Appelo Mor†em (old)
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C'est l'heure du courrier! Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
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MessageSujet: C'est l'heure du courrier! C'est l'heure du courrier! Icon_minitimeDim 24 Mai 2009 - 21:19

    Ce jour-là, Frédéric c'était installé sur la Table des Gryffondors en prenant bien soin d'installé tout son matériel loin de sa propre porté. En effet, ses cahiers, sa baguette et même son chaudron étaient disposés loin autour de lui de sorte qu'il lui était impossible de les atteindre en s'étirant simplement le bras. Devant lui, il ne restais que sa purée de patacitrouille qu'il tenait fermement contre sa poitrine, portant régulièrement une pleine ceuillère à sa bouche, l'air satisfait. De temps à autre, il relevait la tête, fixant le plafond de la Grande Salle d'un air un peu étrange mais avec le sourire léger qu'on lui connaissais bien, ce qui évitait qu'on s'interroge outre mesure sur sa manière singulière d'occupé son espace.

    Puis, soudainement, POM! Une petit boîte vint atterir tout juste devant lui, quelque peu sur sa droite mais très exactement dans le cercle laissé vacant autour du blondinet. Un hiboux de bonne taille fit volte-face dans le ciel brumeux de la salle et s'éloigne ainsi, sa tâche désormais accomplit. Une scène banale quoi... du moins, en apparence.

    Parce que bientôt, ce furent plus d'une quinzaine de hiboux et tout autant de boîtes qui passèrent par la table des lions devant un Frédéric dont le sourire semblait s'être légèrement élargit. Les boîtes étaients toutes d'apparences ordinaires, en simple carton et fort peu volumineuses. Néanmoins, c'était leur nombre qui était rudement impresionnants! On parle bien de... 17... 18 ...19 boîtes déjà! Pour l'instant, Frédéric se contentait de parcourir des yeux les étiquettes et de rassembler pour ensuite empiler certaines d'entres elles.

    En bref, le principal intéressé ne semblait pourtant pas se formaliser de la livraison et se contentait de tenir son bol de gruau bien à l'écart tout en servant son plus beau sourire silencieux à ses proches voisins dont les yeux étaient bien ronds comme des gallions.

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Dernière édition par Frédéric Manans le Sam 30 Mai 2009 - 20:34, édité 1 fois
Jules E. Cohen
Serdaigle
La mort est-elle la meilleure délivrance de la souffrance? Jules E. Cohen
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Amour : Ca viendra, ne jamais perdre espoir!

Pensine
Orientation Sexuelle: Bisexuel
Année d'étude: 5ème année
Caractère: Calme, parait très naïf, mais garde une véritableintelligence intérieure. Ne montre jamais qu'il souffre, ou qu'il a peur; il n'en parlera qu'avec des personnes en qui il a confiance.

MessageSujet: Re: C'est l'heure du courrier! C'est l'heure du courrier! Icon_minitimeMar 26 Mai 2009 - 17:55

    Dure journée aujourd'hui! Potions pour toute la matinée. Et l'après midi... N'en parlons pas, Jules détestait se remettre en tête tout son long emploi du temps d'une dure journée de labeur! Il venait juste de se lever, alors mieux valait ne pas se presser, et commencer la journée en douceur. Cela ne servait à rien de penser que bientôt, il allait retrouver en cours de potions sa chère ennemie Laura... Une Serpentard on ne peut plus agaçante, et qui ferait presque sortir Jules de ses gonds rien que par sa présence! Mais lui savait tenir sa langue, il se retenait de provoquer son ennemie, et profitait du moindre moment qui embarrasserait Laura. Peut-être un peu sadique, on pouvait plutôt qualifier Jules de vengeur. Il était loin d'être violent et de vouloir le mal de quelqu'un; par exemple, lorsque son chat Killer le réveilla à cinq heures ce matin, il ne l'avait disputé que par des paroles douces et des caresses; lorsqu'il glissa en arrivant dans la salle de bain commune aux serdaigles, et qu'il faillit se fracasser le crâne en tombant, il n'avait poussé qu'un simple juron, et avait regardé à qui appartenait la savonnette qui traînait au sol, sans vouloir régler ses comptes au possesseur; lorsqu'il descendit des escaliers pour accéder à la salle commune, il ne fit pas même une grimace lorsqu'un serpentard lui rentra dedans. Non, Jules savait gardé sa patience, cette patience qui en énervait plus d'un, mais qui pour d'autres était une très grande qualité.

    Jules arrivait donc dans la Grande Salle, où étaient placées quatre tables illuminées de temps en temps par le Soleil, qui perçait difficilment les nuages du plafond magique. Jules se dirigea, nonchalent, vers la longue table des serdaigle; il s'installa parmi ses camarades de 5ème année. En jetant un bref coup d'oeil, il remarqua que l'absence devenue habituelle de Travis s'était prolongée pour aujourd'hui. Il avait du encore une fois se lever plus tôt, filer à la bibliothèque sans croiser personne. S'il avait fait comme à ses anciennes habitudes, il avait pris du lard fumée, et un peu de marmelade sur une tranche de pain. Mais Jules ne l'avait plus vu manger depuis... Derpuis la fichue mort de Tristan.

    Du lard fumé, des tranches de pain légèrement grillées; Jules accompagna son petit dejeuner de jus de citrouille, et des pensées de ses frères. Il avait du mal à entendre ce qui se disait à ses côtés; il crut comprendre, malgré toutes ses pensées pour ses frères, qu'un élève avait réussi à s'enfoncer dans un maris nouvellement créé non loin de la tour de Gryffondor. Le pauvre! Heureusemnt que Jules n'était pas à sa place! Lui pouvait prendre tranquillement son repas, en imitant les us de Travis; du pain, mais la marmelade... Autour de la table, aucun signe d'u pot de cette succulente confiture. Aux autres tables, peut-être... Jules se leva, et, dominant ses commensaux par son mètre 72, vérifia qu'il n'y avait pas une trace de cette confiture aux alentours. Pour Jules, c'était très important, comme un rituel à accomplir à tout prix. Question d'honneur.

    A la table des Serpentards, Jules apercevait un petit pot de couleur orangée; sans aucun doute c'était le mets que recherchait Jules. Mais... Malheur! Juste devant se trouvait Laura, la Laura Owned, l'insupportable Laura Owned; Jules ne pouvait pas venir la voir juste pour un pot. Quelle humiliation! Ce serait un véritable calvaire, de devoir subir une fois de plus les railleries de cette fille. Mieux valait aller quérir autre part. Encore ensommeillé, mais la vue aux aguets, Jules identifia les pots des autres tables: confiture de fraises, d'abricots, de cerises, mais pas de marmelade. Sauf à la table des Gryffondors: un petit pot avait une couleur orangé, juste devant Allison. Quelle chance! Jules pouvait se lever tranquillement et prendre ce qu'il cherchait, tout en plaisantant avec sa coéquipière de Gryffondor. Quoi de pus aisé? Jules se dirigea tranquillement vers la table des Gryffondors, laissant derrière lui ses commensaux.

    A mi-chemin, Jules crut entendre un vague bruissement; il n'y prêta guère d'attention, mais fut beaucoup plus surpris par la gifle qu'il recevait. Un grand coup, comme si on avait cogné un énorme plateau sur son visage. Des picottements, puis des élancements; une douleur affreuse, comme si on lui arrachait la peau du visage. Puis un soulagement, suivi par une douleur lancinante, et un filet de sang coulait de sa joue. Jules repris ses esprits, s'essuya la joue, et se retourna: un petit hibou lui avait foncé dedans à pleine vitesse, sans que Jules ne s'en aperçut. Il avait provoqué une griffure, puis en retirant ses serres de sa joue, le petit messager avait lanciné le visage du jeune Serdaigle, et une trace de sang se voyait sur la paume de sa main. Petit hibou malfaisant! Jules lui en voulait énormément, toutes les petits oiseaux rimaient avec idiots. Il pensait au courrier qu'il avait reçu, une fois, par une grande chouette: son colis était arrivé au moment souhaité par le destinateur, et le grand oiseau se posa en douceur et élégamment sur la grande table. Ue autre fois, c'était Tristan qui lui avait envoyé une bombabouse surprise: la petite chouette hulotte qui portait le paquet s'était arrêté en dessus de l'assiette de Jules, faisant explosé la bombabouse dans son assiette, explosant sur lui et sur quelqu'uns qui se trouvaient aux alentours. Pendant plusieurs jours, Jules n'avait plus personne avec qui manger.

    Il pouvait donc se permettre d'avoir une ferme opinion sur les petites bêtes porteuses de messages ou de colis: et encore une fois il avait eu la preuve du ridicule et de la bêtise de ces oiseaux. Jules se baissa, ramassa la petite boule de plumes, avec le colis attaché à sa patte. Pas aussi léger que ce qu'il paraîssait ce colis: l'oiseau en était excusé, vu la taille l'hibou et le poids du paquet. Il était écrit, en petits carctères, le nop du destinataire: Frédéric Manans. Jules ignorait qui était cette personne, il n'en avait jamais eu la conaissance, ni entendu parler. Aux alentours, il chercha une personne qui pouvait s'appeler ainsi: au lieu de chercher, Jules se surprit à voir autant d'oiseaux voler vers la classe des Gryffondors. Et plus particulièrement vers un élèves, qui paraissait étouffé par le nombre ahurissant de hiboux autour de lui. Des chouettes hulottes, des hiboux grand duc... Des gris, des bruns, des noirs... De toutes les tailles et de toutes les couleurs, les chouettes virevoltaient autour de celui qui paraissait maître de tous ces animaux. D'un pas vif, Jules se dirigea vers lui, bien décidé à lui régler ces comptes quitte à lui faire un peu de chantage avec son colis. La journée n'avait pas très bien commencé, et ce début de matinnée finissait avec une écorchure. Cette griffure lui faisait mal, mais elle était supportable; il sentait un filet de sang chaud couler le long de sa joue, et une goutte tomber sur sa robe de sorcier. Arrivé à sa hauteur, il tapota l'épaule du blondinet qui mangeait des patacitrouilles:

    Jules: Frédéric Manans, c'est toi? Etcette fichue bête qui m'a écorché la joue, c'est la tienne?

    Celui qui paraissait s'appeler Frédéric se retourna, son visage barbouillé de son petit déjeuner.

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MessageSujet: Re: C'est l'heure du courrier! C'est l'heure du courrier! Icon_minitimeDim 31 Mai 2009 - 21:01

    D'un bras bienveillant, notre cher bouffon tentait tant bien que mal de congédier et libérer les chouettes et autres hiboux attablés autour de lui en prenant soin d'abord de récolter les paquets surprises. Voilà, la livraison tant attendue était enfin complète! Avec minutie, Frédéric entama le décompte ...21, 22, 23, 24? Mais, mais, ... c'est qu'il lui manquait encore un précieux colis non? C'est donc en débutant un recomptage en règle que le jeune Gryffondor fut surpris dans sa démarche par une main sur son épaule, qu'il crut d'abord être une chouette l'ayant choisit pour perchoir et qui eu l'effet de lui faire renverser une part de son déjeuner sur sa robe ainsi que l'ensemble de son visage. Par réflexe d'ailleurs, Frédéric porta sa propre main à son épaule en l'agitant d'un mouvement sec, comme pour chasser la bête qui s'y serait posé. Sauf que voilà, la dite bête avait dix doigts accompagnés de pouce préhensibles, un menton pointu, une cravate aux couleurs de Serdaigle et était visiblement doté du don de la parole...

    " Euh, woha, wouais, pardon, euh, c'est moi! " baragouina Fred en tentant de lécher tant bien que mal les coulisses de poridge autour de sa bouche.

    Se relevant rapidement pour faire face à son interlocuteur, le blondinet constata qu'il avait bien une tête de plus que le garçon devant lui, mais davantage encore que celui-ci avait la joue rudement écorché. Très rapidement, les yeux de Frédéric se posèrent alternativement sur la chouette enrubané puis sur le visage du jeune homme au ton assez peu comode vu la situation. Son cerveau n'eut pas besoin de délais supplémentaire pour établir un lien entre le ton si aimable du Serdaigle, le petit animal volant et bien sûr, le paquet manquant à sa livraison matinale.

    " Par la barbe de Dumbledore, c'est elle qui t'a défigurée comme ça? La vache, désolé mon vieux, euh, non en fait, c'est pas vraiment ma chouette, c'est plutôt celle de chez W&W mais euh, attends un peu... "

    Essuyant le surplus de patacitrouille sur son visage du revers de sa manche, Frédric se retourna avant de se saisir de sa baguette magique posé un peu plus loin pour finalement la pointé directement vers la petite chouette entre les mains du blessé.

    " Si tu veux, je la transforme en cafard et comme ça tu seras vengé ? " proposa t-il d'un air sérieux, mais néanmoins agrémenté d'un sourire. Espérons que les gens de chez Serdaigle aient aussi hérité du sens de l'humour.

    Bien sûr, plutôt que de cela, Frédéric orienta son appendice magique en direction de la joue de l'infortuné avant de marmonner le seul sortilège rudimentaire de soins qu'il connaissait. Cela eu pour effet de refermer légèrement la mince plaie et de stopper l'écoulement du sang, sans toutefois nettoyé les coulisses laissés par le rougeâtre liquide.

    " Haha, je fais un assez piètre médicomage désolé! Hum, tu, tu permet ? " lança Frédéric en pointant la petite chouette qu'il avait fait semblant de menacer quelques instants plus tôt, suggérant ainsi de prendre en charge l'animal.

    Il faut le dire, le blondinet était surtout impatient de décroché le paquet à la patte de celle-ci et souhaitait de le jeune homme ne s'oppose pas trop à lui rendre son bien désormais. D'ailleurs, celui-là vait un espèce d'air de famille qui ne lui revenait pas... ne c'était-il pas déjà croisé quelque part ?

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Jules E. Cohen
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MessageSujet: Re: C'est l'heure du courrier! C'est l'heure du courrier! Icon_minitimeVen 26 Juin 2009 - 11:59

    Frédéric : Euh, woha, wouais, pardon, euh, c'est moi!

    Le dénommé Frédéric se retourna surpris qu’on lui tapote l’épaule. Il paraissait aux yeux de Jules très malpropre et dégoûtant : il avait tout autour de la bouche du porridge, dégoulinant jusqu’à son menton. Son aspect amusa Jules intérieurement : ce dernier s’attendait à apercevoir un jeune homme qui aurait tenu à ne pas paraître ridicule, et surtout à faire attention à l’image qu’il pourrait donner maintenant que tous les regards s’étaient tournés vers lui, et vers tous les hiboux apportant les paquets. Tous ces colis formaient une montagne devant leur propriétaire de gryffondor ; une montagne impressionnante, à croire que le but du propriétaire était de briser la table en la faisant crouler sous ses paquets. Et d’ailleurs, qu’est-ce qu’ils contenaient, tous ses paquets ?

    Frédéric : Par la barbe de Dumbledore, c'est elle qui t'a défiguré comme ça? La vache, désolé mon vieux, euh, non en fait, c'est pas vraiment ma chouette, c'est plutôt celle de chez W&W mais euh, attends un peu...
    Jules : Mais qu’est-ce que tu veux que ça me fasse, que cette chouette soit la tienne ou qu’elle vienne de chez W&W ? Ce n’est pas moi qui commande des paquets pour blesser les autres !
    Frédéric : Si tu veux, je la transforme en cafard et comme ça tu seras vengé ?
    Jules : C’est plutôt toi qu’on devrait transformer en cafard, ça permettrait d’avoir un danger public de moins dans les jambes !

    On se demande si Jules a de l’humour ? Je peux vous répondre que oui, quand la situation si prête, c’est-à-dire lorsqu’il ne vient pas de se faire écorcher par une chouette, lorsqu’il n’a pas le ventre qui crie famine, lorsque ses deux frères sont là, et que les blagues peuvent être un minimum drôles ! Pour un gryffondor, la boutade de la chouette transformée en cafard était totalement inadaptée à leur caractère. Alors comment voulez-vous qu’un serdaigle puisse rire à une telle blague ? Si encore c’en était une. En la prenant de travers, Jules devint un peu cynique, ce qui n’était pas dans ses habitudes. Quoi qu’il en soit, le jeune gryffondor avait sorti sa baguette pour essayer de guérir la cicatrice de Jules.

    Jules : Mais tu fais quoi là ? Si tu es aussi maladroit que ta chouette, je préfère aller à l’infirmerie !

    Mais Frédéric n’avait rien à faire de ce que venait dire Jules. Il avait commencé à sortir sa baguette, et avant que Jules puisse faire le moindre mouvement de défense, il prononça une formule que Jules ne connaissait pas. Son action fut bénéfique : il sentit petit à petit la blessure se refermer. Son soin réchauffait aussi la joue, donnant une impression de douceur et de réconfort. Jules détacha un maigre sourire, et souhaita le remercier, voire même le féliciter pour ses dons.

    Frédéric : Haha, je fais un assez piètre médicomage désolé! Hum, tu, tu permets ?

    Comment cela ? A peine avait-il soigné le blessé, il redemandait à avoir la chouette et son colis. Il ne laissait donc jamais les autres s’exprimer après avoir fini ce qu’il faisait ? Quel impoli, en plus d’être malpropre ! Et intéressé par-dessus le marché ! Néanmoins, il avait raison : le colis lui appartenait, et ce n’était pas à Jules de l’ouvrir. Le vrai possesseur était presque prêt à supplier à genou le faux possesseur, ça se voyait dans ses yeux, juste pour avoir ce maudit colis. Une situation favorable pour Jules, autant en profiter !

    Jules : Tu le veux ? Je pourrais te le donner. Oui, je pourrais, si je le voulais ; mais vu la matinée que j’ai passé en partie grâce à toi, j’ai droit à un dédommagement. Qu’en penses-tu ?

    Jules commençait à s’amuser, et il menait par les ficelles la marionnette qu’il avait en face de lui. Il fallait attendre encore un peu, et bientôt tout le monde saurait ce qu’il y a dans cette montagne de paquets.

    Jules : je pensais à ce paquet. C’est vrai, la chouette s’est trompée de destinataire. Ce paquet devrait me revenir, en toute logique. D’ailleurs… Je me demande ce qu’il y a à l’intérieur ?

    Jules posa lentement le paquet sur la table des gryffondors, sans le mettre à la portée de Frédéric. Sa baguette sortie n’effrayait pas le jeune Serdaigle. Jules, tout doucement, porta ses mains au paquet, et glissa un doigt dans l’interstice. On n’allait pas tarder à savoir ce que contenait le paquet ; si le possesseur s’enflammait, cela voulait dire que le contenu était important pour lui.

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MessageSujet: Re: C'est l'heure du courrier! C'est l'heure du courrier! Icon_minitime

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