Appelo Mor†em (old)
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Comme dans le temps... [FINI] Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
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MessageSujet: Comme dans le temps... [FINI] Comme dans le temps... [FINI] Icon_minitimeMar 2 Sep 2008 - 18:04

[Prio' à Maximillien ^^]


Découvrez Lady GaGa!

Parfois il y a des moments où
Il est impossible de ne pas résister.



    Quand l’envie vous prend d’aller danser et quand on est une fille dénommée Keiko il est impossible de ne pas succomber à cet envi. Elle se regardait maintenant dans son miroir depuis une demi heure, elle se préparait en vue de cette sortie au bar. Elle y allait seule, tout simplement parce qu’elle savait qu’elle reviendrait accompagnée, tout était une question de feeling et il fallait avouer que Keiko était très difficile à essayer de dissuader lorsqu’elle voulait quelque chose. Ils étaient encore qu’au début de leur cinquième année mais la japonaise commençait réellement à s’emmerder et elle avait eu la merveilleuse idée d’aller se lâcher dans son bar préféré, mais miteux de Pré-au-lard. Après avoir prise une longue douche elle avait tout d’abord commencer par arranger ses cheveux, les séchant et les bouclants au fer, comme elle le faisait pratiquement à chaque jour. Les filles sont toujours pareilles, lorsqu’elles sont les cheveux naturellement droits, elles les frisent, et le contraire vaut aussi. C’est donc pourquoi la japonaise passait son temps à faire ses cheveux se trouvant largement mieux ainsi, chose totalement futile avouons-le. S’étalant du khôl en dessous et au dessous des yeux, un peu de mascara et de gloss et voilà ce que constituait son maquillage simple mais relativement divin. Lorsqu’elle fut fin prête, elle se dirigea vers sa penderie pour en sortir un de ses ensembles favori. Un haut ample orange et une minijupe kaki, il avait sut se révéler très fructueux toutes les fois où elle l’avait porté, comme si c’était son ensemble porte-bonheur… Ou plutôt son ensemble qui signifiait clairement, je suis jeune mais je m’en fiche parce que je fais des choses 18 ans et plus. Elle se rappelle également des mots de son frère la première fois qu’elle l’avait porté.

    « Tu vas inciter au viol habillée comme ça... »

    Si seulement Kazuya savait ce que Keiko en pensait il ferait probablement une crise cardiaque. Non mais écoutez, il était clair que si elle s’habillait de la sorte ce n’était pas pour paraître prude, loin de là… Pourtant elle ne pouvait certainement pas dire à son frère que c’est quasiment ce qu’elle espérait que cette tenue lui ferait… Oui, elle était parfois très méchante avec lui, mais elle savait comment bien s’entendre avec son frère, et ce ne serait surtout pas en lui disant qu’elle coucherait avec un mec dans la soirée. Il détestait ça lorsqu’elle revenait tard au milieu de la nuit… Ça n’arrivait que peu souvent lorsqu’ils étaient à la maison alors il savait très bien qu’elle se laisse aller rendue à Poudlard. Keiko chassa rapidement cette phrase de sa tête, elle commençait à lui faire tourner la tête et elle ne devait pas être malade avant d’avoir au moins but quelques verres! Ses talons hauts et son manteau en places, la japonaise était prête à cette soirée de rêve. À mesure qu’elle s’approchait de la sortie, elle devait faire de plus en plus attention aux préfets et professeur. Il devait être maintenant minuit et il ne fallait pas qu’elle se fasse prendre dans cette tenue! Elle put enfin se relâcher lorsqu’elle mis les pieds dehors, il fallait avouer qu’elle avait un certain talent de s’évader en douce. Il faisait plutôt beau pour une soirée comme celle-ci, on pouvait tout de même sentir une petite brise qui annonçait le début de l’automne.

    La brunette pouvait déjà apercevoir les premiers bâtiments du village et un sourire se glissait déjà sur ses lèvres à la penser de l’être qui aurait la chance de la posséder ce soir. Il serait beau, non il serait l’homme le plus magnifique du bar et ce serait elle qui aurait le chance de l’avoir tout entier. Non Keiko n’était pas une adolescente comme les autres, elle avait des goûts bien trop mature pour son âge mais elle ne pourrait hélas jamais changer. C’est lorsqu’elle goûta au sexe pour la première fois qu’il devint indispensable à sa survie. La japonaise était déjà en train de se balader dans les rues malfamées de pré-au-lard prenant bien soin d,éviter les regard des vieux sorciers dégelasse qui la sifflait lorsqu’elle passait. Rendue à la porte d’un établissement, son regard se leva vers un écriteau où était inscrit le nom : « L’épouvantard. » Alors qu’elle laissait aller son regard vers l’enseigne son capuchon qui couvrait sa tête n’eut autre choix que descendre. Elle s’en fichait à ce point-là, plus besoin de se cacher, elle était rendue où elle souhaitait. Elle entra sans chiche, normal elle venait souvent et dans ce bar miteux il se fichait bien de l’âge des clients, tant qu’il avait de quoi payer des consommations. Elle se dirigea directement vers le bar sans regarder autour d’elle; elle le ferait bien installée. La brunette commanda immédiatement un whisky pur feu, non, elle n’avait peur de rien et surtout pas de se saouler comme jamais… De cette façon elle avait l’impression d’apprécier encore plus le moment… Une fois son verre complètement avalé et un autre commandé, elle fit un tour de salle et remarqua immédiatement ce qu’elle voulait. Le plus beau mec du bar se tenait avec ce qui semblait être ses amis quelques pas plus loin. Et il s'avérrait que cette beauté, elle le connaissait déjà, enfin, ils se connaissaient déjà très intimement. Un sourire mesquin se dessina sur son visage, il avait répondu à son appel... Son fidèle Maximillien... Pourtant il était venu avec ses amis... pour faire sensation probablement? D'un pas décidé elle s'approcha de la bande et s'assoya devant l'homme aux yeux azurs.


    KEIKO_ Salut Max' tu me présentes?

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Maximilien E. Middle
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Caractère: Sincère, honnête, fou, motivé, drôle, beau parleur, inteligent, charmeur, loyal, passioné, passionant, têtu, bien élevé, révolutionnaire, débrouillard, autonome, sarcastique, protecteur, volontaire, amusant, sportif, classe, patient, franc, écrivain, artiste! etc

MessageSujet: Re: Comme dans le temps... [FINI] Comme dans le temps... [FINI] Icon_minitimeDim 14 Sep 2008 - 19:14

    Chère Elisa,
    Je ne sais pas trop par quoi commencer ma lettre, il faut reconnaître qu’il y a bien longtemps que je ne t’ai pas écris. Et j’en suis sincèrement désolé. La dernière lettre que j’ai reçu de toi était pendant les vacances et j’aurai du t’en envoyer une à ma rentrée comme je l’ai fait chaque année mais je n’ai pas eut le temps. Cette année, j’ai été nommé préfet en chef, et oui tu peux être fière de ton Maximimi et puis le frère jumeau de mon meilleur ami, tu sais Travis, a été retrouvé mort le soir même de la rentrée du coup il ne va pas fort. En plus de cela, Léo est de nouveau dans le rouge, en parlant de lui, il veut que je te remette le bonjour, il t’embrasse fort.
    Mais revenons à moi ! Bah tu sais y’a jamais grand-chose à dire sur ton vieux Middle. Je suis de plus en plus nul, tout s’écroule autours de moi, j’ai de plus en plus de mal à tenir debout, mes nuits d’insomnies reviennent à grand pas et j’ai de nouveau des terreurs nocturnes. Je sais ce que tu vas me dire, Elisa, que c’est parce que je m’en fais trop pour les autres et que je dois arrêter de prendre les malheurs du monde sur mon dos mais je n’y arrive pas. J’aime aider les autres et puis, je n’arrive pas à laisser quelqu’un dans le malheur. Mais tu sais tout cela, n’est ce pas ? Sinon quant au reste bah rien ne change de d’habitude, j’ai des bonnes notes et j’ai eut un optimal à mon premier devoir de potion, je travail bien. J’avance dans mes chansons de guitares et avec Léo et Travis on s’amuse bien ? Niveau amour, tu sais la routine, oh je sais que tu détestes cela mais je ne les forces pas, tu le sais bien, elles sont consentantes et ils sont consentants…Et tu sais bien que je ne couche pas par pur plaisir…Malheureusement et qu’il y a un tas de chose qui se cache derrière mais il faudra que je te parle d’un femme en particulier quand même. Je t’en avais déjà parler il s’agit de Loreana Wilde, une longue histoire…
    Voilà, en espérant avoir rapidement de tes nouvelles et de celles de Lucas, envoies moi des photos si possible. D’ailleurs je t’ai donné quelques photos de Travis, Léo et moi avec, dans l’enveloppe.
    Envoie moi Lorelai le plus vite possible avec ta réponse.
    Tu me manques !
    Ton Maximilien qui t’aime !


    LEO_ « Maximilien qu’est ce que tu fais ? »
    MAXIMILIEN_ « Dors Choup’s, j’ai écris une lettre à Elisa, je vais la poster, je reviens ! »

    Maximilien se leva alors, il était encore tout habillé son pentacours noir lui tombait sur les hanches et son t-shert blanc lui collait à la peau, il enfila rapidement ses baskets et sortit sur la pointe des pieds après un rapide signe de la main à son meilleur ami ! Il se mit alors à courir dans les couloirs, il avait hâte d’envoyer cette lettre à cette femme qu’il considérait comme sa mère et surtout il avait hâte d’avoir sa réponse…Il traversa donc le septième étage à tout allure pour arrivé à l’escalier qui menait à la volière. Il grimpa les marches quatre à quatre et une fois à l’intérieur siffla sa chouette : Lorelai qui vint tout de suite vers lui…Il lui accrocha la lettre, lui donna l’adresse et admira le petit animal blanc s’envoler au loin à l’horizon dans la nuit noir ! Il se mit alors à redescendre, cette fois-ci bien plus lentement, totalement décontracté, les mains dans les poches mais alors qu’il s’apprêtait à tourner à l’angle d’un couloir, une main se posa sur son épaule…Max se retourna en sursaut et tomba nez à nez avec un gryffondor derrière lequel s’entassait quelques poufsouffle, serdaigles et autres gryffondor mais bizarrement aucun serpentard ! Maximilien serra alors la main du gryffondor qu’il connaissait être son ami et frappa sa main contre son cœur une fois que ce fut fait avant de dire d’une voix amusé, accompagnée d’un grand sourire :

    MAXIMILIEN_ « Que puis-je pour toi, Greg ? »
    GREGOIRE_ « Maximilien en personne ! Depuis combien de temps ne s’est on pas vu ? »
    MAXIMILIEN_ « Je dirai deux nuits, allez vieux frère, je t’écoute ! »
    GREGOIRE_ « Un petit tout dans un boîte de nuit te dis »

    Maximilien le regarda avec un sourire amusé tandis qu’il observait discrètement les personnes agglutinées derrière Grégoire. Il en connaissait certains bien, d’autres moins bien et d’autres encore pas du tout mais els remarques fusaient… « Tu es fou Greg il est préfet ! » « Relax, c’est Maximilien, tout le monde le connait » « Ah bon » « Ouai ! Il est super, tu verras ! »…Maximilien en aurait rie mais il décida de se moquer encore un peu de ceux qui l’avaient reconnu et mieux encore de ceux qui ne le connaissaient pas. Il fit un clin d’œil à Grégoire et dit d’un ton amusé !

    MAXIMILIEN_ « Tu sais que je devrais te mettre en retenue ! »
    GREGOIRE_ « Mais tu n’oserai pas, faux frère!»
    MAXIMILIEN_ « Bien sur que non, dragon va, allez on y va les gars et si jamais on rencontre un préfet stupide, planquez derrière moi…je vous cacherai ! »

    Ce qui était bien sur impossible vu que Max était mince comme un clou mais c’était par principe…Les jeunes, souriants, se mirent donc à suivre Mister Maximilien Middle avec un sourire tandis que le serdaigle discutait avec son ami le griffon qu’il n’avait pas vu depuis…Bah deux jours ! Traversant les couloirs aux pas de course, ils arrivèrent dans le parc à travers lequel il coururent pour enfin atteindre le portail qu’ils passèrent sans problème…Il se mirent alors à plaisanter, Grégoire sortit quelques cigarette et bouteilles qu’il avait déjà avec lui dans son sac à dos et les fit passer et c’est donc la cigarette au bec, suivi par une sorte de fan club que Maximimi pénétra dans la boîte de nuit. Il s’installa au barre entouré de tous ces jeunes gens lorsqu’une voix de fille parvint à ses oreilles :

    KEIKO_ « Salut Max' tu me présentes? »

    Il se retourna vivement pour faire face à cette fille qu’il ne connaissait que trop bien et avec laquelle il avait passé plusieurs nuits magnifiques. Il lui mit la main sur la hanche et dis alors d’une voix amusée :

    MAXIMILIEN_ « Salut Keiko, Si bien sûr voici Grégoire, Lucas, John, Nicolas, Steven, Nora, Samantha, Noé, Coralie, Jessica et les autres…Tu t’en fiche ! Qu’est ce que tu fais là, toute seule, ma belle ? »

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MessageSujet: Re: Comme dans le temps... [FINI] Comme dans le temps... [FINI] Icon_minitimeLun 15 Sep 2008 - 6:10

[Ouf, ça faisait un bail que je n’avais pas écrit avec Keiko. ^^]

    Parfois, il arrivait qu’on avait une indéfinissable envie de sortir et d’aller faire la fête, peu importe si les autres eux ne voulaient pas y aller, peu importe si on serait seul, quand bien même on pourrait aller boire et se trémousser sur la piste de danse. Pourtant, ce genre d’envie arrivait probablement beaucoup trop souvent pour la jeune japonaise qui se faisait une joie de sortir en boîte au moins une fois par semaine, sans ça elle avait une humeur de cochon. C’est donc sous cette idée que Keiko était sortit dans sa boîte de nuit préférée, bon la seule de pré-au-lard mise à part l’Épouvantard. Elle y était tellement souvent que les gardes la laissaient passer sans faire de chichi, il faut avouer qu’elle sait très bien comment convaincre les hommes par ses charmes et il avait suffit peu de temps avant qu’elle aille ce genre de permission. Ensuite, les alcoolos du bar, elle les connaissait presque tous, bien que c’était plutôt eux qui s’intéressait d’abord à elle. Elle prenait toujours le même cocktail, comme si ses goûts ne changeaient jamais au sujet de ses humeurs, dieu savait qu’elle avait pourtant mille différents caractères. C’était comme ça avec cette fille, elle pouvait aussi bien être a votre cou une soirée et l’autre, vouloir vous défoncer la tronche juste parce qu’elle ne vous aime pas. Il y avait cependant certaines personnes qui avaient toujours droit à une humeur joyeuse, ses amis par exemple, ou même ses préférés, certaines ses garçons qui eurent la chance de goûter à une nuit passer à ses côtés. Là encore, le choix devenait plus restreint car il était rare que la jeune revoie ses one night, et ses préférés n’étaient pas les derniers cons de la planète, au contraire. Avec ses garçons, elle voyait peut-être la chance de former un couple, mais comment pouvait-on vraiment appelée ça un couple si la jeune fille ne savait aimer? Le mot amour semblait être pour elle un parfait mystère et plus le temps avançait plus elle se disait qu’elle ne le méritait surement pas… Et puis si quelqu’un le méritait bien avant elle c’était son bien-aimé frère Kazuya. Elle souhaitait à chaque jour qu’il se trouve sa princesse adorée, qui la chérirait comme il le méritait. Comment Keiko ne pouvait-elle pas remarquer que son frère était plutôt intéressé par les hommes? C’était la meilleure question pour le moment, on aurait dit qu’elle essayait de rester aveugle devant la vérité. Pourtant, qu’il soit gay elle en avait beau faire, et puis pourquoi ne lui disait-il pas lui? C’était Kazuya qui devait d’abord s’assumer même si tout le monde se doute que sur le coup, il y aura comme un branlebas de combat et la personne qui se trouvera sous ses canons devra en payer de ses actes… Agressive vous dites? Oh et vous n’avez encore rien vu croyez moi!

    Déjà quelques verres dans le corps, la japonaise avait attendue que peu de temps avant de trouver enfin satisfaction. Celui qu’elle préférait d’entre tous, celui qui avait la chance de la revoir maintes et maintes fois, celui pour qui il était le plus mystérieux. En fait, elle avait l’impression de se retrouver devant un miroir, lui ce garçon qui semblait se foutre de la vie comme elle, ou plutôt se foutre des gens dans son lit sans percevoir la moindre fatigue. Même s’il allait voir ailleurs, et partout si on pouvait le dire, Maximimi était son petit chéri et ce fait d’infidélité elle en avait rien à rebattre, surtout qu’elle faisait pareil de son côté… Bref, il ne lui avait pas fallu grand temps avant qu’elle aille le rejoindre, même s’il était avec une grande bande. Elle doutait de ses gestes, et surtout de ses amis, est-ce qu’il les connaissait réellement tous? Elle en avait peine à y croire et c’est avec un sourire mesquin qu’elle lui avait demandé de lui présenter ses amis. Lorsque le garçon se retourna vers elle, un moment d’un regard, elle savait qu’est-ce qu’il ferait par la suite et c’est avec un sourire satisfait qu’elle sentit la main du serdaigle se poser sur sa hanche, comme en signe de possession. Ainsi posée, elle put enfin regarder un à un les personnes qui se trouvaient avec lui, plusieurs garçons, qu’elle ne connaissait de vue, certain était plutôt mignon, mais jamais plus que Maximillien. Comme s’il se tenait avec des personnes moins éclatantes que lui pour le faire sortir du lot. Autre chose qu’elle appréciait de lui, il était également en compagnie de femmes, signe qu’il ne s’en tenait pas aux convenances. Enfin, le châtain se décida à prendre la parole :


    M. « Salut Keiko, Si bien sûr voici Grégoire, Lucas, John, Nicolas, Steven, Nora, Samantha, Noé, Coralie, Jessica et les autres…Tu t’en fiche ! Qu’est ce que tu fais là, toute seule, ma belle ? »

    Un sourire éclatant aux lèvres, la jaune et noir avait regardé chaque personne présentée, du moins toutes celles nommées. Elle savait qu’il ne les connaissait pas tous et c’est avec un air amusé et blasé qu’il l’avait fait savoir, un Maximimi à son meilleur! Était-ce à cause de la boisson ou parce que son homme se trouvait à ses côtés que la brunette commençait déjà à avoir les hormones dans le tapis? Le fait était qu’elle avait but que 3 verres chose très peu impressionnante pour la championne en boisson qu’elle était. D’ailleurs elle se rappelait avec nostalgie leur première rencontre, dans se même bar, quelques années plus tôt. Jamais elle ne pourrait oublier cette nuit magique, avec le dieu qu’était Max, qui le pourrait d’ailleurs? Elle porta tranquillement sa boisson à sa bouche pour y goûter son contenue vivifiant avant de se tourner vers ses yeux azurs et de lui dire :

    K « J’espérais trouver une âme charitable…» Se rapprochant de son oreille elle lui souffla : « Pour assouvir mes envies…»

    Son rire mélodieux fusa quelques ses instants, faisant secoué ses épaules frêles d’une jolie façon. Les autres personnes présentes semblaient subjuguées par les deux jeunes, comme si elle lui avait soufflé une promesse d’amour éternel. Chose que la japonaise trouva encore plus drôle, et comme pour camoufler son rire elle finit son verre en quelques gorgées. Oh oui, elle avait une envie qui devait se faire taire, et ce serait seulement par ce bleu et bronze. Elle savait tout de même qu’elle devait paraître quelque peu présentable devant ses gens et elle ne partirait pas tout de suite avec lui… du moins sauf s’il l’emmenait d’abord! Elle se tourna vers les nouvellement présentés et plus poliment que jamais, se nomma dans l’ordre :

    K « Je suis Keiko Ji Miyazaki, de poufsouffle et en 6 ième année.»

    Elle était en train de se demander si les amis du serdaigle avaient tous le même âge. Quoiqu’il en soit, elle remarqua trop facilement un serveur qui passait par-là et lui commanda un autre verre, son quatrième. Plus que deux et elle serait facilement atteignable…

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MessageSujet: Re: Comme dans le temps... [FINI] Comme dans le temps... [FINI] Icon_minitimeLun 15 Sep 2008 - 22:23

    «Le bonheur est dans la possession des êtres ou des choses que l'on aime.
    On doit vivre pour réaliser le bonheur de ces êtres...
    » Ernest Pallascio-Morin


    Il y avait un tas d’amour différent et bien heureusement pour lui, l’homme était capable de tous les abriter à l’intérieur de cœur. Il y avait l’amour que l’on portait à ses parents et qu’on attendant recevoir en retour d’eux. Ce qui n’était jamais arrivé à Maximilien, il n’aimait pas ses parents et ses parents ne l’aimaient pas. Il y avait l’amour d’une sœur, d’un frère aîné, d’une personne de confiance plus âgée qui représentait la sécurité, le calme et la confiance. Cet amour là, Maximilien Middle l’avait connu, sa nounou Elisa, bien que souvent malheureuse, lui avait donné tout ce qu’il avait besoin, elle avait remplacée sa mère et Maximilien lui disait tout ce qu’il avait à lui dire, malheureusement elle était partie et cet amour avait quitté le jeune homme. Il y avait l’amour que l’on portait à un ami, un meilleur ami surtout et cet amour là, Maximilien le connaissait aussi. Il avait Léo, son Léo, la seule personne en qui il avait une confiance aveugle et absolue et puis il y avait Travis, cet ange tombé du ciel avec lequel il se sentait si bien. Il y avait aussi l’amour d’un couple, une personne avec laquelle on était prêt à s’engager toute la vie. Mais cet amour là, Maximimi ne le connaissait pas et se promettait de ne jamais le connaître, il avait trop peur de faire comme ses parents, de s’ignorer à longueur de temps et de faire un enfant qu’il rendrait malheureux. Ensuite il y avait l’amour d’un animal, d’un objet fétiche avec lequel on s’amusait particulièrement bien et à qui on vouait une affection particulière, cet amour là, Maximilien le connaissait. Il y avait sa chouette Lorelai, son chien chez lui qui l’attendait à chaque vacance et puis il y avait le collier qu’Elisa lui avait donné avant de partir, une chaîne qu’il n’enlevait jamais et un tas d’autres objets. Il y avait toute sorte d’amour encore différents mais pour Maximilien il en existait un autre et c’était celui qui lui permettait d’être là et de profiter de chaque instant de la vie : c’était l’amour qu’il portait à tout ces gens qu’il avait…Le terme avoir semble excessive mais c’était vraiment cela, Grégoire et toute sa bande étaient à ses pieds et ils n’étaient pas les seuls oh bien sûr Maximilien s’en fichait et aurait préféré qu’ils soient à même niveau mais ce n’étai pas eux qui l’intéressaient mais surtout ces femmes et hommes qu’il possédait la nuit et à qui il servait aussi d’objet. Il les aimait à sa façon, les haïssant pour les avoir aimer une seule nuit mais ils étaient siens et ils étaient libres…Une seule chose que tout le monde savait bien : lorsque Maximilien Middle était dans les parages aucuns autres amants ne comptaient que lui !

    Ainsi donc, il aimait pouvoir jouir de ses privilège mais il était toujours correct et c’était sans doute ce qui faisait sa particularité parce que oui, ces femmes qu’il prenait comme ça, il les respectait sans doute bien plus que n’importe qui et c’était aussi pourquoi elle aimait être avec lui parce que malgré cette fougue, malgré le sexe, malgré les marques de possession, Maximilien les respectait, les vénérait même et se mettait au même niveaux qu’elles, toutes ces conquêtes, étaient ses égaux et il ne se considérait pas forcément supérieur, bien au contraire mais cela ne l’empêchait pas de marquer SON territoire et tout le monde savait qu’il ne fallait pas toucher les filles que Maximilien convoitait lorsqu’il était dans la pièce et pour être bien sûr que toute la bande avait bien compris la chose, il avait passé sa main autour de la hanche de la jeune Keiko dont l’haleine puait déjà l’alcool mais il s’en fichait, il n’allait pas tarder à avoir la même et puis elle était si belle…Si sexy…Si parfaite. Il lui fit un clin d’œil en lui énumérant les noms de tous ceux qui étaient là et il était même persuadé que la poufsouffle avait déjà oublié complètement tous les noms…Enfin bon, il avait décidé de lui retourna la question et attendait avec impatience la réponse :


    KEIKO_ « J’espérais trouver une âme charitable…Pour assouvir mes envies…»

    Elle lui avait murmuré ces derniers mots d’une voix chaude et sensuelle en plein dans le lobe de l’oreille et Maximilien ne put retenir à frisson tandis qu’il commençait à faire bouger sa main, la faisant caresser doucement mais tranquillement la hanche de la jolie jaune et noir tandis qu’il sentait derrière lui, les mains de plusieurs des filles du groupes se poser sur ses épaules. Malheureusement pour elle, elle ne savait pas que Keiko était du même genre que Maximilien et que personne ne touchait une conquête de la japonaise lorsqu’elle le voulait ainsi donc, ici au milieu de cette boîte de nuit, Keiko et Maximilien semblaient s’appartenir l’un à l’autre. Et les gens semblaient bien impressionné par la beauté, le calme et l’attitude que dégageaient les deux adolescents. Sûr d’eux, jouant un jeu qui n’étaient pas de leur âge et qui suscitait l’admiration de tous les jeunes présents ici, leurs camarades y comprit mais keiko décida de ne pas faire bande à part et se retourna alors vers tout le monde et leur dit avec un grand sourire, tandis que Maximilien gardait la main sur sa hanche :

    KEIKO_ « Je suis Keiko Ji Miyazaki, de poufsouffle et en 6 ème année.»
    GREGOIRE_ « Salut, Maximilien m’a déjà parlé de toi ! Les gars et les filles vous pourrez saluer l’amie de Max ! »
    BANDE_ « Salut ! »

    Maximilien eut un petit sourire en voyant tous ces gosses de son âge et moins ou peut-être plus totalement en admiration devant lui et devant keiko et qui obéissait au doigts et à l’œil à Grégoire qui lui-même obéissait au doigt et à l’œil à Maximilien. De drôles de choses les relations humaines, quoi qu’il en soit…Maximimi sentit le corps de Keiko bouger sous ses mains et il fronça les sourcils et la sentant se dégager un peu mais fut ravi de voir que ce n’était que pour attraper un verre sur le plateau d’un pauvre serveur qui essayait de se faufiler pour attendre une table au fond de la boîte où les gens semblaient avoir commander cette boisson et le monsieur ne semblait pas ravi de se faire piquer son cocktail qu’il avait préparé pour quelqu’un d’autre. Max devança alors les choses et sortit un billet de sa poche qu’il tendit au serveur avant de dire d’une voix froide, toujours les mains posées sur la hanche de Keiko :

    MAXIMILIEN_ « Tournée générale pour tout le monde, mon chère, apportez nous une bonne vingtaine de whyski peur feu. Ce billet c’est pour vous et je paye tous les verres de la demoiselles…Mettez le sur la note de Middle, ils sauront qui sait, tu ma l’air d’un bleu toi, le serveur. » Puis se tournant vers keiko « Et toi chérie, je te fais emmener un autre verre déjà ? »


Pourri je sais, mais j'ai du mal ces temps-ci

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MessageSujet: Re: Comme dans le temps... [FINI] Comme dans le temps... [FINI] Icon_minitimeMar 23 Sep 2008 - 3:47

    Si l’amour est une chose acquise pour tous et bien il n’en serait jamais de même pour la Japonaise. Bien sûr, on parle ici de vrai amour, entre un homme et une femme, deux personnes qui se complètent sous tous les points pour former une seul et même entité. Jamais la brunette ne pouvait expliquer à autrui ce qu’était réellement l’amour puisqu’elle n’arrivait même pas à le comprendre elle-même. Elle n’avait même jamais passé prêt de tomber folle amoureuse de quelqu’un, d’habitude c’était ses copains qui le faisaient. Elle pouvait facilement ce compter des petits amis sur toutes ses deux mains, et elle n’avait même pas assez de doigts. Elle arrivait tout de même à se rappeler de chacun, de leur nom, de leur visage, de leur façon de l’embrasser et bien plus encore, elle arrivait à être reconnaissante pour tous ses garçons puisqu’ils leur avaient fait croire à quelque chose de plus profonds que des aventures d’un soir. Voilà pourquoi elle ne connaissait rien à se sentiment, elle ne l’avait jamais vécu. Il y avait cependant quelques historie dans sa vie qui aurait put lui faire croire à un début de sentiments mais hélas ses deux personnes étaient des femmes. Toutes deux majeures, Valérie et Mei-Lin était les seules personnes envers qui elle éprouvait une once de quelque chose, ce n’était pas de l’amour mais c’était déjà beaucoup plus que pour les autres hommes. C’était probablement justement parce qu’elles étaient des femmes que ce qu’elle éprouvait pour elles était différent, comme si elle avait l’impression que le courant passait plus entre les demoiselles. Hélas, même si elle pouvait voir de l’espoir dans ses relations, elle avait un sentiment qui lui faisait vibrer les entrailles et qui finirait par la rendre malade, elle ne se voyait pas terminer sa vie sans un homme. Elle était bisexuelle, ça elle le savait mais elle savait également que la personne qu’il lui fallait réellement était un homme, et un vrai. Ne sachant pas trop pourquoi, cette pensée d’homme l’emmena à penser à l’un de ses meilleurs amis, son poisson adoré. Ils étaient sortis ensemble mais ça n’avait pas duré longtemps comme à toutes les fois. Elle décida de rester tout de même ami avec lui, et même bien plus, elle devint sa confidente. Keiko a toujours un immense sourire sur son visage lorsqu’elle se retrouve auprès de son rouge et or et c’était une chose qu’elle essayait toujours de faire. Pourtant, le garçon commençait sérieusement à être de plus en plus absent et c’est un détail que la japonaise n’appréciait pas du tout. Elle savait qu’il était très studieux, mais jamais ils ne s’étaient aussi longtemps séparés que ses derniers jours. Comme quoi on se rend comte de ce qui nous tient vraiment à cœur quand ils sont loin de nous. Et la raison qu’il avait ses derniers jours ne lui plaisait aucunement, depuis les vacances, il passait son temps avec une de ses amies de débauche. Elle aurait put être fortement dénigré, hélas elles étaient amies et peu importe ce qu’elle pouvait dire cela serait retourné contre elle. Est-ce que Keiko devenait Jalouse? Très bonne question…

    Pour en revenir au fait, la Japonaise se retrouvait avec un mec qu’elle appréciait grandement, sans toutefois espérer plus que leur relation. D’ailleurs, elle ne souhaitait pour rien au monde la changer et elle ne voulait même pas avoir lus, sachant pertinemment que c’était impossible. Dans ce bar, en compagnie de Maximimi et sa bande, avec quelques verres sous le nez, jamais la soirée n’aurait put être plus réussie que ça. Le regard envieux des autres sur le faux couple la rendait d’autant plus euphorique que son partenaire et elle savait très bien qu’ils feraient exprès de jouer le jeu jusqu’au bout, la popularité c’est quelque chose que nous devons toujours avoir lorsqu’on y a goûté au moins une fois dans sa vie. Après s’être présentée auprès de ses nouveau admirateurs, elle attendit tranquillement que ceux-ci lui répondent, sachant que ça ne devait pas vraiment tarder.


    G. « Salut, Maximilien m’a déjà parlé de toi ! Les gars et les filles vous pourrez saluer l’amie de Max ! »

    Les paroles du dénommé Greg suffit à la jeune fille à lui donner un sourire étincelant. Elle sentait qu’elle allait bien se plaire en cette soirée et les amis de son chéri étaient bien plus intéressants qu’ils n’avaient put l’être jusqu’à présent. Écoutant avec soin les paroles de leur leader, le reste de la bande Salua Keiko dans un son unique mais pourtant fort et joyeux. C’était assez effarent comment on peu se sentir dix mille fois mieux quand on a prit un peu d’alcool. Bref, après avoir volé un verre à un serveur passant dans le coin, Maximilien l’aborda tout en pensant toujours aux autres. Il ne cesserait jamais de le surprendre et c’est avec appréhension qu’elle l’écouta attentivement :

    M. « Tournée générale pour tout le monde, mon cher, apportez nous une bonne vingtaine de whisky peur feu. Ce billet c’est pour vous et je paye tous les verres de la demoiselle…Mettez le sur la note de Middle, ils sauront qui sait, tu ma l’air d’un bleu toi, le serveur. Et toi chérie, je te fais emmener un autre verre déjà ? »

    L’assurance qui dégageait de son homme était tout simplement magnifique, la façon dont il avait de prendre toutes les commandes, et dire qu’il n’avait encore que 15 ans! Sa maturité faisait sourire la brunette qui se permit un regard vers la bande et remarquer comment eux aussi semblaient satisfaits. Et puis bon, qui ne pourrait l’être? Il venait de garantir une tournée générale pour tout le monde, et encore plus pour sa petite protégée qu’il tenait toujours à la hanche. Elle se tourna à nouveau pour plonger son regard dans la mer avant de venir apposer ses lèvres sur celle du garçon. Même si ce n’était pas une grande embrassade avec la langue et tout, cette seule approche suffisait à attiser chez la jaune et or une excitation incomparable. Maximilien qui n’avait semblé pas vraiment dérangé de se détournement avait lui aussi participé à cet échange qui dura jusqu’à ce que la Japonaise se sépare de lui et regarde le serveur pour lui faire part de la réponse :

    K. « La même chose de ce que je vous ai prit mon cher.»

    Toujours son verre à la main, elle avala plusieurs gorgées en ne lâchant plus le regard du bleu et bronze. Tous deux savaient très bien que la soirée se terminerait en beauté dans une chambre à quelques mètres d’ici et ça ne pouvait que les contenter. La jeune fille semblait attendre une quelconque aventure, comme quoi rien ne pouvait la rendre parfaitement heureuse. Et puis d’abord, n’était elle pas venue pour danser et se trouver un mec? Déjà que l’une des deux parties étaient remplie, elle pouvait largement accomplir l’autre et c’est avec l’entente de sa chanson préférée du moment, qui la fit paniquée comme une hystérique non sans renverser quelques goûtes de son nectar. Elle le posa le plus près d’elle et entraîna sans lui demander la permission Maximimi sur la piste de danse.


    Découvrez The Pussycat Dolls!

    On aurait dit que les personnes se tassaient plus loin lorsqu’ils voyaient els deux jeunes gens approcher, comme s’ils sentaient qu’ils allaient être les rois. Rendue en plein centre de la piste, Keiko se retourna vers son partenaire pour se coller immédiatement à lui avec un sourire satisfait et qui en disait long. Son corps mouvait au rythme de la musique tout en ne se gênant aucunement pour faire de nombreux gestes provoquant, comme le ferait les interprètes de la chanson qui jouait en ce moment. Cependant, chaque mouvement de hanches, chaque pas qu’elle faisait, elle ne lâchait pas le regard azur du garçon. Plus elle dansait, plus son corps se retrouvait collé contre celui du bleu et bronze et surtout, plus la chaleur montait…

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Maximilien E. Middle
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MessageSujet: Re: Comme dans le temps... [FINI] Comme dans le temps... [FINI] Icon_minitimeDim 28 Sep 2008 - 10:20

    «L'art de plaire est l'art de tromper... » Vauvenargues


    Il y avait un tas de choses pour lesquelles Maximilien Middle était connus au sein du château et il y avait aussi un tas de raison pour lesquelles il était adoré, respecté et surtout maître des lieux. C’était un jeune homme qui se tenait en permanence droit, on avait l’impression que tout allait toujours bien et pourtant tous savaient que ce n’était pas le cas, mais il représentait la force, le courage parce que jamais il ne flanchait, c’était aussi un ami fidèle. Ses proches savaient tous que dés qu’ils avaient un problème ils pouvaient compter sur lui. Il écoutait, conseillait et surtout ne jugeait pas, jamais. Il représentait la sécurité aussi parce que non seulement une sécurité confidentielle car il ne révélait jamais ce qu’on lui disait et aussi parce que tous savaient qu’il défendait ceux qu’il aimait bec et ongle et personne n’oserait jamais sans prendre à un de ses amis. Maximilien pouvaient tous supporter, qu’on l’insulte, il n’en n’avait rien à faire, il s’en fichait complètement de ce que les autres pensaient de lui parce tout le monde lui étaient indifférent mais il aimait aidé le monde, en revanche, il ne fallait jamais insulté ses amis, y toucher était synonymes de gros ennuies. Il y avait encore un tas d’autres raison : son intelligence, ses bonnes côtes, ses blagues, son humour, sa joie de vivre, son sourire et aussi sa façon de faire la fête, oh oui, beaucoup le suivaient rien que pour ses soirées arrosées et ses nuits endiablés. Mais il avait autre chose tel que ses réflexe, oui, les gens aimaient sa façon de prendre les choses en mains au quart de temps comme à cet instant même, de prendre les commandes, il agissait d’un coup d’une manière si claire, si logique, si parfaite que beaucoup restaient ahuris.

    Mais malheureusement pour lui-même, il se détruisait petit à petit en se montrant comme ça. Oh bien sûr, c’était un jeune homme fort, souriant qui aimait faire la fête, défendre ses amis et aidait les autres mais par moments il avait besoin de se relâcher d’arrêter d’être parfait mais c’était impossible pour lui parce qu’il n’aimait pas montrer se faiblesse, il n’aimait pas montrer qu’il avait mal où qu’il était triste pas par fierté mais parce que la vérité c’était que Max avait peur des autres…Mais en ce moment même tout ce qui comptaient, c’était sa bande de potte et Keiko qui semblait apprécié le geste qu’il venait d’avoir. Parce qu’alors qu’il parlait à se serveur, elle s’était considérablement rapprochée de lui, la main limite posée sur son entre jambe et lorsqu’il eut terminé sa phrase, elle l’embrassa férocement, sans y mettre la langue mais ce fut un long baiser, un agréable et doux baiser qui plu vraiment fort à Max alors Keiko, se retourna vers le serveur et Max fit un clin d’œil à ses amis tandis que Keiko commandait ce qu’elle voulait :


    KEIKO_ « La même chose de ce que je vous ai prit mon cher.»

    Le serveur fit alors un sourire aux jolies demoiselles, un sourire forcé bien sûr par toutes les pièces que Max lui avait glissé dans sa poche mais cela lui suffit et Maximilien ne lui fit aucun commentaire. Il se contenta de serrer la hanche de Keiko un peu plus dans sa main en lui souriant agréablement lorsque la musique changea soudaine laissant place à une musique on ne peut plus motivante, bougeantes et très chaude et sans qu’il n’ait eut le temps de dire quoi que ce soit, Max sentit sa main attraper et il se senti soulever de ce tabouret sur lequel il était si bien pour être tiré vers la piste de danse. Il se laissa alors faire et tandis qu’il avançait avec la main sur la hanche de Keiko vers le milieu de la piste, il vit les gens s’écarter sur son passage, et c’est avec un sourire amusé par la situation qu’il se mit enfin à danser avec la jeune femme. Leurs corps semblaient en parfaite symbiose, leurs pieds, leurs jambes, leurs bassins se mouvaient grâcement au son et au rythme de la musique, il se frôlaient, se toucher, se caressaient, se chauffaient mutuellement mais tout restait élégant. Les yeux dans les yeux, Maximilien sentait à plusieurs reprises, les seins de Keiko bouger sensuellement contre son torse, il sentit les douces mains de la jeune asiatique, se poser plusieurs fois contre sa partie basse et ses mains à lui allaient et venaient dans le dos de la belle, lui touchant un peu plus à chaque fois le postérieur, ce postérieur qui lui faisait envie depuis tout à l’heure et au final…Il laissa ses mains dessus, les décollant juste au mouvement de leur danse mais ils étaient si bien, il bougeaient du bassin. Ils étaient incontrôlables, déchaînés mais aussi magnifiques et plusieurs personnes s’étaient même arrêtées pour les regarder. Maximilien se pencha alors légèrement et tout en dansant, il lui glissa doucement à l’oreille :

    MAXIMILIEN_ « Tu sais que tu es magnifique ce soir »

    Ses compliments étaient toujours sincères et bien formulées et Keiko savaient parfaitement que ce qu’il voulait dire, c’était qu’elle était excessivement sexy mais les mots, bien qu’ils les adoraient, n’étaient pas important ce soir parce que tout en continuant de danser, il se pencha légèrement en avant encore une fois et capturant violement les lèvres de Keiko, il força le barrage de ses lèvres avec sa langue et fit joindre celle-ci à celle de la poufsouffle. Leurs langue se croisèrent alors, jouèrent, se cachèrent, se cherchèrent, se trouvèrent et s’enlacèrent dans un torrent de salive absolument incroyable…

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MessageSujet: Re: Comme dans le temps... [FINI] Comme dans le temps... [FINI] Icon_minitimeLun 29 Sep 2008 - 7:11

[Désolée à l’avance de ce poste… C’est le blues de l’automne je crois… Et j’aurais dut commencer le poste ya de cela 20 minutes sauf que mon père a installé un truc… MAIS C’ÉTAIT PAS PHOTOSHOP… XD Je déteste perdre mon temps. ^^]

    La soirée était encore jeune mais la nipponne commençait déjà à ressentir les effets de l’alcool à plein nez. Ce qui était dommage avec cela c’était qu’elle commencerait à dire n’importe quoi, enfin, plutôt qu’elle dirait ce qu’elle pense sans se soucier des répercussions. Parfois les gens prenaient ça comme une blague et seulement dans ces moments-là elle avait la chance de ne pas passer pour une méchante. Il y avait néanmoins quelques fois où elle avait réussit à humilier la personne avec qui elle parlait, ou même s’attaquer elle-même. Le pire dans tout ça c’était que le lendemain elle était en mesure de tout se rappeler… Peu importe le nombre de verres qu’elle prenait on aurait dit que ses vices ne voulaient pas la quitter et au contraire, pesaient sur con esprit encore plus. Plusieurs personnes ont la chance de ne se rappeler de rien après des soirées bien arrosées et parfois la japonaise aurait aimé faire partie de l’un d’eux… Oui, car certaines choses qui c’était passées dans son adolescence laissaient largement à désirer et il était même étrange que ses événements se soit passé après que Keiko ai prit de l’alcool. Tout le monde semblait penser qu’elle vivait un bonheur permanent, que rien ne saurait l’atteindre, parfaitement comme l’homme qui se retrouvait en face d’elle justement. Ils se ressemblaient comme personne ne pouvait croire même pas eux-mêmes, qui ne passait pas vraiment leur temps à poser des questions sur leur passé. Ils savaient les dernières nouvelles, par exemple, ce qu’ils avaient fait dans la semaine, mais sans plus, et surtout s’il y avait eut un événement important, ils ne faisaient que passer par-dessus. Ce que l’on ne sait pas ne peut pas nous faire de mal n’est-ce pas? C’est pourtant lorsqu’on apprend qu’on nous cache quelque chose que nous avons encore plus mal. Et c’est justement à cause de ce fait que la brunette se sentait pourrir de l’intérieur, elle qui cachait tellement de chose à son double, cet être qui était tout pour elle. La vérité est très dure à gérer et celle qu’elle gardait au fond de son âme restait la plus difficile d’entre elle. Oui elle s’amusait avec ses garçons, mais non il était faux de dire qu’elle ne souhaitait jamais plus. Qu’elle fille ne rêve pas de l’amour de toute façon? Ce n’était pas parce qu’elle n’y avait jamais goûté qu’elle ne voulait pas elle aussi éprouvé ce sentiment inconnu. Elle n’était pas aveugle et c’était surtout à cause des couples de l’école qu’elle se sentait mal, ils ne pouvaient pas faire ça en cachette? Pour lui éviter de se sentir encore plus mal dans son statut de couche-partout. Il n’y a pas que l’amusement dans la vie et ce fait était désormais continuellement présent dans sa tête. Pourtant, cette soirée serait normale, elle agirait comme elle faisait toujours… Ou du moins, elle avait crut le faire puisque l’alcool la changeait… Et cette fois-ci elle allait réellement dire quelque chose qu’elle regretterait.

    Enfin, les deux jeunes semblaient le roi et la reine du bal sur cette piste de danse, à se déhancher de la sorte et à voir les autres poser un regard envieux sur eux. Leur train de vie pouvait réellement passer pour quelque chose de normal, mais surtout de fortement amusant, avec leur sourire afficher sur leur visage alors que tout autre chose se passait à l’intérieur. Plus la musique avançait, plus leur corps semblait en complète symbiose, même si ce fait était légèrement accru par les mains du garçon posé sagement sur son postérieur. Elle ne les enlèverait pas, non pourquoi oserait-elle le faire d’abord? Elle était très bien et se sentait même privilégière en cet instant de pur enchantement. Puis, toujours en dansant, le tombeur se rapprocha de sa douce pour lui dire :


    M. « Tu sais que tu es magnifique ce soir »

    Les compliments de son préféré n’étaient jamais de trop, je peux vous l’avouer, et c’est pourquoi elle le gratifia d’un immense sourire. Alors qu’elle allait répliquer elle aussi un compliment sur sa personne, le serdaigle s’était encore plus penché vers elle pour venir capturer ses lèvres dans un baiser violent mais pourtant si réconfortant. Contrairement à son baiser assez chaste de tout à l’heure, celui-ci semblait démontrer tout l’envie que possédaient les deux jeunes l’un envers l’autre en cet instant précis. Leur langue se mêlaient l’une à l’autre dans un baiser que seul Maximilien pouvait lui accorder, elle devait désormais l’appelé le maître des baisers! Ce fut l’aînée qui mit fin au baiser mais pas pour s’éloigner de lui au contraire, elle préféra aller se réfugier dans le cou du garçon pour venir y déposer de nombreux baisers, tous plus chauds les un des autres. Sans vraiment s’en apercevoir, ou plutôt au contraire, comme si le DJ les surveillait, le rythme avait affreusement changé, pour laissé place à une espèce de slow mais sur une musique de Rave. Leur corps bougeaient donc avec moins de vitesse mais se collant à l’autre encore plus. Pourtant, alors que tout se passait au mieux il fallait que la menace de tout à l’heure revienne sur le plancher et c’est avec un sourire mesquin et un regard égaré que la brunette vint croiser les yeux azurs du garçon. On aurait dit qu’elle se retrouvait devant un miroir, devant lequel elle se voyait, elle et ses vices, elle et sa façon de toujours tout garder à l’intérieur. Elle posa ses mains sur ses joues et comme si elle était dans une sorte de transe mais surtout ne songeant pas à ses propos elle dit :

    K. « Toi aussi tu gardes tout ton mal en toi hein Maximimi? T’as pas l’impression qu’il te fait pourrir?

    Voilà, les mots étaient lancés et c’était assez épatant comme les mots qu’elle lui avait dit pouvait lui être renvoyés… Si seulement Maximilien savait à quel point les deux éprouvaient une grande souffrance semblable…

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Maximilien E. Middle
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MessageSujet: Re: Comme dans le temps... [FINI] Comme dans le temps... [FINI] Icon_minitimeSam 4 Oct 2008 - 21:54

    «Comment peut-on aimer sans
    croire en soi-même, sans être soi-même ?
    » Erica Jong


    L’énergie était quelque chose de capitale dans la survie d’un être humain. Il avait besoin de dormir, de manger, de se reposer et malgré tout cela de ne pas gaspiller trop de cette précieuse énergie. Mais Maximilien n’était pas de ceux qui l’économisaient bien au contraire. Il passait sa vie à se montrer fort, droit, courageux, intelligent, loyal, écoutant, conseillant, flexible, tolérant, compréhensif, serviable, joueur, taquin, souriant, amusé, amusant, humoriste et un tas d’autres magnifiques adjectifs dont la plus part des gens qui le connaissaient le qualifiaient mais même si il était la plus part de chez choses, il fallait reconnaître que lui aussi avait par moment besoin de parler, d’être écouter, besoin de parler ou de se mettre en colère, besoin de péter une durite, de tournoyer, de dormir des heures d’affilé mais il ne pouvait pas faire cela. Son éducation, était une des première chose qui l’en empêchait ses parents lui avaient appris à être le parfait, beau, le magnifique et le droit Maximilien Middle, digne de son nom de famille, qui ne pouvait jamais fléchir, jamais tomber, jamais s’accroupir, jamais verser une larme et puis il y avait sa première nature, sa nature principale : sa générosité. Il passait sa vie à aider les gens et il partait du principe qu’on ne pouvait aider sans être soi même bien. Alors il se montrait parfait afin que ses amis, ses connaissances puissent sans crainte venir lui parler, venir se confier et puis petit à petit, il avait pris goût à cette image qu’il s’était lui-même donné : cette image de l’adolescent qui toujours fidèle avait aussi de parfaites notes et la récompense qu’il en avait en retour, et qui lui faisait fort plaisir c’était qu’il était aimé de tout le monde et il avait besoin de cet amour, de cette affection qu’on lui portait parce qu’il n’avait jamais eut l’amour de ses parents mais le petit soucis était celui-ci…IL avait oublié qu’il avait besoin, terriblement besoin d’un amour important pour sa survie : l’amour qu’il devrait se porter à lui-même, la confiance qu’il devrait avoir en lui or Maximilien Enzo Middle ne s’aimait pas, il se détestait même, il se fuirait comme la peste si il n’était pas obliger de vivre avec lui-même, il crierai à l’aide sans cesse si il s’écoutait mais il se contrôlait et se taisait laissant alors voir la nuit, seule dans ses draps, la tristesse sur son visage et laissant ses larmes couler et encore toutes les nuits, il n’avait pas cette possibilité.

    ET ce fut le cas cette nuit. IL avait juste eut l’intention d’écrire à sa nounou, une des seules personne en qui il faisait parfaitement confiance et à qui il osait confier sa tristesse lorsqu’il avait rencontré des amis alors voilà, il s’était à nouveau mis bien droit : le parfait petit Middle aux grands sourires et aux réflexes généreux et parfaites. Il s’était fait amené ici, priant secrètement de pouvoir rentré dormir et oublier mais non…Il avait rencontré Keiko et c’était alors imposé en lui le seul autre moyen qu’il avait trouvé pour oublier : le sexe. Il couchait pour sentir de l’amour, il couchait pour qu’on l’aime et qu’il s’aime lui-même aussi. Alors Keiko lui avait paru nécessaire en cette soirée, presque vitale pour que demain il puisse à nouveau sourire à tout le monde, avancer droitement dans les couloirs et se comporter avec calme, réflexion et sérénité avec tout le monde. Il avait juste prévu une nuit, une seule nuit, de chaleur, de douceur et de larmes invisibles mais il n’avait pas prévu ceci :


    KEIKO_ «Toi aussi tu gardes tout ton mal en toi hein Maximimi? Tu n’as pas l’impression qu’il te fait pourrir? »

    Il était pris au dépourvu c’était clair. C’était comme si durant ce baiser qu’ils avaient échangé, elle avait lu en lui, entré dans ses penser pour tout deviner, tout comprendre et mettre sur le tapis ce qui lui faisait plus peur : fléchir devant quelqu’un. Il se sentit tout d’un coup mal et le pire c’était que cela devait se voir sur sa figure, il s’imaginait très bien, bouche grande ouverte à la regardé avec un air étonné et apeuré…Non cela ne pouvait absolument pas se passer comme ça. Maximilien Middle ne pouvait se laisser aller et sûrement pas devant une fille qui allait lui permettre d’aller mieux, une fille qu’il appréciait et dont il sentait la réciprocité. Il ne pouvait pas fléchir…Pas question il n’en n’avait ni le droit ni l’envie. Il se reprit alors et toujours dansant lentement, les mains sur les hanches de Keiko, il reprit son sourire charmeur et rassuré et lui murmura à l’oreille d’une voix douce :

    MAXIMILIEN_ « Je ne vois absolument pas de quoi tu parle »

    Il n’avait pas envie d’en parler, il n’avait même pas envie que Keiko lui réponde parce qu’il savait qu’elle allait relancer la conversation, qu’elle allait essayer de lui faire cracher le morceau : elle était du genre têtue la petite Poufsouffle et parler de cela était bien la dernière envie du bleu et bronze. Non ce soir, comme tous les autres soirs, comme toutes les autres nuits, il voulait passer à autre chose et s’envoler. Alors il se pencha et déposer un chaste baiser sur les lèvres de Keiko avant de se pencher encore une fois vers son oreille droite pour lui souffler d’un ton sensuelle :

    MAXIMILIEN_ « On va dans les toilettes ? »

    Beaucoup moins romantique tout d’un coup…

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https://appelo-mortem.forumactif.org/-t43.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/-t1023.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/-t551.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/-t236.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/-t49.htm
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MessageSujet: Re: Comme dans le temps... [FINI] Comme dans le temps... [FINI] Icon_minitimeMar 14 Oct 2008 - 6:21


Découvrez Leona Lewis!

«Parfois le temps fini toujours par nous rattraper,
peu importe comment on essayer de le ralentir.


    [color=#a4a5a6] Peu importe comment on essaye de le ralentir… Peu importe à quelle intensité on a essayer de le retenir le concept du temps fini toujours, et je dis bien toujours par revenir vous rattraper. Cette notion était d’autant plus à comprendre quand on essayait du plus haut point de l’enlever de notre tête. Mais comment pouvait-on espérer y arriver? C’était la même chose en ce qui attrayait aux cachoteries des deux jeunes élèves. Et puis d’abord, comment pouvait-on avoir tant de choses à cacher et surtout à se reprocher à un si jeune âge?! Ils deviendraient probablement séniles avant la plupart de leurs compagnons, du moins s’ils continuaient à agir comme ils le faisaient. Peut-être avaient-ils beaucoup à se reprocher mais le fait était qu’il l’avait continuellement cherché. S’ils agissaient comme des adolescents de respectivement 15 et 16 ans ils ne seraient probablement pas aussi libertins. Comment pouvaient-ils penser vivre une vie normale alors qu’ils passaient leur temps à faire la fête et à coucher partout! Oui, on avait crut remarquer que ça les plaisait… Du moins c’était ce que Keiko croyait alors qu’au fond Maximilien ne faisait pas ce genre de truc à cause des mêmes raisons que la japonaise. Elle semblait simplement prise dans se tourbillon qui lui envoyait aucune personne à aimer et qui l’aimerait. Pourtant jamais elle ne perdrait espoir car elle savait, le temps, il finirait par la récompenser un jour! N’avait-elle pas assez joué avec les sentiments des autres jusqu’à présent? Il fallait bien qu’un garçon puisse atteindre les siens mais pour vouloir bien plus qu’une baise d’une nuit. Maximimi, quant à lui, semblait faire ce qu’il faisait seulement pour advenir à son image de garçon parfait, de garçon qui faisait tout ce qui lui plaisait sans que l’autorité n’aperçoive quelque chose.

    C’était probablement ce qu’ils allaient faire d’ailleurs dans se bar alors qu’aucun d’eux n’étaient majeurs. Ils allaient faire comme si de rien était, ou du moins c’était ce qu’ils étaient sensé faire jusqu’à ce que l’alcool fasse parler la brunette et qu’elle lui pose cette question fatale. Il fallait bien qu’elle envoi la soirée en l’air sinon elle n’était pas une vraie Miyazaki! Ou du moins, elle était la seule vraie Miyazaki! Non que son frère avait parfois le sang mou… Enfin, tout son être semblait mou et parfois elle en venait à se demander si ce n’était pas elle le garçon de la famille.au fond, elle le torturait alors que lui était le gentil petit homme parfait… Sa petite amie trouverait le temps long je vous dis! Ou… Pourquoi est-ce qu’il soit aux hommes ne lui aille jamais traverser l’esprit? Peut-être parce qu’elle ne voulait pas le voir chose qui était très idiot avouons-le! Elle avait parfois couché avec des filles, dont Valérie et ça ne faisait pas d’elle un monstre! Peut-être que le fait qu’il puisse lui voler des hommes la rendait jalouse. Du moins, personne ne pouvait le savoir jusqu’à ce qu’il se décide de lui dire la vérité. La japonaise attendait donc avec impatience la réponse de son compagnon de danse mais elle n’aurait put être autant surpris des paroles qu’elle entendit :


    M. « Je ne vois absolument pas de quoi tu parles. »

    *Mon c*l! Par merlin il se fiche de moi? Du moins je crois… Est-ce qu’il a but autant que moi? Han, c’Est ça je devrais lui faire boire beaucoup!*

    Bon, il ne fallait pas s’attendre à avoir eu une réponse lui expliquant sa vie mais tout de même elle n’aurait jamais pensé subir un aussi grand vent de la part de son mec chéri. Et puis il fallait ajouter que les pensées de la jaune et noir étaient autant confuse que tout le reste de son corps et elle n’arrivait donc pas à rester concentrer quelques secondes de plus. Oui elle venait d’être vexée, mais il lui fallut un simple regard vers ses prunelles azurs pour tomber à nouveau dans son panneau. Par Salazar qu’il était canon! C’était peut-être aussi dut au fait que le châtain vint poser ses lèvres sur les siennes causant ainsi une lourde chaleur dans tout son corps. Bon sang, elle devait lui redemander plus de détails sur son passé! Elle le devait? Enfin… Peut-être que non… Oui? Rahhhh! Comment avoir un cerveau adéquat maintenant? Et puis si seulement c’était tout! L’envouteur s’approcha de son oreille pour lui souffler sensuellement:

    MAXIMILIEN_ « On va dans les toilettes ? »


    Bon d’accord, peut-être sa voix était-elle chaude mais ses propos ne l’étaient pas autant. Pourtant leur première fois avait été dans ce bar même, dans les toilettes pour dames… Ça lui avait plut par la suite non? Toujours envouté par ses gestes et surtout ses souvenirs la japonaise frissonna de tout son être avant d’agripper à nouveau le garçon par le bras et de l’emmener directement dans les toilettes, non sans oublier de jeter un coup d’œil malicieux vers sa petite troupe. À peine rentrée et surtout se foutant des autres personnes présentes dans la salle, elle poussa Maximilien dans un cabinet qu’elle suivit et ferma derrière elle. Il avait voulut emplir son esprit d’envie et ça avait réussit. Toujours dans un état d’ébriété avancé. Elle enfouit la tête dans le coup du serdaigle afin de l’embrasser, et de lécher sa jugulaire comme si elle était devenue une vampire. À présent tout ce qui comptait c’était d’assouvir ses envies et elle en avait de surcroit oublier la vraie discussion. Max’ avait un moyen de persuasion très intéressant, son propre corps qui émanait une tentation absolue. Au lieu de commencer par assouvir ses propres envies elle avait plutôt envie de reposer ses lèvres sur les siennes et de mélanger sa langue à la sienne. Pourtant, il semblait qu’il manquait un peu de conviction dans tout ça… toujours ses lèvres sur les siennes ses mains s’affairait à défaire la boucle de ceinture du garçon. À la voir aller on aurait put croire qu’elle était l’homme tant ses gestes semblaient bestiaux….

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Maximilien E. Middle
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MessageSujet: Re: Comme dans le temps... [FINI] Comme dans le temps... [FINI] Icon_minitimeJeu 30 Oct 2008 - 2:05

    « Je crois qu’un jour j’aurai oublié tout ça, je crois qu’on est très jeune et qu’on se permet de faire un tas de bêtises comme si notre jeunesse nous protégeait de la mort et de blessures. Je crois qu’aucun de nous ne se rend compte que chaque nuit, chaque soir on risque gros, non seulement notre avenir mais notre vie. Que se passera t’il lorsque l’un d’entre nous aura fait une overdose, je ne partage pas l’opinion qui dit que tout ce qui est mal n’arrive qu’aux autres et je suis persuadé qu’un jour on retrouvera mort l’un d’entre nous et que je ferai mieux d’arrêter d’organiser des soirées, comme celle qu’il y a eut ce soir dans les cachots, cette fête où j’ai empêcher un jeune de violer une fille, je devrai aussi arrêté d’aller aux fêtes où on m’invite…Parce que la nuit, on devient tous fou, on fume, on boit, on baise, on oublie et on se noie dans notre souffrance et notre douleur, on reporte nos problèmes sur l’amusement et sur le risque. Combien sommes nous à défier la vie et la mort, combien sommes nous à prendre la vie comme un jeu mais j’ai un secret à dire à tout ces gens : on a qu’une vie et on finira par la perdre…Beaucoup me diront sans doute que c’est justement pour ça qu’il faut en profiter et s’éclater, moi je dirai plutôt qu’il faut la chérrir et la protéger, l’utiliser pour améliorer celle des autres…Mais pourtant je ne peux m’empêcher chaque soir de me relever et de sortir en douce, pour faire comme les autres, fumer, boire, sauter et oublier ! Mais où est la décence là dedans ? Ou est l’intelligence là de dans, on se perd tous et on croie qu’on arrivera à noyer nos chagrins dans l’alcool malheureusement ils savent nager et lorsqu’on desaoul, ils reviennent encore plus en forme et pourtant, même si on le sait, on recommence tous mais un jour on ira trop loin comme ce soir avec ce jeune homme qui avait fahit violer la cousine de mon meilleur ami, heureusement je suis arrivé…Mais l’homme n’est il donc bon qu’à ça ? Et les incidents comme ça ont beau arrivés, ont beau essayer de m’ouvrir les yeux, je sais parfaitement que demain soir, je serai de nouveau dans une soirée, complètement défoncer et le diable mènera à nouveau la danse et la rue sera notre mère lorsqu’on sortira de cette salle complètement à l’oust, on se perdra encore une fois dans la noirceur du monde, dans ce que l’homme à lui-même inventer, on crée notre propre perte…Mais je commence à fatiguer et demain, minuit, je serai en train de danser…j’ai besoin d’énergie. Je vais donc laisser ma plume dormir aussi… »
EXTRAIT DU JOURNAL DE MAXIMILIEN VINGT MARS 2206


    Le flash venait de l’atteindre de plein fouet, il se revoyait il y’a deux ans, assis sur son lit…Il n’avait alors que quatorze ans et il était déjà connus pour ses parties de jambes en l’air exceptionnelles et pour ses fêtes bien arrosées, pour être un fumeur complètement fou et inconscient mais en fait, tout le monde se trompait déjà à l’époque…Il se rendait compte des dangers, il avait juste décider de jouer avec jusqu’à ce soir où il avait donné une fête et où il avait trouvé un jeune homme essayer de violer Skye, la cousine de son meilleur ami, Travis. Là il avait compris que l’alcool n’aidait pas et que au contraire, il les rendait tous fou mais c’était trop tard…Il avait pris goût à ce jeu, il s’amusait à défier la mort de venir le chercher…Mais ce soir là, le jeu avait été loin et il se souvenait parfaitement bien de lui, encore habillé avec son pentacours et son t-shert, tout transpirant, écrivant sur son lit…Dire qu’il avait déjà tout compris, mais que cela ne l’avait pas arrêter, bien au contraire. Chaque soir, le diable revenait taper à sa porte et chaque soir il lui ouvrait et allait même s’amuser avec lui, danser avec lui et ce soir ne fit bien évidemment pas exception mais il ne voulait pas ce souvenir de la nuit de ce garçon qui avait fait quelque chose que Max trouvait abominable et ce flash n’avait fait qu’une seule chose : renforcer son envie de coucher avec keiko…Voici aussi une des raisons pour lesquelles il proposa à Keiko de venir dans les toilettes…

    Il s’était attendu à une gifles, ce n’était pas ainsi qu’on parlait à une femme mais non, elle lui prit la main et l’entraîna alors et lui, pris par l’alcool et par sa danse avec le diable, ne put que la suivre…Oubliant le mal qu’il allait lui faire et qu’il allait se faire en se rendant compte qu’avoir bu et coucher avec la poufsouffle n’avait rien arranger…Mais ce n’était pas le mot d’y penser. Keiko venait de le pousser dans les toilettes, elle l’avait fait s’asseoir sur la cuvette refermée et elle avait commencé à l’embrasser dans le coup, suçant sa jugulaire jusqu’à y faire venir le sang, il allait avoir une belle trace rouge. Mais cela ne le dérangeait pas, au contraire, il avait penché sa tête en arrière pour laisser un libre accès à la bouche dévorante et affamée de la japonaise qui commençait déjà à s’attaquer à sa boucle de ceinture…Maximilien n’avait qu’une envie qu’elle continue. Il gémit alors légèrement afin de lui faire signe d’enchaîner et de surtout ne pas s’arrêter…

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MessageSujet: Re: Comme dans le temps... [FINI] Comme dans le temps... [FINI] Icon_minitimeLun 17 Nov 2008 - 6:42

[Désolée, c’est nul mon Coeur mais comme tu sais je n’ai pas trop la tête à ça. ^^]


Découvrez Beyoncé!

If I were a boy
Even just for a day…


    Peut-être que la vie aurait été plus facile si elle était née jumeau de Kazuya et non jumelle. Peut-être que la vie aurait été tout autre si elle était un garçon qui sait? Elle aurait put avoir le même caractère que son frère, celui qui voyait toujours tout d’un air de petit enfant. Elle aurait aimé pouvoir regarder tous les gens dans les yeux et pouvoir leur faire confiance aveuglément. Et surtout, elle aurait aimé croire au prince charmant, être aussi blanc comme neige comme l’était encore son frère de 16 ans. Elle ne savait même pas s’il était encore puceau ou non, mais ce qu’elle savait c’est qu’ils ne pouvaient en aucun cas comparer leur tableau de chasse. Keiko avait un caractère aucunement comparable à celui de son frère, ils étaient même aux antipodes. À croire qu’ils n’avaient même pas été faits de la même mère! La personnalité de son frère finissait par rendre dingue la japonaise qui se voyait perdue derrière l’image da la sœur couche partout. La seule chose qui lui permettait d’être fière d’elle s’était ses résultats aux cours. Elle n’avait pas besoin d’étudier avant un examen pour la simple et bonne raison qu’elle écoutait parfaitement en cours et stockait tout dans sa tête. Elle était une vraie machine en ce qui attrayait à retenir des choses que ce soit pour des ingrédients pour une potion, d’un sortilège qu’ils n’utilisaient que rarement, ou bien pour des raisons plus domestique comme les noms ou les numéros de téléphones. Personne n’auraient put deviner son talent à l’école, du moins, pas les garçons avec qui elle faisait des choses peut normales pour une fille de 16 ans. Après tout, elle avait vu presque plus de choses que bons nombres de personnes à Poudlard. Elle excellait dans tout ce qui était un cours de n’importe quelle matière, voulant prouver à ses parents qu’elle n’était pas n’importe qui, qu’elle aussi pouvait avoir des aussi bonnes notes que son frère… Si Kazuya savait à quel point elle se torturait de plus en plus à chaque jour qui passaient dans la peur de faire quelque chose de mal. Pourquoi n’était-elle seulement pas capable d’agir comme les autres? Elle était bien mieux d’imiter son frère, lui qui croyait tellement sottement au prince charment, peut-être est-ce qu’il tomberait dessus? Pourtant plusieurs personnes savent que lorsqu’on cherche on ne trouve pas, or Keiko ne cherchait pas, les mecs lui tombaient tout simplement dessus, le problème c’était qu’ils ne l’aimaient pas. Elle voulait croire qu’elle était plus qu’une aventure d’un soir, elle le voulait, mais contrairement à son jumeau, elle n’était pas idiote. En quelque sorte, elle vendait son corps, pour on ne sait quelle raison, peut-être qu’un jour elle arrêterait d’agir ainsi, peut-être qu’un jour le vrai amour lui sourira?

    Dans ce cabinet exigu la brunette ne pensait plus qu’à une chose, maintenir les attentes et envoyer Maximilien au septième ciel, après tout, il avait une réputation, elle aussi, elle devait la tenir. Elle ne pouvait se résoudre à échouer, au point où elle en était rendue elle ne pouvait plus se retourner. Quitte à ce que le bleu et bronze soit le dernier homme qui puisse goûter à une histoire sans amour. Il ne savait pas à quoi il pouvait s’attendre, surtout si Keiko était aussi ébranlée par des pensées sordides. Abaissant doucement la fermeture éclair de son jeans, non sans avoir enlever sa ceinture, la jaune et noir s’attarda lentement à cet objet de métal, comme si c’était la dernière chose à quoi elle pouvait s’accrocher, elle ne pouvait même pas soutenir le regard du serdaigle, ne sachant ce qu’il ferait. Elle ne faisait que se recentrer sur les gémissements du garçon, essayant d’oublier ses craintes, cette voix qui lui disait qu’il n’était pas trop tard, qu’elle était maîtresse de tous ses moyens. Par merlin! Elle était définitivement incapable de bien terminer une chose qu’elle avait commencée?! Elle crut devoir hurler de rage tant cette idée la percutait de plein fouet, l’obligeant à terminer cette parade, ça ne devait pas prendre 2 minutes descendre une fichue fermeture?! Est-ce que le garçon s’attendait à recevoir encore du plaisir, est-ce qu’il pouvait comprendre à quel point la brunette était partagée entres milles et un fardeau? Elle se forçait à continuer, comme si elle agissait comme une petite prostituée de ruelle, comme elle l’avait tant fait? Comment pouvait-elle s’abaisser à trouver normal le fait de faire une fellation, et s’en suivrait d’autres trucs, dans une salle de bain plutôt crasseuse, dans une boîte de nuit normalement interdite au moins de 18 ans? Son cœur battait à vive allure, qu’allait elle faire sauf couper son cerveau entièrement à toute trace de peur et de questionnement. Elle finit par lâcher ce qu’elle était en train de faire pour remonter vers la bouche de son bien-aimé préféré. Elle ne croisa pas son regard, non pour rien au monde elle le ferait, elle se contenta de mêler à nouveau sa langue à celle du garçon, qui on ne sait par quel moyen, répondait à son baiser. Avec cette proximité elle pouvait se concentrer à autre chose et ses doigts se mêlèrent machinalement de descendre le pantalon du garçon, et de commencer à caresser la bosse qui était déjà plutôt proéminente. Elle y était presque, on aurait dit que l’alcool finissait par reprendre le dessus de la raison lorsque leur baiser lui parvint tout à coup différent, il était salé, salé comme si quelqu’un ne pouvait plus retenir les larmes. Est-ce qu’elle était tellement dans un état léthargique qu’elle ne se contrôlait plus et qu’elle pleurait? Elle se décolla doucement, daignant enfin planter son regard dans celui azur du bleu et bronze…

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MessageSujet: Re: Comme dans le temps... [FINI] Comme dans le temps... [FINI] Icon_minitimeDim 14 Déc 2008 - 15:58

C'est trèèès nul mais j'arrive plus à rp et ce rp commence à durer longtemps alors je manque d'inspi so sorry. c'est trèèèèèèèèèèèès mal écris!

    Maximilien s’était toujours demandé comment aurait été sa vie si il avait été une vie. Et la réponse était toujours « bien différente ». Il ne dirait pas qu’il aurait été plus heureux, non, cela aurait sans doute était bien pire mais il se serait comporté de manière bien différente parce que dés sa naissance son éducation n’aurait pas été la même. Ses parents l’avaient toujours surprotégé parce qu’il était l’héritier de la riche famille Middle, parce qu’il était leur seul enfant et surtout un fils. Alors ils l’avaient enfermé et lui avaient donné les meilleurs professeurs et la meilleur nounou qu’ils puissent exister ne se souciant nullement de savoir si leur fils avait besoin d’autre chose comme de l’amour, de l’attention et sans doute aussi de liberté. Les rares fois ou les adultes Middle avaient vu leur petit enfant c’était pour l’emmener dans des congrès ou dans des réunions de riches. C’étaient d’ailleurs les seules fois où le petit garçon pouvait sortir. Il avait toujours du porter des fringues de marques, se tenir droit. Il n’avait pas le droit de courir, de jouer. Il se trouvait dans une cage dorée mais une cage quand même…Et ils se souviendrait toute sa vie de cette phrase qu’Elisa lui avait sorti lorsqu’il lui avait demandé comment elle faisait pour vivre dans un tout petit appartement : « Tu sais mon petit, une maison est toujours une cage. Qu’importe l’espace qu’il y a entre les autres murs, ils sont toujours là. Prêts à se resserrer autours de toi ! »
    Si Maximilien avait été une fille…les choses du débuts auraient été exactement les mêmes sauf qu’à lieux de mettre un coutume, il aurait du mettre une robe. C’est par la suite que les choses auraient été bien différentes. Si il avait été une fille, il y aurait eut des filles riches dans sa maison et non pas des garçons. Jamais il n’aurait rencontré Léo, jamais il n’aurait fugué et découvert ce goût du risque qui rythmait sa vie aujourd’hui alors il serait aujourd’hui une snobinarde, peut-être même à serpentarde, il serait en train de prendre tout le monde de haut avec ses copines de ce monde mondain qu’il devrait toujours fréquenter. Il n’aurait sans doute pas pu éviter la mariage arrangé que lui avait prévu ses parents et serait fiancé à un homme riche et pompeux qui l’aurait énervé rien qu’en ouvrant la bouche…Finalement être un homme n’était pas si mal…Le problème était ce qu’il était en train de faire de sa vie d’homme…

    Il était un véritable monstre ! Il buvait, fumait et couchait. Oh bien sûr, à la différence de beaucoup d’homme il ne promettait ni mont ni merveille. Bien au contraire, les choses étaient toujours bien clair : ils couchaient ensemble point, sans plus et sans amour…Mais il y avait quand même certaines filles qui tombaient amoureuses de lui, certaines filles qui espéraient nouer une relation avec lui et qui finissaient par pleurer, d’autre le faisaient encore pour avoir l’air cool. Ni Maximilien ni ces filles ne devraient faire ce qu’ils faisaient. Le sexe n’était pas un jeu, c’était censé être quelque chose de très beau, très doux et surtout rempli d’amour…Mais pour ces adolescents, de cette génération plus rien n’avait d’importance, les valeurs n’étaient plus respectés, elles étaient même bafouées et tout le monde voulait faire comme le célèbre Maximilien Middle, tout le monde voulait coucher. Si max le faisait c’était classe après tout c’était le beau serdaigle, le parfait serdaigle ! Tu parles ! Il roulait tout le monde. Il était plus que malheureux le souriant petit serdaigle ! Si il couchait ce n’était pas pour prendre du plaisir, ni pour faire de le beau, ni encore parce que c’était fun et tout ce qu’on pouvait trouver. C’était parce qu’il avait besoin d’amour, d’une attention, d’une petite marque d’affection. Tout ce dont il avait tant rêvé durant son enfance, il l’arrivait à l’obtenir pendant les quelques secondes durant lesquelles il atteignait le ciel en compagnie d’une fille ou d’un garçon…les deux étaient bon à prendre après tout…

    Il sentit les larmes couler sur ses joues. Sa salive pris un goût amer et son estomac se retournait délicatement tandis que Keiko Ji Mayazaki se déhanchait au dessus de lui, essayant en vain de détacher sa ceinture. L’alcool semblait la faire trembler et apparemment elle en avait royalement marre d’essayer d’ouvrir le pantalon qu’elle revient alors l’embrasser dans le coup fortement, délicatement. Il laissait sa langues parcourir sa peau douce faisant gémir le jeune Middle et puis ses mains se redirigèrent vers le pantalon elle réussit enfin à l’ouvrir et à glisser ses mains habiles à l’intérieur…Elle se mit alors à caresser doucement son membres déjà légèrement durcis pour le plaisir tandis que sa bouche se dirigea vers celle du jeune serdaigle qui laissait toujours ses larmes couler…Essayant de rester le plus discret possible…Mais elle les avait goûté ces larmes, les avaient vu. Elle le regardait et Maximilien réalisa enfin. Il se releva alors et referma son pantalon. Il regarda alors Keiko dans les yeux et lui dit :


    MAXIMILIEN_ « Keiko…ça n’en vaut pas la peine…Habille toi et rentre chez toi…c’est mieux »

    Maximilien commença à ratacher sa ceinture, les larmes coulaient sur ses joues mais ce soir il voulait se tenir correctement et rendre à Keiko cette dignité qu'elle méritait tant!


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MessageSujet: Re: Comme dans le temps... [FINI] Comme dans le temps... [FINI] Icon_minitimeMer 24 Déc 2008 - 19:43

    Tic. Tac. Tic. Tac. Les secondes se succédaient, se transformant bien trop rapidement en minutes à son goût. Dix minutes pour être exacte, ou le nombre de temps qu'il avait passé dehors à fixer l'enseigne de la boîte de nuit où il avait rendez-vous. Dix minutes à danser d'un pied sur l'autre pour tenter de se réchauffer, à enfuir son visage dans son écharpe pour couper la morsure du froid sur ses joues et à frissonner sous l'assaut du vent. L'air se rafraîchissait de minutes en minutes, chose qui aidait le serdaigle à prendre une décision. Rentrer dans la boîte ou prendre ses jambes à son cou... Pour l'instant, Kazuya penchaient légèrement pour la seconde solution, la faute au monde qui se bousculait aux portes de l'établissement.

    A croire que le tout poudlard s'était donné rendez-vous dans cette boîte de nuit, ce qui, à vue d'oeil, ne devait pas être totalement faux. Bon, certes, tout poudlard n'était pas en ces lieux, pas ceux dont l'âge était inférieur à quinze ans, en tout cas. Du moins, c'est ce que jugeaient l'adolescent. Lui même, si une personne "mal intentionnée" ne l'avait pas pratiquement forcé à se rendre dans cette rue, dans cet établissement, à cette heure précise, alors peut-être n'aurait-il même jamais mit les pieds ici. Et pour cause, la lumière était quasiment inexistante dans la ruelle, bien que quelques lampadaires soient rester allumés à une heure aussi tardive. Étrange, lui qui pensait que toutes lumières étaient éteintes passé une certaine heure...

    Peut-être devrait-il sortir plus souvent à l'avenir ? S'il survivait à cette soirée, cela va s'en dire. Kazuya avait d'ailleurs la très nette impression que cela ne serait pas le cas. Parce que, bien qu'il doutait, il savait qu'il rentrerait dans cette fichue boîte de nuit. Il était contraint d'y entrer, ne serait-ce que pour prévenir Alexandre qu'il ne resterait pas. Car, oui, l'adolescent était comme ça, à cheval sur la politesse, et la politesse exigeait justement qu'il se rende à l'intérieur pour le prévenir de son absence. Une chose idiote, lorsque l'on y réfléchissait... Enfin, ce n'était pas le moment de se perdre dans les réflexions du pourquoi et du comment. Pour l'heure, c'était surtout le moment de réfléchir à une solution pour rentrer, se frayer un chemin à travers la foule, repérer Alexandre, le prévenir puis ressortir. Le tout, sans se faire piétiner par une horde d'adolescent aux hormones en folies, évidemment. C'était une chose qui semblait d'ailleurs extrêmement difficile à réaliser en cet instant...

    Kazu leva de nouveau les yeux, ne pouvant s'empêcher de fixer l'enseigne comme si c'était la dernière chose qu'il verrait en ce bas monde. Que merlin le préserve suffisamment longtemps pour, ne serait-ce que, ressortir. Juste le temps qu'il embrasse le sol pour avoir survécut, ensuite, merlin pouvait l'emporter si cela l'enchantait, ça n'aurait plus aucune importance. L'adolescent ferma les yeux l'espace d'un seconde, priant silencieusement ce dieu moldu qui était censé protéger l'être humain. Certes, il doutait de l'efficacité de ce "sort" moldu, mais mieux valait-il mettre toutes les chances de son coté... Prenant une grande inspiration, il s'avança jusqu'aux portes. Les gens se bousculaient toujours mais ce ne fut néanmoins pas difficile de passer sans finir les fesses au sol. Le premier obstacle était franchit.

    A l'intérieur, les lumières se mélangeaient, éclairaient la piste, fixaient les danseurs avant de repartir de plus belle. La musique n'était pas vraiment à son goût, ni même la horde d'adolescent qu'il redoutait tant, mais dans l'ensemble, les choses semblaient plutôt bien se passer. Certes, il n'irait pas jusqu'à dire que c'était moins pire qu'il ne l'imaginait, mais c'était pratiquement ça. Sa main se porta néanmoins à l'écharpe nouée autour de son cou, sa seule rempart de protection qu'il avait contre les filles et les garçons qui le dévisageaient. Oui, peut-être aurait-il dut éviter de porter ce pantalon moldu troué de toute part...

    Le japonais leva les yeux et survola la salle, cherchant désespérément le gryffondor qu'il était venu chercher, mais Alexandre n'était pas à portée de vue. Ou peut-être l'était-il... Peut-être faisait-il partie de la horde d'étudiants qui se déhanchaient sur la piste ? Ou peut-être n'était-il pas là, finalement ? Peut-être s'était-il trompé ? S'il ne cherchait pas un temps soit peu, alors il n'en saurait jamais rien... Kazu leva le pied et hésita quelques instants. S'il avançait, alors il ne serait plus question de faire demi tour. Pas tant qu'il n'aurait pas trouver Alex. Alors, peut-être devait-il rebrousser chemin maintenant... Non ! Pas alors qu'il se trouvait quelques par parmi ces personnes.

    L'adolescent posa le pied au sol avant de baisser le regard sur son pied écrasant celui d'un autre. Ceci n'était pas prévu au programme... Kazu se mordit la lèvre et s'excusa tout en redressant le visage. Peut-être n'aurait-il pas dut regarde l'adolescent qu'il venait de "bousculer" ? Il semblait âgé... Bien plus que lui en tout cas. Il devait avoir la vingtaine, vingt-cinq ans, peut-être plus. Un regard malicieux, un sourire aguicheur, la carrure d'un joueur de quidditch... Non, il n'aurait jamais du lever les yeux. Ses doutes se renforcèrent d'ailleurs lorsque le jeune homme posa une main dans le creux de ses reins, cherchant à se frotter contre lui sur le rythme de la musique, ses lèvres s'approchant des siennes... Il était saoul.

    Le japonais frissonna avant de s'extirper sauvagement de la poigne de son bourreau... L'échange avait duré à peine cinq secondes. C'était cinq secondes de trop. L'adolescent baissa les yeux et leva les mains à hauteurs du visage avant de bouscule chaque personnes se trouvant sur son passage. Tous, sans exception, se firent renverser sous l'assaut du japonais qui cherchait une issue. Un endroit où se réfugier en attendant que la peur quitte son corps. Ce refuge, il le trouva dans le seul endroit où l'usage n'était pas celui recherché : les toilettes. Ce n'est qu'une fois la porte poussée qu'il se permit à respirer, ses jambes se dérobant brutalement sous lui, le laissant tomber à même le sol.

    Quel endroit horrible. Qui pouvait apprécié ce genre d'endroit ? C'était pire que l'enfer. Comment Merlin avait-il pu permettre ce genre d'établissement ? C'était tellement... Tellement effrayant... L'adolescent porta les mains à son visage pour tenter de reprendre contenance. Il tremblait de tout ses membres et la peur lui tordait toujours aussi sauvagement l'estomac. S'il survivait réellement à une telle épreuve, alors Alexandre payerait cher de l'avoir fait rentrer ici.

    MAXIMILIEN_ « Keiko... ça n’en vaut pas la peine... Habille toi... »

    Keiko ? Sa soeur était ici ? Et cette voix qui lui était familière ? Était-ce max ? Son max ? Kazu posa une main sur la porte dans l'espoir de se redresser, chose qu'il fit sans néanmoins manqué de trébucher. Une fois mit sur pieds, il s'approcha d'une des cabines et poussa la porte. Vide. Peut-être celle d'à coté ? Il recula d'un pas et s'arrêta. Il avait l'impression d'entendre quelqu'un pleurer... La cabine du fond ? Il s'approcha, hésita puis posa sa main sur la porte. Celle ci résista quelques instants puis, d'un coup, céda sous la pression. La chose qu'il vit alors le laissa véritablement sans voix.

    KAZUYA_ « Que... Max ? »

    Ses yeux s'écarquillèrent de stupeur. Maximilien Middle, dans les toilettes d'une boîte d'une nuit ? Entrain de rattacher sa ceinture ? Les larmes roulant sur ses joues ? C'était déjà trop à avaler en une seule fois... Mais le pire, ce fut lorsqu'il reconnut la demoiselle qui l'accompagnait. Les vêtements froissés, les cheveux en batailles, la tenue... Celle même qu'il détestait tant. Sa soeur était-elle entrain de... ? Max avait-il essayé de... ? Non... Ils n'auraient pas pu coucher ensemble. Max n'aurait jamais pu. Quant à Keiko... Keiko était... Elle ne pouvait pas avoir déjà... Pas avec Max. Elle... Elle était... Non ?!

    Kazu fronça les sourcils tandis qu'il dévisageait les deux adolescents. Les pensées se bousculaient, se chevauchaient jusqu'à ce qu'il ne puisse plus s'y retrouver. Peut-être avaient-ils tout simplement discuter ? Dans les toilettes... Dans la même cabine ? Ou... Peut-être Max avait-il eut un problème ? Non, cela n'aurait en rien expliquer leur présence ici. Alors peut-être n'était-il pas très loin de la vérité ? Peut-être avaient-ils... dans ces toilettes ? Dans un endroit si... Auraient-ils réellement pu ? Était-ce la première fois ? Mais... Pourquoi Max ne lui avait-il jamais rien dit ? Non, Max n'était en rien responsable.

    Son regard se porta sur sa soeur. Pourquoi ? Pourquoi faisait-elle toujours ça ? Ne pouvait-elle pas s'empêcher d'agir comme elle le faisait ? Ne pouvait-elle pas agir comme une soeur correcte le ferait ? Il ne demandait pas grand chose, juste que sa soeur soit... Qu'elle soit différente. Son regard se voila légèrement suite à cette pensée et les larmes brouillèrent doucement sa vue. Était-ce sa faute si de telles pensées s'animaient ainsi dans sa tête ? Quelqu'un de censé ne serait-il pas entrain de se poser des questions, à sa place ? Merlin, si... L'adolescent porta une main à son visage dans l'espoir d'effacer ses larmes tandis qu'il s'adressait à eux d'une voix légèrement cassée :


    KAZUYA_ « Qu'est-ce que vous faites ? »

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MessageSujet: Re: Comme dans le temps... [FINI] Comme dans le temps... [FINI] Icon_minitimeJeu 25 Déc 2008 - 21:31

    « Keiko…ça n’en vaut pas la peine…Habille toi et rentre chez toi…c’est mieux »

    Son souffle se mit alors à doubler d’intensité comme si elle était en train de faire une quelconque crise de panique, chose qui était très probable qu’elle vive en cet instant d’ailleurs. De un, elle ne s’était jamais fait jeté rendu à un point avancé du début des préliminaires. En général, les garçons ne la renvoyaient tout simplement jamais de toute façon. Mais là, on aurait dit que tout était différent, Keiko aussi, malgré ses déhanchements avait voulu en finir au plus vite de ce qu’elle trouvait maintenant comme une corvée. Elle n’avait même plus envie de continuer ces pratiques commençant réellement à les trouver très dégradantes mais surtout tellement inutiles! Au fond, qu’est-ce que ça faisait si elle attendait la bonne personne à partir de maintenant? Elle avait déjà assez goûté au sexe pour savoir de quoi il en était elle arriverait donc forcément à se contenir, non? Elle avait même décidé de l’embrassé pour peur que de longues larmes commencent à couler sur ses joues, au moins à cette distance il ne les percevrait pas, pourtant ce fut elle qui gouta quelque chose de salé. Avait-elle commencé à pleuvoir sans s’en rendre compte? Le choc qu’elle eut lorsqu’elle l’avait aperçût un pleur avait été dix mille fois pire que les paroles qui avaient suivi. En fait, elle ne les écouta à peine puisque son corps était figé, figé devant le seul garçon de sa vie qu’elle avait vu pleurer, mise à part son frère bien entendu. Elle ne savait plus quoi faire, ses pensées n’était vraiment plus claires et elle n’avait qu’une envie à présent, s’abaisser et prendre son ami dans ses bras. Car oui, avant tout les deux jeunes étaient des amis, bien qu’ils ne le laissaient pas toujours paraître le voir souffrir était quelque chose d’immonde pour la poufsouffle. Si vous saviez réellement à quel point, au fond, elle se fichait de cette dignité qu’elle ne croyait pas du tout avoir perdu! En fait elle était même très reconnaissante à Maximilien, de l’avoir empêché de baiser encore une fois sans amour. Bref, elle allait se pencher vers le bleu et bronze pour le consoler du mieux qu’elle pouvait sauf que son geste fut arrêté en cour, alors que la porte du cabinet de toilette ouvrit. Bon sang, ne l’avait elle pas verrouillé?! Elle se tourna vivement en lançant un regard noir vers l’intrus qui osait perturber leur moment d’intimité. Pourtant ce qu’elle vit la figea encore plus que n’importe quoi… Son frère, son jumeau se trouvait devant elle, aussi perturbé par la vu des deux jeunes qu’elle l’était par lui. Non, elle devait être encore plus perturbée que lui…

    « Que... Max ? »

    Elle n’entendit à peine les paroles de son frère puisqu’elle était comme coupé de tout monde. Pourtant, ces pensées devinrent plus claires que jamais en cet instant d’affreuse découverte. Kazuya… Son frère était bien trop innocent pour découvrir ce que faisait sa sœur… Du moins c’était ce que la jaune et noir s’évertuait de préservé chez lui… Elle ne voulait pas qu’il sache ce qu’elle faisait… Mais surtout, il la croyait toujours vierge… Et il n’était pas assez naïf pour ne pas voir ce qui avait put se passer dans les toilettes… Le garçon, son ami, qui rattache sa ceinture, et elle ne voulait même pas penser à quelle tête elle tirait en cet instant. En plus que le bleu et bronze avait encore ses larmes présentes sur ses joues… Genre elle avait essayé de le violé ou quoi? Non bon, il ne devrait pas en venir à cette conclusion mais la première était irrévocable, ils avaient fait ça dans une toilette assez insalubre d’une boîte de nuit… ce qui était plutôt ironique puisqu’au fond ils n’avaient rien fait!! On aurait dit qu’elle n’avait plus une once d’alcool à présent dans son sang car elle était en mesure de penser le plus clairement possible, dommage d’ailleurs qu’elle y arrive! Ce fut son frère tant aimé qui brisa à nouveau le silence pesant.

    « Qu'est-ce que vous faites ? »

    Bon… Est-ce qu’il posait la question pour être certain de confirmé ses paroles ou hésitait-il encore? Peut-être que Keiko avait une chance de lui expliquer réellement ce qui c’était passé! Peut-être que rien était perdu encore? Si elle pensait qu’elle avait une alternative, pourquoi est-ce que sa vue devenait embrouillée tout à coup?! Des larmes commençaient dûment à se former dans ses yeux et elle savait qu’elle ne pouvait, ni ne ferait rien pour les retenir. À croire que quelqu’un venait de mourir si un inconnu passait et verrait les deux jeunes en larmes… Pourtant c’était quasiment ça… Elle avait tuer son image de sœur normale à son frère tant parfait, elle n’était plus la même et son masque avait été retirer et à présent la nipponne se sentait nue, totalement faible devant la situation qui se déroula devant elle. La voix de son frère indiquait qu’il était au bord des larmes lui aussi. Son corps fut soudain parcouru de longs tremblements et la seule chose qui réussit à sortir de sa bouche fut l’habituel et idiot :

    « Ce… Ce n’est pas… ce que tu crois…«

    Et pour une fois que cette phrase avait du sens et était entièrement véridique! Elle avait l’impression qu’elle ne méritait même plus le titre de sœur de Kazuya tellement elle se sentait pourrie! Elle releva à nouveau le regard vers lui, même si elle ne distinguait même pas son visage derrière ses larmes incessantes.

    « S’il-te-plait…»

    Pourquoi ces mots? Parce qu’elle ne savait vraiment pas ce qu’il allait faire et elle voulait tellement qu’il l’entende s’expliquer…

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MessageSujet: Re: Comme dans le temps... [FINI] Comme dans le temps... [FINI] Icon_minitimeSam 27 Déc 2008 - 0:50

    Indécente descente. Il y avait des mots comme ça qui mis ensembles ne voulaient plus rien dire mais qui pourtant signifiaient tellement, deux mots inverses, disons même paradoxales qui à eux tout seuls étaient capable de renverser un être humain tout entier, de le faire fondre ou simplement de le faire tomber. Ils provoquaient, lorsqu’ils étaient réunis, un tas de questions sans réponse, un tas de questions que jamais le vivant s’était posé au par avant, ils soulevaient l’impossible et donnaient parfois envie de courir. Ils mettaient face aux responsabilités, aux véritables actes qui souvent n’avaient rien de glorieux ! Ils étaient effroyables et tant redoutés que peu de gens se osaient se confronter aux paradoxes de la vie et malheureusement pour notre courageux ou plutôt lâche petit serdaigle, il était lui-même de ceux-là. Il préférait l’indécence plutôt que d’affronter la décence qui le mettrait face à ses chagrins, face à sa douleur et à sa tristesse mais que se passait ils lorsque les deux se mêlaient au même moment, en même temps, à la même heure, à la même minute et même à la même seconde ! Maximilien n’avait, depuis son adolescence, qu’une seule envie : fuir son manque d’amour, fuir ce besoin qui l’encerclait, le retenait prisonnier : ce besoin oppressant d’amour et d’attention qu’il n’arrivait malheureusement jamais à obtenir en quantité suffisante parce que le seul amour pour qui pourrait le sauver était celui de sa mère mais celui là, jamais il ne l’obtiendrait. Depuis sa puberté, depuis qu’il avait appris l’utilité de son engin, il n’avait fait que l’utiliser. Essayant de capturer les amours d’une nuit pour les enferme dans son cœur dans l’idée de combler celui qu’il ne recevait pas et ça marchait pendant les quelques minutes durant lesquels il atteignait le paradis : ça marchait ! Il devenait plus fort, plus beau. Il retrouvait sa confiance et son sourire mais dés que c’était terminé un sentiment de culpabilité bien plus puissant que tous ses manques d’amour faisaient surface, l’attaquant, le bouffant, le mangeant, lui rongeant le cœur ! Depuis, il ne s’en sortait pas. Il était entré dans un cercle vicieux. Souriant la journée, pleurant le soir, couchant la nuit, pleurant et dormant le matin et souriant à nouveau la journée. Son rythme était sans cesse le même et il ne voulait absolument pas mélanger ces différents moments de la journées…Malheureusement l’on avait pas toujours ce que l’on voulait !

    La décence qui le prenait vers l’aube était venue frappé à la porte bien trop tôt. Se mêlant à son indécence sauveuse, elle avait provoquée en lui un remous de sentiment qu’il cherchait à tout prix à éviter en prenant ainsi Keiko avec lui dans cette toilette. Mais Keiko était devenue une amie, sœur jumelle d’un de ses meilleurs amis de surcroît et Max était persuadé qu’elle faisait cela pour les mêmes raisons que lui et que quelque part, elle n’avait pas envie de le faire, elle se forçait pour oublier ! Maximilien s’était mis à pleurer sans savoir se contrôler. IL avait terriblement envie d’un câlin, envie d’arrêter ce jeu mal saint qu’il avait créer entre lui et Keiko et entre lui et plein d’autres d’ailleurs. Il voulait arrêter de souffrir pour rien ! Il s’était donc relever. Tout ce que lui et Keiko pouvaient ressentir comme tristesse ne valait pas qu’ils se blessent encore plus. Ils se faisaient s’ouvrir en s’offrant ainsi. Le sexe était censé être quelque chose de beau, de doux, de magnifique et surtout de sincère, tout l’inverse de ce qu’ils étaient en train de faire ! Il se leva donc et remontant son pantalon et il demanda à keiko d’en faire autant. Il était en train d’attacher sa ceinture lorsque la porte s’ouvrit violement. La surprise fut grande mais elle fut encore agrandie lorsqu’il vit que celui qui venait d’ouvrir cette porte n’était autre que Kazuya, le frère de Keiko, son ami. Maximilien resta bouche baie, les mains sur sa ceinture tandis que le serdaigle se mit à parler :


    KAZUYA_ « Que... Max ? Qu'est-ce que vous faites ? »

    Maximilien avait toujours su qu’un jour Kazuya apprendrait la vérité. Il n’avait jamais osé lui dire, par lâcheté sans aucun doute. Il y avait tant de chose qu’il lui avait caché. Autre que les relations sexuelles qu’il entretenait avec Keiko. Max n’avait jamais dit à son ami qu’il sortait en boîte. Kazu l’avait toujours vu comme le sage préfet aux bonnes notes, toujours la tête plongée dans un livre. Maxou n’avait jamais eut le courage de briser les rêve d’innocence du jeune Miyazaki et ne lui avait donc jamais dit que cette adolescent si parfait la journée devenait un débauché la journée, devenait un salopard, il n’avait pas peur d’utiliser ce mot car c’était réellement ce qu’il était !

    KEIKO_ « Ce… Ce n’est pas… ce que tu crois… S’il-te-plait »

    La voix de la jeune japonaise, ramena Maximilien à lui. Si il s’était conduit en monstre toute cette soirée, il avait décidé de faire autrement pour la fin. ET la première chose qu’il devait faire c’était protéger Keiko. IL ne voulait pas que Kazu lui fasse des reproches, qu’il lui en veuille alors qu’elle n’avait rien fait de mal. Sans doute que la jeune demoiselle connaissait bien mieux la vie que son frère qui semblait toujours vivre dans un cocon et Maxou avait la ferme intention de le laisser dans ce cocon parce que c’était ce qu’il y avait de plus beau et durant de nombreuses nuits Maximilien avaient souhaité récupérer ce cocon sans jamais l’obtenir. Alors, toujours la ceinture ouverte, il leva la tête et plongea son regard dans celui de son ami :

    MAXIMILIEN_ « Kazu. Ne te fais pas de film. Je n’ai pas l’intention de te mentir. Ta sœur et moi avions déjà eut des relations sexuelles mais non, Kazu, ne lui en veux pas ! Ce n’est pas de sa faute ! Simplement ce soir, nous n’avons pas pu. Je n’ai pas voulu aller plus loin par amitié envers toi sans doute mais aussi parce que Keiko et moi souffrons de cette situation. Je te dis la vérité. Je n’ai plus l’intention de te le cacher Kazu. Je n’ai simplement jamais voulu te faire souffrir sache simplement que ce n’est pas de la faute de ta sœur ! »

    Une larme coula silencieusement sur la joue de Maximilien. Il s'en voulait tellement d'avoir menti à son ami...

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MessageSujet: Re: Comme dans le temps... [FINI] Comme dans le temps... [FINI] Icon_minitimeDim 28 Déc 2008 - 23:58

    L'adolescent resta coi quelques instants, ses pensées voguant de l'un à l'autre sans que les faits ne s'assimilent réellement. Peut-être surtout parce qu'il n'avait pas envie d'y croire. Peut-être aussi n'osait-il pas y penser, de peur d'imaginer des choses, celles qu'ils auraient pu faire dans l'étroitesse de cette cabine de toilettes, mais malgré son manque de présence en ces lieux, son regard ne pouvait quitter le petit corps de sa soeur. Elle était secouée de tremblement et, à bien y regarder, elle semblait mener une lutte acharnée contre les larmes et les sanglots. C'était la première fois qu'il la voyait aussi bouleversée depuis de nombreuses années et, pourtant, il ne pouvait s'empêcher de lui en vouloir. Il lui en voulait, mais il avait aussi cette terrible envie de s'approcher d'elle pour la prendre dans ses bras, pour lui murmurer de se calmer comme elle l'aurait fait pour lui s'il avait eut besoin d'elle. Alors, pourquoi ne le faisait-il pas ? Pourquoi ne la consolait-il pas ? Quel frère était-il pour se comporter de manière aussi égoïste ? Il était horrible...

    KEIKO_ « Ce… Ce n’est pas… ce que tu crois… »

    Kazu émergea brusquement de ses pensées à l'entende de ces mots. Le son de la voix était faible, suppliant, presque cassé et, pourtant, il n'y prêta aucune attention. Ses yeux s'étaient posés sur Maximilien. C'était étrange de le voir ainsi, si déterminé alors que son visage trahissait encore ses larmes. C'était d'ailleurs la première fois qu'il le voyait ainsi, presque fragile et vulnérable malgré son air si fort. Il ne l'avait jamais vu pleurer auparavant, ou du moins, il ne lui en restait aucuns souvenirs. Peut-être parce qu'il n'aimait pas se souvenir de la tristesse d'autrui... L'adolescent recula d'un pas tandis qu'il repassait à sa soeur. Il ne l'avait quitté des yeux que quelques secondes et, pourtant, elle semblait encore plus fragile qu'auparavant. Elle ne cessait de trembler et, dans ses yeux, il pouvait apercevoir les regrets et la peine qu'elle éprouvait. Pourquoi regretter quelque chose qu'elle aurait pu éviter ? Certes, ils faisaient se qu'ils voulaient, mais elle était sa soeur ! Quant à Maximilien, il le considérait pratiquement comme son propre frère, alors pourquoi ne lui avait-il rien dit ? Si la raison était de protéger Keiko, alors cela n'avait aucuns sens. Ce n'est pas comme si Kazu avait un jour imaginé pouvoir lever la main sur sa soeur et, quant bien même aurait-elle tué quelqu'un, jamais il n'aurait osé la frapper. Cela marchait, évidemment, aussi pour Max.

    KEIKO_ « S’il-te-plait… »

    La gorge du serdaigle se serra brusquement. Il était difficile d'entendre sa soeur lui parler sur un ton aussi cassant, particulièrement lorsqu'il pouvait entendre le sanglot dans sa voix, c'est pourquoi il fronça légèrement les sourcils, pour tenter de reprendre contenance tandis qu'il relevait les yeux, au dessus de Maximilien. Il réfléchissait, se demandait aussi ce qu'il devait faire. Partir était de loin la meilleure solution, mais après ? Il ne pourrait les éviter éternellement et, tôt ou tard, l'un des deux finirait par lui tomber dessus. Alors que, rester voudrait dire savoir, comprendre, mais était-il prêt à entendre la vérité ? N'était-il pas préférable de partir et de reculer la confrontation à plus tard ? Sa vue se brouilla sous l'assaut des larmes. Merlin, non ! Il ne manquait plus qu'il pleur à son tour... Kazu releva encore un peu les yeux pour refouler les larmes tandis que son regard se portait sur une phrase écrite sur le mur. Une phrase sans aucuns intérêt et assez vulgaire en prime. Une phrase qui lui permit néanmoins de penser à autre chose durant quelques secondes, jusqu'à se que Maximilien relève résolument la tête pour planter son regard dans le sien, l'air déterminé plus que jamais encré sur le visage. L'adolescent avait décidé pour lui...

    MAXIMILIEN_ « Kazu. Ne te fais pas de film. Je n’ai pas l’intention de te mentir. Ta sœur et moi avions déjà eut des relations sexuelles mais... »

    Kazu cligna des paupières une fois, puis deux et, enfin, une troisième fois avant de baisser légèrement la tête, comme pour s'assurer qu'il n'était pas en plein cauchemar et Merlin savait pourtant comme il l'aurait souhaité. Mais non, le jeune serdaigle était bel et bien éveillé, debout face à sa soeur et son ami, dans les toilettes d'une boîte de nuit dans laquelle il n'aurait jamais dut venir. Le japonais maudissait Alexandre de l'avoir poussé à venir et il maudissait encore plus ses parents de lui avoir apprit la politesse. Sans elle, il ne se serait jamais sentit obligé de venir pour prévenir Alexandre, il n'aurais pas eut la frayeur de sa vie en sentant un ivrogne sur le point de l'embrasser et, mieux encore, il ne se trouverait pas ici, dans ces toilettes, à regarder les deux adolescents comme s'ils venaient de commettre le pire des crimes. Évidemment, Kazu ne pipait mots et pour cause, il en était incapable. Non qu'il ne voulait pas, au contraire, il mourrait d'envie de dire quelque chose, mais les mots lui manquaient, tout simplement...

    MAXIMILIEN_ « ...non, Kazu, ne lui en veux pas ! Ce n’est pas de sa faute ! Simplement ce soir, nous n’avons pas pu... »

    Maximilien se rendait-il seulement compte que chaque mots qu'il prononçait lui faisait l'effet d'un couteau planté dans le dos ? Immaginait-il seulement se que pouvait ressentir le japonais à l'entende de ces phases ? Ces mêmes phrases qu'il n'aurait jamais souhaité entendre, ni aujourd'hui, ni même demain... Chaque mots lui faisaient imaginer des choses que son esprit n'aurait jamais voulu voir. Certes, il venait clairement de lui faire savoir qu'il ne s'était rien passé, mais n'avait-il pas dit aussi qu'ils avaient fait quelque chose auparavant et, ce, à plusieurs reprises ? Kazu ferma les yeux quelque secondes pour tenter de repousser les images qui l'assaillait avant de les ouvrir pour dévisager Maximilien. Merlin, pourquoi ne s'arrêtait-il pas ?

    MAXIMILIEN_ « ...Je n’ai pas voulu aller plus loin par amitié envers toi sans doute mais aussi parce que Keiko et moi souffrons de cette situation... »

    Pourquoi souffraient-ils d'une situation qu'ils avaient eux-mêmes choisi ? Kazu ne parvenait pas à comprendre... A vrai dire, il ne cherchait même pas à savoir. A quoi bon ? Il devait déjà assimiler suffisamment de choses. Il était inutile qu'il s'encombre de nouvelles questions ou d'autres réponses qui ne feraient qu'embrouiller son esprit d'avantage. Comme si ce qu'il venait d'apprendre ne l'embrouillait pas déjà suffisamment... L'adolescent baissa le regard vers sa soeur. Les larmes avaient fini par avoir le dessus et elles s'écoulaient à présent librement le long de ses joues, laissant derrière elles un fin sillon qui lui brisait le coeur. Merlin... Était-il responsable de son état ? Était-ce à cause de lui qu'elle pleurait ? Avait-il... Avait-il dit ou fait quelque chose qui l'avait blessée ?

    MAXIMILIEN_ « ...Je te dis la vérité. Je n’ai plus l’intention de te le cacher Kazu. Je n’ai simplement jamais voulu te faire souffrir sache simplement que ce n’est pas de la faute de ta sœur ! »

    Pour la énième fois, l'adolescent porta son attention sur Maximilien, le dévisageant à travers le voile de ses larmes. Larmes qu'il n'avait pas remarqué jusqu'à présent. Depuis quand pleurait-il devant eux ? Kazu ouvrit la bouche, puis la referma brusquement en sentant ses lèvres tremblées légèrement. Merlin, qu'il devait être ridicule à ne savoir quoi dire. Mais était-ce indispensable qu'il prononce quelques mots ? Pourquoi faire, d'ailleurs ? Pour les rassurer ? A quoi bon, ils ne devaient pas même s'inquiéter de se qu'il ressentait. Alors, que devait-il faire ? Partir ou rester ? Attendre ou non ? Rester silencieux ou parler ? Crier ou être calmer ? S'asseoir ou reste debout ? Fuir ou les affronter ? Les questions se succédaient sans qu'il ne parvienne à se décider. Il ne pouvait pas, il n'arrivait pas à choisir. Il était bien trop surprit que pour pouvoir se ressaisir. C'était comme si son cerveau s'était subitement coupé du monde pour ne plus vivre que sa vie. Ce qui était problematique lorsque l'on y songeait.

    Un silence à couper au couteau s'installa entre les trois adolescents. L'une pleurant, l'autre attendant et le dernier essayant d'assimiler. Il fallait dire que la pilule était plus que difficile à avaler, particulièrement quand le cerveau se mettait aux abonnés absents. Du moins, pas éternellement. Et pour cause, moins de trente seconde plus tard, la porte pivota sur ses gonds, laissant filtrer la musique et la lumière à l'intérieur des toilettes. Une demoiselle posa son regard sur eux avant de, brusquement, faire demi tour en s'excusant. Sa voix était pareil à un chuchotis mais l'effet fut immédiat sur le japonais. Cette voix fut comme un électrochoc qui le secoua complètement. Il cligna des paupières plusieurs fois puis porta son attention sur Maximilien avant de regarder sa soeur.

    KAZUYA_ « Je... désolé... »

    L'adolescent recula d'un pas, puis d'un second avant de se tourner brusquement, s'élançant à travers la pièce qu'il quitta sans plus de cérémonie. Il ne pouvait rien dire pour l'instant. Il devait essayer de digérer se qu'il venait d'apprendre. Il lui fallait du temps. Beaucoup de temps. Et ce n'était pas en restant avec eux qu'il parviendrait à oublier. Il devait s'éloigner quelques temps, ne serait-ce que quelques heures. Alors, peut-être, parviendrait-il a dire quelques chose de censé sans les blesser, parce que c'était la dernière chose qu'il voulait. Oui, il ne lui fallait que quelques minutes ou quelques heures pour réfléchir. Pour oublier le poids qu'il avait sur le coeur et sur l'estomac. Alors il reviendrait et s'excuserait... Oui, c'est ce qu'il avait décidé en traversant la boîte de nuit noire de monde. C'est ce qu'il médita lorsqu'il passa les lourdes portes de l'entrée en courant, avant de courir à l'aveuglette au travers de la rue. Oui, il finirait par oublier. Ce n'était qu'une question de temps...

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MessageSujet: Re: Comme dans le temps... [FINI] Comme dans le temps... [FINI] Icon_minitimeJeu 1 Jan 2009 - 20:56



    Avez-vous déjà eut l’impression que quelqu’un jouait avec vos nerfs et même vos sentiments? Avez-vous déjà eut l’impression que quelqu’un vous menait comme s’il était le marionnettiste et peu importe ce que fous faisiez il ne vous lâchait pas? Pour vous mettre en situation, c’est comme si un homme passait dans le coin, vous prenait la main et vous amenait danser avec lui un tango infernal, peu importe si vous ne savez pas le danser, ou que vous ne contrôler plus vos mouvements tout court, ce maître saura vous mettre sur le droit chemin, tant par ses manigances habiles que par son expérience incontrôlable. Cette personne sait en général parfaitement bien vous contrôler, que ce soit par les émotions ou par ses agissements, pourtant ce qu’il essaye de vous faire est parfois pire que ce qu’il avait prévu au départ. Il est clair que certaine personne veulent un très grand bien de d’autres, mais par ce fait même, en oublie toutes les convenances ou même les réels désirs de la promise. Ce peut être vue de façon très éloignée, par exemple un amoureux qui veut protéger sa douce, mais à l’encontre lui fait plus de mal que prévu. Encore là, ce qui est pire dans ce genre de situation, c’est quand la personne qui vous fait autant d’effet ne sait même pas qu’elle a ce pouvoir sur vous, chose qui rend la situation dix fois plus difficile. Mais de toute façon, qui pourrait en vouloir à son frère adoré? L’être le plus innocent de toute la planète et pour qui la japonaise avait essayé de le protéger. Car, en faisant cet acte, elle lui avait brisé le cœur lorsqu’il avait découvert la vérité… Mais dites moi donc pourquoi alors, si c’est lui qui a reçu la nouvelle criante c’était la brune qui semblait le plus souffrir dans cette histoire? Peut-être parce qu’elle aussi se sentait jouée, comme si le seul fait que son frère fasse cette tête – celle qui pour n’importe quel frère ou sœur pourrait quasiment signifier qu’il vous renie pour la vie – elle avait vraiment l’impression d’avoir été la personne mise en situation de pure douleur… Dans ces cas-là, de double souffrance je parle c’est sûrement que les deux êtres étaient en train de vivre la chose la plus percutante dans leur vie, du moins depuis un long moment car les deux jumeaux ne pipaient mot. Les tremblements incessants de la jaune et noir aurait largement put faire penser que son Kazuya aussi tremblait, tout semblait une grave illusion, ou un mauvais rêve. Elle se détestait elle-même pour tout ce qu’elle avait commis, mais pour l’instant ce qu’elle haïssait le plus en elle c’était qu’elle n’était plus capable de percevoir le visage du bleu et bronze, celui qui lui rappelait son acte, toutes ses erreurs qu’elle avait osée lui mettre sous le nez.

    « Kazu. Ne te fais pas de film. Je n’ai pas l’intention de te mentir. Ta sœur et moi avions déjà eut des relations sexuelles mais non, Kazu, ne lui en veux pas !»

    « Another way to die. » Oui, un autre moyen de mourir que celui par l’atteinte d’une maladie ou un quelconque accident. Celui qui semblait s’attaquer simplement au cœur mais produisant un effet monstre comme jamais on aurait crut possible. Du moins, c’était la première fois que Keiko ressentait cela et elle croyait que rien ne pouvait être pire. Peut-être que Maximilien venait de la défendre, mais en tout et pour tout il venait de dire à son innocent petit ange qu’il l’avait fait plusieurs fois avant ce jour. Son cœur avait semblé s’être définitivement arrêté, autant que son souffle lui avait augmenté comme jamais. En plus de ne plus pouvoir regarder qui que se soit elle aurait voulu fermer ses oreilles à partir de cet instant puisqu’elle ne voulait définitivement plus rien entendre… Pourtant, Maxi décida que ce n’était pas terminé…

    «Ce n’est pas de sa faute ! Simplement ce soir, nous n’avons pas pu. Je n’ai pas voulu aller plus loin par amitié envers toi sans doute mais aussi parce que Keiko et moi souffrons de cette situation. Je te dis la vérité. Je n’ai plus l’intention de te le cacher Kazu. Je n’ai simplement jamais voulu te faire souffrir sache simplement que ce n’est pas de la faute de ta sœur ! »»

    Bon, dites moi dont pourquoi si ces mots étaient définitivement plus rassurant, la nipponne était-elle toujours dans un grand état de crise? La raison était particulièrement simple en ce moment, elle avait peur… Peur de pleins de choses, peur de ce comment Kazuya prendrait ses paroles, peur de savoir ce qu’il en pensait, de ce qu’il pouvait décemment y répondre alors qu’il était aussi chamboulé qu’elle? Car je ne sais pas vraiment si vous savez, mais quand on a un jumeau et qu’on l’aime autant qu’elle l’aimait, leur lien est dix fois plus fort qu’un simple frère et sœur. À quoi bon qu’ils soient les opposés? Ça ne voulait absolument rien dire, surtout pas dans un moment de crise comme cela, ils seraient supposés être capable de supporter peu importe ce qu’il arriverait. C’est pourquoi, muette comme une tombe, elle attendit la réponse de sa moitié… Elle commençait à pouvoir discerner les formes devant elle, comme si ses larmes cessaient de couler alors que c’était irrémédiablement faux. Hélas, ce qu’elle vit la perturba encore plus, il venait de faire un pas derrière, non! S’en était fini!

    « Je... désolé... »

    son cœur fit un bond dans sa poitrine, comme s’il avait décidé tout à coup de rebattre, pour ne pas la laisser mourir. Pourtant, il repartir en bataille directement après ce seul coup parce que la japonaise comprenait définitivement ce qui ce passait. Et pour elle, c’était la fin, jamais elle ne comprendrait que son frère veuille la pardonner, surtout pas après ce qu’elle venait de lui faire vivre! Au moment où il tourna les pieds pour s’en aller, elle tendit invraisemblablement sa main vers lui, comme si elle croyait qu’il pouvait encore la prendre. Ça y était, maintenant, à la différence de toute à l’heure, son souffle ne se faisait plus rapide mais drôlement irrégulier voire pratiquement inexistant. Bon sang, étaient-ils soudainement dans l’espace pour manquer autant d’air? Elle se tourna machinalement vers le bleu et bronze et dans un dernier souffle lui dit.

    « Qui a volé mon air? »

    Et en un instant tout devint noir, beaucoup trop noir comme si elle avait tombé dans l’abysse. Ce qui était étrange c’était à quel point elle ce sentait bien; elle ne souffrait pas, elle ne souffrait plus…

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MessageSujet: Re: Comme dans le temps... [FINI] Comme dans le temps... [FINI] Icon_minitimeJeu 1 Jan 2009 - 21:43

    La terre venait de s’ouvrir. La fin du monde était arrivée ! Les roches s’écaillaient, les mers s’asséchaient, les volcans entraient en éruption et les montagnes grandissaient…La terre se dérobait sous les pieds du jeune serdaigle pour laisser apparaître juste en dessous de lui un énorme trou : l’enfer ! Un abîme de feu, de peur, de tristesse et de colère. Un abîme de méchanceté, de larmes et de douleur. Un abîme de cris, de pleurs et de sang. UN abîme dans par lequel il serait engloutit, aspiré et dans lequel il serait enfermé à tout jamais. L’enfer allait l’attraper si il perdait Kazu et sans doute aussi si il perdait Keiko. Tout le reste de sa vie il allait pouvoir sentir cette larve de feu se glisser sous ses pieds, lui donner chaud, le brûler tellement il serait triste, tellement il aurait mal, tellement il serait malheureux. Un abîme de solitude ! Il serait seul au monde, seul enfermé dans sa tour, seul dans son monde. Il serait seul dans l’enfer. La terre continuait de trembler pour lui tandis que son ami Kazuya le regardait avec des grands yeux. Elle tremblait, tremblait et tremblait encore le faisait trembler aussi. Les mers s’asséchaient pour venir mettre de l’eau dans ses yeux à lui et ainsi quelques larmes se mirent à couler vers se sol si flou qu’il n’arrivait plus à voir à force de le regarder fixement. Il se sentait honteux, tellement lâche. Il se sentait si mal d’avoir tant menti à son ami, de lui avoir cacher tant de chose. Comment donc avait il pu sourire, avait il pu seulement prendre le jumeau dans ses bras tandis qu’il couchait avec la jumelle. Comment avait il pu faire ça ? N’était il donc pas Maximilien Middle, le modèle d’honnêteté, qui disait tout directement, comme les choses étaient et qui n’avait pas peur de la vérité. Jamais il n’avait réfléchis à ça. IL avait toujours pensé qu’il fallait protéger Kazuya mais en fait : il aurait du lui dire la vérité. Maximilien souffrait, la culpabilité le rongeait mais il savait que cela n’était même pas comparable avec la douleur que devait ressentir l’asiatique...

    La conversation n’avançait pas, ils se regardaient tous fixement, personne ne disait mot, personne ne savait quoi dire, quoi prononcer. On pouvait entendre les cœurs battre, la sueur dégouliner doucement sur les fronts des trois adolescents qui stressés, apeuré, mal en point, en colère et surtout très triste, ne savaient vraiment pas quoi faire. Maximilien ne pouvait pas laisser les choses continuer de cette façon. IL avait mal au cœur, mal au ventre parce que la culpabilité lui arrachait les entrailles, lui mordait l’estomac, lui perçait le cœur, lui mangeait les poumons, l’empêchant de respirer, lui dévorait oralement l’intérieur, le rongeant jusqu’à la moelle, buvant presque son sang. Maximilien ne pouvait pas continuer comme ça, sinon il allait s’effondrer, il allait se tuer à rester ainsi debout à attendre que les choses passent. Il allait mourir ! Et il savait qu’il en allait de même pour les deux autres mais il n’avait pas le droit de leur faire payer ses conneries. Il fallait que Kazu comprenne mais il fallait aussi que Keiko soit sauve. Max jugea qu’il avait assez menti et que mentir encore ne ferait qu’empirer les choses, ne ferait que les compliquer un peu plus, qu’accentuer la douleur de ce que tous ressentaient alors il se mit enfin à parler, doucement, d’une voix forte mais tremblante. IL regardait Kazu dans les yeux, lui disant toute la vérité. IL avait l’impression qu’à chaque mot, la terre se dérobait un peu plus et qu’il s’enfonçait un peu plus dans les abîmes de l’enfer…ET puis il eut enfin terminée. Le temps semblait s’être fixé dans la pièce, totalement arrêté. La musique pourtant forte de l’extérieur n’arrivait plus à ses oreilles. Maximilien attendant la réaction de Kazu. Si il avait pu il se serait jeté à ses pieds, lui hurlant de leur pardonner mais la douleur l’empêchait de bouger, la douleur le tenait immobile, droit debout comme un pantin que l’on aurait posé là. Maximilien avait mal, très mal. L’attente était insoutenable d’autant plus que le regard de Kazuya était vide, on ne pouvait rien y lire mais finalement celui-ci se mit parler…


    KAZUYA_ « Je…Désolé »

    Lorsque Max avait vu Kazuya bouger légèrement et ouvrir la bouche, il n’avait pu retenir un soupir de soulagement, un soupir de vie comme si celle-ci le regagnait peu à peu pour le tirer de l’enfer. Il s’était dit que son cauchemar était terminé, que Kazu allait le serrer contre lui mais ce ne fut pas le cas. Kazu s’excusait ! Kazu s’excusait. Maximilien resta la bouche baie un petit instant parce que Kazuya n’avait rien fait, c’était Maximilien le fautif et lui seul, Kazu était innocent, il n’avait toujours été mais alors pourquoi s’excusait il ? Maximilien voulu alors parler mais il ne vit que la porte des toilettes se refermer sur son nez : Kazu était parti, Kazu avait fui ! Maximilien avait l’impression qu’on lui avait pris tout son air, qu’on avait ôté tout l’oxygène de la planète. Il faisait si chaud et en même temps si froid. Il avait mal à la tête, il avait l’impression qu’il allait tomber dans les pommes d’une minute à l’autre. IL n’avait même pas la force de courir après l’autre serdaigle, de le rattraper, de s’excuser encore, il était comme cloué là, scotché sur place. Il avait envie de se cacher dans un trou, de se foutre dans son lit, de dormir et d’y mourir, de ne plus jamais en ressortir. Il se sentait si mal d’avoir causé une telle douleur à Kazuya qu’il en oubliait presque Keiko à côté de lui…Mais il ne put l’oublier bien longtemps parce qu’il entendit tout d’un coup la respiration de la demoiselle s’accélérée. Il se retourna alors vers elle. Elle était blanche, ça faisait presque peur, elle tremblait et ses larmes coulaient sans qu’elle ne puisse les retenir. Ses joues étaient creuses et ses yeux étaient vides…

    KEIKO_ « Qui a volé mon air ? »
    MAXIMILIEN_ « KEIKOOOOOOOOOOOOOO ! »

    Mais trop tard ! La demoiselle ne l’avait pas entendu. Maximilien en revanche lui avait vu. Au fur et à mesure que Keiko avait prononcé cette phrase elle était devenue encore plus blanche, vacillant, tournant de l’œil. IL l’avait vu tomber, il avait crié son nom mais en vain parce que la jeune et belle poufsouffle venait de tomber dans ses bras évanouis. Maximilien resta là un petit moment, la jeune demoiselle affalée dans ses bras. Il était totalement perdu, son cœur battait la chamade, ses pensées étaient toutes dirigées vers Kazu qu’il risquait de perdre mais son regard sur Keiko qui gisait là, les yeux fermés, le réveilla. Il avait l’impression d’avoir pris une douche froide, il respira une grande bouffée d’air. Air qui juste avant ne voulait pas passer. Il revivait parce qu’il avait quelque chose à accomplir et la première des choses était de mettre keiko à l’abris dans un endroit sur ensuite il retrouverait Kazuya et lui amènera. Mais où mettre la jeune asiatique ? Il regarda les alentours de toilettes et une idée lui vint à l’esprit : Poudlard n’était il pas le lieux le plus sûr ?

    Il avait repris de sa force. Il avait l’impression d’être un surhomme qu’il pourrait soulever des montages pour rattraper ses erreurs aux yeux des deux jumeaux. IL prit alors la belle complètement dans ses bras et il sortit vivement des toilettes. Il y avait du monde dans la boîte de nuit, mais il avait l’habitude. Certes Keiko pesait lourd et cela faisait du poids dans ses bras, ça lui tirait les épaules mais ce n’était pas grave, il devait la mettre à l’abri. Il joua des coudes, bousculant plein de personne, ne se gênant pas pour faire des croches pied pour passer et finalement il arriva dehors. Il devait être une heure du matin. Il faisait noir, totalement noir. IL n’y avait que deux petites étoile dans le ciel et la lune était cachée par des bâtiments…Mais Max n’avait pas besoin de lumière, il avait celle du cœur et puis connaissait parfaitement le chemin. Il faisait frai dehors, il pleuvinait même pour pas dire carrément qu’il pleuvait. Il enleva alors sa veste et la déposa sur Keiko puis la reprit dans ses bras. IL était en t-shert, il avait froid mais voulait surtout que Keiko ait chaud ! Il se mit alors à courir, il devait vite arriver au château. Il courait, courait, courait sans s’arrêter, traversait les rues, parcouraient les routes, les chemins, risquant de tomber à plusieurs endroits, tremblant de froid, les cheveux dégoulinant d’eau, mouillé jusqu’aux os. Maximilien était en train de gêler sur place. IL n’avait plus d’air, il courait depuis trop longtemps avec ce poids dans ses bras. Ses poumons souffraient du manque d’air mais la douleur qu’il ressentait physique n’était rien face à celle qu’il ressentait sentimentalement. Alors qu’importe qu’il avait l’impression que ses jambes ne le portaient plus, que ses jambes ne le tenaient plus, qu’il risquaient de tomber, de mourir et de finir sa vie à chaque pas. Il devait continuer. IL n’avait pas le droit de s’arrêter. Ainsi donc il courru encore et encore. Il passa devant les trois balais, voilà trop longtemps qu’il était dehors, ses lèvres devaient être bleus. Il courait encore et encore sans jamais s’arrêter. La pluie redoublait le mouillant encore plus. Il fahit plusieurs fois trébucher sur des cailloux, Keiko pesait vraiment lourd dans ses bras et puis enfin il le vit se dessiner devant lui : Poudlard. Maximilien redoubla alors d’effort, continua de courir encore et encore, il devait atteindre la grande porte au plus vite et enfin là, voilà, juste devant lui. IL la poussa légèrement et entra. Malgré l’envie de continuer son chemin, il ne put faire autrement que de s’arrêter une petite minute. IL n’avait plus d’air dans ses poumons, son cœur allait exposer. Il haletait, il soufflait, toussait. Il avait vraiment mal mais ne pouvait pas rester trop longtemps ici. Alors ses vêtements dégoulinant et mouillant les dalles propres il se mit à avancer. En courant il s’était dit qu’il n’allait pas pouvoir la mettre à l’infirmerie et le seul lieux qui lui était venu à l’esprit était la salle sur demande. Il fila alors au cinquième étage. Toujours là jeune fille dans les bras il grimpa les escaliers. Il était au bord de l’asphyxie mais ne s’arrêta pas…Non il arriva enfin dans le couloir tant convoité. Il passa trois fois devant le mur et enfin il put entrer dans cette magnifique pièce. Elle était chaude, chauffé par une cheminé. Les murs étaient rouges bordeaux et il y avait pleins de coussins partout avec un lit double contre le mur, un lit à baldaquins aux couleurs bordeaux. Max y déposa doucement Keiko, sortit sa baguette et d’un sort la sécha complètement. Il la plaça sous les couvertures, se baissa et déposa un bisou sur son front. Il dit alors :


    MAXIMILIEN_ « Ne t’inquiète pas, je vais te ramener ton frère. Je te le promets ! »

    ET sans prendre le temps de reprendre sa veste ni de se sécher, il ressortit. Sa gorge était en feu, tout son corps brûlait, se tendait, lui faisait mal et lui hurlait de s’arrêter encore un peu pour se reposer mais Maximilien ne voulait pas. Il se remit à courir, sortit rapidement du château dans la ferme intention de retrouver Kazuya Miyazaki.


A TOI KAZU <3

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MessageSujet: Re: Comme dans le temps... [FINI] Comme dans le temps... [FINI] Icon_minitimeVen 2 Jan 2009 - 1:52

    Une fois sortit de la boîte de nuit, Kazu n'avait cessé de courir pendant près de dix minutes. Il avait couru jusqu'à ne plus avoir de souffle, pour libérer son esprit et calmer le fil de ses pensées. Il avait couru pour oublier, mais aussi pour trouver un endroit calme, à l'abri des regards pour pouvoir réfléchir à tout ce qui venait de se passer en si peu de temps. Un endroit où personne ne risquerait de le déranger. A vrai dire, l'adolescent n'avait pas réellement réfléchit au chemin à emprunté, pas plus qu'aux difficultés qu'il avait à se diriger. Il s'était simplement laissé guidé par ses pas, errant dans les rues de près au lard avec, pour seule lumière, les quelques éclaircies produites par les lampadaires répartit sur sa route et les quelques rares rayons de lunes qui éclairaient ses pas par instant. Il avait errer, priant intérieurement pour que personne ne surgissent des ruelles sombres tandis qu'il cherchait un endroit où s'abriter du froid et de la pluie. Dix minutes à errer, le vent mordant sa peau à travers la mince épaisseur de ses vêtements. Vent qui lui glaçait la peau à tel point qu'il ne cessait de frissonner ou de trembler dans l'espoir de se réchauffer. Dix minutes à courir pour tenter de se réchauffer, en vain. Courir ne lui servait en rien, si ce n'est qu'il se fatiguait inutilement.

    A plusieurs reprises, le serdaigle avait songé à faire demi tour, a revenir sur ses pas et demander de l'aide. Retourner dans la boîte de nuit et appeler Alexandre, Max ou Keiko. N'importe qui, du moment qu'il n'était plus seul. Au fur et à mesure qu'il s'épuisait, Kazu se trouvait idiot d'avoir agit comme il l'avait fait. Pourquoi avait-il fuit ? Pourquoi avait-il laissé sa soeur seule dans un moment pareil ? Certes, ils lui avaient menti tout les deux, mais n'était-il pas censé leur pardonner ? En fin de compte, ils ne lui devaient aucuns comptes... Maximilien et Keiko étaient assez grand pour décider de l'attitude à avoir et du comportement à utiliser en société ou en privé. Hors, Kazuya avait été blessé par leur attitude alors qu'il n'avait rien avoir dans la situation. Sa soeur couchait avec le garçon qu'il considérait comme son frère, et alors ? Ou était le problème ? Le coeur de l'adolescent se resserra tandis qu'il s'arrêtait nette. La pluie s'abattait sur son crâne et aplatissait ses cheveux d'un noir d'encre sans qu'il n'en prenne réellement conscience.

    A vrai dire, il savait exactement pourquoi il avait agit ainsi. Par jalousie... Par possessivité... Il n'avait pas envie que sa soeur ait dans les bras d'un autre homme que lui. Elle était à lui, elle était son précieux joyaux, aussi ennuyeuse soit-elle par instant. Elle était sa jumelle, une part de lui, c'est pourquoi il ne voulait pas la partagée. Il ne voulait pas qu'un garçon la touche, de peur qu'elle ne soit blessée plus tard. Il avait peur pour elle, mais aussi pour lui parce que, si Keiko sortait avec un homme, si elle couchait entre ses draps, alors cela voulait dire qu'elle n'était plus aussi petite qu'avant. Autrement, elle n'était plus cette petite fille qu'il adorait tant. Certes, il le savait depuis longtemps, ne serait-ce que quand il la voyait venir à sa rescousse pour le protéger. Elle avait toujours été plus forte que lui, mais elle restait tout de même sa soeur. Celle qu'il devait protéger par tout les moyens, même s'il avait peur... Même si il était blessé par son comportement...

    La gorge du garçon se serra brusquement et ses jambes se dérobèrent, le laissant s'écraser au sol comme une poupée de chiffon. La pluie était toujours là, elle prenait de la puissance, comme pour l'accabler du mal qu'il venait de faire sans s'en rendre vraiment compte. Keiko pleurait quand il l'avait laissée avec Max. Elle souffrait aussi, il avait pu le voir dans ses yeux. Alors pourquoi était-il partit ? Pourquoi l'avait-il laissé seule avec Max ? Pourquoi ne s'était-il pas comporté comme le frère qu'il était censé être ? Merlin... L'adolescent se pencha en avant et plaqua ses mains sur le sol tandis que les larmes roulaient sur ses joues. Des larmes silencieuses et douloureuses qui se mélangeaient étrangement avec les gouttes de pluies. Ses poumons étaient vides de toute oxygènes et chaque bouffées d'air qu'il prenait lui brûlaient littéralement la gorge. Était-ce comparable à la douleur qu'il avait infligé à Keiko ? Quant à Max...

    Maximilien. Avait-il souffert, lui aussi ? L'avait-il fait souffrir en se comportant de manière aussi égoïste ? L'avait-il blessé d'une quelconque manière durant ces quelques minutes de confrontation ? Certes, il l'avait vu pleurer, mais cela n'expliquait en rien la raison de ses larmes. Était-ce par tristesse ou par regrets ? Ou peut-être pour une toute autre raison ? Les pensées du serdaigle devinrent floues au fur et à mesure qu'il réfléchissait. Il lui était impossible de savoir si son ami avait souffert de cette situation ou non. Il était incapable de penser à autre chose qu'a son attitude horrible, égoïste, qu'il avait eut envers ces deux personnes chère à son coeur. Lui en voulaient-ils ? Pourraient-ils lui pardonner s'il venait s'excuser ? Pouvait-il seulement revenir et les regarde en face ? Pouvait-il se redresser ? Quitter ce sol qui lui semblait si réconfortant alors qu'il devenait froid comme le marbre ?

    Froid... L'adolescent grelotta de plus belle en sentant la pluie glisser dans son dos, collant ses vêtements trempés sur sa peau. Le vent qui soufflait ne faisait que renforcer cette sensation de froid, de gèle. L'adolescent avait la très nette impression d'être rentré tout habillé sous le jet d'une douche glacée. Une douche projetant de l'eau si drue et si froide qu'elle lui aurait permit de s'insinuer sous sa peau jusqu'à congeler ses os et sa chair. Merlin... Kazu releva légèrement les yeux, claquant des dents. Il posa son regard à droite, puis a gauche, avant de se mettre à fixer l'horizon. Le paysage lui était, étrangement, inconnu. Quoi qu'il doutait que l'on pouvait qualifié de paysage les choses qu'il voyait face à lui. Une étendue d'herbes folles, laissant croire à un champ mal entretenu. Depuis quand y avait-il ce genre d'endroit dans ce village ? Merlin... Était-il perdu ? Courir dix minutes ne devait pas l'avoir conduit bien loin, alors pourquoi ne s'y retrouvait-il pas ? Hallucinait-il ?

    L'adolescent cligna des paupières plusieurs fois avant de se redresser difficilement et de s'avancer de quelques pas. Un. Deux. Il s'arrêta et se mit à dévisager l'étendue sous ses yeux. Une étendue qui n'en était pas vraiment une... S'approcher lui avait permit de remarquer deux attaches. C'était une banderole... Ou du moins, une affiche posée maladroitement sur la vitrine d'une boutique miteuse. Une boutique dont il ignorait l'existence jusqu'à aujourd'hui. Kazu s'approcha de nouveau, quelques pas seulement. Puis il plissa les yeux afin de scruter l'intérieur de la boutique, visible malgré l'affiche. Ce n'est que lorsqu'il avança son visage d'avantage qu'il remarqua une pair d'yeux d'un jaune vif le fixant à travers la poussière. Le japonais poussa un cri avant de se reculer brusquement, trébuchant sur une pierre avant de s'écraser dans une flaque...

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MessageSujet: Re: Comme dans le temps... [FINI] Comme dans le temps... [FINI] Icon_minitimeSam 24 Jan 2009 - 16:04


"Il faudra que je cours...Tous les jours


    Le cœur de Maximilien battait la chamade, son cerveau entrait en ébullition, ses yeux voulaient se fermer, ses muscles surchauffaient, son corps entier lui faisait mal, sa respiration se bloquait, ses poumons étaient obstrués, sa trachée sèche lui brûlait la gorge. IL avait mal, tellement mal au corps et au cœur. Les larmes coulaient sur ses yeux tandis qu’il dévalait les escaliers de Poudlard sans même regarder où il mettait les pieds, trébuchant à chaque pas. IL s’en fichait, il ne voyait presque rien avec ses yeux floués par les larmes et l’obscurité alentours mais tout ce qui comptait pour lui c’était de retrouver Kazuya, son frère de cœur, Kazuya à qui il avait fait tant de mal…Son ventre se tordait, son estomac se retournait lorsqu’il revoyait le visage du serdaigle lorsqu’il les avait surpris lui et keiko dans les toilettes de cette horrible boîte de nuit. Il revoyait encore et encore la tête du petit Miyazaki, ses yeux grands ouverts qui exprimaient une peur et une déception sans nom, son allure figée comme si ses membres ne voulaient plus bouger face à la vision d’horreur que Maximilien et Keiko lui avait offert. Maximilien s’en voulait tellement, il ressentait d’ici la douleur de Kazuya, il pouvait la nommer, la toucher, elle était enfuie au plus profond de son cœur parce qu’il partageait cette douleur : il venait de perdre un de ses meilleurs amis, il venait de perdre une des seules personnes en qui il avait confiance, l’une de seules personnes à qui il osait parler, à qui il osait se confier, expliquer ce qui n’allait pas. Les yeux de Kazuya le hantait, il revoyait cette tristesse que le jeune japonais avait ressentit, il revoyait cette incompréhension, ce début de colère mais surtout cette douleur, cette peine immense que Maximilien n’arriverait jamais à soigner…Il savait bien qu’il pourrait faire tout et n’importe quoi, rien ne serait plus jamais comme avant entre Kazuya et lui mais ce qui comptait maintenant c’était de sauvegardé cette fraternité qu’avait les jumeaux, de les réconcilier…Il se sentirait sans doute mieux comme ça, peut-être même que Kazuya lui pardonnerait son pêcher en se réconciliant avec sa sœur…Ce que Maximilien se haïssait…

    Pourquoi avait il cette vie tellement horrible, pourquoi fonctionnait il comme cela, ne pouvait il donc pas être comme tout le monde ? Avoir des parents aimants et attentifs, avoir des parents joyeux qui l’aimeraient et s’occuperaient de lui et avoir un tas d’amis en qui il aurait confiance ? Non, lui il n’avait que des parents qui ne s’intéressaient pas à lui, des parents qui ne voulaient pas de lui et qu’il dérangeait plus qu’autre chose, des parents qui ne s’aimaient pas et ne l’aimaient pas. Des parents qui l’insultaient autant qu’ils le niaient…Par conséquent, Maximilien avait peur du monde, parce qu’il n’avait personne pour le consoler quand ça n’allait pas. Maximilien avait besoin d’amour et d’attention qu’il obtenait en couchant à gauche et à droite…Maximilien souffrait tellement, il avait tellement mal de n’être que lui, que cette poussière qui ne faisait que faire souffrir les autres, faire souffrir lui-même et pire faire souffrir ses amis…Pourquoi était il se monstre ? IL ne savait pas faire autrement pour survivre, il avait besoin de sexe. ET comme il culpabilisait, il faisait tout pour rendre les gens heureux la journée, aidant et écoutant tout le monde. IL ne pouvait jamais être lui-même et ce contrôle constant qu’il exerçait sur lui-même, lui mettait une pression folle, le rendait malade, lui faisait si mal…

    IL faisait froid dehors. Le vent et l’air glacials lui faisaient encore plus mal aux muscles qui eux étaient brûlant mais il s’en fichait, il fallait retrouver Kazu. Il venait de se souvenir que comme lui, Kazu avait peur du noir…Mais à la différence de lui-même, Kazuya n’avait jamais eut à l’affronter. Maximilien avait passé toutes les nuits de son enfance à pleurer dans le noir mais il était toujours rester seul, il avait pris l’habitude de vivre avec cette phobie qui pourtant lui tiraillait les entrailles, il avait pris l’habitude de vivre avec…Il courait à en perdre haleine, parcourant les rues, regardant partout où il le pouvait pour voir si Kazuya n’était pas recroquevillé dans un coin mais rien n’y faisait, il ne trouvait pas son Kazuya, il ne retrouvait pas son ami de toujours…Pré au lard était un grand village et Maximilien avait peur de mettre encore du temps à trouver Kazu, il s’inquiétait aussi pour Keiko qui était seule à Poudlard…Il courait encore, ne désespérant pas, il continuerait toute la nuit si il le fallait mais il ne laisserait pas son homologue serdaigle ici, il n’abandonnerait pas Kazuya. IL avait déjà suffisamment été lâche en lui cachant sa liaison avec sa sœur alors maintenant il ne le serait plus jamais…Il ferait tout pour être à la hauteur de l’amitié de Kazuya si celui-ci lui pardonnait…

    Tout d’un coup, Maximilien entendit un cri. Un cri déchirant qu’il aurait pu reconnaître entre milles. C’était la voix de Kazuya qui venait d’hurler de terreur. Maximilien redoubla de vitesse, n’écoutant pas son cœur qui menaçait de défaillir. Tout ce qui comptait c’était de retrouver le japonais et enfin…IL le vit. Il se trouvait devant une boutique miteuse, dans une rue dans laquelle Maximilien n’allait jamais, une rue mal fréquentée. IL était par terre, dans une flac d’eau. Il semblait mort de trouille. Maximilien parcouru les derniers mètre en un temps records et s’agenouilla à côté de Kazuya…Son souffle était coupé, il ne respirait presque plus, il avait l’impression que ses poumons allaient éclater mais cela ne l’empêcha pas de parler d’une voix saccadée et étouffée :


    MAXIMILIEN_ « Kazu…ya…je…t’ai enfin retrouvé… Je ça va ? »


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MessageSujet: Re: Comme dans le temps... [FINI] Comme dans le temps... [FINI] Icon_minitimeDim 22 Fév 2009 - 2:18

    Kazuya rebatisé Kaoru étant partis le rp sera innachevé. Les deux persos remis en pv pour intrigue seront rejoués.
    Voici la fin du rp:
    Maxou trouve kaoru ils discutent et finalement ils se retrouvent tous dans la chzambre de keiko qui se réveille en attendant son frère lui dire qu'il l'aime.
    Là il s'explique, Max promet de ne plus jamais toucher à Keiko.
    Tout rentre dans l'ordre

    FIN

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