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eve sheffield. tout ce qui se ressemble n'est pas identique. Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
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MessageSujet: eve sheffield. tout ce qui se ressemble n'est pas identique. eve sheffield. tout ce qui se ressemble n'est pas identique. Icon_minitimeJeu 4 Déc 2008 - 16:20

      QUESTIONS HRPG.


      VOUS.

    PSEUDO : Reinhart.
    ÂGE : 17 ans.
    ANCIENNETÉ DANS LE RP : Euh, plus de cinq ans ... =).
    COMMENT AVEZ VOUS DECOUVERT LE FORUM ? Par un de vos forum partenaire.
    QUE PENSEZ VOUS DU FORUM ? Il m'a l'air très intéressant, le contexte est innovant et le rp de qualité.

      FORMALITÉS.

    AVATAR : Hanna Beth.
    CODE :
    PROFIL :

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Dernière édition par Eve Sheffield le Jeu 4 Déc 2008 - 21:26, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: eve sheffield. tout ce qui se ressemble n'est pas identique. eve sheffield. tout ce qui se ressemble n'est pas identique. Icon_minitimeJeu 4 Déc 2008 - 16:35

RPG.




**eve sheffield. tout ce qui se ressemble n'est pas identique. 2i977mo

et s'il existait plusieurs lignes de temps ?
j'avais entendu parler de cette hypothèse des 'univers multiples' qui agitait le milieu des scientifiques. selon certains physiciens, chaque chose qui peut se produire va se produire dans un certain univers. si je lance une pièce en l'air, il y a un univers dans lequel elle retombe sur pile et un autre dans lequel elle retombe sur face.
si j'avais été dans un autre univers, adam n'aurait pas avalé la pomme. nous ne serions pas ainsi, maudit jusqu'à la fin.



      GÉNÉRAL.

    Nom : « Sheffield, si vous ne l'avez jamais entendus, vous ne pouvez être qu'un moldu, une vermine, un moins que rien. Alors répétez-vous le de façon à ce que ça rentre dans votre tête : Sheffield, Sheffield [...] Shefflied. Une famille autant populaire que tortionnaire. Vous aurez beau crier, vous ne comprendrez jamais ma peine. »
    Prénom : « Mes parents m'ont appelé Ève, aucun autre prénom ne vient suivre ou précéder ce dernier. Il ne me plait pas, je ne l'ai jamais aimé, comme beaucoup d'entre vous. Je ne suis pas croyante, je suis une sorcière et connait donc l'entière réalité sur le monde. Alors pourquoi me donner le nom de la première pute du siècle ? En plus, j'aime pas les pommes, je préfère les pèches. Qui serait assez fou pour aimer les pommes ? Adam. et j'aime Adam. »
    Âge : « J'en suis actuellement à ma dix-septième année. Je suis donc majeure et vaccinée, merci bon dieu (que je méprise, et mépriserais chaque jour davantage). »
    Date de naissance : « Le o1/o1/2191. On dit que je suis née le jour le plus froid du monde, on dit que je suis né avec le coeur gelé, on dirait même qu'on m'a porté à bout de ventre en haut de la colline qui surplombe la ville. »
    Statut de sang : « Imaginez l'eau de source, véritable, pure, sans aucune trace de pollution... notre sang est identique à cette source. Ma famille a toujours tenu à le garder ainsi, s'en est devenu leur fierté, une fierté qui jamais ne devra être ignorée. Ils pourraient tout faire : tuer, menacer, enfermer, etc pour que leur loi ne soit pas prohibée. Si j'épousais un moldu, il faudrait que je parte loin, loin, très loin, si je ne voudrais pas finir six pieds sous terre. Mais heureusement, j'ai Adam. »
    Maison souhaitée : Serpentard, of course.


      QUELQUES INFORMATIONS.

    Balai : « J'en ai pas. Le Quidditch, quelle horreur, les joueurs ne sont que des bambins perdus, sauf Adam bien sûr, il s'est juste égaré, je le pardonne. »
    Baguette : « Ma baguette est unique, c'est un peu comme une partie de moi que j'ai aimé personnaliser sans pour autant ternir sa puissance magique. Elle est en bois de Charme, un arbre étrange et d'une rareté surprenante, cependant, malgré sa texture parfaite, je n'ai pas pu m'empêcher de dessiner une fée sur le manche, laissant moi même une empreinte visible à l'œil nu de chacun. De petite taille, elle mesure simplement vingt-deux centimètres et possède en elle un crin de sombral. »
    Animal : « Une chouette blanche comme neige qui fait son travail de postier. J'ai jamais vraiment aimé les bestioles. »


      FAMILLE.

    « Mon père, Peter Sheffield est un putain de manipulateur, mais un manipulateur malin qui agit dans la plus grande discrétion. Il n'y a que quelques exceptions qui, comme moi, ont subi un nombre incalculable de ses caprices qui peuvent s'en rendre compte. Ma mère, Sybile Sheffield est soumise aux pratiques de mon père depuis son mariage, elle l'accepte sans rechigner. De plus, pour prouver mon sang-pur, je peux vous affirmer qu'avant leur union, ils étaient cousins. Je me demande comment mon frère (Gabriel Sheffield) et moi-même nous sommes arrivés en un morceau, sans malformations physiques à destination. De toute façon, je suis persuadée que dans la famille il y a du avoir des cas de trisomie ou autre mais qu'ils en avaient tellement honte qu'ils les ont jetés à la poubelle, comme leur humanité.
    Vous ai-je déjà dis que je détestais ma famille ? Malgré le fait que mes fiançailles avec Adam étaient prévues depuis notre naissance, je n'ai pas eu besoin d'eux pour le rencontrer. Si jamais il ne m'avait pas plu, je suis sûre que j'aurais épousé un moldu, rien que pour les emmerder. Ma cousine, Rachael, n'aurait pas été contre cet état de rébellion, c'est d'ailleurs elle qui m'a ouvert les yeux sur cette réalité qui me ronge depuis dix-sept longues années. »


      PHYSIQUE. tout ce qui se ressemble n'est pas identique.

    Description :
    « Physiquement ? Elle est merveilleuse. Comment pourrais-je dire le contraire alors que plusieurs nuits par semaines, c’est son corps qui me berce d’une différente manière que le faisait Sally durant mon enfance. Heureusement… puisque Sally, c’est l’elfe de maison attitré de ma famille. Contrairement à elle, Eve est gracieuse même si dans ses yeux je peux parfois lire cette pénombre qui nous caractérise. Je ne l’ai jamais vu avec cette lumière que dégage beaucoup de mes camarades, peut-être est-ce la noirceur de son passé et de son futur proche qui la rende ainsi ? Je suppose que ça doit être la même chose pour moi. Si seulement elle savait… elle me tuerait. Ce secret qui me hante chaque jour a cette faculté de me soulager et de me rendre anxieux à la fois. J’espère qu’un jour, elle me pardonnera. Elle n’a qu’un sourire à faire, un sourire qui chaque jour semble forcé sauf lorsqu’elle est en ma présence. Si seulement elle savait… elle n’afficherait pas cette mine à chacune de nos rencontres. Une mine presque parfaite, joyeuse, une mine qui caractérise l’envol de ses problèmes. Si elle savait que je suis la source de ses problèmes récents, elle ne me regarderait pas de la même manière. Elle ne se contenterait pas de me faire la moue en me disant « J’te pardonnerais jamais » pour m’embrasser juste après, non, elle me tuerait en un seul coup de baguette. Et je la laisserais faire, car je l’aime. J’ai tout fait par amour pour elle. J’ai tout fait pour cette longue chevelure brune qui laisse parfois se décerner quelques mèches claires. Tout pour ce teint pâle presque cadavérique qui me rappelle quelque fois celui de son frère lors de ses derniers instants. J’ai tout fait pour que du haut de ses un mètre soixante-neuf elle me prenne dans ses bras et me dise que je suis l’homme de sa vie et que je suis l’unique personne à la comprendre. J’aurais tout fait pour être le seul à entrer dans son cœur, mais il n’est pas si restreint que l’on peut le croire, et même si parfois j’en ai une place importante, Gabriel et Rachael me jettent des regards comme si la chambre de luxe ne leur suffisait plus et qu’ils voulaient prendre la suite principale. Je dois être paranoïaque, c’est sûrement vrai, mais comment vouliez-vous faire autrement avec ce visage de princesse qui vous fixe constamment ? Avec ces pommettes vierges de maquillage qui sont à croquer chaque jour davantage. Comment faire lorsqu’une gamine connue jadis devient une femme sous vos yeux, qu’elle se forme délicatement et qu’elle vous offre tout ce qu’elle a en sa possession. Un petit 85B qui arrive à me faire chavirer malgré ses complexes, et des hanches presque inexistantes que j’aime rechercher quelque fois.
    Mon Eve est une perle rare, c’est tout ce que je peux vous dire. » Adam.
    Façon de s'habiller : « Je la vois le plus souvent en uniforme scolaire, mais les habits qu'elle octroie lors de ses journées libres sont semblables à son image : complexes. Elle peut en faire trop comme pas assez, un jean large troué comme une jupe trop échancré. Ca a le don d'attiser ma jalousie, parfois. » Adam.
    Signes particuliers : « Le seul truc qui m’enfonce à chaque fois une aiguille dans le cœur lorsque je la regarde, ce sont ses cicatrices et traces de brulures qui sont présentes sur son corps, et en particulier son dos. Une partie qu’elle ne montre qu’à moi et à moi seul. » Adam.
    Façon de se tenir : « Droite, toujours. » Adam.

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Dernière édition par Eve Sheffield le Jeu 4 Déc 2008 - 18:17, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: eve sheffield. tout ce qui se ressemble n'est pas identique. eve sheffield. tout ce qui se ressemble n'est pas identique. Icon_minitimeJeu 4 Déc 2008 - 16:44



      CARACTÈRE. pensez faux, s'il vous plaît, mais surtout pensez par vous-même.

    Description : ‘ Vous possédez une intelligence très vive, douée d'une grande lucidité. Vous récusez sans complexe toutes les valeurs fausses ou artificielles. Vous allez droit au but sans vous encombrer de fioritures. Votre curiosité éclectique vous dote d'une approche humaine et, parfois, humaniste du monde. Vous avez aussi la faculté de coller au futur, lorsque celui-ci se matérialise dans le concret, en vous intéressant aux découvertes modernes ou en vous adaptant aux techniques de pointe.
    La nature vous dote d'une habileté extraordinaire. Votre esprit d'invention et votre faculté d'aller au cœur des choses vous font faire souvent des miracles. Il est en effet dans vos habitudes de résoudre en un tour de main des problèmes qu'on croyait pratiquement insolubles. On pourrait penser que, pour vous, il n'y a jamais de problèmes, il n'y a que des solutions ! Possédant un grand magnétisme, vous excellez dans l'art de plaire, de charmer, de gagner les sympathies, de négocier, de convaincre. Avisée, vous obtenez très souvent ce que vous attendez des autres. Il est bien peu de choses que vous prenez réellement au sérieux. Vous aimez à vous moquer de tout et de tous, et surtout de vous-même. Chez vous, la tendance à la désacralisation est la règle plutôt qu'une exception. Ayant le sens de l'humour très développé et le rire facile, vous refusez de prendre quoi que ce soit au tragique et cherchez obstinément à envisager le côté drôle de la vie. Il est jamais ennuyeux de vivre avec vous, d'autant plus que...̀‘


    « Ils se foutent vraiment de notre gueule » affirma l'héritière après avoir refermé et balancé violemment son livre de divination contre le mur. « Je n'arrive pas à croire qu'avec la simple disposition des étoiles ils parviennent à décrire notre personnalité et à cerner notre attitude. Je ne peux l'accepter, je n'en ai pas envie. Je ne peux croire que ce qui est vrai, concret, que ce que je peux voir de mes propres yeux, quelque chose de palpable ou de visible, et non ces foutaises qui affirment quelque chose sans en connaître la source.
    Contrairement à ce que ces pages manuscrites peuvent vous affirmer, je n'irais pas par quatre chemins pour vous dire que je suis une personne superficielle. Je ne me prends peut-être pas au sérieux, certains me couvrent de sourires, mais ce n'est pas pour autant que je suis dupe. Ils mentent, autant que mes parents. Je suis sûrement une de ces incomprises qui se cherche tout en se prenant la tête. Peut-être un peu trop arrogante, peut-être pas assez naïve, peut-être trop rancunière... Mais que voulez-vous, malgré cette panoplie de défauts, certaines personnes arrivent à m'apprécier.
    Vous savez aussi, je suis une putain de langue de pute lorsque je m'y mets. Mais généralement, je n'éprouve pas plus de plaisir à parler des autres qu'à manger une tarte aux fraises. C'est juste une occupation qui me prend lors des jours de pluies, lorsque mes seules envies se limitent à voir Adam et qu'il est absent.
    Je suis, comme beaucoup d'adolescents incompris, lunatique. Je peux être heureuse, souriante, épanouie durant quelques minutes, mais dès que ces dernières sont passées, une mauvaise chose peut me revenir en tête, ou alors est-ce peut-être votre visage qui m'est insupportable et me fait donc partir dans une colère noire. Est-ce le résultat de mes frustrations ? Oui, je suis frustrée et je ne comprends plus les adultes. Pourtant, depuis Janvier dernier, on me considère ainsi, mais je sens toujours cet élan de gaminerie m'étreinte, cette envie d'innocence qui ne me quitte pas.
    La réalité est en face de moi et parfois, malgré mon manque d'imagination, je ne peux y croire. Je ne crois que ce que je vois mais parfois, je crois simplement ce que mon esprit me laisse voir. J'oubli rarement, je peux parfois même être paranoïaque, ce qui a le don d'énerver Adam. Mais lorsqu'on me connaît, il parait que je suis une personne attachante... Les aveugles, ce ne serait pas vous ? Mon éducation m'a apprise plusieurs choses : me méfier de tout ce qui m'entoure et détester tout ce qui est impur. Les sangs-de-bourbes ne peuvent entrer dans ma vision, et pour que je m'adresse aux sangs-mêlés, il faut que je sois désespérée. J'avoue, c'est bête et idiot, mais que voulez-vous, je n'ai pas envie d'être punie. Ma rébellion s'arrête aux choses futiles, je ne trahirais jamais ma famille. Je pense que j'ai trop peur d'elle pour faire quoi que ce soit qui les dérange. Rachael m'aide, parfois, mais ce n'est pas suffisant.
    Malgré ce que je peux montrer, je n'ai pas une confiance en moi des plus importantes, je me cache derrière un voile, un mystère que je n'éluciderais sûrement jamais. Pourquoi ? Car je ne veux pas connaître les réponses à mes questions. Gabriel me manque... Oui je peux m'attacher aux autres, à ceux qui me sont chers ; Adam, mon frère, Rachel.. toute une panoplie d'amis qui peuvent se compter sur les doigts d'une main. Les autres, qu'ils aillent voir ailleurs ; oui je suis égoïste, mais je ne veux pas m'encombrer de personnes à problèmes. J'en suis un ambulant, je n'ai pas besoin d'un second inutile.
    Mon orgueil n'est sûrement pas comparable à celui de mon père mais il semble que j'en ai hérité tout de même une partie. Ce dernier me permet d'accomplir avec moins de difficultés mes ambitions, ambitions qui passent en premier lieu : même avant Adam, avant Rachael. Ces ambitions concernent une seule et unique personne : Gabriel, l'ange que l'on m'a retiré.
    A ce moment là, j'aimerais lui dire : dis-moi Gabriel, qui est l'insolent qui a osé t'enlever à moi ? »

    Cours préférés : Métamorphose.
    Cours détestés : Divination.
    Projet d'avenir : Langue-de-Plomb.
    Forme du Patronus : Une fouine.
    Forme de l'Epouvantard : Gabriel, mort.


      HOBBIES & GOUTS.

    « Mes centres d'intérêts ? Adam. C'est ma première source de bonheur. Il est l'unique personne à pouvoir me comprendre, lui-même a vécu une vie similaire et par conséquent les même souffrances. Nous ne sommes pas identiques, sinon la vie ensemble ne serait plus attirante, mais nous savons nous satisfaire de nos qualités. Après plus de deux ans de relations, je pense que je peux vous dire qu'il m'aime et que c'est réciproque.
    J'aime aussi les nuits de pleines lunes, contrairement à beaucoup de sorciers, je ne me préoccupe pas des loups-garous qui hantent ces moments, mais je vous l'ais dis : je suis égoïste, je ne pense qu'à moi et mon entourage, pas aux souffrances d'inconnus.
    J'apprécie la mode autant que je déteste l'uniforme de Poudlard. Cette noirceur, ce vide... quelle incohérence. Il ne peut y avoir de la vie dans un esthétisme si peu détaillé et présent. C'est pourquoi j'attends à chaque fois les sorties à Poudlard avec impatience, ma garde-robe étant l'unique chose que j'aime ranger, j'aime davantage l'exposer.
    Ma peur la plus secrète ? Ma famille. Je n'ai peur de rien d'autre, ou peut-être de ces sombrals qui y sont rattachés. J'aimerais chaque jour m'enfuir mais mes jambes tremblantes s'y refusent.
    Je n'ai qu'un souhait : enlevez-moi, bâillonnez-moi ailleurs que dans cette prison qui fait suffoquer mon cœur chaque jour davantage. »

    Musicien : Excepté le chant, elle n'aidera en rien cette pratique puisqu'elle ne sait jouer d'aucun instrument si ce n'est celui de sa voix.
    Quidditch : Ne lui parlez pas de ce sport qu'elle trouve totalement ridicule.
    Lecteur : Elle ne lis pas vraiment, ça se limite à des magazines pour filles qui parfois semblent intéressants.
    Ecrivain : Il lui arrive d'écrire à ses heures perdues mais ce n'est pas pour autant son talent caché.
    Sports autres : Elle n'aime pas spécialement se dépenser, c'est loin d'être une sportive, au contraire.
    Style de musique écouté : C'est assez varié mais ça se situe généralement dans le rock (mais ça peut aller jusqu'au ska, au hard rock, etc).
    Couleurs préférées : Malgré le fait que le rouge soit la couleur dominante de Gryffondor, l'adolescente attache beaucoup plus d'importance à celle-ci qu'aux autres.
    Plat préféré : Les crèpes, même si elle ne mange pas énormément, elle a ses péchés mignons.
    Féru de mode : Yep.

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MessageSujet: Re: eve sheffield. tout ce qui se ressemble n'est pas identique. eve sheffield. tout ce qui se ressemble n'est pas identique. Icon_minitimeJeu 4 Déc 2008 - 17:05

    la peine de mort est une peine immorale, ou du moins inutile, parce qu'elle habitue le peuple au spectacle des supplices, et parce qu'elle ne répare rien ; car malheureusement la mort du meurtrier ne rend point la vie à la victime.


      ACTE UN. Les origines du mal ?

    « Bonne année Peter » lâcha une dame dont le ventre laissait prédire l’attente d’un enfant. Elle ne semblait ni radieuse, ni désespérée, juste lassée. Cette phrase qui devait pourtant être dites avec plénitude ne semblait être qu’une parole habituelle lancée comme un bonjour quelconque. Seulement, la personne à qui elle s’adressait ne semblait vouloir l’écouter, plongé dans ses dossiers, Peter avait les tympans comme coupés du monde extérieur. Au loin, nous pouvions voir un enfant, très jeune, d’à peine six ans, s’appuyer contre le mur. « Peter… Je sais que tu as du travail mais on nous attend chez les Bluberry… » Relança-t-elle toujours aussi anodine. Quelques minutes se firent ainsi, sans aucune réaction du père de famille, mais personne n’osa à nouveau hausser le ton. Il était respecté mais surtout craint des autres membres de la famille et l’interrompre une troisième fois pourrait causer bien des peines. Soudain, il leva les yeux vers sa femme, presque surpris de par sa présence il lança : « Qu’est ce qu’il y a ? » Sybile ne lâcha pas même un soupir à l’écoute de cette phrase, elle avait réussi à calmer ses envies depuis déjà bon nombres d’années et se pliait facilement aux demandes de son époux. « Je t’attendais, les Bluberry nous attendent depuis quelques heures, il est minuit passé. Tes affaires sont prête dans ta chambre et le chauffeur est dans l’arrière cours » répondit-elle toujours égale à elle-même. Il lâcha un simple « Parfait » et prit congé dans sa chambre pour se préparer.

    « Maman ? » lâcha le fils unique des Sheffield avec une hésitation au fond de la voix. « Elle arrive quand Eve ? » ajouta-t-il plus confiant après avoir croisé le regard de son interlocutrice. « Je ne sais pas Gabriel, elle a déjà plus d’un mois de retard. Ce genre de choses arrive, mais il se peut que ta sœur, elle, ne vienne pas. »
    « Que veux-tu dire par là ? »
    « Quelle va peut-être mourir dans mon ventre »
    affirma-t-elle froide, sans dégager aucune émotion. Cette conversation se termina ainsi. L’héritier tourna les talons et parti se morfondre dans la pièce principale. Il avait assisté depuis sa naissance à de nombreuses morts causées par son père, à de nombreux massacres dont il était parfois victime, mais il ne pouvait accepter le fait que celle qu’il attendait depuis déjà dix mois ne se présente pas sous ses yeux. Il ne supportait plus la solitude et ce n’était pas l’elfe de maison aigri qui s’occupait généralement de lui qui allait consoler ses états d’âmes. L’ange Gabriel avait besoin de la première femme : Eve.

    Peter et Sybile ne tardèrent pas à le rejoindre pour s’en aller dans la cours principale où le chauffeur les attendait. Ils commencèrent la route sans mot, puis l’homme de la famille lança : « Jack m’a dit que sa femme était enceinte d’un garçon, peut-être pourrions nous le fiancer avec Eve ? Ainsi nous serons assurés de voir notre lignée perdurer. » proposa-t-il d’une manière qui semblait plus être un ordre qu’une requête. Sybile affirma et Gabriel n’en toucha aucun mot. Il était déjà habitué à la politique de la famille et se voyait ravie qu’aucune fille au sang pur n’ait l’âge requis pour être sa future épouse. Il était encore au stade des voitures et de la guerre même s’il ne pouvait y toucher, seulement le second point était proche de lui, sauf qu’au lieu de poupée, c’était des êtres humains qui tombaient. « PETER ! » lâcha soudain Sybile, effrayée. « Je crois qu’elle arrive, j’ai perdu les eaux ! » ajouta-t-elle d’une voix frêle contrairement à son habitude. « T'es sûre ? Le nombre de fois où tu m'as fait le coup pendant un mois... Bon, Fred, on est à vingts minutes de chez les Blueberry, vous m’y déposez et après amenez ma femme à l’hôpital sorcier le plus proche. »
    Il ne fallait pas s’étonner d’un tel schéma. Peter avait fait la même chose lorsque Gabriel est né, d’ailleurs ce dernier ne savait plus où se mettre. Son père avait donné des indications à chacun sauf pour lui, mais il ne faisait aucun doute qu’il voulait suivre sa mère. Malgré les souffrances qu’elle devait endurer, il semblait tout excité de l’arrivée de sa sœur, du moins jusqu’au moment où : « Y’a intérêt qu’elle soit en vie pour me faire un mal pareil ! » cette phrase eut le don de paralyser Gabriel et de froisser son cœur. Toutes les familles étaient-elles ainsi ? Cela lui semblait normal pour cause de n’avoir connu aucun autre schéma, mais il le trouvait si peu agréable qu’il ne pouvait s’empêcher d’espérer. Un espoir qui fit récompensé puisque, pour une fois, Peter utilisa les mots justes : « Ne dis pas de bêtises Sybile, elle est en vie, le retard est fréquent, arrête d’être si paranoïaque ou tu vas donner ce mauvais tic à Gabriel. » à ces mots, le cœur de l’enfant se décompressa et Peter quitta la voiture pour rejoindre sa soirée.

    Alors que les plaisirs de l’alcool et des retrouvailles se mêlaient d’un côté, la souffrance et l’attente étaient visibles de l’autre. Sybile hurlait comme jamais (sauf pour son premier accouchement) et Gabriel se contentait de serrer sa main dans la sienne. Dès qu’ils entrèrent dans l’hôpital, Peter prenait déjà sa cinquième coupe de champagne et ne semblait pas se préoccuper de sa famille. Lorsqu’on aperçut la tête d’Eve (toujours en vie), il en était à sa douzième. Lorsqu’après un long travail de plus de deux heures, le nouveau né était libéré du cordon ombilical, il avait déjà oublié le champagne et était passé au vin blanc. Sybile, malgré ses paroles passées semblait heureuse de l’arrivée de sa fille. Peut-être était-ce les hormones qui la rendaient si pessimiste ? Alors que Peter se noyait dans l’alcool, Sybile et Gabriel ne regardait qu’un seul visage :

    « Eve. »


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MessageSujet: Re: eve sheffield. tout ce qui se ressemble n'est pas identique. eve sheffield. tout ce qui se ressemble n'est pas identique. Icon_minitimeJeu 4 Déc 2008 - 17:20


    eve & adam (11 ans) ; on ne voit profondément que dans la nuit profonde.



      ACTE DEUX. La recontre (par Eve).

    « J’avais été une enfant désirée et aimée. Il me semble que mon père a forgé beaucoup plus d’espoir en moi qu’en Gabriel, mais je ne peux m’empêcher d’avoir une compression au ventre à chaque fois que son visage entre dans mon champ de vision. La crainte, la peur… Je ne supporte plus l’enfermement et les coups. Je n’aime plus mes études, je ne suis encore jamais sortie en dehors du manoir. Jamais. Pour les fêtes, ils emmenaient seulement Gabriel. Je ne lui vouais aucune jalousie mais je commençais à ressentir une injustice amère, cette sensation formait en moi un acte de rébellion. Je connaissais la sentence, mais l’envie était plus profonde que la peur cette nuit-là. Gabriel était à Poudlard et je n’avais plus aucun soutien moral. L’elfe de maison s’amusait avec moi sans scrupule lorsque mes parents avaient le dos tourné. Chose peu rare puisqu’ils étaient et sont toujours en voyage. Je ère seule… aucun sorcier à la maison, je n’ai pour seul devoir que d’étudier et de satisfaire mes besoins primaire. Je m’ennuie. J’aimerais vivre que ces filles présentes dans les romans de maman. Si jamais elle savait que je les lui prenais, je serais envoyée aux cachots. Mon dos me fait encore mal, mais ça va, je me suis habituée. Vite, Gabriel… reviens-moi, sinon, je vais faire une bêtise. Je n’arrive plus à m’imposer et je ne comprends plus ce que père et mère attendent de moi. J’aimerais rencontrer comme toi des enfants de mon âge et rire sans mal. Mais tout ça m’est privé. Oh si vous saviez oh combien il me tarde Poudlard… Mes blessures ne sont pas seulement physique, mes onze printemps ont beau avoir vécus, je ne trouve toujours pas de remède à mon cœur. Alors aujourd’hui, je vais m’enfuir. Ils sont loin, normalement. Je sais qu’ils peuvent transplaner à tout moment, mais je n’ai plus peur, du moins plus pour l’instant. Je veux pouvoir voir les étoiles d’un autre lieu que ma fenêtre et sentir l’air frais contre mes joues. Est-ce mal ? Chez moi, c’est une loi à ne pas transgresser…

    Cela fait déjà un an que je connais le mot de passe de la porte d’entrée. C’est Gabriel qui me l’avait dit, mais je ne suis jamais allée jusqu’au bout. Mes pas s’arrêtaient toujours à la porte d’entrée, sauf aujourd’hui. Je n’y étais pas encore, mais je me voyais déjà prononcer ces mots : Filius Hamberg. Mon cœur se froissait, mais j’avançais sans peine, je ne savais pas pourquoi mais l’excitation me montait au cerveau, comme si cette nuit là allait être inoubliable. Cependant, je ne savais pas s’il fallait le prendre d’un côté positif ou négatif. Lorsque je prononçai les mots interdits j’eus un frisson lorsque je m’imaginai la réaction de mes parents, néanmoins, je franchis tout de même le cap. J’étais sur le pallier de la porte ! Ce simple cap avait dressé en moi un sourire inimaginable. Je me sentais vivre, réellement. Pour une fois, je n’étais pas derrière un livre, j’étais pleinement consciente de ce que je faisais et des risques que je prenais, je n’étais pas dans une étude de cas, je n’apprenais pas un sortilège, il n’y avait plus de magie noire. Il me fallut plus d’une demi-heure avant de franchir entièrement le jardin. Il était magnifique, je ne pensais pas qu’une telle beauté aurait pu cacher le noir qui régnait à l’intérieur du manoir. Lorsqu’un portail se dressa devant moi, mes yeux firent un bon. Aucune clé, rien… et mon impulsivité ainsi que mes rêvasseries m’avaient fait oublier ma baguette. Je ne voulais pas rentrer à la maison de peur de ne pouvoir franchir le cap à nouveau, de plus, je suis sûre qu’un simple Alohomora ne pourrait ouvrir l’antre familial. Il me fallait donc escalader, chose que je m’apprêtais à faire à ce moment là. Ce n’était pas sans risque car les pointes qui ornait l’entrée semblaient tranchantes, mes habits en firent d’ailleurs l’expérience. Il ne restait de mon haut préféré qu’une manche, mon bras l’avait échappé belle, ma cheville aussi.
    Dès que j’eus mit deux pieds à terre j’aspira une grande bouchée d’air puis je m’envola, non pas à l’aide d’un balai mais de mes jambes. Je me m’y à courir le plus vite et le plus loin possible. Je voulais m’éloigner un maximum de cet endroit dont je suis prisonnière depuis déjà onze longues années. Je couru ainsi une bonne heure, je me rendis compte que je m’étais perdue depuis déjà de longues minutes. Mais ce n’était pas réellement important, je ne voulais pas rentrer dans l’immédiat. Je pénétra un lieu qui semblait être un skate parc. Je n’en avais vu que dans les livres et voir cette aire de jeu sous mes yeux m’éblouissais. J’aurais tout donné pour avoir cette planche à roulette et faire comme les enfants de mon âge, mais ça m’étais interdit. Je me contentais donc de m’asseoir dessus, frustrée et heureuse en même temps.
    C’est à ce moment là qu’il arriva, mon prince au cheval blanc. »

    « Salut » me lâcha-t-il. Il était arrivé discrètement mais j’eus le temps de l’apercevoir avant qu’il se tienne devant moi. Il semblait avoir mon âge, peut-être une année de plus ou de moins, mais c’était la première fois que je rencontrais un autre enfant. C’était sûrement un moldu, mes parents me tuerais s’ils savaient ce que je m’apprêtais à faire : répondre à un vulgaire être-humain. « Bonsoir. » Je n’ajoutais rien d’autre. Mes espérances semblaient être récompensées mais je me rendis compte que malgré la longue attente je ne savais comment procéder. Fallait-il rester moi-même ? Je ne pouvais pas, puisque je suis une sorcière à part entière. J’ai passé ma vie à étudier la sorcellerie et non la vie en communauté. Cependant, il semblait aussi perdu et silencieux que moi… L’inconnu se contenta de s’asseoir à mes cotés et de regarder les étoiles. Puis soudain, après quelques minutes, il lança quelques mots : « Adam… et toi ? » Sur le coup, je n’eus pas exactement compris le sens de ses mots, m’annonçait-il son prénom ? C’est ce que j’eus supposé aux premiers abords, ce qui s’avéra être le cas. C’était une étrange coïncidence… Adam et Eve. Il était le premier à qui j’adressais un mot à par ma famille. J’eus un sourire, très bref mais présent avant de répondre « Eve. C’est la première fois que je sors de chez moi, je n’avais vu l’extérieur qu’en photo, c’est vraiment magnifique, et ces sensations… » lâchais-je impulsivement. Adam acquiesça et me répondit la même chose, lui aussi il n’avait jamais quitté sa demeure familiale. Je rencontrais là une nouvelle coïncidence, mais avant même que j’eus le temps de répondre, une nouvelle présence fit son entrée.

    « Que faites-vous ici à cette heure les enfants ? » A l’écoute de cette voix roque j’eus un sursaut et me tourna immédiatement en sa direction. Le vieil alcoolique m’avait déjà pris le poignet et Adam le fusillait du regard. Alors qu’on me tirait jusqu’à me faire perdre pieds, Adam se lança à ma poursuite et se mit face à l’inconnu.
    « Ne la touche pas. » Malgré son âge, on pouvait lire dans son ton et ses yeux une certaine détermination. Eve n’avait cependant pas confiance, s’il était véritablement un moldu, il ne pourrait rien faire contre un homme de cet âge… et c’est à ce moment là qu’elle commença à regretter sa baguette. « Pourquoi ça mon garçon ? Qu’est ce que je risque ? » … A ce moment là, je pensais qu’Adam était un idiot et qu’il aurait du se casser plutôt que de vouloir m’aider. Mais j’avais tort, il était comme moi. « Parce que je suis un sorcier. » A cette révélation j’eus un soupir et mon cœur se combla de joie. « Mon enfant… il faut arrêter de croire au père noël à ton âge, tout ça, ça n’existe pas… » Je me mis à rire, les moldus étaient vraiment des énergumènes misérables parfois… Mes parents n’avaient peut-être pas tort. J’attendais impatiemment la réaction d’Adam qui venait de sortir sa baguette. « Maintenant il me menace avec un bout de bâton… c’est à en mourir de rire. » Soudain des flammes commencèrent à se distinguer dans la pénombre et le vieil homme prit la fuite immédiatement en hurlant « au feu, au feu ». Je ne pense pas qu’il ait cru qu’Adam en était l’auteur, de toute manière, il avait sûrement trop bu pour s’en souvenir le lendemain.

    « Merci Adam. »
    « Pas d’quoi… maintenant tu sais… »
    « Ne t’en fais pas, ton secret sera entièrement gardé puisque moi aussi, je suis une sorcière » lâchais-je avec un sourire. Cependant, il n’eut pas le temps de répondre, un nouvel intrus entra dans le skate parc, mais cette fois-ci, les intentions semblaient encore plus négatives. « EVE ! qu’est ce que tu fais là ? Interdiction de sortir de la maison, aurais-tu oublié ? »
    « Non mère… »
    « Adam toi aussi ? Je vais appeler un chauffeur pour qu’il te raccompagne. Vous allez tous les deux êtres sévèrement puni, oh que oui. Je te raconte pas la colère de ton père ma fille, il est vert de rage. »
    « …Je suis désolée. »
    « EN ROUTE ! »

    Je la laissa me tirer jusqu’à la voiture et je regardais la silhouette d’Adam se rétrécir au loin. Je savais que je le retrouverais à Poudlard en septembre, ça ne me faisait plus peur d’attendre. Il me manquait déjà mais pour l’instant, je me préparais à la sentence. Je savais déjà que mon père m’attendait au cachot avec le fouet et que mes cicatrices dans le dos allaient se rouvrir. C’était la punition pour avoir désobéie à une règle, je m’y étais habituée.


      ACTE TROIS. La recontre (par Adam).

    « Je pense qu’elle n’a rien remarqué malgré le fait que sa mère eut prononcé mon nom. Je la connaissais, du moins physiquement. Alors que je découvrais la nuit, je ne m’attendais pas à la voir ainsi, seule avec un air si innocent. Je ne pensais pas croiser sa route avant Poudlard malgré le fait qu’elle m’est promise depuis ma naissance. Je m’appelle Adam, descendant de l’illustre famille Bluberry qui est connu pour son sang encore pur.
    Gabriel et moi sommes proches, c’est lui qui m’a tout dit sur Eve, mais il en gardait à chaque fois le secret, car d’après nos parents nous ne devions nous connaître avant Poudlard. Mais je voulais tout savoir de celle qui semblait être ma future femme. Je ne pouvais me résoudre à épouser une inconnue ni même attendre qu’ils me la présente. Je voulais tout savoir. Je n’ai pas osé lui parler cette nuit là… Du moins très peu, à vrai dire, j’étais intimidé par sa beauté, de plus, je n’ai pas non plus l’habitude de communiquer avec les autres. Je pense qu’on a vécut un peu les même choses… Il me tarde Poudlard. »

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Dernière édition par Eve Sheffield le Jeu 4 Déc 2008 - 17:24, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: eve sheffield. tout ce qui se ressemble n'est pas identique. eve sheffield. tout ce qui se ressemble n'est pas identique. Icon_minitimeJeu 4 Déc 2008 - 17:23


    marche face au soleil sans craindre la brûlure du bonheur et laisse ton ombre lutter contre les ténèbres dans ton dos.



      ACTE QUATRE. En dehors des chaînes familiales..



    « Durant ces quelques mois, je n’ai attendu qu’une seule chose : le revoir. Son visage obsédait mes nuits à un point où fermer l’œil devenait un miracle. Je ne savais pas où se limitait ce sentiment à l’époque. Une simple amitié, une fascination, une connaissance, une révélation, un adolescent du même âge que moi ou alors… peut-être cette chose dont parle les livres à l’eau de rose : l’amour. Je n’en avais aucune idée, mais il était déjà miens. Je ne l’ai appris que lorsque nous nous sommes échangés nos premiers baisés. Quelle époque… Lorsque j’eus mit mon pied droit dans le wagon du Poudlard-Express, je ne pensais pas avoir à dire ça un jour ; mon cœur s’appelle…

    Adam ! » Il était là, resplendissant, accoudé contre la paroi et je ne pris pas le temps d’attendre qu’il se tourne pour m’approcher. J’attendais cet instant depuis de longs mois, j’avais eu le temps de créer de multiples sujets de conversations, de débats infinis et de souvenirs non produit, cependant, je ne trouvais rien d’autre à lui dire que son prénom lorsque sa silhouette vint à moi. « Oh, Eve » me répondit-il avec un sourire. A ce moment là, je voulais le présenter à Gabriel, mais il était bien trop occupé avec son travail de préfet. Je trouvais cela dommage, mais sans doute ne réalisais-je pas que j’avais une année pour faire découvrir à mon sang qu’il bouillonnait en sa présence.
    Durant un instant, je me suis laissé surprendre à contempler l’ombre de mes parents qui se dévisageaient à l’extérieur. Lorsque le train démarra et que leur silhouette devenaient petit à petit inexistantes je sentais comme un sentiment de liberté m’envahir. Un sourire se dessina sur mon visage et lorsque je fis davantage attention à Adam, je me rendis compte qu’il faisait la même chose, sauf qu’entre deux arbres franchis, il me lançait un regard. « Ils ne seront plus là… et pour un bon moment » me lâcha-t-il d’un air rassurant comme s’il avait lu en moi en un clin d’œil. « J’aimerais y croire, mais même à Poudlard ils ont leur influence… »
    « Je t’assure que non, pas plus que toi et moi. » Même si j’étais persuadée qu’il mentait, il me retirait mon unique source de crainte avec ses mots. On se dirigea vers un compartiment libre sans mots supplémentaires… Apparemment, il ne connaissait pas plus d’enfants sorciers que moi. Je me rappellerais toujours de la première fois où j’eus mit un pied dehors en pleine journée. C’était ce matin là, juste avant de revoir Adam. Des gamins, des gosses de moins de cinq ans courraient partout dans la rue, certains chantaient, d’autre faisaient du toboggan, une fille s’amusait sur une marelle, et moi, moi je ne savais même pas ce que c’était, je ne connaissais pas leur musique et ce toboggan m’était interdit depuis trois ans maintenant. Je ne connaîtrais donc jamais ce plaisir que de dévaler la pente, et encore moins le plaisir d’atterrir dans les bras de parents aimants. Mais cette image ne me frustra pas, j’avais la réalité en face, une réalité où j’entrais enfin, je voulais y entrer avec Adam.

    Mon frère n’était toujours pas là. Il m’avait promis de venir me faire ses salutations, je voulais lui présenter Adam à ce moment précis, mais entre temps la nuit était tombée et je pense qu’il ne se présentera pas dans mon compartiment. Pourtant, j’aurais du savoir que l’espoir est quelque chose à prendre et non à négliger puisque, dès l’instant où Adam m’appris qu’il était né le même jour que moi – avec un mois d’avance, contrairement à mon mois de retard – il entra. La confusion me prit, non par à cause de cette nouvelle coïncidence mais par la présence des seules personnes qui comptaient pour moi. « Evie » mon frère avait l’habitude de me surnommer ainsi « Je suis désolé de ne pas être venu plus tôt mais j’avais du travail, quoi qu’il en soit, commencez à mettre vos uniformes vous deux, nous sommes bientôt arrivés à destination » conseilla-t-il en fermant la porte. A ce moment là, je n’ai pas pu lui présenter mon unique ami, mais je ne me doutais pas que le clin d’œil qu’il lui eut lancé signifiait autre chose que simple formalité.

    « C’était mon frère » lâchais-je, déçue de ne pas l’avoir côtoyé davantage. « Je m’y attendais » me répondit-il aussitôt « vous vous ressemblez comme deux gouttes d’eaux » reprit-il avec un sourire. Ce compliment eut le don de me flatter, ressembler à mon frère représente plus qu’un sang pur. J’aime mon frère et je l’aimais plus qu’Adam à cet instant.

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MessageSujet: Re: eve sheffield. tout ce qui se ressemble n'est pas identique. eve sheffield. tout ce qui se ressemble n'est pas identique. Icon_minitimeJeu 4 Déc 2008 - 17:32


    le langage est la meilleure arme qu'on ait trouvée pour négocier sa place dans le monde.



      ACTE CINQ. Sang pur rime-t-il forcément avec serpentard ?

    « Gabriel et Rachael étaient présents dans la table de verts et argents, Adam et moi attentions le jugement dernier. J’avais peur, peur d’être envoyée ailleurs que dans la maison ancestrale. Je n’osais pas même regarder les élèves défiler et lorsque mon nouvel ami fut envoyé à la table qui devrait aussi mettre destinée mes jambes commencèrent à flancher. J’avais mal, profondément, et en cet instant, l’image de mes parents revint en même temps que la perte de ma liberté. Les applaudissements étaient de rigueur ce jour là, je n’avais jamais vu un tel élan de festivité, pourtant, cette mascarade ne cessait de nouer davantage mon ventre. Vint enfin mon tour. Je n’arrivais plus à ouvrir les yeux, je m’étais assis avec difficultés sans aucune assurance. Ma famille aurait eu honte. Où se situerait mon orgueil si je me rendais chez nos ennemis ? C’était une étape importante, je ne devais pas la rater, et pourtant, j’étais si faible que la voix du chapeau intérieure ne m’atteignait pas. Lorsque mes oreilles revinrent à l’écoute et qu’il avait donné son jugement, personne ne riait, personne n’applaudissait. J’avais été envoyée chez l’ennemi, chez les gryffons. Une Sheffield chez les rouges et ors, je savais que ma vie allait s’arrêter, mon cœur ne battait plus, et je refusais d’entendre cette voix qui me parlait… »

    « Eve ! Eve ! Réveille-toi ! » Lorsque j’ouvris enfin les yeux, Adam était là, je tremblais, énormément. J’avais peur, j’avais honte, je ne savais plus où me mettre et les larmes qui étaient censé couler ne venait pas, me privant de tout soulagement. Même son visage, même son regard sur le mien n’arrivait à me rassurer. J’étais fichée, nulle, une enfant ratée. « Ca va ? On est arrivé à Poudlard à l’instant, j’ai eu peur que tu ne te réveilles pas. » Soudain, j’eus un bond. Poudlard ? Mais on y était depuis longtemps, la cérémonie était même terminée. Sur le coup, j’ai vraiment cru qu’il se foutait de moi, et pourtant, lorsque j’essayais de me remémorer l’image du château, je n’arrivais pas à décerner d’autres lignes que celles des livres. « Adam, je m’étais endormie ? » Il acquiesça, et je cru mourir de rire, non pas ce rire signifiant le soulagement, mais plutôt ce rire nerveux incontrôlable qui pouvait faire craindre l’entourage. « Eve, ça va ? »
    « Pas vraiment non. Mais ça va aller… t’as confiance en moi ? »
    « Bien sûr. »
    « Alors tout se passera bien Adam, il n’y a aucune raison que ça tourne mal » A la prononciation de ces mots, j’essayais de me rassurer. Ce n’était pas dans mon habitude de flancher ainsi, peut-être était-ce l’importance de la chose qui me rendait si nerveuse et impulsive ? J’en perdais pied. Vite, que tout soit fini. Vite, que je retrouve Gabriel et Rachael à Serpentard. Vite, qu’Adam me suive, et que tout se déroule pour le mieux dans ce recommencement, loin d’eux, loin des Sheffield.

    Poudlard était réellement magnifique. Cela devait faire une demi heure que je ramais aux cotés d’Adam, et voir les lumières de ce château se mêler à la nuit était resplendissant, plein de vie. Cette simple vision eut le don de me faire oublier, durant un instant, tous mes soucis. Mais dès qu’elle annonça mon nom, mes nerfs reprirent le dessus.
    « Eve Sheffield » Je m’avançai doucement mais sans difficultés. Je faisais tout pour ne pas penser à ce rêve qui me hantait. Il ne pouvait correspondre à la réalité, ma vie ne pouvait se résumer de la sorte ; Eve Sheffield n’est qu’une raté. Je ne veux pas avoir passé mon enfance à faire des choses qui ne me mèneront à un tel titre. Faites qu’il soit clément, faites que même s’il ne veut pas, qu’il m’écoute et me libère. Adam avait déjà rejoins mon frère et je les voyais parler au loin. Deux pensés étaient présentes : je veux les rejoindre et je ne veux pas décevoir ma famille. Ces quelques minutes semblaient infinies, mais je savais que lorsqu’il allait annoncer le résultat final, je serais soulagée.

    « SERPENTARD »


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MessageSujet: Re: eve sheffield. tout ce qui se ressemble n'est pas identique. eve sheffield. tout ce qui se ressemble n'est pas identique. Icon_minitimeJeu 4 Déc 2008 - 17:35


    la vie, c'est comme une bicyclette, il faut avancer pour ne pas perdre l'équilibre.



      ACTE SIX. Follow-me.

    « J’crois qu’on change beaucoup en quelques années, surtout à l’adolescence. J’ai passé beaucoup de temps avec Adam, à un tel point qu’on ne pouvait plus se passer l’un de l’autre. Tout le monde pensait qu’on était ensemble mais ce n’était pas le cas. Il était l’unique ami que je n’avais eu, toutes mes frustrations s’envolaient en sa présence. Lorsque Gabriel eut quitté Poudlard, Adam savait être présent pour moi. Mais lorsque débuta ma cinquième année, je cru connaître le fond du gouffre. Je cru mourir en même temps que lui. Tout me semblait noir, inutile. J’avais mal, pourquoi ? L’ange s’était envolé et n’avait laissé qu’un mot comme indice. Je l’avais découvert au crépuscule, l’écriture était bâclée, écrite de volée. Une dernière pensée ? Impulsivité ? … Follow me. »


    Gabriel était le seul à m’appeler ainsi. L’unique. Ca ne pouvait être que lui et il ne pouvait pas me laisser ces deux phrases sans en expliquer la cause. Lorsque j’eus découvert ces mot j’eus peur, une peur profonde qui ne cessait plus. J’avais mal, je voulais Adam, mais il n’était pas là. Il avait du s’absenter à cause de sa famille. Adam devait me revenir, j’avais besoin de lui, de son regard qui pouvait rassurer chacune de mes plaies, une plaie qui pourtant ne pourrait éviter la réouverture.
    Lorsque je m’aventura dans les cachots pour ressortir par le hall, je vis l’ombre de ma mère se dessiner sous mes yeux. Je la regarda durant deux secondes et un noir total se forma. J’avais peur, je vous l’assure, à un point, que je n’acceptais pas cette réalité qui commençais à devenir évidente « s’en est fini » m’avait-il dit. S’en était fini de quoi ? De sa vie ?

    Lorsque j’ouvris les yeux, j’étais à l’infirmerie et ma mère présente à mes cotés. Elle ne prononça aucun mot, moi non plus. Je ne voulais pas savoir, la peur s’arrachait mon cœur et l’espoir s’était envolé en même temps qu’Adam. Rendez-le moi.
    « Eve, il faut que je te dise… »
    « NE ME LE DIS PAS ! »
    « Il le faut… »
    « TA GUEULE ! »
    « Eve, ce n’est pas ainsi que je t’ai élevée. J’ordonne que tu me portes plus de respect maintenant. »
    « Non ! Je ne veux rien savoir ! Il me le dira lui-même ! Gabriel me le dira lui-même. »
    Je ne pouvais accepter la réalité. Je n’avais jamais parlé ainsi à ma mère, je savais que la sanction se retrouverait aux cachots si jamais je le faisais mais les circonstances faisaient que j’en avais perdue la raison. Oui, j’étais un état de folie, je ne contrôlais plus mes mots, mes gestes.
    « Il ne pourra pas. »
    « Mère ! » lâchais-je en pointant ma baguette sur elle, totalement effondrée. Je savais ce que Gabriel avait, je ne voulais pas l’entendre, car ça aurait été comme l’accepter et je ne le souhaitais pas. Même sans espoir, je voulais pouvoir me dire qu’il serait toujours là. « Il est mort Eve. »
    Un silence… une larme, unique, des tremblements, ma main qui lâche ma baguette sur le sol, c’est tout ce dont je me rappelle, après, tout est flou… Pourquoi m’avait-elle dit ça si cruellement ? Pourquoi avait-elle énoncé sa mort avec son ton si maladroit, sans aucune émotion. Je ne le supportais pas, je ne sais pas comment j’ai réagi par la suite ce jour là, mais ça ne devait pas être beau à voir puisque je ne me suis réveillée que deux jours après. Ma mère n’était plus là, mon père m’avait donné rendez-vous au cachot. Je crois qu’elle aussi, elle est morte.

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MessageSujet: Re: eve sheffield. tout ce qui se ressemble n'est pas identique. eve sheffield. tout ce qui se ressemble n'est pas identique. Icon_minitimeJeu 4 Déc 2008 - 17:36


    attrape la pomme adam, attrape mon coeur.



      ACTE SEPT. Oh, I believe in yesterday.

    « J’avais beaucoup pleuré. Je n’avais jamais été aussi mal. A chaque fois que mon dos me relançait, ça ne faisait qu’ouvrir davantage les plaies de mon cœur. J’avais perdu Gabriel et mère, il ne me restait plus qu’Adam et Rachael. J’étais méconnaissable. Ils m’aidaient, mais aucune joie ne pouvait se lire sur mon visage. La seule chose que je désirais, c’était d’être heureuse, et pour cela, il devait me revenir. Gabriel devenait me revenir.
    Il y a pourtant une chose qui a réussie à me rassurer, c’était un baiser d’Adam. C’était lorsque débuta notre sixième année, lorsque je venais de réussir mes BUSE de justesses et qu’il me serrait fort dans ses bras, comme à son habitude. Je me rappelle encore de ses mots « Je serais toujours là pour toi » et je me suis laissée tomber. Je pensais que c’était l’unique manière d’oublier, j’avais tort. Cependant, mon cœur, en plus des craquelures qui se multipliaient commençait à créer en lui un nouvel espace. Une suite, un luxe. J’avais mal, mais cette douleur était parfois atténuée par sa présence. Je voulais Gabriel mais jamais il ne me sera rendu. Je me contentais donc d’Adam, même si la paire avec mon frère aurait été un meilleur schéma.
    Depuis ce premier baisé, on ne s’est plus jamais quitté. On évite de parler de Gabriel, ça me met toujours mal à l’aise. Personne ne m’a rien dit sur ce qu’il lui était réellement arrivé. De toute manière, je pense que personne n’était réellement au courant à part son meurtrier. Si un jour, il se montre à moi, si je perce ce mystère, il ne restera de lui que des morceaux, même une petite cuillère serait inefficace pour les ramasser.
    J’ai mal. Mais je vous le dis sans peine : « Mon cœur s’appelle Adam » et même si on m’exclue du cachot, je sais que ces blessures ne s’éteindront jamais, parce qu’elles ne sont pas seulement physique, elles ont aussi une présence morale, et c’est ça qui fait sûrement le plus mal. »




    FICHE TERMINÉE.

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Maximilien E. Middle
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Amour : Loréana Wilde est et sera pour toujours l'amour de sa vie!

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Année d'étude: 7ème année
Caractère: Sincère, honnête, fou, motivé, drôle, beau parleur, inteligent, charmeur, loyal, passioné, passionant, têtu, bien élevé, révolutionnaire, débrouillard, autonome, sarcastique, protecteur, volontaire, amusant, sportif, classe, patient, franc, écrivain, artiste! etc

MessageSujet: Re: eve sheffield. tout ce qui se ressemble n'est pas identique. eve sheffield. tout ce qui se ressemble n'est pas identique. Icon_minitimeSam 13 Déc 2008 - 21:37

    Bienvenue sur appelo mortem,

    Désolé du retard...javais completement oublier, les examens me prennent la tête mais tu aurais du m'envoyer un mp pour me rappeler enfin bon ce n'est pas gravee...Je voulais donc dire oui que comme je l'ai déjà dis tu as une fiche magnifiquuuueee et franchement j'adore, le fond est basique mais c'est tourné de manière très origniale bref j'adore! Alors bon bah amuses toi bien parmis nous et si tu as la moindre question n'hésites pas nous sommes là Very Happy

    So...je ne vais pas te répartir vu qu'à mon grand dam tu l'a déjà fais alors ce sera serpentard -_-

    Voilà tu peux aller réserver ton avatar Very Happy, te mettre une signature, créer ta fiche de relation de rp et ton hiboux ceci étant bien entendu obligatoire en fait Razz. Et puis bah n'hésites pas à voter pour nous de temps en temps, à flooder ici et là sois active et puis quand même le principal, amuses toi bien et voilààà
    Very Happy bon jeu validé!

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https://appelo-mortem.forumactif.org/-t43.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/-t1023.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/-t551.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/-t236.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/-t49.htm
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MessageSujet: Re: eve sheffield. tout ce qui se ressemble n'est pas identique. eve sheffield. tout ce qui se ressemble n'est pas identique. Icon_minitimeSam 13 Déc 2008 - 22:52

Bienvenue sur Appelo Mortem =D
Bon jeu parmi nous ^__^

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MessageSujet: Re: eve sheffield. tout ce qui se ressemble n'est pas identique. eve sheffield. tout ce qui se ressemble n'est pas identique. Icon_minitimeDim 14 Déc 2008 - 1:46


    Bienvenue sur AM Very Happy
    Amuses-toi bien !

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MessageSujet: Re: eve sheffield. tout ce qui se ressemble n'est pas identique. eve sheffield. tout ce qui se ressemble n'est pas identique. Icon_minitimeDim 14 Déc 2008 - 2:28

Une serpy ! Une serpy ! Une serpy !!!

*Saute de joie*

Bienvenue jeune verte et argent dans la meilleure maison de Poudlard Razz:roll:
En plus en 7ème année Very Happy
WELCOME GIRL Wink

(j'ai l'impression de faire la désespérée x'D)

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MessageSujet: Re: eve sheffield. tout ce qui se ressemble n'est pas identique. eve sheffield. tout ce qui se ressemble n'est pas identique. Icon_minitimeDim 14 Déc 2008 - 3:00

^^

Welcome Miss !
J'aime beaucoup ta fiche ! <3

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MessageSujet: Re: eve sheffield. tout ce qui se ressemble n'est pas identique. eve sheffield. tout ce qui se ressemble n'est pas identique. Icon_minitime

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eve sheffield. tout ce qui se ressemble n'est pas identique. Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
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