Prio à Mon Chéri

&

||Baël||Laura qu’Est-ce que tu regardes?
||Laura|| C’est qui?

Elle pointa du menton un jeune garçon dans la salle commune, plus âgé qu’elle sans conteste mais pas plus âgés que Baël. Ça faisait un petit moment qu’elle observait. celui-ci avait un visage fermé, pourtant, Laura aimait bien regarder le visage du petit garçon, qui était en train de passer du stade de petit garçon frêle et fragile à celui de l’adolescence. Elle l’avait remarquer plusieurs le jeune garçon dans la salle commune. Un élève duquel Baël, son grand frère protecteur lui avait demandé de ne surtout pas approcher, sans jamais en dire plus, sans jamais donner de nom, ou encore de raison. Chose que Laura ne parvenait pas à saisir, habituellement son frère lui expliquait chacune de ses décisions sans jamais rien omettre… Laura avait noté la beauté du regard, pourtant il montrait clairement la méchanceté gratuite dont savait faire peur le garçon. Mais Laura avait vu autre chose au fond, elle était sure qu’il pouvait avoir des sentiment humains, qu’il n’était pas le monstre qu’il laissait penser.
C’était autre chose qu’elle avait remarqué, les autres avaient peur de lui, tout le temps, pas un seul élèves de la salle ne lu tenaient tête, oh bien sur les plus âgés s’amusaient de voir ce petit bout d’homme faire la lois, mais ils ne disaient pas grand-chose. Personellement elle ne lui avait jamais adresser la parole, elle ne pouvait donc pas dire qu’elle en avait peur. Certains étaient terrorisé par lui alors qu’il ne leur avait rien fait. Elle ne comprenait pas le concept comment avoir peur de quelque chose que l’on connaît pas? C’est comme dire qu’on a peur des serpents sans jamais en avoir vu. On peut dire que cela nous répugne, que ce n’est pas beau à regarder selon nous, mais que l’on en a peur… Pas du tout le genre de Laura.

Baël leva le regard vers le garçon, sa tête se tournant automatiquement vers sa sœur, un air affligé sur le visage, elle savait déjà ce qu’il pensait. Pourquoi Est-ce qu’elle ne faisait jamais ce qu’il lui disait. Le seul moyen pour que la petite princesse s’interesse au serpent, c’était justement de lui interdire tout contact avec lui. La curiosité a toujours été le plus grand défaut de Laura, dite lui simplement de ne pas aller voir là, elle ira, même si ça la met dans une bouse pas possible. Toujours par curiosité, parfois par esprit de contradiction.
Aussi, vu le visage de son frère, Laura lui adressa son plus beau sourire, celui qu’elle lu réservait tout spécialement lorsqu’elle avait quelque chose à demander, et qu’elle savait eprtinement qu’il refuserait de répondre. Mais Baël ne résistait jamais très longtemps au joli minois enfantin de sa petite sœur. Cédant à chaque caprice de l’enfant, pour son plus grand bonheur.

||Baël|| Hugo, de mon année, t’en approche pas, il aime faire du mal sans raison apparente…||Laura|| J’en connais un autre comme ça, mais je ne te donnerais pas de nom, je sais très bien que tu te facherai.
||Baël|| Je n’aime pas faire le mal, je le fais lorsque c’est la dernière solution qui me reste Laura!
||Laura|| Je ne suis pas sure que Jules t’approuverai!…Tu sais Baël, mon meilleur ami, celui que tu terrorise sans raison apparente…Je eux également citer ce pauvre garçon de Poufousffle que tu a pendus dans les airs pendant 10 minutes également sans aucune raison apparente…Crois moi tu dois bien les terroriser autant que lui, je suis bien contente d’être ta sœur.

Un mouvement dans le coin de son oeil attira son regard. Le serpent quittait la salle, elle eut un demi sourire lorsqu’elle vit que tous se poussait sur son chemin, comme si il avait une grave maladie transmissible par le regard…Comme si il ne pouvait y avoir que du méchant en lui. Apparement il avait cour, puisque son frère avant même qu’elle ai le temps de réagir bondit à sa suite. Baël devait avoir une nouvelle fois oublié l’heure, résultat, heureusement que ce Hugo était dans la salle pour lui rappeler qu’il fallait qu’il aille en cour. Mais Baël revint très vite, déposa un baiser sur le front de sa sœur et attrapa son sac. La verte et argent leva les yeux au ciel, elle détestait et adorait ce trait là de la personnalité à son frère, tête en l’air. A croire que c’était héréditaire puisqu’elle aussi avait ce trait de caractère.
L’autre trait de caractère que détestait Laura, c’était la protection dont il savait faire preuve envers elle, protection qu’elle ne pouvait s’empeher de retranscrire dans ses relations avec Jules. Lorsque Baël faisait du mal à un pauvre garçon alors qu’elle n‘avait rien regarder, le pauvre Jules pouvait être sûre que toutes les filles l’ayant dans leur champ de vue allaient gicler. De gré ou de force Laura agissait comme le faisait son frère, sans même ‘en rendre compte. Etouffante, autant qu’elle était étouffée, parfois elle admirait son meilleur ami de la supporter de la sorte.

Elle se décida finalement à sortir, elle ne tenait pas vraiment à rester à l’intérieur par ce temps qu’elle trouvait particulièrement agréable, à cette époque là de sa vie, Laura adorait encore le soleil, parce qu’elle ne s’était pas fâché avec ses parents, parce que son frère était toujours à ses cotés, parce qu’elle n’avait pas un ennemi mortel à tuer…Bref, elle conservait l’innoncence de son enfance, et si on lui avait dit que ce jour là elle allait connaître la haine, jamais elle ne vous aurez crus. Bref, elle sortit dans les couloirs. A ce moment là, je peux vous dire qu’elle avait complètement zapper le Hugo. Enfin elle l’avait zapper jusqu’au moment ou elle lui rentra très violement dedans.
En fait, lorsqu’elle marche Laura a la tête dans les nuages, aussi alors qu’elle tournait à un angle à une allure assez rapide il faut le dire, elle n’avait pas vérifier que le cham pétait libre. Elle se sentit tomber en arrière, et son premier réflexe fut de se raccrocher à tout ce qui passait à portée de main. C’est donc en fatras épouvantable qu’elle s’accrocha au bras d’une armure qui tomba au sol, se désartibulant, et qu’elle se raccrocha en même temps à…la cravate du pauvre garçon qui n’eut d’autre choix que de la suivre jusqu’au sol. Elle avait beau être jeune, elle n’en demeurait pas moins lourde.
Ils se retrouvèrent donc sur le sol de pierre frais du château, avec en plus une armadas de bout de fer appartenant à une armure sur eux.

||Laura|| oh! Je suis sincèrement désolé, j’espère que tu n’as rien…

La deuxième année. Hugo était installé dans un coin de la salle commune, observant les autres élèves. Il était dans un de ses moments de réflexion, ou il contemplait le travail qu’il avait accomplit ici, et ou il se félicitait d’y être si bien parvenu. Bien sur, il n’est nullement question ici de travail scolaire. Certes il bossait normalement, mais ça n’avait pas été sa priorité. En réalité, il ne faisait que le strict nécessaire pour être à la hauteur, même si parfois il aurait pu se montrer bien meilleur, il ne voyait pas l’intérêt de passer son temps à étudier quand d’autre choses pouvaient le divertir, et des choses, il y en avait des tas. Non ce qu’il observait, c’est le pouvoir qu’il avait réussit à imposer aux autres. Dès le départ, il s’était montré supérieur, avait attaqué avant de se laisser prendre, c’est ainsi qu’il avait gagné le respect des autres. Il avait commencé avec Thomas dès les premiers jours, et cela avait démontré à beaucoup qu’il valait mieux ne pas l’emmerder. A choisir il était préférable d’être de son côté, mais cela ne garantissait en rien la sécurité. Entre les reproches des autres, et Hugo lui-même qui ne considérait pas vraiment les gens de son entourage comme des amis, en règle générale, ils préféraient l’éviter pour ne pas avoir d’ennui. Il s’était fait sa réputation. Un garçon violent, irritable, voir infréquentables pour certains. Même les personnes les plus proches de lui vous aurez demandé de l’éviter pour votre propre sécurité.

Regard à gauche, tiens celui là était un de ceux qui baissait le regard quand il le croisait. A droite, un autre qui avait voulut lui tenir tête et s’était retrouvé à l’infirmerie. En fait, la moitié des élèves présents avaient eu des ennuis avec lui, de la simple embrouille à beaucoup plus. La moitié seulement, car les autres étaient les plus âgés. Hugo aimait à croire qu’eux aussi le craignaient, mais en réalité, il les amusait. Non, ils ne se moquaient pas de lui, tout simplement, ceux qui lui ressemblaient aimé le voir faire subir le martyre aux autres, le voir prendre leur chemin. Ils s’amusaient de son évolution plus rapide que la normale, et le laissait agir sans jamais intervenir, ils étaient aussi friands des dernières nouvelles quand il s’en prenait à quelqu’un, certain venant parfois lui montrer leur respect. Quand à ceux qui voulaient se mettre en travers de son chemin pour le remettre à sa place, c’était les plus âgés qui agissaient et il n’avait jamais de problèmes avec ça. Bien évidemment, il y avait des filles aussi, mais ce n’était pour l’instant pas son sujet prioritaire, il était encore jeune, mais savait reconnaitre la beauté de certaine, sans arrière pensée, et n’avait aucun mal à les traiter comme il le faisait avec certain garçon, la violence de côté, l’arrogance bien présente. Même elles n’osaient pas lui tenir tête. Dans le fond, il n’était pas foncièrement méchant, c’était une chose que seule Aly savait, c’était d’ailleurs la seule à être proche de lui, car elle l’avait connu avant. Il tentait juste d’asseoir son autorité, et cela par n’importe quel moyen. Tu t’écrase face à moi, si tu te rebiffe, attention à toi, si tu me tiens tête, fais gaffe à toi, elle risque de tomber un jour.
Il avait ce petit sourire sur le visage, heureux de contempler tout cela, et c’est Devan qui vint le sortir de ses pensées.

- Tu va être en retard.
- J’arrive.
- Au fait y a une fille qui arrête pas de te regarder.
- C’est qui ?
- La sœur de Baël.

Sans un mot de plus celui-ci sortit de la salle commune. Hugo cherchât une seconde Baël des yeux avant de les poser sur sa sœur qui se tenait à ses côtés. Celle-ci semblait en grande conversation avec son frère, et Hugo ne s’attardât pas sur son visage. Elle était mignonne, mais elle était comme les autres pour lui. Insignifiante. Sans attendre plus longtemps, il quittât à son tour la salle commune. Le chemin jusqu’à son prochain cours n’était pas loin, juste de quoi arriver légèrement en retard, ce qui était une habitude chez lui. Il n’avait pas parcourut dix mètre qu’il dut faire demi tour. Certes ce n’était pas l’élève le plus assidu de l’école, mais il en avait oublié son devoir qu’il avait laissé posé sur sa table de nuit. Et une nouvelle mauvaise note lui vaudrait une retenue. Il arrivait assez rapidement dans le couloir, fouillant son sac pour être sur de ne pas le trouver au fond, lorsqu’il fut percuté violemment. Encore un qui allait passer un sale quart d’heure. Tout aurait pu être simple, juste deux personnes qui se rentrent dedans, une qui gueule plus que l’autre, mais non. La personne qui venait de lui rentrer dedans venait de s’accrocher à l’armure qui se tenait sur le côté pour ne pas tomber, ce qui ratât évidemment, et ne trouvât pas mieux que d’attraper sa cravate, l’entrainant dans sa chute. Cela provoquât un raffut incroyable, et Hugo reçut le heaume de l’armure en plein visage. Il n’était pas encore debout qu’il commençait à raler.

- Non mais c’est pas vrai !! Tu pouvais pas…

Son regard venait de se poser sur la fameuse personne. C’était elle, la fille qui l’observait tout à l’heure. La sœur de Baël. En voilà une qui n’avait encore jamais vu Hugo tel qu’il était, mais elle n’allait pas mettre longtemps à comprendre qu’ici, c’était lui qui décidait, et qu’il valait mieux qu’elle évite ce genre de chose à l’avenir. Il repoussât péniblement une partie de l’armure qui lui entravait les jambes avant de se relever en massant sa gorge douloureuse et de continuer.

- Fais chier… La prochaine fois regarde ou tu va, ou je serais pas aussi gentil.

La plupart des garçons se seraient excusé eux même, car elle n’était pas la seule fautive, lui aurait demandé si elle allait bien, l’auraient aidé à se relever… Pas Hugo. Ma belle si tu croyais au pays des merveilles, détrompe toi, car en suivant le lapin blanc, tu va découvrir la cruauté de certains, et un monde beaucoup plus dur ou tout n’est pas rose.

Les rencontres que l’on fait généralement avec les sols dur de Poudlard, ne sont en général pas très agréables. Enfin, bien sur ça dépend des circonstances cela va de soi, un couple qui se retrouve sur ce sol ne dira non pour rien au monde, en revanche lorsque l‘on si retrouve de force ça n‘est jamais quelque chose de très plaisant. Mais si en plus, une armure datant de la première chemise de son arrière grand-mère nous tombe sur le coin du nez, la personne peut très vite s’irriter. Ajoutons à a cela, le fait d’être tombé à cause d’une première année qui s’était accroché à votre cravate, et là c’est le drame. Une chose était sure: que le garçon qui en était quitte pour quelques articulations douloureuse le lendemain. Autant dire qu’il n’avait pas encore posé son regard sur elle, que Laura venait de se faire aussi petite qu’une souris, et si elle avait put traverser le sol elle l‘aurait fait de bonne grâce. Si dans les années suivante elle était persuadée qu’elle allait prendre autant d’assurance que son frère, à ce moment là alors que le regard méchant et froid du jeune garçon se posait sur elle, Laura avait envie de tout sauf de ramener son bec d’hippogriffe. Ce qui en soit était un exploit dont pouvait se vanter Hugo, Laura qui ne cri pas la première pour ce genre de chose c’est ….ahurissant, ce qu expliquait très certainement le visage surpris qu’elle abhorrais. Il venait tout simplement de lui piquer son domaine de maîtrise parfaite, elle était une râleuse né…Elle avait besoin de ça.

||Hugo||Non mais c’est pas vrai !! Tu pouvais pas…

*Faire attention? Vas y dis le que je te dise clairement ce que je pense, allez fais moi ce petit plaisir*…Laura le regarda, planta ses prunelles chocolat dans celle du jeune homme. Même malgré son jeune age, à seulement 11 ans, Laura avait découvert que baisser les yeux face à quelque un c’était revenir à prouver sa faiblesse, ce qu’elle ne voulait certainement pas. Baël lui avait enseigner cette règle dès son premier jour à Poudlard, le soir même il avait envoyé une lettre à sa petite sœur lui expliquant tout ce qu’il ne fallait surtout pas faire, elle avait appris les règles, en même temps qu’elle avait lus les aventures de son demi dieux dans des lettres. Elle avait eut envie dès le premier soir, de partir vers lui, de prendre ses affaires et de s’installer à Pré Au Lard, au plus près de son frère. Malheureusement alors qu’elle lui avait dit tout ses plans le grand frère prodigue lui avait intimer l’ordre de rester ou elle était. A la maison, là ou la situation se dégradait touts les jours, un sourire de petite fille qui cachait le manque d’amour que lui offrait ses parents.
Elle ne s’en plaignait pas forcément, elle n’était pas la plus triste, il y avait des personnes qui ne se relevait jamais des relations qu’ils pouvaient entretenir avec leurs parents, Laura elle pouvait encore parler. Et cette année encore, elle était capable d’avoir tout ce qu’elle voulait de leur part, en même temps comment on pouvait résister à son petit visage d’ange? Non, ce n’était pas possible, elle était d’un perfection inégalable dans la manière de manipuler papa et maman. Sur que dans quelques années elle serait la meilleure du château, si ce n’est pas d’Angleterre. Tout était pour elle, la façon qu’elle avait de manier les mots, son regards larmoyant dès qu’on lui refusait quelque choses, sa manière de se tenir…Non vraiment, c’était naturel chez elle.

||Hugo||Fais chier… La prochaine fois regarde ou tu va, ou je serais pas aussi gentil.

*Tu veux me faire mourir de rire c’est ça…Ferma la Laura…Écoute ton frère pour une fois, ne fais pas la grosse tête ce serait une très grave erreur!*Deuxième conseil de Baël lorsqu’il n’était pas dans les parages , règles très simple que chaque imbéciles heureux du village était capable de retenir: interdiction de répondre à toute attaque, ou encore de sortir sa baguette tant qu’elle ne savait pas l’utiliser. Mais comme tout le monde avait déjà put le remarquer il suffisait qu’on lui interdise quoi que ce soit pour que Laura face le contraire. Autant dire que lorsque le jeune garçon lui dit qu’il pouvait se montrer méchant, Laura esquissa un sourire moqueur, bientôt suivis de son rire cristallin. Celui montrait clairement qu’elle se fichait de la tête du jeune garçon, qui pourtant elle en était sure ne l‘entendrait pas de cette oreille. En fait,son frère lui disait souvent, qu‘elle n‘avait aucun sens de la conservation et qu‘elle avait le don de se mettre dans des situations pas possible. Ce qui signifiait qu’il devait tout le temps surveillait ses moindres faits et gestes, pour ensuite régler ses problème. Il espérait d’ailleurs secrètement que ce genre de défauts récurant chez Laura allaient disparaître avec le temps.

||Laura|| Sincèrement, tu pense vraiment me faire peur? Ce n’est pas parce que la moitié des élèves de cette école sont terrorisé à la simple évocation de ton nom que je vais m’abaisser à ça…Et puis de toute façon, qu’Est-ce que tu vas me faire? Me frapper? Vas-y, que je rigole un bon coup!

Il était aussi fautif qu’elle dans cette rencontre intempestives. Elle n’aurait pas dut tourner aussi vite dans ce coin là, mais lui n’aurait pas dut raser les murs non plus. Dans l’esprit de Laura, l’un comme l’autre avait des excuses à présenter, le seul problème c’est décidément vu le comportement complètement impossible de ce garçon elle ne s’abaisserai pas à s’excuser réellement en premier. Oh bien sur dans un premier temps elle avait l’avait dit à la va vite, histoire de dire que non ce n’était pas plus grande passion que de foncer dans une personne. Mais si il cherchait les histoires, Laura ne demandait que ça, elle était même du genre à les chercher elle-même lorsqu’elles se faisaient trop rares. Elle se fichait toujours de savoir comment ça allait finir, elle savait parfaitement qu’elle aurait un garde du corps derrière.
Comprenant qu’il ne l’aiderait de toute façon pas à se relever, elle se remit sur ses pieds, attrapant au passage son sac. Seulement pour bien embêter le pauvre garçon qui n’en demandait certainement pas tant, elle s’accrocha à la main de Hugo pour se relever, lu adressant son sourire le plus narquois.

||Laura|| Et maintenant, si ça ne te dérage pas je préfère mettre de la distance entre toi et ta stupidité qui semble récurrente et moi.

Non, elle n’avait pas le physique pour faire ça, mais elle l’avait toujours fait, c’était un réflexe chez elle. Aussi alors qu’elle passait juste à cotés de lui elle lui tapa dans le bras, avec les gens de son âge, elle aurait très certainement taper épaule contre épaule, mais il ne faut pas avoir un don de double vue pour comprendre que Hugo était bien plus grand qu’elle. Ce n’est après avoir fait ce geste des plus stupide qu’elle se rendit compte qu’elle venait de se mettre dans la bouse de dragon. Aussi sa main glissa dans son sac qu’elle portait en bandoulière pour s’accrocher à sa baguette.
C’était bizarre cette influence, à peine un sorcier pose-t-il sa main sur sa baguette qu’il est rassuré…. Elle attendit la réaction du jeune garçon tout en continuant à marcher. Au pire i les rendrait et se servirait de sa baguette car lui il savait s’en servir, soit il userait de ses poings, et dans le meilleur des cas, ce qu’elle espérait i les contenterait de rigoler de la naine qui osait lui répondre.

Il était étonnant de voir qu’elle ne réagissait pas normalement, du moins pour lui. Ce n’était que sa deuxième année, mais il avait pris l’habitude d’intimider les autres. Les garçons le craignaient, les filles préféraient en général l’éviter s’il était énervé. Mais pas elle… Non, elle était en train de faire quelque chose qu’aucune autre personne avant elle n’avait osé. A part peut être Thomas au début. Elle avait planté son regard dans le sien, et le soutenait. Elle ne semblait pas le moins du monde effrayé. Après tout, ce n’était pas vraiment le but recherché par Hugo. C’était une fille, et il avait sa propre règle. Frapper un garçon, ok, mais une fille, hors de question, cependant, aucune à ce jour ne l’avait vraiment cherché. Il ne savait pas encore pourquoi, mais ce regard ne lui disait rien qui vaille. Bien sur, il le savait, c’était la petite sœur de Baël, un gars qu’il respectait en somme, il devait donc lui avoir appris les règles de bases. C’était comme ci elle avait refusé de baisser son regard, et lui ne comptait pas le faire non plus. Chacun se jaugeait, c’était à se demander lequel des deux toisait plus l’autre.

Il ne lui avait donné qu’un petit avertissement, histoire de lui faire comprendre qu’elle ne gagnerait pas à ce petit jeu avec lui, mais cela sembla la faire réagir. Son petit sourire sadique, accompagné par un léger rire cristallin. En d’autre circonstance, Hugo aurait pu trouver cela charmant, malheureusement, il avait horreur qu’on lui tienne tête. Avec n’importe quel élève, cela se serait réglé directement par les poings, mais il sentait qu’avec elle, ça ne pouvait pas être aussi simple, d’autant qu’il ne pouvait pas avoir recourt à la violence. Et puis, il connaissait assez bien Baël pour éviter de le contrarier, à condition qu’elle ne le cherche pas bien sur. Malheureusement, cela semblait mal partit.

- Sincèrement, tu pense vraiment me faire peur? Ce n’est pas parce que la moitié des élèves de cette école sont terrorisé à la simple évocation de ton nom que je vais m’abaisser à ça…Et puis de toute façon, qu’est-ce que tu vas me faire? Me frapper? Vas-y, que je rigole un bon coup!

Et voilà, il aurait suffit qu’elle ne dise rien, qu’elle se taise, et ne la ramène pas, mais s’était à croire que ça lui était impossible. Il continuait à la toiser du regard, laissant apparaitre un léger sourire sur ses lèvres, mais c’était plus ses paroles qui l’avaient fait apparaitre, plutôt que la gentillesse naturelle du jeune homme.

- Oh chérie, vas y doucement, tu me blesse là. Je ne m’abaisserais jamais à frapper une femme, mais si tu continue à me tenir tête, je serais capable de beaucoup de chose dont tu n’as même pas idée. Il n’y a pas que la violence dans la vie, et je suis sur que tu en a conscience. Je suis plutôt doué, alors évite de me chercher.

Il aurait pu se contenter de lui rire au nez et de se retirer, mais il y avait quelque chose chez elle qui lui donnait envie d’insister. Allait savoir pourquoi, elle lui mettait déjà les nerfs en pelote, et cela ne s’arrangerait pas avec le temps. Une simple rencontre, une bousculade, et ses deux là allaient se détester pendant des années. Quel gâchis quand on voyait le joli petit minois de Laura, mais pour l’instant, Hugo ne voyait que ses yeux le fixant avec arrogance, et il n’aimait pas du tout ça. Si elle insistait, il lui ferait une démonstration de ses talents bien assez tôt pour qu’elle saisisse dans quelle situation elle venait de se mettre. Sans lui demander son avis, elle attrapât la main du jeune serpent pour se redresser. Aussitôt, il la retirât et l’essuyât sur sa robe de sorcier avec une moue dégoutée. Elle se croyait vraiment tout permis la demoiselle. Tout aurait pu s’arrêter là, mais son arrogance lui mettait les nerfs à fleur de peau, et il fallait qu’elle l’ouvre encore.

- Et maintenant, si ça ne te dérage pas je préfère mettre de la distance entre toi et ta stupidité qui semble récurrente et moi.

Hugo avait laissé un petit sourire narquois se dessiner sur son visage. Elle pensait vraiment lui faire peur ? S’en était presque tordant. Lorsqu’elle passât à côté de lui, elle le bousculât une nouvelle fois, y mettant certainement toute sa force, et cela le fit rire. Il aurait été difficile qu’elle lui fasse mal vue son petit gabarit. C’était à croire qu’elle demandait déjà sa première leçon. Elle venait par son action totalement stupide et puérile de se faire un ennemi, et l’un des pires. Aussi, alors qu’elle s’éloignait en lui tournant le dos, il la rattrapât à l’angle du couloir. Posant une main sur son épaule, il la fit se retourner face à lui avec une facilité déconcertante. Prenant son regard le plus sérieux et le vrillant au sien, il se rapprochât d’elle pour qu’elle se retrouve bloquée entre lui et le mur. Il s’approchât jusqu’à ne laisser qu’une dizaine de centimètre les séparant.

- Ok, tu veux la jouer comme ça. Tien moi tête si ça te chante. Comme tu l’as si bien dit tu connais mon prénom, tu sais aussi une partie de ce qu’on dit sur moi. Mais tu vois, regarde bien mon visage, car il va devenir ton pire cauchemar, je vais te mener une vie d’enfer. Tu veux être mon ennemie, continu à me tenir tête, mais habitue toi à vérifier tout ce que tu touche, chaque pièce dans laquelle tu va entrer, car tu ne sauras jamais quand ça arriveras.

S’écartant légèrement, il lui adressât un petit sourire.

- Maintenant excuse moi, mais j’ai mieux à faire que de trainer avec toi.

Ce fut à son tour de se détourner d’elle, non sans lui donner une petite pression sur les épaules, pour qu’elle se cogne légèrement au mur. Elle l’avait provoqué, elle récolterait la monnaie de sa pièce très rapidement. Peut importe Baël, peu importe les autres, c’était une histoire entre eux deux, et cela se règlerais entre eux. Avec un peu de chance, elle la fermerait, et prendrait ses menaces en considération, mais au vue de ses réactions, il ne doutait pas qu’elle allait en rajouter une couche. Mieux, qu’elle l’attaque, car ce n’était pas parce qu’il ne frappait pas les filles qu’il ne répondait pas à une quelconque attaque magique. Ou peut être aurait elle trop peur, comme n’importe qu’elle autre fille…

||Hugo||Oh chérie, vas y doucement, tu me blesse là. Je ne m’abaisserais jamais à frapper une femme, mais si tu continue à me tenir tête, je serais capable de beaucoup de chose dont tu n’as même pas idée. Il n’y a pas que la violence dans la vie, et je suis sur que tu en a conscience. Je suis plutôt doué, alors évite de me chercher.

Était-elle fière de ce qu’elle venait de faire? Non. Pas forcément d’un coté oui, elle imaginait déjà la t^te de Baël lorsqu’elle lui annoncerait qu’elle avait tenus tête à ce lui qu’elle ne devait pas justement Mais en même temps, ça ne lui attirerais que des problèmes, alors fière, non elle ne l’était pas. Pire elle regrettait son geste, mais qu’importe, car dans le sens contraire elle était trop fière pour reconnaître ses erreurs, ce qui était l’un de ses pires défauts si l’on écoutait les personnes proches de Laura. Mais elle aurait put en rester là, ne plus ouvrir sa bouche face à lui, retenir les insultes qui planaient dans son esprits tels les fantômes au dessus du sol. Mais non puisqu’il avait décidé de se vanter de ses capacités
Inutile de décrire le sourire plus que moqueur qui étira sur le visage de la petite poupée de porcelaine, elle n’avait pas put s’en empêcher, la plupart du temps elle agissait comme ça, elle réfléchissait toujours après avoir agit. Trait de caractère qui aurait put l’amener chez les lions si elle n’en avait pas décidé autrement. Visiblement seule son aversion envers toutes ces fientes de chauves souris avait dissuader le Choixpeau de tenter un drame. Ensuite?…Et bien la suite de son caractère avait fait le reste, poux l’envoyer chez les vipères.
Elle n’avait pas pris en compte le fait qu’il s’essuie la main sur sa robe, Hugo avait simplement réagit tel qu’elle l’espérait. Laura voulait qu’il la haïsse maintenant, qu’il comprenne que si les autres se tassaient sur passage, faisait en sorte de devenir invisible il n’en était pas de même pour elle. Un autre défauts, le fait qu’elle ne sache pas retenir ses actes, le fait que lorsqu’elle avait décidé d’embêter une personne elle le faisait. Et ça ne s’arrangerait pas avec le temps, la maturité ne viendrait pas longtemps. Bref, elle partis le long du couloir, non sans le bousculer…Une fois encore elle regretta son geste.

Elle ne partit cependant pas ben loin, en fait elle n’eut même pas le temps de tourner l’angle du couloir qu’il l’avait rattrapé. Lorsqu’elle avait entendu que ses pas se dirigeaient vers elle, Laura avait accélérait légèrement, ce qui fut, bien évidemment insuffisant. Avait-elle réellement espérer que entre le temps ou il avait commencé à la suivre, et le moment ou il avait rattrapé, la colère du jeune garçon aurait disparu? Non vraiment. Enfin, elle se retrouva brutalement face à lui, avant même d’avoir compris de quelle manière, ce n’est que lorsqu’elle sentit sa main se refermer sur son épaules encore un peu plus fort qu’elle compris. Laura n’osa alors même pas imaginer ce qu’il adviendrait si il décidait finalement d’user de ses poings, elle n’aurait aucune chance vu la facilité avec laquelle il l’avait retourné. Elle attendit patiemment qu’il se décide à parler, ou même à bouger.

||Hugo||Ok, tu veux la jouer comme ça. Tien moi tête si ça te chante. Comme tu l’as si bien dit tu connais mon prénom, tu sais aussi une partie de ce qu’on dit sur moi. Mais tu vois, regarde bien mon visage, car il va devenir ton pire cauchemar, je vais te mener une vie d’enfer. Tu veux être mon ennemie, continu à me tenir tête, mais habitue toi à vérifier tout ce que tu touche, chaque pièce dans laquelle tu va entrer, car tu ne sauras jamais quand ça arriveras.

||Laura|| Alors regardes bien le mien de visage depuis que je suis bébé je suis habitué à la vengeance, demandes à Baël il te confirmera qu’il est inutile de tenter quoi que ce soit contre moi. Tu vas bien vite te rendre compte de l’erreur que tu fais, mais ce sera trop tard, toute l’école saura déjà que tu t’est fait battre une minable petite première année incapable de se servir correctement de sa baguette….

Oui, Laura vous l’avouera elle-même aujourd’hui, bien trop prétentieuse et sûre d’elle, si seulement elle avait sur que aujourd’hui encore la guerre ne serait pas fini elle ne l’aurait peut être pas dit. Peut être qu’elle aurait retenus sa langue de vipère et qu’elle aurait attendus. Peut être même qu’avec le temps, Hugo et elle aurait put devenir ami. Mais non, elle ne supportait pas de voir ses yeux se poser comme ça sur elle, Laura ne supportait tout simplement qu’un garçon comme celui là ne se taise pas. Normalement il aurait dut agir comme els autres, rire et partir, revenir plus tard pour discuter….Mais Laura venait de comprendre qu’il n’était pas comme els autres, c’est même pour ça qu’il est devenus son ennemi le plus assidu et le plus intéressant Même cet instant là, Laura savait que la guerre qui se préparait allait être intéressante, tout simplement parce que Baël lui avait parlé de son année précédente, et de ses altercations avec Thomas…. Oh non elle n’agirait pas comme lui, elle était bien trop maligne pour faire ça.

||Hugo||Maintenant excuse moi, mais j’ai mieux à faire que de trainer avec toi.

Ce n’est pas tellement la phrase qui la fit réagir, après tout elle venait de dire presque la même chose juste avant, Laura ne lui en voulait donc pas pour ça. Non c’est le geste qu’il avait eu, la poussant i venait de lui faire percuter le mur glacial qui se trouvait derrière elle, oh pas fort, non avec douceur. En fait pour être honnête, elle avait seulement frôler le mur, Laura l’avait à peine senti à travers sa chemise. Mais lorsqu’on a une dent contre quelque un plus rien n’a de sens, et e fut plus fort qu’elle.

||Laura||Hugo!….STUPEFIX

Non vous ne revait pas, Laura avait appelé le garçon avant sa baguette faites de ronce ne lance le sort, jamais au grand jamais Laura n’aurait attaqué une personne par derrière elle trouvait ça bien trop…lâche et petit….

Tout aurait pu être tellement différent, un seul facteur changeant, et cette rencontre aurait pu se dérouler d’une tout autre manière. Une excuse, un sourire, c’est en général ainsi qu’agissent la plupart des élèves. Ils auraient pu s’entendre, devenir ami… Mais la réalité était tout autre. En apparence, on aurait pu croire qu’ils venaient tout simplement de s’engueuler, rien de plus, mais pour ceux qui savaient décrypter les signes, ils pourraient lire dans leurs yeux la déclaration de guerre que les deux individus venaient de se faire. Cela ne se ressentait pas que par leurs mots, leurs postures en disaient long. Hugo pouvait apparaitre détendu, en réalité, il était à l’affut du moindre signe, car il avait très vite compris qu’elle ne serait pas aussi facile que les autres. Cela représentait un défi, et il était prêt à tenter de le relever, sans se rendre compte qu’il était peut être trop grand pour lui. Tout ce qu’il voyait face à lui, c’était une jeune fille, d’apparence frêle, qu’il ferait plier à la première occasion. Elle était plutôt jolie, mais ses traits enfantins cachaient une vraie vipère. Pourtant il était convaincu qu’il parviendrait à la faire plier, comme les autres.
Il aurait pu passer son chemin, la laisser de côté, l’ignorant tout simplement, mais elle avait quelque chose qui le poussait à en faire un défi. Sa ténacité l’intriguait, et il voulait tester pour voir jusqu’à quel point il pourrait la pousser, avant qu’elle ne craque. Ce qu’il ne se doutait pas à l’instant précis, c’est que cela ne serait pas aussi facile qu’il le pensait.

- Alors regardes bien le mien de visage depuis que je suis bébé je suis habitué à la vengeance, demandes à Baël il te confirmera qu’il est inutile de tenter quoi que ce soit contre moi. Tu vas bien vite te rendre compte de l’erreur que tu fais, mais ce sera trop tard, toute l’école saura déjà que tu t’es fait battre une minable petite première année incapable de se servir correctement de sa baguette….

Le serpent laissât s’échapper un petit rire moqueur. Mais pour qui se prenait-elle. Pensait-elle réellement ce qu’elle disait. On pouvait dire qu’elle n’avait pas froid aux yeux. De plus, elle lui avouait presque ses faiblesses. Grosse erreur, tant qu’elle y était, pourquoi ne lui disait pas tout simplement ce qu’il devait faire pour parvenir à ses fins, cela lui ferait gagner un temps fou. Petite idiote…

- Tu pense vraiment ce que tu dis ? Bah t’as de l’espoir ma pauvre.

C’était le moment de se retirer, sans pour autant ne pas donner un petit avertissement. Une pique, une légère bousculade, et il laissait déjà son esprit s’égarer ailleurs alors qu’il prenait la direction de son cour. Il faut l’avouer, il l’avait certainement légèrement sous estimé. Il avait cru comprendre qu’elle n’était pas totalement idiote au point de persister. Mais elle fit pire que cela. Lorsqu’il entendit le son de sa voie, il su que cela n’allait pas se dérouler sans accroc comme il l’avait prévu. Alors qu’il se retournait à quelques mètres d’elle, sa main glissât vers sa baguette qu’il portait à la taille, ainsi il fut prêt.

- Hugo!….STUPEFIX.
- PROTEGO !

Dieu merci, il pouvait être fier de ses connaissances en duel, ses cours de défense contre les forces du mal n’y étant pas pour rien. Ajoutez à cela quelques séances d’entrainement en secret, et vous pouvez comprenne que face à lui, la petite fille incapable de se servir correctement de sa baguette, de ses propres dires, ne ferait pas le poids bien longtemps. Le charme du bouclier fit son action, et le sort que la demoiselle lui avait lancé ricochât à la surface de la protection invisible qu’Hugo avait crée. Celui-ci partit contre le mur d’en face, à un mètre de Laura, projetant de petit débris de cailloux. Elle allait le regretter. A grandes enjambées, le jeune homme parcourut la distance qui les séparait, et vint poser sa baguette contre la gorge de la demoiselle.

- Tu viens de faire la plus belle connerie de ta vie.

Il la fit reculer jusqu’à ce qu’elle puisse sentir la pierre dans son dos. Le ton du serpent était menaçant, or il n’avait pas mis bien longtemps à comprendre que cela n’allait qu’attiser le venin de la vipère.

- Je pourrais faire en sorte de te stupéfixer, t’enfermer dans un quelconque placard, cela me permettrait certainement d’avoir la paix pendant un moment. Tu te rendras bien vite compte que je suis bien plus fort que toi à ce jeu la, et surtout que ton frère ne sera pas tout le temps derrière toi, et chaque fois je serais là. Ou bien tu décide de rabaisser un peu ton caquet, de rentrer dans le rang, et j’pourrais oublier et te foutre la paix.

Ce n’était pas réellement un marché qu’il lui porposait. Il savait bien qu’elle refuserais, en même temps, il ne comptait pas lui laisser le temps de le faire. Il s’écartât d’elle, reculant de plusieurs pas, sans la quitter des yeux, laissant retomber son bras le long e son corps.

- C’est à toi de décider, la paix, ou la guerre… Tout compte fait, non, j’ai déjà choisit pour toi.

Il haussât les épaules d’un air navré, et pointât sa baguette dans sa direction.

- STUPEFIX.

C’était à son tour de se défendre. Voyons voir si elle est aussi nulle qu’elle le prétend.