosse avait fait du bon boulot : il était crains de tous et respecté, un peu comme lui au même âge. Donc Tom n’aurait pas besoin de s’attarder sur de longues explications, dès que les autres comprendraient de qui il s’agit, il se tairait. On n’embête pas Baël Onod apparemment. Ou Owned. Peut importe.
    Le plus dur c’était de paraître, non pas aimable mais normal. D’avoir parlé presque toute sa vie d’une voix méchante, exaspérante, vous fait perdre le savoir de la normalité. Ainsi, de simples paroles en deviennent presque une épreuve. Niveau jeux olympiques …
    200 ans d’inactivité n’arrange pas non plus les choses. D’une voix mal assurée, il répondit, sûrement avec beaucoup trop de froideur.

    Tom/Baël
    __ Rien … un cauchemar. Rendors toi.


    Mais la personne à qui appartenait cette voix n’attendit pas cet ordre pour se remettre à ronfler bruyamment, ce qui tapa sur le système de Tom. Le Lord se releva, tâtonnant dans l’obscurité pour retrouver sa baguette. Elle était loin de la perfection de la sienne et de la baguette du Sureau, mais comme il était dans le corps de ce gosse, et que c’était la baguette du gamin, cela pouvait aller. Mettant la main dessus, il jeta un sortilège et se retrouva vêtu tout en noir, pull, pantalon et cape. Dans son corps, au moins, il y voyait dans la nuit, ses yeux de serpent s’adaptant sans mal à la pénombre. Mais avec un peu de chance, il réussirait à retrouver cela aussi. Se glissant en silence hors du dortoir, il descendit dans la salle commune avant de se stopper net. Ce n’était pas la nostalgie, juste un sentiment de … déjà vu. Poudlard. Son premier et unique foyer, le lieu ou tout avait commencer et ou tout avait aussi fini.
    Malgré les siècles passés, Poudlard n’avait pas changé. La salle commune était identique, la lumière verte chatoyante, le feu de cheminée incandescent. Pour Tom, l’attirance de cette salle était d’autant plus forte que son descendant l’avait crée. Personne d’autre que lui ne pouvait être aussi Serpentard. Unique descendant d’une lignée grandiose. Secouant la tête, il passa la porte et se dirigea vers le hall, empruntant des couloirs qui se ressemblaient tous sans pourtant s’y perdre. Le temps n’avait pas changé la familiarité des lieux.
    Le hall aussi restait inchangée, quoi que les fenêtres n’étaient pas d’origine. Normal, la bataille en avait fait sauter pas mal d’entres elles. Les immenses portes en chênes l’attendaient, l’affrontant dans un défit silencieux, comme demandant presque qu’il les pousse. D’un coup de baguette, elles s’ouvrirent sans le moindre bruit et se refermèrent silencieusement après son passage. Le vent fouettait son visage, rosissant ses joues et se barrant son corps, le malmenant en le changeant en glaçon. Et Tom se laissait faire, savourant toutes ses sensations qu’il avait quasiment oubliée. Un rire démoniaque, dénué de joie, juste fou, s’échappa de sa gorge, glaçant le sang des animaux.
    Les bras écartés, il laissait les éléments se disputaient son corps, la pluie ruisselait sur ses joues, le froid lui brûlant la peau. Il avait mal mais au moins cela prouvait qu’il était en vie. Même lorsqu’il était lui même en vie, il ne s’était jamais senti aussi … vivant. Sûrement, non certainement, parce qu’a cette époque son âme était séparée en sept morceaux, et qu’il n’était rien d’autre qu’une épave. Épave néanmoins puissante. Cette fois là, il ne commettrait plus l’erreur de s’éparpiller en plusieurs morceau, autant tout gardé avec soi même et être d’autant plus puissant. Si on ne refait pas le passé, on peut au moins en apprendre ses erreurs. Et des bourdes il en avait commise, beaucoup même, il devait se l’avouer. Avec du recul - et quoi de mieux que mourir pour en prendre ? - toutes les maladresses que vous avez faîtes se dévoilent et vous vous rendez compte à quel point vous avez été maladroit, pas assez rigoureux ni même attentionné à vos besognes. Abaissant les bras, Tom se dirigea vers la forêt interdite, endroit encore plus mystique pour lui.Les contours sombres des arbres en rajoutée à l’horreur de la situation, comme si Tom à peine revenu rendait le climat aussi glacial que si une armée de détraqueurs était présente.

    ** J’ai l’impression de renaître, de me réveiller d’un sommeil sans rêve. Je ne suis apparemment pas destiné à mourir, ou du moins à subir le sort qu’il nous est réservé à nous, être funèbre. Mais d’avoir perdu une fois ne m’arrêtera pas. Je suis en vie mais je veux plus. Je veux le pouvoir et l’immortalité. Je veux tout. **


    Comme en réponse à l’écho de ses pensées noires, un hurlement retentit dans l’obscurité, chargé de tellement de malfaisance que des corbeaux s’envolèrent. Noirs. Signe de mauvaises augures, comme si la même la faune et la flore sentaient que la roue tournent. Lord Voldemort s'avançait entre les arbres, un halo de lumière doré l'entourant, sortilège beaucoup plus puissant que les idiots de " lumos " que proféraient les autres. Tandis que l'obscurité engloutissait sa silhouette, un crix animal surgit non loin. Tom, à qui le temps n'avait pas repris toutes ses facultés de compréhension, identifia dessuite un hâle de mourrant. Se dirigeant dans cette direction sans aucune peur - après tout il était sûrement la pire menace de cette fôret - il se demanda sur qui, ou quoi, il allait tomber. Probablement un de ces gamins qui se croient tout permis ici, donc quelqu'un d'utile, surtout que construire une armée au sein de Poudlard n'était pas exclu. Arrivé sur les lieux du crime, il entrevit un jeune homme blond du même âge qui lui, au visage angélique, comme lui à son âge. Ni trop petit ni trop grand, musclé et en exellente santé physique. Néanmoins, l'incconnu ne sembla pas prendre concience de sa présence. Profitant de l'éffet de surprise, il fixa le jeune homme avant de pénétré dans son esprit, sans même laisser le temps à l'élève de parer le coup. Et puis, face à Lord Voldemort, qu'elle résistance serait suffisante, hein ? Des souvenirs, des tonnes et des tonnes de moments vécus, de pensées ... En quelques secondes il savait absolument tout de la relation unissant Seth - son prénom d'après ce qu'il avait appris - et Baël, son cher preteur de corps. De tous les élèves de Poudlard, il fallait qu'il tombe sur son meilleur ami. Drôle de coïncidence ou coup du sort ? Difficile de juger, mais disons simplement qu'il manquait de veine. Jouer la comédie était un talent qu'il ne possédait pas - malgrès qu'il n'en manquait pas. C'est vrai que Tom était plutôt habitué à dire la vérité en face, qu'elle déplaise ou non. Berner un ami tel que semblait l'être Seth allait être compliqué, mais Voldemort était décidé. Un défis corriace mais qu'il reléverait et puis tom réussissait dans tout ce qu'il entreprenait depuis son plus jeune âge. Paraître normal n'allait pas être l'exeption à la règle. Quoi que ... Voldemort hésitait. Ainsi, dans la pénombre que lui offrait l'épais feuillage des arbres, il éspérait que cette rencontre ne foutrait pas en l'air ses nombreux plans. Si les choses tournaient mals, un Avada Kedavra ne serait sûrement pas de trop. Faisant tournoyer sa baguette entre ses doigts fins, Tom dévisageait Seth tout en étudiant son comportement. Démarche féline, sang froid inplacable ... arme fatal une fois sous impérium ? Quoi que, même sans ce sortilège il mettrait son corps en enfer que ce jeune homme le suivrait n'importe où pour peu qu'il lui promette de l'aventure et du sang. Franchissant le pas qu'y le dévoilerait à son pseudo meilleur ami, il se dévoila et annonça d'une voix glacial

    Baël/Tom __ Encore une vermine de moin sur cette terre.

    Lord Voldemort regarda le jeune homme avec froideur - on ne contrôle pas son regard. Soudain un craquement retentit derrière eux. Se retournant, baguette tendue, prêt à l'attaque ...

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MessageSujet: Re: Quand on sort il faut s'attendre à être surpri Quand on sort il faut s'attendre à être surpri Icon_minitimeVen 29 Aoû 2008 - 11:32

    Un choc violent fit rugir son corps avec douleur. Son estomac se contracta avec toute la force qu’un tel muscle pouvait libérer en un seul coup. Tout son corps se courba et ses lèvres tremblantes ne tentèrent pas de retenir le contenu acide qui se déversa dans l’eau qui lui faisait face. Ses boyaux semblaient décidés à achever leur œuvre avant la fin de la minute qui allait suivre. Pendant encore plusieurs longues secondes, la jeune fille, pilée en deux vers l’avant, se vida du souper, du dîner et du déjeuner qu’elle avait ingurgité pendant la journée. Et pendant ses longues secondes, elle concentra toute sa force et son attention à garder ses mains posées sur le haut des toilettes. Elle tremblait de tout son être, de froid et de douleur, de peur et de tristesse. Elle ne bougeait pas pourtant, tous ses muscles tendus comme si ses os allaient lâcher, comme si tout son corps tentait de se décomposer petit à petit, l’un après l’autre. Son souffle court et irrégulier tentait vaguement de calmer son cœur qui battait tel un forcené dans sa poitrine. Fleya McInsley en pleine crise… Crise de quoi ? Elle ne saurait le dire exactement elle-même. La jeune irlandaise s’était levée de son lit en pleine nuit après un cauchemar, une irrésistible envie de vomir lui torturant le ventre. Elle avait presque défoncé la porte en courant vers cette pièce salutaire, manquant également de réveiller tout le dortoir. Le battant de bois s’était refermé derrière elle alors qu’elle se retenait de justesse à l’émail froid de la cuvette et elle avait alors commencé à régurgiter la totalité de ce que contenait à ce moment-là son estomac, face à elle l’image encore fraîche de ces yeux qui la fixaient, encore et encore, avec cruauté et moquerie.

    Un sanglot brisa alors le silence qui s’était installé dans la minuscule pièce et elle tomba à genoux, telle une poupée fatiguée de se tenir debout, avachie sur elle-même. Son souffle quitta son corps en même temps que l’eau salée de ses larmes qui se mirent à couler sur ses joues. Mais pleurer pouvait-il réparer tout ce qui s’était passé ? Fleya tremblait encore et la douleur qui l’habitait était loin d’être physique. Cette peine furieuse et cinglante se faisait maintenant ressentir dans tout son corps, sans quelle puisse la soigner par quelque sortilège ou potion. Sourde aux supplices de la demoiselle, elle s’insinuait dans n’importe quel muscle, dans n’importe quelle parcelle de sa pauvre carcasse, sans merci, sans pitié. Et cela se passait souvent après un cauchemar, même s’il n’y avait pas besoin de cet artefact de son inconscient pour que les crises prennent possession de son corps lorsqu’elles en avaient envie. Il suffisait d’une pensée portée vers cet été… D’une photo de sa famille… de la lettre d’Anna… Pour qu’elle sombre lentement dans une tristesse qui devenait alors physique après quelques minutes, ces quelques minutes qui lui permettait de s’isoler rapidement. Car on avait beau dire qu’être avachie sur une toilette était pitoyable et dégradant pour une sorcière digne de ce nom, pour une femme ou n’importe quel autre nom que l’on pouvait lui attribuer, elle se sentait beaucoup mieux enfermée dans une petite pièce plongée dans le noir qu’au beau milieu de la Grande Salle. Elle ne voulait pas qu’on la voie dans cet état, elle ne voulait pas qu’on la sache complètement dérangée depuis cet été. Elle ne voulait pas qu’ils sachent… JAMAIS. Les seules personnes au courant encore vivantes aujourd’hui étaient les coupables, et si elle avait pu parler pour les faire mettre sous les verrous, loin d’elle, une bonne fois pour toute, elle aimait trop quelqu’un d’autre pour parler, … Et elle ne voulait tout simplement pas que l’on sache ce qui lui était arrivé. Même si cette chose la bouffait de l’intérieur pendant qu’elle se taisait de toutes ses forces, de toute son âme.

    Et s’il fallait qu’elle en crève et bien… Peut-être allait-elle réussir son coup cette fois ? Vaguement, elle secoua la tête, son regard trop clair se posant sur ses poignets aux cicatrices bien visibles. Se suicider encore ? Elle frissonna de dégoût rien qu’à cette pensée, cachant les cicatrices de ses paumes, callant ses paumes contre son ventre, sous sa poitrine. Hors de question qu’elle meurt à nouveau. Il était bien plus facile de vivre que de mourir, même si la vie pour elle ne serait qu’une longue agonie, elle avait encore des personnes à aimer ici… Et la mort était bien plus douloureuse, même si la douleur était éphémère, elle était trop lourde et trop brutale pour qu’elle la laisse reprendre à nouveau le dessus aussi tôt. Elle avait failli perdre tant… Peut-être pas assez par rapport à ce qui l’attendait chez elle, par rapport à ce dont elle avait une peur bleue désormais, mais elle ne serait fixé de ce fait que dans plusieurs mois, peut-être même jamais. Alors elle n’allait pas tout gâcher à nouveau pour un inconscient un peu trop entreprenant sur son esprit et son corps, pour une peur qui pouvait être éteinte encore quelques jours, quelques mois, avant qu’elle n’ait le droit d’être légitime…

    Et pourtant…
    Lentement, Fleya se leva. L’odeur de la pièce, fétide et entêtante, commençait à lui faire perdre le fil de ses pensées. Elle avait cessé de trembler à tout va, mais ses muscles, à présent, criaient de frustration. Ils voulaient le repos, un repos total et sans mouvement avant le matin. Cette fois, c’était bien réel. Mais cette fois encore, son esprit n’y plierait pas. L’irlandaise était incapable de se rendormir, incapable de retrouver le sommeil. Morphée l’avait trahi lui aussi, et elle était assez rancunière pour passer une nouvelle nuit blanche. A l’école, dans sa classe, personne ne comprenait comment son teint si pâle avait pu apparaître en seulement deux mois de vacances ( d’été qui plus étaient ) ni comment elle avait pu changer de caractère aussi facilement. Mais, alors qu’une semaine de cours était déjà passée, personne n’avait essayé de comprendre pourquoi elle fuyait tout le monde. La demoiselle n’avait pas parlé à beaucoup de gens depuis les deux mois de vacances. En ce moment, complètement renfermée sur elle-même, elle était du genre à raser les murs, à entrer la première en classe et à en sortir avant tous les autres. Elle disparaissait tel un fantôme alors qu’elle était suivie par quelqu’un voulant lui parler. Et elle ressemblait tellement à un fantôme en ce moment qu’elle se demandait si elle n’en était pas un… Elle cachait pourtant ses cernes sous le maquillage noir qu’elle avait « emprunté » à… une morte désormais. Il n’était guère plus utile d’en parler, de cette fille.

    Elle ouvrit la porte et sortit des toilettes, se retrouvant alors dans la salle de bain commune des filles de Poufsouffle. Ses gestes d’automate la dirigèrent vers un lavabo où elle se passa le visage sous l’eau glacée. Elle essayait de se réveiller, de sortir ses pensées de cette spirale dans laquelle elle était enfermée. Elle n’avait pas envie de passer la nuit dans un coin de la salle commune à ressasser ses vacances. Rejoignant son lit juste après, elle entreprit de s’habiller, dans le noir et dans le plus grand silence possible. Une jupe, mi-longue et large, volumineuse et noire s’allia avec un corset noir, entrelacé sur le devant qui moulait parfaitement son ventre et sa poitrine. Elle prit ses bottes et sa cape et descendit dans le salon des blaireaux, où elle enfila le reste de sa tenue et noua ses longs cheveux ondulés dans sa nuque. Plusieurs mèches s’échappaient mais elle n’y prêta que très peu d’attention. Là où elle allait, elle serait étonnée si ses cheveux restaient en place plus de cinq minutes.

    Il n’y avait personne, tout le monde dormait à cette heure. Quelle heure il était ? Ca, elle l’ignorait. Elle n’avait pris que sa baguette et sa cape avant de sortir dans le couloir froid et lugubre. Pas de lumos qui pourrait alerter sa présence à l’un des professeurs ou des préfets. Le couloir sombre n’était pas très long et elle connaissait le chemin vers le hall par cœur. Ensuite, une fois dans l’entrée de Poudlard, il suffisait de pousser la porte pour être dehors. Et avoir froid. Le temps ne semblait pas vouloir être clément avec Fleya ce soir. La jeune fille, poussée par une légère claustrophobie après avoir été si longtemps enfermée dans une toilette, avait eu envie de prendre l’air. La pluie et le vent aussi apparemment. Mais ce n’était pas ce qui allait lui faire tourner les talons. La porte de Poudlard se referma derrière elle alors qu’elle plaçait vaguement le capuchon de sa cape sur sa tête et s’enfonçait dans les ombres de la nuit. Le parc de Poudlard… Et la forêt interdite… Elle ne se sentait guère coupable d’enfreindre le règlement ce soir. Tout le monde le faisait, en général. Il n’était presque rien de plus commun aujourd’hui dans Poudlard que de mettre ce « stupide » règlement à la poubelle et de s’amuser de toutes les façons que l’on pouvait. Evidemment, d’ordinaire, les gens évitaient de sortir par un temps comme celui-ci, et c’était bien là tout l’attrait qu’il pouvait avoir. Elle serait seule avec ses pensées, la pluie et les arbres. Parfait. Ouais, enfin, c’est ce qu’elle prévoyait. Mais on était déjà bien au courant que tout ce que prévoit Fleya ne fonctionne jamais comme il faut.

    Elle était trempée. L’eau avait filtré à travers chaque petite parcelle de tissu qu’elle portait sur ses épaules et la pneumonie était désormais une option d’un dénouement futur de cette non fabuleuse histoire de la pauvre femme errante dans les bois. Elle aurait peut-être dû mettre une cape rouge, histoire de taper dans l’œil de l’ironie. Mais le noir était beaucoup plus discret. Cela faisait près d’une demi-heure qu’elle évoluait en silence dans la nuit, à travers la forêt, à moitié perdue. Mais elle n’avait prévu de chercher son chemin que lorsque le soleil pointerait son nez sur la cime de ses nouveaux amis conifères. Elle avait froid, elle allait être malade, mais cela lui faisait du bien. Pas un humain dans son champ de vision… Pour elle, qui commençait à détester sa propre race, c’était quelque chose qui faisait sourire légèrement ses lèvres bleues. Fleya ne souriait plus depuis deux mois. Certains auraient payé cher pour voir ça.

    Un cri coupa sa marche silencieuse. Ou plutôt, un hurlement, proche. Humain ou animal, il avait été trop bref et trop indistinct pour qu’elle sache le préciser. Mue par sa curiosité, et par une témérité qu’elle ne se connaissait pas, trop aveugle pour être du courage, nous parlerons ici plutôt d’insouciance, elle changea de cap, faisant à présent route vers l’origine du boucan qui avait réveillé la forêt, un fugace instant. Lentement mais pas assez prudente pour pouvoir dire qu’elle était réellement dans son état normal, elle s’approcha. Et c’est au détour d’un tronc identique à tous les autres qu’elle tomba nez à nez avec… Une scène sur laquelle elle n’aurait jamais imaginée tomber ce soir.

    Que dire de la réaction de la Poufsouffle face à ça ? Sous sa chevelure détrempée, son visage exprimait deux sentiments étranges : la surprise et l’exaspération. Le mélange des deux pourrait sembler en effet, très bizarre. La surprise était légitime, l’exaspération beaucoup moins. Mais se retrouver face à deux baguettes levées droit sur son pauvre visage était non moins surprenant dans les circonstances actuelles. Sous la pluie qui tombait à grosses gouttes des feuilles des arbres, elle s’était figée, ses grands yeux trop clairs observant les baguettes et les visages plongés dans l’ombre qui s’étaient tourné vers elle avec une vivacité étonnante. Son sourire avait depuis longtemps disparu, mais laissait désormais place à un rire silencieux, dépité, désespéré… Elle aurait dû rester dans sa toilette puante et dégoûtante, à vider ses boyaux… Mais elle avait préféré venir se faire tuer par deux serpentards d’années supérieures à la sienne, qu’elle ne connaissait pas, si ce n’est qu’elle se souvenait de leurs visages, pour les avoir croisé dans un ou deux couloirs, sans plus.

    « Hé bien… Salut… »

    Elle aurait été tentée, sous cette remarque presque ironique qui était sortie toute seule de sa pauvre et téméraire bouche, de tourner les talons et de faire mine de se tirer tranquille. Mais elle s’était promise de ne pas mourir avant encore quelques mois. Alors elle ne bougea pas. Elle avait peur, cela se voyait, mais elle était trop désespérée pour fuir, même pour sortir sa baguette. Fleya savait où étaient ses limites, par rapport à d’autres, et elle avait vite tendance à baisser les bras lorsqu’elle savait que la barre était beaucoup trop haute. Elle n’était pas une gryffondor, trop fidèle à ses principes, encore moins une serpentard, même si son caractère de chien laissait parfois le penser. Elle fixa ses deux « agresseurs », attendant simplement de savoir… ce qui allait arriver d’elle.

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MessageSujet: Re: Quand on sort il faut s'attendre à être surpri Quand on sort il faut s'attendre à être surpri Icon_minitimeVen 29 Aoû 2008 - 15:30

    Le vent apportait souvent des odeurs qu'un humain ne pouvait pas sentir mais certaines personnes le pouvait. Elles pouvaient sentir des personnes alors qu'elle n'était même pas à porter de vu. Mais lui en était pas capable, cette personne qui était debout avec du sang noir sur son épée magnifique qui brillait grâce à la lune. Mais la pluie commençait à être de plus en plus forte et le serpentard était trempé mais il était resté planter au même endroit, devant la créature morte exploser. Un sourire, toujours ce même sourire après avoir lancer un mauvais sort comme sa. Le plaisir de faire souffrir, le plaisir de voir mourir un être comme sa. Cela détendait le vert et argent. C'était pas sa première visite dans cette forêt , sa première fois était avec son meilleure ami baël, en première année. Lui il voulait attendre au moins sa 3 ème année mais baël était trop précé, trop impatient mais grâce à la chance ils en ressortirent juste avec deux trois frayeurs.

    Encore une vermine de moin sur cette terre.

    Le serpentard se retourna baguette levait vers cette personne qu'il n'avait pas senti arriver et encore moins entendu. Un sorcier pouvait sentir les autre sorciers grâce à la magie qu'ils dégageaient mais seuls les puissants pouvait faire sa mais seth lui en était pas capable bien que son instinct lui disait quelque fois qu'il était éspioné. Une fois qu'il eu reconnu baël il abaissa sa baguette magique faisant un demi sourir. Normalement juste avec sa voix il aurait dû le reconnaitre mais avec cette voix et ses paroles il ne le reconnut pas. '' Pas mal '' ou '' Toujours aussi nul '' aurait été plus un truc qu'il aurait di ... mais le serpentard ne se doutait même pas de ce qu'il était arrivé à on meilleur ami ...

    A peine il eu le temps de le saluer que quelqu'un fit du bruit, il échangea alors son épée et sa baguette de main pour mieux viser car il était gaucher. Le serpentard n'épprouvait aucune peur loin de là, c'était plutôt un sentiment d'exitation. Il esperait que sa soit un inconnu et qu'il soit grand prêt à riposter à une attaque des deux serpentards. Un gryffondor pourquoi pas ? Mais au lieu de sa ce fut une fille qui avait les cheveux mouillés et une petite fille en plus de sa et sans baguette magique. Le serpentard regarda rapidement baël et il dit toujours de sa voix habituel douce:

    Tu nous as vu et nous devrions pas être là alors ? On te tue maintenant ou tu préféres soufrir un peu ?

    Le serpentard avait aucune idée de qui elle pouvait être, tout ce qu'il savait c'est qu'elle était pas de leur maison et sa suffisait pour lui faire la peur de sa vie. Il avait une envie folle d'utiliser son pouvoir de métamorphage pour se transformer en homme serpent et lui dire '' BOU ''. A cette pensé il fit un petit sourire amusé regardant baël et il continua.

    Moi je veux bien les jambes et les bras, tu veux t'occuper de quoi toi ?

    Seth leva alors son épée pointant le coeur de cette fille. S'il devait se faire attraper à la fin autant en profiter pour lui faire peur. Seth savait que dans poudlard il y avait des gens qui étaient nés pour dire aux profs ce que les élèves faisaient et il détestait vraiment sa ! Le serpentard n'avait jamais balancé, il se débrouillait lui même et il se venger. oeil pour oeil dent pour dent . Seth se vengeait toujours et généralement faisait pire que son énnemi. C'était sa être seth, se battre, travailler, s'occuper des filles et s'amuser. CEla était toute sa vie.

    Un coup d'oeil vers son ami et il repensa à sa petite soeur qui avait litéralement péter un cable en deux petites minutes. Elle avait voulu l'étrangler ensuite elle lui avait lancer un sortilège et pour finir c'était la chambre des septièmes années qui y était passé. Il en avait même pas parlé à baël parce qu'il ne devait pas le savoir. Seth lui ne le trouvait pas bizarre enfin jusqu'à ce soir là ... Le vert et argent n'avait presque pas réagit au pétage de plombs de la demoiselle simplement parce qu'elle était la soeur de son meilleure ami et qu'il savait que cette fille était tout pour elle.
    Sa baguette toujours pointait sur cette fille il dit d'une voix encore plus douce ce qui rendait le moment encore plus éffrayant.


    Je commence à en avoir marre de ce moment autant qu'elle commence à crier maintenant . . .

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MessageSujet: Re: Quand on sort il faut s'attendre à être surpri Quand on sort il faut s'attendre à être surpri Icon_minitimeSam 30 Aoû 2008 - 0:26

    Aujourd’hui n’était pas la meilleur nuit pour sortir. Le ciel, couleur noir d’encre, avait comme chassé les étoiles pour régner en maître sur le monde. Même la lune, elle si sublime et si lumineuse, avait cédé sa place aux ténèbres. Pas un seul battement d’ailes, ni aucun cri ne troublaient le silence mortel de la situation. Ironie du sort ou non, Tom E. Jedusor semblait affronter ses cauchemars. Oui, même le pire mage noir de tous les temps peut aussi avoir ses propres monstres, échos d’une gloire passée, d’une époque à présent révolue. En fait, il ne se passait pas grand chose dans cet étrange songe éveillé. Juste la rediffusion de la Fin de tout. Expelliarmus contre Avada Kedavra. En suivant la logique des choses, cela aurait dû être lui qui gagne. Mais non, comme toujours il avait fallu que la malchance décide de frapper une nouvelle fois. C’était quoi, une sorte de punition pour tous les crimes qu’il avait commis ? La traîtrise aussi. On ne choisit pas sa famille, mais on peut choisir ses alliers. Encore faut il bien les choisir, n’est ce pas ? Pour une fois qu’il pensait pouvoir accorder sa confiance, il avait fallu que cet idiot de Rogue soit du mauvais côté, et tout ça pour une femme . Et sang de bourbe qui plus est. Comme Dumbledore, lui qui tirait les ficelles de ses marionnettes sans jamais trop se mouiller, à qui tout le monde donnait sa confiance éternelle, comme s’il était on ne sait quel dieu antique. Foutaise. Le vieux fou avait été aussi lâche que Narcissa Malefoy. Elle aussi, qui avait affirmer que le môme était mort alors qu’en fait son cœur battait la chamade. Et puis leur fils, Drago, qui non content d’être le fils de deux imbéciles, il n’avait même pas prit conscience que la baguette la plus puissante s’était pliée à ses ordres. Ensembles de détails mineurs auxquels il n’avait pas assez prêté attention et qui avait mener à sa propre mort. La vie est cruelle. Et Potter aussi, Potter. Ce gosse chanceux - lui ne semblait pas avoir été oublié dans la balance de la chance - qui lui avait échappé un nombre incalculable de fois et qui avait détruit petit à petit ses horcruxes, allant même jusqu’à se laisser tuer sans même résister … D’accord, d’accord Potter était courageux, on ne pouvait pas lui enlever cette unique qualité. Lui et ses amis avaient réussis par miracle à provoquer sa chute. Mais cette fois, aucun Élu ne serait là pour contrecarrer ses plans, ni même pour lui tenir résistance. Tom avait appris plusieurs choses de sa récente expérience avec la mort. Règle de guerre numéro un, ne faire confiance à personne sinon soi même. Règle de guerre numéro deux, ne jamais sous estimer l’ennemis. Et bien si avec tout ça il ne réussissait pas à conquérir le monde, c’est que vraiment les forces de la nature en ont décidés autrement. Mais bon, restons positif, Voldemort avait tout de même pas mal d’atout dans sa poche. Premièrement, il bénéficiait de l’effet de surprise, un atout considérable dans la manche. Ensuite, les sorciers ont tous la mémoire courte et relâche au fil du temps leur vigilance. Il aurait mis sa baguette au feu que le niveau de combativité avait baissé, que les humains tenaient pour acquis le fait que le monde soit à présent sûr. Lourde erreur. Et, troisièmement, il n’y aurait personne pour lui faire face, aucune prophétie non plus. Tom, malgré la mort et tout ce qu’elle réserve, n’avait ni perdu l’intégrité de son esprit, ni son incroyable pouvoir. Dommage pour les autres, cela en deviendrait peut être trop facile.
    Ses mangemorts. Durant la nuit où il avait été « réveillé » - un peu à la manière d’un vampire - il s’était servi du livre pour ramener à la vie ses plus fidèles mange mort. Bon, la règle numéro une est toujours de rigueur, mais eux étaient mort au combat pour sa cause. Donc quand même d’une fiabilité peu douteuse. Bellatrix d’abord, son plus fidèle et vaillant lieutenant, assassiné par Molly Weasley. Comment une mégère comme elle avait pu venir à bout de la mange mort, presque aussi redoutable que lui, reste un mystère complet. Mais s’attarder sur le sujet ne sert à rien. Fenrir Greyback, loup-garou assoiffé autant de pouvoir que de sang. C’est à dire énormément. Croupton Junior, grâce auquel il avait réussit à revenir à la vie lors de la coupe des trois sorciers. Et tant d’autre aussi utile que doué en sortilège, et des élèves sous imperium. Début d’une armée qui promettait d’être grandiose. Bon, le gamin à qui appartenait le corps semblait aussi plus ou moins coriace, vu le temps qu’il lui avait fallu pour en prendre le contrôle à chaque fois, et pour une durée assez courte. Le problème était tout de même quand est ce qui se rendrait compte qu’il était possédé … Il n’avait aucun moyen de communiquer avec lui, ce qui se trouverait gênant par la suite. Surtout qu’il avait besoin d’un enquêteur pour dénicher ses mange morts embusqués. Les avoirs ramenés ne suffisait pas, il fallait qu’ils aient une réunion pour clarifier le tout, et encore faudrait t’il savoir dans quels corps ils avaient bien pu atterrir. En gros, il allait avoir énormément de boulot, sans compter que tout le travail accompli jadis n’avait plus lieu d’être. Et les sangs-pur étaient sûrement très rare. Quel gâchis, de souiller ainsi le sang. Bon, lui même était sang-mêlé, mais comme il descendait de Salazar Serpentard les choses en étaient amoindries. Vous n’êtes pas d’accord ? De toute façon, les sangs purs n’étaient pas non plus sa priorité. Ce qu’il voulait, c’est que les rôles soient inversés, que les sorciers aient le droit de vivre en plein jours et que les moldus et né-moldu sorcier vivent dans l’ombre. Un juste retour des choses, c’est tout ce qu’il désirait. Et le pouvoir aussi, il voulait beaucoup, mais alors vraiment beaucoup, de pouvoir. Être respecté, par forcément aimé - d’ailleurs un personnage comme lui n’était jamais admiré - mais au moins que les gens se taisent sur son passage et obéissent d’un unique regard. Enfant il y avait aspiré, ados il avait réussit à Poudlard, adulte il avait presque touché à l’immortalité. Presque. C’est étrange, comme un seul mot peut changer la donne. Presque, ça gâche tout. Comme Potter. Ca gâche tout aussi. Mais Baël avait réussit à le ramener à la vie - bon dans un autre but mais passons - et pour ça il lui en était presque reconnaissant. Encore ce mot, presque. Juste que la reconnaissance est étrangère à Tom, tout comme l’amour. Mais passons aussi. Une seconde chance de terminé le travail entrepris lui était donné, et il n’allait pas la laissait passer. Il était de retour incognito et son plan serait parfait parce que sans perfection on termine mort. Chaque détail serait orchestré, étudié, pesé, jusqu’à ce qu’il soit décidé que cela convenait. Et qui mieux que lui pourrait se charger de cette besogne ? Personne. On est jamais servi mieux que par soi même, telle est la devise.

    Des rares fois où il avait prit le contrôle du corps du jeune homme, il avait retenu plusieurs choses. De sa présence, il ne subsistait rien d’autre qu’un vide pour le Serpentard. Ensuite, communiquer avec le môme était chose impossible. Non pas qu’il veuille lui demander l’autorisation de prendre son corps … Vous voyez Voldemort demandé « Excusez-moi, jeune Owned, mais ça vous dérange que je vous vole votre corps ? Vous ne mourez pas, c’est juste que vous existez plus. » Ca sonne aussi ridicule que bien trop polie. Et puis il s’en fou de l’autorisation. Non, ce que le Lord voulait c’était des informations sur Poudlard et bien d’autres choses encore, savoir si le monde avait changé … bref avant d’élaborer un plan il faut savoir ce qui constitue le monde qui vous entoure. Et, sa baguette tournoyant dans ses doigts fins, il se demandait si Seth Istari ne pourrit pas servir de documentaliste. Après tout, qu’il parle sous contrainte ou de lui même, on s’en fichait, du moment qu’il dise ce qu’il avait besoin de savoir. Oui, mais bon, Tom avait bien vu la tête qu’avait fait un première année quand il avait seulement demandé en quelle année ils étaient. Après tout, normalement, il était censé savoir tout ça. Donc le demandé pourrait paraître légèrement suspect non ? Remarque … un oubliette de plus ou de moins ne tuerait personne, si ? Hum … Il se demandait si les autres avaient autant de mal à savoir des choses sur cette sorte de nouveau monde, qui était le même qu’il connaissait mais où tout avait changé. Il avait prit un repas dans la grande salle sans rien comprendre au nom de Quidditch - non pas qu’il ai un jours été un fan, seulement il avait quand même un minimum de culture général - ou encore des noms de journaux, de bars, de chemins de traverses … Il ne savait absolument plus rien. Enfin si, sur le monde d’avant, mais à quoi sert de ressasser le passé ? Bref, avant de tenter de conquérir un monde, il allait bien falloir en connaître tout de fond en comble. Il n’allait pas s’ennuyer … C’est d’ailleurs pour cela qu’il aurait eu besoin du petit Baël. Le cantonner au rôle de simple donneur de corps suffisait amplement, mais s’il pouvait aussi servir de prof de la vie nouvelle, pourquoi pas. Mais de toute évidence, quand l’un prenait le contrôle, c’était comme si le second dormait d’un sommeil sans rêve. Étrange, quand il avait possédé Quirrel c’était plutôt deux âmes pour un seul corps. Reportant son attention sur son pseudo meilleur ami, Tom se demandait s’il allait agir ou bien rester encore là à le regarder exterminé une pauvre bête qui ne lui avait sûrement rien fait. C’était pas son jour à elle non plus. Voldemort, qui se tâtait toujours, allait opter pour la première solution à savoir questionner avant, faire disparaître les souvenirs après, quand un craquement se fit entendre. Pas très fort pourtant, mais Tom avait une très bonne ouie et un instinct qui ne lui jouait que rarement des tours. Pointant sa baguettes devant lui, il attendit, immobile. Un quart de seconde plus tard, Seth sembla aussi se rendre compte qu’un inconnu avançait dans leur direction. Cela ne pouvait pas être un animal, ils étaient bien trop silencieux. Non, les pas maladroits et guindés appartenait à un humain qui semblait errer dans les bois sans but précis. Dommage. Car Voldemort était de très mauvaise humeur.

    Sortant de la pénombre qu’offrait les bois, une jeune fille marchait en leur direction, tête baissée, de toute évidence perdue dans pensées. Elle ne releva la tête que lorsque les baguettes de Seth et Tom se pointèrent sur elle dans un ensemble parfait de coordination. On pouvait comprendre que la jeune fille à l’apparence chétive, se promenant seule dans la forêt, prenne peur en se retrouvant face à deux Serpentard à l’allure dangereuse. Tom abaissa en premier la sienne, considérant qu’une adolescente ne pouvait être qu’inoffensive, surtout désarmée. Promenant ses yeux sur elle, il détailla sa silhouette. Le corps mince et frêle, elle ressemblait un peu à une poupée en porcelaine à manipuler avec beaucoup de soir. Cachant ses formes de femme sous une cape noire, elle ne semblait sûrement pas soucieuse qu’elle attirait des regards. Son visage pâle et maladif semblait plus triste que jamais, sentiment accentué par ses yeux cernés de noir. La blancheur de son teint contrastait avec fulgurance de ses cheveux noirs ébène. Déprimée était probablement la solution pour la décrire en un seul mot, elle qui semblait prête à fondre en larmes à chaque instant ou bien à vous taper dessus avec force. Ses yeux azurs ne la quittait plus. La curiosité est peut être le pire des défauts mais c’est aussi la meilleure qualité. Non pas que Lord Voldemort soit attiré par cette femme à l’apparence candide, seulement il voulait savoir pourquoi un être si petit pouvait être aussi triste, car il en fallait beaucoup pour qu’une personne atteigne à ce stade la déprime. Si c’était grâce à quelqu’un de Poudlard, peut être un de ses mangemorts qui aurait fait des siennes ? Poussé par une soudaine illumination, il laissa son don de légimens envahirent la jeune femme, creusant un chemin dans son esprit, s’appropriant des souvenirs qui n’étaient pas les siens. Ouvrant des portes fermés à clé, celles qui renfermaient les trésors les plus intimes du secret. Défonçant avec force le maigre barrage que son cerveau tentait inconsciemment de mettre en lui et l’ultime chose que gardait en elle la jeune femme. Plus aucune pensée ni souvenir n’était à l’abris, lui, intrus dans cet esprit dont il connaissait chaque pensées qui l’avait un jour meublé. Mieux que la curiosité, c’était l’impression de se sentir une nouvelle fois en pleine puissance qui poussait Tom à continuait l’examen approfondi de la jeune femme. La pauvre, elle devait se sentir de plus en plus mal tant il malmenait son esprit. Mais il était tout aussi incapable d’éprouver de la pitié que de se stopper dans cet élan furieux. Depuis bien longtemps, il ne c’était pas senti aussi puissant et fort. Il était de nouveau lui, et cela lui faisait énormément de bien. Même mieux, c’était comme une nouvelle naissance, encore une vous allez dire. Il était Lord Voldemort, mage noir en plein ascension et celui qui avait été plus loin que personne sur le chemin de la magie.

    Fleya __ Hé bien… Salut…

    Tom savait mieux que n’importe qui le passé de la jeune femme et pourquoi cet éternel tristesse avait choisie pour maison son visage si pâle. Et la torture mentale était parfois encore meilleure que l’Endoloris, car de simples mots ravivent des souvenirs enflammés, et contribue à petit feu à la perte de cette personne. Et pour Tom, Fleya était une proie tellement simple qu’il avait du mal à résister à la torturer. Et puis son histoire était tellement enivrante de douleur qu’elle ne laissait pas impassible le Lord. Il voulait la questionnait, voir qu’elle avait de plus en plus mal car il était un esprit sadique en manque de souffrance chez les autres. Un peu comme un alcoolique qui veut résister et puis à qui on pose un vert de vin devant. Si s’en est juste un banal, il pourra résister. Mais si c’est un vin du meilleur cru, comment diable pourrait-il y faire face ? S’approchant d’une démarche féline de la jeune femme, il traqua son regard jusqu’à que ses yeux ébènes rencontre le bleu océan des siens. Elle était terrifiée. Une lame étincelante surgit brusquement dans le champ de vision de Tom qui se retourna brusquement vers un Seth qui semblait lui aussi s’éclater.

    Seth
    __Tu nous as vu et nous devrions pas être là alors ? On te tue maintenant ou tu préfères souffrir un peu ?

    Même si Lord trouvait en Seth un potentielle de futur partisan, il fallait admettre qu’il en faisait un peu trop. La torture physique est nettement moins amusante que la psychologie, ce qui rendait Tom vraiment sûr de lui car c’était vraiment sa spécialité. La jeune femme n’avait aucune chance de s’en sortir indemne, quoi qu’un bon oubliette pourrait vraiment lui faire tout oublier. Non pas qu’il éprouve une once de pitié, c’est juste qu’elle pourrait se plaindre ou encore détestait Baël ce qui n’arrangerait en rien ses plans. M’enfin, s’amuser un peu en jouant avec elle ce n’était pas un crime, si … ? Posant ses yeux azurs une nouvelle fois dans les siens, il resta un bon moment silencieux avant de murmurer de son ténor envoûtant.


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MessageSujet: Re: Quand on sort il faut s'attendre à être surpri Quand on sort il faut s'attendre à être surpri Icon_minitimeDim 31 Aoû 2008 - 13:21

    Baël/Tom__ Comment va maman ?

    Tom avait choisi de commencer par le début, pour avoir un angle d’attaque total sur la jeune femme. Il savait petitement que même en restant très implicite la jeune femme le comprendrait car cette douleur était tellement encrée en elle qu’elle faisait partie de son être. Avoir l’impression de tuer ses parents n’est pas simple, mais la ressemblance était bien trop frappante pour que Tom la laisse passé. Sa mère aussi était morte en le mettant au monde - sûrement la meilleure chose qu’elle est faite de sa courte existence - et il la haïssait pour ça. Surtout qu’elle avait été une sorcière et aurait pu vivre, seulement elle avait choisie le trépas. Fleya allait-elle pour autant vouloir devenir une mage noire ? Apparemment pas. Comme quoi le passé ne régit pas entièrement nos actes, c’est juste un tremplin qui vous pousse à choisir votre destinée. Comme quand enfant vous avez le choix entre réussir vos études ou bien passé plus de temps à vous amusez. Au début, on à tous les mêmes bases - c’est à dire un cerveau complètement vide - et puis on écoute en classe. Certaines deviennent ensuite des pipelettes, d’autres des cancres et le reste de bons élèves. On est tous sortis du même moule mais chacun opère des choix différents. Tom avait choisi le mal, et vous le bien. Pourquoi pas après tout ? Et en ce moment même, Tom avait choisi le silence et Seth voulait à tout pris le briser. Ce qui, en soi, était une assez mauvaise idée vu le caractère asocial de Tom cette nuit là. Au diable les bonnes résolutions, il avait tout sauf envie d’être poli aujourd’hui. Certains en payeraient les conséquences et peut importe qui, après tout cela n’était pas ses affaires. Il n’aurait qu’a leur effacer la mémoire après et puis basta.


    Seth
    __Moi je veux bien les jambes et les bras, tu veux t'occuper de quoi toi ?

    Il y a plusieurs catégorie de personnes. Les gens banales qui se contentent seulement de plaire à tous le monde. Ni sortir du lot ni être un boulet ni un pigeon juste être présent, rien de plus. Ensuite les gens connus pour leurs incroyables capacités magiques et qui n’ont même pas besoins des s’en venter car tout le monde le voit par soi même. Et puis enfin les gens comme Seth qui sont peut être intelligent et tout ce qu’il veulent, se la pète vraiment beaucoup pour pas grand chose. De belles paroles mais une fois confronter au mal, abonné absent. Donc autant dire que Tom trouvait qu’il en faisait un peu trop avec sa baguette coincée dans une main et une épée dans l’autre, les deux pointaient sur le cœur de la jeune femme qu’il malmenait. Soupirant avec lassitude, il posa une main sur la lame étincelante et l’abaissa doucement tout en disant d’une voix glaciale que Seth n’avait probablement jamais entendu dans la bouche de son meilleur ami.

    Baël/Tom __ Tais toi.

    Inutile de s'embarrasser de longues phrases, c'est une perte de temps. Quand un seul mot suffit à faire comprendre l'idée générale - en ce moment même, arrêter de jouer les gros durs - pas besoin de faire un monologue. Comme dit le proverbe, quand on peut faire simple pourquoi faire compliquer ? Donc, du point de vue de Tom qui disait toujours ce qu'il pensait, sa phrase était tout ce qu'il y a de plus correcte. Mis à part le ton qui aurait glacé les veines des plus courageux. Délaissant sans plus de cérémonie son "pseudo" meilleur ami, il reposa ses beaux yeux sur la silhouette de la jeune femme. Rapprochant son visage aux aspects angéliques tellement près qu'elle devait pouvoir sentir son haleine fraîche sur son cou, il lui murmura de sa voix mielleuse la plus irrésistible.

    Baël/Tom
    __ Ca fait quel effet d'être punie pour quelque chose dont on est pas coupable ? Aller, montre moi ce que t'as dans le ventre, Fleya... Exprime toi. Tu dois avoir plus de colère en toi que tous les élèves de Poudlard réunis.

    Tom lui offrit son plus beau sourire sadique, ses dents blanches illuminant la nuit. Merlin que cela lui avait manqué, de voir cette ombre passée sur le visage de ses victimes. Et le mieux dans tout ça était de savoir qu'il n'avait pas encore finis, qu'il allait pouvoir encore jouer avec cette poupée trop fragile. Un peu lorsqu'on vient de recevoir ses cadeaux de Noël. On est tellement prit dans la nouveauté qu'on en devient incapable de s'arrêter, comme hypnotisé. Et à cet instant, il n'existait pour lui qu'uniquement le visage déprimé de la jeune femme qui, inlassablement, paraissait de plus en plus triste. Détournant la tête, il porta son attention sur Seth qui paraissait comme choqué de ses paroles précédentes. En reconsidérant le tout, il est vrai qu'il y avait été peut être un peu fort, mais bon pourquoi se privée hein ? Cette nuit était la sienne, et il avait envie de se sentir lui, comme avant. Que les autres en souffrent n'avait pas d'importance, c'était même le but.

    Seth __ Je commence à en avoir marre de ce moment autant qu'elle commence à crier maintenant . . .

    Se retournant avec rage, il dévisagea le jeune homme sans pitié. Un peu de calme quand on s’acharne sur quelqu’un, c’est trop demandé ? Soufflant légèrement pour s’intimer au calme - il ne fallait pas trop commettre de crime - . S’arrachant de force un sourire, il essaya de prendre une mine amusée et légèrement contrariée, mais comme ce n’était absolument pas son fort cela le rendit encore plus effrayant. Réduisant à néant la distance les séparant, il lui asséna avec force des paroles rageuses, le tout avec une ironie impardonnable et une froideur incomparable. Tout doux Tom …

    Baël/Tom __ Dans l’expression Tais-toi, quel mot est trop compliqué pour toi ?


    Lui accordant un regard dédaigneux, Lord Voldemort fit demi-tour pour affronter ensuite Fleya. Ses cheveux noirs ébène voletaient autour d’elle, lui donnant des allures de fille perdue et malheureuse. Tout ce qu’elle cachait, Tom le savait, tissant ainsi entre eux ce drôle de lien intime. Il la trouvait intéressante avec ses idées noires. Il y avait tellement de sujets sur lesquels il pouvait jouer et attaquer que le choix en devenait presque ardu.
    Si on mettait en bouteille la malchance de cette fille, on obtiendrait une arme de destruction massive. Allait elle fondre en larmes ? Quelle déception dans ce cas là. Quand les gens craquent aussi faiblement le jeu perd de son intensité, plus les gens sont coriace plus on s’amuse. C’était comme ça, pas question d’être sadique ou pas là dedans, juste une évidence et rien d’autre.
    Tout en regardant se petit bout de femme qui semblait quand même tenace pour vivre encore, il se questionna une nouvelle fois sur ce qu’il allait prévoir par la suite. Se venger c’est bien, mais bon comme plan on avait connu mieux. Disons que c’était pour le moment seulement l’idée général. Potter. Il était mort, inutile de faire revenir ce gosse à la vie pour le massacrer. Et puis lui, il ne l’avait pas trahi, il avait juste accompli sa raison de vivre : le tuer. Après tout, si on devait reconnaître une qualité au gamin, c’était quand même cette grande ténacité. Mais Rogue, ou encore Narcissa, eux … Mais passons, il avait d’autre hippogriffes à fouetter.
    Soudain ses yeux s’illuminèrent, éclat d’une résolution nouvelle. De sa voix mielleuse de nouveau, il murmura :

    Baël/Tom
    __ Dit ça fait quoi de l’avoir fait avec son frère ?

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MessageSujet: Re: Quand on sort il faut s'attendre à être surpri Quand on sort il faut s'attendre à être surpri Icon_minitimeJeu 4 Sep 2008 - 22:32

    Alors qu’elle était encore solitaire avec ses pensées, Fleya avait levé les yeux vers le ciel. Ce ciel si sombre… L’ébène intense du toit du monde coupait de la vue toute forme céleste qui, par habitude, aurait dû se trouver dans le champ de vision de la jeune adolescente. Aucune lune n’arrondissait de sa silhouette lumineuse les formes terrestres. Et sa suite d’étoile avait déserté les lieux avec leur reine. C’était à croire que le bal de la vie s’était déplacé dans une autre galaxie. Qu’il était parti… Mais la vie ne peut pas partir, n’est-ce pas ? La vie… Elle était l’éternel et l’omniprésence, incarnée dans chaque être vivant de cette terre. Elle se transmettait, elle disparaissait pour réapparaître, tout près. Sans elle, rien n’existerait dans ce monde, rien ne serait lié, tout serait mort, froid, fade… Elle était la chaleur, l’amour, la passion, la haine, les sentiments, les envies, les … Elle était tout, mère de l’homme et de la femme, et fils des deux réunis. Et rien à la fois. Mais elle était là. Elle ne pouvait pas disparaître aussi soudainement. Alors qu’est-ce qui arrivait ainsi à la faire partir ? A la voiler complètement de la vue de la sorcière et à glacer ainsi l’atmosphère déjà lourde au beau milieu de la nuit ? … Dans la forêt interdite de Poudlard, la pluie tombait. Elle coulait d’encre d’un ciel d’ébène total, à grosses gouttes froides. Derrière cette pluie ? L’absence de vie, de nuages, d’étoiles et de lune. Comme si on avait enfermé la forêt dans une épaisse couche de ténèbres et qu’on avait déversé des torrents d’eau depuis son sommet. Quel être magique pouvait faire ça ?… Pourquoi ses poumons semblaient si oppressés ? Fleya avançait, tête basse, comme si elle ne pouvait plus respirer. Plus elle avançait, plus cette impression grandissait. Plus elle s’approchait du cœur de cette mascarade, plus son propre cœur s’affolait. Ses sens en éveil total étaient trop étourdis pourtant, pour lui dire où elle devait exactement poser ses pieds. Si la prudence était de mise, la maladresse venait de prendre possession du corps de la demoiselle qui marcha alors sur une branche épaisse mais qui ne supporta pas son poids. Le crac produit par la mort de cette pauvre brindille … résonna dans les alentours, et si les oiseaux ne s’étaient déjà pas tous envolés depuis une dizaine de minutes, il n’y en aurait plus un dans les alentours. L’alerte était donnée, Fleya repérée car la tonalité n’avait pas échapper aux différents protagonistes qui, au contraire des oiseaux, eux étaient bien présents et ne semblaient pas prêts de fuir.

    Tomber nez à nez avec deux baguettes pointées droit sur sa tête pourrait être… effrayant, en effet. Mais la peur de Fleya était tournée vers autre chose. Les baguettes n’étaient pas sa première préoccupation. Le regard froid et calculateur de ces deux hommes posés sur elle la terrorisait bien plus que tous les sorts qu’ils pouvaient lui lancer, bien plus que tous les mots qu’ils pouvaient lui dire. Fleya s’immobilisa sous ces regards, face à eux. Fuir ? Pour aller où ? Elle ne savait même plus dans quelle partie de la forêt elle était. Ses yeux se fermèrent un instant, un fugace moment, le temps que la jeune fille puisse respirer, pas plus long qu’un clignement, pas plus court qu’une respiration. Mais lorsque ses pupilles grises retombèrent sur son premier assaillant, elle eut la surprise de voir qu’il avait baissé sa baguette. Non le deuxième, qui lui pointait maintenant son épée sur son cœur. Et si la gorge de l’adolescente se serra sous la pression de toutes ces menaces muettes sur son corps, elle était encore loin de savoir qu’il ne s’agissait pas du pire. Non… Le pire était à venir. Et elle le sut lorsqu’elle croisa à nouveau ce regard bleu… froid… comme la glace qui s’insinua soudainement en elle, si facilement, comme s’il ne s’agissait que de découper du beurre. Elle sentit ces yeux plonger au plus profond d’elle-même, violant impunément les secrets qu’elle tentait vainement de garder. Par elle ne savait quel moyen, ce jeune homme dont elle ignorait jusqu’au nom, était en train de la violer… Une nouvelle fois, mais cette fois psychologiquement. Et c’était pire. Elle n’avait aucun moyen de se débattre, aucune façon de le repousser. Il entrait en elle comme s’il s’agissait de sa propre demeure, prenant possession des lieux avec une telle aisance que cela glaça son sang et lui coupa le souffle. Son cœur battait la chamade et son corps tremblait. Et plus il ouvrait de porte, plus elle sentait cette crise proche de reprendre possession de son corps. Envie de vomir, envie de mourir… Ses mains saisirent sa tête et ses cheveux, serrant, comme essayant d’attraper cette présence et de l’arracher de son cerveau. Mais ses ongles ne réussirent à lui arracher qu’un peu de peau et de cuir chevelu. Il y eut un cri, léger, comme une plainte, avant que cela se calme aussi soudainement que ça avait commencé. Elle retrouva son souffle, releva les yeux et prononça les mots qu’elle avait voulu prononcer avant cette torture, d’une voix néanmoins tremblante, cherchant à fuir. Mais elle ne pouvait désormais plus quitter des yeux le bond, qui aurait traqué son regard bien plus longtemps s’il avait fallu. Diable… La beauté était tellement cruelle. Et Fleya si terrorisée alors que le serpent s’approchait d’elle. Mais une lame étincelante stoppa sa marche, ainsi qu’une voix. Elle aurait presque oublié le deuxième homme s’il ne s’était pas manifesté vocalement.

    « Tu nous as vu et nous devrions pas être là alors ? On te tue maintenant ou tu préfères souffrir un peu ? »

    Pourquoi ces mots ne lui firent rien ? Parce que ce n’est qu’un coup d’œil qu’elle jeta sur sur le brun. Qu’allait-elle devenir ? Pourquoi était-elle sortie ce soir ? Questions qu’elle se posait et auxquelles, en même temps, elle ne cherchait pas de réponse. Inutile de trouver ces réponses, elles ne changeraient en rien la situation dans laquelle elle se trouvait. Il semblait si proche et elle en avait si peur qu’elle ne pouvait que le laisser s’approcher, qu’elle ne pouvait même pas reculer. Et lorsque cette voix, ces mots, parvinrent à ses oreilles…

    « Comment va maman ? »

    Les deux yeux si clairs de Fleya parurent soudainement s’effacer dans le blanc qui s’agrandit alors qu’elle écarquillait les paupières. La sensation se rappela à elle, plus forte qu’elle ne l’était la première fois. Cet homme violait son intimité, la torturant mentalement, volant ses souvenirs qu’elle gardait pourtant si profondément encrés en elle. Les déloger, c’était comme lui arracher un à un ses organes, comme les faire ensuite éclater sur le sol en petit morceau et laisser l’adolescente se débrouiller avec un corps en petits morceaux, en si piteuse état qu’elle n’arrivait plus à respirer correctement, que ses mains, ses bras, ses épaules… tremblaient comme les feuilles des arbres sous grand vent. Comment pouvait-il ? Quel être était assez cruel pour faire ressortir une douleur pareille ? Fleya avait tué sa mère, elle en était convaincue et avait toujours gardé ces peurs en elle… Les voir réveillées par un parfait inconnu était… douloureux. Fleya, de plus en plus mal, semblait à la fois pouvoir fondre en larmes sur le champ et, paradoxalement, sauter au cou du jeune homme pour l’étrangler avec force. Mais elle ne fit ni l’un ni l’autre…

    « Moi je veux bien les jambes et les bras, tu veux t'occuper de quoi toi ? »

    Difficile d’expliquer ce qu’il pouvait se passer dans la tête de Fleya en cet instant : solitude, peur, désespoir… Et plus la situation avançait dans ce sens, plus tout ce mélange devenait explosif dans l’esprit de la demoiselle qui ne savait plus quoi faire, comment réagir, que dire. Elle aurait fui ? Elle aurait frappé ? Elle aurait crié ? Plus aucune option ne se prononçait en elle. Elle était figée. Elle respirait par automatisme. Ses yeux lui faisaient mal à force d’oublier d’abaisser les paupières. Et son cœur essayait de se frayer un passage de force à travers ses côtes. Fleya était perdue, complètement choquée. Crier, pleurer… Non… Elle se contentait de fixer cet homme, continuant de chercher en elle le fil qui lui aurait permis de tirer sur les cloches qui auraient réveillé son esprit… Et si les pensées s’entrechoquaient sans trouver d’encoche, alors que le jeune homme approchait son visage d’ange de sa joue et de son oreille, elle eut l’étrange impression que si la mort avait dû choisir un visage, elle n’aurait pas pu trouver mieux…

    « Ca fait quel effet d'être punie pour quelque chose dont on est pas coupable ? Aller, montre moi ce que t'as dans le ventre, Fleya... Exprime toi. Tu dois avoir plus de colère en toi que tous les élèves de Poudlard réunis. »

    Colère ?... Non, il n’y avait que si peu de colère en elle… A moins que cette étrange gouffre noir imperturbable en elle qui tremblait, comme grognant, était sa colère qui n’attendait que d’exploser comme un gigantesque volcan ? … L’irlandaise ne se souvenait pas s’être mise en colère une seule fois dans sa vie. Pourtant son père lui avait dit que c’était arrivé… Mais elle n’avait aucun souvenir de ces moments là. Elle était plutôt du genre à tout intérioriser, à tout prendre sur elle, à s’enfermer dans sa chambre et à pleurer, à se faire des crises dans les toilettes, à fuir sa peur et sa colère au beau milieu de la forêt interdite. Mais ce soir, elle avait rencontré cet ange noir… S’était-il mis sur son chemin par pur plaisir sadique ou pour réveiller la colère qui grondait de plus en plus fort en elle ? Les deux… ? … Simple sadique, disait son sourire.

    « Je commence à en avoir marre de ce moment autant qu'elle commence à crier maintenant . . . »

    Un instant de répit, un pas en arrière. Voilà que le blond se détournait d’elle pendant quelques secondes. Etrange comment se comportaient ces deux-là. Ils n’étaient pourtant pas de la même maison ? Si elle se fiait à sa mémoire, elle aurait juré les avoir vus une ou deux fois, au détour d’un couloir. Mais mis à part se rappeler qu’ils étaient à Serpentard, elle n’avait jamais cherché plus loin et était toujours resté avec ceux qu’elle appréciait. Mais aujourd’hui, elle ne savait plus du tout où elle en était. Avant, elle pouvait. Elle grimpait les obstacles malgré les difficultés. Elle était gentille, adorable, toujours présente et aidait souvent les autres. Maintenant, elle fuyait. Elle n’avait plus qu’à la bouche des « Je ne peux pas ». Peur, malaise… Elle se sentait sale, souillée, comme si un immense incendie l’avait prise au piège et qu’elle était tellement noire de suie qu’elle ne pouvait plus respirer en publique et qu’elle avait besoin d’intimité pour se laver, encore et encore. Et cet homme qui la mettait à nu de seconde en seconde, c’était comme une plaie qui se rouvrait sous la couche de cendres fines. Ces dernières s’infiltraient dans son sang, pour aller se déverser au cœur du volcan de sa colère. Du feu, c’était ce qui grondait en elle, tapis sous la suie. C’était ce qu’il tentait, consciemment ou non de réveiller en prononçant les paroles suivantes qui lui étaient destinées…

    « Dit ça fait quoi de l’avoir fait avec son frère ? »

    Et son sang ne fit plus qu’un tour… C’est avec une vitesse fulgurante que son poing vola vers le si beau visage qui venait de murmurer d’aussi cruelles paroles. Le regard qui le fixait n’était plus écarquillé, il n’était plus brûlant de douleur d’oublier de cligner des paupières. Fleya avait les larmes aux yeux mais elle était loin de pleurer. Elle le fixait, le regard brillant d’une colère givrante, enivrante ? Et le feu du volcan brûlait désormais derrière le panneau glacé de son regard, dans une dualité étrange… La dualité… Lorsque deux choses totalement différentes cohabitent dans un même corps… Fleya aurait voulu s’approcher, là, tout de suite, et le mordre, l’étrangler, le frapper encore, lui faire mal, physiquement. Elle n’avait aucun moyen de se débattre mentalement mais elle pouvait encore faire mal avec ses poings. Elle ne pensait plus à rien d’autre. « Je ne peux pas », voulait dire quoi ? Elle ne savait plus qui elle fuyait à Poudlard. Elle avait même oublié les deux baguettes pointées sur son pauvre corps. Le corps de Fleya était frêle, si fragile en apparence… Mais il avait déjà reçu tellement de coups de poings, de pieds, tellement d’injures… Qu’il était à la fois prêt à en recevoir d’autres… et à tomber en morceau d’un moment à l’autre.

    « Ca te plait ? Bah continue ! A moins que tu veuilles te repasser le film encore une fois ? »

    Lorsqu’elle avait été violée par son frère, elle avait eu tout le loisir d’observer ce visage familier la fixer avec … envie, désir, cruauté et pur sadisme. Il ne l’avait pas violée par simple plaisir de lui faire mal, bien qu’elle doutait qu’il ait réellement eu envie d’elle. Mais si au départ, elle avait réussi à ne pas crier, elle avait rapidement capitulé à sa promesse de ne jamais leur montrer la douleur qu’ils lui infligeaient. Elle avait hurlé, pleuré, elle s’était débattue autant qu’elle le pouvait. Elle avait même cru un moment pouvoir lui échapper, mais il l’avait rattrapée et elle avait passé un très mauvais quart d’heure. Parfois, elle avait encore mal. Mais quelle réponse il voulait, lui ? Elle n’allait rien lui dire à ce propos, il avait toute la possibilité sur son esprit, qu’il ne se gêne pas. Mais elle n’allait plus se gêner pour frapper, et parler. Qu’il la viole à nouveau, s’il en avait envie. Elle ne se tuerait pas cette fois, et le lui ferait payer, dès qu’elle le pourrait, et lorsqu’elle saurait comment. Elle voulait lacérer ce si beau visage, pour que la candeur de l’ange ne trompe plus personne.

    « Je t’emmerde ! Dégage de ma tête ! »

    On dit que souvent, c’est le feu le plus ardent qui dort sous les cendres.

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Maximilien E. Middle
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MessageSujet: Re: Quand on sort il faut s'attendre à être surpri Quand on sort il faut s'attendre à être surpri Icon_minitimeDim 7 Sep 2008 - 18:08

Encore désolé du retard, mais voilà enfin Maximimi Razz

    Il y avait des soirs ou le combat que l’on menait contre le sommeil était loin d’être gagné, il y avait des soirs où l’on savait d’avance à quelle sorte de nuit on allait avoir à faire et il y avait des soirs où l’on avait envie de tout faire pour échapper à cette nuit qui nous pomperait un peu plus d’énergie au lieux de nous en donner, il y avait des nuits où l’on savait que le sommeil n’allait jamais venir malgré les nombreux appels qu’on lui lançait, malgré l’envie qu’on avait de le voir enfin se poser gracieusement sur nous, il y avait malheureusement des nuits où l’on savait d’avance que l’on ne fermerait pas les yeux parce qu’on avait trop d’énergie dans le corps ou simplement trop de penser et de souvenirs enfermé dans la tête. Incapable de les faire sortir où d’arrêter d’y penser, on se retrouver à se retourner dans le lit encore et encore essayant vainement de ne pas se souvenir des images, des voix, essayant vainement d’oublier ce à quoi nous sommes en train de penser mais malheureusement on savait aussi que ces nuits là tout effort ne servirait à rien : le sommeil ne viendrait pas un point c’était tout. Ces nuits étaient des pires qu’il puisse exister, elles étaient lourdes, pleines de doutes, de colère, de peur, de haine et de questions aux quelles on ne trouverait pas de réponse. Elles étaient longues voir interminables et c’était de ces nuits dont on se serait bien passés.
    Malheureusement pour Maximilien, il pressentait que ce soir, la nuit serait ainsi, déjà lorsqu’il était monté se coucher, il l’avait senti venir de bien loin. Ce soir, ils ne s’étaient pas senti bien, comme nostalgique du vieux temps, comme si il se rendait compte au fur et à mesure que les minutes passaient du manque qu’il avait eut étant enfant. Et plus les aiguilles de l’horloge tournaient plus ce sentiment se faisait lourd et présent et moins il arrivait à lutter, ainsi donc lorsqu’il était monté se coucher en compagnie de Travis et Léo, comme à chaque fois, il avait bien senti, qu’il allait avoir du mal à dormir voir même pas savoir dormir du tout. Et il avait raison. Il s’était donc glisser sous la couette, avec l’étrange envie de se relever immédiatement. Et à peine avait il posé sa tête sur l’oreiller qu’il s’était mis à se souvenir de toutes ces nuits blanches qu’il avait passé enfant…L’enfer le prenait et maintenant, il se trouvait toujours dans la même position qu’il y a deux heures, à savoir allongé sur le dos, à regarder fixement le plafond sachant pertinemment qu’il ne verrait rien dans l’obscurité de la pièce mais cela n’avait pas d’importance, il ne voulait pas regarder ce plafond comme il ne voulait pas se souvenir du plafond qui avait hanter ses nuits de son enfance. Il se revoyait parfaitement petit, tremblotant au fond de ses couvertures, mort de peur à l’idée qu’un monstre se cacherait en dessous de son lit et appelant, appelant, appelant sa mère, sachant déjà qu’elle ne viendrait pas !

    Stop ! Il ne voulait pas penser encore à ces horribles moments, il ne voulait même plus les imaginer et cette nuit ne faisait que ça, les lui rappeler, les lui faire revoir, non pas question qu’il se laisse faire. Les yeux, toujours grands ouvert, il avait pris sa décision : il allait sortir dehors, un bol d’air le calmerait sûrement. Si il se faisait prendre, il prétexterait une ronde et au pire et bien il serait sorti pour rien, au mieux il allait rentrer et pouvoir dormir enfin tranquillement, il se voyait déjà revenir les cheveux en batail, le corps froid à cause du vent, se coucher dans ce même lit, poser la tête sur l’oreiller et fermer enfin ses yeux : oui le plan était parfait. Il se redressa alors, heureux d’avoir peut-être trouvé une idée. Il tâta sa table de nuit et attrapa sa baguette avant de se lever enfin…Il passa ses mains par terre, ne voyant absolument rien et reconnaissant un tissu, il l’attrapa et enfila alors son pantalon au dessus de son boxer. Il répéta le manège pour son t-shert et fini par mettre ses chaussures, nouant calmement ses lassais. Soulagé d’avoir réussi à s’apprêter sans réveiller ses camarades, il saisit vite son pull avant de sortir et plaçant délicatement sa baguette dans la poche de son jeans, il sortit alors sur la pointe des pieds, essayant d’éviter les passages grinçants mais ce fut très difficile…Mais il y arriva et sortit alors enfin de son dortoir.

    La salle commune était déjà plus fraîche sans doute du au fait que des élèves avaient intelligemment laissé les fenêtre ouvertes, mais Maximilien ne prit pas la peine de les fermer, il se contenta de sortir dans le couloir, une petite brise vint caresser les courte manche de son t-shert et lui mettre la chaire de poule sur les bras mais il décida de ne pas mettre son pull immédiatement sinon il allait avoir froid dehors, il le metterrait juste avant de sortir, ce qui allait encore prendre un bout de temps. Personne dans ce château de s’en doutait mais passer de la tour des serdaigle, tout en haut, jusqu’au parc tout en bas était une longue aventure qui demandait une connaissance parfaite des couloirs surtout en pleine nuit dans cette fascinante obscurité, il fallait reconnaître les endroit, les murs, savoir où se trouvaient les pièges dans les escaliers et heureusement pour lui qu’il connaissait tout cela sur le bout des doigts, le château était semblable à sa poche pour lui ainsi donc il le parcourait sans trop de problème. Les couloirs étaient désert, pas un chat, pas une mouche, rien : juste Maximilien et le silence. Quelle douce chaleur de pouvoir être hors de son lit, sans craindre d’être puni, quelle douce chaleur de pouvoir être hors de sa couette, loin de ses souvenirs et de ses plus anciennes craintes…Le bleu et bronze courait presque dans les couloirs, tellement il se sentait bien tout d’un coup et tellement il avait cette envie oppressante d’aller prendre l’air. Oh oui, il voulait être dehors, se sentir libre mais il y était presque plus que quelques pas et il serait à la grande porte. Il enfila son pull et ouvrit alors la porte dans un grincement avant de se glisser à l’extérieur !

    Immédiatement un courant d’air froid s’engouffra dans la masse volumineuse de ses cheveux, les faisait s’envoler gracieusement. Cela lui fit un bien fou mais à peine eut il fait quelques pas qu’il sentit quelque chose de bizarre planer dans l’air comme un climat mal sain. Non ce n’était pas la météo le problème, c’était vraiment comme si tout d’un coup quelque chose de mauvais, de méchant, de cruel était passé par ici et y avait laissé sa marque à tout jamais. C’était palpable et presque effrayant et Maximilien contemplait les alentours ne comprenant pas comment cet air si rafraîchissant était devenu tout d’un coup irrespirable comme si le mal en personne était passé par ici pour signer Poudlard de son nom. Cela semblait venir de partout et aller partout et tirer par une force dont il ne connaissait pas l’origine ni l’identité, Maximilien sen sentait l’envie d’aller dans la forêt interdite comme si quelque chose de particulièrement fascinant se passait là bas ou comme si quelqu’un de particulièrement maléfique et puissant s’y trouvait ! Maximilien avançait donc tel un automate vers ce lieu qui était tant défendu, il ne savait ni comment, ni pourquoi. Ses pensées étaient figé, il se contrôlait lui-même mais quelque chose là bas dégageait tellement de force et de magie que l’envie d’aller voir ce qui se tramait était plus forte que tout, il en oubliait même la raison pour laquelle il était allé dehors, se contentant de marcher vers « l’endroit ou tout se passait ! »
    Il pénétra enfin à l’intérieur de la forêt, zigzaguant entre les arbres, comme si il connaissait le chemin par cœur, comme si tout lui était indiqué par cette force magique et mal saine en même temps qui se trouvait là. Il avançait, avançait, avançant, s’enfonçant un peu plus dans l’incroyable obscurité de la forêt. La main dans sa poche droite, serrait fortement sa baguette magique et tandis qu’il avançait vers un petit lieu ou les arbres semblait moins présents, il distingua de loin trois silhouettes et il entendit des voix…Reprenant le contrôle de lui-même, ne répondant plus à cette trace magique, il se cacha derrière un buisson pour écouter ce qui se passait et surtout savoir qui était là. Il reconnu la voix sèche et sadique de Seth Istary, le jeune homme qui lui avait sauvé la vie lors de sa première, c’était une voix qu’il ne connaissait pas à son ami, ce ton sadique, cruel et presque effrayant. Il reconnu ensuite la douce voix de Fleya, son amie de bibliothèque qu’il avait rencontré il y’a un an de cela et qu’il connaissait très bien, ou du moins qu’il croyait connaître. Il ne reconnu pas la dernière voix mais en tendant son coup il reconnu la silhouette : Baël Owned et c’était celui-ci qui parlait. Maximilien tendit alors un peu plus son oreille pour entendre ce qu’il disait :


    BAEL_ « Dit ça fait quoi de l’avoir fait avec son frère ? »

    Maximilien n’était pas sûr d’avoir bien entendu parce que si c’était vraiment ça et qu’il avait bien compris, c’était horrible ! Qu’est ce que ce serpentard avait encore inventé comme chose horrible, c’était vraiment à se poser la question ! Faire l’amour avec son frère, son frangin, son sang, et puis pourquoi cet air sadique ? Et puis à qui s’adressait il ? Il n’y avait pas plus hétéro que Seth Istary, tout le monde savait bien, alors il ne pouvait parler qu’à Fleya, mais cela Maximilien ne voulait pas croire. Son amie lui aurait elle caché une telle chose : avait elle vraiment couché avec son frère, était elle consentante ? Toute ces questions germaient à présent dans l’esprit de Maximilien qui ne pouvait pas croire que celle qu’il considérait presque comme sa petite sœur lui ait caché une telle chose : cela expliquerait peut-être ce regard qu’elle avait eut sur lui lorsqu’il s’était assis à côté d’elle : cet air apeuré, effrayé comme si il avait l’intention de lui faire de mal mais non…Ce n’était pas possible et pourtant…La réponse de Fleya ne laissait pas de doute mais ce fut lorsqu’il l’entendit dire « Sors de ma tête » que Maximimi se décida à réagir. Baël pratiquait donc la legimencie, c’était presque impensable, non incroyable, impossible même mais alors comment cela se faisait pour tout ça ? Il ne comprenait plus rien, il décida alors qu’il était temps de se montrer. Serrant fort sa baguette magique, il se leva et dit d’une voix amicale mais froide :

    MAXIMILIEN_ « Bonsoir Seth, Bonsoir Fleya »

    Il avait salué ses amis en premier, c’était tout à faire normal mais apparemment il dérangeait en pleine conversation et Seth n’avait l’air qu’à moitié content de le voir ici, était il vraiment dérangeant en ce moment même ? Mais qu’est ce qui se passait ici ? Maximilien avança un peu plus vers eux et c’est là qu’il se rendit compte que la force magique venait d’ici, de ce lieu précis et donc forcément de l’un d’entre eux. Il se tourna vers Baël et comprit alors la force Mal saine, cette puissance incontrôlable venait de lui, s’en était terrifiant mais Max ne montra rien de ce qui ressentait, il se contenta de s’incliner légèrement avant de dire d’une voix carrément glaciale et lointaine :

    MAXIMILIEN_ « Baël »

    C’était en guise de bonsoir, bien entendu !

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MessageSujet: Re: Quand on sort il faut s'attendre à être surpri Quand on sort il faut s'attendre à être surpri Icon_minitimeDim 7 Sep 2008 - 20:52

    Ces momments là on les ressent toujours à l'avance, cette nuit qui avait si bien commencé, elle présageait rien de bon pour les personnes qui allaient rencontrer le vert et argent d'humeur sadique. Il aimait faire peur aux gens, il aimait ce sentiment, celui qui grandissait petit à petit en lui. ho que oui il aimait être dans cette etat, le serpentard ne se sentait jamais aussi bien que dans celui-là. Sa voix lui rapellait qu'il était un méchant, sa voix généralement si douce et si envoutante, se transformer en une voix froide. Jamais il n'avait été dans cette situation, il n'avait jamais rencontré quelqu'un par hasard dans cette immense forêt. Et pour rencontrer quelqu'un dans cette forêt il fallait vraiment être mal chanceux ... Seth était venu qu'avec son meilleure ami dans cette forêt qui était interdite, et ce fut en première année, l'année ou il voulait tout savoir de ce château. La curieusité était un vilain défaut et le serpentard ne l'avait jamais vu comme sa. Découvrir de nouvelles choses était une chose qu'il aimait faire surtout quand elle n'avait été découverte par personne d'autre.

    Il regarda son meilleure ami qui venait de lui lancer un regard qu'il n'avait jamais encore vu provenant de son meilleure ami. Il fronça les sourcils. Il s'approcha de la jaune et noir pour lui parler et seth ne pouvait pas les entendre. Encore quelque chose qui le pertuba, jamais son ami n'avait été comme sa avec lui. Il avait maintenant posé sa main sur la lame faite par les goblins, seth ne dit rien le regardant dans les yeux. Son visage n'exprimait plus aucun sentiment à ce moment présent, il était trop occupé à trouver ce qui allait pas.

    Tais toi.

    Seth ne réagit pas, il ne fit pas un seul mouvement, son visage resta inéxpréssif. Maintenant il repartait la voir elle, et il ne pouvait toujours rien entendre, le vert et argent resta planter comme sa au milieu de cette endroit ou les arbres les encerclaient. Le serpentard n'en revenait pas et la poufsouffle aussi, elle avait l'air térifié de ce qu'elle entendait, le vert et argent ne bougeait toujours pas et il continua comme si de rien était pour voir ...

    Dans l’expression Tais-toi, quel mot est trop compliqué pour toi ?

    Seth était comme pétrifié de ce qu'il venait d'entendre, jamais il ne lui avait parlé comme sa. Seth baissa les yeux, il le regarda partir vers elle encore une fois ... Seth avait un sentiment bizarre qui naissait en lui, c'était comme de l'inquiètude mélanger avec de la peur. Oui il avait peur de ce que devenait son meilleure ami. Alors il fut comme frappé, il venait de se souvenir de ce que la petite soeur de baël lui avait dit il y avait quelques jours. Il avait changé, il était devenu plus méchant, plus froid, il se réveillait pendant la nuit et sortait du dortoir sans explication. Seth serra sa baguette magique un peu plus fort et il entendit un hurlement, c'était elle qui avait parlé.

    « Je t’emmerde ! Dégage de ma tête ! »

    Seth fit un pas en arrière, comment il pouvait-être capable de faire sa ? seth L'ignorait et si il aurait vraiment été capable de le faire, il lui aurait dit. Seth respirait profondement, tentant de reprendre son calme et de le garder mais quelqu'un apparut, Maximilien ... Il lui avait sauvé la vie ... Seth le regarda un instant, il avait trop été occuper avec baël pour voir quoi que se soit, il ne lui répondit rien. TOut allait changer maintenant, baël et Max' étaient des énnemis juré et pour une raison encore ignorée par le jeune istari. Son coeur battait de plus en plus vite, deux amis à lui, et lui au milieu de tout sa avec une fille qui était étrange.

    C'était comme dans les livres, une belle lune, une pluie fine ... Le vert et argent regarda son épée sachant qu'il allait devoir l'utiliser rapidement. Sa baguette magique pointé vers le sol, il regarda son meilleure qui avait prit un coup de poing, il ne dit rien et s'avança vers son camarade. Il était mouillé, il ne pensait à rien d'autre qu'a lui. repensant aux paroles de sa petite soeur qui avait pleuré dans ses bras et de cette soiré qui avait si bien commencer. Seth mit son épaule contre celle du vert et argent et il lui murmura.

    Elle a raison, ta soeur baël, ta propre soeur a peur de toi et tu sais ce qu'elle veut ? Te tuer ...

    Seth avait parlé d'une voix douce, sa voix était même encore plus douce que d'habitude, le serpentard voulait le faire réagir enfin, le faire sortir de ce cauchemar. Pour seth il y avait qu'une seule possibilitée, son meilleure ami était sous l'imperium. Le serpentard ne regarda pas son meilleure ami, il se retourna et se mit en face de maximilien sans même regarder la fille qui était présente depuis le début, la victime du changement de bael. Il s'avança et regarda maximilien droit dans les yeux et il lui murmura.

    Tu te rapelles du lac ? Je ne veux pas recommencer ...

    Il ne voulait pas que maximilien réponde aux actes que son meilleure ami allait faire, il était sûr que cela n'allait pas tarder ...

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MessageSujet: Re: Quand on sort il faut s'attendre à être surpri Quand on sort il faut s'attendre à être surpri Icon_minitimeSam 20 Sep 2008 - 20:23

    Hurlement sinistre en guise de fond sonore. Lord Voldemort répendait autour de lui un climat sinistre, mélange hasardeux de desespoir et de haine qui se propageait dans l'air comme le souffle du vent. L'aura terrifiante agitait les branches, faisant tomber des feuilles déjà morte d'effroi. La nature elle même semblait sucidaire, comme desireuse de ne surtout pas affronter le mage noir et les terribles présages qu'il réanimait. D'une démarche féline, il tournait autour de ses prois sans les voir, perdu dans des souvenirs d'antans, entre gloire passée et rêves envolés. La promesse incertaine d'une nouvelle guerre ne sufisait pas à amoindrir cette haine, sentiment emplifié par cette soirée mausade. Comme un murmure, le vent lui soufflait le mot vengeance. Hummm ... Délicieuse idée qui germe dans un esprit sadique. Parfaite alliée et meilleure façon de prendre sa revanche, la vengeance sonnait comme la fin de cette période noire. Ressassant ses pensées, Lord Voldemort se demandait encore, encore et toujours pourquoi. Pourquoi lui, si près de toucher au but qu'il en avait éffleuré les ailes de la victoire, avait perdu dans la dernière ligne droite. Comment aussi. Comment un gamin avait réussi à lui arracher ce doux rêve d'une monde idéalisé, où les sorciers vivraient au grand jour. C'était donc trôp demander ? Inutil de préciser que le Lord ne désirait qu'une seule chose, reprendre le travail entrepris. Si seulement il avait pu. Mais non, tout était a refaire, un honneur, des partisans, une confiance, la connaissance du monde ... Ca du temps, il allait lui en falloir. D'infinnies précautions aussi, plus qu'avant. Avant. Comme il aurait aimé y être ! Supprimer les imbéciles qui avaient fait de son oeuvre un champ de ruines. Désastre total. L'envie dérésonnable de passer sa colère sur le groupe goss lui faisant face l'éffleurait, et il fut prit d'un mal douloureux dont le seul remède aurait été une série de combats tous plus dangeureux les uns que les autres. Pour eux, celà va de soi. Comme si une bande de gamin pouvait rivaliser devant tant de pouvoir. S'en était presque à se tordre de rire. Poussant un long soupire censé exprimer une grande déprime, Tom releva la tête et promena son regard de glace sur le petit commité d'élève. Qu'ils avaient l'air jeunes, trop innocents, bourrés de fierté mais sans rien dans le ventre. Décidémment la socièté était mieux d'antan, même si à cette époque là il y avait toujours beaucoup de réformes à faire. Et dire que maintenant serait un peu plus compliqué serait un euphémiste, oui. Ca allait surtout être un vrai parcourt du combattant ! Dûr, le principe de la réalité. De plus, ce n'est pas la mince - mais néanmoins puissante - armée qu'il avait récucitée qui allait sufire.



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MessageSujet: Re: Quand on sort il faut s'attendre à être surpri Quand on sort il faut s'attendre à être surpri Icon_minitime

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