Appelo Mor†em (old)
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Une jeune femme sous son ombrelle Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
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MessageSujet: Une jeune femme sous son ombrelle Une jeune femme sous son ombrelle Icon_minitimeLun 14 Juil 2008 - 0:43

||Prio Maximilien E. Middle||

    Week end ! Voilà un mot qui plaisait énormément a Satyne qui savait qu'elle allait enfin pouvoir se reposer un peu et surtout oublier tout ce que les élèves avaient fait subir a ses pauvres plantes et donc a elle même car, qui s'attaquait aux plantes de Satyne, l'empechait de faire des baumes et des préparations pour sa peau et donc s'attaquait a elle même. Oui l'amour du professeur de botanique pour elle commençait a bien se faire connaître et donc les élèves commençaient a savoir qu'il fallait faire trrrèèèèèèèèèèèsssssssss attention a ce qu'ils faisaient en cours même si y'avait toujours des maladroits pour rater un soin de plante ou tout autre chose qui finissait par l'énerver prodigieusement et lui donner envie de leur filer les plantes carnivores a soigner... Ce qu'elle avait fait a certains d'ailleurs et ils étaient soudainement beaucoup plus attentif depuis. Etrange n'est ce pas ? XD Il était vrai que Satyne n'était pas un professeur de botanique comme les autres... Enfin quand elle regardait ses collègues elle se disait qu'elle n'était pas la seule a désespérer sur le niveau des élèves même s'il y en avait certains qui ne semblaient pas vraiment s'intéresser a cela. Elle se demandait comment ils faisaient pour arriver en cours, faire leur cours sans regarder un seul élève et sortir. C'était... Enfin... Ca servait a quoi d'être professeur a ce niveau là ? Elle préférait encore être méchante et rude qu'indifférente aux autres.

    Elle rentra dans les appartements des professeurs pour pouvoir prendre un bon bain et se délasser. Comme toujours elle en profita pour lire car elle aimait être dans l'eau avec un bon verre de champagne et un livre à la main. Aujourd'hui c'était « Légendes et Contes shamans » qu'elle avait trouvé à la biblothèque la veille. Elle resta une bonne heure dans son bain a savourer ce moment de quiétude avant de se laver avec un savon a base de vanille et de sortir du bain pour se draper avec une grande serviette et aller se poser sur son lit après avoir occulté le soleil comme elle ne supportait pas ses rayons sur sa blanche peau. Elle s'endormit presque tout de suite et ce n'est que trois heures plus tard qu'elle ouvrit de nouveau les yeux. Elle n'avait pas faim... mais ne voulait pas rester inactive aussi passa t'elle un jean bleu clair, un léger tee shirt et de petites chaussures décidant d'aller se balader près de la foret interdite. Elle prit, bien entendu, son ombrelle blanche pour protéger comme il y avait encore du soleil et descendit les marches vers les grandes portes de Poudlard pour sortir.

    x Sean_ Petite balade Satyne ? Tu veux que je t'accompagne ?

    x Satyne_ Non merci Sean.

    Satyne lui adressa un léger sourire calculé n'ayant clairement pas envie qu'on l'embête alors qu'elle avait décidé de partir se balader et continua sa marche vers la foret interdite. Elle avait une démarche gracieuse mais hautaine montrant bien que le professeur avait totalement confiance en elle et en ce qu'elle pensait. Elle ouvrit son ombrelle avant de la poser sur son épaule pour surtout protéger son doux visage car elle ne voulait pas devenir toute rouge. Quelques taches de rousseurs plutôt mignonnes étaient apparues depuis quelques jours mais elle ne voulait pas de quelque chose de plus. Ce n'était pas pensable pour la jeune femme qui calculait tout y compris son physique. Elle continua sa marche avant de voir la cabane du garde chasse... Le fameux garde chasse de Poudlard... Elle se demandait comment il avait été exactement. Elle n'aurait pas forcément aimé le rencontrer car c'était.. un hybride tout de même et elle avait horreur des hybrides T_T' BrRRrrrrRrRrrr cela lui faisait froid dans le dos rien que d'y penser.

    Elle s'arrêta devant la cabane plongée dans ses songes... Elle était tout de même heureuse d'avoir retrouvé son école. Cela avait été un challenge pour elle mais elle devait avouer qu'elle était plutôt fière – comme toujours – de ce qu'elle avait accompli jusqu'à présent. Elle avait voulu tester ses capacités a se détacher de son univers habituel et elle était bien ici. Elle avait encore un peu de mal avec pas mal d'élèves et de ses collègues mais elle appréciait de transmettre son savoir a ceux qu'elle jugeait intéressants. En réalité le nouveau professeur était en train de tester ses compétences car, même si elle était totalement sure d'elle, rien de mieux que de se mettre des challenges dans la vie de temps en temps pour avancer.

    Elle sortit de ses pensées en entendant un bruit a ses côtés et porta son regard sur l'élève qui venait d'arriver près d'elle.

    x Satyne_ Bonjour Maximilien.

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Maximilien E. Middle
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MessageSujet: Re: Une jeune femme sous son ombrelle Une jeune femme sous son ombrelle Icon_minitimeLun 14 Juil 2008 - 1:47

[X Ame sensible…Je me suis permise de mettre une croix Satyne…Si c’est trop hard, j’en ferai un poste libre et je te répondrait autre chose]

    Poussé par un élan de Plaisir et d’envie…


Dans les jeux de l’étreinte
Dans les mots, les complainte
Accroché à ton seins…
Dans le bleu de l’absinthe
Chez les puttes…Chez le saintes


    La silhouette en sueur se redressa soudainement, laissant voir l’entièreté de son corps nu et transpirant. Elle était belle cette silhouette dont on ne voyait que les formes dans cette sombre pièce…Ses seins pointaient dangereusement vers le haut et elle se mouvait avec élégance indiquant avec grâce le mouvement et le rythme qu’elle voulait garder. Son compagnon du dessous se laissait faire, savourant cette sensation se soumission face à l’autorité dont elle faisait preuve. Il ne résista cependant pas à l’idée de se frayer un chemin avec ses mains, caressant le corps de la jeune femme, il parvint à ses seins qu’il attrapa et tendis que la cadence accélérait, il les triturait, les bougeait comme si il n’allait plus jamais avoir l’occasion de les retoucher. La cadence s’accélérait encore et il se redressa aussi, quasiment assis alors qu’il était toujours à l’intérieur de cette femme qui lui donnait tant de plaisir…IL amena alors sa boucher à ces deux seins qui un jour permettront de nourrir un enfant mais qui pour l’instant lui servait à lui. Il se mit à les lécher, les mordiller allant jusqu’aux tétons qu’il triturait dans tous les sens, pendant ce temps ses mains se baladaient dans le dos de la jeune femme qui se cambrait déjà légèrement…Elle se pencha alors en avant repoussant le jeune homme qui se retrouva à nouveau couché, avec toujours cette silhouette empalé sur son sexe…Elle accéléra encore et encore et il sentit son périnée se contracté autours de son membre, elle allait venir, il le sentait, il voulait l’entendre hurler son nom, il voulait la sentir se cabrer en lui et son désir revint vite réalité. Le corps mouillés se cabra vers l’arrière et la jeune femme laissa sa tête partir aussi vers l’arrière et hurla le nom de son amant ce qui eut pour effet de le faire venir au même moment…IL se libéra alors en elle en criant son nom également et tandis qu’elle retombait sur son torse, la respiration toujours haletante, il se contentait de fixer le plafond d’un regard froid…Comme si ce qui venait de se passer n’avait pas eut lieu…IL patienta un instant, voulant bouger mais il eut la décence d’attendre que la jeune femme se retire de lui, ce qu’elle fit au bout d’un instant et il se retourna alors légèrement…Il vit la jeune femme ouvrir la bouche pour parler mais il posa un doigt sur ses lèvres pour lui dire de se taire. La laissant alors dans le lit, Maximilien se leva et s’habilla.

    Ce n’était qu’une nuit, qu’une fille, qu’une plaisir…Qu’une nuit pour oublier, une nuit pour avancer, une nuit pour penser à autre chose…Une nuit qui encore une fois ne vaudrait rien et qu’il allait s’empresser d’oublier gardant juste le souvenir du désir et du plaisir ardent qu’il avait ressentit…IL jeta un dernier coup d’œil à la silhouette de cette fille qu’il ne connaissait pas et il sortit alors refermant délicatement la porte derrière lui. IL avait besoin d’air, besoin de respirer, de reprendre contrôle de lui-même. Ses vêtement collaient à son corps encore en sueur et il bougeait avec difficulté mais avec grâce…Il avait besoin de sentir l’air s’engouffrer dans ses vêtements avant d’aller prendre une douche pour se laver des plaisirs coupables qu’il avait pu avoir ce matin…IL descendit alors les escaliers doucement, ne pouvant s’enlever la silhouette de cette jeune femme se cambrant au dessus de lui de sa tête, il la revoyait encore et encore et ne pouvait s’empécher d’y penser malgré que c’était ce dont il souhaitait le plus au monde. Oublier comme à chaque fois…
    Il arriva enfin dehors dans le parc…Il sentit l’air frai s’engouffrer dans ses vêtements, les décollant ainsi de son corps encore mouillés. Il sourit au soleil qui le narguait au dessus de lui et se mit à avancer doucement mais sûrement, gardant l’image de cette personne dont il ne connaissait que le nom et même pas la maison dans sa tête…Il continuait d’avancer avec l’intention de se mettre près du lac lorsqu’un voix venant de la cabane de Hagrid arriva à ses oreilles :


    VOIX_ « Bonjours Maximilien. »
    MAXIMILIEN_ « Bonjours professeur ! »

    Il avait reconnu cette voix, celle de son professeur de botanique. IL n’aimait pas cette femme, il n’en n’aimait aucune à vrai dire de femme et celle-ci ne faisait pas exception…Elle lui était indifférente surtout en ce moment même…IL n’avait qu’une envie être seul…Il espérait qu’il ne l’appelle pas encore pour parler de son devoir ou d’on ne sait quoi d’autre dont il ne voulait pas parler…Il n’avait prononcer que les quelques mots nécessaire à la politesse, mais les avait dis d’une voix froide qu’il n’avait nullement l’intention de rendre plus chaleureuse…

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MessageSujet: Re: Une jeune femme sous son ombrelle Une jeune femme sous son ombrelle Icon_minitimeLun 14 Juil 2008 - 4:05

[Hj: Aucun soucis Maximillien. Ce genre de scène ne me dérange aucunement et surtout quand elles sont bien si bien écrites]

    x Maximilien_ Bonjour professeur !

    Devoir ? Obligation ? Travail ? Satyne était en week end et elle ne le faisait pas en temps normal, quand elle était en dehors des cours, alors ce n'était pas pour commencer quand elle était en repos en plus. Tout comme Maximillien elle n'avait pas forcément envie de parler car elle n'aimait pas cela. Pour dire quoi ? Vous allez bien ? Que désirez vous ? Non cela ne l'intéressait pas de toute façon donc elle respectait le silence du jeune homme n'ayant pas envie de détruire le calme qu'il avait imposé après sa première phrase car elle n'avait tout simplement pas envie de lui parler non plus. Le respect et la politesse étaient deux choses que tout le monde se devait d'avoir pour apprendre a vivre ensemble mais c'était bien les deux seules notions que Satyne utilisait souvent sans après parler de la pluie et du beau temps. Il fallait être intéressant pour qu'elle ait envie de parler ou bien lui parler auquel cas elle répondait avec politesse (toujours cette belle notion qui était bien gonflante parfois oO). Bref... Toutes ses longues explications pour expliquer que ce n'était pas Satyne qui allait briser le silence préférant entendre le bruit du vent et des arbres aux piaillements des élèves.

    Elle ne détestait pas les hommes elle... Elle aimait même beaucoup avoir un homme de temps en temps histoire de profiter d'une agréable nuit dans les bras d'un sensuel et passionné amant mais n'avait pas envie d'avoir quelqu'un tout le temps avec elle. Déjà il aurait fallu pour cela qu'il se fasse une place dans son cœur et son égo prenait tellement de place que ce n'était pas facile. Elle aimait ses parents et tout le reste était pris par son amour pour elle même. Un homme ? Pour la forme et pour s'amuser c'était très bien mais après il ne fallait pas aller chercher plus loin quand la jeune femme se laissait aller. C'était bien le seul domaine dans lequel elle était capable d'être si passionnée d'ailleurs. A part les plantes bien entendu mais on ne parlait pas forcément de la même passion sinon leur professeur avait de cruels soucis de libido tout de même xD. Trêve de plaisanterie... Satyne n'avait jamais eut que des amants pour combler ses froides nuits mais c'était tout. Etait ce vraiment ce qu'elle désirait comme elle tachait de s'en convaincre par les explications de son égo et autre ? Peut être ou peut être pas... La jeune femme était une belle et agréable jeune femme même si elle était sure d'elle et très superficielle et savait qu'elle plaisait aux hommes mais pourquoi ne les laissait elle s'approcher que de son corps et non pas de son cœur ? Peut être parce qu'elle était totalement consciente que c'était bien le seul univers dans lequel elle ne pourrait rien contrôler. Tout ce contrôle dans la vie même la mort mais l'amour.. L'amour était une chose qui, pour la plus sure des femmes, était quelque chose qui faisait peur aussi préférait elle se convaincre qu'elle était trop bien pour tout le monde et vu l'image qu'elle montrait aux autres personne ne l'ennuyait.

    Elle se mit a faire tourner son ombrelle tout en s'approchant encore un peu de la cabane. On aurait dit un vieux film moldu mais cela n'était pas calculé pour une fois comme elle ne connaissait pas du tout le monde des moldus. Un petit colibri vint soudainement voleter près de la jeune femme et celle ci leva sa douce et blanche main pour qu'il se pose dessus.

    x Satyne_ Bonjour toi... Cela faisait quelques temps que je ne t'avais pas vu...

    Son petit animal aimait beaucoup aller vaquer a ses occupations de... colibri depuis qu'ils étaient de retour a Poudlard et elle le laissait vivre sa vie. Après tout c'était un animal et elle n'avait pas besoin qu'il soit tout le temps collé à elle. Le colibri poussa de petits cris comme s'il lui répondait avant de se remettre a voleter tout autour de son humaine avant d'aller voleter vers le serdaigle puis revenir vers Satyne qui le regardait amuser un doux sourire aux lèvres. Ce doux sourire était rare d'ailleurs...

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MessageSujet: Re: Une jeune femme sous son ombrelle Une jeune femme sous son ombrelle Icon_minitimeMar 15 Juil 2008 - 0:39

    Attendri par l’innocence de l’animal…


Dans tes yeux
Y'a la flamme
Y'a le feu
Qui ne s'éteint pas
Dans tes yeux
On y voit toujours plus loin
Dans tes reins


    Il ne pouvait l’enlever de sa tête et pourtant cette fille, il ne la connaissait pas…Il n’avait d’ordinaire aucun scrupule à oublier les filles avec lesquelles ils ne passaient qu’une nuit où qu’un moment, elles étaient inexistantes pour lui…Juste témoins de son plaisir coupable pour elles…Mais cette silhouette gracieuse et transpirante qui arrivait en un seul mouvement à l’avoir sous son contrôle lui restait en tête…Elle lui rappelait…Elle lui rappelait cette femme qu’il voyait de plus en plus souvent dans ses rêves, il n’avait pas le droit de penser à elle…Loreana Wilde, il ne la méritait pas, il serait incapable de l’aimer, de lui être fidèle…Si un jour elle lui cédait, si elle lui offrait ce dont il rêvait tout les soirs et qu’elle tombait amoureuse de lui, il ne pourrait lui offrir ce qu’il méritait…Il était gentil, serviable et surtout cultivé mais il ne pouvait lui donner l’affection qu’elle méritait…Il pouvait lui offrir des nuits de rêve, il pouvait lui offrir des cadeaux, être galant et tout ce qu’il fallait avec mais il ne pouvait la rendre heureuse parce qu’il ne pouvait l’aimer, il n’y arriverait pas…Il se sentait mal de se rendre compte à quel point il était médiocre en ce niveau et il se sentait coupable de ne plus pouvoir s’empécher de penser à elle encore et encore…Il regrettait cette fille qu’il avait laissé dans ce lit, si il ne l’avait pas touché Loreana Wilde ne serait jamais revenu dans sa tête…

    Il soupira et avança de quelque pas…Il ne pouvait s’empécher d’y penser encore et encore, cette silhouette en sueur l’obsédait, il était rare…Maximilien n’aimait aucune fille, aucune de celle qu’il avait fait crié n’avait réussi à entrer dans son cœur et la seule personne, la seule femme qu’il ne pouvait toucher semblait s’y frayer un chemin plus qu’évident…Il haïssait cet effet qu’elle avait sur lui, il avait l’impression de la voir lorsqu’il apercevait une silhouette tourner au coin d’une rue, elle était tellement dans sa tête qu’il plaçait son corps, son visage sur chaque femme qu’il voyait et avec lesquelles il couchait…Il s’avança encore, et leva la tête vers le haut…Le soleil lui brûlait les yeux mais il ne regarda pas ailleurs, il voulait oublier cette nuit, oublier encore une fois cette femme qui l’avait emmené au paradis, cette femme qui lui avait donné pour une nuit l’amour dont il avait besoin…


    SATYNE_ « Bonjour toi... Cela faisait quelques temps que je ne t'avais pas vu... »

    Il ne prit pas la peine de se retourner, il ne voulait pas savoir à qui elle parlait, il s’en fichait, cela lui était totalement indifférent. La curiosité disait on était un vilain défaut mais il ne faisait pas parti de ceux de Maximilien…Certes il aimait apprendre et savoir mais ce n’était pas maladif bien au contraire, il aimait connaître la science, la culture, la magie mais les gens…IL ne s’y intéressait pas…Certains faisaient exceptions comme Léo, Travis et Elisa, cela s’arrêtait là. Pour le reste il se contentait de les aider ou de les saluer. Il plaisantait de temps en temps et faisait dans le genre « je suis social » alors qu’en réalité ces personnes ne l’intéressaient pas…
    Il entendit un léger sifflement et retourna légèrement la tête. Il aperçu alors un petit colibri, adorable qui chantait aussi bien que Max jouait de la guitare…Si Maximilien n’était pas un fanatique des contacts humain, cela était différents avec les animaux. Ceux-ci ne parlaient pas pour dire des bêtises, il respectait le calme, le silence et la nature…IL ne se permettait pas de juger tout et n’importe quoi, ne prenait personne de haut et surtout ne prônait pas l’importance de l’argent comme étant le chose la plus importante dans la vie. Il laissa alors le petit oiseau s’approcha de lui. Un colibri signifiait beaucoup de chose. Maximilien le considérait comme était l’innocence même, toujours à chanter sans s’inquiéter de rien. Il survolait le monde, assistait à ses misères sans même s’en rendre compte…Il laissa l’oiseau se poser sur son doigts et lui caressa la tête. IL se retourna alors et prononcé quelques mots :


    MAXIMILIEN_ « Il est à vous ? »

    Sa voix n’était pas devenue plus tendre, l’oiseau l’avait attendris légèrement mais l’humain était toujours là et Max n’avait toujours qu’une envie…Etre seul…

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MessageSujet: Re: Une jeune femme sous son ombrelle Une jeune femme sous son ombrelle Icon_minitimeLun 21 Juil 2008 - 16:10


    x Maximilien_ Il est à vous ?

    Satyne se retourna doucement... gracieusement avant de poser son regard sombre sur le jeune homme qui était derrière elle. Son colibri venait de s'envoler de la main de Maximilien pour venir se poser sur l'index qu'elle venait de lever délicatement en le voyant revenir vers elle et elle caressa avec douceur sa petite créature qui se mit a siffloter légèrement de nouveau appréciant de retrouver son humaine. Enfin surement car qui pouvait vraiment lire dans l'esprit d'un colibri ? Satyne commençait juste a bien connaitre ce petit animal qui la suivait depuis un an... Année où elle avait prit l'habitude d'aller faire des cueillettes dans le bois qui était juste derrière elle et où elle avait trouvé cette petite créature qui avait décidé de la suivre partout ensuite. Satyne n'était pas vraiment une fan des animaux - comme certains pourraient vous le dire et surtout Lycan xD - mais le colibri lui avait tout de suite plu. Il était petit, léger, magnifique... Tout ce qu'elle aimait... Tout ce qui allait bien avec elle, même si elle avait perdu cette innocence qui caractérisait l'animal depuis quelques années maintenant. Non Satyne n'avait jamais été innocente en réalité, ce n''était pas dans son caractère et ses parents s'étaient chargés tout de suite de lui montrer le monde comme il était réellement. pas de faux semblants, pas d'illusion. Cela lui manquait il aujourd'hui ? De n'avoir pas forcément eut une enfance normale même si elle avait toujours été aimée et chérie ? Non... Pas vraiment... Elle aimait tout ce qu'on avait fait d'elle et elle aimait ce qu'elle faisait de sa vie aujourd'hui même si cela n'était clairement pas normal pour tout le monde. Mais qu'est ce qu'elle pouvait s'en f*utre de ce que les gens pensaient d'elle. A un point... Que vous n'imaginez même pas.

    Avec quelques secondes de silence où elle étudiait doucement l'élève du regard comme elle le faisait toujours, elle répondit enfin...

    x Satyne_ Je ne peux pas vraiment dire qu'il m'appartient. Il a tout simplement décidé de rester avec moi depuis que nous nous sommes rencontrés. Une créature ne peut nous appartenir... Sinon ce serait briser ce qu'on aimait le plus en eux : leur beauté et leur liberté.

    C'était tout simple pour Satyne. Oui elle était sure d'elle et avait foi en tout ce qu'elle pouvait faire mais elle était aussi consciente de tout ce qui l'entourait et même si elle avait assez d'argent pour faire tout ce qu'elle désirait il y avait une notion que les humains ne pouvaient plus avoir depuis bien longtemps : la liberté. La liberté n'était qu'une illusion qu'on donnait a voir aux gens pour qu'ils soient heureux mais personne n'était libre dans ce monde. On pouvait y croire comme beaucoup histoire de se mettre des œillères et avoir un pseudo sentiment à la c*n ou bien être totalement conscient de son statut d'être humain et tout simplement profiter de tout ce qu'on pouvait avoir d'autres... Et ça c'était plus Satyne qui profitait de tout le reste et surtout de la vie qu'elle pouvait avoir et se faire.

    Elle s'avança légèrement vers le jeune homme alors que le colibri s'envolait de nouveau pour aller voler autour du serdaigle se posant de nouveau sur sa main à lui. Voila quelque chose que la créature ne faisait pas souvent et qui poussa Satyne a observer de nouveau Maximilien qui ne semblait pas vraiment dans son assiette. Enfin cela dépendait de quels souvenirs du jeune homme on parlait - Hrm xD - mais il ne semblait pensif, soucieux,...

    x Satyne_ Vous semblez contrarié Maximilien.

    C'était une phrase qui ne demandait pas forcément de réponse car elle se contentait surtout d'énoncer un fait... Si le jeune homme ne voulait pas le montrer c'était raté et elle le faisait remarquer. Après elle ne lui demandait pas de lui raconter sa vie car, premièrement il n'en avait surement pas envie et deuxièmement elle n'en avait pas grand chose a faire... A part si c'était intéressant mais elle commençait a se méfier des élèves de cette école. Enfin là c'était un serdaigle il y avait peut être une chance pour qu'ils soient sur la même longueur d'onde c'est a dire par de prise de tête pour des trucs hyper importants de poufsouffle ou de gryffondor T_T'.

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Maximilien E. Middle
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MessageSujet: Re: Une jeune femme sous son ombrelle Une jeune femme sous son ombrelle Icon_minitimeDim 17 Aoû 2008 - 23:00

[C'est pas super mais encore une fois...je m'y remets doucement]

    Innocent comme l’agneau qui vient de naître.


Si je m'inspire de vous, des nuits
Aubes de mes dérives lucides
Du jour où les rues transpirent
Du vide autour des villes
Du moindre de mes désirs
Si je transporte vos rêves, vos peines…


    Il pouvait voler, lui, sans comprendre, sans regarder, sans réfléchir et même sans savoir…Parce que ceux qui se trouvait en bas il ne les voyait même pas, ils lui étaient indifférent, caché derrière les nuages, ses ailes humidifiées par l’eau qu’ils contenaient, il avait la chance de pouvoir tout ignoré, de ne rien entendre, de ne rien voir…Il pouvait avancer, tourner, s’envoler sans penser à rien, lui il avait simplement le droit d’oublier…Il prenait tout le monde de haut d’en haut, il pouvait même leur chier dessus si il voulait mais sans aucune violence et malgré la cruauté de ce mot, pour lui, il ne signifiait rien si ce n’est juste un soulagement parce qu’il ne savait même pas qu’en dessous quelqu’un pourrait l’avoir sur sa tête, parce qu’il ne savait même pas qu’en dessous quelqu’un pourrait en rire et même si il le savait, il ne comprendrait même pas pourquoi la personne en rirait, il n’en n’avait tout simplement pas conscience…Il restait là, à l’abris des gens, à l’abris du monde, du danger des gestes et des mots, à l’abris des regards, du jugement et à l’abris du savoir parce que ce qui tue l’innocence c’est ce savoir…C’est cette envie de connaître encore plus de chose, de ne jamais en avoir assez et de toujours vouloir savoir, savoir, savoir et savoir…La curiosité n’était pas seulement un vilain défaut, elle était un fléau indestructible qui pouvait manger de l’intérieur le plus parfait des humains parce qu’à trop savoir on s’y perd. La connaissance est lourde à porté parce qu’elle entraîne automatique des jugements, des secrets et envie de savoir encore et encore et lui, IL avait la chance de s’envoler loin, et très haut, de ne penser à rien, de ne rien connaître, de ne pas être juger et surtout lui, ne jugeait pas. Cet oiseau qui venait de se poser sur sa main, Maximilien aurait tout donner en ce moment même pour avoir le droit lui aussi d’avoir cette chance ne fuse que pendant une seconde, cette chance de tout oublier, de tourner toutes les pages et de s’envoler pour se retrouver sous la chaleur d’un pays chaud en ayant déjà oublier la froideur qu’il venait de quitter le matin même…

    Maximilien avait beau craindre bien souvent la nature de l’homme, rares étaient les animaux méchants de natures…Ils ne tuaient que pour survivre, ils ne vivaient que pour vivre, les animaux n’ont pas de buts spéciaux, ils vivent et profitent de chaque instants sans se poser la moindre question…L’homme lui est méchant de nature, l’homme lui attaque pour son plaisir, l’homme est pervers, l’homme est fou parce que l’homme sait, parce que l’homme comprend…On dit que l’homme est un animal civilisé mais Maximilien a toujours été persuadé du contraire. L’homme se tient peut être droit quand il mange, mais la seconde d’après, il se courbe en riant devant l’enfant qui vient de trébuché alors que l’animal se courbe peut être en manger mais lorsque son enfant trébuche, il se pencha non pas pour en rire ou s’en moquer mais pour le ramasser…Lequel est le plus civilisé alors ? C’était à se le demandé sérieusement…
    Alors si le jeune Middle n’avait plus envie de voir personne, n’avait plus envie de parler à personne aujourd’hui, la présence de ce petit collibiri, la présence de cet être qui ne le jugera pas, qui n’essayera même pas de savoir pourquoi il était là, ni pourquoi il était tout seul, ne le dérangeait nullement bien au contraire, il se sentait tout d’un coup plus calme comme si la chaleur, la douceur et l’innocence du petit oiseaux venait de lui être communique en partie. Il eut alors la possibilité de se retourner et de parler…Il demanda alors à son professeur si cet animal innocent était à elle…


    SATYNE_ « Je ne peux pas vraiment dire qu'il m'appartient. Il a tout simplement décidé de rester avec moi depuis que nous nous sommes rencontrés. Une créature ne peut nous appartenir... Sinon ce serait briser ce qu'on aimait le plus en eux : leur beauté et leur liberté. »

    Un long discours pour rien aux yeux de Maximilien qui n’avait pas eut l’envie de l’entendre raconter toute sa vie, parce c’est un peu comme cela qu’il avait senti la longue phrase de son professeur. Pour un « pas vraiment » aurait suffit à résumé le tout et il aurait alors compris, il n’était pas stupide…Malheureusement pour lui d’ailleurs parce que si il avait été, il aurait pu ne jamais rien apprendre et peut être même devenu et en oublier le monde dans lequel il vivait : ce monde créé par les hommes pour les hommes, ce monde où c’était chacun pour soi, chacun son argent et chacun son bonheur tampis pour celui qui devrait en supporter les conséquence…Mais malgré son agacement, Maximilien n’en montra rien, il se renferma juste un peu plus parce que pour lui ce n’était pas parce qu’il avait posé une question que la conversation était lancée, bien au contraire…Cependant il ne put s’empécher d’être d’accord intérieurement avec la dernière phrase de Satyne : il n’y avait pas que le non savoir qui donnait à l’animal l’innocence qu’il avait la chance de possédé, il y avait aussi cette liberté qu’il possédait et on pouvait enfermer un animal dans une cage, dans un appartement, dans un boxe, le dresser, le monter, lui apprendre à faire des tours, l’obliger à se coucher sous un ordre, l’animal resterait libre à tout instant parce que jamais il ne comprendra l’ordre qui lui sera donné, il n’en comprendra même jamais le but et le semble fait qu’il obéisse démontre sa gentillesse, son envie de faire plaisir et on a beau dire que le susucre le motive, si il n’a pas envie de le faire…IL ne le fera pas…Ils sont libres et inconscient de l’être ce qui rend la beauté de leur innocence encore plus inaccessible à l’homme…
    Maximilien avait sa tête en feu, ses pensées se succédait, et il caressait du doigt le dos de l’animal qui rentrait légèrement sa tête sous le plaisir et la douceur de la caresse et malgré le bruit de pas qui se rapprochait de lui, le jeune serdaigle avait si peur d’effrayé l’animal et de la voir partir qu’il ne fit pas un pas en avant, ni un pas en arrière, il resta sans bouger là, attendant que l’être humain, qui se retrouvait être son professeur de botanique s’approche de lui, sûrement pour lui parler…Parce que si pour Maximilien une question n’engageait pas la conversation, cela ne semblait pas être le cas de Satyne qui devait avoir pris ça pour une invitation à discuter…


    SATYNE_ « Vous semblez contrarié, Maximilien »

    Contrarié ? Le mot n’était pas seulement faible, il était aussi erroné. Maximilien n’était pas contrarié, il était tout simplement en pleine période de doute, une période de doute qui ne le quittait plus depuis qu’il avait appris à marcher, à parler et appris à comprendre…Une période de doute qu’il avait appris à étouffer et à cacher mais qui remontait bien souvent soudainement à la surface sans qu’il ne puisse rien faire pour la dissimuler, pour l’oublier…Il se contentait alors bien souvent d’attendre et de réfléchir…IL repoussait durant ses moments toutes personnes humaines voulant s’approcher de lui, il les repoussait parfois délicatement mais bien souvent violemment comme si il ne se contrôlait pas lui-même et seul Léo avait le privilège de pouvoir rester à ses côtés durant ses moments là, seul Léo avait le privilège d’entendre sa voix et de l’entendre lui expliquer ce qui n’allait pas et seul Léo pouvait lui apporter des réponses à ses question…Avec d’autres personnes, Maximilien n’avait bien souvent qu’une envie, soit les frapper encore et encore pour que ses doutes à lui s’estompent soit s’enfuir en courrant, loin…Très loin à l’abris du monde et de ses absurdité…Et en ce moment c’était cette deuxième envie qui le tenait. Il prit cependant sur lui et répondit d’une voix douce contrôlée, qui contenait malgré tout, une sorte de froideur et de distance signe de souffrance…

    MAXIMILIEN_ « Contrarié n’est pas le mot…Je dirais que je suis légèrement perdu dans mes pensées… »

    Il avait non seulement fait l’effort de lui répondre mais il lui avait aussi révélé une partie de son état d’esprit, une infime partie certes…Mais une partie quand même…

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MessageSujet: Re: Une jeune femme sous son ombrelle Une jeune femme sous son ombrelle Icon_minitimeSam 20 Sep 2008 - 0:41

    La semaine d'Emma lui avait semblé être un immense tourbillon dans lequel elle aurait bien pu se noyer. Bien plus que le train-train et les études très prenantes (n'oublions pas que les BUSEs approchaient !), la jeune fille était préoccupée par quelques petits détails. Petits, c'était ce que sa jumelle essayait de lui faire avaler : "ce ne doit pas être si grave, ne te tracasse pas pour si peu, ce doit être qu'une question de stress ou de fatigue. Tu dors assez ?" était le genre de réponses auxquelles la jeune Serdaigle avait droit quand elle tentait de se confier auprès de son double parfait. Ses sautes d'humeur dues à la fatigue, peut-être, mais qu'en était-il des mystérieux trous qui ponctuaient ses journées ? En plus, vous devinez bien à quel point il n'était pas des plus simples d'expliquer certaines absences quand elle n'avait pas la moindre idée d'où elle était et ce qu'elle avait pu faire. Tout ça pour dire les pensées de la blondinette étaient on ne peut plus confuses ce qui expliquait en partie son caractère des plus lunatiques en ce moment !

    Emma accueillit donc le week-end avec une joie inespérée ! Espérant également en profiter pour résoudre l'énigme de ses pertes de mémoire, elle était bien décidée à toujours avoir de la compagnie, autrement dit des témoins potentiels qui pourraient l'éclairer sur ce sujet. Mais il est bien connu que rien ne se déroule jamais comme prévu. Ce serait bien trop simple !

    Expliquons-nous : le samedi matin s'était déroulé sans encombres. Petit déjeuner puis révisions à la bibliothèque entre Serdaigle (il n'y avait guère que des bleu et bronze pour hanter ce lieu un week-end !) et enfin sortie à Pré-Au-Lard avec ses amies. Enfin amies... En cas de déprime, Emma avait une légère propension à voir le côté noir en toute chose. Ainsi, elle soupçonnait Amy de chercher à la manipuler, Wendy de lui faire de l'ombre, ses amis de ne s'intéresser qu'à ses soeurs si fabuleuses. Une foule de pensées noires et pas très reluisantes. Elle en avait honte d'ailleurs et ceci ne faisait que renforcer sa mauvaise humeur. La jeune Serdaigle avait donc passé la journée murée dans le silence malgré les nombreuses tentatives de sa jumelle pour la faire sourire. Elle suivait donc le groupe de filles avec lequel elle s'était rendue à Pré-Au-Lard d'un air las et sans vraiment s'intéresser à ce qu'elles faisaient. Elle se sentit donc rassurée quand elle remarqua qu'elles entraient aux Trois Balais : enfin, elle pourrait s'asseoir ! En jeunes élèves modèles, aucun alcool n'atterrit à leur table (même si ceci aurait peut-être pu mettre du baume au coeur à Emma...). Mais vous savez certainement que les filles ont des sujets assez limités, surtout à 15 ans : les vêtements, les garçons, les études, les garçons, le Quidditch parfois et surtout les beaux joueurs stars, les garçons et les horribles professeurs méchants. Bien entendu, la discussion s'orienta au bout de quelques minutes vers... les fiers représentants du sexe masculins ! Pour Emma, c'était le summum ! Elle allait devoir supporter les histoires passionnantes (franchement, oui !) de petites amourettes mais surtout, Wendy deviendrait à un moment ou à l'autre le centre de la conversation : elle était sortie avec un garçon en dernière année ! La jolie blonde adorait sa jumelle mais aujourd'hui, elle n'était pas d'humeur à l'entendre se... vanter pendant de longues minutes avant qu'on lui donne une multitude de conseils pour se trouver elle aussi un petit ami. Conseils se résumant à ressembler le plus possible à sa soeur. C'est pour ça qu'elle trouva rapidement une excuse pour retourner à Poudlard, oubliant la promesse qu'elle s'était faite de ne pas rester seule :

    "Je... euh, désolée, il faut que j'y aille. J'ai oublié mon... entraînement de Quidditch !
    - Quoi ?! Tu t'en vas ? Mais je croyais que vous vous étiez entraîné hier ?!
    - Oui mais... on a un match bientôt, ne l'oubliez pas ! répondit Emma avec un sourire peu convaincant.
    - Emma, tu es sure que ça va ?" demanda Wendy, les sourcils froncés alors que sa jumelle s'était déjà levée.

    La Serdaigle se contenta de hocher légèrement la tête avant de partir rapidement. Une fois sortie du bar, elle regretta aussitôt de s'être enfuie ainsi. En fait, toutes les questions qui se bousculaient dans sa tête la rendaient complètement paranoïaque. Qu'est-ce qui causait ses absences ? Quelque chose ? Quelqu'un ? Et si elle devenait une étrange créature dans ces moments ? Qu'elle se montrait violente ? Comme il était délicat de retourner aux Trois Balais, elle décida qu'il valait mieux retourner au château et le plus vite possible ! Bien décidée à ne pas se laisser ralentir, elle marcha à vive allure, fixant ses pieds : ainsi, même si elle croisait des connaissances, elle n'aurait pas à leur parler. Elle sortit rapidement du village et se trouva seule sur le chemin qui menait à Poudlard. Du moins, c'est ce qu'elle pensait lorsqu'elle entendit quelqu'un qui la salua. Elle ne reconnut pas cette voix qui lui semblait pourtant familière et voulut lever la tête lorsqu'une sorte d'épais brouillard obscurcit ses pensées.


    La première chose que remarqua Emma furent des voix. Apparemment deux personnes discutaient à quelques mètres d'elle. Peut-être était-elle toujours sur le chemin ? Alors qu'elle revenait petit à petit à elle, la jeune fille prit conscience qu'elle se trouvait allongée quelque part. Son lit ? Il ne lui semblait pas, pas assez confortable. Il faisait froid aussi, elle ne devait pas être au château non plus. Et puis, il y avait cette horrible odeur, la même que celle qui régnait dans le grenier de la maison familiale, un mélange de poussière, d'humidité, la senteur des vieilles choses comme disait Wendy. Penser à cela justifiait le fait qu'elle repousse le moment d'ouvrir les yeux : bien que curieuse de savoir où elle se trouvait, Emma appréhendait de se retrouver dans un lieu étrange ou pire, inconnu. Finalement, l'estomac noué, elle se décida à en savoir plus : ses paupières se levèrent et laissèrent apparaître son regard azur. Le plafond qu'elle voyait ne lui disait rien du tout et elle se redressa, s'appuyant sur les coudes, afin d'en découvrir un peu plus. Elle se trouvait dans une petite maison qui, à en juger par la couche de poussière qui s'était déposée un peu partout, devait être inhabitée depuis des siècles ! De là où elle se trouvait, elle pouvait apercevoir une fenêtre et, malgré la saleté sur les vitres, elle devina qu'il faisait jour à l'extérieur. Plutôt abasourdie, elle se leva doucement. Sa curiosité habituelle ne la rongea pas : elle était plutôt effrayée par ce nouveau trou de mémoire aussi ne s'attarda-t-elle pas dans cet endroit. Elle tourna la tête à la recherche d'une sortie et tomba presque immédiatement sur une porte. En même temps la maison dans laquelle elle se trouvait n'était pas très grande... Emma se hâta donc d'en sortir et plissa légèrement les yeux en découvrant qu'il faisait grand soleil à l'extérieur. Ses yeux mirent quelques secondes à s'habituer à cette soudaine luminosité mais quand ce fut le cas, elle reconnut aussitôt le parc de l'école de sorcellerie. Plutôt soulagée, elle s'éloigna de la porte et se tourna afin de découvrir d'où exactement elle sortait. La Serdaigle avait déjà son idée sur le sujet et cette hypothèse fut confirmée rapidement : c'est dans la cabane d'Hagrid qu'elle s'était réveillée. A présent, Emma n'espérait qu'une chose : retourner au château le plus discrètement possible et découvrir combien de temps s'était écoulé depuis qu'elle avait quitté précipitamment Wendy et ses amies. Mais, une fois de plus ses plans furent contrariés : lorsqu'elle se retourna elle découvrit qu'à quelques mètres d'elle se tenait deux personnes dont un professeur. Elle ne savait pas vraiment comment réagir à cela et se contenta de sourire d'un air gêné au jeune homme qui la regardait. En même temps, son entrée n'avait pas été des plus discrètes : sortir d'un lieu supposé hanté, il y a mieux quand on veut passer inaperçu, pas vrai ?



[Excuse-moi, c'est très moyen mais j'ai du mal à fluidifier mon style on va dire...]


EDIT DE MAX: Pense à lister ton texte avec l'outil [*list][*justify]...[/list][/justify] Sans les "*", c'est beaucoup plus joli et ça donne de la facilité pour lire ton texte!
ET j'ai remarqué un autre problème! Tu joue Emma comme si elle était possédée, ce qu'elle n'est pas. C'est sa soeur Amy, la possédé! Fais attention à ne pas confondre, s'il te plait!

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Dernière édition par Emma J. Hannigan le Mer 24 Sep 2008 - 1:45, édité 1 fois
Maximilien E. Middle
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MessageSujet: Re: Une jeune femme sous son ombrelle Une jeune femme sous son ombrelle Icon_minitimeSam 20 Sep 2008 - 14:22

    MAXIMILIEN_ « Contrarié n’est pas le mot…Je dirais que je suis légèrement perdu dans mes pensées… »

    Il n’avait pas voulu parler, il n’avait pas voulu raconter à son professeur ce qui se passait dans sa tête mais la politesse se profondément encrée dans ses veines par son éducation l’avait forcé à au moins répondre et le désir aveugle de croire que l’homme n’était pas méchant, le poussait à trop faire confiance aux adultes y comprit au professeur devant lui et donc à lui révéler une partie de son état mais une infime petite partie, riquiqui mais c’était une partie quand même, n’est ce pas ? ET cela lui avait du faire appel à un effort exceptionnel en lui, le jeune homme voulait vraiment du silence et de la solitude pas seulement parce qu’il allait pas très bien mais parce qu’il ne s’autorisait pas à aller pas bien. Il avait besoin d’un moment de tranquillité pour se ressaisir et affiché sur son visage ce sourire étincelant qui le caractérisait tant, pour affiché cet air intelligent, rassuré et rassurant qui faisait de lui un si bon ami, affiché cette joie constante qui faisait qu’il rendait heureux et faisait rire avec son humour tout ceux autours de lui. IL avait juste besoin de calme pour réussir à enfuir au plus profond de lui tous les doutes qui l’abritait en cet instant même mais il ne pouvait pas tourner le dos à son professeur, son éducation l’en empêchait, ses convenance et le respect grandiose qu’il avait pour les adultes l’obligeaient à se tenir droit comme un piquet devant cette femme alors qu’il n’avait qu’une seule et unique envie : fuir mais il ne s’appelait pas Middle pour rien, il allait trouver un moyen. Il fit marché son cerveau à plein régime parce qu’il ne voulait pas laisser le temps à l’adulte de répondre sinon la discussion promettait d’être longue, bien longue et il n’avait pas du tout envie de polymiquer sur son état d’esprit, il en était seul maître et personne à part lui-même et Léo aussi bien sûr n’y avait accès…Alors sil devait trouver une excuse pour partir mais quoi ? Il ne trouvait rien…Mais Heureusement le sort allait jouer en sa faveur non seulement pour s’éclipser mais aussi pour reprendre le contrôle de lui-même…

    La porte de la cabane s’ouvrit violement manquant de renverser la professeur Lilley au passage. Elle semblait bouleverser et assez inquiète et mal à l’aise. Les deux premiers traits de comportement, Maximilien ne les comprenait pas mais le dernier…Ce n’était pas tous les jours que l’on sortait de la cabane d’Hagrid, que les élèves disaient hanté, en manquant de renversé une forme d’autorité alors bon, c’était une sortie on ne peu plus fracassante mais max se demandait depuis combien de temps, elle était là ! Voilà plus de quinze minutes qu’il était dehors et il ne l’avait pas vu rentré donc au moins plus du vingt minutes ! Mais pourquoi était elle allée dedans, qu’y avait elle fait et surtout pourquoi avait elle l’air si mal. Tant de questions qui se bousculaient dans la tête de Maximilien et qui remplaçaient les doutes dont il était pris il n’y a même pas trente secondes…Maximilien était de ceux, je l’ai dis, à faire passer tout le monde avant lui-même, il se considérait comme peu important et le bonheur des autres comptait d’avantage pour lui et c’était sans qui le rendait heureux, le faisait tenir debout : savoir que les autres allaient bien !


    MAXIMILIEN_ « Je vais y aller Professeur…Je crois qu’Emma a besoin de moi ! »

    Il ne laissa pas le temps à son professeur de répondre parce qu’il couru rattraper son amie. Il y avait bien longtemps qu’il ne l’avait pas vu et puis franchement, elle n’avait pas l’air bien et Maximilien voulait l’aider autant qu’elle venait de l’aider parce qu’il avait réussir à s’éloigner de l’adulte et aussi à lui faire reprendre le contrôle de lui-même en le faisant oublier ce qui n’allait pas pour lui pour se concentrer sur les problème des autres, de son amie en l’occurrence. Il la rattrapa enfin et lui posa délicatement la main sur l’épaule afin de la faire ralentir. Il se mit donc à marcher à côté d’elle, les mains dans les poches, un sourire rassurant affiché sur ses lèvres : le Maximilien que tout le monde connaissait en gros était de retour. Il tourna alors la tête vers la jeune serdaigle et lui dit d’une voix douce et calme :

    MAXIMILIEN_ « Emma, choupinette, tu n’as pas l’air bien ! Qu’est ce qui se passe ? »

    C’était une rentrée brutale, en matière, c’était un fait ! Mais Emma connaissait très bien Maximilien. C’était quelqu’un de doux, de confiance, tout ce qu’on lui disait restait entre lui et la personne qui se confiait mais en plus de cela, Maximilien ne jugeait jamais, on pouvait tout lui dire : il allait toujours essayer de comprendre, d’analyser et comme il avait une grande connaissance de l’être humain, il était toujours de bons conseil, prêt à passer des nuits blanches pour trouver une solution pour une amie et cela tout le monde le savait bien, Emma aussi !

    MAXIMILIEN_ « Allez ma belle, dis moi tout ! Tu n’as vraiment pas l’air bien et tu sais bien que j’adore te voir sourire ! »

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MessageSujet: Re: Une jeune femme sous son ombrelle Une jeune femme sous son ombrelle Icon_minitimeMer 24 Sep 2008 - 1:43

    Le professeur qui se trouvait devant la porte ? Emma ne l'avait même pas remarqué. Si peut-être avait-elle senti une légère résistance lorsqu'elle avait ouvert la porte, mais elle n'avait pas eu le temps d'y penser. En fait, elle était tellement sous le choc d'une de ces nouvelles pertes de mémoire, que son esprit ne semblait plus fonctionner comme il fallait. D'ailleurs, c'est à peine si elle avait remarqué Maximilien quand bien même il se tenait à quelques mètres de lui. Ses pieds marchaient seuls sans qu'elle se soucie de les diriger, plus spectatrice qu'actrice, la jeune fille était comme dans un rêve. Et comme dans tout rêve, il y a un but sous-jacent mais très précis. En l'occurrence, retourner dans le dortoir, être seule puis trouver Wendy. Sa jumelle, son double. La seule à qui elle pouvait parler sans crainte. Oui, trouver Wendy était la meilleure chose à faire en réalité.

    Animée par ce seul but, aveuglée par cette seule pensée, Emma partit en direction du château, sans adresser un mot d'excuse à la femme qu'elle avait manqué de renverser, ni plus qu'un sourire en demi-teinte à Max. La petite blonde n'était pas du genre à se presser inutilement et suivait plus qu'elle ne prenait des initiatives. Pourtant, aujourd'hui, sa démarche était assurée et sure, presque hâtive. Elle se dépêchait comme si, en attendant trop, le peu de souvenirs qu'il lui restaient risquaient de s'envoler, de s'effacer à tout instant. Ou peut-être souhaitait-elle cacher son secret qui la terrifiait autant qu'il l'intriguait ? Enfin, ce n'était pas non plus inscrit sur son front, soyons réaliste. Mais son chemin fut interrompu : une main se posa sur son épaule. Elle sursauta sous l'effet de la surprise et tourna la tête pour regarder d'un air éberlué le propriétaire de la dite main. Maximilien. Comme un éclair de lucidité soudaine, elle se souvint alors qu'elle venait de lui passer devant, à l'instant. Alors, pour faire bonne figure, Emma sourit timidement avant de lancer :

    "Max ! Tu m'as fait peur..."

    Ce qui était vrai. N'a-t-on pas idée d'arriver par derrière sans un bruit et poser sa main sur l'épaule d'une jeune fille seule ? On en stupefixiait pour moins que ça ! Enfin, ça, elle le garda pour elle et se contenta de sourire un peu plus, bien que ce sourire ait l'air quelque peu figé. Néanmoins, il s'effaça rapidement du visage paisible de la Serdaigle étant donné la question que lui posa Maximilien. Qu'est-ce qu'il se passait ? Elle avait l'impression de perdre la tête, voilà tout ! Quand elle n'oubliait pas des fractions de sa journée, elle avait l'impression qu'une voix lui soufflait la manière d'agir, la rendant méfiante, agressive et froide. Tout le contraire d'elle, en somme. Mais qui la croirait ? Déjà Wendy avait eu du mal quand elle lui avait fait part de ses pensées. Alors, sans savoir pourquoi, son premier réflexe fut de mentir parce que quelque chose en elle lui disait "Personne ne doit savoir" :

    "Je... Non ça va ! Tout va bien, je suis juste... fatiguée ! Les cours, sûrement. Et Wendy qui me harcèle pour que je révise déjà mes BUSE, tu te rends compte ?"

    Emma n'avait jamais su mentir. Tout le monde le savait pourtant, quand on parlait de son comportement étrange, si on lui demandait où elle était ou ce qu'elle avait fait et qu'elle ne s'en souvenait plus, les mots coulaient tous seuls. Le plus naturellement du monde. Comme si elle avait fait ça toute sa vie. Comme si, quand cette voix lui ordonnait de mentir, tout cela venait plus facilement. Pour paraître plus crédible, la jeune fille parvint même à esquisser un sourire timide en réponse aux paroles du Serdaigle. Elle se faisait presque peur et dû réfréner un frisson de dégoût : on aurait dit que son corps agissait librement de son esprit. Et d'ailleurs, ses grands yeux bleus montraient clairement que non, ça n'allait pas si bien que ça et que les BUSEs ou Wendy n'avait rien à voir là-dedans. "Détourne le regard, détourne l'attention. Il faut que personne ne le sache". Emma tourna à nouveau la tête et demanda comme si de rien était :

    "Qu'est-ce que tu faisais là, tout seul ? Tu comptais aller quelque part ?"

    Elle aurait bien aimé que la réponse de Max lui donne certains renseignements comme : quelle heure était-il ? Tout bête mais la jeune fille aurait bien aimé le savoir quand même ! Puis, ses mots dépassant même sa pensée, la petite blonde murmura d'un air préoccupé :

    "Tu aurais vu Wendy ?"

    Oui, en cet instant précis, plus que toute autre chose, Emma voulait voir sa jumelle. Mais son ton totalement différent n'allait certainement pas échapper à Maximilien, elle le savait et étrangement, elle espérait qu'il le remarque autant qu'elle le craignait.

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Maximilien E. Middle
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MessageSujet: Re: Une jeune femme sous son ombrelle Une jeune femme sous son ombrelle Icon_minitimeDim 28 Sep 2008 - 20:18

    Il y avait des moments où l’on se sentait dans un état second, où l’on était complètement dans un état second. Il avait l’impression de rien contrôler, que notre corps agissait à notre place et qu’il était impossible de remettre la main dessus. Il y avait des moments où le cerveau semblait s’être totalement déconnecté et qu’il était impossible à remettre en fonction, comme si les branchements avaient bugé, un court-circuit quelque part. On ressemblait alors à un mort vivant, on avait l’impression d’être une larve, le vide et l’ennuie prenaient alors place à l’intérieur de nous même et s’y installait même et ils semblaient impossibles à délogés et rien n’y faisait. On était là et on restait là sans bouger, sans savoir quoi dire et quoi faire, à attendre bêtement que le temps passe où simplement que quelque chose arrive parce que dans ces horribles moments de coquilles vides ce dont nous avons le plus besoin c’est d’une bonne décharge, quelque chose d’inhabituelle, quelque chose à faire où quelqu’un à voir, juste quelque chose pour nous faire bouger et qui d’un coup, d’une décharge rebranche ce vieux cerveau endormis et complètement mort, une bonne drink qui permettait alors dans un sursaut de sortir du cercueil et de revivre enfin normalement, de contrôler ses gestes et de se rendre compte de ce qu’on faisait… C’était des moments absolument horribles et qui malheureusement arrivaient bien souvent ces temps-ci à notre jeune serdaigle nationale et c’était le cas en ce moment, il avait bien besoin d’un bon coup de baguette dans le derrière parce que franchement, il avait l’impression d’être un véritables légume !

    Emma Hannigan fut ce coup de sonnette pour Maximilien parce que lorsqu’il la vit sortir de cette cabane, aussi zombi que lui l’était en ce moment là, il eut comme un bon coup de poing dans le fond de son crâne, il secoua sa tête et en un clin d’œil se retrouva bien debout, conscient de chacun de ses actes avec la hâte d’aller aider son amie qui apparemment n’allait pas bien et semblait dans un état bien pire que celui dans lequel il était lui-même plongé il y’a encore trente petites secondes. Il se mit alors à réagir comme le Middle qu’il était, au quart de tour, ses neurones re fonctionnaient à la perfection. Il se sentait bien libre, l’air circulait à nouveau en lui, à l’intérieur de sa tête et de ses vaisseaux sanguins. Il dit alors au revoir à son professeur, d’une manière polie et joyeuse et courut rejoindre son amie…Il semblait heureux de la voir et en même temps bien triste de voir qu’elle semblait malheureuse et surtout qu’elle n’avait pas les yeux en face des trous. Il posa la main sur l’épaule de la jeune fille qu’il sentit alors sursauter sous sa main :


    EMMA_ « Max ! Tu m'as fait peur... »
    MAXIMILIEN_ « Excuses moi ma belle, ce n’était pas mon intention ! »

    Il n’y avait pas meilleur ange gardien que Maximilien Middle, il était toujours là pour ses amis, n’importe lesquels : filles ou garçons, proche ou pas proches, serpentard ou gryffondor, poufsouffle ou serdaigle. Il était là à n’importe quelle moment de la journée, nuits comprises…C’était ça qui faisait de lui un ami tellement parfait, tellement fidel. Il savait être là, juste là. Sa présence, elle-même était rassurante. Il écoutait, conseillait et ne jugeait pas. Il analysait et ce qui en ressortait était bien souvent juste. Il sourit alors à la jeune fille à côté de lui en signe d’excuse car franchement, il n’avait pas voulu l’effrayer, il voulait simplement lui parler, l’entendre lui dire ce qui n’allait pas. Il la questionna alors avec une voix douce, passant son bras autours des épaules de la serdaigle afin de lui montrer qu’il était là et qu’il comptait bien faire en sorte qu’elle aille mieux…Parce qu’il tenait fort à elle, il la questionna donc encore et finalement la jeune fille lui répondit d’une voix calme et peu convaincante :

    EMMA_ « Je... Non ça va ! Tout va bien, je suis juste... fatiguée ! Les cours, sûrement. Et Wendy qui me harcèle pour que je révise déjà mes BUSE, tu te rends compte ? »
    MAXIMILIEN_ « Oui, Wendy aime les choses prévues, on le sait tous les deux mais ma belle, tu es sûre qu’il n’y que la fatigue, tu as l’air toute perdue ! »

    Il était du genre insistant le jeune bleu et argent non ? Il n’était surtout pas dupe. Il savait très bien quand on lui mentait, quand on contournait ses questions où qu’on cherchait une réponse qui ne faisait pas trop tâche. Il ferait un bon legimense si il se décidait à étudier cette matière mais là n’était pas l’important. Il jeta à Emma un coup d’œil en coin qui disait clairement qu’il avait deviné qu’elle lui avait pas tout dis mais ce regard disait aussi qu’elle n’était pas obliger de parler, qu’il était simplement là en tant qu’ami pour l’aider et la rassurer mais qu’elle n’était pas forcé de tout lui raconter bien que c’était ce qu’il préférait parce qu’il ne supportait vraiment pas la voir comme ça aussi mal, il aimait la voir sourire mais il voyait qu’elle essayait d’éviter le sujet…

    EMMA_ « Qu'est-ce que tu faisais là, tout seul ? Tu comptais aller quelque part ? »
    MAXIMILIEN_ « Non…Juste envie de prendre un peu l’air…Marre d’être enfermé dans la bibliothèque… »

    Il avait beau aimé qu’on lui dise la vérité, lui-même était un menteur assez doué. Oh pas par choix mais parce que juste il ne l’avait pas eut ce choix. Petit, il était forcé de dire à ses parents qu’il était heureux, qu’il aimait ces réceptions et qu’il comprenait parfaitement qu’il travaillait tard, et ensuite, mentir sur le fait qu’il allait bien ou pas bien était devenu une habitude…Il était incapable de dire sauf à Léo et Travis qu’il avait un problème tout simplement parce qu’il se considérait comme passant au second plan : ses amis d’abord alors il n’allait pas raconter à Emma ses doutes, il savait les dissimuler et la jeune fille, comme tout le monde, allait y voir que de feu…

    EMMA_ « Tu aurais vu Wendy ? »
    MAXIMILIEN_ « La dernière fois que je l’ai vu ce matin, elle m’a dit qu’elle allait faire du shopping cet après-midi. Elle doit être à Pré au lard, tu veux que je t’accompagne pour la chercher ? »

    Oui, Maximilien avait noté le ton inquiet de la jeune femme lorsqu’elle avait parlé de sa jumelle et il se doutait qu’Emma avait besoin de Wendy en ce moment même. Il allait donc l’aider à la retrouver !

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