┤A l'intérieur de Poudlard├

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| Priorité à Maximilien |

Comme une chemise tâchée d'encre. [fini] Ccic610

Comme une chemise tâchée d'encre. [fini] Edwic3im4

Do you ever feel like breaking down ?
Do you ever feel out of place ?
Like somehow you just don't belong
And no one understands you

Léo - « Nooooon ! Espèce de petit couillon !! Tu sais combien ça coûte une robe de sorcier ?? »

Léo – « Tu ne perds rien pour attendre ! Sale petit morveux … »

Léo – « Punaise, punaise de chez punaise ! C’est pas bientôt fini ce Bordel ?? »

Léo – « Ahhh ! Max ! Tu sais que tu m'as fais peur ?? Huuum ?? »

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Comme une chemise tâchée d'encre. [fini] Chace-and-Ed-chace-crawford-1057466_100_100

« La véritable amitié sait être lucide quand il
faut, aveugle quand elle doit. » Francis Blanche

C'est nous contre leurs peines
Et le message est clair
Les mots passent
Et l'indifférence règne
Si le mal me gagne
Coupable seul de n'avoir rien su faire

Une légère brise parcouru la pièce, il faisait frai en cette douce après-midi de septembre et l’humeur qui planait dans l’air était léger, doux, joyeux et agréable…les gens se regardaient avec un sourire entendu, complices voir même amoureux, tout semblait parfait et une sorte de tranquillité et plénitude régnait à l’intérieur de la salle commune. Dieu, lui-même en aurait été écoeuré. Le silence était de vigueur, certains chuchotaient dans les coins mais beaucoup avaient un bouquin sur les genoux que ce soit pour les cours ou par pur loisir, tout le monde était à l’aise, bien installé, comme si c’était un moule. Comme si tous le monde avait un endroit bien précis, une place adjugée, donnée. De temps en temps, une nouvelle tête arrivait dans le décor calme et serein et venait s’installer à une place libre tel un robot, en saluant discrètement quelques personnes. L’intelligence, le calme et la confiance régnait dans la salle commune des serdaigles et malgré le monde qui y trônait on aurait pu entendre les mouches voler.
Maximilien était tranquillement assis à une table, un nombre incalculable de bouquins était étalé devant lui à des pages diverse et il avait dans se main une magnifique plume blanche qu’il ne cessait de mâchouiller, espérant peut-être qu’elle lui donnerait l’inspiration afin de terminer ce devoir de potion sur lequel il planchait depuis la vieille. Mais peut-être que si il prenait le temps de lire ne fuse qu’une phrase d’un des livres, cela l’aiderait. Mais il se trouvait un peu dans la lune, pourquoi un devoir de potion ? C’était de la torture pour lui à chaque fois qu’il écrivait une phrase, il revoyait Loreana Wilde. Il la voyait debout devant lui, en train de donner cours, il entendait résonner dans sa tête sa voix si douce, si autoritaire, si parfaite, il revoyait son cours qu’il parcourait dans sa tête de caresses plus voluptueuses les unes que les autres. Et puis il revoyait ces lèvres, ce baiser qu’ils avaient échangés, il y’a de cela trois jours…Il n’en pouvait plus, il ne voulait pas en parler, il s’était juré de ne pas le faire mais il le devait. Il ne tiendrait pas le coup sinon : ce soir il en parlerai à Léo, lors de leur rendez-vous habituel du mardi…Il sourit en y pensant et se dit qu’il ferait mieux de terminer enfin ce devoir. Il baissa la tête et se mit sérieusement au travail...

TRAVIS_ « Bah…Max, que fais tu encore là ? »
MAXIMILIEN_ « Je travail, pourquoi ? »
TRAVIS_ « Tu as vu l’heure…Léo va t’attendre ! »
MAXIMILIEN_ « Crotte de dragon en slip…Merci Travis et à plus tard ! »

Maximilien, poussa par une force inconnu, se leva alors vivement, embrassa son ami sur la joue et couru dans son dortoir…Il enfila rapidement un pull et attrapa sa guitare qu’il glissa dans sa housse avant de partir : direction le parc. Il avait dans les poches ses paquets de cigarettes et autres, sur le dos, son instrument préféré et il n’avait qu’une hâte être à côté de Léo. Il adorait le temps qu’il passait avec son ami, il le chérissait énormément et surtout profitait de chaque moment avec lui comme si c’était le dernier parce que Lorsque Maximilien se trouvait avec Léo, tout allait bien, tout changeait, tout devenait rose et bleu. IL n’avait plus peur de rien, plus peur d’être jugé. Il pouvait se confier, tout dire sans aucun gène. Il ne lui avait jamais caché et ne lui cacherai jamais rien, il avait une confiance absolue en Léo et il savait que c’était réciproque. Léo était la personne qu’il aimait le plus au monde sur cette terre, il le connaissait de puis plus de douze ans alors inévitablement, ils n’avaient plus de secrets l’un pour l’autre. Ils se connaissaient sur le bout des doigts et ils arrivaient encore à ne jamais s’ennuyer ensemble, à trouver un juste milieu entre conversation sérieuse et rigolade…Ils se comprenaient, connaissaient les réactions de l’autre, connaissaient ses faiblesses…Oui, Léo était la personne avec laquelle Maximilien avait le plus envie d’être en ce moment, avec lequel il avait le plus envie de parler…

Le jeune serdaigle arriva enfin dehors. Il regarda les alentours et commença à marcher calmement en direction de la rizière de la forêt interdite. C’était là, tous les mardis qu’ils se retrouvaient pour parler, discuter, pour avoir leur moment à eux mais aussi pour jouer de la guitare, pour continuer leurs chansons et peut-être enfin sortir le cd qu’ils projettent de créer depuis leurs dix ans…Mais c’était surtout une occasion de se retrouver, de s’amuser, de s’aimer tranquillement, de s’adorer…Leur amitié était pure et pour rien au monde, ils ne l’auraient échanger.
Maximilien arriva donc à l’endroit prévu habituellement et s’installa par terre. Il posa sa housse de guitare par terre, se coucha complètement sur le sol et attendit. Il regarda les nuages, s’amusa à leur donner des formes, des noms, il arracha les brindilles d’herbe pour les rejeter un peu plus loin, ils sifflota, commença à chanter mais il finit par trouver le temps long et surtout il commençait sérieusement à s’inquiéter. Jamais Léo n’avait louper un rendez-vous sans le prévenir, que se passait il donc ?

Il se releva alors vivement et se mit à courir vers le château, se demandant vraiment pourquoi son meilleur ami n’était pas là, avec lui, en ce moment même. Il monta les escaliers quatre à quatre, parcouru les couloirs à toutes vitesses lorsqu’il se fit bousculer par un élève. Il voulu se retourner pour crier, le rattraper et lui faire passer l’envie de rebousculer un jour Maximilien Middle mais en regardant par-dessus son épaule, il reconnu la silhouette qui courrait au loin : c’était celle de son ami : Léo Sanchez. La house de guitare accroché sur ses épaule, il se mit à courir le plus vite qu’il pu, essayant de ne pas perdre Léo de vu et c’est là qu’il l’aperçu en train de rentrer dans les toilettes des filles. Emplis d’incompréhension, il se glissa à l’intérieur et aperçu Léo qui était désespéramment entrain de frotter sa chemise à l’évier. Celui-ci se retourna vers lui, la peur dans les yeux. Peur, qui disparut dés qu’il vit Maximilien en face de lui…

LEO_ « Ahhh ! Max ! Tu sais que tu m'as fais peur ?? Huuum ?? »
MAXIMILIEN_« Mais enfin Léo, qu’est ce qui t’arrive ? Ça fait une demis heure que je t’attends dans le par cet…Pourquoi es tu torse nu ? Léo, enfin ça va ? Tu fais une drôle de tête qu’est ce qui s’est passé ? »

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LEO – « Ah ! Max ! Tu sais que tu m’as fait peur ?? Huuum ?? »

MAXIMILIEN – « Mais enfin Léo qu’est-ce qu’il t’arrive ? Ca fait une demi-heure que je t’attends dans le par cet…pourquoi es-tu torse nu ? Léo enfin ça va ? Tu fais une drôle de tête qu’est-ce qui s’est passé ? »

Léo le regarda fixement tout en l’écoutant. Il baissa alors les yeux vers sa chemise qu’il avait dans une main, le savon dans l’autre avec en plus de tout ça, sa cape de sorcier accrochée à l’une des portes fermées des nombreux toilettes. Son torse était bien nu et il était également vrai que Léo était sensé rejoindre son ami dans le parc pour gratter un peu à la lueur du soleil, pour profiter un peu de ce temps clément qui régnait au-dessus de Poudlard. Le garçon garda quelques secondes le silence, le temps de changer de lavabo pour être enfin face à Maximilien tout en pouvant poursuivre sa tâche principale qu’il avait débuté. Ses yeux bleus se levèrent alors une nouvelle fois, fixant le regard incrédule de son ami qui l’amusait beaucoup, il fallait l’avouer.

LEO – « Par les crottes de nez du raz de Tante Huberte ! Tu vois bien que je fais ma lessive… »

Le jeune Serdaigle leva en l’air son savon et sa chemise où une tâche était toujours visible, alors que le robinet coulait toujours. Il lança un sourire ironique à Maximilien, plaisantant aisément avec lui. Il savait que quoi qu’il arrive, il n’allait pas se moquer de lui du fait qu’il soit obligé de laver ses vêtements étant donné que l’or ne coulait pas sous son le sapin de Noël dans sa famille. Léo remis alors sa chemise sous l’eau, savonnant la tâche en essayant de frotter activement pour que cette satanée tâche disparaisse une bonne fois pour toute.

LEO – « En fait…il y avait une mini-portion excessivement maladroite qui m’a renversé de l’encre sur ma chemise ET ma cape de sorcier…et puisqu’en ce moment on est un peu dans le rouge chez moi, il faut que je me débrouille pour décaper cette sale grosseur sur mes vêtements… »

Le garçon se devait tout de même d’expliquer le pourquoi du comment à Maximilien, pour qu’il cesse au moins de le fixer de ses grands yeux interrogateurs. Léo ne put cependant pas lever la tête pour le regarder en face lorsqu’il lui avoua tout ceci, craignant de croiser le fond de ses yeux quand il parla du manque d’argent de ses parents ces derniers temps. Il n’aimait pas trop en parler, même avec lui. Il savait que jamais il n’aurait à craindre les répliques de Maximilien, mais il ne pouvait pas s’empêcher de ressentir une once de honte au creux de son estomac lorsqu’il parlait d’argent. Le blondinet s’en prit alors à la savonnette, qu’il ne cessa de frictionner contre le tissu, tout en laissant couler de l’eau dans l’espoir que ça aide.

Mais à force de garder le savon sous l’eau, de le frotter aussi maladroitement que le faisait Léo, cette savonnette lui glissa des mains sans qu’il puisse la rattraper à temps. Elle partit alors dans son bond, sautant par-dessus les lavabos pour aller directement sur…Maximilien. Dans le mille ! En plein sur son crâne, pour finir par terre après y avoir rebondit. Léo ouvrit alors la bouche, surpris. Il ne la garda cependant pas très longtemps ainsi, commençant ensuite à se tordre de rire devant la tête que tirait son ami avait s’être fait frappé par la savonnette ! Léo rigolait de bon cœur, plein de joie et de moqueries sympathiques, se tenant au lavabo pour ne pas tomber. Il fallait dire que celui-là riait facilement pour un rien et parfois même tout seul…Ce qui arrivait d’ailleurs souvent ces temps-ci.

LEO – « Désolé…j’ai même pas fait exprès…mais je dois dire que c’était pas mal…Tu pourrais me la renvoyer pour que je puisse continuer ma lessive étant donné qu’en cours ils nous disent même pas comment laver nos vêtements d’une manière sorcière ! Non mais qu’elle bande de citrouilles congelées de la tige… »

Léo lança un sourire à son meilleur ami, espérant qu’il allait lui lancer sa savonnette. D’autant plus qu’elle lui était précieuse s’il voulait continuer sa lessive moldue. Il eut pourtant si soudainement l’idée qu’il était fort probable que l’autre Serdaigle lui renvoie son savon en plein sur la tête, juste pour s’amuser et déconner un peu…Léo aurait de quoi riposter si jamais Maximilien se lancer dans ce genre d’aventure !

LEO – « Saleté de morveux à deux pattes…non mais quelle idée de se promener dans les couloirs avec de l’encre sur soi ! Il est inconscient ou quoi…en plus j’suis sûr qu’il a fait baissé ma côte auprès des filles vu la manière dont elles me regardaient quand je me suis énervé après cette mini-crotte… »

Léo regardait toujours sa tâche sur sa chemise, lorsqu’il parla une nouvelle fois. Il leva alors soudainement les yeux, un sourire malicieux se dessina dans le coin de ses lèvres.

LEO – « Je vais être obligé de me faire pardonné auprès d’elles…toutes en même temps ça serait le pied ! »

Léo se mit une nouvelle fois à rire, après avoir laissé plus d’un sens caché dans sa phrase destinée à Maximilien.

Sujet: Re: Comme une chemise tâchée d'encre. [fini] Dim 14 Sep 2008 - 14:50

«Qui ne songe qu'à soi quand sa fortune
est bonne, Dans le malheur n'a point d'amis.. » Jean-Pierre Florian

Il y avait des choses que Maximilien détestait. Par exemple il n’aimait pas courir des kilomètre, il n’aimait pas mentir, il détestait rater un devoir, avoir une mauvaise note, ne pas dire la vérité. Il haïssait faire n’importe quoi, il n’aimait ni l’hypocrisie ni l’égoïsme. Mais si il y avait bien au chose qu’il détestait particulièrement c’était qu’on lui pose un latin…Mais heureusement pour Léo il y avait trois personnes qui échappait à cette règle et il en faisait parti pour la simple et bonne raison que le bonheur des gens qu’il aimait passait avant tout pour lui et qu’il pourrait attendre des heure quelques part juste pour voir passer cette personne, juste pour la voir sourire alors max n’ était même pas en colère sur Léo, juste incompréhensif parce que jamais au grand jamais son meilleur ami ne l’avait fait attendre alors au lieu d’être énervé, Maximilien était inquiet…Mais lorsqu’il avait vu Léo courir dans les couloirs, il s’était inquiété encore plus et l’inquiétude avait encore augmenté en le voyant entrer dans les toilettes des filles…Il poussa donc la porte et tomba nez à nez avec un Léo Sanchez courbé sur un évier entrain de laver ses vêtements enfin sa chemise. La porte ayant claquée l’avait fait sursauter et Léo c’était retourné en disant à son meilleur ami qu’il l’avait effrayé. Max lui dit alors qu’il y avait longtemps qu’il l’attendait dehors et il lui demanda ce qu’il faisait là…

LEO_ « Par les crottes de nez du raz de Tante Huberte ! Tu vois bien que je fais ma lessive… »

Maximilien ne put s’empécher d’éclater de rire à l’expression que venait d’utiliser le serdaigle. Léo avait l’art pour trouver des expression incongrue dans les moments les moins attendus et puis il fallait avuer que penser à la vieille tante Huberte dans un tel moment était assez bizarre mais c’était du Léo tout craché et c’était tout cela que Maximilien l’adorait, il arrivait toujours à trouver des choses imagée bien que le rat de tante Huberte ne soit pas une vision plaisante. Max avait du la voir une fois la tante éloignée de chez éloignée de Léo et il s’était promis de ne jamais remettre les pieds chez elle où ça sentait le vieux sombral jamais laver…Mais bon, le fait de savoir que Léo faisait sa lessive n’aidait pas vraiment Maximilien dans ses interrogation parce que pourquoi la faire ici ? Là tout d’un coup, n’avait il pas d’autre chemise propre ? Léo semblait lire la question dans le regard de son ami et toujours agitant ce vieux savon qui devait daté du temps de l’enfance de Rowena Serdaigle, il expliqua le tout à ce pauvre vieux Max tout perdu :

LEO_ «En fait…il y avait une mini-portion excessivement maladroite qui m’a renversé de l’encre sur ma chemise ET ma cape de sorcier…et puisqu’en ce moment on est un peu dans le rouge chez moi, il faut que je me débrouille pour décaper cette sale grosseur sur mes vêtements… »

Ah…Voilà qui expliquait tout. Maximilien se sentit légèrement mal à l’aise tout d’un coup. Il avait toujours eut tout ce qu’il voulait, niveau argent ses parents étaient dans l’ultra vert fluo voir même plus, jamais Maximilien n’avait manqué de quoi que ce soit et jamais il n’en manquerait vu l’héritage qu’il allait avoir mais il savait que son meilleur ami, Léo n’était pas dans ce cas là, bien au contraire. Oh certes, cela ne changeait pas la valeur de Mister Sanchez à ses yeux c’était juste qu’il se sentait mal à l’aise d’avoir tout ça alors que Léo méritait la même chose. Alors pour essayer de détendre l’atmosphère, Maximilien accorda beaucoup d’importance à la mini portion et répondit alors d’un ton amusé comme si de rien était parce que il y avait un fait : il ne jugeait pas Léo et ne le jugerait jamais.

MAXIMILIEN_ « C’est gosse ! Mal élevé je te jure ! A mon avis ils ont grandit avec des calamars géant parce que franchement on devrait apprendre aux mômes à fermer leurs encrier quand même, c’est un minimum et puis ne pas courir dans les couloirs du château ! Ta tante Huberte aurait été là, elle aurait piqué une crise, t’imagine un peu…Avec son énorme ventre et son rat sur ses épaule ! »

Maximilien n’avait vu s’empécher de faire, lui aussi, une allusion à cette vielle tata dont l’image s’imprégnait de plus en plus à lui bien qu’il n’en n’ait pas voulu. Cette vieille femme boulotte avec un crâne presque chauve qui sermonnant tout ce qui n’allait pas comme elle voulait et qui restait à la fenêtre de chez elle pour espionner ses voisins afin de mieux commérer ensuite…Tout ce que Maximimi détestait ! Enfin bon, cette vielle tante n’avait pas sa place dans la conversation, alors Maximilien se dit qu’il ferait mieux d’aider Léo. Il s’approcha de son ami qui s’excitait à force de frotter sur cette tâche qui ne partait pas et là. Tout se passa très vite. La savonnette sauta des mains de Léo pour atterrir directement sur la crâne parsemé de jolis cheveux de Maximilien qui lâcha un « ouille » au moment où le choc de l’objet se fit sentir sur son cerveau. Il porta immédiatement la main à sa tête en se la massant doucement. Il avait rattrapé la savonnette qu’il tenait dans l’autre main et il releva alors les yeux vers son ami et lui dit d’un ton amusé :

MAXIMILIEN_ « Je savais qu’un jour tu voudrais me tuer mais je me suis attendu à ce que ce soit avec un shampoing et non une vulgaire savonnette, je mérites mieux quand même, non ? »
LEO_ « Désolé…j’ai même pas fait exprès…mais je dois dire que c’était pas mal…Tu pourrais me la renvoyer pour que je puisse continuer ma lessive étant donné qu’en cours ils nous disent même pas comment laver nos vêtements d’une manière sorcière ! Non mais qu’elle bande de citrouilles congelées de la tige… »
MAXIMILIEN_ « Il ferait bien mieux de nous apprendre des trucs utile, d’office…ces espèces de cervelles de rat congelés, tiens attrape ta superbe savonnette ! »

Maximilien lança donc la savonnette qui atterrit directement dans les mains de son meilleur ami qui se retourna immédiatement vers sa chemise dont la tache d’encre ne semblait pas vouloir partir. Apparemment celle-ci était tombée amoureuse du beau vêtement qu’avait porté Léo aujourd’hui…Maximilien s’avança alors encore vers son meilleur ami observant attentivement les gestes énervés que faisait Léo, il dit alors d’un ton toujours amusé, histoire de détendre l’atmosphère :

MAXIMILIEN_ « Léo, Choup’s, calme toi ! La savonnette ne t’a rien fait et ta chemise non plus. A force d’y mettre une énergie de Dragon, tu vas finir pas les casser toute les deux…Allez, zen ! »
LEO_ « Saleté de morveux à deux pattes…non mais quelle idée de se promener dans les couloirs avec de l’encre sur soi ! Il est inconscient ou quoi…en plus je suis sûr qu’il a fait baissé ma côte auprès des filles vu la manière dont elles me regardaient quand je me suis énervé après cette mini-crotte…Je vais être obligé de me faire pardonné auprès d’elles…toutes en même temps ça serait le pied ! »
MAXIMILIEN_ « Roh, toi et ta fierté d’hippogriffe, allez pousse toi de là. Je crois connaître le sort pour nettoyer les vêtements »

Apparemment sa tentative pour calmer Léo n’avait pas des masses marché et Max n’aimerait pas être ce morveux qui avait fait cela parce que si Léo le rattrapait il allait servir de nourriture pour veracrasse ce qui n’était pas une activité gratifiante ! Enfin bon Maximilien avait eut une idée géniale pour arrangée les choses et ils n’allaient même pas embarrassé son ami…C’était un vrai génie. Il poussa donc Léo sur le côté, sorti sa baguette et la pointa vers la chemise. Il murmura un sort inaudible et…La chemise prit feu !
Maximilien prit d’un réflexe ouvrit grand le robinet et arrosa la chemise toute enflammée et une fois que tout fut éteint il regarda ce qui restait de tissus et se retourna vers son ami d’un air désolé :

MAXIMILIEN_ « Mec…je suis désolé ! Je suis aussi doué qu’une Hermione Granger devant un épouventar lui annonçant une note ratée ! Je sais pour me racheter, on va sortir et je vais t’offrir une nouvelle chemise ! C’est le moins que je puisse faire. Tiens prends ma chemise en attendant et allons à la tour des serdaigle que je mette un autre trucs et qu’on aille vite à pré au lard, remplacé ce que je viens de foutre ne l’air »

Mais…Léo se douterait il qu’il l’avait fait exprès ? Il était riche et comptait bien aider Léo sur ce point!

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MAXIMILIEN – Ces gosses ! Mal élevés je te jure ! A mon avis, ils ont grandi avec des calamars géants parce que franchement, on devrait leur apprendre à fermer leurs encriers quand même…c’est un minimum et puis ne de pas courir dans les couloirs du château ! Ta tante Huberte aurait été là, elle aurait piqué une crise, t’imagines un peu…avec son énorme ventre et son rat sur ses épaules ! »

Léo perpétuait les mêmes mouvements depuis quelques secondes, ne s’arrêtant pas une seconde dans l’espoir qu’avec cette méthode, cette maudite tâche pourrait enfin partir. Il adressa un simple sourire à son ami lorsqu’il lui lança une blague sur les calamars et sa Tante Huberte. A vrai dire Léo ne savait même pas s’il possédait une tante du prénom de Huberte, il avait dit ceci comme ça pour plaisanter…Il vérifiera la prochaine fois qu’il verra ses parents. Rabaissant sa tête sur sa chemise, le garçon frotta encore et encore à en sentir des crampes dans les bras. Il n’avait jamais laver un vêtement de sa vie, jamais laver quelque chose avec autant de dextérité. AH ! MAIS SI ! Bien évidement que si que Léo avait déjà frotté aussi fortement quelque chose…

||FLASH BACK||

Léo rangea sa baguette, admirant cette sale bestiole. Son pelage anciennement tigré, soyeux avait disparu. Sa petite bouille adorable et attendrissante également. Il ne ressemblait plus, mais alors plus du tout à un chat. Léo avait merveilleusement réussit sa métamorphose sur ce chat. Il avait à ses pieds, une espèce de Troll miniature qui avait tout des originaux, y comprit l’odeur. Le Serdaigle eut alors un sourire satisfait, alors qu’il tournait les talons pour sortir. Il pressa le pas, prenant ses jambes à son coup en sachant qu’il lui restait que très peu de temps avant que le professeur ne revienne de la Grande Salle. Il quitta alors la salle de classe. Léo était tellement pressé, tellement aveuglé par l’angoisse de se retrouver nez à nez avec son professeur auquel le chat appartenait qu’il percuta de plein fouet une personne dont il ne tarda pas de reconnaitre le visage. Un septième année – Gryffondore. Il s’écarta de lui, le regardant d’un air surpris.

LEO – « Euhm désolé…je voulais juste…enfin il faut absolument que je… »

PROFESSEUR – « Messieurs Alive et Sanchez ! Je vous prend sur le fait bande de petits chenapans ! Comment avez-vous osé ?! Si cela ne tenait qu’à moi, je vous aurai déjà renvoyé, exclu totalement de l’enseignement sorcier que vous ne méritez pas…mais nous avons un règlement…malheureusement. Vous serez donc en retenues. Pendant un moi minimum, chaque samedi soir…pour être bien sûre que vous serez présents dans le château.»

NEMO – « Mais attendez ce n’est pas… »

PROFESSEUR – « Pas quoi Mr Alive ? »

LEO – « Pchut ! Tais-toi tu vas empirer les choses… »

PROFESSEUR – « Au moins je vois que vous savez admettre vos tords Mr Sanchez…Je vous vois donc samedi, ne soyez pas en retard. Et…vous vous douterez bien que je laisserai le choix à vos Directeurs de maison de choisir quel nombre je devrait enlever de points…bonne journée messieurs… »

Léo lâcha le bras de Nemo qu’il avait attrapé quand ce dernier allait répliquer, voulant protester. Ce qui aurait été une grossière erreur…Il le regarda, voyant très clairement l’incompréhension totale dans son regard et également la colère qui commençait tout juste à monter en lui.

LEO – « Je vais t’expliquer…Neyo c’est ça ? »

NEMO – « Qu’est-ce que tu as fait ?! Pourquoi est-ce que ce prof nous colle aussi longtemps ! Alors que je n’ai rien fait…»

LEO – « Arrête de crier, calme toi Neyo…j’ai transformer le chat du prof en troll suite à un pari avec des potes c’est tout… »

NEMO – « C’est tout ? Non mais tu rigoles ?!…on va perdre des points, être dans le collimateurs de tous les profs, TOUT le monde le saura et on sera en retenue pour UN moi minimum et tu me dis de me calmer ?! »

LEO – « Neyo, calme toi…écoute je suis vraiment désolé tu n’étais pas sensé te trouvais là… »

NEMO – « Ouais et tu n’étais pas sensé transformer la bestiole juste pour un pari…t’es vraiment idiot dans ton genre toi ! »

LEO – « Oh et tu vas vraiment te calmer Neyo sinon… »

NEMO – « Merlin ! Mais arrête de m’appeler Neyo ! Mon prénom c’est Nemo et pas Neyo pauvre crétin… »

Léo le regarda avec l’envie de le frapper. Oui la simple et très forte envie de le frapper avec une bonne droite dans la mâchoire…Mais il dut se retenir, ne voulant pas aggraver les choses. Il se leva alors sans rien dire, partant vers sa Salle Commune où il devait dans un premier temps aller dire qu’il avait réussi son pari, puis dans un second temps, le prouver en leur précisant aussi la punition qui n’était qu’à la hauteur de son acte…A la fin de la semaine, Nemo et Léo étaient une nouvelle fois réunis dans les toilettes des filles, munis d’une brosse à dents moldus et d’un seau remplie d’eau et de savon. Ils étaient seuls, sans baguette, sans magie sans rien du tout pour les aider à alléger leur tâche : tout nettoyer de fond en comble. Et quelle crasse ! Léo avait comprit pourquoi plus personne ne venait ici…c’était les toilettes abandonnés. Les deux jeunes hommes avaient alors commencé leurs travaux, chacun dans son coin. Ils ne se parlaient pas, juste quand il fallait déterminer lequel des deux allait devoir changer l’eau du sceau.

Entre deux cuvettes, le Serdaigle était tout de même allé parler au Rouge et Or, voulant une nouvelle fois s’excuser. Seulement, ce dernier n’avait point répondu, continuant à frotter sans relâche. Le jeune Sanchez s’était alors mis juste à côté de lui, étant maintenant tous les deux séparés par l’unique planche en bois qui délimitait l’espace des toilettes.

NEMO – « J’ai les main qui puent la pisse…c’est dégueulasse… »

LEO – « C’est sûre que tu auras intérêt à te les laver quand tu approcheras une fille… »

NEMO – « Qu’est-ce que t’y connais aux filles toi ? »

LEO – « Peut-être la même chose que toi tiens !…Tu as touché un domaine dans lequel je suis meilleur que celui du nettoyage des cuvettes pour dragon ayant eut des problèmes d’intestin… »

Les deux garçons se mirent à rire en même temps. Apparemment, Nemo était résolu à faire la paix. Léo enchaîna alors sur d’autres sujets, alors qu’ils frottaient toujours. Ils apprirent à faire connaissance, bien qu’ils se soient déjà vus auparavant mais sans vraiment chercher à en apprendre plus sur l’autre. Ce fut surtout les escapades dans la forêt interdite où ils devaient normalement soigner des Sombrals, leur donner à manger ou alors aller chercher de simples plantes pour la Botanique qu’ils se rapprochèrent d’avantage. Etant donné que tous deux étaient nuls en orientation…ils passèrent plus que le nécessaire dans cette forêt.

||~~FLASH BACK~~||

Oh que oui, cette journée là ne fut pas la seule où Léo dut frotter comme un vieux Dragon qui essayait de craquer une allumette. Le jeune homme revint à la réalité lorsqu’il entendit les paroles de son meilleur ami tourbillonner dans son esprit. Il connaissait une formule pour nettoyer cette tâche ? Mais, mais…c’était génial ça ! Ah quel génie ce Serdaigle, toujours aussi surprenant. Léo se poussa donc puis l’observa un instant alors que lui tenait toujours sa savonnette dans sa main.

LEO – « T’es trop un p’tit intello’ en fait Max ! Allez hop fais moi disparaitre cette tâche… »

Léo donna une tape dans le dos à son ami, comme s’il voulait l’encourager dans sa formule. Il posa alors une nouvelle ses yeux azur sur sa chemise mouillée, attendant de voir comment son meilleur ami allait s’en sortir. Il regarda par-dessus son épaule, il le voyait brandir sa baguette, prêt à lancer le sort. Seulement, ce qu’il suivit l’étonna du plus haut point. Il fut tellement surpris que son seul réflexe lorsque sa chemise prit feu, fut celui de reculer, de rester coller contre le mur sans bouger et en gardant une moue des plus stupéfaites. Heureusement que Maximilien possédait une toute autre approche et qu’il avait eut l’intelligence et le bon réflexe de mettre la chemise sous l’eau pour éteindre ce feu non souhaité. Léo fixa ensuite son meilleur ami lorsque celui-ci ce tourna vers lui pour lui parler.

Il ne sut comment réagir en premier lieu. Il n’allait évidement pas s’énerver contre lui…Non ça il ne le faisait jamais. Mais…mais ! Sa chemise était carbonisée, ressemblant maintenant plus qu’à un vulgaire marshmallow ayant mal évolué au-dessus du barbecue et à qui on aurait croqué qu’un seul tiers. Le jeune Serdaigle s’approcha alors de Maximilien et ainsi donc de sa chemise, le regardant droit dans ses beaux yeux bleus d’où il put y voir son reflet. Constatant la mine déconfite qu’il avait, Léo reprit un peu ses esprits et changea d’aspect. Un léger sourire s’installa au coin de ses lèvres et son regard se fit plus vivant.

LEO – « J’aurai le droit de choisir la couleur de la chemise ? Non pas que je doute de tes goûts vestimentaires Max’…mais tu serais capable de me prendre une couleur fluo rien que pour le fun ! »

Le garçon sourit à son ami, prenant en main le chose qui ne pouvait plus posséder le nom de chemise. Il l’enroula puis la balança dans la poubelle en marquant un magnifique panier au passage. Son regard se posa une nouvelle fois sur son ami, alors qu’il s’approchait de sa cape qu’il avait accroché à l’une des portes des toilettes.

LEO – « Gardes ta chemise vieux, j’voudrais pas que tu tombes malade alors que le match de Quidditch approche ! Que serez l’équipe sans l’attrapeur qui déstabilise les sujets féminins de l’équipe adverse rien qu’en portant l’uniforme ? »

Léo était donc toujours torse nu, ne trouvant rien de bien gênant là-dedans en fait. Il ne fallait simplement pas tomber avec un professeur sous peine de recevoir une sanction pour non port de l’uniforme. Le garçon leva alors les yeux vers sa cape noire, qui elle aussi avait subit la tornade ‘gamin idiot encré’. Léo la prit sur son épaule puis observa un instant Maximilien, lui adressant un sourire des plus joyeux.

LEO – « J’pense que je peux me passer de te demander de m’aider pour la cape…Bon alors, où allons-nous maintenant ? »

Le jeune homme avait louché sur la guitare de Maximi, qui était toujours dans la pièce. Puis ses yeux azur retombèrent sur son ami, à qui il adressait toujours un sourire amusé.

Sujet: Re: Comme une chemise tâchée d'encre. [fini] Mer 24 Sep 2008 - 17:43

LEO_ « T’es trop un p’tit intello’ en fait Max ! Allez hop fais moi disparaître cette tâche… »

Maximilien ne put s’empécher de rigoler à la remarque de son ami. Mais pas un rire forcé de mal à l’aise, non un rire franc et agréable qui sonnait comme une mélodie aux oreilles de n’importe qui, un rire doux et fraie le genre qui redonnait la pêche ! Un rire d’un adolescent qui a tout pour aller bien, tout pour sourire et tout pour être heureux oui, c’était ce style de rire là que Max avait en ce moment même parce qu’un adolescent sans problème c’était ce qu’il était en compagnie de Léo. Il se sentait si bien avec son meilleur ami, il pouvait tout lui dire, il ne manquait jamais de rien et les deux faisaient tous pour l’autres respectant chacune de leurs difficultés respectives, ils pouvaient discuter de tout et de rien sans jamais se juger, c’était les seuls moments de la journée, ceux en compagnie de Léo et Travis aussi, que Maximimi pouvait être lui-même et rien que lui sans craindre qu’on se foute trop de sa tronche. Mais il n’avait pas rigolé que parce qu’il était bien mais aussi parce que la remarque de Léo sur lui ne pouvait être que drôle. Il fallait dire que les deux jeunes hommes se connaissaient depuis leurs trois ans alors ils en avaient vécu des histoires ensemble et l’histoire du petit intello, lui fit penser à la vieille de leur rentrée à Poudlard…Il ne pouvait s’empécher de repenser à cette soirée mémorable qu’ils avaient passés ensemble chez Maximilien…

FLASH BACK

Il faisait très sombre dans la pièce, seul une petite lumière en forme de balai les éclairait comme si un balai était suspendu au plafond. Les deux enfants étaient assis jambes croisées sur le lit, l’un en face de l’autres. Leur seul sujet de discussion était bien entendu la rentrée à Poudlard le lendemain ! Les parents de Léo allaient venir les chercher ici et c’étaient eux qui allaient accompagner les deux enfants à la gare mais les parents de Max n’avaient quand même pas voulu que leur fils n’aille chez Léo. Mais il s’en fichait, il était bien avec son meilleur ami avec un livre de sorcellerie entre eux. Ils avaient été ensemble le piquer dans la bibliothèque du père du propriétaire des lieux et ils essayaient bêtement d’apprendre la page de théorie du premier sort « Alohomora » par cœur.

MAXIMILIEN_ « Huum…Alors…Tournez une fois la baguette dans le sens des aiguilles d’une montre et fait une barre vertical vers le haut et marmonnant « Alohomora » et en accentuant sur le dernier « a » t sur le deuxième « o »…C’est bon ? »
LEO_ « Bah ouai…Comme d’habitude, c’est tout juste ! Espèce d’intello va ! Tu vas sûrement aller à Serdaigle ! »
MAXIMILIEN_ « C’est toi l’intello d’abord parce que toi tu connais toute la page sur « Wimgardium Levio quelque chose ! »
LEO_ « Loviosa Max, je te l’ai déjà dis ! »
MAXIMILIEN_ « Ouai bah tu vois ! »

Et voilà que Maximilien croisa ses mains sur son buste et tourna la tête l’air de dire « je boude », un vrai petit crapaud celui-là mais heureusement pour lui, Léo avait l’habitude des petites bouderies de Maximimi…Surtout parce qu’il savait que ce n’était pas des vrais bouderie c’était surtout que Max taquinait son ami en faisait semblant de raller parce que tous les deux savaient qu’ils étaient incapable de ne plus se parler, où de s’oublier, ils s’aimaient trop pour ça, ils étaient tout l’un pour l’autre…Ainsi donc le jeune Sanchez ne prêta pas du tout attention au geste de Middle se contentant de lui donner une forte claque sur la cuisse et de lui dire :

LEO_ « Arrête ton cinéma, j’aimerai qu’on parle des maisons…Je pari qu’on sera à serdaigle ! En plus, c’est une bonne maison ! »
MAXIMILIEN_ « Ouai, mais j’aimerai bien Poufsouffle aussi, il parait qu’ils font plein de bêtises et qu’ils sont supers unis donc ce serait bien aussi enfin vu comment tu joue l’intello ! »
LEO_ « Tu peux parler toi ! »
MAXIMILIEN_ « On aura cas être deux intello »
LEO_ « Ouaiii, le club des intello ! »
MAXIMILIEN_ « Ouaiiiii ! »

Les deux petits, contents de leur idée de club, se prirent les mains et les levèrent vers le plafond en suspendant aussi leur petit cul et ils crièrent leur noms de leurs club… »Le clubs des intellos » !

FIN DU FLASH BACK

MAXIMILIEN_ « Tu peux parler toi ! N’est ce pas ! Vieux membres va ! »

Maximilien savait que Léo allait comprendre l’allusion et n’attendit donc pas qu’il réponde pour se concentrer sur la chemise de son meilleur ami. Ce qu’il s’apprêtait à faire n’était en fait pas très correct, il le reconnaissait mais il ne savait pas trop comment s’y prendre. Il fallait être réaliste, Léo n’allait jamais récupérer cette chemise totalement propres et donc, il allait devoir subir une chemise tâchée et Max savait à quel point Msieur Sanchez détestait ça. Il fallait donc que la chemise soit suffisamment morte pour que Léo doive la changer mais comment le convaincre de le laisser payer ? Il allait lui-même casser la chemise. Ce n’est pas juste mais c’était ainsi qu’il allait aider son meilleur ami. Il pointa donc sa baguette sur cette chemise et marmonna un sort. Une seconde après la chemise avait pris feu, il ouvrit immédiatement le robinet et éteignit le feu rendant alors la chemise carbonisé et trouée toute mouillée. Il se confondit d’excuses devant son meilleur ami et lui proposa d’aller lui racheter une chemise immédiatement :

LEO_ « J’aurai le droit de choisir la couleur de la chemise ? Non pas que je doute de tes goûts vestimentaires Max’…mais tu serais capable de me prendre une couleur fluo rien que pour le fun ! »
MAXIMILIEN_ « Mais oui, tu seras même avec moi ! »

Non mais ce Léo il était quand même extraordinaire parce qu’il arrivait même dans un tel moment à plaisanter et à dire vrai, max aurait été capable pour embêté son ami de lui en acheter une rose fluo mais bien sur d’en avoir pris une autre avec mais celle là aussi juste pour l’enquiquiner mais Léo le connaissait que trop bien. Maximilien était surtout soulager qu’il ne lui en veuille pas pour la chemise carbonisé parce que Maximimi était sur que Léo savait qu’il l’avait fait exprès…Léo le connaissait très bien et savait comment il fonctionnait et puis de tout façon, max allait finir par le lui avouer parce qu’il lui disait toujours toute la vérité…Bref, il proposa à Léo son t-shert mais Léo refusa. Maximilien lui donna alors sa cape afin qu’il puisse la fermer et cacher son torse nu, tandis que lui, Middle, resterait en chemise.

LEO_ « Bon alors, où allons-nous maintenant ? »
MAXIMILIEN_ « On va au dortoir, tu prendras une de mes chemises et puis on ira à pré au lard pour t’acheter ta nouvelle, ça te va, choup’s ? »

Maximilien savait que son ami allait être d'accord. Il laissa alors léo passer devant lui, celui-ci faisant le clown comme d'habitude et tout deux après avoir vérifier que la voix était libre montèrent dans leur dortoir!

Invité . messages

Le lieu dans lequel ils se trouvaient n’était pas des plus agréables. En fait, cela devait être le seul à avoir un nombre de visites très faibles dans tout Poudlard. Il fallait avouer que le fantôme de Mimi était assez gênant lorsqu’il s’agissait d’utiliser l’une de ces toilettes. Léo pouvait comprendre. Avoir un de ces fantômes au-dessus de la tête alors qu’il aurait voulu être seul pour…enfin pour…Passons. Il ne supportait pas plus que ça cet endroit mais cette fois-ci il avait été obligé de le côtoyer s’il voulait être tranquille pour laver paisiblement ses vêtements. D’ailleurs, s’il se souvenait bien, la dernière fois qu’il était venu ici ça avait été en compagnie de cette jolie Poufsouffle de cinquième année. C’était lorsqu’il avait fait une sortie nocturne dans le château, trouvant cette demoiselle assise sur les marches du long escalier dans le hall d’entrée. Evidement, Léo s’était approché d’elle tel un preux et brave Serdaigle, courant vers la demoiselle en détresse. Il s’était fait une joie de la consoler, rien de bien étonnant si l’on connait le côté opportuniste du Bleu &Bronze. Puis il s’était ensuite balader avec elle dans les couloirs du château, faisant plus ample connaissance. Et de fil en aiguille, ils étaient entré dans l’endroit le plus proche et le moins fréquenté : ces toilettes-ci. Cela avait été une excellente soirée en sa compagnie…magnifique, si Mimi n’avait pas débarquée comme une furie !

Ce pauvre fantôme de malheur avait cru bon d’intervenir dans leur étreinte en criant sur Léo pour qu’ils cessent leurs petites activités. Apparemment, elle n’avait pas apprécié qu’ils viennent dans ses toilettes…Le Serdaigle la soupçonnait de les avoir espionné et d’avoir attendu le moment crucial pour les interrompre. Mais après tout, elle n’était qu’un simple fantôme. Le jeune Sanchez se faisait trop d’idées. Il fixa d’ailleurs son meilleur ami lorsque celui-ci lui répondit enfin suite à sa dernière réplique. Il lui adressa un sourire amusé, puis préféra attendre qu’il finisse sa tirade avant d’intervenir.

LEO – « Ca me va…En route pour les dortoirs ma poule ! »

Le jeune homme lui fit un clin d’œil suite à sa réponse, s’amusant à utiliser le surnom « ma poule » envers Maximi. Il savait que ce dernier n’était pas le dernier des imbéciles et qui comprendrait par conséquent qu’il ne faisait, évidement, que plaisanter. Simple amusement de sa part. Léo attrapa donc sa chemise et enfila la cape que lui tendait son ami. Une fois vêtu, le garçon se dirigea vers la porte pour pouvoir accéder aux couloirs et partir vers les dortoirs dans leur Tour en compagnie de Maximi. Mais au moment où il passa devant son ami, il tomba littéralement au sol en s’effondrant contre la pierre. S’étant retenu grâce à ses mains, Léo n’eut heureusement plus peur que mal. Le visage collé contre la dalle froide et le reste de son corps allongé sur cette même dalle, il se mit à rire tout seul alors qu’il n’y avait pas vraiment de raison. Le jeune homme se releva rapidement, toujours en riant aux éclats en se plaçant devant le Bleu & Bronze. Léo était plutôt du genre imprévisible et il ne fallait vraiment pas chercher à comprendre parfois, comme en ce moment-même. Il pouvait rire tout seul pendant quelques minutes, ne s’arrêtant pas et faisant attendre la personne concernée pour lui expliquer la cause de son hilarité. Le jeune Serdaigle s’arrêta alors un instant, reprenant son souffle et ôtant une larme qui perlait au coin de son œil gauche. Il reposa ses yeux sur Maximilien et lui adressa un sourire amusé.

LEO – « Avoue que c’est toi…bien que tu ais échoué ! Je suis toujours en vie et sur mes deux jambes héhé…»

Léo observa un instant son ami alors qu’il venait de lui dire cette phrase. Apparemment, il semblait qu’il ait quelque chose qui ne colle pas. Il soutint son regard pendant quelques secondes supplémentaires mais la conclusion trottait déjà dans son esprit : ce n’était pas lui qui venait de lui faire un croche-pied pour le faire tomber juste avant. Le jeune homme s’approcha de Maximilien d’un air prudent et positionna son visage à la hauteur de son oreille.

LEO – « Mon vieux…on est pas seul ici si ce n’est pas toi qui est l’auteur du croche-pied qui m’a fait faire des bisous à la grosse dalle puante située sous nos pieds…Il doit y avoir une autre personne…»

Chuchotant toujours d’une voix douce et basse à l’oreille de son ami, Léo resta dans son délire imaginatif. Il fit quelques pas en arrière avec une lenteur qui pourrait concurrencer un escargot. Le jeune homme se colla contre le mur des toilettes et avança vers la porte et maintenant sa colonne vertébrale collée la paroi. Tel un Egyptien, Léo poursuivit sa route toujours aussi enfoncé dans son imagination débordante. Il parvint enfin à la porte et fit volte-face pour regarder son ami. Le jeune Serdaigle lui fit rapidement signe de le suivre.

LEO – « La voie est libre mec ! Allez viens…»

Le garçon sortir alors dans le couloir, commençant une nouvelle fois à rire tout seul en se rendant compte de la bêtise de ses propos et de ses gestes. Heureusement que le ridicule ne tuait pas. Il se maintint au mur situé dans le couloir pour ne pas se retrouver encore par terre, en train de rire. Léo était un phénomène très particulier dont l’analyse révèlerait des choses qui ne valaient mieux pas découvrir. Ce garçon était capable du tout, pour le n’importe quoi. Comme il venait tout juste de le prouver une nouvelle fois avec son histoire d’esprit qui rôderait autour de lui. D’ailleurs, il ne savait toujours pas pourquoi il était tombé. Peut-être qu’il avait trébuché sur un pan de sa chemise qu’il tenait en main ou alors sur une de ces foutues vieilles pierres qui dépassaient parfois d’un centimètre de trop. Le jeune homme se reprit quelques minutes plus tard et commença à se diriger vers son dortoir…Maximi allait bientôt le rejoindre de toute manière.

. messages

┤A l'intérieur de Poudlard├

2^ème étage

Les toilettes de Mimi Geignarde

┤A l'intérieur de Poudlard├

2^ème étage

Les toilettes de Mimi Geignarde

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2^ème étage

Les toilettes de Mimi Geignarde