I. Vous

PRÉNOM : Nathan
ÂGE : 14 ans
ANCIENNETÉ DANS LE RP : Depuis mes 10 ans
COMMENT AVEZ VOUS DECOUVERT LE FORUM ? Par Next of Hogwarts.
QUE PENSEZ VOUS DU FORUM ? J'aime beaucoup le context et le disign et tout simplement magnifique.

II. Formalités

AVATAR : Chad Murray
CODE :
PROFIL : validé par Maximilien Middle

Nom : Owned
Prénom : Baël Mathias
Âge : 18 ans
Date de naissance : 06 Juin 2190
Statut de sang : Sang Pur
Maison souhaitée : Serpentard


Je présente tout sous forme de RP, Bonne lecture !

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PROLOGUE


Au fil des siècles, l'attention des sorciers s'était relâchée. Le livre des morts n'était plus au coeur de leurs préoccupations, et nombreux étaient ceux qui l'avaient oublié. Complétement oublié. C'est sans doute pour cette raison que Baël ne fut pas prévenu que sa vie allait changé lorsqu'il pénétrerait dans cette grotte. Après avoir remonté le fleuve d'amazone pendant deux jours, son expedition prit une tournure exeptionnelle.
Baël cherchait une grotte pour dormir.
Il trouva un livre
Le livre des morts .


La machette, maniait d'une main experte trancha une dernière ronce, achevant de dégager l'entrée de la grotte. Baël Mathias Owned, jeune explorateur en herbe modissait en ce moment l'interdiction de pratiquer la magie en dehors de Poudlard. Il aurait pu gagner du temps. Insensible aux nombreuses araignés et aux chauve-souris, il les évita avec nonchalence avant d'installer une couette à même le sol. Debouchant la bouteille d'eau d'un geste précis, il bû à grandes gorgés pendant plusieur minutes puis appuya sa main sur son front, chassant la sueur qui s'était accumulé tandis qu'il essayait de se frayer un chemin entre les plantes.

" Enfin " pensa t'il.

Depuis le temps qu'il la voulait, cette autorisation de partir en randonné seul au mileu de la forêt! Ses parents n'étaient pas tres entousiasme à l'idée de laisser seul leur fils dans une forêt inhospitalière, mais après de nombreuses années il avait réussis à les convaincre. A présent, dans la pénombre qu'offrait l'endroit confiné, une paix intérieure avait pris possession de son corps. La vaisseau lumineux que produisait sa lampe s'arrêta soudain sur un symbole. Curieux jusqu'au bout des doigts, Baël s'avança rapidement. Face à ses yeux ébahis, un symbole chargeait de terreur lui apparût, ensemble de croix et de symboles complexes. Son esprit vif et intélligent ne prit que quelques secondes avant de comprendre que c'était une indication. Une flèche, enfin du moins celà ressemblait à une flèche, lui indiquait le sol. Pris d'une soudaine agitation, il courut jusqu'a son sac à dos et s'empara d'une pelle.


Pendant une minute qui parut durer une éternité, Baël resta figé par la stupeur et l'incredulité, puis il se repris. Il s'approcha lentement du livre, n'osant pas le toucher, cherchant un titre, n'importe quoi !
Rien.
Aucune inscription, il semblait vierge. Entièrement vierge.
Sans se soucier du danger qu'il encourait, il posa une main sur le livre. Il la retira aussitôt. La température devait frolait les 0° degré dans cet endroit de la fôret, et les nombreux pulls qu'il portait ne sufisait pas à le proterger du froit. Or le livre était brulant.

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CHAPITRE 1 : La naissance du mal



Mme Owned regarda son mari avec crainte, ne sachant pas très bien comment il allait prendre la nouvelle. Touchant son ventre qui commençait à s'arrondir doucement, elle s'avança d'un pas hésitant. Elle avait beau avoir répété son discour de nombreuses fois devant le miroir, elle n'avait aucune idée de la façon dont elle allait lui annoncer ça. Serait-il heureux ? De mauvaises humeur ? Contre ?
Des questions pleines la tête, elle s'assis à ses côtés et, d'une voix plus tremblante qu'elle ne l'avait souhaité, déclara :

" Chéri ... Nous allons avoir un enfant.
- Tu crois vraiment que c'est le bon moment ? "

Ironisait-il ? Il fallait quand même être deux pour avoir un enfant, non ? Son mari semblait la rendre seule responsable de la situation. N'importe quel couple aurait sauté de joie, mais les problèmes financiers réduisaient la famille Owned à de l'appréhension. Ne sachant plus très bien comment réagir, Mme Owen se contenta de fixer son mari de ses beaux yeux bleus, essayant de lui faire comprendre que, de toute manière, il n'y avait aucune autre issue. Il détourna le regard avant de retourner à son journal, inconcient de l'état dans lequel il laissait sa femme.
Cette dernière se leva, désireuse à présent de quitter la pièce à l'atmosphère étouffante. Le soutient tant espéré de son mari, et l'espoir qu'il ai une solution s'était envolé comme un papillon de nuit éphémère. Trop tard pour reculer à présent, elle laissa un sanglot remonter du fond de sa gorge brulante. Elle aurait tant voulu se sentir heureuse ... mais elle n'aimait pas les enfants. C'était une certitude, comme celle qui affirme que l'homme n'est pas capable de respirer sous l'eau ou de s'envoler ... Les enfants n'étaient pas " son truc ".

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9 mois plus tard

La jeune maman regarda la petite bouille de son enfant. Dans son landeau d'un blanc immaculé, il attrapait ses petits pieds d'un geste confus avant de les porter à sa bouche. Elle se surprit à sourire, contemplant à présent les mimiques du petit. Son fils. Elle ne put s'empecher de le trouver attachant, mais son aversion pour les petites têtes blondes étaient toujours la même. Ne voyant que le côté négatif : les nuits blanches, les frais à payer en plus, les cris ... elle était tout simplement incapable d'aprecier la venue de cette enfant. Mais c'était sa chair, son sang, ses trippes. Elle l'aimait d'une façon étrange, le trouvant génant et à la fois indispensable. Satisfaite d'elle même et en même tant dégouté d'avoir mit au monde un enfant. Tant de sentiments contradictoirs dans la tête de la pauvre Mme Owned qui s'endormit, lasse de devoir réfléchir sur la triste tournure qu'avait prit sa vie, et sur la question qui revenait sans cesse : Serait-elle une bonne mère ?


CHAPITRE 2 : Une petite soeur pour Baël

Baël feinta sur le côté, fis passer le ballon dans son dos, le repris au ras du sol avant de pivoter pour bloquer de l'épaule le joueur qui le marquait depuis le débus du match.
Le type, un grand costaut qui faisait au moins trente centimètres, tenta de franchir le barage en force. Baël se baissa, l'esquiva sans peine et se dégagea. Il déplaçait avait une telle rapidité que les joueurs adverses hésitaient à se confrontait à lui.
Comme si la balle était un prolongement de son corps, il partie en dibble vers le panier droit puis repiqua vers le centre, géné de nouveau par la colosse qui le prenait en chasse. D'une passe habile, il se débarassa du ballon.
Il enleva son tee-shirt puis le jeta à terre, partant de nouveau à l'assaut du match. Il avait déjà inscrit bon nombre de but pour son équipe, mais celà ne suffisait pas, les autres menant toujours de trois point d'avance. Baël intercepta le ballon d'un geste habile, trop habile pour la normal, et chercha un de ses partenaires des yeux. Aucun n'étaient disponible et, de toute façon, aucun de jouait assez convenablement à son avis. Il allait tenter une perçée impossible quand il entrevue la giffle que sa petite soeur offrit à une des ses amies. Il ne put s'empecher de sourire ... Laura.
Cette dernière traversa la cour, les bras tendue et le visage crispé, celà préssentait l'orage.

" Baël, hurla t'elle et ce derniers battie tout dessuite en retraite.
- Oui Laura ?
- Que fais-tu dans cette tenue ? "

Baël la regarda, interloqué. Il se détailla, trouvant son jean en assez bon état, de même que ses chaussures, son torse ... Ah, voilà donc le problème. Laura Owned était jalouse des regards qu'il sucitait. Voyez vous ça. Néanmoins, il rattrapa son tee shirt et l'enfila, sous le regard suspicieux de sa petite soeur qui ne semblait pas en avoir finnie avec son grand frère. Du haut de ses six ans, elle représentait toute la vie de son grand frère, mais si elle ne s'en doutait pas un instant. Même les interminables disputes ne changeaient rien à l'amour qu'il portait sur elle. De bien des manières, elle lui ressemblait en tout point : l'esprit vif et assuré, la démarche droite, le ton autaint, et cette facheuse habitude de semer le trouble partout ou elle aller. Et son jolie minois ne présageais qu'une seule et unique chose : plus tard, elle ferait des ravages. S'en s'atarder sur des effusions de sentiment, il attrapa le bras de Laura pour l'entrainer plus loin, quand soudain son meilleur amie déclara d'un ton moqueur :

" Tu ne vas quand même pas te laisser faire par cette mini-fille ? "

Sans prendre la peine de réfléchir, il administra un formidable coup de poing à son " ex " meilleur ami qui recula sous la violence du choc. Se placant au dessus de lui, il déclara d'un ton nonchalent, comme s'il parlait du temps :

" C'est de ma soeur que tu parlais là ! Alors un conseil, épargne ta salive pour les commentaires idiots sur ma famille ! "

Le laissant sur le sol, il entraina sa petite soeur à l'écart des autres. Laura affichait la mine satisfaite de celle qui réussit les choses entreprise. Dans un sourire commun, le frère et la soeur s'assirent et commencèrent une discussion sur toutes les bétises qu'ils allaient bien pouvoir faire aujourd'hui ...


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D'épais nuages remplissaient le ciel noir, faiblement éclairé par une lune distante. Le premier éclair, suivit d'un bruit sonore tira la petite fille de ses reves. Prise d'un tremblement, elle se laissa glissait hors de son lit et rejoignit à pas feutrés la chambre voisine. Elle s'y engouffra et s'approcha de son frère. Un simple geste de la main sur la joue suffit à le réveiller. Laura murmura d'une voix tremblante :

" J'ai ... peur Baël ...
- Viens ... "

Il souleva la couette et laissa la petite s'installer à ses côté, puis la recouvrit. Aussitôt elle posa sa tête contre le torse de son grand frère. Il passa son bras autour de son dos, puis sa main dans ses cheveux. Machinalement, il joua avec et tous deux s'endormir, collé l'un à l'autre.

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Avec un affreux pincement au coeur, il regarda sa petite soeur s'éloignait au loin avec ses copines. Il se supportait pas son absence, savoir qu'elle était loin et qu'il pouvait lui arriver toute sorte de problème. N'impote quoi ! Elle était si petite ...
Le petit Baël s'installa dans l'herbe et entreprit sa très longue attente qui, en faite, fut d'assez courte durée. A peine la frèle silhouette de sa petite soeur se découpait à l'horizon qu'il comprit qu'elle était blessée, sentiment qui se confirma quand il nota sa main plaquait contre son corps. A côté d'elle, son amie tirait une mine bysard et ... coupable ?!? Sans en attendre la confirmation, il pointa un doigt accusateur sur la pauvre gamine, et il ne fut par surprenant que cette dernière batte en retraite devans l'air térrifiant qu'il avait pris.

" Je ne vais pas te tuer aujoud'hui, pour ne pas boulverser Laura ... "

La mine furieuse de sa soeur démontrait que, justement, elle aurait bien aimé voir sa main vengée de la bétise de son amie qu'elle avait du taper pour qu'elle être relâchée. Sauf qu'elle avait oublié de rentrer le pouce dans sa main, et qu'elle s'était fait plus mal à elle qu'a Corinne, son amie moldue.

" Tu le regretera plus tard, rétorqua avec douceur Baël en effleurant la joue de Laura.
- Je n'ai ...
- SILENCE ! Ecoute moi bien, la prochaine fois que tu me la ramène abimée, et je me fiche de savoir si elle à trébucher ou si une météorite lui sois tombée sur la tête, bref la prochaine fois qu'elle ne revient bléssée, tu te retrouveras à courir sur une seule jambe, pigée ? "

La pauvre Corinne, où se qu'il en restait, trouva encore le malheureux courage de lui sourire ironiquement, déclanchant une nouvelle fois la colère de Baël.

" - C'est ma soeur. Nous deux c'est un. Si tu t'attaque à elle, tu t'attaques à moi. Et mieux vaudrait pour toi de partir, loin, avant que je ne décide à te taper. Sauf que moi, je ne rate jamais mon coup. "

Chapitre 3 : Poudlard

Laura, qui avait une façon bien à elle du mot " intimité " pénétra dans la chambre de son frère qui était en train de s'habiller.

" Laura, si tu entres encore une fois sans frapper tu risques de découvrir certaines parties de mon anatomie que ne désire peut être pas entrevoir.
- Oh tu sais quand on prenait le bain ensemble ...
- Epargne moi les détails sanglants. Alors ? "

Sa jeune soeur lui tendit une lettre, et son joli minois s'assombrit. D'une main fébrile, il ouvrit la lettre et découvrit avec joie, même s'il savait déjà ce que c'était avant d'ouvrir, la lettre de Poudlard.D'un bond de joie, il sauta et attrapa sa soeur, la faisant tourner en l'air. Il s'aperçut très vite des traits crispés de sa soeur, et ses gestes joyeux se firent consolent. Ce qu'il pouvait détester qu'elle soit triste ... D'un geste emplit de tendresse, il continua à caresser les cheveux soyeux de sa soeur, retenant des larmes qu'il n'avait jamais autorisées à couler. Parfait petit Serpentard en herbe va ...

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La petite Laura enfila la robe de sorcière que lui avait acheté sa mère. Elle lanca un regard dans le miroir et sourie, contente de son reflet. A côté d'elle, Baël était planté contre le mur, impatient. Sa soeur faisait tout pour le faire patienté, et ca commencer à l'énéver. Il sourie néanmoins et attrapa la main de sa petite soeur.

"Tu es magnifique Laura . Mais on pourait y aller, s'il te plait ?"

La petite détourna le regard et lui murmura qu'elle arrivait. Elle avait du mal à concevoir que son grand frère partait pour Poudlard. Elle ne voulait pas rester seule, elle ne pouvait pas vivre sans Baël. Passant sa petite main sur ses yeux, elle décida de faire bonne figure. Mais une fois dans la voiture, son grand frère commenca à parler de Poudlard et les larmes de Laura coulèrent. Instinctivement, Baël passa un bras derrière ses épaules et la ramena contre lui.

" Ne t'inquiete pas Laura, tu restera toujours mon unique raison de vivre. Quatre ans, et tu me rejoins. "

Hochant la tête, elle murmura un faible " Ok ", puis regarda tristement son frère s'eclipsait pour aller acheter une baguette. La plus grande fiertée de sa vie, pensa t'elle avec dédain. Et elle n'avait pas tord, car son frère fit l'aquisition d'une baguette en boix de chène, trente et un centimètre et deux milimètres précisément - le vendeur mettait un point d'honneur à ne pas l'oublier - très maniable, et qui, Baël en était certain, serait capable de faire de grandes choses ! Satisfait, il prit un malin plaisir à se pavaner avec, mais trop peureux, la rangea lorsqu'un plus grand lui proposa de la tester sur lui même. Il se promit que la prochaine fois, quand il ne serait plus aussi inocent en sortilège, et qu'une nouvelle tuile lui tomberait dessus, il serait près à l'affronter. Et pas de quartiers ... De son côtès, Laura avait retrouvé son sourire et sa mimique joyeuse. Elle brandi du papier à lettre et Baël remercia le ciel que sa soeur ne l'ai pas choisie rose - d'ailleurs, il était probable qu'elle n'aimait pas le rose- et lui lança un coup d'oeil intrigué, mais néanmoins le pris dans ses mains. Baël, aussi courageux que possible n'était pas non plus assez fou pour contrarié Laura en ce moment. A ça non ...

" Pour toi ! Tu m'ecriras hein, promis ? Tous les jours, tu me raconteras absolument tout, promet le moi ... "

Il avait promis. Pas par peur, pas par crainte où par simple gentillesse. Juste parce que c'était Laura. Elle seule avait un don qu'aucune autre baguette n'arriverait à changer, qu'aucun autre sortilège ne pourait jamais changer : celui de l'attendrir. Et ce n'était pas chose facile pour Baël. Il se représentait lui même comme un coeur en diamant, froid et dûr, qui brille au soleil mais dans la noir devient terne et qui, comme chaque bijoux, appartenait à une seule et unique personne, sa soeur en l'occurence. Enfant, le jeune homme se révelait d'un tempéremment doux, gentil et très sensible. Il pouvait par exemple éprouver de la pitié pour un animal, ou un moldu qui aurait été bléssé. Toutes idées de violence le répugnaient. Que c'était il passait pour que celà change ? C'est juste que, réveillé dans son rève d'un monde parfait, le jeune homme de dix ans était tombé de haut, dans une chute libre sans parachute ni balais. La misère dans laquelle il vivait, la honte qu'il ressentait quand ses camarades se moquaient de sa tenue ... La vie est un compte de fée qui perd tous ses pouvoirs magiques en grandissant, lui répétait sa mère. Sûrement une des seules choses que Baël trouvait juste dans ses propos. De manière choquante, le petit Owned avaient changé radicalement, pour le plus grand malheur de ses parents qui voyaient, de même, Laura changeai. Baël, apprenant la réalité de la vie, éprouva une haine sans pareille devant l'injustice. Il voulait être diférent de ses parents, misérables sorciers qui le condamner à une vie de pauvreté, Laura et lui. A présent, fait de pierre et de marbre, il était difficile de cerner sa personalité et, au grand détriment de ses parents, Baël aimait beaucoup les livres de magie noire.

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La gare était en pleine agitation, les mères stréssaient d'avoir oublié quelque chose dans la valise de leurs enfants, ou bien que ce derniers ne sache pas se débrouillait. Baël et Laura éclatèrent simultanément de rire quand une femme demanda à son fils de laver ses slips à la main, de se brosser les dents le midi aussi et surtout, d'essayer de se retenir d'aller au toilette pendant les cours. La pauvre gamin semblait vouloir disparaître dans le sol, et ne cessait de lancer des regards inquiets autour de lui, soulager ensuite de voir que ouf ! personne ne lui prétait grande attention et que ouf ! sa mère semblait avoir finnit sa tirade. Baël fit la bise à ses parents, ne s'attardant pas dans des effusions de sentiments, puis se baissa à la hauteur des yeux de son unique raison de vivre : Laura.

" Promet moi que tu continuras de taper le chien du voisin, d'accrocher le chat par la queue, de teindre les cheveux de maman, de mettre de la mayonaise dans les pots de crèmes solaires de ta cousine, de mettre des punaises sur la chaise de tes professeurs, de cirer les tableaux, de degonder les portes de l'école, de mettre du savon sur l'estrade de M.Glow, de démonter les serures, d'inonder les toilettes, de faire croire à papa que tu as avaler le désherbant, de raser Corinne quand elle dors, d'étaler de la confiture dans les draps de papa et maman ... "

La liste des interminables bétises de sa soeur continua pendant un bon moment, et eurent l'éffet désiré par Baël : rendre le sourire à Laura qui ne supporter pas qu'il parte. Jamais ils n'avaient été séparés plus de quelques heures, et trois moins semblaient une éternité. Elle lui avait fait promettre, jurer de toutes les façons humainement possible de lui écrire, et lui avait ensuite prédit de nombreuses choses déplaisantes si il ne le faisait pas. Sur ce côté là, il était probable qu'il n'en sorte pas indemne, vu la capacité de Laura à trouvé des vengeances pour le moins surprenante. Le souvenir de ses dessous trouaient à un endroit ... disons génant, ainsi que ses pantalons restait cuisant, et Baël ne souhaitait pas se frotter aux crises de Laura une nouvelle fois. Compréhensible, non ?

" Ne t'inquiète pas, mais toi surtout, n'oublis pas de m'écrir. Ce ne sont pas les kilomètres qui réussiront à te protéger de ma vengeance "

Elle lui déposa un nouveau baiser sur la joue, avant de le laisser monter dans le train. Il ne releva pas les yeux pleins de larmes, sachant que, comme lui, elle fondrait en larmes seule, dans sa chambre, sans témoin. Pas de démonstration devant les autres, fière jusqu'au bout. Il admirait le courage de la petite Laura qui réussit à lui offrir un sourire presque crédible, et qui coura après le train en lui intimant l'ordre de lui écrire, promis-craché comme elle le disait avec sa voix enfantine. Les heures passèrent, et Baël s'ennuyait déjà de Laura, avec qui le trajet aurait été mille fois plus amusant. C'est fou le nombre de bétise que l'on peut faire avec elle, et y passa l'heure suivante à se demander ce qu'aurait fait Laura. Démontait la vitre ? Oui. Faire partir un groupe de gens dans un compartiment en s'installant à leurs côtés et en parlant très fort, lançait des boules puantes dans la couloir, étendre la cordellete des storres par terre pour que les autres y trébuches, faire des croches patte à ceux qui passaient les bras chargés de friandises, et en chipper quelques unes au passage ... Un sourire au lèvres, il descendit enfin du train et rejoignit la file de première année. La traversait du lac fut d'une banalité décevante, il s'attendait à mieux : des dragons, des troles. Il avait dû se contenter d'un faible tremblement dans l'eau, térrifiant certains qui parlaient du calamar géant, mais il fut vite déçu en apprenant que ce derniers ne sortait jamais. Feignant ... La grande salle offrit la chaleur tant attendue, mais Baël ne pensait plus qu'a une chose, la maison dans laquelle il allait atterir. C'est à peine s'il entendit la chanson du choixpeau magique :

Voici un peu plus de mille ans
Lorsque j'étais jeune et fringuant
Vivaient quatre illustres sorciers
Dont les noms nous sont familiers :
Le hardi Gryffondor habitait dans la plaine,
Poufsouffle la gentille vivait dans les chênes,
Serdaigle la loyale régnait sur les sommets,
Serpentard le rusé préférait les marais.
Ils avaient un espoir, un souhait et un rêve,
Le projet audacieux d'éduquer les élèves,
Ainsi naquit Poudlard
Sous leurs quatre étendards.
Chacun montra très vite
Sa vertu favorite
Et en fit le blason
De sa propre maison.
Aux yeux de Gryffondor, il fallait à tout âge
Montrer par-dessus tout la vertu de courage,
La passion de Serdaigle envers l'intelligence
Animait son amour des bienfaits de la science
Poufsouffle avait le goût du travail acharné,
Tout ceux de sa maison y étaient destinés,
Serpentard, assoiffé de pouvoir et d'action,
Recherchait en chacun le feu de l'ambition.
Ainsi, tout au long de leur vie,
Ils choisirent leurs favoris,
Mais qui pourrait les remplacer
Quand la mort viendrait les chercher ?
Gryffondor eut l'idée parfaite
De me déloger de sa tête
Les quatre sorciers aussitôt
Me firent le don d'un cerveau
Pour que je puisse sans erreur
Voir tout au fond de votre coeur
Et décider avec raison
Ce que sera votre maison !

A présent, Baël n'avait plus aucun doute. Serpentard serait sa maison, et pas une autre. Sentiment confirmé lorsqu'il s'approcha du choixpeau et le posa sur sa tête. Le reste de la conversation restèrent secrète pour quiquonque n'était pas juste à côté du jeune homme. Et personne n'y était.
Le choixpeau trésaillit, avant de murmurer ...

" Tu as dans la tête des choses noirs comme je n'en avait pas vu depuis longtemps, et pourtant de la tendresse mais uniquement pour ta soeur. Serpentard semble la ligne toute traçé que ta voix doit suivre, et pourtant je sais que je te condamne ainsi à devenir ... mauvais ?
- Serpentard. Aucune autre maison ne me convient, et vous le savait, declara le jeune homme d'une voix froide - et tellement calme qu'elle en fut presque menacante - qui fusa tel le murmure du vent.
- Très bien. Mais je le regreterais sans doute ...
- SERPENTARD ! "

Baël eut un sourire satisfait et se dirigea ensuite vers la table des verts et argents qui applaudissaient tellement fort que certains élèves en vennaient à se boucher les oreilles. Un prefet lui tapa sur l'épaule au moment où il s'installer, et lui souhaita la Bienvenue dans la " meilleure maison de tout le temps ". Baël était aux anges. Quelques secondes plus tard, une jeune fille fut envoier à Gryffondor, et aussitôt une huée s'éleva de la table des Serpentards. Ravie de l'ambiance, il s'y joignit et fut satisfait de voir la jeune Gryffondor rougir jusqu'aux oreilles. Plusieurs tapes sur son épaule lui confirmèrent ses pensées : il venait de passer avec brillance son premier test de cruauté, et il ne demandé car renouveler l'expérience. Il se sentait terriblement bien, à cette table où l'on parlait de la magie noire comme de la pluie et du beau temps, où Voldemort apparaissait comme un héros et où tout geste de méchanceté gratuite était vue comme une bénediction. Baël avait donc l'impression d'être enfin chez lui.

Un soleil éclatant éclairait le parc de Poudlard, et le jeune élève de deuxième année se baladait fièrement, la tête haute comme tous les Serpentards. Trainant toujours avec des plus grands que lui et se faisait admirablement respecter par ses aînés qui aimaient son esprit vif, on le considérait comme le Parfait Petit Serpentard. C'était le premier jours de classe de l'année, et notre chère Baël ne trouvait rien d'autre à faire qu'embetait les premiers années. Son voeux fut exaucé quand une petite Gryffondor le bouscula sans faire exprès, s'entend.

" Et toi la petite là ! "

La petite en question releva la tête et lui offrit un sourire digne de sa soeur, tellement le regard était noir. Si c'était pas une vraie Gryffondor ça ...

" Quesqu'il y a la grande perche ! "

Non mais pour qui cette demi-portion se prenait-elle !

" -Fait attention Bouffondor ...
- Désolé, on m'a appris a ne pas gaspiller ma salive pour rien. Et puis je n'es aucune envie de me fatiguer pour une sorte d'énergumaine comme toi. Tu es tout sauf potable comme ami crois moi !
-Je ne te permet pas de me parler comme ca ! "

Ah ... la jeune fille trésaillit, peut être venait-elle de réaliser qu'il faisait dix bon centimètre de plus qu'elle, qu'il avait l'avantage de taper fort et juste, et que ses yeux lançaient des éclairs meurtriers ... N'importe qui se serait démonter et aurait bredouillé de plates escuses. Pas elle.

" Me permettre ? Me permettre ? Nous somme dans un pays d'expression libre ! Je dis ce que je veux !"

Pour le coup, Baël en fut réduit au silence, admirant le courage de la jeune fille et son sens de la répartie. Sans se démonter, elle le gratifia d'un regard noir avant de lui tourner le dos, fière comme un paon. Il la rattrapa, puis lui dit d'une voix cette fois gentille.

" Baël Mathias Owned ... Mais Baël suffira. - Eloïse Smith
- Enchantée, et franchement bravo pour ta répartie - Merci. Toi c'est pas mal, mais assez décevant ....
- Hé ! Je te préviens, je peux encore repartir! - Tu le feras pas. Sinon tu l'aurais déjà fait .... "

Les bases d'une solide amitié se forgèrent en quelques heures, et quoi qu'en disent les autres, Eloïse était la seule personne qu'il aimait vraiment dans cette école. Ne cherchant jamais à l'épargner, elle lui disait ses quatres, ne le juger jamais pour ses bétises et ne porter presque jamais de jugement, mais toujours franche. Entre eux deux, quelques règles simple comme : se dire la vérité, avouer si quelque chose gène, et pas d'histoire d'amour qui pourait gâcher cette parfaite amitié. Mais tous deux savait qu'ils ne seraient jamais amoureux, préférant les habituelles disputes. C'est sûrement en partie grâce à elle qui supporta le dénis de ses parents quand ils apprirent qu'il était à Serpentard et le jugèrent coupable du fait que Laura suivent ses pas. Eloïse se contenta de lui faire comprendre qu'on ne choisit pas sa famille, mais qu'on peut choisir ses amis. En autre, elle n'aimait pas son attirance pour la magie noire, mais ne fit jamais aucun commentaire, sauf qu'elle refusait de lui parlait lorsqu'il était avec d'autres Serpentard. Baël passait donc beaucoup de temps entre ses amis, et elle, puis vint l'arrivé de Laura, qui, sans grande surprise, atterit à son tour a Serpentard.

Chapitre 4 : Possession


Baël descendit rapidement les marches, courant presque dans l'obscurité du chateau, désireux de commencer au plus vite. Un rapide coup d'oeil sur une vitre pour son reflet, et il reprit sa longue marche illégale. A vrai dire, il était tout sauf banal. Beau l'aurait qualifié, mais en cette nuit et avec ce petit côté " voyou " il était vraiment craquant. Tout d'abord, sa silhouette élançée ses muscles sayant, puis son côté drageur acentué pas ses cheveux blonds, son teint pâle et ses magnifiques yeux bleus. Il avait cet air classe, encore plus marqué par ses habits sombre et qui faisait habillé. Où allait il ? Et bien qu'elle question ... il allait rencontrer Lord Voldemort et en faire son serviteur. Se tenant très droit, comme à son habitude, il révisait les formules de politesse qu'il s'était promis de dire à son " héros ", puis aussi les ordres qu'il allait lui donner. Une année entière qu'il attendait ce moment, des mois de préparations, de doute, d'éssai ... mais cette nuit serait la bonne. Il s'enfonça dans le chateau jusqu'a atteindre une salle inutilisée des cachot où il s'installa à même le sol. Il posa ensuite le livre des morts devant lui, et entreprit de trasser le rond, le carré et la ligne destinée à faire revenir Lord Voldemort et à en faire son esclave. Il disposa le scarabée, symbole de vie et s'éloigna un peu de la figure, pas très rassuré. Mais normalement, tout aller bien se passer ... Il commença à récité d'une voix un peu tremblante :

« Un cercle pour l’esprit,
Un carré pour la vie,
Un triangle pour la prison,
Une ligne pour l’obéissance,
Le tout dans un pentagramme et tu passeras !
Poussière pour la terre,
Plante pour l’air,
Ecaille pour l’eau,
Bois pour le feu,
La vie pour la liaison,
Un par branche et matière tu redeviendras.
Je t’appelle, je t’invoque.
Tom Elvis Jedusor, Voldemort,
Mage noir, Maitre des Mangemorts,
Je te somme de venir, ici et maintenant.
Respectes les deux lois et sois en mon pouvoir.
Fais ce que je te demande et libre tu seras.
Au centre du pentagramme,
Apparaîs maintenant ! »

Une vague de fraicheur comme jamais il n'y avait eut s'empara de Poudlard. L'immence courant d'air traversa mur et porte, se répendant dans chacune des salles, chacun des recoins de l'antique chateau. D'un frisson simultané, les centaines d'élèves remuèrent dans leurs lits douillets, sans pour autant se réveiller. Baël regarda l'immence fraicheur éteindre une à une toutes les bougies de la salle. A son tour, il frissona de peur. Un filais d'ors déscendait du plafond, une chose auquelle Baël ne s'attendait pas. Etrange ... L'ombre dorée glissa doucement dans le centre du pentagramme. L’esprit semblait perturbé, un petit rictus d’incompréhension rendait son visage plus translucide qu’il n’aurait dû l’être. C’est à ce moment précis que Baël se mit à frémir, quelque chose n’allait pas. C’était écrit dans le livre qu’un être de chair et d’os devrait apparaître. Il devait y avoir une explication ! C’était évident ! Il se mit à regarder le livre qui se trouvait à ses pieds mais il faisait trop sombre pour qu’il puisse en lire quoi que se soit. Il préféra donc continuer le rituel plutôt que de chercher dans le livre, au risque de passer à travers son cercle de protection.



Baël - "Lord Voldemort, je te conjure de m’apprendre tout ce que tu sais sur la magie noire, sans opposer aucune résistance ni … "

Tom - "Euh … on est en quelle année ? Je savais qu’on m’appellerait un jour, mais pas si tôt !"

Baël – " Ça fait un peu plus de deux cent ans que Harry Pot … "

Tom –"Mais … c’est passé tellement vite ! Enfin bon. Alors t’attends quoi de moi ?"

Baël – "Je voudrais savoir tout ce que vous pouvez me dire sur la magie noir, et de quelle manière vous avez eu autant de pouvoir."

Tom – "Ah … tu aurais fait un mangemort pathétique ! C’est à toi de découvrir et pas aux autres de t’apprendre ! Mais comme tu as ce que j’ai toujours désiré... Appelo Mortem, comment as-tu obtenu ce livre ?"

Baël – "Et bien … "

Tom – "Silence !"

Baël se sentit rougir, il avait pensé pouvoir dominer Lord Voldemort, mais même enfermé au moyen de la magie la plus puissante du monde, il restait supérieur aux autres. C’était évidement qu’il ne maîtrisait plus les choses, et devant lui, le mage noir semblait avoir une idée. L’ombre lumineuse s’approcha lentement du symbole qui le maintenait enfermé, il semblait chercher un détail, une faille. Le premier à réaliser fut Baël, il comprenait à présent ce que voulait dire la vie pour la liaison, c’était un sacrifice, son minable scarabée était bien trop faible par rapport à l’esprit invoqué, c’était un animal imposant qu’il aurait dû utiliser, voilà d’où venait l’absence de corps ... Mais ce n’était pas tout, devant lui, un sourire animait le visage translucide. L’invoqué fit un pas en avant, jusqu’à toucher la prison magique, puis il la traversa sans la moindre difficulté. L’élève de Serpentard marmonnait quelques ordres inefficaces alors que sous ses yeux, son esclave lui échappait. Ce n’était pas une mais quatre erreurs qu’il avait commises. Le triangle et la ligne étaient fendus par les dalles de pierres constituant le sol, interrompus, ils devenaient inefficaces. Et à ses pieds, son cercle protecteur avait le même problème. C’était trop tard, l’esprit était libre, l’esprit avait besoin d’un corps, l’esprit se servit … La lumière entra progressivement dans le Serpentard, puis disparut entièrement …




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Baël se frotta les yeux et les ouvrit brusquement, curieux de se retrouver dans sa chambre alors qu'il n'avait aucun souvenir de s'y avoir couché. Il descendit, s'habilla et se regarda dans la glace. Aucun changement, sauf une atroce migraine et une amnésie pour le moins troublante. Il devait sûrement couvait quelque chose. Une fois dans la grande salle, il se trouva de plus en plus intriguée. Il était pourtant certain d'avoir fait quelque chose de sa soirée, même quelque chose d'important et qu'il attendait depuis longtemps. N'avait il pas prévue de ramener Lord Voldemort ? Mais à bien y réfléchir, il s'était probablement couché à caus de cette horrible migraine, et de toute façon, il se serait souvenue si il avait vu son héros, non ? Se touchant son front brulant, il se dirigea vers Eloise et lui toucha le bras.






" Mon dieu Baël tu ne peux pas te montrer comme le font les gens normaux ? Tu m'as fait une peur bleue ... ca ne va pas ? "






Sa colère s'était évanouie à la vue de son meilleur ami qui tremblait de tout son coeur et transpirait beaucoup. Elle se leva, attrapa une tartine à la volait puis partie en sa compagnie, le soutenant légèrement. Il s'adossa au mur et laissa Eloïse lui toucher le front, appreciant ses mains glacées et la douceur de ses gestes.









" Tu t'es battu ?



- Non Eloïse, je me suis réveillée comme ça et ca empire ... et je ne me souviens plus d'hier, juste le souvenir de t'avoir dit aurevoir et d'avoir embrassé Laura ...



- Le match de Quidditch approche Baël, et c'est très bien qu'en tant qu'exellent joueur, tu risques une attaque. Le sortilège de confusion me semble la solution à ton malheur, et la migraine sûrement un effet secondaire, tu devrais aller ...



- Je n'irai pas à l'infirmerie, je me contenterais de tes soins, comme toujours ... "









Maintenant qu'il y pensait, l'hypothèse d'Eloïse était tout à fait probable. Depuis son entrée à Poudlard, il exellait dans l'art du quidditch et avait fait l'aqquisition récente du derniers balais d'acualité, un petit bijou de vol et d'habilité qui épousait ses moouvements et répondait à chacune de ses caresses. Il ne l'avait jamais trahis, et les envieux de le posseder se bousculai par dizaines. Le match étant crucial, Baël s'avait que si il déclarait forfait, les Serdaigles auraient des chances de devenir les favorix. Eloïse avait raison, il avait dû se prendre un sortilège, une fois encore. La remerciant, il se laissa soignée par sa meilleure amie, bientôt rejointe par sa soeur.






Voilà Fin

Bienvenue sur Appelo Mortem Baël

Ta fiche est parfaite !
*_* J'ai vraiment adoré la lire ^^
Sinon, puisque tu es un perso prédéf', tu es mis d'office à Serpentard

Voilà, va voir dans les clubs, si quelque chose te donne envie d'y participer.
Créé ta Liste de Rp et si jamais tu as le moindre problème, fais appel aux Admins [Travis & Maximilien] ou s'ils ne sont pas là, et bien je suis là héhé


Ps. Tu dois compléter ton profil pour que je te valide, ainsi que la "pensine". Envoie moi un Mp lorsque c'est fait

Bienvenu parmis nous Baël, amuses toi bien ! ^__^
Et je confirme, très jolie fiche !

Voilà, je t'ai tout mit comme il faut.
Si tu veu je peut modifier ton pseudo en Baël M. Owned, je pense que sa ferait mieux.
A par sa bienvenue

Vouiiii et je te valide comme ton profil est bon ^^

Merci à vous tous ! Oui je change mon Pseudo tout dessuite, et encore merci pour tout !

Bienvenuuuue Baël,

Boon jeu ^^

Bienvenue mon grand frère

Merci à vous deux !
J'adore ta signature Ma soeurette Chéeerrrie !