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La haine est un poison|FINI| |
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Sujet: La haine est un poison|FINI| Mar 19 Aoû 2008 - 19:05 |
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I. Vous
PRÉNOM : Hum hum hum ÂGE : 16 ans ANCIENNETÉ DANS LE RP : 2/3 ans COMMENT AVEZ VOUS DECOUVERT LE FORUM ? Par Lauranette QUE PENSEZ VOUS DU FORUM ? Il est bien si Laura s'est inscrite dessus
II. Formalités
AVATAR : Alex Pettyfer CODE : PROFIL : Validé par Maximilien Middle
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Sujet: Re: La haine est un poison|FINI| Mar 19 Aoû 2008 - 19:11 |
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Sujet: Re: La haine est un poison|FINI| Mer 20 Aoû 2008 - 18:10 |
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Une mort, une libération
Ce 20 juin fut, comme il le serait pour toutes mères, le plus beau jour de ma vie. Je donna la vie non pas à un enfant, pas deux, mais à trois magnifiques bébés. L’accouchement fut long, douloureux, mais je n’y pensai plus quand on me déposa mon fils, et mes deux filles, pour la première fois sur mon ventre. Je savais que leurs destins ne seraient pas anodins. Après tout, ils seraient des sorciers. Je les prénomma : Adam en hommage à mon grand-père et en deuxième prénom Peter, en hommage à son père ; Tabatha car, tout simplement c’est un prénom que j’aime beaucoup et elle me rappelle des souvenirs bien lointain, Julie, en honneur à mes origines françaises ; Mary-Jane pour Kristen Dunst qui joue merveilleusement bien le rôle de la petite amie de Spider Man. La vie n’allait pas être de tout repos. Je le savais. Mon mari aussi.
Les premiers temps furent d’ailleurs difficiles, fatiguant. Chaque enfant avait déjà un caractère bien défini se marquant de plus en plus mois après mois. Adam était le seul enfant garçon, il lia donc avec son père une étroite relation qui ne me déplaisait pas, au moins, je n’avais qu’à m’occuper des deux filles que je traitais comme des poupées de porcelaines. Adam et Tabatha faisaient bien la paire, tout deux ayant un caractère bien trempé, capricieux, l’un envers son père et l’autre envers moi. Et ça continua dans ce sens là, au fils des années. Mary-Jane, elle, elle était effacée, calme, souriante et tolérante. Je la sentis légèrement à l’écart des deux autres. Espérant, à l’époque, que se ne soit qu’une passe et qu’en grandissant, les deux filles se rapprochent et qu’Adam prennent le rôle du frère protecteur. Ah l’espérance. Tant qu’il y a de l’espoir y a de la vie.
Quel mensonge ! Je ne cessai d’espérer. Ma vie était fondée sur des espoirs. Et jusque là, mon espoir, que je croyais invincible, avait réussi à me faire rester debout, et à juste me faire courber le dos à la mort de mon bien aimé et à présent défunt mari. Mais je tenais. Pour mes enfants. Pour peut-être un jour, j'espérais voir mes enfants grandir, réussir leurs vies. Je pensais que ce ne serait qu’à ce moment là que je pourrais mourir. Espérant voir un jour mes enfants s’unir envers et contre tous. De ne plus me sentir comme la boniche de service étant au service d’Adam et Tabatha, et les voir une fois rien qu’une fois, prendre sous leurs ailes ma timide Mary-Jane.
Je leurs ai envoyé des signaux, j’ai cherché tous les moyens les plus subtils pour leurs dire de stopper leurs descentes dans ce pseudos snobismes. De m’aider, d’essayer de vivre en communautés et surtout de les préparer à leurs futurs nouvelles vies, à Poudlard. Je savais qu’ils allaient, tous les deux, être déstabilisés par cet environnement nouveau, ils allaient perdre repères, amis et ils allaient se retrouver face à eux même. Mais rien. J’avais l’impression d’avoir créé deux monstres. Parfois, je craque, et seule Mary-Jane est là pour moi. Je me désole de parler ainsi de mes propres enfants. Mais avant de partir, je me devais de leurs expliquer, je ne veux en aucun cas rejeter la faute sur eux et faire passer M-J pour un ange. Je dis mes impressions et ce que pense beaucoup de mon entourage. Je m’excuse donc auprès de vous mes enfants. Je m’excuse de ne pas pouvoir vous dire au revoir, mais c’était au dessus de mes forces. Je vous demande une seule chose, Adam, Tabatha, redescendaient sur terre, où la douche sera bien froide à Poudlard, vous allez être face à des gens beaucoup plus grands que vous et ayant des connaissances magiques bien plus étendus que vous. Ils pourront vous faire passer des très bons moments, dont vous vous souviendrez toujours, ou au contraire vous faire passer des moments bien pénibles dont vous vous souviendrez toute votre vie, mais d’une manière bien désagréable. Mais si mes mises en garde ne vous suffise pas, peut-être que eux, réussiront à vous faire changer. Prenez en charge Mary-Jane, sortez là de son cocon, restez unis. Durant ces onze dernières années, je vous ai protégé, vous faisant vivre dans un monde de moldus, évitant de vous parler du monde magique, et de ses méfaits. A présent, le monde magique n'a jamais été plongé dans une telle terreur. Et ce n'est pas fini, croyez-moi. Si je me trompe, tant mieux pour vous. Mais dans un jour qui me parait proches, vous devrez tout les trois, faire un choix décisif. Prenez-le le plus tard possible, réfléchissez, consultez-vous, restez unis. Je vous considère assez intelligent pour faire ce choix seul, sans que je ne vous donne mon avis.
Ce choix, entre le Bien et le Mal.
En ce moment, vous devez vous trouver dans le train en direction de Poudlard. Dans quelques heures vous lirez cette lettre bien malheureuse. Je vous laisse comprendre ce que je m’apprête à faire, je n’ai pas le courage, la force de l’écrire, comme je n’ai pas le courage et la force de continuer sur ce chemin semé d’embûche. Je souffre depuis la mort de Peter, votre père. Je m’excuse une fois de plus, je sais bien que mes excuses n’atténueront pas vos douleurs, mais bon.
Adieu mes enfants. Je vous aime, ne pensez pas le contraire ! Anne-Lise, votre mère.
La nouvelle me fit l’effet d’une claque prise en pleine face, comme un réveil brutal et plutôt douloureux. Au moment m^me ou Mary-Jane avait finis sa phrase, au moment ou elle avait entièrement cette lettre, sa voix tremblait, cette nouvelle l’atteignait au plus haut point. Et moi, face à elle, je ressentais rien que de l’indifférence, même si je réfléchissais à toute vitesse, me dire que ma mère ne faisait plus partie de ce monde ne me faisait rien. Elle avait choisi la lâcheté ne tienne qu’a elle, ça ne me regardait pas, au moins il y avait une sorcière maniaco-dépressive en moins sur cette terre et bon débarras. Une vague de sentiment nouvelles me transporta alors, la haine et la colère, les deux sentiments que depuis ce jour ne m’ont plus jamais quitté, je fixais Tab’, essayant de faire abstraction des pleurs incessant de cette nulle de Mary-Jane.
Elle me faisait passer pour un monstre dans cette lettre, une lettre d’adieux qui à mes yeux ressemblait beaucoup plus à une querelle, c’était nous les monstres vraiment? Alors que mon père avait passé les dernières années de a vie à lui faire tant de mal, allant à droite à gauche? Sans même prêter attention aux longues soirées que nous passions à l’attendre. Espérant que cette fois ci il serait là? Le train tremblait et pourtant ça ne me faisait rien ,je ne voulais qu’une chose qu’elle arrête de pleurer, que ses sanglots s‘arrêtent. Après tout qu‘Est-ce qu‘elle était en train de pleurer à part une femme pleine de lâcheté. Elle abandonnait ses enfants sans même se demander ce qu‘il allait advenir d‘eux. Nous allions à Poudlard très bien, durant une année nous allions être dans un cocon, mais après, les élèves ne restaient jamais à Poudlard durant les vacances d‘été. Ou irions nous? Qu‘allions nous faire maintenant?Les pleurs de cette idiote ne s’arrêter pourtant pas Alors, pour être sur de ne pas frapper cette idiote, et en quittant le compartiment j’ai sorti
-Et bien qu’elle crève.
Est-ce qu’aujourd’hui je regrette ces paroles plutôt méchante il faut l’avouer, elles étaient même tellement cruelle envers la femme qui nous avait mis au monde, et bien je vous répondrais non. Et je le pense, jamais je ne reviendrais sur ses paroles, et je suis sur qu’aujourd’hui j’aurais rajouté un sourire à cette phrase sorti du fond de mon cœur ponctué de cette menace de rancœur extrême. Elle nous avait mis au monde à elle d’assumer ce qu’elle avait créer, que ce soit mauvais comme elle le laissait si bien penser ou de bien.
J’espérer bien que ça allait atteindre beaucoup plus Mary-Jane que Tabatha, je me mis marcher lentement dans le train, jetant des regards haineux à touts ceux que je croisaient, elle pensait que je ne saurais pas me débrouiller et bien tant pis, je lui montrerais le contraire, elle me demandait de prendre Mary- Jane sous mes ailes déchus, qu’a cela ne tienne je lui ferais vivre un enfer. Il ne se passerais plus jamais un jour sans qu’elle souffre, sans quelle se dise que j’étais réellement un monstre. Elle m’avait demandé de faire un choix dans les dernière phrase de sa lettre, le bien ou le mal. Je venais de choisir le mal.
Adieu mes enfants. Je vous aime, ne pensez pas le contraire
Comment pouvait-elle écrire ça, elle venait de baver tout ce qu’elle pensait et maintenant elle disait qu’elle les aimait. Vraiment comment Est-ce que l’on pouvait dire ça, et comment la personne qui le lisait pouvait le croire? Encore une preuve de la folie de leur mère? Très certainement, elle n’avait même pas su se montrer lucide dans ses derniers mots. Je posais ma tête contre une vitre givrée sentant que si je ne le faisais ma tête allait exploser. Déjà qu’elle commençait à chauffer, le contact du froid m’apaisa alors que je soufflais doucement sur la vitre, laissant de la bué ce qui révélait les traces de doigts déposé par des dizaine d’élèves. Signe du monde qui se pressait dans les couloirs du wagon, et ce n’était qu aperçus, il ne fallait oublié tout ceux qui se pressaient dans le reste du train.
J’entendis alors des pas, je les reconnus immédiatement c’était ma sœur, on ne passe pas 11 ans avec la même personne sans reconnaître ensuite ses pas, on n’était pas triplets pour rien. Sur que je n’aurais pas sut reconnaître ses pas à l’autre, plutôt ses sanglots tellement incessant. Elle ne savait que faire, je le savais, à cet instant je ne voulais qu’une seule chose, qu’elle me prenne dans ses bras. La sensation de sentir son corps contre le mien ,qu’elle ne me laisse pas tomber dans ce moment aussi dur, car autre que la mort de notre mère, il y avait quelque chose de bien plus grave que je ne lui pardonnerait jamais.
-Elle dit que nous l’avons tué…. Nous!Toi et moi! La réponse mis un temps à venir, et même moi je me suis senti coupable d’aboyer de cette façon sur elle, de ne pas savoir être un peu gentil ou du moins agréable -Je sais Adam. Je lui en veux autant que toi tu sais, et elle croit peut-être, que c’est avec cette lettre que nous allons nous rapprocher de l’Autre. Tu sais aussi bien que moi que ce ne sera pas le cas… Mais au moins, tous les deux… -Restons unis…
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Sujet: Re: La haine est un poison|FINI| Mer 20 Aoû 2008 - 21:30 |
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Poudlard, ah mon beau Poudlard, contrairement au attentes, ou peut être même aux espérances de mère, nous nous sommes parfaitement adapté Tabatha et moi, mieux que n’importe qui d’ailleurs. Mary-Jane, par contre, elle avait beaucoup de mal, plus que nous, à chaque fois que les autres élèves faisaient allusions à leur parents, la peste se mettait à fondre en larmes, ses jérémiades se faisaient de plus en plus présente. Et ce jour là n’échappa pas à la règle, ce jour, ou comme nous nous y attendions on allait nous envoyer quelque part. Dans un endroit ou nous n’avions pas tellement envie d’aller, pourtant on n’avais pas vraiment le choix, sinon ou est qu’on irais. Dans quelques minutes nous serions arrivé à destination, la voiture qui nous transportait roulait lentement. Je ne regardais Tabatha, elle regardait dehors indifférentes, quand M-J, elle sanglotait. Ce directeur, et idiot avait fait allusions à notre mère et depuis, bouah!
Je ne m’étais jamais autorisé à pleurer, je ne pouvais, je ne le voulais, et surtout je n’en avais pas le droit, pleurer était une marque de faiblesse, et je ne pouvais en aucun cas faire ça à tab’. Elle non plus n’avais jamais pleuré, mon seul et unique pilier. Si elle tombait je tombais avec elle, notre chute serait commune et irréparable, si elle ne craquait pas je ne craquait pas et je ne pouvait pas me permettre de craquer. Tab’ pensait rencontrer seulement une assistante sociale, quelle idée, moi je savais ou on allait, mais je ne voulais pas être celui qui allait lui annoncer la nouvelle. La voiture continuait d’avancer dans le Londres miteux, le Londres que des enfants de notre age n’aurait jamais dut connaître, ou du moins le plus tard dans notre vie. Finalement elle s’er le professeur de potion nous poussa vers un établissement tellement miteux qu’il semblait tout droit sorti d’un film ancien sur les mineurs. Mon regard fut automatiquement attiré par la décharge qui se trouvait à cotés, quel bel édifices avec une belle vue, mais plus tard je me rendis compte avec une horreur non cachée que c’était le jardin. Des enfants en bas age s’amusait au milieu des détritus je n’étais du genre à faire des état d mais je ne comprenais comment les personnes qui voulaient notre bien étaient capable de nous envoyés dans ce merdier.
La porte s’ouvrit alors, assez violemment pour tout dire, laissant passer une femme plutôt grosse, enfin tellement grosse que l’on se demandait comment elle pouvait passer une porte aussi frêle que celle là, enfin, elle semblait plutôt gentille, mais cet air niais qui encadrait son visage me faisait penser qu’elle ne savait rien de ce qui se passait réellement dans les couloirs de cet établissement. Je sortis els valises de la voiture alors qu’elle arrivait vers nous, je fit bien attention à ne pas confondre les valises de mes sœur, car je le savais Tab’ ne me le pardonnerait pas. Si il y avait bien une chose qu’elle détestait c’était qu’on la confonde avec M-J et je la comprenais. Arrivé à notre niveau elle nous détailla, son regard s’ac sur la baguette qui dépassait de ma poche, ne sachant pas vraiment si on lui avait dit que nous étions des sorciers je posa ma main dessus, pour la cacher.
-Ouh, nos nouveaux petits marmots sont malpolis ? Mais pour qui se prenait elle? Elle ne nous connaissais même pas et elle se permettait de nous juger de la sorte, elle ne savait pas si nous étions poli ou pas. Enfin, finalement après avoir décrispé mes mains je décidais de passer sur le sujet, ne tenant pas à partir sur de mauvaise bases.
-Juste timide, ils ont peurs je crois et ils sont ... impressionnés. Impressionner? J’avais vraiment l’air d’être impressionné? Puis je me dis qu’il cherchait tout simplement à noyer le poisson, nous n’étions pas rassuré et donc nous ne parlions pas, ce rôle m’allait à merveille puisque je ne tenais pas particulièrement à parler avec la directrice.
-Bien, je vous explique deux, trois règles. Je crois savoir que vous êtes des triplés ? N’est-ce pas ? J’espère que vous avez l’habitude d’être séparé le soir, car à partir de dix neuf heures, les garçons et les filles ne cohabitent plus. J’ai réussis les filles à vous trouver une chambre, vous pourrez être ensemble. Les bagarres sont interdites sous peine de sanction. A partir de vingt et une heures, il est interdit de sortir dehors. Petit déjeuner à sept heures, déjeuner à midi pile et dîner à dix huit heures trente. Soyez à l’heure ! La journée, des activités sont organisées et quelques fois, vous aurez quartier libre et vous ferez se que vous souhaitez. Essayez d’être gentils avec les autres. La plupart, sont plutôt insociable… Et violent, mais vu votre niveau de conversation, vous devriez vous sentir chez vous ici. Je vous laisse, monsieur si vous voulez bien venir dans mon bureau j’ai deux ou trois petites choses à vous faire signer.
-Bien sûre… Au revoir, à la rentrée.
Je regardais mon professeur sans un mot, il partait avec elle, et puis ensuite il partirait, sans même leur donner la moindre explication, le directeur pensait-il vraiment que nous avions ne serait ce qu’une seule chance d’être adoptés? M-J passe encore, elle était plutôt attachante aux yeux des autres, mais Tab’ et moi, bien trop sauvage nous allons dire. Je m’appreter à entrer, lorsque des dizaines de tetes apparurent aux fenêtres tous semblaient sales, miteux et leur teint maladifs ne me disait rien qui vaille nous allions souffrir ici. Et puis, soudainement ce grand garçon apparut dans mon champ de vue, il commenca par toucher Tab’, si j’avais put je lui aurais mis mon poing dans la tete, on ne touchait pas ma sœur, mais il était plus grand que moi. Il se planta alors devant nous, ce devait être un chef ici.
-Vous êtes triplés ? *Non non on a fait de la chirurgie esthétique!* -Ouais. -Vous vous appelez… ? -Adam. -Tabatha -Mary-Jane. -T’es jolie Tabatha tu sais. -C’est moi Tabatha ! T'es con ou tu le fais exprès ?!
La guerre était donc déclaré entre nous et eux.
- Psssssst… -… -Tabatha… -Adam ? --Oui c’est moi, viens… Tabatha… J’en peux plus…C’est à ce moment là que je sentis que ma voix tremblait, c’était finis, je le savais, de toute façon les larmes commençaient déjà à couler le long de mon visage- Quoi ? Qu’est ce que tu fous ? Comment ça t’en peux plus ? -J’en peux plus tu comprends ? J’en ai marre je suis à bout ! Vraiment ! - Arrête ! Tu peux pas me faire ça Adam ! . T’es vraiment trop con Adam ! -Tabatha… Ne m’en veux pas !
Elle ne pouvait pas comprendre ce qu’ils venaient de me faire subir, ce n’était pas les humiliations publiques, les accusations intempestives qui m’avaient amener à me mettre dans cet état là. Non c’était bien autre chose, c’était ma baguette, elle ne l’avais pas vu mais elle pendait lamentablement dans ma main. La plume de phénix qui la constituait la retenait du bout de la plume, c’était ce garçon. Celui qui leur faisait vivre un enfer, après Que j’eu défendu Tab’ il l’avait cassé en deux, se demandant sûrement pourquoi je tenais tant à ce malheureux bout d bâton
Mais je m’étais vu dans l’obligation de lui mettre une droite après qu’il est dit devant lui que ses triplettes lui plaisaient énormément, et on ne touchait pas à ses sœurs, après çà il avait cassé sa baguette s’en était finis.
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Maximilien E. Middle
Admin | Serdaigle
Loosing control...Help him to get up!
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Amour : Loréana Wilde est et sera pour toujours l'amour de sa vie!
Pensine Orientation Sexuelle: Bisexuel Année d'étude: 7ème année Caractère: Sincère, honnête, fou, motivé, drôle, beau parleur, inteligent, charmeur, loyal, passioné, passionant, têtu, bien élevé, révolutionnaire, débrouillard, autonome, sarcastique, protecteur, volontaire, amusant, sportif, classe, patient, franc, écrivain, artiste! etc
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Sujet: Re: La haine est un poison|FINI| Jeu 21 Aoû 2008 - 21:05 |
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Bien, bien.. Alors bienvenue sur Appelo Mortem, Amuses toi bien surtout et si tu as la moindre questions n'hésites pas Travis, Devan , moi même ainsi que nos modérateurs sommes là! Alors Puisque tu es un perso predef c'ets donc serpentard^^.
Alors il faut que tu réserve ton avatar, crée ta liste de rp et ta liste de relation. Jette un oeil sur les clubs et tout ça. Soit actifs, flood un peu, n'hésites pas à voter pour nous de temps en temps! Bon jeu et validé!
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Sujet: Re: La haine est un poison|FINI| Jeu 21 Aoû 2008 - 21:11 |
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Bienvenu parmis nous Adam ! ^_^
Très joli prénom et avatar en passant *.*
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Sujet: Re: La haine est un poison|FINI| Jeu 21 Aoû 2008 - 21:31 |
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Merci à vous deux
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Julia Brown
Admin | Gryffondor
--Préféte en chef--Batteuse--co-capitaine--Miss je sais tout
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Amour : Timothé et cela pour la vie
Pensine Orientation Sexuelle: Hétérosexuel Année d'étude: 7ème année Caractère: douce, généreuse, courageuse, légèrement timide...
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Sujet: Re: La haine est un poison|FINI| Jeu 21 Aoû 2008 - 22:48 |
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bienvenu jeune homme....
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Sujet: Re: La haine est un poison|FINI| |
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La haine est un poison|FINI| |
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