Appelo Mor†em (old)
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Appelo Mor†em (old)


 
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Auteur Message
Maximilien E. Middle
Admin | Serdaigle
Loosing control...Help him to get up! Maximilien E. Middle
.
Masculin

5572 messages
Amour : Loréana Wilde est et sera pour toujours l'amour de sa vie!

Pensine
Orientation Sexuelle: Bisexuel
Année d'étude: 7ème année
Caractère: Sincère, honnête, fou, motivé, drôle, beau parleur, inteligent, charmeur, loyal, passioné, passionant, têtu, bien élevé, révolutionnaire, débrouillard, autonome, sarcastique, protecteur, volontaire, amusant, sportif, classe, patient, franc, écrivain, artiste! etc

MessageSujet: L'ultime L'ultime Icon_minitimeLun 25 Aoû 2008 - 16:09

    L'ultime Chace-chace-crawford-2094325-100-100 L'ultime Owic110
    « Ayez de grandes attentes et
    de grandes choses se produiront..
    » Art Fettig

A la lumière obscure
Je te croise enfin
Mon dieu que tu es belle
Toi la seule toi l'ultime
Entre les hommes égalité
S'il te plait prends ma main
Ne te fais plus attendre
Il est temps de s'étreindre
De s'éteindre


    Depuis la création du monde, l’homme est représenté comme étant le sexe fort, le sexe intelligent, capable de tout faire de tout supporter, un homme c’est censé être beau, viril, gracieux et impatient. Un homme représentait la force par son physique musclé, son torse large, ses veines que l’ont voyaient battre dans son coup. Mais mettez un homme devant une femme qu’il aime et immédiatement il devient et se sent petit, minable, fait, pas à la hauteur, pitoyable et pathétique. Devant cette femme, qui a toujours été représentée comme faible, l’homme est à genoux et se montre le plus bas possible, il en devient moche et ridicule. Il tremble, ses yeux se croisent, son cœur et son cerveau sont troublés. Son corps réagit à chaque mot, chaque gestes et il ne se contrôle plus…L’homme qui est sensé être impatient, expressif peut devenir une larve et attendre sans bouger pendant des heures et des jours pour ne fuse que voir celle qu’il aime…Attirance pour attirance, battement pour battement et corps contre corps…

    Alors il était là l’homme fort, viril et attirant. Ses nerfs à vifs cadraient parfaitement avec ces tempes battantes, son coup mince et large se tordait, son dos se relevait légèrement et son bassin se cabrait à la mesure de ses mouvements...Sa tête basculait en arrière, ses cheveux se dressait sur sa tête et toute la pilosité de son anatomie ne pouvait qu’en faire autant…Sa main avançait et reculait de plus en plus vites et de léger son sortait de sa bouche, des gémissements, des bruits…Le mouvement s’accéléra et son cœur battait encore plus vite et ne cessait lui aussi d’accélérer sa cadence, il avant envie d’exploser, ses corps était en ébullition, il avait chaud, il brûlait même, il voulait tenir encore et encore mais il n’y arrivait pas alors parmis les gémissement sortit enfin un nom…Un seul nom qu’il murmura « Loreana »..Il vit alors s’éjecter de son membre un liquide blanc sur lequel il dirigea le pommeau de douche afin de nettoyer la baignoire de ses méfaits coupable…Parce que l’homme avait beau être fier de son sexe, fier de sa puissance, il ne pouvait que ressentir un plaisir ardent mais coupable de son envie pour la femme qu’il aimait…Et il avait beau s’envoler vers le ciel en y pensant, il ne pouvait s’empécher de s’en vouloir lorsqu’il redescendait trop brusquement et il par moment, il en ressentait même une honte parce que la femme qu’il aimait était au dessus de tout et méritait son respect plus que tout autre chose…


    LEO_ « Maximilien, espèce de scrout à pétard, tu veux pas sortir de cette douche ! Non seulement tu vas être en retard mais tu vas me mettre en retard ! »
    MAXIMILIEN_« « ça va je sors…Relax Léo ! »
    LEO_ « On a tous les deux rendez-vous mecs, alors franchement on a tous les deux besoin de la salle de bain alors active ! »
    MAXIMILIEN_« « Oui…oui chéwi ! Mais moi…c’est plus une retenue qu’autre chose ! »

    Maximilien se rinça une dernière fois avant de sortir enfin de la baignoire. Il attrapa une serviette qu’il enroula autours de sa taille puis alla ouvrir à Léo qui entra en ne pouvant s’empécher de lâcher un « c’est pas trop tôt ». Léo commença à se déshabiller tandis que Maximilien se séchait. Ils n’avaient pas honte de leurs nudités, ils se voyaient nus depuis leurs trois ans alors franchement, ils n’avaient plus que ça à voir, une fois sec, il enfila alors son boxer noir et se pencha sur le lavabo. Il se lava les dent essaya vainement de se coiffer et enfila un pantalon blanc et par-dessus un t-shert noir assez large sur lequel il était écris « cool man ». Il finit par mettre ses chaussures et sortit enfin de la salle de bain, la laissant entièrement vide à Léo Sanchez qui semblait bien pressé de se faire beau. Il se dirigea vers son dortoir et attrapa le bouquet de roses rouges et noires qui était posé sur son lit. Il attrapa la carte posée à côté, la lu pour vérifier toutes ses fautes d’orthographe :
    Miss Wilde,
    J’ai bien compris que tout cela ne vous plaisait pas.
    Ne vous amusait pas non plus.
    J’ai cru que ça pouvait marcher et je suis sincèrement désolé d’avoir pris de votre temps, de vous avoir déranger et bien plus que ça.
    Et je vous promet que si c’est vraiment ce que vous voulez et bien j’arrêterai tout. J’arrêterai de venir vous voir, vous parler et même de vous défendre face à ces stupides qui ne vous respectent pas.
    Maximilien E. Middle.
    Il sourit en la lisant et referma l’enveloppe avant de la déposer au milieu des fleurs qu’il comptait lui offrir ce soir.
    Il attendait cette retenue depuis le jour où elle lui avait envoyé là bas, il n’attendait que cela pour être exact, y pensant tout le temps, ne sachant que faire, que dire, comment se comporter, il avait finalement opté pour s’excuser, c’était non seulement ce qui marchait le mieux mais aussi parce qu’il ne voulait pas la blesser et même si il ne pourrait arrêter de venir la rechercher au moins, il avait fait un effort.

    Il sortit enfin de son dortoir et se dirigea vers la sortie de l’école. Il faisait assez noir dehors, il était déjà vingt heure passé et tous les élèves étaient dans la grande salle. Non seulement il allait devoir nettoyer la cabane d’Hagrid mais en plus…Il allait sauter son repas enfin bon, si c’était pour être avec Loreana Wilde. Un petit sourire au lèvre, il traverse la parc, grelottant légèrement, il avait hâte d’entrer dans cette cabane et d’être avec cette femme même si c’était pour faire le ménage…Sa fierté d’hippogriffe en prenait un certain coup mais il allait faire avec puisque c’était pour elle…Pour être avec elle. Il arriva enfin devant la cabane, et sans toquer, entra à l’intérieur. Il trouva son professeur déjà là, assise sur la table, les jambes croisées. Il se dirigea vers elle et lui tendit les fleurs.


    MAXIMILIEN_« « Bonsoir Professeur, voici des fleurs pour…Enfin vous verrez bien, alors je dois nettoyer ? Je commence par la partie cuisine ou la partie chambre ?»

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Loreana Wilde
Prof. de Potion
Dir. de Serdaigle
Un jour, je vais crier : "Stop, arrêtez le Terre, je veux descendre !" Loreana Wilde
.
Féminin

99 messages
Amour : Bah, euh... J'peux pas l'dire, m'voyez... Parce que... Oh et puis zut ! Ce Serdaigle si sexy...

Pensine
Orientation Sexuelle: Hétérosexuel
Année d'étude: Diplômé
Caractère: Lunatique ° Complexe ° Amoureuse ° Compréhensive ° Innocente ° Renfermée

MessageSujet: Re: L'ultime L'ultime Icon_minitimeLun 25 Aoû 2008 - 18:30

« On rencontre sa destinée souvent par les
chemins qu'on prend pour l'éviter. »
-Jean de La Fontaine-





    C’est dingue comme une erreur peut obséder quelqu’un.
    Surtout quand ce quelqu’un est conscient de son erreur, de son énorme erreur. Dans ce cas, cette personne ne peut que regretter d’avoir commis cette erreur, se dire qu’elle aurait mieux fait de se taire.
    Mais l’erreur est humaine.
    Parfois, Loreana avait envie de ne plus être humaine, pour ne plus commettre d’erreur.
    Ou du moins, pour ne pas avoir commis cette erreur.
    Parce que, et ça, elle en avait la certitude, elle allait amèrement regretter d’avoir collé Maximilen Middle.
    En fait, c’était lui qui le lui avait fait comprendre.
    « Je vous rejoints donc vendredi pour une nouvelle vérification. » Non mais quel insolent ! Insolent, certes, mais il avait raison. Trop raison.
    Assise en tailleur sur un fauteuil de son appartement, Loreana regardait le feu. Le feu. Il dansait librement, sans crainte ni remord, sans se soucier de rien… Il était libre, lui. Il ne vivait pas, il n’avait pas toute cette responsabilité sur les épaules, il n’avait pas toute cette crainte du lendemain… Mais il n’avait pas non plus le bonheur. Etait-ce un prix acceptable pour être libéré de toutes les contraintes de la vie ? Sans doute que non. Mais pour lui, ça ne changeait rien. Il s’en fous lui, il ne vit pas.
    Il brûle.
    Les flammes dansaient dans une parfaite réplique de la cheminée de la tour des Serdaigle. Cette cheminée rappelait plein de bons souvenirs à Loreana. Elle lui rappelait Valérie, et Clémence, aussi. Elle lui rappelait son passé dans ce château…
    A l’époque, elle ressemblait à Maximilien… Elle buvait, elle couchait beaucoup… Mais elle ne fumait pas. Elle collectionnait les aventures d’un soir, jetant les hommes après consommation, elle avait quasiment tous les mecs du château à ses pieds… Jusqu’à l’incident dont elle ne parlait jamais. Personne, hormis Valérie et Mathilde, n’était au courant. Personne n’avait jamais entendu cette histoire. Et personne ne l’entendrait plus. Parce que c’était un épisode trop douloureux de son passé, parce que…

    Loreana jeta un coup d’œil à son horloge. Cinq minutes. Elle devait y aller.
    Mais elle n’en avait pas envie.
    Mais elle en avait peur.
    Elle savait que Maximilien allait encore tenter de la séduire, et le pire, c’est qu’elle savait qu’elle ne lui résisterait pas. Quand bien même elle essaierait, elle échouerait. C’était une fatalité.
    Trop longtemps elle avait résisté, trop longtemps elle s’était batture, trop longtemps elle avait refoulé une voix cristalline qui venait de l’intérieur… Elle était fatiguée de tout ceci. Tellement fatiguée.
    Pourquoi fallait-il que ce soit aussi compliqué ? Pourquoi fallait-il qu’elle fût professeur et lui élève ? Pourquoi lui ? Et pourquoi elle ?
    Alors qu’elle était en plein doute, elle se leva. Elle ne prit même pas la peine de se changer. Elle enfila sa robe de sorcier par-dessus son T-shirt et son short en jeans. Puis elle sortit.
    Elle passa devant la Grande salle, qui débordait d’animation, sans s’y arrêter. Elle n’avait pas fin. Depuis qu’elle avait collé Maximilien, elle n’avait plus faim. Son erreur l’obsédait, et ce qui l’obsédait plus encore, c’était l’idée de se retrouver seule avec lui, dans un endroit isolé.
    Pourtant elle avait tenté de faire surveiller Max par un autre professeur, ou par le concierge… Mais ils étaient tous occupés. A croire que c’était fait exprès !
    Voilà ! C’était ça ! Ils s’étaient tous ligués contre elle, ils voulaient qu’elle cède…
    Non. Elle se battrait, encore une fois. Elle se battrait pour ne pas céder à ce jeune homme, qu’elle désirait pourtant.
    Mais ça, elle ne voulait pas se l’avouer. Elle n’osait pas se l’avouer.

    Elle passa la grande porte de chêne. D’un coup, le vent frais du soir caressa son visage, la faisant frissonner. Elle referma un peu plus sa robe de sorcier, puis descendit les quelques marches de pierres qui la firent arriver dans le parc. En se maudissant ne n’avoir pas pensé à prendre un pull, elle s’engagea dans l’allée qui menait à la vieille bâtisse qui servait autrefois de foyer au demi-géant Hagrid, gardien des Clés et des Lieux à Poudlard.
    Bien que clairement abandonnée, la maison n’était pas en ruines pour autant. Elle était juste cachée par une dense végétation composée de plantes grimpantes et autres parasites chlorophylliens. Mais la porte de la demeure du semi-géant était toujours visible, signe que des élèves, faisant fi des interdictions, étaient entrés dans la cabane.
    Mais Loreana ne s’en souciait pas, tout ce qu’elle voulait, c’était entrer pour échapper au froid mordant qui s’imposait peu à peu sur le parc. Les nuits étaient fraîches, à Poudlard.

    La porte s’ouvrit en grinçant. Loreana s’engouffra vite fait dans la maison, et referma la porte en un second grincement. Rapidement, et magiquement, bien sûr, elle alluma un feu dans la cheminée. La chaleur se propagea rapidement dans toute la cabane. Soupirant d’aise, elle se laissa tomber dans un énorme fauteuil. Ce qui eu pour effet de déplacer un énorme nuage de poussière. Elle se releva bien vite en toussant, et finit par choisir de s’asseoir sur la table.
    Et d’attendre.
    Avec appréhension.
    C’était horrible, car si la jeune Wilde voulait que Maximilien entre vite pour avoir vite fini, elle espérait aussi que le jeune homme ne viendrait pas. Car si elle le voyait, elle craquerait. C’était sûr.
    Non. C’était plus que ça.

    Grincement. Oh, non.
    Maximilen entra.
    Elle vit d’abord son visage d’ange, puis tout son corps suivit… Et un bouquet de fleur.
    Loreana en eut le souffle coupé. D’abord parce qu’elle trouvait que son élève avait bien du culot de venir à une retenue avec un bouquet de fleur, ensuite parce que son sentiment n’en fut que confirmé : Maximilien voulait aller plus loin…
    La jeune femme en fut flattée.
    La prof de potion irritée.


    MAXIMILIEN « Bonsoir Professeur, voici des fleurs pour…Enfin vous verrez bien, alors je dois nettoyer ? Je commence par la partie cuisine ou la partie chambre ? »

    Ça commençait déjà. Il n’était pas là depuis deux minutes qu’il parlait déjà de chambre… Non, là Loreana se faisait des idées. Il ne l’avait pas fait exprès.
    Mais les fleurs qu’il lui tendit, ça, c’était fait exprès. Loreana lui lança un regard réprobateur, mais n’eut d’autre choix que de prendre le bouquet.
    Des roses. Rouges et noires.
    Ses fleurs préférées.
    Le sourire en coin du Serdaigle signifiait bien que ce n’était pas dû au hasard.

    LOREANA « Sachez que je n’apprécie pas du tout cette mascarade, Mr Middle. On ne vient pas à une retenue comme à un rendez-vous amoureux. Quant au nettoyage, faites comme bon vous semble… Sans votre baguette. »

    Elle lui adressa un regard noir, puis déposa le bouquet. C’est là qu’elle vit la carte. Elle s’en saisit et la lut.

    Miss Wilde,
    J’ai bien compris que tout cela ne vous plaisait pas.
    Ne vous amusait pas non plus.
    J’ai cru que ça pouvait marcher et je suis sincèrement désolé d’avoir pris de votre temps, de vous avoir déranger et bien plus que ça.
    Et je vous promets que si c’est vraiment ce que vous voulez et bien j’arrêterai tout. J’arrêterai de venir vous voir, vous parler et même de vous défendre face à ces stupides qui ne vous respectent pas.
    Maximilien E. Middle.


    Loreana resta bouche bée. Elle lut, puis relut la carte pour être sûre que ses yeux ne lui jouaient pas des tours.
    Voilà six ans que le Serdaigle la draguait, voilà six ans qu’il la voulait, et, en un soir, il allait tout oublier ? La directrice des Bleu et Bronze avait un sérieux doute.
    Elle jeta un œil sur Max. Il s’était déjà mis à nettoyer. Attendrie par cette vision, elle s’autorisa à le tutoyer.

    LOREANA « Maximilien… C’est si dur de dire pardon ? Je veux dire… Pourquoi l’écrire ? Pourquoi ne pas le dire ? »

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https://appelo-mortem.forumactif.org/entretiens-d-embauches-f9/lo http://appelo-mortem.forumactif.com/relations-f29/la-vie-c-est-comme-un-livre-loreana-wilde-t280.htm http://appelo-mortem.forumactif.com/envie-d-un-rp-f30/loreana-wilde-t82.htm
Maximilien E. Middle
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Amour : Loréana Wilde est et sera pour toujours l'amour de sa vie!

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Année d'étude: 7ème année
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MessageSujet: Re: L'ultime L'ultime Icon_minitimeMer 27 Aoû 2008 - 19:03

    L'ultime Chace-chace-crawford-2094325-100-100 L'ultime Owic110
    « Si vous vous êtes mal comporté repentez-vous, faites amende honorable
    et promettez de mieux vous comporter la fois prochaine. Ne ressassez
    pas vos erreurs. Se trainer dans la boue n'a jamais été le meilleur moyen
    de se nettoyer...
    » Aldous Huxley


    La fierté était un déni, un refus d’accepter une faute, une erreur, une faiblesse. Elle était tout aussi mal venue que bien souvent déplacée. Elle était la preuve même de l’irresponsabilité d’une personne. Mettez donc un homme face à sa faute ou face à son problème et la première chose qu’il fera ce serait de contredire, d’assurer qu’il n’était pas en cause, qu’il n’avait pas fait exprès et pire encore, il assurerait le fait qu’il était blanc comme neige et qu’il n’avait rien fait parce que c’était de toute façon de la faute de l’autre, c’était une forme de lâcheté, une façon de fuir et de refuser la réalité, de la rejeté. La fierté était en fait tout le contraire de ce qu’elle était sensé être. Elle ne mettait pas en avant la supériorité de l’être qui la pratiquait mais plutôt sa médiocrité, sa pitoyable aptitude à se montrer courageux et responsable…L’homme était en général bien incapable d’assumer ses défauts et encore moins d’accepter des critiques…Stupide désir de supériorité.

    Maximilien n’était pas de ce genre, bien au contraire. Il avait beau avoir une haute opinion de lui-même et une forte confiance en lui, il avait toujours su accepter ses faiblesses, voir même les tourner à son avantage. Il avait toujours accepter ses défauts, ses tords, ses fautes et ses erreurs. Il ne se sentait pas au dessus des autres juste différent et c’était ce qui faisait sa force, son immense force de caractère et surtout c’était ce qui le rendait intéressant parce que Comment un homme pouvait il se mettre autant en avant mais baisser la tête tout naturellement et savoir dire pardon, comme cela, sans vraiment avoir d’arrière penser, juste par principe, par envie d’être humble. Il considérait que l’être humain était fait pour faire des pas de travers et qu’il fallait vivre avec et les assumer…Alors il avait bien vite compris qu’il avait été trop loin avec son professeur de Potion, il ne le regrettait pas mais l’assumait. Il aurait du aller plus doucement, moins vite, moins franchement et puis peut-être même que son charme légendaire, la laissait de marbre. Ce n’était pas par fierté qu’il contredisait cette option mais par certitude et par désir, il la voulait, elle…Juste elle. L’envie de la prendre était tellement forte qu’elle en était devenue douloureuse mais la question n’était pas là en fait. Il s’était dit que la meilleure façon de se faire pardonner, était de lui montrer qu’il avait compris…Alors il allait lui remettre ce bouquet de fleur avec cette carte. Il frappa donc à la porte de la cabane et entra sans même attendre de réponse. Il se dirigea vers son professeur qu’il trouvait magnifique, là, assise, les jambes croisées, sur cette table. Mais il se contrôla et lui donna le bouquet tout en la saluant et lui demandant par où il devait nettoyer…


    LOREANA_ « Sachez que je n’apprécie pas du tout cette mascarade, Mr Middle. On ne vient pas à une retenue comme à un rendez-vous amoureux. Quant au nettoyage, faites comme bon vous semble… Sans votre baguette. »

    Il ne prit pas la peine de répondre parce qu’il comprenait son énervement, déjà qu’il la draguait, qu’il l’embrassait mais en plus, il venait à sa retenue avec un bouquet de fleur, de la folie pure après tout, non ? Mais il savait qu’il n’aurait qu’à attendre qu’elle lise la carte pour se calmer. Parler ne servirait donc à rien à part aggraver son cas et il venait de remarquer que sa phrase précédente Loreana l’avait mal prise…Finalement, il comprenait, il avait parler de chambre et peut-être y avait elle vu une allusion sexuelle, bien que pour une fois, il n’y en avait pas…Il lui tourna alors le dos et se dirigea vers le fond de la pièce. Où se trouvait le lit. Il y avait juste à côté, un seau remplis d’eau et une serpillière. Il l’attrapa, la trempa dans l’eau et commença à nettoyer…
    De la fierté, il en avait pas de masse, il avait un peu d’orgueil et je vous assure, qu’il avait du le mettre de côté pour faire cela, pour attraper ce balai et se mettre à nettoyer. Non pas qu’il attribuait ce travail aux femmes bien au contraire, les personnes de nettoyages chez lui avaient bien souvent été des hommes mais le problème il était là, il n’avait jamais eut à nettoyer. IL ne considérait pas qu’il était trop supérieur pour faire cela, juste simplement qu’il ne savait pas comment faire et qu’il avait un peu l’impression d’être diminuée et il n’en n’avait certainement pas envie devant sa magnifique prof de potion…
    Mais puisqu’il le fallait pour se faire pardonner, pour lui montrer qu’il avait raison et sincère parce que si il en croyait le petit bruissement de papier qu’il venait d’entendre, elle avait lu le mot mais…Une seconde : des bruits de pas ? Elle s’approchait donc de lui ? Il feignit d’ l’ignorer en continuant de nettoyer le sol mais le corps de Loreana, se plaçant juste devant lui, l’empêcha de pouvoir la nier…Elle lui dit alors d’une voix mi froide, mis chaleureuse :


    LOREANA_ «Maximilien… C’est si dur de dire pardon ? Je veux dire… Pourquoi l’écrire ? Pourquoi ne pas le dire ? »
    MAXIMILIEN_ « Pour être franc, professeur, j’ai toujours aimé l’écriture, les mots sont mes meilleurs amis et j’ai toujours trouvé que cela sonnait plus sincère mais je peux vous le dire si vous voulez…Je suis sincèrement désolé ! »

    Il avait terminé sa phrase en la regardant droit dans les yeux, lui montrant clairement qu’il savait faire preuve d’humilité et aussi qu’il était sincère. Maximilien était de ceux qui assumaient tout ce qu’ils faisaient mais qui savent se mettre une limite au bout d’un moment donné ? Il soupira et lui fit un petit sourire avant de rattrapé son engin de nettoyage, de lui tourner le dos et de continuer à nettoyer comme un parfait petit homme d’intérieur qu’il ‘avait pas l’intention de jouer encore tous les vendredis, il espérait secrètement que cette retenue serait la dernière ici et que les autres se passeraient près du feu d’un chaudron, ce qu’il trouvait non seulement plus intéressant mais aussi plus utile.
    Le temps passait, et le nettoyage avançait de plus en plus. Il en arriva à commencer à nettoyer tout près du mur lorsque tout d’un coup, il sentit une douleur fulgurante lui déchirer le côté droit du ventre…Il baissa la tête et vit son t-shert déchiré et une énorme écorchure qui commençait à faire dégouliné du sang en masse. Il s’était pris dans un maudit clou et saignait un maximum…Il retint un cri de douleur mais se tu, elle était là, sa fierté, ne jamais avouer qu’il avait mal quelque part. Appelant donc tout son contrôle, il essaya de nier la douleur et continua à nettoyer…Mais c’était sans compter le sang sur le plancher que Loreana allait finir par voir…

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MessageSujet: Re: L'ultime L'ultime Icon_minitimeMer 27 Aoû 2008 - 22:32

« Mieux vaut demander pardon que permission. »
-Proverbe chinois-



    La silhouette cacha la cheminée un instant. Puis la lumière tremblante du feu éclaira à nouveau la pièce. Eclaira la jeune femme assisse sur une table, lisant un bout de parchemin. Eclaira le jeune homme, une serpillère à la main, qui nettoyait le sol avec une frénésie insoupçonnée. Puis la femme déposa la carte, après l’avoir lue et relue. Elle connaissait cette écriture, aux courbes gracieuses et légèrement penchée. Une écriture qu’elle avait l’habitude de voir sur les copies des devoirs de son élève.
    Elève qu’elle avait collé deux jours plus tôt. Parce qu’il la bouleversait. Parce qu’il avait osé ce qu’aucun autre n’avait entrepris depuis six ans. Parce que, peu à peu, il s’emparait de son cœur. Non. Tout simplement parce qu’il avait été insolent. C’était la seule raison valable. Du moins c’est ce dont Loreana essayait de se convaincre. Pourtant, les mots qu’elle avait écrits dans son carnet quelques jours plus tôt la laissaient dubitative.
    « Toi… Tu es tout… Et tu n’es rien. Ça fait six ans que je suis ta prof, et pendant ces six années, tu m’as draguée, tu voulais me mettre dans ton lit… Moi je n’y faisais pas attention, tu es tellement doué en potion et respectueux que ça pouvait, à mes yeux, effacer tes vices… Le sexe, la boisson, le tabac… Mais maintenant ça se complique. Tu es passé à la vitesse supérieure, et tu as déjà réussis à m’arracher un baiser. Deux fois. Je sais que je ressens quelque chose pour toi, mais quoi ? »
    C’était ce qu’elle pensait… Mais sans oser se l’avouer, sans oser se le permettre. Parce qu’elle était la prof et lui l’élève. Parce qu’elle était l’adulte et lui l’ado.
    Elle se rapprocha de Maximilien, attendrie par la carte, attendrie par l’énergie qu’il mettait au nettoyage…

    LOREANA « Maximilien… C’est si dur de dire pardon ? Je veux dire… Pourquoi l’écrire ? Pourquoi ne pas le dire ? »

    Elle posa enfin son regard sur Max, qui s’était arrêté de nettoyer. Il leva son regard. L’espace d’un instant, leurs yeux se parlèrent, s’aimèrent, se comprirent. Puis Loreana ferma les yeux. Maximilien l’observait en silence. Puis enfin il parla.

    MAXIMILIEN « Pour être franc, professeur, j’ai toujours aimé l’écriture, les mots sont mes meilleurs amis et j’ai toujours trouvé que cela sonnait plus sincère mais je peux vous le dire si vous voulez…Je suis sincèrement désolé ! »

    La réponse du Bleu et Bronze arracha un sourire à son professeur. Un faible sourire, un sourire triste, mais un sourire quand même. Loreana venait de remarquer une flagrante ressemblance entre elle et lui… Sauf que la jeune femme préférait les notes de musiques aux mots, et que, selon elle, une musique serait toujours plus intense qu’une phrase, si belle et bien écrite soit elle.
    Maximilien la regarda droit dans les yeux, ce qui eut pour effet de la dérouter quelques secondes. Son regard semblait si pur, si cristallin… Tellement plein d’humilité, de franchise, d’une étincelle de détermination que ça en devenait trop parfait.
    Cette sensation disparut lorsque Max se détourna et continua à nettoyer. Avec un peu de chance, il était vraiment sincère et ne tenterait rien… Pour le plus grand soulagement de Loreana.
    Mais aussi pour sa plus grande déception, étonnement.
    Avait-elle fini par accepter Maximilien en tant que prétendant ? Avait-elle fini par abaisser ses défenses ?
    Elle n’en savait rien elle-même, mais elle sentait qu’en elle quelque chose changeait. Et le Serdaigle y était pour quelque chose.
    Son vaccin contre l’amour avait-il perdu son efficacité ? Ce Serdaigle avait-il, en l’espace d’une semaine, fait voler en éclat six années d’efforts acharnés pour faire de son cœur une forteresse inexpugnable ?

    La réponse, et Loreana le savait, était oui. Sans contestation possible. Seulement, Loreana contestait. Elle s’acharnait encore à nier une évidence prouvée par deux fois déjà. A chacun des baisers qu’ils avaient échangés, Loreana avait senti que c’était l’homme qu’elle attendait depuis tellement de temps… Et plus elle le regardait, plus elle en était sûre… Mais pour lui, c’était différent.
    Loreana était au courant des fâcheuses pratiques de Max. Les mêmes que les siennes, dans le temps. Je couche, je jette. Et c’était tout. La directrice des Serdaigle se doutait que Max ne cherchait qu’à la prendre, à lui faire l’amour. Et puis, c’était tout. Elle se ferait jeter, comme toutes les autres. Et ça, elle n’était pas résolue à l’accepter.

    Elle le regarda. Il nettoyait toujours. Mais cette fois, une drôle de grimace tordait son visage. Grimace qui disparut quelques secondes après son apparition. Loreana pris ça pour l’expression du dégoût qu’avait Max pour la saleté et pour le ménage, lui qui n’avait jamais eut à le faire lui-même. Il était tellement riche qu’il se payait des domestiques. Sans doute avait-il une femme de ménage, un majordome, des jardiniers, un cuisinier… Tout le luxe que pouvaient se payer les gens très riches… Et à jamais inaccessible à une professeur de potions. Quoique Loreana n’aimait pas se faire servir. Elle avait l’impression d’être alors dépendante de celui ou celle qui s’occupait d’elle. Et l’indépendance était primordiale pour la jeune femme.
    Pour le jeune homme aussi, sans doute. Toujours fier, il n’avouait jamais avoir besoin d’aide ou… De soins.
    Ce qui convenait parfaitement à la situation, puisque Max se trouvait debout, le T-shirt ensanglanté, marchant dans son propre sang et… Il continuait de nettoyer ? Loreana se leva à nouveau et marcha vers lui.

    LOREANA « Max… Mais tu saignes ! »

    Il la regardait, l’air faussement dégagé. Il semblait vouloir lui dire que tout allait bien, même si la grimace qui tordait son visage indiquait le contraire.

    LOREANA « Arrête un peu tes conneries ! Enlève-moi ce T-shirt et couche-toi sur le lit. Maintenant. »

    Si, au début de la soirée, on lui avait dit que ce serait ELLE qui dirait ça, elle ne l’aurait pas cru. Et pourtant…
    Un peu retissant, Max finit par s’exécuter et s’allongea sur le lit, torse nu. Loreana s’assit à côté de lui et éclaira la plaie à l’aide de sa baguette. La plaie nécessitait d’être désinfectée sur-le-champ. Alors la jeune maîtresse des potions s’assit à califourchon sur son élève, à la grande surprise de celui-ci, et se pencha sur la plaie. Se servant de quelques trucs et astuces que Clémence, qui était médicomage, lui avait appris, elle désinfecta la blessure, puis prononça une formule, encore une fois apprise par Clémence, pour faire se dissiper la douleur.

    LOREANA « Arrête de bouger. J’ai presque fini. »

    Enfin, Loreana voulut se dégager, car elle était toujours assise à califourchon sur le torse de son élève, mais celui-ci la retint…

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MessageSujet: Re: L'ultime L'ultime Icon_minitimeJeu 28 Aoû 2008 - 0:08

    L'ultime Chace-chace-crawford-2094325-100-100 L'ultime Owic110
    « Aimer, c'est rompre avec soi-même. » Claire de Lamirande


    Les mots étaient quelques choses de fabuleux. On pouvait les utiliser à notre guise et si on en prenait soin, on pouvait même en faire nos amis et s’arranger pour qu’à chaque fois qu’on les utilisait, ils sonnaient gentils, doux, sincère et calme. Mais c’était un art, l’art de la parole, du discours, de l’éloquence, il n’était pas facile à acquérir et nombre de gens y consacrait leur vie sans jamais réussir. Les mots étaient fragiles et successibles, il fallait les utiliser avec soin, les chérir, y faire attention. Ils pouvaient être de merveilleux alliés mais aussi les pires des ennemis si on leur avait déplu. Il fallait les utiliser avec modération, les maîtriser, les contrôler mais toujours en harmonie, toujours en possédant leurs accords. Il fallait apprendre à les connaître, savoir ce que chaqu’un d’entre eux ressentait et inspirait comme ressentiment, il fallait les écouter, les répéter bien souvent plusieurs fois dans plusieurs contexte pour en saisir le sens complet…On avait beau bien les manipuler, bien les utiliser on ne savait jamais tout deux, les mots avaient de tels secret même pour celui qui les connaissait à la perfection…Ils permettaient tant de choses et personne ne leur était assez reconnaissant…Il permettait de s’exprimer, de penser, d’agir, de comprendre, d’écouter, de savoir, d’apprendre, de lire, d’écrire. Ils étaient incroyablement généreux mais malgré tout on n’arrivait jamais à tout dire avec eux parce que les mots étaient malheureusement bien trop timides. Alors le monde avait inventé une autre chose pour compléter la générosité des mots, le monde avait inventé la musique…Elle, elle ne disait aucun mot, mais elle produisait des son bien souvent harmonieux qui par le rythme, leur consonance permettait de s’exprimer tout autant qu’un mot pourrait le faire si pas plus mais la musique était encore plus dificle à maîtriser que les mots, elle savait courir vite, s’enfuir et pour apprendre à la connaître il fallait des années et des années d’entêtements et d’entraînement.

    Maximilien avait appris à comprendre et maîtriser les deux. Il ne se ventait pas de les connaître à la perfection mais il savait en faire ce qu’il voulait pour s’exprimer, il savait parler avec des mots, écrire avec des mots mais il savait danser, jouer avec la musique, il savait en faire un jeu de chat et de souris, il avait appris à s’en faire des amis, des alliés et une fois qu’on les avait, ils étaient bien plus précieux que n’importe quelle arme et ça, Maximilien en avait bien conscience…les mots n’avaient de sens que si l’on les pensaient réellement et les mots avaient horreur qu’on les utilise pour mentir, ils le sentaient, le savaient et nous le feraient regretter d’une façon ou d’une autre, Maximilien l’avait appris bien vite et il avait donc bien vite su qu’il ne fallait jamais mentir, il ne voulait pas ses fâcher avec ses plus beaux alliées mais il y avait une chose qui n’allait pas sans les mots : c’étaient les actes. Les mots aimaient avoir la preuve qu’ils n’étaient pas là pour rien, ils aimaient être sûr de la viridité qu’on leur attribuait et ainsi donc, Maximilien avait appris à faire parler ses mots mais aussi ses actions…C’était pour cette raison qu’il avait tout fait d’un coup ce soir. Les fleurs montraient qu’il tenait à elle, le mot expliquait qu’il était désolé, le nettoyage prouvait qu’il était désolé et ses yeux lui démontrait clairement ce qu’il ressentait et qu’il était sincère mais il y avait des mots ou la tentation était plus forte que tout même si l’on ne la cherchait pas…

    Il venait de se blesser, gravement même si il en croyait la blessure bien ouverte qui écorchait et amochait son magnifique côté et le début de son torse. Le clou s’était enfoncé profondément et avait arraché des lambeaux de son t-shert qu’il aimait tant…Mais il n’y fit pas attention, le sang coulait et lui glaçait sa peau si imberbe et si propre…IL avait mal et grinçait même des dents mais il n’était pas du genre à se plaindre : il devait finir son nettoyage…Pour Loreana et il le ferait que son corps le veuille ou non, il le ferait. Il prit alors un peu mieux appuie sur sa serpillière et continua de nettoyer, essayant vainement de faire fis de cette douleur fulgurante qui lui brûlait et lui glaçait en même temps un peu plus la peau à chaque seconde qui passait…Mais il ne devait pas y faire attention, il ne pouvait pas, il avait une tâche à accomplir, une parole à tenir n’en déplaise à cette blessure…Il faisait de son mieux pour tourner le dos à Loreana et nettoyer ce sang qu’il laissait couler et qui tâchait ce qu’il venait de frotter…Malheureusement la professeur de potion avait l’œil vif et se trouva en un clin d’œil devant lui…Avec un air inquiet et doux affiché sur son visage :


    LOREANA_ « Max… Mais tu saignes !
    MAXIMILIEN_ « Rien de grave ! »

    Il avait été surpris par le ton de ce professeur. Il était doux, calme, inquiet comme si elle s’intéressait vraiment à ce qui lui arrivait, de quoi le rendre fou, rien que cette voix et puis en plus, elle l’avait appelé « Max », comme si ils étaient intime et elle l’avait prononcé avec un tel tymbre que Maximilien ne put s’empécher de frissonner…Mais la douleur revint à la charge, violement, soudainement, il ne put que grimacer fortement, essayant pourtant de ne rien montrer en digne Maximilien Middle et de ses propres principes…Mais Loreana était semblerait-il bien plus têtue que lui et ce n’était pas une mince chose, je pouvais vous le certifier…

    LOREANA_ «Arrête un peu tes conneries ! Enlève-moi ce T-shirt et couche-toi sur le lit. Maintenant.»

    Si on lui avait dis qu’un jour, il entendrait ces mots sortir de la bouche de Miss Wilde, il aurait immédiatement envoyé la personne en hôpital psychiatrique, malheureusement pour lui, le contexte qu’il aurait souhaiter, ni était pas, bien qu’il n’avait pu, encore une fois, s’empécher de frissonner en l’entendant prononcer ces mots avec une telle autorité, une telle assurance, si il n’était pas aussi omnibulée par sa douleur, il n’aurait eut qu’une obsession l’envie de la prendre là, tout de suite, de l’embrasser mais…de toute façon il ne pouvait pas. Il lui avait dis.
    Obéissant, il se coucha alors, avec réticence, sur le lit qui semblait avoir été celui d’Hagrid…Loreana vint le rejoindre et comme pour avoir plus facile à le soigner, elle lui enelva elle-même son t-shert, faisant frissonner Maximilien à chaque fois que ses longs doigts touchaient sa peau…ET elle vint se mettre à califourchon sur…lui ! La douleur de Maximilien disparut dés ce moment là avant même qu’elle ait sortit sa baguette, son cerveau, son corps entier n’était plus que diriger vers son membre qu’il essayait vainement de contrôler en sentant les fesses de cette femme sur lui…Il gigota un peu sous elle…Non pas parce qu’elle le soignait mais parce qu’il ne voulait qu’elle sente son début d’érection sous elle…


    LOREANA_ « Arrête de bouger. J’ai presque fini. »

    Il était subjugué, il ne sentait plus que la douleur de son membre endoloris et non plus celle de sa cicatrice. IL avait les yeux plongés dans ceux de Loreana, tandis qu’il sentait toujours ses formes bien installées sur lui, qui voulait se contrôler sans y arriver. IL sentit même ses pupilles se dilater et puis…Elle bougea sa jambe, elle voulait partir mais c’était trop tard, ils le savaient tous les deux. Il lui saisit alors doucement la poignet et toujours les yeux dans les yeux donna un petit coup de bassin et le voilà torse nu, au dessus d’elle, couché sur elle, tous ses sens en alertes, il la regarda dans les yeux comme pour lui demander la permission de…l’embrasser…

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Loreana Wilde
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MessageSujet: Re: L'ultime L'ultime Icon_minitimeJeu 28 Aoû 2008 - 12:08

« Le désir sexuel est une faim de l'autre,
et ressemble par bien des côtés
à une pulsion cannibalesque. »
[Michel Tournier]




    Ploc. Une goutte tomba. Ploc. Encore une. Le bois absorba rapidement le liquide, se teintant de rouge. Le garçon avait beau frotter avec sa serpillière, il n’arrivait pas à rendre sa teinte d’origine au parquet. Il frottait de plus en plus fort, tentant d’ignorer la douleur qui déchirait son torse.
    Ploc. Encore une goutte de sang. La jeune femme, perdue dans ses pensées, ne vit pas la douleur du garçon. Elle ne vit pas le sang non plus.
    A quoi pouvait-elle bien penser pour être ainsi aveugle à quelque chose de si évident ? Elle pense à son élève. Elle réfléchissait, elle s’imaginait sa vie avec lui… Ou sans lui. Elle se demandait pourquoi elle, et pas une autre, elle analysait, elle le regardait…
    Elle s’interrompit. Une tache sombre sur le parquet venait d’attirer son attention. Elle s’approcha en douceur. Elle vit le sang. Elle leva la tête. C’est là que Loreana vit le T-shirt déchiré de son élève. Et, par le trou créé par un clou… La plaie. Une plaie qui nécessitait des soins. Mais tout ce qu’elle trouva à dire, ce fut…

    LOREANA « Max… Mais tu saignes ! »

    Le jeune homme la regarda, un air dégagé qui sonnait très faux sur le visage. Evidement, il n’allait pas s’abaisser à avouer qu’il avait mal. Il était trop fier pour ça. Maudite fierté qui l’empêchait de dire se qu’il ressentait vraiment ! Ce gosse avait été élevé comme ça. Il s’était construit au fil du temps une façade, une apparence… Et il ne voulait la démolir pour rien au monde. C’est cette façade qu’il tentait vainement de protéger en niant sa douleur.

    MAXIMILIEN « Rien de grave ! »

    Même si Maximilen savait manier les mots, ceux-là mentaient. Ça s’entendait, ça se remarquait, ça se voyait comme le nez au milieu du visage… Mais lui, il continuait de balayer, l’air de rien, alors qu’il était en train de se vider de son sang… Quel crétin. Sa fierté allait le tuer. Oh, c’était peut-être exagéré, mais l’idée y était. Pour lui, la discussion était close. Pour elle, elle était loin de l’être. Loreana s’entêta.

    LOREANA « Arrête un peu tes conneries ! Enlève-moi ce T-shirt et couche-toi sur le lit. Maintenant. »

    Elle avait parlé d’un ton sans réplique, d’une voix autoritaire mais douce. D’ailleurs, elle ne se rendit compte de ce qu’elle avait dit que quelque secondes plus tard. La soirée était loin d’être finie, visiblement… Max étouffa une grimace de douleur, et s’exécuta enfin, après quelques hésitations. Il se dirigea vers le lit en tenant son flanc droit, puis se coucha en douceur. Mais il n’enleva pas son T-shirt. Loreana vint s’asseoir sur le lit, à côté de lui, et, en levant les yeux au ciel, passa ses mains sous son T-shirt pour le lui enlever, en prenant soin bien sûr de ne pas toucher la blessure. Elle sentit le jeune home frissonner lorsqu’elle frôla son torse de ses mains, mais elle n’y prêta aucune importance. Elle regardait quelques secondes le torse de son élève, et arriva à la conclusion que pour soigner cette blessure, elle devrait… S’asseoir à califourchon sur lui. Elle hésita quelques secondes. Puis elle le fit. Elle n’allait pas laisser un élève dans cet état-là parce qu’elle devrait le toucher, quand même !
    Là voilà donc assise sur Max, la baguette à la main, soignant son élève. Elle sentit l’excitation croissante du Serdaigle, mais ne s’en occupa pas… Pour l’instant. Cependant, Max, lui, ne voulait apparemment pas que sa prof sente son membre se dresser petit à petit et bougeait. Pas très pratique pour lui administrer des soins.

    LOREANA « Arrête de bouger. J’ai presque fini. »

    Max s’exécuta, et alors Loreana sentit clairement le désir de Max. Elle vit également ses yeux disparaître sous le voile du désir. Et elle se rendit compte de ses deux erreurs. La première fut de l’avoir appelé Max. Après tout, c’était le surnom que lui donnait ses proches, ses amis, ses intimes… Il avait donc pu s’imaginer que ce surnom signifiait qu’elle acceptait de s’offrir à lui… L’autre erreur, et de loin la plus grosse, fut de s’asseoir à califourchon sur lui. Certes, c’était pour le soigner, mais elle n’avait pas prévu que Max entre doucement mais surement en érection et s’excite de la sorte. Alors, quand elle eut fini de refermer la plaie, elle voulut se dégager très vite, Max fut plus rapide. Il la attrapa un poignet avec une extrême douceur et, en un coup de hanches bien calculé, les rôles s’échangèrent.
    C’était maintenant Loreana qui était couchée sur le lit, le Bleu et Bronze couché sur elle. Leurs regards étaient plongés l’un dans l’autre. Celui de Max demandait clairement la permission. Celui de Loreana lui accordait clairement la permission. Mais avant qu’il n’ait pu bouger, Loreana l’attira à elle, et se fut elle qui posa ses lèvres sur celle du jeune homme, se fut elle qui perça le barrage de ses dents, et enfin, leurs langues se rencontrèrent à nouveau. Loreana décida alors de se laisser aller dans les bras de ce si séduisant Serdaigle.
    Elle rompit le baiser, et donna à son tour un coup de hanche. La revoilà au dessus. Elle se pencha sur lui, et lui murmura de douces paroles à l’oreille.

    LOREANA « Max, ce soir est le tien… Fais-en ce que tu veux. »

    Puis elle se tut, posant à nouveau ses lèvres sur celles du Serdaigle qui avait enfin obtenu ce qu’il voualit.

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Maximilien E. Middle
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MessageSujet: Re: L'ultime L'ultime Icon_minitimeMar 2 Sep 2008 - 14:51

    L'ultime Chace-chace-crawford-2094325-100-100 L'ultime Owic110
    « Toi la seule, toi l'ultime...Entre les
    hommes...Et s'il te plait prends ma main...
    » Damien Saez


    Chaque être humain avait sa façon de gérer la douleur, qu’elle soit physique ou psychologique. Certaines personne hurlait, criait, courrait partout, d’autre allait se soigner en silence, d’autre encore s’amusait à la montrer pour qu’on les plaigne…Mais Maximilien Enzo Middle n’était classé dans aucune de ses catégorie, bien au contraire. Maximilien Middle était plutôt de ceux qui ignorait la douleur, dés qu’elle pointait le bout de son nez, il faisait comme si elle n’existait pas, comme si elle n’était jamais là et qu’importe ce que cela pourrait lui coûter à la fin, Maximilien, n’était pas du genre à se laisser soigner et encore moins à sa plaindre. Oh bien sur, un tel comportement suggère des critiques comme le fait que cela soit puéril, stupide, irresponsable et même une démonstration de fierté déplacée mais Maximilien savait que cela n’avait rien avoir avec tout ce que les gens disaient…Si il n’allait pas se plaindre c’était tout simplement parce qu’il ne voyait pas en le fait d’avoir mal une raison suffisante pour aller pleurnicher. Il considérait que des gens avaient bien plus mal que lui, et que par conséquent son cas ne méritait pas une telle attention et que si vraiment cela méritait des soins, il pourrait se les donner lui-même. Un courageux dans le fond ce petit serdaigle. Ce que les gens ignoraient aussi sur Maximilien Middle c’était qu’il avait cette façon de se gérer lui-même, de se contrôler lorsqu’il trouvait quelque chose dispensable ou indispensable, et surtout lorsqu’il s’agissait d’un principe. Le jeune homme en avait d’ailleurs un énorme parce qu’il voyait les choses ainsi : « La douleur physique n’est rien face à la douleur moral ». Ainsi donc toutes blessures aussi douloureuses soient elle, ne méritait pas selon lui, d’être soignée et encore moins de susciter une telle intention…
    Malheureusement pour Maximilien, il allait devoir apprendre qu’à certains moments, les principes ne peuvent pas toujours être respecté…ET ce fut le cas ce soir…

    Lorsque Loreana Wilde, cette magnifique femme qui était son professeur de potion, lui avait demandé de s’installer sur le lit pour se faire soigner il n’avait pas pus refuser. Pour plusieurs raisons. La première était qu’il avait réellement mal, plus mal que d’habitude, et qu’il saignait abondamment à un tel point qu’il avait la tête qui tournait…Mais en plus parce qu’elle papillonnait des yeux, parce que ses longs cheveux bruns lui tombaient dans le dos, c’était magnifique, ses corps se mouvait, ses lèvres bougeait et le sage petit Maximimi ne put s’empécher d’obéir. Il se coucha donc sur le lit et patienta...Jusqu’à ce qu’il sentit son professeur de potion s’asseoir à califourchon sur lui…Sentant une érection naissante, il essaya de bouger afin que son professeur ne la sente pas mais cela semblait bien impossible…Mais le professeur ne s’en occupa pas. Elle désinfecta la plaie calmement et finit par bander complètement son torse…Laissant quand même de la peau nue…Elle voulu se lever mais se fut trop tard…Maximilien ne put résister. Il retint son poignet pour la retenir et d’un coup de hanche, inversa les rôles. Se retrouvant donc au dessus. Il plongea les yeux dans ceux de son professeur, n’attendant qu’une seule et unique chose qu’elle lui donne la permission de l’embrasser…

    Son regard la lui donnait clairement mais Maximilien n’osait pas bouger, il avait peur de la brusquer, peur de pouvoir enfin la toucher, il était comme paralyser…Mais heureusement pour lui, Loreana, semblait loin de l’être. Elle posa une main dans le dos de Maximimi et l’attira doucement à elle pour poser ses lèvres sur les siennes…Middle, ferma alors les yeux, incapable de bouger, juste se sentant s’envoler en ayant les lèvres de Miss Wilde contre lui…Mais ce fut elle qui passa à la vitesse supérieur. Elle passa le barrage de ses lèvres avec sa langue et alors là, un magnifique baiser commença. Leurs langues se cachèrent, se cherchèrent, se trouvèrent s’enlacèrent, dansèrent ensemble dans un tourbillon de salive ininterrompu. Mais lorsqu’à bout de souffle ils se séparèrent, Maximilien n’eut pas le temps de dire un seul mot, qu’elle avait inverser les rôles pour se retrouver au dessus…Il sentait son érection s’appuyer un peu plus contre son boxer…Tandis qu’elle se baissant pour lui murmurer d’un souffle chaud à l’oreille :


    LOREANA_ « Max, ce soir est le tien… Fais-en ce que tu veux. »

    Il ne tint plus, ce fut les mots qu’il fallait dire. Il donna un rapide coup de hanche et se retrouva à nouveau au dessus, son souffle était déjà haletant. Il promena doucement ses mains sur le corps de son professeur, comme si, il était le plus heureux des hommes rien qu’en l’effleurant à travers les vêtements, mais il avait besoin de sentir sa peau nue contre la sienne alors doucement, il commença à déboutonner sa chemise, embrassant chaque petit bout de peau qu’il libérait, ne pouvait s’empécher de l’observer, de la touché à chaque bouton, de l’embrasser de la lécher légèrement…Et plus il descendait, plus il se rendait compte à quel point cette femme était belle…Enfin, débarrassée de sa chemise, elle se retrouva en soutiens gorge. Maximilien était comme paralysé, c’était la première fois que cela lui faisait ça, il n’osait pas continuer à toucher cette peau se fraîche si pure, de peur de l’abîmer alors il l’embrassait encore et encore, caressant doucement de ses loin cette volumineuse poitrine à travers le soutiens-gorge. Pour la première fois, il aurait préféré qu’une femme prenne un peu le contrôle des oppération…Il avait tellement peur de ne pas être à la hauteur.


Je sais que c'est nul...J'ai l'impression que ça fait une éternité que j'ai pas écris de RP et encore moins de lemon alors je préfère te laisser le démarer...


EDIT: résumé de fin. Loreana ayant été longuement absente le rp est abandonné et voici ce qui se passa:
Maxou et Loreana couchèrent donc ensemble. Une fois ré-habillé Maximilien réalisa sa chance mais surtout la discussion qui allait s'imposer par la suite. Lâche pour la première fois de sa vie: il s'enfuit. Bien décidé à éviter un maximum son professeur de potion!

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