I. Vous

PRÉNOM : Julien
ÂGE : 18 balais (Vive le quiddich' !)
ANCIENNETÉ DANS LE RP : Entre 2 et 3 ans... A deux ans près.
COMMENT AVEZ VOUS DÉCOUVERT LE FORUM ? Par Del'
QUE PENSEZ VOUS DU FORUM ? Pour ce que j'ai pu en voir jusque là :

II. Votre personnage

PRÉNOMS : Nicolas Andrew
SURNOM : Nico
NOM : Malorn
ÂGE : 18 ans (Septième année.) Né le 11 janvier 2191.
ORIGINE / NATIONALITÉ : Anglais, de Londre.
STATUT DE SANG : Né moldu
PATRONUS : Colibri
EPOUVANTAR : Lion
CARACTÈRE : Solitaire, curieux, humble, sensible.
FAMILLE : Elisabeth et Edward Malorn (Moldus)
MAISON SOUHAITÉE : Serdaigle
PROJETS D'AVENIR : Se débarrasser de sa langue de poète.

RESUME (Pour les feignasses ^^) : Nicolas est un jeune homme de 18 ans qui est obligé de parler en vers bien malgré lui depuis qu'il a lu un livre enchanté pendant son enfance. Ayant cruellement manqué d'amour de la part de ses parents comme de la part de ses camarades de classe, il a grandit dans la solitude et s'est éduqué tout seul. A présent, il est plutôt introvertis, un peu rebelle, et montre difficilement ses sentiments. Mais sous cette carapace de marbre se cache une grande sensibilité bien difficile à atteindre... Studieux et sérieux, il excelle dans l'art des sortilèges et autres enchantements. Il garde en lui une ancienne rancœur contre la sorcellerie qui ne s'est jamais vraiment éteinte. Peu violent et plutôt calme, il préfère éviter les conflits, mais lorsqu'ils lui tombent dessus, il sait particulièrement bien se défendre, manipulant les sortilège avec un grand talent, et n'hésitant pas à attaquer un sorcier qui s'en prend à un innocent.

III. Formalités

AVATAR : Mathias Lauridsen
CODE :
PROFIL : A fignoler.

IV. History

Citation :

Le dernier ordi à la mode.

Devant moi, au beau milieu de l’immense salon de la villa familiale. Reluisant. Plus neuf que s’il venait de sortir de l’usine.

Mon pied droit heurte un meuble avec fracas. Mes orteils me lancent désormais, mais ce n’est rien à côté de la douleur qui irradie mon cœur d’une intense douleur.

Je grimpe dans ma chambre en pleurant toutes les larmes de mon corps. Je cache mon visage enfantin sous mon oreiller en plumes d’oie.

Le hic ? Le hic, c’est qu’ils ne sont pas là. Ils ne sont jamais là. Ils cherchent à acheter mon amour par des cadeaux, de l’argent. Où sont-ils ? Je n’en sais trop rien. Travail, voyages, tournée, je ne suis pas en âge de comprendre ce qu’ils me disent rapidement lorsque j’ose leur poser la question. Lorsqu’ils sont là.

Je viens de gagner mon tournoi de basket. J’ai sept ans. Je pleure...

Citation :

Le dernier téléphone portable à la mode.

Une bande de garçons me fait face. Ils me demandent de leur donner et en échange je pourrais jouer avec eux au football. Je suis un peu surpris de la question. Ils semblent y accorder de l’importance. C’est pour moi un détail... Je le sors de mon sac et le leur donne. Il est éteint. Ils l’allument et me demandent le code. Je leur donne : 0000. Je ne l’ai jamais allumé, mais je m’en souviens, mes parents me l’avaient marqué sur la lettre qu’ils m’ont laissée avec le cadeau pour mes 8 ans. Ils m’ont dit de le changer. J’en vois pas l’intérêt. De toute façon des portables, ils m’en achètent à chaque fois qu’ils n’ont pas d’idée d’autres cadeaux. Souvent, quoi.

Je joue naïvement avec eux. J’ai huit ans. Je ne comprends pas le monde qui m’entoure...

Citation :

Une copie de contrôle qui disparaît sur mon bureau.

Je viens d’avoir une mauvaise note en latin. Je me suis énervé. Mes parents m’auraient sûrement engueulé pour mon manque de travail. Mais ce n’est pas ça qui me dérange, mes parents ne sont pas assez souvent là pour savoir si je leur cache ou non mes notes. Non, c’est simplement ma fierté, mon ego, qui a été blessé. Je pensais avoir réussit ce devoir, mais je l’ai raté. La feuille vient de disparaître sous mes yeux et ceux ébahis de mon meilleur ami, assis à côté de moi. On ne sait pas ce qui s’est passé, on se regarde d’un air étonné...

C’est la première fois qu’un truc bizarre m’arrive. J’ai neuf ans. Je veux encore réussir ma vie, comme mes parents me l’ont mis dans la tête...

Citation :

Un imbécile dont le nez s’écrase dans la vase. Des pneus qui éclatent. Une fille dont les cheveux s’enflamment.

Le premier m’avait courut après dans le but de me frapper, un tuyau d’arrosage lui avait littéralement mit des bâtons dans les roues. Les pneus, c’était ceux d’une des voitures de mes parents, alors qu’ils sortaient du garage pour partir à une conférence de presse. La troisième, c’était une minette qui m’avait embrassé quelques heures avant. Je viens de me rendre compte qu’elle voulait simplement me voler ma console de jeu portable. Elle est repartie avec, certes. Mais avec un peu moins d'cheveux.

J’ai des pouvoirs. J’ai dix ans. Je commence à comprendre les règles du jeu. Et tare ta gueule à la récré.

Citation :

Du courrier.

C’est mercredi. J’ai pas cours aujourd’hui, j’en profite donc un peu pour me reposer chez moi. Mon look est déjà démesurément bourgeois, je ne sais rien faire de mes mains, je ne sais pas trop dans quelle direction va aller mon avenir, je m’inquiète et me pose beaucoup de question sur moi même. D’une démarche nonchalante, la tête emplie de toutes ces questions qui assaillent mon cœur d’enfant, je me dirige vers la boite aux lettres. Mes parents ne sont pas là depuis plusieurs jours, et s’il est une chose que j’ai apprit prématurément, c’est bien à m’occuper un peu de moi. Mon précepteur ? Il m’énerve. Toujours derrière moi. Mais je lui échappe facilement dans cette grande villa, il est pas bien malin, et j’ai mit des pièges un peu partout dans la maison. Le temps qu’il me retrouve, celui là, j’aurais eu le temps de faire trois fois ma sieste.

Je récupère le courrier. Une lettre vient de mes parents. Elle annonce qu’ils prolongent leur séjour d’une semaine à Tokyo, pour affaires. Rien de surprenant, je la jette dans la poubelle la plus proche et passe à la suivante. Une grande enveloppe marquée d’un écusson qui représente un aigle, un lion, un blaireau et un serpent entourant la lettre « P ». L’enveloppe est à mon nom.

Poudlard m’a trouvé. J’ai onze ans. Et une lettre vient de changer ma vie. Je suis un sorcier, fils de moldus.

Citation :

Le Chaudron Baveur.

Mon précepteur est à côté de moi. Nous changeons un bon tas d’argent « moldus » à Gringotts pour acheter quelques fournitures scolaires dans cette rue magique réputée des sorciers.

J’entre chez Ollivander, seul. Un homme m’accueille, vert de rage. Il grommelle :

« Bave de crapaud malade et moustaches de souris verte ! Dernière fois que je lui demande de m'amener des plumes de phénix à ce filou ! Dernière ! »

Il pose ses yeux sur moi, semblant enfin me voir, loin en dessous du niveau initial de ses yeux que sa haute silhouette semble amener jusqu’au dessus des nuages. Sa colère s'apaise, il change du tout au tout de caractère.

« Ha.. Tu es là pour une baguette je suppose ? »

Je hôche la tête, n’osant pas faire un autre mouvement ni prononcer un seul mot. Cet homme m’intrigue, pire, il me fout la trouille.

« Bien bien.. Voyons cela. »

Il commença à prendre des mesures de toutes les parties de mon corps, tel un Croque-Mort analysant son défunt pour préparer le cercueil de la dépouille qu'on lui a mise entre les mains... Une fois cela terminé, il me fit essayer plusieurs baguettes. L'une d'elle parut me choisir. Elle laissa s'échapper un jet d'étincelles bleu clair.

« Ha... Intéressant. 19,8 cm, bois de saule. Elle contient un poil de licorne. Mince, souple et rapide. Une excellente baguette pour les enchantements si je puis me permettre ! Elle me fait un peu penser à celle utilisée par Alfred Anderson, en son temps ! C'était un ami de Nicolas Flamel... Vous êtes de sa famille, peut-être ? »

Je suis complètement interloqué. Je ne sais même pas vraiment ce qu'était un enchantement, ni qui est cet homme dont il me parle… Mais je me promets à moi même de le rechercher un jour…

« Euh… Ça m’étonnerait… Enfin… Très bien. Merci pour la baguette. »

Je paye mon du avec les pièces que m'a passé mon précurseur. Je ne sais pas trop si je suis plutôt content ou intrigué… Tout est différent ici, les objets volent, les cheveux changent de couleurs, les arbustes de la ruelle semblent même prendre vie. Tout est vivant, tout est changeant, tout est bizarre. Tout m’intéresse, tout m’intrigue. Je veux découvrir ce monde qui n’est pas le mien. C’est surement pour ça que j’étais mis à l’écart dans le monde de mes parents… Je suis différent… Je suis un sorcier. Mes parents n’ont franchement pas apprécié l’idée. Mais je leur ai montré que je savais faire quelques tours. Ils ont eu si peur et on été si chamboulés que leurs certitudes soient si malmenées qu’ils ont accepté assez rapidement. Un peu de plus, et je crois qu’ils m’auraient exclu de ma famille. Ça ne m’aurait pas franchement étonné, sincèrement, ni vraiment déplu.

Je décide donc de me rendre un peu plus loin, chercher les livres que l’on doit acheter pour les cours, comme me l’a dit mon précepteur. Les étagères sont immenses, les livres sont là par centaines, par milliers. Je ne sais pas où donner de la tête. Et c’est ainsi, le nez en l’air, que je me cogne contre quelqu’un devant moi.

« Hé bien ! Regarde un peu où tu marches ! Ho, pardon petit, tu est là pour tes livres toi aussi je suppose ? »

J’opine du chef. L’homme en appelle un autre et lui dit d’aller me chercher un lot de livres. Les deux s’en vont, je me retrouve tout seul, à côté d’une étagère pleine à craquer de livres en tout genre. Le deuxième revient quelques minutes plus tard avec une pile de bouquins qu’il me remet en mains propres.

Mon précepteur a acheté tout ce qu’il a trouvé de plus cher dans toute la rue, comme mes parents lui avaient certainement demandé. Je lui jette un regard noir, décidément, même chez les sorciers il existe ce genre de différences sociales, je ne comprend pas encore bien les concepts de riches et de pauvres, mais je sais déjà, à mon âge, que d’un simple regard, les gens savent que j’ai de l’argent, et beaucoup croient de moi que ça veut dire que je les « snobe »… Au contraire… Au contraire, je les envie…

Et cette impression ne va pas s’amoindrir avec l’âge. J’ai onze ans. Je pars à la conquête du nouveau monde.

Citation :

« Sonnets d’un sorcier. »

Mon indexe glisse avec douceur sur les lettrines dorées et les reliures argentées, magnifiques, de ce superbe manuscrit de cuir grenat.

Je l’ai trouvé au beau milieu de mes manuels scolaire. Certainement une simple erreur du libraire.

Je l’ouvre avec douceur.

" Toi qui m’a découvert, a choisit de me lire
Ignorant certainement, quelle boîte de pandore
Avaient récupéré tes grasses mains de porc
Pour que tu parles mieux, je m’en vais t’anoblir.

Tu ne vaux pas bien plus que trois petites mornilles,
Mais bientôt des poètes, ta langue sera la fille.
Quand tu t’exprimeras, plus personne ne croira
Qu’un vieux cochon malade agonise quelque part.

Plus de pointes triviales, plus de paroles banales
Mais une voix triomphale, une voix magistrale !
La langue des poètes, pas des analphabètes
Telle une belle comète, tu seras une vedette.

Tes points seront des rimes, tes paroles sibyllines,
Par la poésie pure, maintenant je t’assassine.
A ton corps défendant, tu t'exprimeras en vers,
Anapneo ! Maintenant ! Vas-y ! Parle d'une voix claire ! "

J’avais onze ans. Je ne savais plus parler qu’en vers, quand je pensais normalement…

Un réveil difficile...


Nicolas se réveilla en sursaut. Ces rêves avaient été d’une impressionnante précision, un peu comme si il avait visité ses propres souvenirs en spectateur, comme s’il venait de regarder un film… Il se frotta les yeux et chercha sa baguette à tâtons. Quand enfin il la trouva il lança un enchantement complexe, sa baguette dansant entre ses doigts fins tendit qu’il récitait la longue formule qu’il connaissait par cœur.

Pendant ce long rituel, des étincelles lumineuses sortaient lentement, calmement, de sa fine baguette en bois de saule, pour venir se coller avec douceur sur le léger tissu qui recouvrait son lit, éclairant peu à peu le jeune homme d’une pâle lumière bleutée.

Il se passa une main dans les cheveux, encore coiffés de la veille par un sort de gélification qu’il avait appris dans un manuel de cours approfondis en sortilèges et enchantements. Il se réveillait en douceur, ses bleu vert peinant à s’ouvrir sur le monde en ce dimanche matin ensoleillé. Ses sourcils étaient fins et clairs. Son nez parfaitement proportionné surplombait une bouche relevée aux entournures par un espiègle sourire en coin. Son menton triangulaire s’avançait élégamment sous son visage encore ensommeillé.

Il était en train de repenser à son enfance, son réveil ayant coupé cours à ses rêves sur cette dernière… Après avoir lu les Sonnets du sorcier, il se rappelait avoir maudit pendant des jours et des jours ce que le sort venait de lui infliger, et si, quelques semaines plutôt, il avait montré un certain intérêt pour la magie, ce n’était rien par rapport à ce qu’il éprouvait après cet événement. En effet, une fois qu’il avait réussit à surpasser son malheur, il avait compris que le seul moyen de mener de nouveau une vie normale, ce n’était pas de se plaindre et de gémir sur son triste sort, non. C’était de devenir ce qu’il haïssait désormais bien malgré lui : Un sorcier. Il haïssait déjà la richesse et les mondanités, ce sort, ce fut la goute d'eau qui fit déborder le vase.

Il devait comprendre la magie, comment elle marchait, comment l’utiliser, comment la canaliser. Pire, il compris vite qu’il devait devenir un des meilleurs. En effet, une fois arrivé à Poudlard, il se rendit compte que nul sorcier, même parmi les professeurs, ne savait comment résoudre son problème. Personne n’était assez doué pour réaliser ce que l’auteur des Sonnets du Sorcier avait réalisé. Soit. Il deviendrait ce sorcier. Coûte que coûte.

Pour défaire ce qu’avait créé son ennemi, il devait devenir son ennemi.

Et c’est ainsi qu’il arriva à Poudlard. Avec cette idée persistante en tête, et avec une haine féroce contre les sorciers, à qui il devait cette « blague » de fort mauvais goût. Bien sûr, rapidement, sa haine s’amoindrit et s’éteignit peu à peu, car il compris rapidement que, comme parmi les « moldus », les sorciers étaient tous différents les uns des autres. Mais malgré cela, il garda toujours cette rancœur, ce fin dégout pour la magie qui ne cessait de lui être rappelé à chaque fois qu’il ouvrait la bouche pour parler.

Au début, les autres croyaient tous qu’il les méprisait, et il y avait plusieurs raisons à cela. Il était riche, parlait de manière manifestement plus que pompeuse, et en plus de cela, il n'adressait la parole à personne de par la haine qu’il éprouvait envers eux. Le temps passa lentement.

Sa première année se déroula dans cette ambiance solitaire et triste. Il avait une soif de connaissance que rien ne semblait pouvoir apaiser, surtout envers les « Sortilèges et enchantements » car il avait compris que le sorcier qui avait créé les Sonnets du sorcier ne pouvait qu’exceller dans ce domaine…

Ses deuxièmes et troisièmes années furent celle de la réconciliation avec les sorciers. Il se fit quelques amis et arrêta de voir le monde en noir. Ses quelques amis comprirent que derrière l’apparence pompeuse que tout le monde connaissait de Nicolas, il y avait un garçon sensible et révolté, qui n’avait que faire de l’argent et des mondanités.

Lors de sa quatrième et de sa cinquième année, il continua de se faire des amis. Il pu s’acheter quelques vêtements de moindre coût que ceux qu’il possédait jusque là, ce qui lui évita d’avoir à en emprunter à ses amis, pratique qui était devenue assez régulière depuis sa quatrième année. Il s’habillait donc de manière plus décontractée et les gens commencèrent à moins repousser le « gosse de riche » qu’ils croyaient qu’étaient ce garçon solitaire.

Lors de sa sixième année, il découvrit l’enchantement qui lui permit de « coiffer » ses cheveux lors d’une lecture personnelle dans la bibliothèque. En effet, s’il n’en voulait plus aux sorciers, il n’en était pas pour autant réconcilié avec sa langue de poète. Il excellait dans son domaine, et parfois même il entamait des discussions agitées avec son professeur d’enchantements, argumentant tout les deux de la meilleure manière d’accomplir certaines tâches. Il poussa même le vice jusqu’à lui apprendre deux ou trois enchantements au cours de l’année. Il était désormais un élève moyen dans les autres matières. Toujours un peu plus doué que la moyenne du collège, il n’en était pas pour autant un élève exceptionnel. Les cours l’intéressaient mais il préférait passer du temps à ses loisirs ainsi qu’aux enchantements, et délaissait donc un peu les autres matières malgré son bon potentiel dans certaines. Il se révoltait parfois contre l’autorité, mais ses rebellions n’avaient jamais été excessivement notoires et ne faisaient pas de lui un « vrai p’tit Serpentard ». C’était un garçon normal, calme et gentil, qu’on avait sans cesse poussé à être le meilleur, mais qui s’en foutait éperdument, du moment qu’il devenait ce qu’il voulait être. Il était toujours très solitaire, même aujourd'hui, n'ayant jamais connu l'affection de ses parents, ni jamais vraiment eu d'amis durant son enfance...

V. Quelques détails

Balai : Possède un Plume Bleu malgré le fait qu'à son niveau un balai moin performant ferait parfaitement l'affaire. Il est bien sûr comme neuf de par son utilisation peu fréquente.
Animal : Possède un Hibou Grand Duc aux yeux cerclés d'or. Son pelage est roux avec des taches noires et grises.
Autre : Possède le livre : Les Sonnets du Sorcier.

VI. Physique

Description : Nicolas a les cheveux noirs, souvent mal coiffés. Ses parents s'évertuent à lui acheter des vêtements de bonne coupe, mais il préfère s'habiller comme les jeunes de son âge, jean et T-shirt, lorsqu’il parvient à s’en procurer. Son apparence paraît donc à la fois propre et négligée et offre un contraste étrange avec son nouveau niveau de langue. Il coiffe ses cheveux rapidement, en "piques". Il aime bien les vêtements sombres, voir noirs. Ses yeux sont marrons et sombres, ses sourcils fins. Il est plutôt maigre, quoique bien nourris. Son physique a l'air taillé pour la vitesse plus que pour la force. Ses jambes sont longues et effilées.


VII. Hobbies et goûts.

Musicien : Pianiste depuis tout petit, il adore en faire à chaque fois qu'il veut se retrouver seul et tranquille. Ses parents l'ont beaucoup poussé dans cette voie.
Lecteur : Ne passe pas trop de temps à lire pour ses loisirs. En revanche il lui arrive de passer une journée entière à faire des recherches dans la bibliothèque...
Ecrivain : Que nenni.
Style de musique écouté : Classique. (vivi, quand je vous parle de conditionnement par ses parents...)
Couleurs préférées : Le rouge.
Plat préféré : La mangouste.
Féru de mode : Non.
Autre : Haha.

Nicolas Malorn, bienvenue sur Appelo Mortem.
A nous deux mon grand

Rien à redire sur ta fiche, les codes sont là, le profil est remplit, de même pour la pensine, et tu as mis ta signature.

« Hum … Un jeune homme bien calme, studieux, qui contre sa volonté se retrouve à parler la langue des poètes. Ce jeune homme sensible ne peut qu’aller à SERDAIGLE. »

Tu peux maintenant aller créer ta fiche de relations, ton journal (si tu le désires), tu peux aussi aller retrouver ta fiche de RP et ton sujet de hiboux que je vais rouvrir. Et bien sûr tu peux aller RP.
Un Admin passera te mettre ta couleur.
Bon jeu, et j’espère qu’on se retrouvera en RP

Très belle fiche, j’aime beaucoup ta façon d’écrire. Et c’est pas uniquement parce qu’on m’a demandé d’être gentille avec toi.

C'est bon Del', j'ai été gentille avec lui ?

Bienvenue sur Appelo Mortem

Je file te mettre ta couleur et ton rang et je déplace ta fiche. VIVE SERDAIGLE *_*. Il nous faudra un lien et puis ou tu peux aussi aller réserver ton avatar . Bon jeu et bienvenue encore parmis nous, amuses toi bien!

Merci à vous ! :p

Flûte ! J'avais zappé l'avatar à réserver. Merci Max ><

Nicolas, je sens qu'on va devoir avoir un lien tous les deux.

Mouahaha toujours pas remise de Star Wars ou de Mr Eiffel ? xD

Et pour le RP c'est quand tu veux ou tu veux, j'ai déjà commencé à balancé un primo-post moi lol

Oh que si je m'en suis remise, mais autant pour ta fiche de répartition j'avais l'ordre de Del' d'être gentille, mais autant en RP j'vais être vraiment méchante. Une petite raclée te ferait pas de mal je pense.

Mouahaha c'est ce qu'on va voir, gaffe à toi j'suis très bon en sortilèges et enchantements... Et ça peut aussi servir pour les combats ^^ *sifflote*

Bienvenu mon coeur, ne te laisse pas marcher sur les pieds par Heav'chou, de toute façon Charlie l'empechera de t'embêter ^^

Coucou mon coeur

Meuh non, c'est elle qui se fait marcher sur les pieds là

Vas-donc faire ta fiche de relation au lieu de flooder !

J'y trime madame, j'y trime !

bienvenu parmi nous
amuse toi bien, mais tu verra c'est pas trop dure non plus

* S'arrête un instant de tirer la charrue qu'Heaven lui a accroché dans le dos après sa dernière remarque et qu'il tire depuis comme un boeuf. *

" Quoi ?? "

Suffoque en essayant de récupérer sa respiration.

" Pas... Pas dur ?? "

*_____*

OMG

o_O'

Tu veux bien m'adopter?
J'adore ta fiche, j'adore le personnage, je suis fan....

Ah quand même. ^^

Laura, c'est une obsession chez toi ? Tu essaye de demande à mon copin de t'épouser, à celui de Del de t'adopter... Mais qui sera donc ta prochaine victime ? xD

En tout cas, re-welcome Mr ^^
J'adore ta fiche ! Et ce poême est magnifique

Pour ton avatar, j'en avais fait 2 avec Mattthias L. dondc sers toi si tu veux

Spoiler:

Bienvenue! MMmmh, Mathias. <3

Yeah la classe à Dallas ces vava ! :p je prend !

Me faudrait une signature aussi tiens;;. *Sifflote..*

Je verrais pour te faire ça
*Mais c'est qu'il est exigeant ce petit !*

On me tends la main je prend le bras, fais gaffe quand même, t'aura été prévenu ! *sifflote* lol

(Et merchi ! )

Meuh Travis je veux juste qu'il m'adopte! Steuplait!!!