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Après l'effort |Prio alexia Sullivan| |
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Maximilien E. Middle
Admin | Serdaigle
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Amour : Loréana Wilde est et sera pour toujours l'amour de sa vie!
Pensine
Orientation Sexuelle: Bisexuel
Année d'étude: 7ème année
Caractère: Sincère, honnête, fou, motivé, drôle, beau parleur, inteligent, charmeur, loyal, passioné, passionant, têtu, bien élevé, révolutionnaire, débrouillard, autonome, sarcastique, protecteur, volontaire, amusant, sportif, classe, patient, franc, écrivain, artiste! etc
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 Sujet: Après l'effort |Prio alexia Sullivan|  Ven 3 Oct 2008 - 17:42 |
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«La vie est belle comme le footballeur en short, suant la mort après l’effort .. » Les Betteraves.
Si le vendredi était le jour préféré de Maximilien ce n’était pas pour rien, bien au contraire. Premièrement c’était la fin des cours et un week-end complet qui signifiait détente, sortie à pré au lard avec Léo et Travis, roupillage, guitare, skate, roller et surtout dodotage parce que c’était quelque chose que Maximilien avait particulièrement à force de gaspiller son énergie à jouer ce qu’il n’est pas, il avait besoin d’énormément de sommeil pour pouvoir survivre mais ce n’était pas uniquement parce que c’était le jour de fin de semaine que le joli et sexy serdaigle adorait le Vendredi, non il y avait encore un tas d’autres super raisons. Les cours qu’il avait ce jours là étaient les meilleurs : Potion avec la magnifique Loreana Wilde, défense contre les forces du mal et sortilège et enchantement et le tout en commun avec Léo et Travis qui avaient pris les mêmes options, bref le paradis sur terre même pendant les cours de plus il avait une heure de vide durant laquelle il faisait un maximum de devoir pour être tranquille le week end mais il n’y avait pas que cela qui prodiguait à Maximimi tant de sourire en cette journée pleine de soleil, il y avait surtout sa viré de sport hebdomadaire avec ses pottes cela variait entre une promenade en skate et un match de quidditch ou basket avec des panier rajouté magiquement pour un sort trouvé par Maximilien en question. De plus il finissait très tôt ce jour là ce qui lui donnait beaucoup de temps pour ces sports justement. Et aujourd’hui était justement un vendredi et particulièrement un vendredi après midi…Un paradis sur terre et Maximilien se trouvait justement en train de…
LEO_ « Maximilien, attrape ! »
De jouer au basket. Maximilien se retourna vivement vers son meilleur ami à l’autre bout du terrain qui venait de piquer le ballon à l’équipe adverse et qui allait le lui envoyer ce qu’il fit alors. Maximilien plongea vers l’avant, sauta et attrapa le ballon juste sous le nez de Lucas, un joueur adverse. Il se mit alors à dribler changeant la balle orange de main lorsqu’un ennemi s’approchait et il arriva finalement au panier à opposé de Léo. IL l’avait joué Personnelle mais personne n’allait le lui reprocher surtout lorsqu’il arriva dans la raquette en trois pas, sautant et bien évidement foutant la balle dans la panier comme le pro qu’il était, si il n’était pas doué notre beau Middle ! L’équipe adverse reprit alors le ballon et ce fut alors un des amis de Maximimi qui fonça sur le pauvre joueur qui se vit piquer le rond orange en un seul mouvement et qui vit son équipe avoir à nouveau deux points d’écarts en plus…
Le match continua alors ainsi un long moment, un très long moments avec bien sur une pose de quinze minutes toutes les heures afin de boire, respirer, se détendre, faire des exercice pour un peu refroidir les muscle, les détendre et puis reprendre le match là où il en était resté. Bien sûr, leurs parties de basket duraient bien plus longtemps que le temps réglementaire mais ce qui comptait pour eux c’était de s’amuser, de jouer de déconner et surtout d’oublier cette dure semaine de cours et de travail et la suivante de même registre qui allait pointer son nez. Malheureusement toutes les bonnes choses ont une faim…
MITCH_ « Bon mes gars, j’en peux plus ! »
MAXIMILIEN_ « Ouai tu as raison, on arrête. On se revoit la semaine prochaine ? »
Bien sûr la réponse de toute la troupe fut positive tandis qu’ils se serraient tous la main poliment en tant que potte tranquille. Puis, chaqu’un alla prendre sa douche au vestiaire tandis que Maximilien se dirigeait vers le château, son sac d’affaires propres sur le dos. Il pénétra alors dans le Hall d’entré, soufflant comme un bœuf et devant puer comme un animal aussi mais il s’en fichait, il avait un grand sourire au lèvre, il s’était bien défoulait et franchement se sentait même très bien et tandis qu’il grimpait les escaliers quatre à quatre, il se repassait certaines scènes du match qu’il avait trouvé particulièrement intéressantes et bien jouées…Finalement il arriva à la salle de bain des préfet en chef. Il murmura la mot de passe et tandis que le portrait se refermait déjà, il s’enfonça à l’intérieur de la salle de bain qui brillait de mille feu…Sans plus attendre, il enleva son t-shert trempé de transpiration et pénétra dans la baignoire d’eau bouillante ne se rendant même pas compte que le portrait ne s’était pas bien fermé…
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Alexia Sullivan
Serpentard
Les Apparences sont bien trompeuses... 
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Amour : Ne le retrouve plus tellement elle est Volage
Pensine
Orientation Sexuelle: Hétérosexuel
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Caractère: Chiante, Fêtarde, Maligne, Prétentieuse, Folle, Drageuse, Déterminée, Sarcastique, Joviale, un peu Maladroite lorsque l'alcool lui monte à la tête, très Franche, Indiscrète, Bavarde, Joueuse, Violente, ... Apprend à la connaître et tu verras qu'elle est aussi Gentille, Fidèle en amitié, Attentive, Intelligente, Confidente et Amusante !
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| Sujet: Re: Après l'effort |Prio alexia Sullivan| Mar 7 Oct 2008 - 15:30 |
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<< Ce que je n'aime pas dans la séduction,
c'est quand les gens donnent une fausse image d'eux-mêmes. >>
S.Marceau
Tic, Tac, Tic, Tac, le temps qui passe et qui ne reviens pas…tic, tac, tic tac, la pendule qui se balancent, les minutes qui s’écoulent et l’impatience qui fait surface. Quel ennui…
Pourquoi fallait-il finir la semaine avec ce cours d’histoire de la magie assommant ? Tenant sa tête d’une main et tapotant le bureau avec ses autres doigts de manières rythmée – car oui elle aimait la musique, et jouait du piano en plus – Alexia attendait impatiemment la sonnerie qui annonçait la fin du cours. Elle avait déjà usé tous ses moyens pour combattre l’ennui : discussion avec son voisin hyper craquant mais bien plus intéressé au sujet du cours qu’aux avances de Miss Sullivan, gribouillage en tout genre sur sa feuille de note vierge, échange de mots doux avec un autre garçon de la classe, commentaires sarcastiques avec son amie… bref après avoir fait le tour de tous ces ‘tues d’ennuis’ et récolté quelques sanctions de points venant de son professeur pour avoir « dérangé son cours », Alexia s’ennuyait à mourir. Elle avait hâte de commencer son week-end. Pouvoir enfin respirer la liberté, pourvoir s’amuser avec ses amis, faire un peu de la musique, boire un coup non une bouteille, plus même, faire la fête quoi ! Profiter de la vie. Bouger, plutôt que de rester assis sans rien faire, si ce n’est créé des vergetures sur les cuisses…
Driiiiiiiiiiing… sauvé par le dong ! En entendant cette mélodie si agréable à écouter lorsqu’il s’agit d’annoncer la fin des cours et non l’inverse, la jeune serpentard se leva d’un bout, rangea ses affaires dans son sac en bandoulière et quitta la salle aussi vite qu’elle pu.
- Eh Alexia attends !
Qui était donc l’imbécile qui osait interpeller Alexia alors qu’elle s’élançait pour un week-end d’enfer ! Si ce n’était pas une voix masculine qui la demandait, elle aurait sans doute continué sa route sans même regarder de qui il s’agissait. Hors, cette voix mélodieuse l’appelant à la tentation n’était d’autre que celle d’un jeune homme. C’était le garçon craquant mais bien trop intéressé au cours plutôt qu’à elle. Il avait enfin compris qu’il avait commis une erreur en ignorant les avances de Miss Sullivan et il s’en voulait. Se retournant de façon charmeuse (à la Oréal parce que je le vaux bien), elle lui répondit d’un large sourire.
- Je me demandais si… Enfin… je crois que tu n’as pas très bien compris le sujet du cours d’aujourd’hui ou je me trompe ?
Son sourire s’estompa aussi rapidement qu’il n’était venu. Non mais pour qui il se prend celui-là ! En plus d’être beau, il est con comme un troll ou bien !
- Est-ce que tu insinues que je suis bête ? Parce que si c’est le cas, tu viens de faire la deuxième erreur de ta vie, après t’être désintéressé de moi, mon chou…
- Non, non ce n’est pas ce que je voulais dire Alexia ! Je me disais justement que… peut être je pourrais te donner… des cours particuliers ?… d’histoire de la…
- Séduction ?! Laissa-t-elle échapper dans un soupir devant de telles avances timide.
Puis sans même lui laisser le temps de s’exprimer, elle le pris par le pan de sa chemise qui dépassait de son pantalon et l’entraîna derrière elle comme un petit toutou, tout gentil, tout mignon, tout timide, tout beau, tout soumis jusqu’une salle vide la plus proche. Une fois à l’intérieur, elle le plaqua contre le mur. Le jeune homme ne fit aucun signe de réticence et se laissa faire, le sourire radieux d’être aussi proche de Miss Sullivan. Quant à celle-ci, ses lèvres mesquines laissaient comprendre qu’elle était heureuse de commencer son week-end avec une telle proie.
- Je dirais que c’est plutôt à moi de te donner des cours particuliers, tu ne trouves pas ? Alors règle numéro un : ne jamais être indifférent aux avances d’une fille, tout particulièrement de moi.
Puis alors qu’elle l’embrassa langoureusement, elle ferma délicatement la porte de la salle pour qu’ils puissent être plus tranquille lors de leurs cours particulier…
Une fois le cours particulier terminée, Alexia ajusta sa cravate une dernière fois puis quitta son petit protégé. Ah que le week-end s’annonçait bien ! Cette fois-ci elle ne s’ennuyait pas du tout, au contraire, elle pétillait d’énergie et n’avait qu’une hâte, s’amuser encore et encore. Après être passée rapidement en cuisine, histoire de s’alimenter un peu après l’effort, Alexia fit un détour dans sa salle commune pour y déposer ses affaires. Puis voyant qu’aucun de ses amis proches n’étaient présent dans la salle des serpentards, elle décida de faire un petit tour à travers le château, en quête de sensation forte ou de tout simple, de ses amis. Alors qu’elle prenait le chemin qui la menait à la salle sur demande – car comme son nom l’indique, elle est très demandée et toujours occupée- elle nota qu’une porte était restée entre ouverte dans le couloir. Sa curiosité l’emporta puisqu’elle savait pertinemment bien que cette porte était celle de la salle de bain des préfets. Alors, tout en espérant trouve un préfet plutôt une, la jeune blonde se dirigea vers la porte et jeta un coup d’œil à l’intérieur pour voir si cela valait la peine d’entrer.
Bingo ! La chance souriait pour la serpentard en ce jour de Vénus qu’était Vendredi. En effet, Alexia aperçu une tête dépasser de la baignoire. Elle connaissait bien ces cheveux tellement elle les avaient ébouriffé avec ses petits doigts fins. Et cette nuque ! Combien de fois ne l’avait-elle pas embrassé pour affirmer qu’elle était douce… C’était Maximilien… seul ? Cela surprenait lorsqu’on savait que ce jeune homme était un coureur de jupon et parfois même de caleçon. Ah sacré Maxouuu, le voila seul à présent… pas pour longtemps. A peine l’avait-elle reconnu qu’elle se faufila à l’intérieur de la salle de bain, en prenant soi de bien fermer la porte discrètement derrière soi, contrairement au Serdaigle. Alexia préférait être tranquille dans ces moments là. Depuis combien de temps, les deux jeunes gens avaient une relation ambiguë ? La jeune serpentard ne s’en souvenait plus très bien. Entre Max et Alexia, il n’y avait pas de chich, pas de dispute, pas de jalousie, pas d’amour. C’était tout simplement une entente entre l’amitié, la musique, l’alcool, le sexe. Avançant à pas de loup, Alexia tenait à une faire une petite surprise. Cela faisait un moment qu’ils ne se revoyaient pas. Il fallait reprendre les bonnes vieilles habitudes…
- Alors on s’amuse tout seul dans l’eau ? lui souffla-t-elle délicatement à l’oreille lorsqu’elle était enfin arrivé jusqu’à lui sans qu’il ne le remarque.
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Maximilien E. Middle
Admin | Serdaigle
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Amour : Loréana Wilde est et sera pour toujours l'amour de sa vie!
Pensine
Orientation Sexuelle: Bisexuel
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| Sujet: Re: Après l'effort |Prio alexia Sullivan| Lun 27 Oct 2008 - 13:05 |
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«Dis-moi quand ça finit?
Les pouvoirs et le sang
Qui me poussent et m'attirent
Quand le coeur ne ressent que l'envie d'en finir.. »
Saez.
Qu’était ce que le sexe ? C’était deux êtres de sexes différents ou de même sexes qui s’unissaient à la tombée du jour, qui se découvraient entièrement son complexe, sans façade, sans masque. Juste le plaisir de voir l’autre tel qu’il est et de s’accepter soi même. Accepter sa faiblesse, accepté ses chagrins, ses peines, ses douleurs mais aussi être fier de ses forces, de ses joies. C’était un moment intense, unique, où deux êtres, qui s’aimaient, s’unissaient, s’offraient l’un à l’autre comme un ultime cadeau, comme une ultime preuve de la confiance qu’ils avaient l’un en l’autre. Et puis ils allaient se souvenir de cette nuit, une promesse de l’infini, la promesse du courage de ceux qui étaient seuls pour se retrouver à deux, pour être enfin ce qu’ils voulaient être l’un pour l’autre. C’est la preuve de la confiance entre deux êtres, qui est le fondement de l’amour, un effort de volonté pour oublier les erreurs du passé. C’est un serment qui lie deux âmes. C’était quelque chose de fort, juste un ensemble de cris qui ne signifiaient pas seulement le plaisir mais aussi la joie d’être avec l’autre. C’est un symboles qui représentait tout l’amour que deux êtres se portaient parce qu’à deux on est toujours plus fort, comme pour surmonter les tempête, qu’il y aurait après. Un temps qui permet à deux êtres de s’envoler avant de retomber mollement dans la triste réalité qui peut-être les séparera…C’était un moment magique où se reflétait tous les sentiments que se portaient deux personnes…Un moment unique que l’on se devait de chérir comme un trésor et de garder gravé au fond de notre cœur à tout jamais…
Malheureusement ce moment parfait, qui ne représentait que le respect et l’amour n’étaient pas vus comme ça par tous et pas utiliser de cette façon non plus. Pour Maximilien Middle, le sexe n’était qu’un moyen d’oublier, un moyen qu’il avait trouvé pour se donner le droit une fois dans la journée de penser à lui, de se laisser aller sans avoir besoin de se contrôler. Il ne se mettait pas de barrière lorsqu’il faisait l’amour allant jusqu’à rire, jusqu’à pleurer. IL rendait chacune de ses nuits intenses mais malheureusement c’était sa partenaire ou son partenaire qui changeait à chaque fois, jamais le même deux fois d’affiler. C’était un moyen pour lui de crier ce qu’il ressentait, il avait une raison pour s’exprimer, il n’était pas obliger de se tenir droit et de se montrer parfait. Il pouvait laisser son corps s’exprimer, ses muscles se contracter dans une violence inouïs, il pouvait en ressortir sa colère, ses ongles s’enfoncer délicatement dans la peau de l’autre, pour montrer sa peur et sa tristesse, il laissait sans honte ses larmes couler parce que dans la noirceur de la chambre, personne ne pourraient les voir, y comprit son partenaire qui serait trop occupé par son plaisir pour le remarquer. Il pouvait en l’espace d’un petit moment tout laisser passer et laisser son corps exprimer tout ce qu’il enfouissait volontairement au fond de lui. Et puis le sexe lui procurait cet ultime besoin, ce qu’il réclamait depuis la naissance et qu’il n’avait jamais eut : l’amour de ses parents. Il manquait cruellement d’affection, il en avait besoin, tout comme il avait besoin d’attention…Et en l’espace d’une nuit, il ressentait cette attention, cette affection à travers les étreintes et les caresses…Ce n’était pas qu’un moment de plaisir, c’était vital pour lui…Et c’était sans doute pour cela qu’il ne voulait pas faire ça n’importe comment, que la fille ou le garçon avec lequel il couchait était toujours au courant de ses intentions, que ça n’irait pas plus loin et qu’il ne voulait pas que ça aille plus loin…Il laissait le choix : ne séduisait pas et ne faisait que proposer et si la réponse était négative, il allait proposer ailleurs…
Il ne savait pas pourquoi il pensait à tout ça en ce moment. C’était vendredi, la fin de la semaine, une super journée et voilà qu’il se mettait à débattre intérieurement sur ce qu’il faisait. Cela faisait pourtant bien longtemps qu’il savait comment il fonctionnait, pourquoi il avait tant besoin d’aller coucher à droite ou à gauche…Il connaissait ses faiblesses sur le bout des doigts, si bien qu’il n’avait même plus besoin de se forcer pour les cacher, il était devenu naturel pour lui d’agir comme était le Maximilien de serdaigle, le parfait adolescent qui n’avait aucun problème, toujours à sourire, aider les autres et s’amuser…Malheureusement il avait beau essayer de noyer ses chagrins dans l’alcool, ceux –ci savaient parfaitement nager…Il sourit vaguement, avec un petit air de nostalgie et enleva son t-shert qu’il jeta violement par terre avant d’ôter aussi son short et de se diriger à pas lent vers l’énorme baignoire qui était plus une piscine qu’autre chose. IL enjamba le petit rebord et commença à y entrer, descendant les marches de l’escalier qui menait aux profondeurs de l’eau. Une fois entièrement de dans, il poussa un soupir de satisfaction et s’accouda au rebord pour profiter pleinement de cette eau chaude qui lui détendait les muscles.
ALEXIA_ « Alors on s’amuse tout seul dans l’eau ? »
Il sursauta violement et se retourna alors pour tomber nez à nez avec une jeune femme qu’il ne connaissait que trop bien et puis cette voix si sensuelle ne pouvait appartenir qu’à elle : Alexia Sullivan. Il s’agissait de son amie, de sa partenaire, de sa coéquipière de boisson. Entre eux il y avait quelque chose de particulier, un lien original qui s’était crée dés la première fois où ils s’étaient regarder et toucher…ce lien qui disait « Pas de problème, on est potte, on couche ensemble, on boit ensemble, on chante ensemble mais ça s’arrête là alors la ferme ». Pas de jalousie, pas de crise, pas de prise de tête. Juste des substance, des planages, du sexe et de la musique : juste un peu d’amusement des fêtes et des nuits endiablés cela s’arrêtait là et aucun d’eux n’aurait l’idée ni l’envie de revenir sur cet accord tacite :
MAXIMILIEN_ « Tiens, Alexia. Comme tu vois…Un petit jeu solitaire, ce n’est pas désagréable mais tu peux te joindre à moi quand même… »
Qui a dit qu’ils ne pouvaient pas discuter et se faire quelque sous entendu avant de passer aux choses sérieuses ?
Je m'excuse, c'est vraiment nul! Mais j'essayerai de faire mieux la prochaine fois, mais bon...je reprends doucement 
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Alexia Sullivan
Serpentard
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Pensine
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| Sujet: Re: Après l'effort |Prio alexia Sullivan| Dim 9 Nov 2008 - 18:04 |
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« Il y a toujours à perdre pour une femme à faire son amant de son ami,
mais il y a beaucoup à gagner à faire son ami de son amant. »
Madeleine de Puisieux
Maximilien Enzo Morgan Middle…
Pour certain, il est tout simplement le préfet des Serdaigles et l’attrapeur des aigles. Pour d’autres, il est le p’tit con insoucieux du monde, cigarette au bec, filles par dizaines à ses pieds, bouteille à la main. Mais pour Alexia, il est un ami sans trop l’être, un confident sans trop savoir complètement tout, un amant sans connaître le sentiment d’aimer, une compagnie fidèle durant les moments les plus improbables.
Alexia Morgane Lily Sullivan…
Pour certain, elle est la peste incarnée, une fille facile qui couche avec tous les mecs du château. Une sale petite prétentieuse, sarcastique et arrogante. Pour d’autres, elle est la reine des soirées, toujours prête à faire la fête, s’amuser et vider les bouteilles. Mais pour quelques rares personnes de confiances, elle est aussi une amie fidèle et généreuse, une personne sympathique, souriante et attentive.
Leurs rencontres deviennent presque une habitude depuis le temps qu’ils se connaissent. Pourtant, ils ne décident pas toujours lorsqu’ils vont se voir. Comme si le hasard avait voulu réunir ces deux êtres accablé par la souffrance et le manque d’amour ensemble. Que cela soit devant un comptoir dans un bar, en boîte sur la piste de danse, dans le terrain de quidditch, assis par terre dans le parc de Poudlard, dans les couloirs du château, dans les salles vides ou les toilettes, ils trouvent toujours une opportunité pour se rapprocher. Partageant un verre, une bouteille, une bouffée de tabac, un baiser, quelques caresses et bien d’autres choses encore, les deux jeunes gens se complètent mutuellement sans chercher à s’aimer. Car ils ne savent plus le faire. Préférant oublier la souffrance qu’ils cachent derrière leur apparence de bienheureux, Max’ et Alex’ oublient les mauvais souvenirs, ce qui leur manque réellement…
Personne ne connaît réellement ces deux jeunes gens. Personne…
Et pourtant les personnes ne cessent de les critiquer, de les admirer, de les aimer secrètement ou de les haïr publiquement.
Au début de leur relation ambiguë, Maximilien et Alexia étaient de simples amis ayant nombreux points communs comme la musique, le quidditch et la fête. Simple innocent et gamins à l’époque, ils connurent rapidement l’alcool, la fumette et le sexe comme passe temps pour oublier le manque qui leur faisait souffrir. Pauvres enfants de la débauche qui préfèrent être réunit ensemble plutôt que dans la solitude…
Qu’avait-il de mal à boire avec excès, croquer la vie à pleine dent en profitant de chaque instant pour s’amuser, faire la fête, rire, chanter, bouger, de coucher ensemble sans ressentir quoi que ce soit si ce n’est du plaisir pour soi-même ? Au moins, avec ce genre de lien, il n’y a pas de prise de tête, aucune jalousie puisqu’il n’y a aucun compromis, aucun problème en plus à ajouter à la liste. Le monde est suffisamment injuste, odieux et pénible… pas besoin d’en rajouter. Du moins c’est ce que pensait Alexia. Voila, peut être une raison de son comportement quelque peu libertin.
En voyant sursauter Maximilien, Alexia laissa échapper un léger petit gloussement. Depuis quand Monsieur avait-il peur d’une voix sensuelle féminine ? Soit il était tellement absorbé dans ses pensées les plus profondes, soit il était occupé à quelque chose de bien plus viril dans son eau bouillonnante tout seul. A cette pensée, la jeune blonde laissa apparaître un sourire malicieux.
- Je vois… Bien sûr que je veux me joindre à toi ! J’ai toujours adoré la salle de bains des préfets. C’est une des seules raisons pour laquelle j’aurais voulu être une préfète… mais comme je ne donne pas toujours le bon exemple… je me contenterais de me faire inviter par mes amis préfet.
Lui adressant un clin d’œil, Alexia commença à se dévêtir en déboutonnant sa chemise. La laissant tomber par terre et fit de même pour sa jupe et ses sous-vêtements. Sans chercher à précipiter les choses, la jeune fille prit soit d’ôter chaque pièce de son corps tout en adressant des sourires au jeune serdaigle. Devant Maximilien, Alexia n’était aucunement pudique. Il lui arrivait parfois de l’être lorsqu’elle se trouvait face à un garçon qu’elle connaissait peu, mais avec Max cela semblait tout à fait banal de se mettre à nue devant lui. Puis, elle s’avança vers la baignoire et s’enfila aussi délicatement dans l’eau telle un félin avançant à pas feutrer derrière sa proie. Sauf que là, Maximilien n’était pas une proie et Alexia n’était pas partie en chasse. Celui-ci, elle l’avait déjà eu plus d’une fois dans ses bras… c’était beaucoup plus facile et rapide qu’avec les autres. Une fois son corps immergé dans l’eau, elle savoura quelques instants les bienfaits de la chaleur à travers son corps. Que c’était bon, un bon bain chaud ! Ses paupières se refermèrent lentement sur ses yeux d’émeraudes. Cela ne dura que quelques secondes, mais pour Alexia cette sensation de bien-être en avait duré beaucoup plus. Une fois, ses yeux ouverts, elle s’avança doucement vers Maximilien.
- C’est fou ce qu’il y a de la place dans cette baignoire…
Ce qui était étrange avec lui contrairement aux autres, c’était qu’elle ne se lassait jamais de ses caresses, de ses baisers, de sa compagnie. D’habitude, avec les autres, cela passait une semaine ou plus puis elle passait avec un autre. Mais avec Maximilien, cela ne lui dérangeait pas. Pourtant, elle ne ressentait rien de très précis envers lui. C’était juste un ami avec qui elle passait quelques bons moments ensemble, sans trop chercher quelque chose de retour. C’était peut être pour cela qu’elle appréciait sa compagnie. Il ne cherchait pas à trouver une explication à propos du comportement d’Alexia.
- … on peut faire un tas de chose, n’est-ce pas… Morgan ?
Une fois encore, un sourire malicieux s’afficha sur le doux visage d’Alexia. Les seules fois où la jeune serpentard l’appelait ainsi étaient lors de leurs moments intimes, seuls ou lorsqu’ils étaient soule. Cette petite habitude avait débuté un jour lorsque la jeune blonde avait découvert le troisième prénom du jeune homme. Portant également ce prénom, Alexia s’était alors mit à rire de plus belle (sous l’effet de l’alcool entre autre) trouvant que Morgan et Morgane ensemble, formait une drôle de paire. Depuis, la jeune blonde ne manquait pas de le faire rappeler. Et puis, comme Alexia aimait donner des petits surnoms bien à elle, auxquelles les autres n’y avait pas accès, lui donnait une impression de supériorité part rapport aux autres. Idée saugrenue peut être, mais Alexia était comme ça. Comme le fait de faire quelques petits sous-entendus, histoire de faire durer le plaisir. Elle savait parfaitement comment faire avec Maximilien. Bien qu’ayant le même état d’esprit ‘drageur’cela pouvait faire perdre moins de temps, ils aiment bien savourer l’instant, s’amuser dans toutes les manières qu’ils soient avant de finir comme il se doit. De toute manière, lorsqu’ils se retrouvaient tous les deux seuls, cela ne veut pas forcément dire qu’ils doivent obligatoirement coucher ensemble…bien sur, ces occasions sont rares, mais tout de même…enfin… comment ne pas résister à la tentation ? On y cède si souvent…
HJ: à mon tour de m'excuser pour le retard et la nulité de mon rp...
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Maximilien E. Middle
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| Sujet: Re: Après l'effort |Prio alexia Sullivan| Mar 11 Nov 2008 - 14:51 |
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Il n’y avait pas beaucoup de différence entre Alexia Sullivan et Maximilien Middle. Ils étaient en fait presque pareil, on aurait pu les prendre pour des jumeaux, ils se ressemblaient autant physiquement que par leur coutumes et leurs goûts…En effet, Alexia était considéré comme une jeune femme magnifique et sûre d’elle qui savait ce qu’elle voulait et qui savait aussi comment l’obtenir, nombreux étaient les garçons à fantasmer sur elles et beaucoup lui courrait après sans obtenir un regard, elle est aussi considéré comme la reine de toutes le fêtes, celle qui savait tout faire, tout organiser sans jamais se faire avoir par les professeurs, voilà comment beaucoup d’élèves qui ne la connaissaient pas voyaient Alexia Sullivan. Quant à Maximilien, il était considéré comme un jeune homme sexy, beau, magnifique et sûr de lui qui comme son homologue savait ce qu’il voulait et savait aussi comment l’obtenir, il était vu comme têtu et borné qui faisait ce qu’il voulait quand il voulait et qui bien sûr organisaient les soirées les plus somptueuses, les plus magnifiques et les plus arrosées bien entendu avec une sécurité enti prof garantie et puis…Nombreuses étaient les femmes qui lui couraient après et certaines n’obtenaient même pas un seul regard de sa part ! Ils étaient des gens bien à part soit on les aimait à la folie soit on les détestait il n’y avait pas de juste milieu, eux-mêmes étant des extrémités ! Alors lorsque les gens les voyaient ensembles…Les regards se tournaient tout de suite vers eux : ils étaient si beau dégageait une telle chaleur, une telle ambiance électrique et tout le monde ne souhaitait qu’une chose qu’ils soient en train de préparer ensemble une fête que personne n’oubliera de si tôt…
Mais Alexia et Maximilien ne faisaient pas que boire, fumer, danser et faire la fête, lorsqu’ils étaient ensembles il leur arrivait de se parler ! En effet, malgré les apparences ils étaient de très bons amis, qui couchaient ensemble certes mais ce n’était qu’une façon d’extérioriser ce qu’il ressentait…Maximilien aimait beaucoup se confier à Alexia que ce soit en hurlant lorsqu’il lui faisait l’amour ou en lui parlant calmement autours d’un tasse de café parce qu’il savait que jamais elle ne le jugerait, qu’elle le comprendrait toujours et qu’elle avait beau être à serpentard, tout ce qu’il lui dirait resterait entre eux et juste entre eux…C’était une drôle d’amitié, certes mais c’était la leur et ils en étaient très fiers, Maximilien était heureux d’avoir réussi à bâtir une telle chose avec une fille comme Alexia qui était au final moins domptable que le plus lion des gryffondors et pourtant lorsqu’ils étaient ensemble elle était calme et se confiait, bon pas beaucoup mais un minimum pour que leur relation or sexe puisse continuer mais attention…Pas de complication : pas de jalousie, pas d’obligation, pas de crises, rien…Juste de bons moments ensembles…Oui, les moments qu’il pouvait passer avec la Miss Sullivan, Maximilien les chérissait énormément !
ALEXIA_ « Je vois… Bien sûr que je veux me joindre à toi ! J’ai toujours adoré la salle de bains des préfets. C’est une des seules raisons pour laquelle j’aurais voulu être une préfète… mais comme je ne donne pas toujours le bon exemple… je me contenterais de me faire inviter par mes amis préfet. »/color]
[color=#6C79A0]MAXIMILIEN_ « ça ne m’étonne pas du tout de toi, ça ! »
Il était vrai que c’était tout à fait le genre d’Alexia. Elle était connue de tout le monde et savait avoir ce qu’elle voulait avec ne fuse qu’une seule petit sourire alors il était logique qu’elle puisse rentrer dans cette salle comme si elle-même avait été une préfète. Maximilien eut un petit sourire en l’imaginant demander le mot de passer à un des préfet, n’importe lequel n’aurait pu tenir pas plus deux minutes devant le regard pénétrant d’Alexia et surtout devant ses numéros de charmes qu’elle pratiquait mieux que quiconque et Maximilien en savait quelque chose pour avoir été une de ses premières victimes…Consentante bien entendu ! Il se retourna alors vers Alexia, maintenant qu’il l’avait invité et qu’elle avait accepté, il allait falloir qu’elle vienne, il la regarda commencer à se déshabiller, elle commença par enlever sa chemise et sa jupe pour passer ensuite aux sous-vêtements…Maximilien la regardait avec attention mais son regard n’était pas mal sain, bien au contraire, c’était le regard d’un ami qui ne voyait en Alexia qu’une femme avec laquelle il pourrait parler, son regard n’était pas plein de vice parce que ce corps il le connaissait déjà et qu’entre eux même si le mot sexe brillait de mille couleur, il n’était pas le seul à briller et puis, il la respectait énormément ! Il n’y avait pas de pudeur entre eux, et Alexia n’avait pas hésiter à ce déshabiller parce qu’elle savait que Maximilien n’allait pas directement penser à coucher avec elle et qu’il allait continuer à la voir comme était Alexia et pas uniquement comme étant une paire de seins et de fesses…
ALEXIA_ « C’est fou ce qu’il y a de la place dans cette baignoire… »
Ça y’est elle venait de rentrer, la jolie déesse et elle venait aussi de s’approcher dangereusement de notre magnifique serdaigle nationale tellement sexy, tellement parfait…Bon ok, ne nous évadons pas ! IL y avait quelque chose entre lui et Alexia qui l’étonnait toujours c’était la capacité qu’elle avait de toujours l’intéresser : nombreuses étaient les filles avec lesquelles il était incapable de recoucher sans doute parce qu’il les avait déjà complètement explorer la première fois, qu’il les connaissait déjà par cœur, il ne savait pas trop pourquoi mais Alexia l’intéressait toujours malgré le nombre de fois peut-être parce qu’ils étaient amis aussi, peut-être parce qu’il aimait lui parler ce qui changeait beaucoup de chose…
ALEXIA_ « on peut faire un tas de chose, n’est-ce pas… Morgan ? »
Il n’y avait qu’une seule et unique personne sur cette planète qui utilisait ce surnom et surtout qui avait le droit de l’utiliser, il s’agissait bien entendu d’Alexia Morgane Lily Sullivan, qui portait presque le même deuxième prénom que lui à la différence que le sien était Sullivan ! Cette habitude d’utiliser ces prénoms étaient venus presque dés leur premières rencontre, lorsqu’ils s’étaient présenté et rencontré…Tout avait tout de suite été très électrique, très fascinant entre eux et immédiatement, ils s’étaient d’un accord tacite mis à s’appeler respectivement Morgan et Morgane, c’était leurs deuxièmes prénoms, leurs jardins secret, ce monde de Morgan(e) n’appartenait qu’à eux deux, et seulement eux deux et quiconque osait appeler Maximilien, Morgan se faisait tout de suite encastrer dans le mur parce que ce prénom, le jeune serdaigle l’avait offert à Alexia et seule elle pourrait l’utiliser, seule elle avait le pouvoir et la permission de le faire !
MAXIMILIEN_ « Je ne te le fais pas dire, Morgane ! »
Il se pencha alors en avant pour poser chastement ses lèvres sur celles de la serpentarde…C’était une simple façon pour eux de se dire bonjour…
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Alexia Sullivan
Serpentard
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Amour : Ne le retrouve plus tellement elle est Volage
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Orientation Sexuelle: Hétérosexuel
Année d'étude: 7ème année
Caractère: Chiante, Fêtarde, Maligne, Prétentieuse, Folle, Drageuse, Déterminée, Sarcastique, Joviale, un peu Maladroite lorsque l'alcool lui monte à la tête, très Franche, Indiscrète, Bavarde, Joueuse, Violente, ... Apprend à la connaître et tu verras qu'elle est aussi Gentille, Fidèle en amitié, Attentive, Intelligente, Confidente et Amusante !
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| Sujet: Re: Après l'effort |Prio alexia Sullivan| Dim 30 Nov 2008 - 20:11 |
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« Comment se tue en nous l'amour : trois degrés :
souffrance, indignation, puis indifférence.
La souffrance use l'amour, l'indignation le brise,
et on arrive ainsi à l'indifférence finale. »
[Charles-Augustin Sainte-Beuve]
Personne ne pouvaient expliquer avec certitude, le fait qu’Alexia Sullivan soit devenue ainsi : une fetarde de première et une dragueuse téméraire, couchant à gauche à droite avec le premier venu et se soulant presque tous les soirs. C’était pourtant une fille bien sage et tranquille qui était arrivé à Poudlard lorsqu’elle n’avait que 11 ans. Polie et souriante, elle se faisait bien plus d’amis des autres maisons que la sienne. La jeune fille s’était même demandée pourquoi le choixpeau l’avait envoyée dans cette maison. Les serpentards étaient bien trop prétentieux et insolent selon elle…pourtant elle était devenue comme eux à présent. Et puis, il y avait son grand frère qui était là. Un serdaigle bien comme il faut qui montrait toujours le bon exemple à sa petite sœur, quitte à la surprotéger un peu trop. Au début, la jeune fille ne voyait aucun inconvénient. Lorsqu’elle avait un problème, elle était sur de pouvoir toujours compter sur lui. Il était fort…et populaire. Alexia resta dans l’ombre de son frère pendant 3 ans sans ronchonner. Après tout, que lui manquait-elle à cette époque ? Des amis, elle en avait plein…surtout des bleus et argents vu qu’elle traînait souvent avec son frère. Une famille heureuse et sans problème, un petit copain tendre et attentionné. Alexia était heureuse à cette époque. Et puis il a fallut d’un rien pour que tout s’écroule….la mort de mère.
Ce fut un choc pour la jeune fille. Un trop grand choc qui la traumatisa à tout jamais. Il y avait certaines personnes qui, dans ce cas là, se renfermaient sur eux-mêmes, déprimait chaque jour de leur existence et pleuraient à tout bout de champs pour un rien. Miss Sullivan ne faisait pas partie de cette catégorie, non. Elle appartenait plutôt à une catégorie bien plus complexe. Maudissant la mort, elle consacra alors de vivre au maximum le restant de ses jours. Ainsi, elle changea de tout au tout son comportement, se rebella contre son frère, quitta son copain et commença à vouloir tout faire, au plus vite. Vivre au jour le jour, s’amuser, boire, connaître la vie quoi ! Une peur de la mort, de cette fin tragique de l’humanité la terrifiait. Mais la peur de s’attacher à une autre personne par amour l’effrayait encore plus. Elle avait suffisamment souffert part la perte de sa mère pour devoir à nouveau subir cette atroce souffrance. Voila pourquoi, Alexia Sullivan enchaînait les aventures d’un soir ou les petits copains sans vraiment s’attacher à eux. Bien sur, certains devinrent des amis mais elle ne connut plus l’amour. Ce sentiment d’amour pourrait tuer Alexia si elle venait à le perdre encore une fois après s’être attachée à quelqu’un. Non, cela serait du suicide si elle ressentait à nouveau cette émotion, elle le savait. Pourtant l’amour était sans aucun doute, la plue belle chose sur terre…mais Alexia en était devenu indifférente après avoir tant souffert. Et l’alcool était là parfois pour noyer ses chagrins, pour oublier ce qui lui manquait tant. L’amour.
Très peu de personnes connaissaient la véritable histoire de la jeune fille. La plupart des gens préféraient croire aux rumeurs à ce qu’ils voyaient : Une jeune fille de la débauche qu’on ne pouvait plus sauver, une garce sans rancune ou une blonde stupide et ‘facile’. Les préjugés étaient toujours là pour rappeler à Alexia Sullivan ce qu’elle laissait comprendre. Mais les apparences sont souvent trompeuses…et la jeune fille était une parfaite comédienne. Un sourire, quelques petites fetes, des rires et hop tout le monde pensait qu’elle était heureuse. Idiots ! Ils étaient tous des imbéciles ! Vive les préjugés…
Malgré cela, la vie était parfois sympa tout de même. Elle avait inventé quelque chose extraordinairement utile. Capable d’écouter et de consoler s’il le fallait. De se taire au bon moment et de faire sourire tout le temps. Une chose indispensable pour tout être humain s’il veut avoir, ne serait-ce qu’un minimum, une raison de vivre : les amis.
Les amis. Ces personnes qui vous comprennent et qui ne vous jugent pas. Des êtres doté d’une compréhension hors norme et qui vous aime quand même malgré ce que vous etes. Oui des amis. Des vrais amis. Car malheureusement, il y a toujours des fausses personnes qui font mine d’être vos amis et qui vous poignarde derrière le dos dés l’occasion se présente. Mais cela est une autre histoire… Alexia sait repérer ces personnes là et ne manque pas les éviter rapidement.
Maximilien était un vrai ami. Il la comprenait et ne la jugeait pas. Il était compréhensif et savait rendre le sourire à Alexia lorsque un coup de blues venait pointer le bout de son nez. Certes, ils avaient une relation d’amitié bien étrange, bien à eux mais cela les convenait parfaitement. On ne pouvait pas vraiment définir la raison de leur lien si unique, si ambiguë mais une chose était certaine : leur amitié était sincère.
Là, dans cette baignoire immense, nus, ils se sentaient en parfaite confiances l’un envers l’autre. Aucun complexe, aucune pudeur, l’atmosphère était saine, sans aucun arrière pensé. Bien évidement, il était plutôt rare que les deux gens jeunes ne termine pas leur rencontre enlacés, mais ils leur arrivaient souvent de discuter simplement, d’écouter en silence les problèmes de l’autres, ou d’être tout simplement ensemble sans rien dire. C’était rare mais cela arrivait.
Là, dans l’eau parfumé, au milieu de la mousse, les deux Morgan(e) se regardaient d’un air complice et amusé. Ils étaient les seuls à pouvoir s’appeler ainsi en tout intimité. C’était leur truc, leur mots d’ordre, leurs surnoms bien à eux rien qu’à eux. Morgan et Morgane n’avait qu’un monde, le leur lorsqu’ils étaient ensemble.
- On peut faire un tas de chose, n’est-ce pas… Morgan ?
- Je ne te le fais pas dire, Morgane !
Lorsqu’il déposa un tendre baiser sur les lèvres de la jeune fille, Alexia ne put s’empêcher d’approfondir le moment plus longtemps. Elle aimait bien la compagnie du serdaigle, sa façon de se tenir, sa douceur et ses airs de dragueur mais ce qu’elle aimait le plus était ses baiser. Alors elle n’allait pas laisser une occasion pareil lorsque cela se présentait.
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Maximilien E. Middle
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Amour : Loréana Wilde est et sera pour toujours l'amour de sa vie!
Pensine
Orientation Sexuelle: Bisexuel
Année d'étude: 7ème année
Caractère: Sincère, honnête, fou, motivé, drôle, beau parleur, inteligent, charmeur, loyal, passioné, passionant, têtu, bien élevé, révolutionnaire, débrouillard, autonome, sarcastique, protecteur, volontaire, amusant, sportif, classe, patient, franc, écrivain, artiste! etc
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| Sujet: Re: Après l'effort |Prio alexia Sullivan| Sam 3 Jan 2009 - 0:34 |
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«Mets ta langue où tu sais.
Non ne t’arrête pas.
Continue de lécher.
Que j’aime quand tu fais ça... »
Saez
||FLASH BACK||
Il faisait noir dans cet endroit. C’était presque macabre. La musique psychédélique hurlait dans les oreilles, sifflaient sur les tympans de façon à ce que les jeunes présents n’entendent plus rien d’autres…Les gens étaient entassés comme des boîtes à sardines. IL ne restait un mm² d’air dans cette pièce, on aurait pu tous y étouffer mais pourtant les gens ne partaient pas. Bien au contraire, ils continuaient à se déhancher les uns contre les autres, se touchant, se frôlant, s’existant. L’appât de la chaire était très fort. Touts les êtres humains entassés ici étaient de vrais prédateurs, prêts à tout pour avoir un bon dîner ce soir, kit à manger, lécher, mordre. Ils voulaient toucher, avaler, sucer, embrasser, caresser et surtout pénétrer. Tous ici sans acceptions n’avaient que cette idée en tête. D’ailleurs l’endroit ne s’appelait pas « Le Loups lumineux » pour rien. Les loups avaient toujours été assimilés à l’homme dans tous les comptes de fée, c’était sans doute pour ça qu’il était tant traqué et tant craint. Le loup renvoyait à l’homme sa propre image. Il faisait chaud, la sueur dégoulinait de partout, ça puait l’alcool et la cigarette. Il y avait des gens par terre mais tout le monde dansait dessus, sans faire attention. Chacun pour soi et tous sur celui qui va geindre. Chacun sa proie, chacun son malheur et chacun ses envies, que le meilleur gagne la plus belle femme ! Ils se collaient. Personne ne pouvait plus passer. Alors en fait même si l’on voulait un peu d’air on ne pouvait pas sortir à moins de devoir frapper, pousser violement une foule de gens. Les balcons de la boîte était plein, impossible de faire un mouvement et Dieu seul savait comment, tous arrivaient encore à bouger…Malgré l’alcool, malgré la chaleur et malgré la soif et le manque d’air.
Maximilien aussi était là. Dans cette foule dans ce monde. Il se trouvait en hauteur dans la boîte. Presque au fond. L’air lui manquait mais il ne semblait pas le remarquer. L’alcool lui faisait tourner la tête. Il était torse nu, on lui avait arraché son t-shert un peu plus tôt dans la soirée. IL n’avait même pas su qui avait fait ça et dans l’absolu il s’en fichait totalement. Il se sentait bien, totalement ailleurs. Il avait absorbé on ne sait quoi. Certaines personnes lui avaient foutu des cachets dans ses poches lui prenant sans doute au passage quelques pièces de gaillons mais il n’avait pas posé de question, déjà trop bourré. Il ne s’était pas gêné pour les prendre. Après tout ne risquait il déjà pas sa vie ici alors pourquoi pas un peu plus. Tant qu’à s’amuser. Il les avait pris et depuis il se sentait voler, planer et en même temps, il était en pleine forme, si bien qu’il aurait pu soulever une armée d’éléphant. Il se déhanchait, bougeait son corps. Son torse nu était touché de partout, des paires de seins si collaient pour s’en détacher quelques secondes plus tard remplacées par d’autres. Il s’en fichait. Il se sentait si bien. Vive les vacances d’été finalement. Lui qui avait cru vivre un été en enfer. Il réussissait à sortir toutes les nuits, plus qu’à Poudlard et il rentrait toujours à sept heures du matin puant l’alcool, la clope et le sexe. Il dormait jusque onze heures du soir, se lavait et ressortait. Ses parents ne s’en rendait même pas compte et tant mieux. Il était libre. Tandis qu’il bougeait au rythme de la musique il sentit des mains se poser sur ses hanches et un souffles chaud se rapprocher de son oreilles pour lui hurler de dans afin d’être entendu :
ALEXIA_ « Maximilien Middle, le serdaigle ici ? En juillet, qui aurait cru ? »
Il avait reconnu cette voix. C’était celle d’Alexia Sullivan. On lui en avait beaucoup parlé et il l’avait déjà tellement croisé et entendu en soirée. Il ne lui avait encore jamais vraiment parlé mais l’avait entendu dans les couloirs. Il savait que cette file était un peu comme lui. Sexe, alcool, fête et musiques était sa devise un peu comme lui. Mais jamais il n’avait pris la peine de lui parler. Il avait l’intention de le faire dans un futur proche mais sûrement pas ce soir. Il se retourna alors et entoura la jeune femme de ses bras et tout en continuant de danser poser ses lèvres sur sa bouches et commença à l’embrasser goulûment tandis que ses mains parcouraient son corps…
||FIN DU FLASH BACK||
Maximilien eut un sourire lorsqu’il se rappela se souvenir. Ce fut la première fois qu’il fut réellement en contact avec Alexia. Leur premier nuit ensemble fut bien chaude chez lui, dans sa chambre. Elle était sans doute une des seules personnes à Poudlard avec Léo, Travis à avoir déjà vu sa chambre. Enfin, Max n’était pas sûr qu’elle s’en souvienne réellement. Mais malgré cette soirée de folies qu’il avait trouvé exagérer le lendemain pour finalement quand même y retourner, tout cela restait un bon souvenir. Alexia était par la suite restée quelque temps chez lui. Les parents de Max n’avaient rien dit, Max ne savait même pas si ils l’avaient vus à vrai dire. Ils s’étaient tous de suite sentis bien proche et ils avaient enfilés quelques soirées, se bourrant la gueulle mais parlant aussi durant la journée. Ils avaient passés de très bons moments avant qu’elle ne reparte.
En fait, il passait toujours de bons moments avec Alexia. Il aimait beaucoup être avec elle. Elle était la seule fille avec laquelle il couchait mais en laquelle il avait réellement confiance. Il pouvait se confier à Alexia et c’était réciproque. C’était bizarre comme relation. C’était comme sa sœur, mais il baisait sa sœur alors ! IL s’en fichait, il était bien dans ses bras autant qu’il était bien près d’elle qu’en elle. Il sentit les douces lèvres de la serpentarde se poser sur les siennes et sans attendre plus il répondit au baisser, l’approfondissant. Il posa ses mains sur les hanches d’Alexia et attendit qu’elle prenne le contrôle des opérations.
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Alexia Sullivan
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Caractère: Chiante, Fêtarde, Maligne, Prétentieuse, Folle, Drageuse, Déterminée, Sarcastique, Joviale, un peu Maladroite lorsque l'alcool lui monte à la tête, très Franche, Indiscrète, Bavarde, Joueuse, Violente, ... Apprend à la connaître et tu verras qu'elle est aussi Gentille, Fidèle en amitié, Attentive, Intelligente, Confidente et Amusante !
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| Sujet: Re: Après l'effort |Prio alexia Sullivan| Dim 18 Jan 2009 - 22:01 |
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« On a le choix de ses plaisirs, pas celui de ses souffrances.
On dirait plutôt que les souffrances nous choisissent,
elles connaissent nos faiblesses et le terrain de jeu de nos illusions. »
L’espèce humaine est une bien drôle de bête. Evoluant dans un monde en constante évolution, l’humain apprend à vivre selon les circonstances. Lorsqu’une foudre s’abattit sur la terre, laissant place à une chaleur inouïe et nouvelle, l’Homme s’en est servit pour se réchauffer, se nourrir mais aussi faire la guerre et brûler des choses, des personnes. Lorsque les terriens ont découvert des gisements du sang noir de la terre, ils se sont servit afin d’avoir un nouveau moyen de locomotion, le pétrole devient très rapidement primordiale pour l’espèce humaine jusqu’à s’entre-tuer lors de guerres afin d’avoir un bout de cet or noir. Sans compter que cette espèce humaine est, certes, bien intelligente comme l’ont prouvé nombreuses personnes en inventant un tas de chose mais très vite, cela retombait très vite contre l’être humain. Quelle boucheries ces guerres dans le monde des humains. Et le monde magique n’était pas à part. Au contraire, la rivalité, la puissance du savoir et de la force étaient constamment présente au courant des siècles. Le monde des humains est ainsi : on ne peut séparer le bien du mal, ils doivent continuellement s’amasser pour que la vie continue. Ajouter à sa terrible destinée, des caractères les plus complexes et différent et voila ce qu’est la condition humaine. Pauvre espèce humaine… Criant haut et fort d’être libre, l’espèce humaine est perpétuellement esclave du temps qui passe, de la souffrance et du destin. Bien qu’il a le choix pour de nombreuses choses, l’être humaine ne peut garantir avec certitude de sa liberté.
Depuis la mort de sa mère, la priorité de la jeune Sullivan était de vivre la vie au jour le jour, sans se soucier du reste et vivre intensément comme si c’était le dernier jour de sa vie. Alexia savait à présent que la vie ne durerait pas longtemps. Du jour au lendemain, tout pouvait se basculer comme ce triste jour, devant le cercueil de sa mère… Ainsi, la jeune blonde ne voulait avoir aucun regret lorsqu’elle allait se coucher le soir. Cependant cette tactique n’était pas toujours efficace. On regrette souvent nos actes lorsque l’on ne réfléchit pas aux conséquences. On regrette alors ce qu’on n’a fait ou pas, on regrette pour ce qui s’est passé, on regrette certaines personnes, on regrette ce qu’on était autrefois… Alexia avait choisi d’être ainsi et personne ne pouvait lui faire changer d’avis. Elle était devenu la fille que tout le monde connaît aujourd’hui, faisant oublier l’Alexia d’autrefois. Son père avait bien essayé de la faire résonner en l’envoyant dans un camp de « redressement », en vain…elle en avait laissé sa virginité avec un garçon plus âgé qu’elle. Dès lors, ayant goûté à la vie, Alexia enchaînait les aventures d’un soir. C’était son petit péché mignon ou plutôt son moyen afin d’éviter de souffrir davantage. Le sexe et l’alcool étaient les seuls qui connaissaient réellement les déboires de la jeune Sullivan. La souffrance, le manque de confiance en soi et la peur étaient constamment encré dans l’esprit d’Alexia. Mais voulant à tout prix montrer son allure de grande dame, de prétentieuse et de femme qui se respect, Alexia cachait ses faiblesses au plus profond de son cœur. Son orgueil l’empêchait de se montrer faible envers ce monde qui n’hésiterait pas une seconde de se jeter sur elle pour lui faire plus de mal encore. Alors, la jeune fille souriait à la vie, vivait au jour le jour sans chercher à se poser les questions, faisant la fête autant qu’elle le pouvait et profiter de sa jeunesse tant qu’il était encore temps.
« Quelle étrange machine qu’est l’être humain.
Un assemblage de réglage, de cadrant et de signaux
dont nous ne pouvons déchiffrer une petite partie…
et encore, sans doute, de façon imprécise. »
Maximilien souffrait également, Alexia le savait bien. Entre les deux, une complicité bien étrange s’était installée depuis un fameux jour d’été. Dès lors, ils se voyaient souvent pour passer du bons temps. Que cela soit pour faire la fête, coucher ensemble ou simplement discuter et se confier en tout simplicité et avec confiance, les deux jeunes gens étaient vraiment liés par le destin. Jamais elle n’avait été déçue de la compagnie du jeune Middle. C’était un charmant garçon qu’elle ne laisserait pour rien au monde, tomber. C’était son Morgan à elle seule et personne ne pourrait changer cela. Elle l’avait choisi et ce choix ne lui endossait aucune souffrance ou autre sentiments négatifs. Ils étaient bien ainsi avec leur relation certes ambiguë mais fidèle et sans problème. Se retrouver tous les deux dans cette baignoire, lèvres contre lèvres leurs paraissait tout à fait normale.
Alors que leur baiser s’intensifiait et qu’Alexia sentait les mains du jeune homme se poser sur ses hanches, elle comprit très rapidement que ce soir cela n’allait pas s’arrêter à un simple baiser de bienvenue. Cela tombait bien, Alexia aussi voulait un peu s’évader en ce moment. Posant ses mains derrière la nuque de son Morgan, elle intensifia le baiser jusqu’au bout puis glissa quelques baisers sur le cou du jeune homme aussi sensuellement qu’à son habitude. Sa main glissa alors jusqu’au torse nu et mouillé du jeune serdaigle. C’est qu’il était bien constitué le jeune homme ! Alexia le savait depuis un certain temps depuis leur rencontre, elle ne sortait ou couchait pas avec n’importe qui tout de même. Il fallait garder sa réputation. Sentant les battements s’intensifier au creux de sa main, Alexia posa alors son regard séducteur sur celui de Max en lui lançant un rapide sourire coquin.
- Je t’ai autant manqué que cela au point de ne plus me demander si j’allais bien ?...
Puis d’un geste délicat et sensuelle, Alexia s’approcha à nouveau du visage de Maximilien. Caressant au passage sa chevelure imbibée d’eau parfumée et lui souffla tendrement vers son oreille la fin de sa phrase.
- Ou tu veux tout simplement t’évader un peu… mon Morgan ?
Déposant, une fois encore, en chemin un baiser sensuel au coin des lèvres du jeune Serdaigle, elle attendit sa réponse activement. S’il tenait à passer une soirée à discuter, Alexia l’écouterait jusqu’au bout de la nuit s’il le fallait…mais s’il décidait la deuxième option, la jeune serpentard se ferait une joie de partager un de ses moments de folies. Quoi qu’il en soit, elle savait pertinemment bien que tous deux pouvaient faire les deux choses…
[C'est pas grave mon Maxouu chériie. Franchement j'ai beaucoup aimé le flashback que tu as fait et le reste du rp. Tu n'as rien à etre désolé... par contre c'est à moi de m'excuser de mon retard également >_< mais dernièrement j'avais une poussée de fatigue donc voila...j'espère que ma réponse te plaira]
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Maximilien E. Middle
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| Sujet: Re: Après l'effort |Prio alexia Sullivan| Dim 22 Fév 2009 - 18:00 |
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« J’ai senti enfin en toi l’éphémère
En moi, l’impression d’un paradis sur terre. .. »
Kyo
Une berceuse pour le calmer, une berceuse pour le rassurer. Une berceuse pour lui faire confiance, une berceuse pour lui donner confiance. Une berceuse pour le faire sourire, une berceuse pour le faire dormir. UN berceur pour le voir courir, une berceuse pour le faire vivre. IL n’y avait pas tellement de jolies et douces berceuses dans la vie de Maximilien Middle, il n’y avait pas tellement de mélodie douce, calme et agréable qui le rendaient heureux. Sa vie était loin d’être une longue partition de notes calmes, elles étaient même plutôt déchaînées, mouvementées et bien souvent n’avaient pas de sens mais…Il restait quand même dans ces tumultes une ligne de note calme : Les bras d’Alexia étaient une douce berceuse qui autours de lui le calmait, l’entouraient, l’aimaient, le câlinaient. Les doux bras de cette amie le faisaient sourire, le rassuraient, lui faisaient du bien. Ils l’endormaient même parfois lorsqu’il était tard le soir et que les deux amis partageaient le même lit. Deux beaux enfants qui avaient trop vite grandis. L’un à serpentard, l’autre à Serdaigle ils s’aimaient comme des frères et sœurs et se faisaient pourtant souvent l’amour comme si c’était la dernière chose qu’il ferait dans leur vie, comme si leur vie en dépendait. C’était un lien bizarre mais un lien qu’ils aimaient tous les deux. Un lien sans contrainte de bonheur, de joie, d’amour, de liberté, de cœur, de sexe, de musique, de confidence, de confiance, de sourire, de rigolade, de blague, de délire, de souffrance parfois mais un lien indestructible battis depuis plusieurs années maintenant, personne ne pouvait briser ce fil d’or qui les unissaient loin comme proche de l’autre. Ils s’appartenaient mais restaient libre. Ils se faisaient l’amour parfois sauvagement, parfois calmement, parfois agressivement, parfois douloureusement, parfois doucement. Tout dépendant du moment et des sentiments qui les animaient. Ils étaient là l’un pour l’autre et c’était ce qui comptait. Maximilien savait bien qu’il ne pourrait pas vivre sans elle et ça allait dans l’autre sens. Maintenant qu’ils se connaissaient aucun ne pourraient se passer de ces moments si paradoxaux qu’ils partageaient.
ALEXIA_ « Je t’ai autant manqué que cela au point de ne plus me demander si j’allais bien »
Maximilien eut un demis sourire. Demis seulement ? Parce qu’il savait bien qu’Alexia plaisantait qu’elle ne lui en voudrait jamais pour une chose pareil parce qu’elle comprenait parfaitement bien pourquoi il l’avait embrassé tout de suite, pourquoi il avait mis cette main sur sa hanche. Il savait qu’Alexia savait qu’en ce moment il avait besoin d’affection mais aussi d’agressivité, il avait besoin d’extérioriser tout ce qu’il ressentait ! Mais une partie de lui, une toute petite partie eut un petit pincement de peur. Il ne supporterait pas de lui faire de la peine, il ne supporterait pas qu’elle soit vexée mais il savait bien que ce n’était pas le genre d’Alexia de se formaliser pour si peu sans doute le taquinait elle. Elle aimait beaucoup faire ça, l’embêté un peu pour voir ses réactions. Ne disait on pas que « qui aime bien châtie bien » et bien vu comment Alexia châtiait Maximilien, elle devait l’aduler !
ALEXIA_ « Ou tu veux tout simplement t’évader un peu… mon Morgan ? »
MAXIMILIEN_ « Tu as tout compris, ma morgane »
Il savait bien qu’elle plaisantait. Taquine, elle vint en plus lui déposer un baiser sensuel sur l’embrassure des lèvres. Maximilien frissonna et captura violement ses lèvres. Il avait envie de la sentir bouger, il avait envie de la toucher, qu’elle le touche. Il avait envie de s’envoler avec elle, de planer et d’oublier dans ces moments parfait la douleur qu’il avait accumulé ces derniers temps. Il avança un peu et tandis qu’il introduisait sa langue dans la bouche de la belle verte et argent il commença à déplacer ses mains sur son corps. Il caressa doucement son ventre, il aimait bien le pincer, le toucher encore et encore. Dans l’eau la sensation de douceur était augmenter, il se sentait si bien en ce moment. Il aurait voulu que ce moment de pure douceur dure éternellement malheureusement le sort n’en n’avait pas décidé ainsi. Si il avait eut des yeux infra rouge il aurait pu voir l’élève juste derrière le mur de la salle de bain des prefets. Il aurait pu voir cet élève aux yeux fous…Mais il ne vit rien tant occupé à embrasser sa douce…
En revanche il sentit cette légère aspiration sur ses pieds. Jamais il n’avait senti une chose pareille dans la salle de bain des prefets en chef. IL se décolla de sa douce et regarda le centre du bassin. Il se figea d’horreur. Un tourbillon d’eau naissait au milieu de cette immense piscine. Il semblait violent. Maximilien réagit immédiatement. Il sauta sur le bord et sorti de l’eau. IL attrapa les mains d’Alexia et la sortit aussi avant que le tourbillon ne s’agrandisse et les aspire. Tous deux étaient nus dehors…Maximilien regardait ce truc grandir et grandir. Le bassin était profond et le tourbillon semblait ne pas avoir de fond t ant il était noir au fond…Maximilien sentit un peur montée en lui. IL dit alors :
MAXIMILIEN_ « Mais…Qu’est ce que c’est que ça ? »
IL recula le plus qu’il peut. Attrapant la main d’Alexia pour le faire reculer avec lui. IL courru vers la porte de la salle de bain. NU il s’en fichait mais il voulait sorti d’ici ! Mais la porte restait coincé, il avait beau tiré dessus ça restait coincé et pendant ce temps le tourbillon continuait de grandir. Maximilien était morte de trouille mais pas encore assez pour perdre ses neurones. Prenant son courage à deux mains il fonça vers ses vêtement et sortit sa baguette magique de sa poche…Il se dirigea vers la porte à nouveau et hurla :
MAXIMILIEN_ « Alohomora ! »
La porte refusait toujours de s’ouvrir…Il réessaya plusieurs fois, demanda à Alexia de l’aider mais rien n’y faisait. Il se retourna alors désemparé et ce qui le vit le glaça d’effroi. L’eau de la « piscine » commençait à former une énorme vague pour foncer sur eux. La seule chose qu »il trouva à dire fut :
MAXIMILIEN_ « Oh…merde ! »
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Alexia Sullivan
Serpentard
Les Apparences sont bien trompeuses...
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Amour : Ne le retrouve plus tellement elle est Volage
Pensine
Orientation Sexuelle: Hétérosexuel
Année d'étude: 7ème année
Caractère: Chiante, Fêtarde, Maligne, Prétentieuse, Folle, Drageuse, Déterminée, Sarcastique, Joviale, un peu Maladroite lorsque l'alcool lui monte à la tête, très Franche, Indiscrète, Bavarde, Joueuse, Violente, ... Apprend à la connaître et tu verras qu'elle est aussi Gentille, Fidèle en amitié, Attentive, Intelligente, Confidente et Amusante !
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| Sujet: Re: Après l'effort |Prio alexia Sullivan| Sam 28 Fév 2009 - 17:58 |
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« L'attrait du danger est au fond de toutes les grandes passions »
[Anatole France]
Alexia et Maximilien se connaissaient trop bien. Cela faisait quelques années déjà que les deux jeunes étudiants se connaissaient. Avec le temps, on connait mieux une personne et le fait de passer des moments intimes avec elle encore plus. La manière d’agir, de répondre, l’expression du visage, le ton de la voix, les gestes, le regard, tous ces moindres détails parfois intraduisible pour un vulgaire inconnu ou connaissance était un signe familier pour une personne proche. Oui, les deux jeunes gens étaient assez proches pour se comprendre et s’apprécier à juste valeur.
Voyant le mi-sourire enjoué de son ami, Alexia laissa échapper un gloussement. Ce demi-sourire disait tout. Il avait très bien saisit les pensées d’Alexia. Un juste sourire mais pas trop tout de même, juste ce qu’il faut pour ne pas la contrarier. S’il s’était mis à rire d’elle d’un gros air, elle l’aurait surement mal pris, s’il aurait, au contraire, été totalement indifférent à la question, la jeune Serpentard aurait tout de suite imaginé qu’il n’avait rien à faire d’elle. Mais non, il avait su trouvé les justes mots, ou plutôt, le juste sourire. C’était un jeune homme bien ce Maximilien Middle ! A ces pensées, une idée folle survenue dans l’esprit de la jeune fille.
* si je me trouve pas un mari idéal selon mes attentes, je le prendrais lui ! s’il sera toujours célibataire à ce moment là…. Ou alors je serais sa morgane comme maintenant…. Naaaan Alexia, tu déconnes là ! ta vie ne sera pas toujours comme maintenant ! il faudra bien grandir un peu nan ? mouais…. Mais en attendant ce jour là, je fais ce qui me plait ! *
Menant ses pensées aux actes, elle avait déposé un baiser sensuel au coin des lèvres du jeune Serdaigle. Suivant le rythme, Max s’éprit des lèvres de la jeune serpentard et ne la lâcha plus. Ses mains se perdaient douceur sur le corps de la jeune serpentard s’attardant sur son ventre. Ses caresses étaient, certes, douces et sensuelle, ce qui n’empêcha pas à Alexia de laisser échapper un léger rire lorsqu’il passa ses mains sur son point faible. C’était sur les cotés de son ventres et un peu plus haut que les hanches. C’était le seul endroit où Miss Sullivan avait des chatouilles et il a fallut que Max y déposes des mains de sorcier. L’extase. En de telles situation, là dans l’eau avec un être qu’elle connait que trop bien, le monde semblait si simple et exaltant. Le bonheur quoi. Mais le bonheur engendre le malheur…
Au départ, Alexia n’avait pas très bien saisit la chose. C’est vrai quoi, Maximilien avait subitement cessé d’étreindre la jeune fille. L’air à la fois perplexe et légèrement contrariée, Alexia remarqua alors ce qui était en train de se produire. Un tourbillon d’eau prenait naissance au milieu du bassin s’intensifiant de seconde en seconde. Pétrifiée par l’incompréhension et l’horreur, Alexia eut à peine le temps de porter son regard sur Maximilien afin d’obtenir de quelconques réponses à tous cela qu’il la prit immédiatement par le bras et les fit sortir rapidement du bassin avant qu’ils ne puissent être englouti par le tourbillon d’eau. Totalement nus et trempés, ils restèrent brièvement abasourdit devant ce phénomène étrange. L’eau du bassin se métamorphosait en un immense trou noir et violent. Dire qu’il y a quelques secondes avant, ils étaient là dedans tranquillement en train de se fricoter sans l’âme du doute que quelque chose allait se passer de grave.
- Mais…Qu’est ce que c’est que ça ?
- Je…je n’en sais rien, notre ardeur à fait trop bouillir l’eau ?
En d’autres situations, cela aurait sans doute était drôle d’en rire à cette phrase mais Alexia ne l’avait aucunement dit sur le ton de ironie, au contraire, c’était plutôt dans le sens dramatique de la situation que la jeune fille avait laissé échappé un tel commentaire. Le regard toujours virée sur cette ‘chose’, Alexia se laissa guider par les bons réflexes du jeune Serdaigle, reculant du bassin. Alors que Maximilien se précipita sur la porte pour tenter d’échapper à ce phénomène, Alexia resta bêtement planté au milieu de la pièce, nue jusqu’au os, admirant le spectacle du tourbillon magique. Trouvant dans un premier temps, ce spectacle étonnant et inhabituel, elle considérait une chance inouïe d’être témoin d’un tourbillon de la sorte. Ce n’était pas tout les jours que cela arrivait de tels événements dans une vie. Puis très vite ses pensées divergèrent dans un tout autre sens. La vie…qu’est-ce la vie lorsqu’on sait qu’il y a une fin ? après la vie, c’est le néant…comme ce trou noir qui se forme au centre du tourbillon. La vie n’est rien alors à quoi bon vivre si c’est pour mourir. Sa maman était morte, elle lui manquait terriblement. Peut être qu’il était temps pour elle aussi de la rejoindre. Rien ne l’attachait réellement à la vie. Alexia avait tout perdu sur terre de ce qu’il y a de plus important, de plus beau. L’amour, la famille, l’estime de soi…Rien. C’était l’heure maintenant…son heure. Mais très vite, ces pensées furent envolées lorsqu’elle vit Maximilien se ruer devant elle chercher sa baguette magique. Mais bien sur ! Il y avait encore une lueur d’espoir sur cette terre. Il y avait la magie et l’amitié !
Se ressaisissant à nouveau, Alexia imita Maximilien et courut chercher sa baguette magique. Heureusement qu’elle l’avait prit ce soir-là ! Puis exécuta le enchantement d’Alohomora sur la porte mais en vain.
- Alohomora ! Alohomora ! Alohomora ! Mais pourquoi ça marche pas ? Alohomora ! Putain on nous apprend quoi en cours ? Alohomora ! Max ?
N’entendant plus les sortilèges de Max, elle se retourna pour savoir ce qu’il faisait. Elle n’eu pas la peine de le découvrir très rapidement par ses propres yeux. Une immense vague s’était formé depuis le bassin d’eau. Le tourbillon s’était formé et avait prit l’allure d’un tsunami maintenant. Jamais elle n’avait vu de chose pareil, c’était surprenant. Non, effrayant ! Alors que Maximilien ne trouva rien d’autre à dire qu’une injure, la jeune serpentard pointa sa baguette d’un coup vif et déterminé vers cette grosse vague. Alexia avait déjà eu son moment d’absence et de frayeur devant ce spectacle alors que Maximilien cherchait une solution. C’était à son tour d’agir.
- Reducto !
Ce fut la seule idée qui lui était venue subitement à l’idée lorsqu’elle avait vu cette grosse vague s’amener sur eux. Si on ne pouvait la faire cesser ou disparaitre, quitte à réduire sa densité au maximum. Mais le résultat ne fut pas fameux. La vague semblait toujours aussi grande.
- Reducto ! Reducto ! Reducto !
A force d’être obstiné, on arrive parfois à ses fins. En effet, Alexia nota une légère diminution de la densité de l’eau… ou était-ce ce qu’elle espérait ?
-Viens par là !
Tirant Maximilien par le bras, elle opta de passer au plan B. Bien que l’eau avait quelque peu diminuer de sa grandeur, ce n’était pas suffisant. Celui qui avait lancé ce sortilège – si s’en était un – était sacrément coriace. Il fallait réfléchir et vite. Amenant avec elle Max, elle s’approcha rapidement de la porte et s’y colla fermement contre elle, face à la vague. Tenant fortement sa baguette d’une main et l’autre la main du jeune homme, elle le regarda un instant espérant à tout prix que son plan allait fonctionner. Tout n’était que question de force et de chance….
- Tiens-toi près de moi Max ! et retenir ton souffle …. Maintenant !
Inspirant profondément, Alexia remplit ses poumons d’air afin de tenir le plus longtemps possible. La jeune Sullivan était une sacrée nageuse depuis son enfance. Adorant l’eau, elle passait beaucoup de temps dans la piscine ou la mer voir même dans sa baignoire. La sensation dans l’eau était plaisante et elle s’y sentait comme un poisson dans l’eau. Dès l’hors, Alexia savait nager parfaitement mais savait également tenir sa respiration un bon moment. Espérant que Maximilien avait également cette faculté. Comme prévu, la vague se dirigea vers les deux jeunes étudiants. Serré l’un contre l’autre auprès de la porte, leur chance de survie était très limite, Alexia le savait bien. Mais elle avait également évalué la situation dans les moindres détails. En temps normaux, une telle vague cause toujours des ravages derrière elle. Ainsi, la porte devrait forcément céder par la force de la nature. Et si ce n’était pas la porte qui céderait, les fenêtres devraient tôt ou tard éclater. Ça c’était le plan C. Mais Alexia préféra s’imaginer la première possibilité car faire une chute de quelques étages, nus dans la nuit ne lui plaisait pas trop. Sa dernière pensée – avant que la vague s’abattit sur eux – fut d’espérer que la force de la nature était bien plus forte que la magie…
Vlam ! l’eau arriva à toute allure sur les deux jeunes gens telle une claque à la figure. Forte, fraiche et dévastatrice, la vague s’abattit sur eux sans aucun remord. Bien qu’Alexia tienne fortement la main de Maximilien, le choc fut plus brutal qu’elle ne le pensait. Une vague faite artificiellement par la magie n’est jamais vraiment semblable à celles de la mer. Et avant même qu’elle ne puisse ouvrir les yeux dans cette eau sauvageonne, Alexia sentit son corps basculer en arrière. La porte avait céder ! Génial ! ou bien la vague les avait emporté ailleurs dans la pièce ? N’ayant même pas le temps d’évaluer ce qu’il se passait, Alexia se trouva emporté loin devant. Et Max ? Ou était-il ? Elle l’avait perdu...sa main avait lâché à un moment. Alors que l’eau l’emportait bien loin, Alexia réussit à relever légèrement sa tête à la recherche de Maximilien. Là, elle le retrouva rapidement. L’eau l’emportait également vers elle. Plus rassurés, Alexia n’avait même pas remarqué ou l’eau les emportait. En effet, la porte avait cédé, les emportant tout au long du couloir. Mais ce qu’avait oublié la jeune serpentard était qu’il y avait une fin à ce couloir… se terminant par des escaliers. Et lorsqu’elle aperçu cela, Alexia tenta de s’orienter du mieux qu’elle pouvait en nageant de coté puis d’un geste vif et rapide, elle attrapa la rampe d’escalier et si accrocha du mieux qu’elle le pouvait. Faisant de même, Maximilien se trouva à ses côtés, tous deux désarçonné. Toute cette scène s’était déroulée en quelques secondes, mais cela avait semblé une éternité pour les deux jeunes poudlariens. Puis peu à peu, le courant diminua. C’était fini. Enfin. Regardant le ruissèlement qui continuait de couler sur les marches d’escaliers, Alexia se tourna vers le Serdaigle et éclata de rire. La situation était drôle en fin de compte. Ils étaient là, tous les deux, trempés jusqu’au os, nus, sur le rebord d’un escalier de l’école et désorienté par ce qui venait de leur arrivé. De quoi en rire en peu nan ? ils aurait très bien mal finir.
- Eh bien ! Poudlard est venu un parc aquatique rien que pour nous !
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Maximilien E. Middle
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| Sujet: Re: Après l'effort |Prio alexia Sullivan| Dim 1 Mar 2009 - 1:39 |
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Il n’y avait pas deux minutes, Maximilien Middle et Alexia Sullivan roucoulaient dans l’immense baignoire ou plutôt piscine : appelons un hippogriffe un hippogriffe. Ils étaient tranquillement assis sur le petit banc, l’un en face de l’autre. Se taquinant, s’embrassant, se câlinant, se caressant. Les mains de Maximilien avaient rapidement trouvés les petits points faibles du corps de la jolie blonde la faisait sursauté et le faisant sourire surtout lui qui aimait tant la sentir respirer tout contre lui. Ils étaient bien dans l’eau, elle les transportait, les amusait, et les emmenait ailleurs. Ils avaient pris l’habitude de se rencontre sur terre pour finir dans les airs mais ils n’avaient presque jamais commencé dans l’eau alors...Cette première fois aurait du être magique. Malheureusement ils n’avaient pas eut de chance car le sort en avait décidé autrement. En effet, en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, Maximilien sentit une légèrement aspiration sur son pied. Surpris il stoppa net les caresses sur sa douce et jeta un coup d’œil vers le centre de la baignoire non, de la piscine. Là, se développait un tourbillon à la base tout petit qui grandit, grandit, grandit pour devenir…Beaucoup trop grand au goût du serdaigle qui attrapa Alexia par la main pour la faire sortir de l’eau. Tant qu’il n’y avait qu’un tourbillon de la baignoire, Maximilien arrivait encore à réfléchir. Ainsi donc il essaya vainement d’ouvrir la porte mais comme cela ne marcha pas il courru chercher sa baguette. Il commença à hurler des alohomora les uns à la suite de l’autre, rapidement imité par la serpentard. Mais rien n’y fit : la porte se tenait obstinément close et encore close. Maximilien commença alors à paniquer un petit coup et se retourna pour essayer de chercher une solution mais notre pauvre petit blond n’était pas au bout de ses surprises : devant lui, dans la piscine, l’eau du tourbillon noir s’était déplacée pour commencer à former autre chose de beaucoup plus effrayant, de beaucoup plus dangereux. En effet, l’eau se rassemblait pour essayer de créer une énorme vague, une vague qui allait s’abattre sur eux dés que toute l’eau de la piscine s’y serait amassée. Elle aurait la force d’un tsunami, elle allait les tuer, les noyer, les empêcher de respirer, leur cogner la tête contre les murs, les faire saigner bref les achever. Maximilien pris par une peur sans nom ne trouva qu’une seule chose à dire. Une chose peu maligne certes, il ne su que dire « oh merde ! » Fin n’est ce pas ? Et surtout très utile mais heureusement tout le monde dans cette pièce n’était pas aussi mou !
Alexia semblait bien décidée à prendre les choses en mains. Maximilien lui n’arrivait pas, c’était son tour d’être paralysé. IL regardé l’eau se soulever pour se placer vers cette vague qui se tenait magnifiquement en suspension comme si elle attendait d’avoir assez de force pour foncer sur eux, comme si elle les regardait dans les yeux, les narguait d’une façon mal saine. Maximilien regardait cette eau s’amasser autours encore et encore dans un torrent de force déchaîné et effrayant. Dans son esprit, la mort allait bientôt l’emporter. Il allait enfin partir, quitter ce monde de souffrance. IL avait de toute façon laisser des lettres dans sa chambre au cas où il lui arrivait quelque chose : une pour Léo, une pour Travis et une pour Elisa. IL n’avait jamais eut peur de la mort, il s’était juste toujours senti bien curieux. Qui avait il après. Son pragmatisme lui disait qu’il n’y avait rien et qu’il fallait tout faire ici bas mais son esprit de serdaigle et d’humain le forçait à croire ou à espérer qu’il y avait une suite, une justice un peu plus haut ou un peu plus bas, peut-être même à gauche ou à droite. Il se préparait en regardant cette eau se former : il allait mourir. L’eau était son élément préféré, elle le fascinait ça tombait bien, non ? C’était la fin mais…Non, Alexia n’en n’avait pas décidé ainsi, c’était à elle de trouver des idées, de mettre en marche son cerveau.
ALEXIA_ « REDUCTO REDUCTO REDUCTO REDUCTO REDUCTO REDUCTO REDUCTO REDUCTO REDUCTO REDUCTO »
MAXIMILIEN_ « REDUCTO REDUCTO REDUCTO REDUCTO REDUCTO REDUCTO REDUCTO REDUCTO REDUCTO REDUCTO »
L’idée n’était pas si mauvaise finalement alors le serdaigle imita rapidement sa petite blonde préférée en hurlant ce sortilège plusieurs fois défilé. Se dégageait alors à chaque fois, une lumière de la baguette qui venait frapper un coin de la vague mais à force d’hurler le sort, à force de le concentrer, de l’envoyer partout, l’eau finit par diminuer. De pas beaucoup mais cela rassura déjà le serdaigle. La vague continuait malgré tout d’aspirer toute l’eau de la baignoire pour se remettre à grandir : ils n’allaient pas s’en sortir…Mais non, maintenant qu’il avait commencé à se battre, Maximilien refusait de se laisser mourir de cette façon. Il tourna sa tête dans tous les sens pour chercher une idée : la porte.
ALEXIA_ « Viens par là ! »
Elle avait eut la même idée que lui. Ils étaient formidable ces deux Morgan(e )s. Alexia lui attrapa alors violement la main et l’attira vers la porte. Tous deux se serrèrent devant. L’eau allait bientôt les attaquer. La vague n’allait pas tarder à charger. ET avec un peu de chance la force qu’elle allait mettre dans cette attaque ferait craquer la porte et les emmèneraient dehors dans un torrent d’eau absolument incroyable. Avec un peu de chances ils seraient sains et saufs et avec la place qu’il y avait dans les couloirs de poudlard il pourrait nager et trouver un endroit où l’eau ne pourrait plus les attaquer. Maximilien avait peur pour Alexia. Lui-même avait une grande capacité de respiration. Depuis sa première année, où il avait fahit se noyer dans le lac il avait décidé de s’entraîner et ainsi donc en été, il allait tous les jours se baigner pour réussir à ne pas respirer le plus longtemps possible. Il espérait vraiment qu’Alexia sache faire de même…
ALEXIA_ « Tiens-toi près de moi Max ! Et retiens ! Ton souffle …. Maintenant ! »
Maximilien tourna alors la tête et vit la bague foncer sur eux à une vitesse folle. Il eut à peine le temps de prendre une dernière bouffée d’oxygène qu’il sentit une grande force le propulser en arrière. Il ne sentit aucun choc dans son dos : la porte avait cédée mais une seconde, où était Alexia. Maximilien ouvrit grand les yeux tandis qu’il se sentait transporter par la vague. Il aperçu les pieds de son amie plus loin devant, elle aussi était prise dans le courrant de cette vague qui allait on ne sait ou…Une seconde…A la fin du couloir il y avait des escaliers. Maximilien serra fortement des dents…C’était positif : l’eau allait descendre de tellement de niveau qu’elle ne remplirait plus tout l’espace mais…Elle allait les emporter avec. L’eau continuait son tour dans les couloirs, elle semblait poussée par encore plus d’eau et là tout d’un coup Max aperçu la première marche en bas de lui. Il releva la tête tandis qu’il essayant de ne pas se faire emmener et là il vit Alexia se tenir à la rampe. IL en fit de même, s’accrochant de toutes ses forces à ce bout de bois il serra les mâchoires tandis que l’eau déferlait sur sa peau essayant vainement de l’emmener avec lui. Un vrai torrent, il avait l’impression d’être sous une cascade, l’eau lui déformait le visage. IL avait mal aux mains, il glissait en arrière mais il devait tenir et puis enfin…Plus d’eau !
IL regarda bien autours de lui et descendit de cette rampe qui lui avait sauvée la vie. Il posa ses pieds par terre : il y avait de l’eau jusqu’à plus de vingt centimètres au dessus du sol. Apparemment elle avait trouvé un barrage plus loin et se trouvait coincée en énorme bassin de façon à remplir le couloirs de la salle de bain des préfets en chef, les escaliers et sans doute aussi le couloirs qui donnait des escaliers de vingt centimètres d’eau. Maximilien se baissa un peu pour respirer, heureux d’être vivant, heureux de sentir l’air s’engouffrer dans ses poumons. Heureux de s’en sortir sans trop de casse. Le château en revanche avait finalement plus souffert qu’eux !
ALEXIA_ « Eh bien ! Poudlard est venu un parc aquatique rien que pour nous ! »
MAXIMILIEN_ « Acio vêtement »
Ce fut tout ce que Maximilien trouva à répondre. Ils allaient devoir s’expliquer devant les professeurs et il n’avait pas envie de le faire tout nus. Les vêtements arrivèrent vers lui à une vitesse folle et le percutèrent dans le visage. Rallant, Max les détacha de sa fasse et leur jeta un sort d’assèchement. Eux étaient mouillés mais tampis. IL enfila rapidement son slip, son pentacours et son t-shert et envoya à Alexia ses habits à elle. Maintenant qu’il était habillé, il allait pouvoir réfléchir. Il soupira et dit alors :
MAXIMILIEN_ « Heureusement que les autres sont en cours…Mais qu’est ce qui a bien pu se passer et comment va-t-on faire pour arranger ça : regarde toute l’eau !! ON va se faire tuer ! »
C'était bien un serdaigle ça, de s'inquiéter pour sa placer dans l'école! Mais finalement la joie d'être en vie reprit le dessus et il courru vers Alexia pour l'embrasser de toute ses forces heureux de se sentir vivant, de la sentir vivante!
[Hide]C'est pas fameux, surtout au niveau ponctuation mais j'ai une migraine de tarrée. Je tenais quand même à te répondre. je vais voir si ça peut pas nous servir de complément d'intrigue aussi parce que bah voilà le château est mouillée donc tout se répare pas d'un coup [/hide]
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Alexia Sullivan
Serpentard
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| Sujet: Re: Après l'effort |Prio alexia Sullivan| Sam 14 Mar 2009 - 16:28 |
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« Ce qui monte doit redescendre »
Robert De Niro
L’eau. Source de vie. Ce liquide si pur et vital pour autrui peut tout aussi bien se révéler comme un destructeur sans pitié. Tantôt calme puis agité, un rien peut rendre cette eau innocente en une tempête monstrueuse. Une seule goutte d’eau suffit parfois de troubler le calme, de faire renverser son contenu ou rendre la joie de certain. L’eau, employé comme une boisson, elle est vitale pour les êtres vivants. Employée également comme défense contre le feu, l’eau peut apporter nombreux avantages comme des inconvénients. Inondations, tempêtes, naufrages, noyades, l’eau est regorgé de danger.
Lorsque l’immense vague s’était élevée devant les deux jeunes étudiants, il restait peut de chance pour qu’ils puissent s’en sortir indemne. Fort heureusement, les probabilités étaient souvent une science inexacte lorsque le hasard, le destin, la chance mais surtout la magie entraient dans la ligne de course. En effet, Alexia s’était empressée d’user un sortilège pour réduire la densité de la vague. Rapidement suivit de Maximilien, ils avaient essayé en vain de s’en sortir sans mal. Malheureusement, le sortilège ne fut pas très convaincant et les deux jeunes gens durent se contenter de la chance et de la loi de la nature. La porte avait rapidement cédé à la force de l’eau, emportant derrière elle l’afflux du courant avec une blonde et un Serdaigle en prime.
Tentant de toute ses forces d’échapper à la noyade ou de se casser la figure contre un mur, Alexia s’agrippa rapidement à une rampe pour ne pas se laisser emporter par l’eau jusqu’au fond des escaliers. Puis peu à peu l’eau s’estompa ou du moins le niveau de l’eau baissa de quelques mètres. Après tout ce qui monte doit bien redescendre… Apparemment quelque chose bloquait le chemin du courant puisqu’il restait encore pas mal d’eau aux pieds des deux aventuriers du jour. Se redressant, l’eau leur arrivait au moins jusqu’aux mollets encore. Sur le choc encore, Alexia resta quelques instants inerte face à l’ampleur de leur aventure aquatique. L’eau s’était étendu dans les couloirs, les escaliers, trouvant à chaque fois une fissure pour s’y infiltré. Voila ce que c’était l’eau : une substance liquide qui se diluait dès qu’elle le pouvait. Tenir de l’eau au creux de sa main est possible mais serrez les poings et l’eau s’y échappe. Le château était bien mouillé par endroits. Quels dégâts !
- Eh bien ! Poudlard est venu un parc aquatique rien que pour nous !
- Acio vêtement
Aussi rapidement que les paroles du jeune Serdaigle, les vêtements des deux jeunes gens arrivèrent à eux en un claquement de doigts ou plutôt foulé de poignet. Maximilien laissa échapper sa rage lorsque leurs habits percutèrent son visage par l’ampleur de leur course. Sans doute encore sous le choc, la peur et la colère, Maximilien s’empressa de les sécher et de s’habiller civilement. Alexia ne put s’empêcher de sourire. Bien que toute cette aventure n’était pas si drôle que cela et qu’ils se trouvaient nu dans les couloirs du château, la jeune blonde ne put s’empêcher de glousser légèrement. C’était comme ça. Alexia ne pouvait rester sérieuse bien longtemps, il fallait toujours qu’elle trouve quelque chose de positif pour se redonner courage et du peps. Puis elle s’habilla également, le sourire aux lèvres, avant que quelqu’un viennent à eux. Ce phénomène étrange n’avait surement pas passé inaperçu pour le reste de l’école. Une fois les boutons de sa chemises attaché, la jeune serpentard passa sa main sur sa chevelure doré histoire de les remettre en place (narcissisme quand tu nous tiens) mais aussi par geste instinctif lorsqu’elle réfléchissait devant une situation étrange.
- Heureusement que les autres sont en cours…Mais qu’est ce qui a bien pu se passer et comment va-t-on faire pour arranger ça : regarde toute l’eau !! ON va se faire tuer !
- Je sais pas… je comprends pas ce qu’il s’est passé. Soit il y a un problème dans les canalisations, soit c’est une blague de très mauvais goût. Je suis sur que les deux potiches de Cleveland et Campbell sont sur le coup. Elles vont voir ce que je leur réserverais.
Du Alexia tout craché. Ce ne devait jamais être sa faute, il fallait toujours qu’elle mette la cause à quelque chose ou quelqu’un d’autre. Si les deux potiches de Gryffondors lui étaient venu tout de suite à l’idée c’était en partie pour leur réputation d’emmerdeuse mais aussi parque ces deux blondes n’étaient pas vraiment, pas du tout même dans le cœur de Miss Sullivan. Alexia les détestait et c’était réciproque. Cela devait sans aucun doutes elles qui avaient manigance ce genre de blague stupide sans aucune responsabilité des conséquences c’est sur…ou du moins c’était ce que pensait Alexia. Pour elle, tout ce qui venait de se passer n’étaient pas sa faute. D’ailleurs c’était bien vrai, Maximilien et Alexia n’avaient rien fait de mal…enfin n’avaient pas provoqué ce rade marais en tout cas. Mais cela ne sera surement pas le même avis du corps enseignant lorsqu’ils verront toute cette eau s’écouler dans le château. A peine avait-elle terminé sa phrase que le jeune Serdaigle se précipita vers elle et l’embrassa fougueusement. Surprise non par le faite qu’il l’embrasse – car ce n’était pas la première fois, loin de là – mais par la vivacité de l’acte, Alexia eut à peine le temps de rendre ce baiser. Signe de joie d’être en vie, Maximilien laissait parler ses sentiments après avoir encouru cette aventure surprenante. Une fois leurs lèvres détachées, un rire cristallin s’échappa des lèvres de la jeune serpentard. C’est vrai, ils étaient en vie. Ils avaient échappé belle. Quel bonheur. Quelle sensation ! Une sensation d’immortalité, de puissance comme si on leur avait enlevé la peur de la fin, de la mort. Son rire s’éleva dans les airs et fit résonner le couloir où ils se trouvaient tout les deux. Là, les pieds dans l’eau, désarçonné par tout ce qui venait de leur arrivé. Alexia ne pouvait plus s’empêcher de rire. Comme si son rire était semblable au cri d’un nouveau né, la jeune fille rit de plus belle. C’est vrai, ils étaient en vie.
- Après ça, rien ne peut nous tuer ! répondit-elle entre deux rires à la réplique de son ami.
Beaucoup plus insouciante que Maximilien, Alexia ne prenait pas encore conscience des dégâts et des conséquences qui s’en suivront. Le serdaigle avait raison après tout : ils étaient les seuls à avoir été témoin de ce désastre et donc les premiers soupçonné dans l’affaire. Ils allaient sans doute passer de mauvais quarts d’heure lorsque les professeurs arriveront. Et c’est ainsi, sans doute alerté par le rire de la serpentard mais surtout par l’écoulement inhabituel de l’eau dans tout Poudlard qu’une voix interrompu le rire d’Alexia pour de bon.
- Il n’y a pas de quoi rire Miss Sullivan ! Puis-je savoir ce qu’il s’est passé au juste ?
Se retournant précipitamment vers la personne qui venait d’arrivé, elle se mordit la lèvre inférieur pour cesser de rire. Et voila que l’ordre revenait troubler la fête. Un professeur était venu jusqu’à eux pour avoir des explications. Jetant un coup d’œil à Maximilien, elle préféra s’abstenir de prendre la parole au risque de dire des conneries de son genre. Après tout, Max était un préfet, il avait bien plus d’habitude de s’expliquer. Enfin c’était surtout par son grade de préfet qu’Alexia trouva plus astucieux de lui laisser la parole. Quelqu’un de plus responsable qu’elle est toujours mieux vu chez les professeurs.
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Maximilien E. Middle
Admin | Serdaigle
Loosing control...Help him to get up!
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Amour : Loréana Wilde est et sera pour toujours l'amour de sa vie!
Pensine
Orientation Sexuelle: Bisexuel
Année d'étude: 7ème année
Caractère: Sincère, honnête, fou, motivé, drôle, beau parleur, inteligent, charmeur, loyal, passioné, passionant, têtu, bien élevé, révolutionnaire, débrouillard, autonome, sarcastique, protecteur, volontaire, amusant, sportif, classe, patient, franc, écrivain, artiste! etc
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| Sujet: Re: Après l'effort |Prio alexia Sullivan| Dim 18 Oct 2009 - 19:00 |
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Résumé de fin:
Suite à l'arrivée du professeur, Maximilien expliqua les évènements du mieux qu'il put, se retenant de rire au maximum parce que finalement il y avait eut bien plus de peur que de mal. Une fois la situation tirée au claire dans le bureau du directeur Alexia et Maximilien prirent chacun le chemin de leur propre salle commune, se promettant de se revoir rapidement et cette fois-ci, si possible, sans risque de massacre!
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| Sujet: Re: Après l'effort |Prio alexia Sullivan| |
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Après l'effort |Prio alexia Sullivan| |
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