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Des larmes contre un sourire {Prio Caleigh Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
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Maximilien E. Middle
Admin | Serdaigle
Loosing control...Help him to get up! Maximilien E. Middle
.
Masculin

5572 messages
Amour : Loréana Wilde est et sera pour toujours l'amour de sa vie!

Pensine
Orientation Sexuelle: Bisexuel
Année d'étude: 7ème année
Caractère: Sincère, honnête, fou, motivé, drôle, beau parleur, inteligent, charmeur, loyal, passioné, passionant, têtu, bien élevé, révolutionnaire, débrouillard, autonome, sarcastique, protecteur, volontaire, amusant, sportif, classe, patient, franc, écrivain, artiste! etc

MessageSujet: Des larmes contre un sourire {Prio Caleigh Des larmes contre un sourire {Prio Caleigh Icon_minitimeMer 16 Déc 2009 - 22:34

>>> Suite du rp avec alexia

    La belle venait de partir sans un mot, sans une explication, sans un regard et sans même un coup d’œil. Elle s’était rhabillé et l’avait quitté sans demander son reste sans même lui avoir dis la moindre petite paroles mais il n’avait pas besoin de l’entendre pour savoir ce qu’elle ressentait, pas besoin de la regarder pour comprendre ce qu’elle traversait. Ce soir serait son dernier soir, leur dernier soir, leur dernière nuit ensemble. Pour elle, cette nuit serait signe de changement et pour lui, elle ne serait que le signe de la perte…Encore une perte en plus, encore un vide dans son cœur, une absence dans sa vie, un trou dans son âme. Mais cette perte, il l’avait créé de toute main, l’avait créé de toute pièce et il ne pouvait finalement ne s’en vouloir qu’à lui-même parce qu’IL était le seul et l’unique responsable de ce malheur qui allait s’agrandir, de cette peine qui allait venir s’ajouter sur ses épaules. Oui, il venait de créer ses propres larmes et il venait d’engendrer sa propre douleur et le pire, c’était qu’il ne s’en était même pas rendu compte. L’idiot qui plongé dans sa souffrance, engourdis par l’horreur de la réalité venait de commettre la plus énorme bêtise de sa vie et Dieu sait qu’il en avait déjà commise. Cette nuit ne serait pas, comme il l’aurait souhaité, une nuit signal de liberté mais au contraire…Cette nuit venait de le mettre en prison pour toujours et une prison sans amour ! Cette nuit qui l’avait soulagé sur le moment, lui avait permis d’oublier la mort, l’avait transporté en enfer et il s’en rendait compte maintenant, l’imbécile malheureux, il venait de tout perdre pour oublier ce qu’il avait déjà perdu. Il avait voulu oublier et pour cela il s’était forcé à oublier le plus important à ces yeux : elle !

    Il l’avait trompé. C’était fait. Il s’était juré que jamais cela n’arriverait. Oh il avait su que rien ne serait facile mais il avait aussi su en la regardant qu’il pouvait y arriver. Il aurait pu y arriver pour son sourire, ses yeux pleins de joies, ses baisers, ses caresses, son ventre, son cœur. Il aurait vendu son âme au diable pour elle. Il s’était rangé pour elle et s’était améliorer de telle façon que les autres jeunes femmes étaient devenues invisibles à ses yeux, inexistantes parce qu’il ne voyait plus qu’elle. Oui, Loréana Wilde l’avait changé, transformé et en bien. Il était devenu fidèle, il était devenu joyeux, heureux et tout cela parce qu’il était amoureux. Il ne lui avait jamais dis et il le regrettait aujourd’hui parce qu’il l’aimait, il l’aimait tellement. Seulement Travis était mort, Travis l’avait laissé tombé et enfermé dans cette perte, dans ce deuil impossible à faire, Maximilien avait négligé son amour et ne l’avait pas seulement négligé puisque cette nuit il avait franchi la limite : il l’avait trompé et le pire c’et qu’il ne s’en était même pas rendu compte comme si Loréana n’existait plus…L’alcool et les larmes l’avait rayé de sa tête et la bouche, les seins, le parfums, le sourire d’Alexia n’avait pas aidé et le réconfort que la blonde venait de lui apporter avait été utile, certes et c’était même ce dont il avait eut le plus besoin, mais à quel prix allait il payer ce soulagement, ce plaisir, cet oubli ? Il allait la perdre, elle ! Oh il pourrait mentir, il pourrait faire comme si de rien était et Loréana ne le saurait jamais mais il l’aimait trop, il la respectait trop et jamais plus il ne saurait la regarder dans les yeux et puis il savait qu’il recommencerait. Sa douleur était telle qu’il allait avoir besoin de fumer, allait avoir besoin d’alcool et allait avoir besoin de sexe. Malheureux ! Il allait la perdre, non il l’avait perdu au moment même ou ses lèvres avaient touchées celle de la jolie blonde de serpentard. Mais il n’avait pas voulu se souvenir de sa brune, pas voulu se souvenir de son image alors il l’avait rayé pour sécher ses larmes bien au fond du vagin d’Alexia et il y était arrivé…Juste le temps de lui faire l’amour, le temps de s’envoler avant de redescendre sur terre !

    Les larmes coulaient sur les joues de Maximilien sans que le pauvre ne puisse les arrêter sans qu’il ne veuille les arrêter. Si il n’avait pas mérité les larmes versées pour Travis, il méritait celle pour sa belle. Oh oui, il les méritait. Il allait la faire souffrir. Il allait devoir vivre sans elle, devoir vivre et sachant qu’un jour un autre la toucherait, un autre l’embrasserait, un autre lui ferait un enfant. Il allait devoir vivre sans Travis et devoir vivre sans Loréana. Peut-être avait il voulu se punir de ne pas avoir été capable d’aider son meilleur ami de serdaigle, peut-être qu’inconsciemment il aurait voulu se faire souffrir mais il le regrettait maintenant mais maintenant, c’était trop tard ! Oh les larmes coulaient tandis que le coude se levait pour boire la bouteille d’alcool qui restait encore et que ni lui ni la belle n’avait terminé. IL buvait encore, torse nu, là, en larme dans cette ruelle maudite près du cimetière et près de la tombe de son frère de cœur ! Il entreprit alors de finir de se rhabillé et lorsque ce fut fait, il regarda consterné les alentours ne sachant pas ce qu’il allait faire, ni ce qu’il voulait faire. Il ne pouvait pas aller parler à Loréana maintenant, il n’avait pas le courage et pourtant Dieu sait qu’il voulait la prendre dans ses bras. Il ne pouvait pas rentrer dans son dortoir car il ne tiendrait pas le coup, seul, dans le noir à ruminer ses malheurs. Il ne pouvait pas non plus aller en boîte parce qu’il savait qu’il coucherait à nouveau et l’avoir trompé une fois avait suffisamment humilié l’amour de sa vie. Il ne voulait pas en rajouter tant qu’il ne lui avait pas avoué…Alors l’adolescent se mit à boire et vida le reste de la bouteille. Il puait le sexe, il puait la clope, il puait l’alcool mais il puait aussi la mort et les larmes !

    Il ne savait plus que faire, il ne savait plus où aller. Il n’avait jamais vraiment eut de chez lui, c’est pourquoi il s’était senti si bien dans l’appartement de Loréana comme si il avait enfin trouvé une place quelque part mais il ne pouvait pas y aller, il ne retournerait jamais dans son paradis sur terre. Il avait tout perdu, tout quitté pour descendre en enfer. Subitement, il se mit à penser à ceux qui lui restaient encore. Il n’y avait plus que Léo, son frère de cœur. Il n’avait jamais eut de mère, jamais eut de père et même si sa nounou Marie avait suffit à combler leur absence, elle aussi était partie, elle aussi l’avait laissé et abandonné. Alors seulement, l’image d’une femme lui revint en mémoire, l’image de Caleigh Johanson, son professeur d’astronomie. Voilà prêt de six ans qu’elle le considérait comme son fils et lui comme sa mère, prêt de six ans qu’elle le consolait, l’écoutait, le comprenait et surtout ne le jugeait pas. Six an qu’il se confiait sans réserve et sans honte : il devait lui parler. L’adolescent regarda sa montre : une heure et demis du matin. Tard, elle devait dormir mais il avait besoin d’elle maintenant et tout de suite avant qu’il ne fasse une énorme bêtise alors le blond se mit en route et marcha jusque Poudlard ce qui eut pour effet de le désaoulé un peu et puis enfin, il grimpa les escaliers, arriva devant les appartements du professeur, murmura le mot de passe et pénétra à l’intérieur…

    Il faisait noir mais il s’en doutait : elle dormait et ce sûrement depuis belle lurette. Il s’avança alors à tâtons, soupirant comme un bœuf et laissant son haleine pestilentielle envahir les lieux et il atteignit la chambre de la demoiselle. Il s’approcha d’elle et se laissa tomber sur son lit. Il n’avait pas envie de la réveiller : il avait déjà suffisamment fait de mal comme cela. Seulement les larmes furent plus fortes que lui, son cœur voulait hurler sa souffrance et il se mit à sangloter, coucher contre sa mère de cœur, il pleurait en serrant fort un oreiller contre lui et il finit par dire, ne sachant même pas si elle était réveillée :


    MAXIMILIEN_ « Je l’ai perdu, Caleigh. Je l’ai perdu et je les ai perdu…J’ai tout perdu, aide moiii ! »

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Dernière édition par Maximilien E. Middle le Jeu 17 Déc 2009 - 21:42, édité 1 fois
Caleigh A. Johanson
Admin | Prof. d'astronomie
With the butterflies and the Stars. Caleigh A. Johanson
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Orientation Sexuelle: Bisexuel
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Caractère: Intelligente, vaillainte, protectrice, aimante, aindante & grand coeur.

MessageSujet: Re: Des larmes contre un sourire {Prio Caleigh Des larmes contre un sourire {Prio Caleigh Icon_minitimeJeu 17 Déc 2009 - 0:16


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    L’atmosphère était si pesante depuis tous les drames qui se passaient dans son école bien aimée. Caleigh ne savait plus vraiment quoi faire, comment agir et même comment penser sans que ça heurte les autres. La tension, la peur tout était palpable parmi les individus qui parcourraient l’école. Les mesures avaient été changées pour les rendre de plus en plus stricte, au final, le couvre feu était à 19h. Bien entendu, de nombreux jeunes ne faisaient qu’à leur tête, mais au final, ça servait à quoi à part mettre sa vie en danger?! L’école qu’elle adulait était dans un tel état de perdition qu’elle ne savait pas si ça pouvait changer désormais. Keiko, une petite nipponne joyeuse et frivole avait été assassinée par on ne sait trop qui. Cette poufsouffle était revenu au château sous forme de fantôme, dans le but de faire changer les choses. Mais comment pouvait-elle sincèrement y arriver étant donné qu’elle n’était qu’une forme partielle d’elle-même? Le pire dans les dernières nouvelles de l’école était sans aucun doute la mort mystérieuse de Travis Cohen. Depuis ce temps, tout était encore plus compliqué qu’avant et la brune se faisait un énorme sang d’encre envers son petit protégé qui avait comme disparu depuis cet accident. Personne ne savait ce qui lui était arrivé, tout semblait faire croire à un suicide mais Caleigh n’arrivait tout simplement pas à y croire. Il n’aurait pas pût faire ça, oui ce jeune garçon était torturé mais son amitié avec Maximilien était trop importante pour qu’il décide de la laisser tomber en un simple jour. Leur fidelité avait toujours été extrême et sans lui, le serdaigle serait perdu. La professeure passait son temps libre à le rechercher, mais il était clair qu’il ne voulait voir personne et qu’il se cachait. Il se cachait derrière une souffrance semblant éternelle. Il ne venait plus à ses cours, il n’allait plus à aucun cours depuis quelques jours et sa perdition était plus qu’évidente. Elle n’attendait que le moment où il viendrait enfin se confier à elle, où il viendrait se réfugier dans ses bras et elle pourrait le serrer plus fort que jamais. Elle savait à quel point il devait être détruit en cet instant, elle mourrait de ne pouvoir lui dire combien elle l’aimait et qu’elle serait toujours là pour lui, encore plus depuis la mort de son ami. La porte s’ouvrit alors sur son amie Loreanna, qui semblait dans un état plus que second. Elle aussi était on ne peu plus dérangée depuis le tragique accident, peut-être savait-elle où son petit ami se cachait? La salle des professeurs étaient si silencieuse qu’une mouche aurait fait l’effet d’une bombe nucléaire. Par contre, la brune devait avoir des réponses, elle en avait marre de rester derrière et de voir tous ceux qu’elle aimait dans un tel état. Sans plus attendre, elle se leva et marcha vers son ami, laissant le son pesant de ses talons sur le sol et s’Arrêta juste devant le bureau de sa meilleure amie.

      ELLE « Lor’ je sais que tu es dans un sale état ces temps-ci… Mais j’ai vraiment besoin de parler à Maximilien…»

      LOREANNA « J’aimerais bien t’aider Caleigh… Je ne l’ai pas vu depuis une longue semaine…»

      ELLE « Oh je… Bon… D’accord… Je vais essayer de le trouver alors, si je le vois je lui dirai que tu le cherches, d’accord?»

      LOREANNA « Oui… Merci…»


    Bon sang que l’air était lourde de stress et de mauvaises vibrations! Jamais les amies ne s’étaient parlé avec autant de sérieux et si peu de mots à la fois… La situation était vraiment plus grave qu’elle ne le pensait! Maximilien était fou amoureux de Loreanna, alors s’il ne l’avait pas vu depuis le suicide… Par merlin, elle ne voulait même pas s’imaginer dans quel état il se trouvait en cet instant! Elle laissa sa meilleure amie seule avec les autres professeurs dans la salle et sortit sans plus attendre. Aussitôt la porte fermée, elle s’y accota un instant afin de reprendre ses émotions et son calme en main. Elle baissa un peu sa jupe brune qui remontait sur son chemisier en soie or. Elle reprit la marche à la recherche de son élève préféré. Il était déjà 15 heures de l’après-midi alors les couloirs étaient vides des étudiants qui étaient en pleine classe. L’impression de déjà vu était forte, il était clair qu’elle ne retrouvait pas Maximilien en cette heure, et seulement une telle pensée suffisait à lui faire ravaler ses sanglots. Maternelle comme pas deux, il ne faut pas être idiot pour comprendre à quel point elle était inquiète en ce moment! Sept jours, sept depuis le drame mais ça lui donnait plutôt l’impression qu’elle ne l’avait pas serré dans ses bras depuis des années. Il valait mieux s’enfermer dans ses appartements que de continuer à se torturer plus longtemps. Le temps de sa petite ronde, il était désormais 17 heures et la professeure décida de mettre ses corrections de côté afin de se préparer une soupe aux tomates qui, espérait elle, lui réchaufferait le cœur. Tout ce qu’elle faisait ne suffisait pas à lui remonter le moral. Lorsqu’elle eut fini de manger, elle se mit à faire les cents pas dans son appartement, comme si elle pouvait faire apparaître Maxou directement devant elle… Ce serait tellement facile! Elle pourrait enfin lui parler et le consoler! Parce que sérieusement, si ça continuait, Caleigh avait peur qu’il fasse une très, très grosse erreur… Elle mourrait d’apprendre qu’il se serait fait du mal… Enfin… N’y tenant plus, la professeure décida de se coucher, même s’il n’était même pas 21 heures. Elle enleva ses vêtements et enfila sa chemise de nuit noire avant de s’emmitoufler en dessous des couvertures…

    *****

    On aurait dit qu’elle était endormie depuis des jours. Ses rêves étaient plus étranges les uns que les autres et elle n’était même pas reposée. L’un d’eux, un cauchemar sans aucun doute l’avait réveillé en sueur quelques heures auparavant. Elle se promenait à pré-au-lard lorsqu’elle arrivait au cimetière. Là, elle trouvait son petit protégé étendu devant la tombe de son ami. Il était inconscient, mort peut-être, mais Caleigh ne voulait rien savoir, elle hurlait, pleurait et essayait de lui faire ouvrir les yeux. Sans succès. Elle n’arrivait jamais à le faire se réveiller, il restait sans bouger au sol et une espèce de fumée suspecte envahit les lieux. Ce n’est que là qu’elle se réveillait, avant de se rendormir quelques secondes plus tard. La même histoire se poursuivit de nombreuses fois, et rien n’y faisait. Toujours dans le pays des rêves, quelque chose s’immisça dans son lit et des sanglots lui permirent de revenir enfin sur terre. Elle ouvrit les yeux, mais les lieux étaient si sombre qu’elle ne voyait pas de qui il s’agissait. Elle savait au moins qu’elle n’était pas en danger car sinon la personne lui aurait déjà sauté dessus, profitant de son sommeil pour l’attaquer. Elle restait là, sans bouger, attendant un signe de cet intrus…


      LUI «Je l’ai perdu, Caleigh. Je l’ai perdu et je les ai perdu…J’ai tout perdu, aide moi !»


    Son cœur s’arrêta. Il était enfin venu la retrouver! Il semblait dans un état encore pire qu’elle ne l’aurait pût imaginer. Il divaguait, il n’y avait pas de doute la dessus. Il avait perdu Travis… Peut-être parlait-il de Keiko aussi? Mais enfin, il n’avait pas tout perdu! Il restait les deux personnes qui l’aimaient le plus sur cette terre; elle et Loreanna! Elles étaient inquiètes comme des malades et lui avait enfin décidé de se pointer! Sans plus attendre, la professeur s’avança doucement et prit son protégé dans ses bras. Elle se fichait qu’il pue l’alcool et la cigarette, elle voulait simplement sentir sa chaleur contre lui. Elle soupira longuement tout en caressant sa chevelure blonde. Ce qu’il lui avait manqué!

      ELLE « Chuuuut. Tu n’as rien à craindre, je suis là désormais… Je t’en pris, ne dis pas ça, tu n’as pas tout perdu. Loreanna et moi essayons de te trouver depuis une semaine!»


    Elle ne savait pas qu’elle avait dit absolument tout du contraire qu’elle aurait dût… Parler de Loreanna en cet instant, Lor qui la recherchait alors qu’il lui avait fait subir une telle tromperie… Non, il était clair que Caleigh n’avait pas utilisé les bons mots... Mais comment pouvait-elle le savoir?!

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MessageSujet: Re: Des larmes contre un sourire {Prio Caleigh Des larmes contre un sourire {Prio Caleigh Icon_minitimeJeu 17 Déc 2009 - 21:41

    Les rues étaient désertes et le vent glacial s’engouffrait dans ses vêtements faisant frissonner l’adolescent qui se promenait dans le noir de la nuit. Décembre avait pointé son bout de nez depuis deux semaines maintenant et la neige était tombée aussi il y’a quelques jours et si le pauvre manteau blanc avait déjà fondu, il n’était pas parti avec le froid bien au contraire, il avait bien pris la peine de le laisser derrière lui. Le jeune homme grelottait car il n’était que peu vêtu et comme il s’était retrouvé totalement dénudé quelques temps au par avant, il avait un peu voir même beaucoup froid pour être honnête. Il avançait dans la nuit, rasant les murs et il sentait ses doigts se pétrifier et ses larmes se geler en coulant sur ses joux. Il pleurait encore et toujours sans pouvoir s’arrêter, sans laisser filer le moindre son, le moindre sanglot. Juste les larmes qui coulaient encore et encore alors qu’il déambulait avançant sans autre but que celui de rejoindre sa mère de cœur, celle qui allait le réconforter le consoler. Il souffla sur ses mains afin de les réchauffer mais en vain, le vent soufflait très fort et ses joues étaient sans doute rouges à cause du climat mais il avançait courageusement. C’était une punition en plus pour lui, si il mourrait de froid il l’aurait bien mérité…Pauvre serdaigle malheureux qui marchait ainsi seul, dans la nuit, sous la lune et dans le froid. Il était totalement perdu et pas dans les rues mais dans son cœur et dans sa tête et personne ne pourrait plus l’aider. Sauf peut-être elle…Sauf peut-être sa maman chérie parce que son amour ne serait plus jamais dans se bras, ne lui sourirait plus jamais…Comment allait il faire sans elle ? Sans lui ? Sans eux ? C’était fini, non, pour toujours ?

    Le jeune homme aux larmes gelées arriva enfin devant l’immense château. Le grilles étaient fermés, il aurait du s’en douter mais heureusement il savait comment faire. Il arriva à se glisser ainsi à l’intérieur du par cet avança à pas rapide à travers le pelouse. Il voulait arriver à l’intérieur et vite, il voulait gravir les étages, il voulait être dans ses bras enfin, maintenant ! Il arriva enfin devant les grandes portes qui elles aussi étaient fermées mais heureusement Maximilien avait depuis longtemps fait un double des pieds. Il les avait un jour piqué dans le bureau du concierge et il avait copié tout le trousseau. Depuis il pouvait entrer partout dans le château sans aucun souci ! Il pénétra à l’intérieur du grand hall d’entrée et se dépêcha de monter les marches. Le sixième étage était si haut et il était essoufflé mais il finit par y arriver et se dirigeant vers les appartements de Caleigh, il murmura le mot de passe et pénétra dans l’appartement…Il faisait noir, très noir et il avança à tâtons et arriva dans la chambre. Il savait qu’il puait, il savait qu’il allait la réveiller mais il avait besoin de sa présence. Il se coucha dans le lit aux côtés de la belle et de mit à pleurer, laissant cette fois-ci des sons s’échapper de sa bouche et puis, enfin, il se mit à parler :


    MAXIMILIEN_ « Je l’ai perdu, Caleigh. Je l’ai perdu et je les ai perdu…J’ai tout perdu, aide moiii ! »

    IL sanglotait comme un enfant qui pleure sa mère la nuit lorsqu’il a peur. Il était tellement triste, tellement perdu et il avait tellement mal. Il souffrait comme jamais encore il n’avait souffert et pourtant il l’avait connu l’abandon, la solitude et l’oublie mais aujourd’hui c’était différent. C’était la fois de trop. Il fixait Caleigh du regard même si ses yeux étaient brouillés de larmes. Elle se réveillait. Il la sentait bouger et puis enfin, elle l’enveloppa de ses grands bras pleins d’amour et réconfortant. Il se calla encore plus contre lui et il sentit la main de la douce femme se glisser dans ses cheveux. Oh cela lui faisait tellement de bien de sentir qu’on l’aimait encore, de sentir qu’il y avait encore quelqu’un de présent pour lui. Alors il se laissa aller, des gémissements de souffrances sortaient de sa bouche sans qu’il puisse les contrôler et le pauvre enfant pleurait encore et encore ! Elle tentait de le consoler mais comme ses larmes ne s’arrêtaient pas, elle décida de lui parler de cette voix douce qu’il aimait tant et dont il avait tant besoin…

    CALEIGH_ « Chuuuut. Tu n’as rien à craindre, je suis là désormais… Je t’en pris, ne dis pas ça, tu n’as pas tout perdu. Loreana et moi essayons de te trouver depuis une semaine!»

    Sans le savoir, la brunette venait juste de prononcer les mots qu’ils ne fallaient pas. Elle avait mis les pieds dans le plat et pas seulement les pieds, tout son corps même. Elle avait plongé la tête la première et Maximilien se mit à pleurer encore plus fort. Ses sanglots redoublèrent et ses larmes coulèrent encore plus vite et en quantité plus nombreuse. Il avait si mal et d’entendre le prénom de sa dulcinée, de l’amour de sa vie, de sa femme, celle qu’il avait perdue, lui fit encore plus mal. Comment allait il le dire à Caleigh, comment allait il lui avouer ce qu’il avait fait cette nuit ? Oh elle lui pardonnerait, elle le comprendrait même peut-être parce qu’elle savait la souffrance qui l’abritait mais elle serait déçue et Loréana était sa meilleure amie quand même. Maximilien s’en voulait tellement et la culpabilité vint s’ajouter au regret, à la douleur et à la perte. Il leva alors doucement les yeux pour regarder Caleigh droit en face. Il devait au moins avoir le courage de faire ça et il murmura avec le peu de force qu’il lui restait :

    MAXIMILIEN_ « Justement, c’est elle que j’ai perdu…Je l’ai perdu aussi en plus de Travis…Je suis tellement minable, Caleigh. Je ne mérite pas de vivre. Mon meilleur ami est mort et je n’ai pas pu l’aider et j’ai perdu la femme que j’aimais…C’est fini pour moi…Je fais fuir tout le monde…Léo aussi finira par partir, Tim aussi et toi…Ma propre mère ne m’aime pas, mon père non plus et Marie a fini par me laisser tomber…Et maintenant, j’ai fais quelque chose d’horrible…Quelque chose qui m’enlèvera Loréana pour toujours… »

    Le pauvre avait vidé tout son sac d’un coup. Il n’avait pas pu se retenir et avait déballé tout ce qu’il avait sur le cœur d’un coup. Oui, pour la première fois, Maximilien n’était plus aussi sur de lui, ni aussi fier. Il avait l’impression de faire fuir ceux qu’il aimait, de les faire souffrir ou pire de les mettre en danger. Même sa mère n’avait pas voulu de lui, même Marie était partie et maintenant Travis et Loréana qu’il allait faire pleurer…Il était horrible, il se détestait. Il avait envie de se mordre, de se griffer, de se frapper, de frapper dans les murs, de voir son sang couler, il le méritait bien. IL continua de pleurer comme quand il était enfant et se plaqua encore plus dans les bras de Caleigh enfuissant sa tête dans le coup de la douce et il finira par lui dire dans un gémissement :

    MAXIMILIEN_ « Je suis un monstre ! Déteste moi ! Je l’ai…Je l’ai… »

    Il n’arrivait pas à dire qu’il l’avait trompé. Il n’arrivait pas non plus à dire qu’il les avait perdu…Oh non, la vérité n’arrivait pas à franchir ses lèvres tant elle lui semblait horrible, affreuse, abominable ! Il se leva finalement violemment et alluma la petite lumière sur la table de nuit. Il se sentit soudainement tellement en colère. Plus triste mais en colère, contre lui, contre le monde, contre Travis, contre le sort, contre sa mère, contre Marie, contre son père, contre sa douleur. Il s’approcha alors du mur et se mit à frapper de dans encore et encore. Il frappait dans le mur sans s’arrêter. Il avait mal à la main mais sa colère était telle qu’il avait besoin encore de frapper dans ce mur. Il se râpait la peau et du sang se mit à couler tandis qu’il frappait encore et encore sans pouvoir s’arrêter. Caleigh allait sans doute intervenir, il s’en doutait mais en attendant il laissait ses larmes couler et surtout il laissait ses nerfs s’exprimer, sa rage sortir. Travis n’avait pas le droit de l’abandonner et lui n’avait pas le droit de tromper Loréana…C’était trop tard pourtant et cela le rendait fou. Il ne pourrait jamais revenir dans le temps pour changer les choses…C’était vraiment trop tard, c’était fini ! Sa main saignait mais il n’en n’avait cure, il ignora aussi sa douleur, tout ce qui lui importait c’était de se soulager enfin !

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Caleigh A. Johanson
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MessageSujet: Re: Des larmes contre un sourire {Prio Caleigh Des larmes contre un sourire {Prio Caleigh Icon_minitimeVen 1 Jan 2010 - 22:49

    Le noir était pesant comme si les ténèbres allaient m’enterrer vivante. Les lieux étaient aussi sombres que mes yeux pouvaient apercevoir que je n’étais pas dans le noir total. J’ai bien essayé de remédier à cette noirceur par le moyen le plus facile, hélas, tandis que je tâtais tranquillement ma poche de jeans, toute l’horreur du monde se manifesta lorsque je ne rencontrais que du vide. Qu’allais-je faire devant ce qui me semblait être un danger imminent? Il était clair que si je ne l’avais pas, ma baguette aurait été d’un grand aide en cette nuit morbide. Il n’aurait suffit que d’un petit lumos pour me retrouver clairement en possession de mes moyens. Ces derniers s’étaient envolés en même temps que mon petit bout de bois adoré, il va sans dire que mon cœur commença aussitôt à battre d’une façon plus que dégénérée. Je crois que je sentais le mal m’entourer lentement, chose qui n’Arrangeait certainement pas l’état dans lequel je me trouvais. Mes yeux essayaient de s’habituer aux alentours; ainsi après quelques minutes de grand effort, je pus en récolter assez de la part d’un lampadaire à une centaine de mètre d’ici. Je devais être dans un cimetière, du moins, l’effet macabre qui y régnait m’y fit penser immédiatement, avant même que je ne puisse apercevoir les pierres tombales qui m’encerclaient. Je ne comprends pas pourquoi je me trouvais ici, je ne me rappelle pas de m’y être rendu; la seule solution possible était que j’étais dans un rêve. Ce genre d’idée devrait me rassurer, mais pourquoi est-ce que tout semble si réel et prenant? Mon cerveau sait que ce n’est pas réel, mais il n’est pas de même pour mes émotions qui sont à fleur de peau en cet instant même. Il fallait que j’avance, que j’essaie de sortir de cet endroit au plus vite sous peine de peut-être, y rester prise à jamais. Moi qui portait normalement que des chaussures à la pointe de la mode, je me retrouvais pied nus, à marcher dans la terre humide qui s’infiltrait d’une façon dégoutante dans mes pieds. Moi qui était tant à cheval avec la propreté; perfectionniste comme j’étais être dans une telle situation faisait tout sauf me plaire. Alors que j’essayais de me faire un chemin parmi les pierres tombales, une d’entre-elle attira mon attention par sa blancheur; on aurait dit qu’elle brillait, d’une telle façon que les anges semblaient vouloir que j’y accorde mon temps. L’écriture était petite, je devais me pencher un peu vers l’avant pour lire l’inscription qui suit : « R.I.P. LOGAN KAY SEMOUR, leaves behind a lost beloved woman. » Mes genoux lâchèrent à cet instant précis, tandis que des larmes se mirent à rouler lentement sur mes joues. Pourquoi est-ce que Logan était décédé?! Pourquoi avait-il donné sa vie alors qu’il n’était pas revenu me voir au moins une dernière fois avant son départ? Je ne comprenais pas comment il avait pût me faire une chose pareille; lui mon ami, le meilleur de tous, celui qui avait sût percer mon cœur comme jamais personne ne pourrait le souhaiter. Il était clair que mon avenir serait plus noir à partir de cet instant car je venais de perdre une partie de moi-même, une grande partie qui me faisait avancer devant les situations de la vie. Je croyais toujours qu’il reviendrait me voir au fin fond de moi, il était le seul sur qui je pouvais compter, mais apparemment ça n’avait pas été assez fort pour le retenir de faire une connerie. Car oui, je savais que s’il était mort ce n’était pas à cause d’une chose comme la maladie, son travail en temps qu’Auror ne lui permettait de mourir que dignement en affrontant quelque chose… C’était du moins ce que la brune s’était mis en tête. J’avançai la main doucement vers la pierre, et c’est seulement à ce moment que je vit l’étendu des dégâts de la réalité. Mon cri se percuta dans le cimetière, autant que dans mes songes les plus profondes. Pourtant, j’aurais pût continuer de pleurer ainsi toute la nuit, une chose me rappela à l’ordre, une voix d’un petit être qui comptait tant pour moi; il avait besoin de moi autant que j’avais probablement besoin d’être réveillée grâce à ce cauchemar.

    Lorsque Caleigh se réveilla enfin, elle pouvait sentir que ses yeux étaient remplis d’eau mais la seule chose à laquelle elle pensait en cet instant était au petit être qui était en larmes face à elle. Elle avait essayé de le calmer en s’approchant de lui, en le serrant dans ses bras et en lui soufflant de douces paroles à l’oreille, hélas, il ne semblait croire que ça suffisait. Il empestait l’alcool et la drogue mais Caleigh s’en fichait, elle voulait simplement être là pour lui. Il était apparamment inconsolable mais la brune savait qu’elle arriverait à le calmer… Du moins, elle l’espérait; elle savait très bien dans quel état de panique et de tristesse dans lequel Maximilien se trouvait. Celle de la perte d’un ami très cher, une perte qui est très dure pour le cœur qui ne peut que se briser en milles morceaux. La professeure agirait telle la colle voulant replacer les morceaux ensemble. Elle ne savait définitivement pas ce que son petit protégé avait osé faire pour essayer de s’enlever le peu de dignité qu’il avait. Jamais elle n’aurait pensé qu’il arriverait à faire une telle chose. Le silence était pesant dans les appartements de la prof, mis à part les sanglots incessants du serdaigle. Ses mains se promenaient dans son dos pour essayer de le réconforter et qu’il arrête de pleurer.


      LUI « Justement, c’est elle que j’ai perdu…Je l’ai perdu aussi en plus de Travis…Je suis tellement minable, Caleigh. Je ne mérite pas de vivre. Mon meilleur ami est mort et je n’ai pas pu l’aider et j’ai perdu la femme que j’aimais…C’est fini pour moi…Je fais fuir tout le monde…Léo aussi finira par partir, Tim aussi et toi…Ma propre mère ne m’aime pas, mon père non plus et Marie a fini par me laisser tomber…Et maintenant, j’ai fais quelque chose d’horrible…Quelque chose qui m’enlèvera Loréana pour toujours… »


      ELLE « Je ne comprends pas Maximilien, tu sais que Loréana te pardonnerais tes erreurs! Et puis je sais que la peine de Travis t’est insupportable, mais ça finira par passer avec le temps. Tu ne fais pas fuir les gens, au contraire c’est eux qui ont peur car tu es une personne trop merveilleuse. C’est d’autant plus vrai pour tes vrais parents, ils n’arrivent pas à supporter que tu sois un homme aussi parfait, ils arrivent toujours à te critiquer parce qu’ils sont jaloux. Tu vis ta vie comme bon te semble, tu aimes qui tu le veux et tu éprouves toute une brochette de sentiments qu’eux cachent depuis toujours. Ils auraient voulus être comme toi. Travis l’a probablement voulu lui aussi, hélas, sa vie s’est terminée avant le temps. Je ne crois pas qu’il se soit suicidé, je ne le crois pas et je crois que toi non plus, c’est pour ça que tu es si retourné envers tout le monde. Tu devrais parler à Léo, lui aussi t’aime plus que tout et il a également perdu l’un de ses meilleurs amis, vous arriverez à surmonter cette peine ensemble. Enfin, moi, tu crois que je ne serais plus là pour toi?! Il faudra me tuer avant de m’empêcher de te voir, de te câliner mais surtout de t’aimer, de t’aimer comme le fils que je n’ai jamais eut. »


      LUI «Je suis un monstre ! Déteste moi ! Je l’ai…Je l’ai… »


      ELLE « Quoi? Qui? Oh…»

    Elle venait de tout comprendre en un instant et ça lui avait fait l’Effet d’une claque en pleine figure. Oui Loréana avait un cœur d’or, elle serait prête à lui pardonner pratiquement toutes ses erreurs, mais ce genre de tromperies… C’était à voir… elle ne savait pas ce que sa meilleure amie ferait, même pas elle d’ailleurs. Ce genre de chose était très grave selon Caleigh qui bâtissait une confiance quasiment aveugle envers les personnes qu’elle aimait. Si ces derniers détruirait sa confiance en lui faisant du mal, en la trompant elle ne le prendrait vraiment pas bien. Par contre, malgré tout ce qui lui passait par la tête elle tassait tout ça de côté. Caleigh n’avait jamais jugé Maximilien, il avait dût avoir une très bonne raison de faire ça, lui qui aimait tant sa meilleure amie! Le bleu et bronze était vraiment en colère contre lui et sans attendre une seconde de plus, il se tira de l’étreinte de sa maman adoptive et se dirigea sur le mur pour commencer à le frapper de son point comme un déchaîné. Assise en tailleur, la main sur la bouche, la brune regarda son petit protégé, terrorisée devant une telle réaction. Elle ne l’avait jamais vu de cette façon, il paraissait fou, comme s’il avait littéralement perdu les plombs. Reprenant doucement le moteur de ses esprits, la professeure de leva et masquant toute cette nouvelle peur, elle enferma des bras puissant autour de son serdaigle favori, serrant comme si elle voulait lui briser les côtes. Elle savait que le bleu et bronze ressentirait à peine les bras de la brune, c’est pourquoi elle s’évertuait à tant de force. Elle s’empara de sa baguette et d’un sort silencieux guérit les poings en sang du garçon.

      ELLE « Chuttt…. Chuuuttt… Maxou, calme-toi, je suis là. Je sais qu’elle recevra durement la nouvelle, mais elle t’aime tellement qu’elle te pardonnera… J’en suis sure…»


    On aurait dit que ses mots sonnaient faux, mais seulement l’auteur s’en apercevrait, c’était certain. Elle ne voulait pas lui mentir, inventer de belles paroles mais la situation avait tellement dérapé qu’elle n’Avait pas le choix. Et puis de toute façon, elle avait confiance en sa meilleure amie, elle savait qu’elle finirait par laisser passer l’amour en premier….

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