I. Vous

PRÉNOM : Célyne
ÂGE : 17 ans
ANCIENNETÉ DANS LE RP : 4/5 ans
COMMENT AVEZ VOUS DECOUVERT LE FORUM ? Je suis là depuis le tout début début, c'est Laura cher ami^^
[size=10]QUE PENSEZ VOUS DU FORUM ?NUL...Il a free il a tout compris Je remercie chaque jour Maxime et Diane de nous avoir permis de rentrer dan sleur univers alors à votre avis

II. Formalités

AVATAR : Siri Tollerod
CODE :
PROFIL : Ok

||Loukas||JE sais pourquoi papa m’a acheté ce vélo! Il essaye de me supprimer!
||Jacob||C’est effectivement plus simple que de t’envoyer en colo et de déménager pendant ton absence…
||Loukas||Bien sur, imagine 5 minutes qu’il n’arrive pas à vendre la maison!




25 Décembre. Voilà la première chose à laquelle pensa Loukas lorsqu’elle se leva. L’heure des cadeaux, elle oublia totalement les soucis qu’avait eut son père la veille au soir. Elle oublia totalement que sa mère lui avait dit de fermer la porte à double tour derrière elle. Oui. Loukas, à 17 ans, attendait impatiemment de pouvoir tester ses cadeau,x et surtout de revoir Jacob son frère. Il viendrait aujourd’hui, il l’avait promis. Elle descendit en courant les escaliers de leur villa, et s’arrêta devant le bureau de sa mère. Elle toqua deux fois avant d’ouvrir violement la porte.
Eléanorya Astaraël était immobile, derrière son petit bureau. Elle avait la main posé sur un paquet doré, il était ouvert sur le côté, et elle semblait s’être arrêté soudainement, comme interrompu dans son geste, principalement par l’arrivée intempestives de sa fille. Pourtant Loukas le savait que Eléanorya n’aimait pas qu’on rentre dans son bureau. Même Nollik leur père avait ordre de ne pas s’approcher de trop près du bureau, en effet, leur mère écrivain ne supportait pas qu’on lise ses manuscrits tant qu’ils n’étaient pas finis. Et malheureusement pour elle, la famille Astaraël, au mépris des règles de politesse d base, se faisait un plaisir de lire tout bout de papier qui leur tombait sous la main. Les enfants compris.

|||Loukas|| Excuse moi Maman, c’est le cadeau pour Jacob, tu sais qu’il vient aujourd’hui..

Elle s’arrêta, le regard de sa mère était bizarrement froid. La cheminée, allumé grâce à la magie chauffait la pièce comme si elles s’étaient trouvées en enfer, pourtant Loukas eut la désagréable impression que l‘air s’était irrémédiablement refroidi. Qu’il était devenu oppressant. Loukas fit un pas vers le bureau, en chêne massif, que Nollik avait sculpté avec sa baguette. Un ange passa dans l’air sans se pressait. Et Loukas comprit que l’hippogriffe était parti sans sa charrette. Sa mère était trop froide, immobile, et, quand Loukas fit un geste vers elle, elle ne suivit pas son bras. Se contentant de regarder fixement la porte en frêne.
Sa mère était aussi immobile qu’une statue. Elle était morte. C’était une femme ordinaire, mais cette mort la rendait extraordinaire. Rien ne s’échappait de ses lèvres lorsqu’elle passa sa mai devant il en était de même pour ses narines. Sa poitrine, serré dans un bustier noir et argent ne se soulevait dans un lent rythme cardiaque qui avait souvent bercé Loukas lorsqu’elle était petite. Ses yeux, souvent rieur étaient vides. Plus de souvenirs. Quelqu’un avait soudainement éteint la lumière. Tout ce qui avait fait de sa mère une femme, n’était plus.
Loukas se permit d’enlever le cadeau des mains de sa mère, doucement. Elle se rendit compte que sa main était encore tiède…La mort était donc récente. En y repensant, Loukas ne s’était même pas demandé de quoi elle était morte. Aussitôt elle se dit que c’était la faute de son père. Ce dernier devait beaucoup d’argent, il avait une dépendance au jeux. Et ne parvenait plus à rembourser, et tout ça envers des sorciers. Pourtant Loukas ne releva même pas une trace de violence. Peut être une crise cardiaque? Non, sa mère ‘avait jamais eut de problème de cœur, et puis, elle avait vu assez de films pour savoir qu’on souffrait horriblement lorsqu’on mourrait d’une crise cardiaque. Sa mère, elle semblait paisible, comme si elle dormait. Loukas était perplexe et ne savait pas vraiment à quoi penser. Cependant alors qu’elle regardait sa mère, songeant soudainement à hurler, une goutte de sang perla de son oeil, coula doucement le long de sa joue comme une larme et alla s’écraser sur le bureau, et plus précisément les notes de sa mère.
Elle se pencha doucement sur le visage de sa mère, et plus précisément sur ses yeux, se demandant légitimement comment du sang pouvait couler de son oeil. C’est là qu’elle aperçut un trou dans son œil, par lequel perla une autre goutte de sang. Le sorcier qui avait fait ça, s'était donné beaucoup de mal pour se faire passer pour un moldu.
Elle avala sa salive. Se rendant compte que les menaces de jeux de son père était désormais là, elle venait de passer une frontière. C’était fini des cadeaux de Noël, et des verre de lait, elle était rentrée dans un monde ou le cadavre de sa mère était calmement assis à son bureau.
Elle transpirait, mais ce n’était pas dut à la cheminée. Tétanisée, comme collée au sol. Un autre ‘pat’ lui rappela l’existence des gouttelettes de sang, combien de temps faudrait-il à sa mère pour se vider entièrement de son sang? Elle qui avait toujours rêver d’une mort digne d’un roman, elle était servi .Loukas eut alors un electro choc violent. Sa mère était encore chaude. Elle venait tout juste de se faire tuer. On l’avait tué. Et ce quelqu’un lui avait percé un minuscule trou dans l’œil. Loukas avait passé quelques minutes devant la porte, et personne n’était sorti, o entré Ce qui voulait dire que, quand Loukas était rentré, le tueur n’était pas encore sorti, donc, lorsqu’elle était rentré, le tueur était encore là.

Et qu’il y était toujours….

Loukas sentit son cœur s’arrêter brutalement. Son regard balaya la pièce, qu’elle connaissait comme sa poche. Elle le posa sur la bibliothèque, ou se trouvait un passage pour monter à la chambre des enfants. La première porte sur laquelle donnait ce passage était celle d’Anders son grand frère, présent depuis la veille. Elle entendit un bruit à l’étage, comme une personne qui tombe lourdement sur le sol. Elle se rendit compte qu’elle devait sortir, dans le cas contraire elle était la prochaine victime. Elle sortit en courant de la pièce, encore dans sa nuisette de nuit…Mais elle s’arrêta brutalement, attrapant les clefs de la voiture de son père, elle hésita un moment à aller voir son frère. Mais elle se ressaisit vite, vu la dextérité avec laquelle le tueur avait tué sa mère, son frère n’avait put en avoir réchapper.
Elle se jeta dehors, le temps qu’elle avait pris pour réfléchir avait permis à l’homme, a non tiens ils étaient deux de descendre les escaliers. Aussi stupéfait les uns que les autres, il se passa quelques secondes avant que l‘un d‘entre eux ne fasse un mouvement quelconque, et la personne qui réagit en premier fut Loukas….Elle se jeta dans la voiture et partit. Les deux tueurs se jetèrent sur leur voiture.

Loukas rentra un rapport et mis pied au plancher, bien décidée à prendre de la vitesse. L’aiguille du compte-tour s’envola vers la butée et la Bamford&Martin accéléra dans une plainte rugissante. Dans la foulée, Loukas passa les 2 vitesses suivantes, ignorant délibérément les plaintes désespéré de la voiture de son père, petit bijou de dollars. Elle doubla deux voiture qui lui semblèrent rouler au ralenti avant de se rabattre sur la foule de gauche, ou elle éclaboussa bien malgré elle une file de gens qui attendait le bus. C’est sous els hués et les klaxons des personnes qui l’entourait qu’elle poursuivit comme elle le put son chemin, les lèvres pincées.
La bruine lui cinglait le visage, elle devait combattre avec la voiture pour maintenir son allure, sa conduite ressemblant pour le coup à une lutte en l‘homme et la machine, , mais, elle ne relâcha pas pour autant la pression sur la pédale. S’essuyant le visage pour la énième fois, elle constata que les buildings avaient fait place aux prairies. Dans la compagne, elle ne pouvait compter sur l’éclairage urbain, elle devait se contenter de ce que voulait bien faire apparaître ses phares. Il faisait nuit noire, els nuages l’aidant pas la clarté de la lune à passer au travers, et surtout à éclairer la route.
Des sentiments aussi violents que contradictoire se mêlaient dans l’esprit de Loukas, partage entre panique, appréhension et excitation. Elle n‘avait jamais conduit aussi vite, elle sentait la mécanique tremblait sous elle. La moindre imperfection de la route se répercutait dans le volant. Elle avait toujours aimé conduire, mais pour le coup, elle aurait préféré se trouvait bien tranquillement dans son lit. Elle avait le visage gelé, au point d’en avoir mal au dent, incapable de garder la bouche fermée à cause du vent, pourquoi donc son père avait-il jugé intéressant d‘acheter une décapotable et non pas un bon vieux 4x4 sécurisant?. Elle luttait pour garder le contrôle de la voiture, qui semblait voler au dessus du goudron, la route se transformant en un tapis de course .Elle accéléra encore, mais ses mains s’engourdissaient sur le volant rendu glissant par la pluie.
Elle ignorait si elle pouvait semer la Daimler. Certes celle-ci était plus lourde que B&M, mais plus puissante et le conducteur plus expérimenté. De plus, ils se contentaient de suivre les ses feux arrières, alors que Loukas ouvrait la route, sans repères. Et ça, pour sûr qu’elle n’était pas habitué, surtout dans la campagne, elle détestait rouler en campagne, préférant de loin les course sur circuit, sport qu’elle aimait réellement faire.
Elle était sur le point de se retourner pour ou été ses poursuivants quand elle entendit un grand bruit accompagné d’un choc violent. Ils lui étaient rentrés dedans. Elle fit une embardée et évita de justesse une voiture en sens inverse, dangereuse masse d’acier lové au cœur d’un écrin de gouttelettes Elle se débattit avec le volant pour reprendre le contrôle de la voiture et accéléra de nouveaux. Le roadster reprit sa cavalcade. A première vue, elle n’avait pas subis de gros dommages, mais si ils remettaient ça, elle n’aurait peut être pas autant de chance.
Ils étaient dans les Fenlands, les plaines marécageuses du Norfolk, plat comme la main et déserte. Nulle cachette. Totalement à découvert. Dans le cas, ou elle parvenait à arrêter la voiture, elle n’aurait nulle par ou se cacher. Le vent, sans obstacles balayait la lande. Loukas ne savait pas combien de temps elle pourrait tenir. Elle pilotait à l’instinct, sa raison ayant depuis longtemps capitulé. Ses yeux la piquaient horriblement. Elle se pencha sur le côté et tenta d’attraper ses lunettes, elle essaya ensuite de les mettre en vain. Tant pis elle supporterait bien l’eau non?
Une fois encore, la Daimler la harponna. Sa tête bascula douloureusement en arrière, lui arrachant un cri de souffrances, elle passa sa main dessus, zigzagant alors dangereusement sur la route, elle reprit donc le plus vite possible le volant entre ses deux mains crispé par la terreur et la colère.. Si cette course folle se poursuivait, il ne faisait guère doute qu’ils allaient finir par sortir de la route, ou faire un tonneau. Cependant il était très clair dans l’esprit de Loukas, qu’ils allaient subir des dommages collatéraux. Elle était une Astaraël, elle ne se laisserait pas faire, elle ne s’était jamais laissé faire. Elle avait un honneur à tenir.
Dans le village suivant, elle aborda un embranchement et bifurqua brutalement vers la droite, quittant la route de Londres. Après quoi, elle s’engagea dans une furieuse succession d’embardée en épingle à cheveux dans l’espoir de lâcher la Daimler, qui lui collait toujours au train. Elle alla jusqu’à passer à travers une haie et traverser un jardin( une chance que tout le monde dorme à cette heure ci), renversant par la même occasion une piscine qui se déversa avec une gentillesse gracieuse dans sa voiture, pour rattraper un chemin de l’autre côté. Mais, ils la suivaient toujours comme aimanté au pare choc arrière de la B&M. Pire! Par deux fois, la Daimler se porta à sa hauteur et essaya de la pousser hors de la route. C’est seulement en donnant de grand coups de volants que Loukas parvint à rester sur le goudron.
C’est dans un petit bourg, au nom qu’elle ne capta pas que ça chance tourna enfin.
La route était bloquée par un camion en panne.
Le gros poids lourd n’avait laissé qu’un étroit passage sur le côté, juste assez pour la petite voiture de Loukas. Aucune chance pour la Daimler, trop grosse.
Ralentissant à peine, Loukas fonça dans l’ouverture. Il y eut un grincement à fendre l’âme, des gerbes d’étincelles crépitèrent dans les airs, et elle émergea enfin de l’autre côté, comme un bouchon de champagne sautant d’un goulot. Elle était passé, malgré sa voiture abîme Elle jeta un coup d’œil derrière elle, plus de Daimler.
Elle poussa un cri vengeur et leva le pied de l’accélérateur. La voiture ralenti pour la première fois depuis ½ heures, et sembla pousser des soupirs d’aise ou de remerciement envers sa conductrice, à voir.
Elle avait réussi.
De justesse.
Elle était exténuée. Trempée jusqu’au os et transi de froid. Elle conduisait dans une sorte de brouillard, ne savant pas très bien quoi faire, ou quelle direction prendre. Déjà choquée par le fait d’avoir découvert sa mère morte sur le canapé familial dans leur villa de Ipswich, cette longue poursuite en voiture avait fini de l’éreinter. Elle se battait pour garder les yeux ouvert. Quand elle repensa à ce qu’elle venait de faire, elle ne savait pas si il fallait en rire ou en pleurer. Elle avait frôlée la mort, que ce soit dans cette voiture ou tout au long de cette soirée. Soudain, son sang se glaça. Elle aurait reconnu ces phares entre mille. Leur lumière était gravées dans sa mémoire. C’était la Daimler. Là, arrêtée au milieu de la route, ils avaient trouvé le moyen de contourner l’obstacle par une route plus directe…D’où l’intérêt d’avoir une carte.
Loukas eut le sentiment qu’elle allait fondre en larme. Après tout ce qu’elle avait traversé, c’était affreux de lui imposer ça.
Et puis tant pis, qu’ils aillent au diable ces affreux. Elle n’avait pas dit son dernier mot.

Elle mit le pied au plancher et fonça sur eux.
Elle ne pensait plus à rien, fixant seulement les grosses optiques rondes qui grossissaient à vue d’œil. Si nécessaire elle passerait entre les deux. Elle arracherait tout sur son passage et poursuivrait sa route.
Elle eut un éclat de rire dément. Finalement c’était arrivé. Elle avait perdu la tête. En espérant qu’en face il s’en aperçoivent assez tôt.
La distance la séparant de la Daimler était d’approximativement 10 mètres. Elle distinguait clairement les reflets sur son capots et le visages pétrifiés des deux hommes.

||Loukas|| Allez, vous dégagez le passage pu vous préférez mourir….

Au dernier moment, l’homme opta pour la première solution. Dans un affreux craquement, il enclencha une vitesse et relâcha subitement l’embrayage en donnant un coup de volant. La voiture eut un soubresaut et alla se ficher dans le fossé. Des éclairs dans les yeux, Loukas poursuivit sa course, hurlant de joie. Mais aussitôt passé, elle écarquilla les yeux, horrifiée. Jusqu’ici, la Daimler lui avait cachée la route. Ce qu’elle découvrit la glaça d’effroi. La Daimler, s’était garée au sommet d’un dos d’âne derrière lequel se trouvait une cuvette remplie d’une grosse mare d’eau à moitié gelée. La B&M décolla, propulsée par sa vitesse, lorsque Loukas atteignit le sommet du dos d’âne, et heurta ensuite l’eau dans une immense gerbe d’eau. Ses roues perdirent le contact avec la route, et dans un premier temps elle glissa à la surface de l’eau. Loukas, fut ensuite projetée en avant et sa tête heurta violement le volant. Emportée par sa vitesse la voiture poursuivit sa route. Elle ricocha sur une énorme pierre et alla s’écraser sur un autre.
Toujours accrochée à son volant, Loukas tait secouée comme une poupée de chiffon. Finalement l’avant défoncé de la voiture bascula et, lentement, se précipita dans l’eau. Loukas eut vaguement conscience de s’échapper de la voiture, ne sachant plus très bien ou était le haut et le bas. Elle le comprit bien vite à ses dépend lorsqu’elle se ficha avec un bruit mouillé dans la berge boueuse de la rivière.
Elle était sonnée, incapable de respirer, et , durant une fraction de secondes, un voile noir passa devant ses yeux. Le fracas de sa voiture s’écrasant sur un rocher à moins de 5 mètres d’elle la ramena à la réalité.
A demi consciente, elle rampa comme elle le put et hissa sur la berge, ses pieds s’enfonçant dans la vase. La voiture avait creusé un profond sillon avant de s’arrêter dans la terre meuble les 4 roues en l’air. Embrouillée et confuse, Loukas avança en titubant vers l’épave, avec, quelque part l’idée saugrenue de la remettre d’aplomb et de repartir. Elle n’avait pas fait trois pas qu’elle fut projetée en arrière par l’explosion du réservoir d’essence.
Elle avait d’ores et déjà perdu connaissance quand elle s’abîma dans els eaux glaciales de la rivière. Elle se sentait calme et paisible. Elle se demanda si c’était ça mourir Et puis l’engourdissement atteignit son cerveau, qu’elle sentit s’éteindre, tranches par tranche…pour faire silence.

Haan Laura, j'adore ce nouveau personnage et même si on préfère éviter de créer des surveillant de départ afin de réserver ces postes à des élèves déjà à Poudlard qui doivent trouver quelque chose à faire, on peut faire une exception. J'ai hâte de la voir sur piiiied...
Je suis sûre qu'elle sera géniale. En tout cas elle m'intrigue...
Bonne chance et bon travail pour la suiite


petite question: OU tu trouve ces images en fait que tu mets au début de tes fiches, ces genre de petites signatures, je trouve cela trop fort!

HAN J ADORE LE DEBUT DE TA PRES!!! préviens quand tu as fini JE VEUX te valider

HANNN, je vais avoir une apprentie! YOUPIII!

C'est pas sûr, je suis encore en train de réfléchir, pis faut que je demande à Dianou et Trav'^^