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Un Petit Shampoing? |Terminé| Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
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Alanna Rogers
Serpentard
|Sainte_Patronne_des_Emmerdeuses| Alanna Rogers
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Amour : A quoi il sert? Pas besoin!

Pensine
Orientation Sexuelle: Hétérosexuel
Année d'étude: 6ème année
Caractère: Peste, mais pas trop - Manipulatrice, ça un peu trop - Garçon manqué - Violente - Impulsive - Chieuse - Énervante- Énervée - Compliquée, une fille quoi!!

MessageSujet: Un Petit Shampoing? |Terminé| Un Petit Shampoing?  |Terminé| Icon_minitimeDim 29 Mar 2009 - 21:26

Pour Devan!

    De drôle de bruits résonnaient dans les couloirs de l’école. Enfin des bruits, non plutôt des rumeurs. Soit disant une élève avait été trouvée morte dans les toilettes des préfets, enfin selon le petit fouille merde de Pouffsouffle qui passe son temps à se pavaner devant la table des Serpys pour étaler son savoir. Navrant… Depuis quelques jours, des élèves avaient même été retirés de l’école par leurs parents qui trop effrayés craignaient pour la vie de leur enfant ! Non mais sérieusement ! La mère d’Alanna semblait paniquée dans son dernier courrier mais la brunette s’était contentée de lui répondre un simple ‘T’inquiète je sais faire attention, tu me connais’ et elle avait eut le droit à la réponse la plus douce qu’une mère peut dire à sa fille : ‘Justement c’est parce que je te connais que j’ai peur.’ Comme on dit c’est l’intention qui compte. Enfin bon les pseudos rumeurs avaient été confirmés par l’imprudence d’un professeur à la langue trop pendus, et maintenant toute l’académie de magie était en effervescence. Certains cherchaient à voir le cadavre, d’autres faisaient des crises de panique s’était un vrai buffet d’émotions libre. Alanna, elle, restait stoïque face à la révélation, elle n’allait pas pleurer non plus ! Elle ne la connaissait pas cette fille après tout. Mais elle se demandait bien qui avait bien pu faire ça… un élève ? Non peut être pas, le sortilège était un peu être trop élaboré, un élève peut difficilement tuer un autre de ces camarades avec une incantation… quoi que, on à tout vu.

    Ce soir là après l’heure d’étude commune dans la grande salle, Aly restait posée sur le sofa de la salle commune scrutant les allées et retour des vert et argent. Elle croissait des visages connus et d’autre qui ne l’étaient pas du tout, elle s’était même dit ‘C’est fou à chaque fois on croise de nouvelle tête ici ! Non en fait ils doivent surement être là depuis longtemps ces petits morpions mais j’dois en avoir rien à faire… ouai ça doit être ça !’ S’étirant doucement la jeune fille se releva en faisant bien attention de remettre sa jupe correctement. Elle remonta dans son dortoir où ses camarades de chambre, enfin ses pétasses de chambre, pialaient en pleurant la perte de la fille retrouvée morte. Alanna avait envie de leur dire ‘Mais vous la connaissiez même pas, arrêtez votre cirque !’ mais elle savait comment ça se terminerait ! Elle serait accusée d’être une sans cœur et de manquer de compassion. Bande d’écervelées !

    Elle devait prendre l’air ! Pour ça santé mentale elle devait absolument sortir ! Mais depuis ce jeune évènement, la surveillance des élèves avait été augmentée. Et presque chaque déplacement était maintenant connu. Il faudrait donc agir avec discrétion, et ça la jeune Rogers connaissait bien. En prenant soin de ne pas oublier sa baguette la brunette pris la direction de la sortis et croisa plusieurs préfets dans les couloirs lui demandant ce qu’elle allait faire. Elle se contentait d’une injure ou d’une de ses belles phrases plein de spiritualité. Bien sûr ces pics n’étaient pas du tout appréciés mais ils allaient faire quoi ? Allez la dénoncer ? Ouuuuuh elle en tremblerait presque. Maintenant elle devait se décider à quel endroit elle pourrait bien se rendre ? Alors que son cerveau réfléchissait doucement (comme à son habitude ou presque) elle croisa deux filles qui disaient ‘Mais si j’te jure dans la salle de bain des Préfets ! C’est pas un mensonge ! Elle est morte là bas !’ Alanna vit alors son visage s’illuminer. Elle allait en avoir le cœur net, elle ne verrait pas de cadavre ça s’était sur. Mais elle pourrait tomber sur quelque chose de plutôt intéressent, on sait jamais. Elle prit alors la direction du cinquième étage en prenant soin de croiser le moins de personnes curieuses possible. Arrivée à destination tout semblait normal… ça cache quelque chose de pas net. Elle poussa la porte doucement et n’aperçut rien de bien spécial hormis la sale de bain en elle-même. Regardant une dernière fois à droite puis à gauche dans le couloir, Aly rentra scrutant la pièce de son œil espiègle. Qu’est ce qu’elle pouvait bien chercher en même temps ? Une tâche de sang ? Un indice quelconque ? Elle n’était pas Nancy Drew non plus ! Elle allait prendre un indice avec un mouchoir avant de l’observer à la loupe ? Laissez-moi rire. Tous ce qu’elle semblait chercher plutôt s’était un peut d’adrénaline. Un petit sourire en coin s’illumina sur sa petite bouille. Elle se rapprocha des lavabos et en profita pour jeter un coup d’œil à son reflet dans le miroir. Elle replaça une de ses mèches brune et ondulée correctement avant de reprendre son inspection. Le silence était pesant et plus ça avançait plus elle se sentait ridicule. Elle se posa contre la baignoire et souffla, décidément s’était une belle perte de temps. ‘Heureusement que j’avais pris cette initiative toute seule sinon j’me serais taper la honte !’

    Son postérieur était posé sur le rebord de la baignoire, de là elle avait une vue d’ensemble de la pièce. Un dernier petit coup d’œil et puis elle allait prendre la poudre d’escampette ! Elle posa sa main sur le bord de la baignoire pour prendre appuis afin de se relever. Mais elle ne comptait pas sur le fait que cette baignoire avait, semble t’il, servit et qu’elle était encore trempée ! Sa main glissa alors la faisant perdre son équilibre. Elle tomba alors lourdement dans la baignoire. Typique ! Elle s’était cognée la tête contre le fond et immédiatement s’était mise à frotter à l’endroit de l’impact ! ‘Quelle conne !’ C’est alors qu’elle entendit un bruit derrière la porte de la salle de bain. Par instinct et surtout par reflexe elle précipita son corps tout entier dans la baignoire afin de se dissimuler. ‘Alors la ! T’es trop maligne !’ Se dit-elle à elle-même alors que l’inconnu entrait dans la pièce… En espérant qu’il n’aurait pas le reflexe d’aller jeter un coup d’œil dans sa « cachette » !

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Dernière édition par Alanna Rogers le Ven 24 Avr 2009 - 0:27, édité 1 fois
Devan Justyn Harris
Admin | Étudiant(e) en Médicomagie
Spécialisation dans les blessures par créatures vivantes. (Stage à poudlard) Devan Justyn Harris
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MessageSujet: Re: Un Petit Shampoing? |Terminé| Un Petit Shampoing?  |Terminé| Icon_minitimeLun 30 Mar 2009 - 18:38

    Erreur, de nombreuses fautes et événements qui doivent être effacés. C’était une impression particulièrement gênante pour quiconque avait le malheur de le vivre. Par contre, lorsqu’on en venait à se détester carrément tellement on avait fait de connerie, ce n’est pas super intéressant. Vous savez, se rendre compte de trop de choses qui ont été mal faites. Les unes pouvant être plus insignifiantes que les autres mais qui formait néanmoins un tout. Il avait d’ailleurs remis un travail juste après une soirée de cuite (oui il avait fait le devoir en rentrant) et il s’était récolté la note P, note qu’il n’eu qu’une seule fois dans sa vie parce qu’il était tellement en colère qu’il eut un O au prochain devoir. Compétitif au meilleur, Devan n’aimait pas perdre, n’aimait pas se sentir con, et pourtant c’était en plein la chose qu’il avait fait. Il avait d’ailleurs, un de ses jours but tellement d’alcool qu’il avait embrassé toutes les personnes présentes dans la soirée, filles et gars, sans aucune permission, et les gens le trouvait tellement comique qu’il n’avait eut aucun commentaire désobligent. Non, en fait les gens se résumait à des : « Ce mec est vraiment marrant, il est trop pété! » Er bien sûr, ses deux amis Thomas et Hugo avait été assez gentil pour lui rappeler cette soirée jusqu’à, bien toujours à vrai dire. J’vous dit, quand on a des amis comme ça, pas besoin d’ennemis! Il aurait bien aimé connaitre un sort pouvant effacer la mémoire de ses deux serpents sans trop en effacer non plus, juste pour pouvoir à son tour s’attaquer un peu à eux. Quand on dit, s’apitoyer sur son sort, c’était en plein la meilleure chose décrivant le pauvre serpent en ce moment. Il se sentait tellement idiot depuis l’épisode du je-pleure-comme-une-madeleine-devant-Aaron. C’était triste dans un sens, ce bleu et bronze aurait pût faire le gentleman parfait pour Devan, mais il avait brisé toutes ses chances de faire un couple uni lors de ce cours échange. Il avait tellement honte qu’il n’était pas près de le regarder dans les prunelles pour un sacré bout de temps. Il se sentait plus vulnérable que jamais et il comptait faire quelque chose ce soir pour y remédier. Il ne savait pas quoi encore, mais la chose était sure : il ne resterait pas roulé en petite boule sur son lit plus longtemps.

    Il était chanceux de ne retrouver aucun copains de chambré à cet heure, mais ils devaient simplement tous être dans la salle commune en train de faire on ne sait quel plan. Il était tranquille dans le dortoir, trop tranquille et son soupire déchira l’air sans qu’il ne puisse le retenir. Déjà, s’il sortait de la salle commune, ce serait beaucoup plus amusant que rester ici. Défier l’autorité avait toujours quelque chose d’intéressant. Qui plus est, la sécurité avait redoublé, depuis le meurtre de la poufsouffle qu’il n’avait jamais connu. Il s’asseya sur son lit afin de replacer ses esprits et se dirigea en un temps trois mouvements dans la salle commune. Et comme il se l’était douté, Hugo et Thomas était penchés sur une feuille de papier, en train de discuter activement d’un plan soit disant machiavélique. Ils étaient tellement occupés qu’il put facilement sortir de la salle sans être aperçu. Ses pas le transportaient sans qu’il n’y jette une quelconque attention. D’ailleurs, c’était à cause de cela qu’il se retrouvait le plus clair de son temps dans un endroit qu’il n’avait pas réellement décidé, et donc, perdu au milieu de nulle part. Pourtant, il se trouvait que cette fois-la, ses pieds avaient eut une idée réelle en tête et il s’en aperçût seulement lorsqu’il se trouva devant la porte de la salle de bain des préfets. Il était chanceux celui là, il avait justement persécuté un petit de cinquième pour avoir le mot de passe de la salle pas plus tard qu’hier. Est-ce que ses pieds avaient envie d’un petit ponçage en règle?

    Le vert et argent pénétra alors plus silencieusement qu’une vipère en chasse et resta adossé à la porte étant donné l’activité qu’il y avait dans la salle de bain. En effet, elle n’était pas vide, et il voyait Alanna Rogers, assise sur le rebord de la grande et immense baignoire qui était à moitié remplie. Un sourire illumina ses traits. Ses pieds étaient vraiment gentils lorsqu’ils le voulaient! Voilà que Devan se retrouvait devant son ex copine, durant deux mois, deux longs mois fortement amusant pour la simple et bonne raison que leur relation était à l’insu de son meilleur ami Hugo, qui lui était le meilleur ami d’Alanna. Malgré ce punch, il devait avouer qu’il avait réellement éprouvé une once de sentiment pour elle, même s’il ne voulait le montrer que rarement. Cette fille était incroyablement jolie et elle avait fait craquer le serpent au premier regard, sans oublier son caractère de cochon qui était si particulièrement attirant pour un déjanté comme Devan. Elle avait de la répartie, savait toujours quoi lui répondre, et c’était dix fois pire depuis qu’ils n’étaient plus en couple. Lorsqu’ils étaient tous les quatre de la bande, ils faisaient comme si de rien était et parvenait à rire ensemble comme le ferait de bons amis. C’était lorsqu’ils se trouvaient seul que tout ce corsait pour former l’étrange je t’aime, moi non plus que plusieurs personnes ont la chance (?) de découvrir dans leur vie. Le vert et argent n’était pas au bout de ses peines parce que lorsqu’Alanna se retrouva dans la baignoire, et ce n’était surement pas de son bon vouloir puisqu’elle était toujours habillée. Qui plus est, elle se frottait assez la tête pour faire comprendre qu’elle s’était cognée. Son sourire avait redoublé alors qu’il fit un pas dans sa direction, et le plancher maudit craqua à cet endroit. Plus vite que n’importe quoi, la vert et argent enfoui son corps au complet dans l’immense baignoire, croyant éviter le regard de la personne qui était entré dans la salle. Il s’approcha très doucement, assez longtemps pour que la vipère commence pratiquement à s’étouffer sous l’eau, se pencha sur le rebord de la baignoire et agrippa ses vêtements pour la faire sortir de l’eau. Sans attendre une seconde il déposa les lèvres sur les siennes, quoi de plus tentant de faire une belle entrée remarquée, et de goûter à nouveau ses lèvres délicieuses. C’était deux pour le prix d’un en somme. Il lâcha environ deux secondes plus tard, et il ne savait pas vraiment comment il avait pût tenir aussi longtemps parce qu’il s’attendait fortement à avoir une jolie taloche dans la tronche. Il mettait ça sur le coup de la surprise. Bref, il la lâcha, elle retomba dans l’eau, sans mettre la tête dedans cependant et lui envoya son sourire indéchiffrable.


    « Je pensais qu’un petit bouche à bouche te remettrait sur tes roulettes. Tu voulais te suicider ou quoi? Te disais-tu que tu n’aurais jamais dû rompre avec moi? »

    Que d’amour dan ses paroles flatrices! Il savait très bien comment la mettre en colère, et il avait envie qu’elle le soit aujourd’hui!

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MessageSujet: Re: Un Petit Shampoing? |Terminé| Un Petit Shampoing?  |Terminé| Icon_minitimeLun 30 Mar 2009 - 20:42

    Alors que son corps était plongé entièrement dans l’eau, Alanna remarqua seulement une chose… le silence. Qu’est ce que ça pouvait être apaisant au final, elle savourait presque sa connerie, étrange... Elle ne voyait rien sous le liquide hormis le plafond et ses lumières, et surtout elle ne savait pas à quel moment elle allait pouvoir ou non sortir la tête de l’eau discrètement. Mais pour l’instant, il s’agissait surtout d’avoir de la patience et ne pas paniquer. Doucement elle laissa échapper de sa bouche quelques bulles d’air, n’essayant surtout pas de retenir chaque bouffée. Elle connaissait le truc pour tenir longtemps sous l’eau… il faut avaler sa salive ! Et oui aussi con que ça puisse paraître on en a pas du tout le reflexe, et pourtant. Les secondes paraissaient être des heures sous l’eau et une certaine pression commençait à se faire ressentir au niveau de la poitrine de la jeune fille. Pour garder le plus possible son sang froid, elle ferma les yeux et se mit à compter. ‘A dix je sors, de toute façon si c’est un petit con j’me débrouillerais pour le faire taire et oublier ma visite !’ Alors que la brunette s’était mise à faire la minuterie elle sentit que quelque chose était entré dans l’eau. Cette chose l’agrippa brutalement pour l’éjecter hors du royaume du silence. Elle dégoulinait alors de partout et ne voyait surtout plus rien. Sa bouche était grande ouverte, ses poumons retrouvaient la joie de se remplir à nouveau. Mais le plaisir, enfin en quelque sorte, fut de courte durée. A peine avait-elle eut le temps de se remettre de son apnée improvisée qu’elle sentit des lèvres se poser contre les siennes. Sans aucun doute celle d’un garçon, on sentait ce petit picotement dut à leur ‘barbe’, enfin ce qu’il en ait pour des adolescents de dix-sept ans. Sa main se leva alors pour foutre une grosse tarte à celui qui lui avait d’une sortie de l’eau brutalement mais aussi embrassé sans son autorisation, et puis elle savait même pas qui c’est.

    Sa vue perdit enfin de ce floue qui l’avait envahie depuis la sortie de sa petite trempette et elle commençait à entrevoir les traits de l’inconnu. Mais alors que sa main allait voler directement sur sa joue elle n’eut pas le temps de la rapprocher que lui la relâcha sauvagement. Et aussi con que sa puisse être, être en chaussure dans une baignoire… ça glisse ! La Serpy retomba comme un sac à patates projetant de l’eau tout autour d’elle. Décidément s’était doublement romantique ! L’idiot qui venait de lui faire ça ne connaissait pas encore sa douleur. Heureusement sa tête n’avait pas fait cette fois un petit tour « sous l’océan » et elle put l’entrevoir. Et puis il prit la parole et avec cet élément supplémentaire il n’y avait désormais plus aucune surprise. Quand elle vit qu’il s’agissait de Devan, Alanna resta allongée dans la baignoire plongeant son visage jusqu’aux yeux dans l’eau. Heureusement elle savait qu’en lui donnant se baisé il n’irait pas raconter ce qu’il venait de se passer n’importe où, sinon il savait ce qu’elle irait dire à Hugo… Une balance, Alanna ? Nooon ne dites pas de telles choses ! Elle aime reprendre la monnaie de sa pièce voila tout !

    « Je pensais qu’un petit bouche à bouche te remettrait sur tes roulettes. Tu voulais te suicider ou quoi? Te disais-tu que tu n’aurais jamais dû rompre avec moi? »

    Les yeux de la jeune fille firent un tour dans leur orbites, non mais alors la s’était plus que ridicule. Doucement et avec discrétion elle laissa entrer de l’eau dans sa bouche et se releva. Tous ses vêtements lui collaient à la peau, faisant ressortir ses formes généreusement et surtout avec un effet trompe l’œil agrandissant le tout. Elle sortit un pied de la baignoire puis un autre. A petit pas elle avança presque langoureusement vers Devan. Elle s’approcha doucement de son visage jusqu'au point ou elle pouvait sentir son souffle contre sa joue. Un souffle chaud à l’opposé du froid qui l’avait envahi en sortant de sa baignade. Ses lèvres se rapprochèrent dangereusement de celle du garçon mais bien sur à la place de l’embrasser elle lui crachat avec évidement aucune délicatesse toute l’eau qu’elle avait gardée précieusement dans sa bouche.

    « Oh ! Regarde ça ! C’est triste tu es tout trempé ! »

    Dit-elle avec un air de pimbêche. Elle fit demi tour, attrapa une serviette et la lui lança au visage. Quant à elle, elle sortit sa baguette, la secoua comme pour s’assurer qu’elle fonctionnait encore, et d’un avec un sortilège simple, se sécha. Elle s’avança vers le miroir où elle vérifiât l’état de sa chevelure.

    « Me suicider ?! Parce que je ne suis plus avec toi ? Tu rigoles c’est si j’étais toujours avec toi que j’essaierais de me foutre en l’air. »

    Elle fit un sourire forcé et s’adossa contre les lavabos. Instinctivement elle croisa les bras et le regarda avec une sorte de défis dans les yeux. Bon fallait avouer : il a une putain de belle gueule ! Mais te laisse pas faire ma petite vipère. Il veut jouer à la brute et au truand il va en avoir pour son argent.

    « Alors du con de mon cœur, qu’est ce tu fais là ? Tu as pas pu résister à l’idée de me suivre hein ? Tu te sentais trop seul ! T’as pas d’amis ? Tu veux en parler ? »

    Elle poussa son petit rire ‘spirituel’ comme disent certains, avant de se remettre face au miroir pour replacer ses mèches brunes. Se retrouver en face de ce pseudo Don Juan la laissait toujours au fond elle un peut nerveuse. Elle avait toujours se petit pincement au cœur mais elle avait aussi toujours envie aussi de lui en foutre dans la gueule dès qu’il disait un mot. Bon sang si Hugo avait le malheur de savoir ce qu’il s’était passé entre eux, elle aurait le droit à une belle leçon de morale. Même si effectivement y’a prescription il lui dirait sans doute qu’il sait comment il est… etcétéra etcétéra.

    « Tu voulais quoi ? Voir du cadavre toi aussi ? Je te connaissais pas aussi friand des petites histoires du château ! »

    Tant de second degré dans ses paroles, s’était presque puéril mais il l’avait abordé du mauvais pied et maintenant qu’il le veuille ou non il danserait avec elle !

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MessageSujet: Re: Un Petit Shampoing? |Terminé| Un Petit Shampoing?  |Terminé| Icon_minitimeMar 31 Mar 2009 - 6:23


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    « Hey Devan, j’ai entendue dire par des commères que tu étais avec une fille! »

    Le serpent tourna très lentement la tête vers Hugo, à la manière des films d’horreur avec une tête digne des mêmes films. En temps normal, il aurait certainement partit dans un rire fou et lui aurait expliqué durant la prochaine heure du comment la fille était superbe et comment il avait réussit à briser son cœur aussi vite que prévu. Encore là, il aurait pût, s’il s’agissait d’une fille très sympa qu’il éprouvait un petit quelque chose lui expliquer qu’elle était magnifique et à quel point il aimerait que ça dure entre eux, même s’il savait que ses sentiments n’aboutirait jamais. Chose qu’Hugo lui répétait toujours d’ailleurs. Pourtant, cette fois là tout était différent et cela pour plusieurs raisons. La première, il éprouvait déjà quelque chose pour cette demoiselle, mais la deuxième était la meilleure et la plus importante. Cette fille était Alanna, la petite protégée de son meilleur ami et le vert et argent n’était pas assez con pour se risquer sur ce terrain miné. Si ça avait été pareil de son côté, il n’aurait probablement pas voulu le savoir sous peine de fracasser une fois de plus la tête de son si charmant ami. Il ne voulait pas le contrarier, mais la raison la plus bizarre était qu’il ne voulait pas qu’il mette fin à leur relation. Il espérait pourvoir garder assez longtemps leur secret pour pouvoir tout lui avouer lorsqu’ils auraient une base très solide, voir indestructible. Hélas, ce qu’il ne savait pas c’était que son couple avec elle allait se briser aussi rapidement qu’avec les autres filles. Il avala donc sa salive, en essayant de prendre l’air le plus détaché qu’il avait dans ces moments-là et donna une petite taloche sur le bars de son pote.

    « Ce n’était en effet que des commères! Je ne sors avec personne, ces filles ont dû me voir avec une fille quelconque et sauter trop vite aux conclusions, tu sais comment elles sont! »

    Ha ha ha. Tu t’en est bien tirer mec! Comment pourrait-il remettre en doute des paroles dites par de simple pipelettes contre celle de son meilleur ami? S’il ne le pouvait pas, il n’aurait néanmoins pas dût lui faire confiance! Plus le mensonge est caché, plus il pourrit au fond de vous!

    ____________
    À chaque fois qu’il croisait le regard malicieux de la vert et argent, une sensation étrange prenait part de tout son être. Ce n’était pas un vrai amour, mais il savait pourquoi il ressentait cela. C’était parce que lorsqu’ils c’étaient séparés, il éprouvait encore quelque chose pour elle alors que toutes les autres fois, il plaquait les filles sans aucun sentiment. Ça avait fait mal, mais il l’avait caché bien évidemment, sinon comment pleurer une peine d’amour avec ses potes si on est sensé être célib’? Vous l’avez trouvé, c’est malheureusement impossible. Il avait en quelque sorte mâché ses mots, ses pleurs, détruit toute parcelle de sentiments qui était utiles lors de ce genre de situations. Un motton dans la gorge, il avait décidé de goûté aux lèvres merveilleuse d’Alanna, et bien sûr, de la piquer avec une tirade propre et simple. C’était qu’elle était tellement plus belle lorsqu’elle était en colère, lorsque ses traits étaient tirés au max, et surtout du au fait que ces colère finissaient toujours par une belle petite réconciliation. Bon, parfois il devait se la faire dans sa tête parce que ça finissait toujours 50/50, 50, on s’embrasse, 50, j’te fou mon point dans la gueule. 50% des chances de plaisir, 50% des chances de maux, quoi de plus intéressant que ce jeu de hasard? Il adora d’ailleurs le visage de son ex lorsqu’elle fit les gros yeux, image marrante puisque ses yeux étaient les seuls qui dépassait de l’eau. Lorsqu’elle s’approcha de lui, il s’attendait à ce qu’elle réponde par un autre baiser, et ce qu’elle fit le surpris d’une façon incontrôlée. Il n’était pas habitué d’être ébranlé, mais Alanna savait toujours comment faire. En fait, il était plutôt occupé à détaillé tranquillement les formes de la vert et argent lorsqu’il fut aveuglé par une quantité impressionnante d’eau. Il cligna plusieurs fois des yeux jusqu’à ce qu’il puisse voir, voir que dalle en fait puisqu’il avait reçu une serviette dans la tronche. Il passa sa main sur celle-ci pour pouvoir quelque peu se sécher. Il allait prendre sa revanche, soyez sans craintes.

    « Oh ! Regarde ça ! C’est triste tu es tout trempé !»

    « Pas autant que toi. Tu sais que je peux pratiquement tout voir? C’est d’ailleurs dommage que je n’aille pas pût te voir une fois nue durant tout le temps qu’on était ensemble… »

    Réels regrets? Oui exactement, mais camouflé devant des mots à échelle perverse, qui lui enlèverait toute l’innocence des doutes. Il n’était pourtant pas venu au bout de ses peines, car elle était en pleine furie, et elle ne saurait d’ailleurs pas à quel point elle pourrait le blesser. Lui-même n’en avait aucune idée en fait, c’était lui qui s’en apercevrait aussitôt que prévu. Bref, l’instant était toujours aux petites rigolades assez insignifiantes, et il aurait apprécié qu’Alanna lui dise un mensonge plutôt que d’entendre une blague aussi commune :

    « Me suicider ?! Parce que je ne suis plus avec toi ? Tu rigoles c’est si j’étais toujours avec toi que j’essaierais de me foutre en l’air. »

    « Voyons chérie, nous savons très bien que tu peux faire mieux! »

    Et en effet il n’avait aucune idée à quel point! C’était là que ça se corserait, et c’était minable, du moins, il se trouverait minable, il s’apitoierait encore sur son sort? Ses récents événements avec Aaron, ses souvenirs refoulés qui avaient refaits surface, tout pour le mettre dans tous ses états. Il était venu ici pour tout oublier à prime abord, et il avait crût pouvoir y arriver avec son ancienne copine, il s’était de nouveau mis le doigt dans l’œil à son sujet!

    « Alors du con de mon cœur, qu’est ce tu fais là ? Tu as pas pu résister à l’idée de me suivre hein ? Tu te sentais trop seul ! T’as pas d’amis ? Tu veux en parler ? »

    C’était tellement insignifiant… Il aurait dût lui répondre une phrase aussi brûlante que la sienne, et puis d’ailleurs elle savait déjà qu’il avait des amis, ils avaient les même. Il ne savait pas pourquoi tout était pire ces temps-ci. C’était juste comme ça, si le vase avait débordé avec Aaron, il le ferait sans doute ici aussi, mais il avait une confiance aveugle en son amie et il espérait du fond de son cœur qu’elle l’aiderait. Après tout, si elle avait été réellement en détresse, il aurait fait pareil, même pire, tout pour parvenir à faire réapparaître un sourire sur son visage d’ange. Il était muet, il était figé et il n’écoutait plus rien, c’est pourquoi il ne répondit pas à ses premières questions, ni aux autres concernant les cadavres. Il se contenta de s’assoir au sol, comme si le poids de ses jambes était rendu trop important. Il détestait faire pitié, il détestait pleurer devant les autres, il détestait simplement montrer signe d’une quelconque faiblesse, que ce soit devant n’importe qui. Il se renfrogna rapidement, imprimant sur son visage un air toujours indéchiffrable. Pourquoi tout lui arrivait en même temps? Qui plus est, sa rupture avec James n’était pas du tout refermée. Son frère était revenu le hanté, était-il condamné à rester seul toute sa vie? Il resta donc dans cette position, pratiquement recroquevillé, sans rien faire… Ce qui était bien entendue une réaction totalement bizarre de la part d’Harris! Est-ce qu’Alanna aurait la gentillesse d’aider son ancien petit ami pour qui elle aurait pût éprouver quelque chose pour lui?

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Alanna Rogers
Serpentard
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MessageSujet: Re: Un Petit Shampoing? |Terminé| Un Petit Shampoing?  |Terminé| Icon_minitimeJeu 2 Avr 2009 - 20:35

    Alanna était tellement prise par l’envie de trouver des phrases sarcastiques à Devan qu’elle ne s’aperçut en rien du retournement de situation que venait de se produire. Elle vit, un peu plus tard, le jeune homme au visage d’ange assis tel un pantin désarticulé et sans âme sur le sol. Elle connaissait ce genre de catalepsie. Celle où vous avez la sensation que votre corps se dérobe sous vos pieds, vous avez cette impression de puissance et de fierté mais pourtant à la moindre attaque verbale ou physique, votre corps semble vous abandonner et votre esprit se déconnecter.
    Le silence avait pris possession des lieux laissant les anciens amants dans une position de mal-être. Alanna ne savait pas réagir à ce genre d’évènement. Le réconfort, certes elle connait mais pourtant elle en est une parfaite étrangère à l’utilisation. S’il s’agirait d’une attaque de plein front vous seriez certain de la retrouver aux premières loges. Mais là, elle ne savait pas comment prendre la chose sans que son interlocuteur s’en sente froissé. Lui demander ce qu’il a ? Le prendre dans ses bras ? Tous ça ne lui ressemblait en rien. Et là elle aurait plus l’impression de se froisser elle-même et de jouer une partie de sa personnalité dont elle ne voudrait en aucun cas montrer. Trop féminine et surtout trop sensible à son goût.

    Le temps semblait s’allongé au fur et à mesure que les secondes défilaient et Aly n’avait pas bougé d’un trait regardant, toujours appuyée contre le lavabo, le jeune homme en détresse. Sa tête était vide, pas une seule réelle pensée ne la traversait. Elle regardait la scène qui se déroulait face à elle comme un spectateur devant sa télévision. Elle espérait alors la prochaine scène pour en apprendre le dénouement et retrouver son sarcasme habituel. Mais là les choses étaient différentes. Jamais avec Hugo elle n’avait eut à le réconforter. Ils ne sont pas comme ça, ils se contenteraient de ne pas en parler ou simplement de se gueuler dessus comme des malpropres…

    Mais cette face de Devan, malgré les années, il avait semble t’il réussit à la dissimuler au fond de lui. Et Alanna avait l’impression d’être face à une toute autre personne. Mais après tout ce n’était que Devan, ce même Devan qui la serrait contre lui la recouvrant de doux baisés langoureux. Oui il était bien là, s’était lui qui avait fait son entré dans la salle de bain, il ne lui suffirait plus qu’à le faire ressortir. Plus facile à dire qu’à faire !

    Doucement comme pour ne pas briser la guerre froide qui avait lieu, Aly se releva de son emplacement trainant fébrilement des pieds pour venir s’adosser contre le mur à la droite du beau brun. Elle ne dit rien durant les secondes qui suivirent. Puis maladroitement elle tapota sur sa hanche avec le bout de son pied. C’est avec sa voix cassée habituelle qu’elle demanda timidement :

    « Allez ça suffit ! Je sais pas ce qui y’a, t’as du choper un virus ou quelque chose comme ça. Mais faut pas rester dans cet état la ! »

    Brutale ? Un peut, mais le terme exact serait réellement : maladroite. A travers cette phrase on pouvait voir qu’elle n’était pas méchante mais qu’elle essayait tout simplement d’apporter un peut de réconfort. Certes pas de la bonne manière, elle ne connaissait pas trop la bonne recette. Elle se souvient qu’une fois, elle avait trouvé une élève en pleure dans un couloir. Et, allez savoir il devait s’agir de son jour de bonté, elle s’approcha d’elle et lui adressa la parole. Aly ne savait plus exactement quels étaient les mots qui s’étaient échappés de sa bouche mais l’élève se releva et gifla la Serpy ! Sans surprise la brunette lui sauta au cou. Et la conclusion de cette histoire se résuma en trois semaines de retenus...
    Alanna se laissa tomber paisiblement pour prendre place près de Devan. Elle replaça correctement sa jupe pour ne pas découvrir ses dessous et essaya alors de capter son regard.
    Doucement, et étrangement avec quelques tremblements, elle leva sa main la déposant contre la nuque du jeune homme. Là elle remonta sa paume laissant s’entrecroiser ses doigts dans ses doux cheveux bruns. Oui une bien étrange réaction de sa part mais elle connaissait les vertus apaisantes de ce geste, elle continua alors à masser le cou du jeune homme.
    Puis prise par l’action, elle approcha son visage du sien. Elle savait pertinemment qu’elle était en train de commettre une erreur. Mais elle avait cette douleur indéchiffrable au fond d’elle qui la torturait. Une douleur qui très souvent elle ne s’autorisait pas à ressentir. Elle refusait même de lui donner un nom. Cela rendrait la chose bien trop réelle.
    Elle avança ses lèvres et les déposa délicatement sur sa joue, puis elle posa son front contre le sien et murmura un doux et léger :

    « Je sais pas ce qui te tracasse, mais ça s’arrangera, tu verras… »

    Qui était cette personne ? Oh ça non et sans aucun doute pas Alanna ! Jamais elle n’aurait réagit comme ça ! Elle l’aurait enjambé et serait sortit de la salle de bain en lançant derrière son épaule un ‘arrête ton chars’ en direction de Devan.
    Et là ?! Elle usait de sa douceur, en élément qu’elle ne faisait jamais ressortir. Se rendant compte de sa propre absurdité, subitement la fille Rogers fit un bond en arrière avant de se relever de nouveau pleine de colère. ‘Il se fout de ma gueule, il m’utilise’ se disait elle.

    « A quoi tu joue là ?! »

    Elle se remémora alors la petite remarque du garçon il y a quelques minutes, il lui disait qu’il voulait ou du moins regrettait de ne pas l’avoir vue nue.

    « Qu’est ce que tu fous ? Tu veux m’amadouer pour me mettre dans ton lit c’est ça ? Tu joue ton petit cœur brisé pour utiliser le peut de sentiment que j’ai pour toi ! Salop ! »

    Ça y est, elle était partie dans sa parano ‘je t’aime moi non plus’. Leur histoire remontait pourtant à un moment mais depuis il y avait comme un sale os de poulet coincé dans sa gorge.
    Mais le point positif, et oui il y en a un, c’est qu’elle était de nouveau sur son terrain de prédiction : la colère. Ce sentiment elle savait l’utiliser suffisamment bien pour que son interlocuteur s’en sente outré. Sa colère, elle savait la monter et surtout la mettre à son profit. Aussi bête que cela puisse être, elle se sentait mieux, allez savoir si Devan la suivrait ?
    Dans tous les cas la voila de retour à son lavabo, plaçant son regard de harpie dans son propre reflet. Peut être par ce moyen se voyait elle bientôt transformée en statue de pierre. Elle ressemblait tant à Médusa, ses sentiments cachés et sa colère finiraient bien un jour par la transformer en une entité humaine sans le moindre ressentiment, n’arrivant qu’à exprimer sa colère.

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Devan Justyn Harris
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MessageSujet: Re: Un Petit Shampoing? |Terminé| Un Petit Shampoing?  |Terminé| Icon_minitimeDim 5 Avr 2009 - 5:33

    « J’ai la tête qui tourne, c’est affreux quelqu’un pourrait-il me sortir de cet affreux manège? Pourquoi tout tourne autour de moi et moi qui reste immobile est attiré vers cette révolution provoqué par le monde qui m’entoure? C’est étrange, cela faisait un long, très long moment que la vie ne m’avait semblé aussi futile. C’était peut-être cet amour totalement idiot avec James qui m’a ouvert. J’en ai marre, marre de lui et marre de mon comportement de petite fille qui pleure un amour qui ne voulait rien dire. Je me rends compte seulement aujourd’hui des réels sentiments que j’éprouvais pour lui, une admiration incontournable devant ce personnage qui n’était touché par absolument rien, alors que moi, l’ignoble et faible serpentard succombait à n’importe quelle attaque. Encore aujourd’hui, mon cœur est serré dans un étau, tellement qu’il pourrait simplement éclater pour arrêter cette souffrance invivable. Oui, je pleure toujours sur mon sort, mais pas pour les mêmes raisons. J’ai tué mon frère, ça personne ne le sait et d’ailleurs c’est moi qui me le rentre dans ma tête. C’est comme ma drogue, une façon que j’ai de m’accroché à mon éternelle souffrance, je peux vous assurer que ça marche. C’est jouissif, et si je ne l’aimais pas autant je crois que je m’en serai défait non? Il faut bien sûr que quelqu’un sur cette terre vienne m’expliquer clairement que je n’ai rien fait, et même là il me faudra un long moment avant de succomber à cette vérité infecte. Amusant n’est-ce pas? Amusant comment des pensées peuvent arriver à ne pas refléter le fon de notre être. J’essaye de me convaincre, mais c’est inutile, tout le monde le sait, je succomberai à tout. »

    Les yeux toujours fixés au plafond, le serpentard arrivait facilement à se concentrer à la respiration de la jeune fille pour se rappeler de l’imiter. Est-ce aussi facile que ça? Je veux dire, de mourir? Apparemment oui, vu le nombre magistral de suicide dans toute la petite planète encore aujourd’hui. Il existe tellement de façon de mourir, pratiquement plus de truc que pour vivre d’ailleurs. Il était même fortement non-conseillé de commencer à les énumérer ici pour deux raisons, il serait trop long, et Devan aurait bien trop de choix! Il faisait presque pitié et il ne s’en rendait pas compte pour la simple et bonne raison qu’il n’avait pas baissé les barrières depuis très longtemps, Alanna était la seule à le voir dans un état pareil en somme. Il était dans une espèce de transe qui le coupait des autres, sauf de cette unique fille qui, ce soir, découvrirait l’ultime secret que personne ne connaissait. Il ne savait même pas qu’il lui dirait encore en cet instant puisqu’il était bien trop en train de refouler d’anciens souvenir pour les remplacer par des heureux. Il voulait aller mieux et en cet endroit, il ne voyait que le visage de son petit ange se promener dans sa tête. Jamais il n’avait connu la vipère aussi douce que lorsqu’ils avaient été ensemble et c’était de cela qu’il s’ennuyait. Elle était froide, il voulait de la chaleur, ce soir en l’occurrence c’était la sienne. Pourraient-ils mettre de côtés leur batailles et revenir comme au bon vieux temps? Devan en doutait, mais il ne jurait que par le présent et détestait le futur. Les paroles de la fille le sortit de ses pensées, mais il les écouta à peine, ne faisant qu’assimiler toute part de sa voix merveilleuse dans ses tympans.


    « Allez ça suffit ! Je sais pas ce qui y’a, t’as du choper un virus ou quelque chose comme ça. Mais faut pas rester dans cet état la ! »

    Le vert et argent soupirait presque d’envie. Sa voix qui était tout sauf parfaitement amical sonnait dans ses oreilles comme un remède à ses mots. Il voulait à nouveau entre sa voix, il ne voulait que l’entendre, c’est pourquoi il devait rester dans un mutisme, le silence contre la parole, ça existait vraiment? Oui, bien sûr, surtout avec la Miss Rogers qui lorsqu’elle le voulait pouvait créer une conversation à sens unique n’importe quand. En fait, il se doutait qu’elle en était capable parce que ces deux-là n’avaient jamais vraiment eux de monologue convainquant, toujours la chose pour piquer l’autre encore plus. Il s’abreuvait de ses paroles comme il pouvait s’accrocher à une bouteille de bière-au-beurre. Le plafond semblait toujours aussi intéressant qu’il y a 10 minutes puisqu’il ne le quittait pas des yeux, adoptant toutes les infimes crevasses comme il le ferait avec ses nombreuses plaies. Pourtant, ce qui le suivit fut mille fois mieux que les mots, la présence, la sienne et bien sûr sa chaleur et son odeur. Ses merveilleuses effluves percuta ses narines de pleins fouet alors qu’il prit une profonde inspiration. Alanna n’était jamais aussi gentille. Ses doigts qui se joignaient à sa chevelure l’aurait pratiquement fait ronronner s’il avait été un chat. Elle arrivait à le faire oublier, par sa simple présence, et sa voix s’éleva à nouveau, cette voix doucereuse qu’il n’avait pas entendu depuis si longtemps.

    « Je sais pas ce qui te tracasse, mais ça s’arrangera, tu verras… »

    Si seulement elle avait raison… Si seulement elle pouvait rester avec lui pour lui prouver que c’était possible. Hélas, peut-on vraiment arranger la mort de son frère? La réponse était sans aucun doute négative et la pauvre petite créature ne le savait pas encore. Il était toujours dans sa sorte de transe, mélanger à son silence alors que l’atmosphère reprit son cours habituel : Aly la colérique qui n’a aucun sentiment. Mais à vrai dire, il l’écoutait à peine, sa voix traversait toujours ses oreilles sans réelles signification. Ce qui était différent c’était la froideur. Il faisait bien trop froid sans cette vipère et le serpent qu’il était aurait tout simplement rampé vers elle dans le simple bu de retrouver chaleur. Cet espacement l’avait en quelque sorte ramené à la réalité, tandis que la pipelette continuait ses injures, Devan prenait conscience de ses futures paroles. Il ne les avait jamais partagés avec personne et il ne se demandait même pas si elle était la bonne personne pour le faire. Mais il fallait qu’il le dise, peut-être se sentirait-il mieux après? Sa respiration fit un raté, alors que ses yeux commençaient déjà à se remplir d’eau. Il n’aimait pas ce sujet, il n’aimait rien, et il ne s’aimait plus depuis longtemps alors pourquoi se retenir? Après le jli mot d’amour à cinq lettre que la verte et argent lui lança, il attendit un autre moment avant de prendre la parole. Le silence était sa pile qui le chargeait, et lorsqu’elle fut pleine, il prit grande respiration et s’élança comme si ce qu’il avait à dire était normal.

    « J’ai vu son regard. Celui qui se mélange à la peur et à un autre sentiment que je n’ai jamais pût déceler encore aujourd’hui. Tout était parfait, nous étions sur mon balai dans une simple petite balade de convenance, une semaine avant mon entrée à Poudlard. Tu te souviens comment j’étais renfermé? Personne ne me comprenait et même moi d’ailleurs. Je l’ai tué Alanna. Il est tombé du balai sans que je ne puisse rien faire pour le protéger, ce petit être qui était tout pour moi depuis sa naissance. Je n’ai pas pût accomplir ce pourquoi j’avais été créé. Je ne sais plus pourquoi je suis ici maintenant. Il aurait été sans doute une très grande personne, influente et tout. Moi j’ai décidé de mettre fin à sa vie sans demander son avis. J’étais un frère, un frère totalement ignoble et irresponsable. Cayden n’est plus, par ma faute. »

    Ses dernières paroles s’étaient fondues dans un sanglot incontrôlable. Un seul cependant. Il ne pleurerait plus, il avait déjà versé bien assez de larme ce fameux soir avec Aaron. Il n’avait plus à pleurer, il se l’était promis mais rien ne l’empêchait de ressentir cette affreuse douleur dans sa poitrine. Est-ce qu’Alanna pouvait le tuer tout de suite pour cesser la souffrance s’il-vous-plait? Il reprit la parole sans même s'en apercevoir, il voulait camoufler ses anciens mots. Comme si la verte ne les entendraient pas se ercuter dans son cerveau...

    « Tu as une cigarette? »

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MessageSujet: Re: Un Petit Shampoing? |Terminé| Un Petit Shampoing?  |Terminé| Icon_minitimeJeu 9 Avr 2009 - 21:17

    Pour Alanna, le silence dont il usait n’arrivait qu’à charger sa colère. Même si celle-ci n’était en réalité qu’un écran de fumée. Une sorte de désillusion sur ce qu’elle pouvait ou pas ressentir. Aussi étrange que cela puisse paraître la jeune fille s’efforçait de ne jamais ressentir la moindre émotion jamais. Elle savait à quel point cela pouvait être dévastateur, elle en avait déjà vue les effets sur sa mère. Et ce dont elle avait intimement peur, s’était de finir comme elle… Alors autant éviter tous ça par le plus simple des moyens : s’autocontrôler. Elle entendit alors Devan reprendre ça respiration, elle se retourna pour lui faire face et surement faire face à sa réponse aussi… Mais ce qui l’attendait était tout autre. Plus ses mots se chamboulaient sur ses lèvres que dans le cerveau de la jeune fille ils perdaient tous leurs sens, lui demandant alors un certain temps d’adaptation pour tout remettre en place et enfin comprendre la signification de ses paroles. Le fait qu’il utilise son prénom donnait une sorte de dimension surréaliste à ses paroles faisant alors transgresser sa peine. Chacun de ses mots devenaient comme un coup dans sa poitrine. Elle le regardait avec incompréhension… Il venait de lui révélé un événement datant d’un bon moment, et il souffrait encore de cela. Après toute ses années il lui avouait là et comme ça. Lorsqu’il s’arrêta sa voix se brisa en un sanglot, le coup de grâce pour la brunette qui saccadait sa respiration. Elle vit sur son visage cet effort de ne pas rompre ce côté brave et dur… elle connaissait tout à fait !

    « Tu as une cigarette? »

    Finit il par lui demander comme si presque de rien n’était. Dans un sens cela la sortie de son enfermement mental où elle posait chaque pièce du puzzle qui venait de lui révéler. Elle se redressa sur ses jambes et sortie d’une de ses poches un paquet dans un sale état. Elle en sortie une clope qu’elle déposa sur ses douces lèvres et l’alluma. Elle laissa la première bouché envahir ses poumons avant d’avancer vers Devan lui tendant le tabac pour qu’il poursuive à son tour sa consommation. Elle se baissa à sa hauteur et regarda son visage… avant de reprendre.

    « Tu dois te demander… pourquoi ? Pourquoi lui et pas toi ? Tu voudrais échanger ta place contre la sienne. Tous les jours tu te demande ce qu’il serait aujourd’hui si tu… enfin… Tu te dis qu’il serait merveilleux, et toi que personne ne te regretterais jamais. Tu te dis que Dieu, ou quoi que ce soit qui se trouve au dessus de nos petites âmes, t’as laissé la vie pour te punir, que jamais tu ne pourras expier ton erreur… Les gens commettent des erreurs tous les jours, incomparables, pour eux un simple ‘pardon’ et leur souffrance en est lavée. Je me doute que le ‘pardon’ tu le demande sans arrêt, tous les jours. Mais tu n’es pas comme toutes ces personnes. Même si ceux qui sont autour de toi te disent que c’était un accident, au fond le pardon tu ne te l’accorde pas à toi-même. Tu voudrais réussir à te pardonner, à retirer ces pensées de ta tête… Tu dois te dire ‘elle ne connaît rien à mes souffrances’ et je ne te dirais pas le contraire. Mais tu es là, à côté de moi et ce que tu m’as apporté, même si tu en doute et surtout même si ça a été court, m’a fait tellement de bien et m’a changé. Si tu n’avais pas été là, je n’aurais pas évolué comme ça. Donc sache que si tu te demande à qui tu manquerais si tu n’étais pas là… à moi tu manquerais. »

    Ce qu’elle venait de faire pouvait s’apparenter à de la consolation ou a une preuve d’amour, mais elle n’avait pas mis de barrière sur sa bouche pour une fois et s’était contentée de dire ce qu’elle avait envie de dire. Elle tenait à Devan, énormément même. Leurs relation pour elle avait été importante et leur séparation… elle lui avait caché mais l’avait dévasté…

    ----


    Sa respiration était saccadée, ses pas précipités, tout autour d’elle n’avait plus d’importance, seul ses sentiments subsistaient. Alanna tant réputée pour son manque d’empathie, aujourd’hui souffrait. Quand vous êtes peut habituer à ressentir de l’amour, la moindre petite goutte peut en devenir mortelle. Vous n’avez qu’une seule envie, que tout s’arrête. Vous voulez que le temps s’écoule sans vous, que les autres souffrent à leur tour de votre absence et que votre cœur s’étant arrêté les pensées qui vous hantent disparaissent à jamais. La petite brunette traversait les couloirs un par un ne sachant pas où aller dans une telle situation. Les cachots reflétaient bien son âme, sombre, lugubre et repoussante. Elle s’y sentait à sa place. Tout la dégoutait en elle à cet instant : son image, sa vie, ses amis, sa propre personnalité… Si elle en avait simplement le courage, elle mettrait fin à tous ses soucis. Un simple sortilège suffirait ou juste un saut dans le vide.
    Alors qu’elle arrivait à une intersection, elle croisa les prunelles d’Hugo. Personne qui sur le moment elle ne voulait en rien avoir affaire. Il s’arrêta pensant qu’elle en ferait de même, mais il pouvait attendre. Son impertinence ne lui plu surement pas car il marcha sur ses pas la rattrapant en deux trois mouvements. Il essaya de l’arrêter en lui demandant tout simplement mais elle ne voyait pas les choses de la même façon. Sa main attrapa alors le poignet de la jeune fille qui tenta de s’en débattre.

    « Qu’est ce que t’as ? »
    « Lâche-moi ! »

    Elle se débâtit un peut plus fort et répéta ses mots en un cri ! Voyant qu’il ne céderait pas elle lâcha sa rage et le gifla de toutes ses forces. Le bruit raisonna dans le couloir attirant l’attention des élèves alentours. Alanna se mit à courir suivit de près par Hugo. Un élève s’interposa.

    « Tu devrais la laisser je crois. »
    « Bloque moi le passage et tu retrouveras tes dents sur le sol ! »

    Cela suffit, et Hugo malgré qu’il ait perdu sa trace savait exactement où se rendre pour retrouver la Serpy. C’es à l’extérieur une cigarette au bec qu’il la perçut, il s’approcha d’elle sans qu’elle décroche un regard.

    « Tu devrais pas fumer. C’est pas bon pour toi. »

    Elle garda le silence reprenant une bouffée de son tabac. Sa main tremblait et cela semblait évidement que quelque chose s’était passé.

    « Bon tu vas me dire ce qui y’a ? »
    « Vas te faire foutre ! »

    Il se plaça face à elle et l’attrapa par les épaules, son ton devint plus grave et la fille tourna le visage.

    « Tu vas me dire qui ta fais du mal ?! Sinon je démolirais toutes les têtes de l’école ! »
    « Tu me fais chier… »
    « Cest un mec ! J’en était sûr ! C’est qui ? »

    Les yeux d’Alanna s’embuèrent et cela semblait être la cerise sur le gâteau pour Hugo qui s’énerva et demanda.

    « C’est qui ? Que j’aille démolir cet enfoiré ! »
    « T’as pas compris encore ! Tout est de ta faute ! C’est à cause de toi ! Je peux pas vivre si t’es sur mon dos ! T’as tout détruit ! »

    Il lâcha ses épaules et elle en profita pour le gifler de nouveau.

    « Tu comprend jamais rien ! T’es toujours derrière moi et tu fais peur à tous les mecs qui m’approchent. Sauf ceux qui veulent te faire du mal à travers moi ! J’en ai marre d’être un objet de convoitise pour détruire le grand Hugo ! J’ai le droit d’être heureuse, merde ! »

    Sa voix s’était mise à trembler et désormais elle pleurait, pleurait de tous son cœur, de toute son âme. Elle fit alors ce que jamais ni elle ni lui n’aurait cru, elle alla se blottir contre ses bras… et se laissa alors aller. Ce qu’il s’était passé, Hugo ne le saurait jamais du moins pour l’instant mais Devan venait de mettre fin à sa relations avec Aly…

    ----


    Alors qu’elle regardait Devan, elle avança sa main pour replacer une de ses mèches de cheveux, elle s’avança de lui et déposa ses lèvres délicatement sur les siennes…

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MessageSujet: Re: Un Petit Shampoing? |Terminé| Un Petit Shampoing?  |Terminé| Icon_minitimeSam 18 Avr 2009 - 22:29

« At the end of your life, you will never regret not having passed one more test, not winning one more verdict or not closing one more deal. You will regret time not spent with a husband, a friend, a child, or a parent. --
Barbara Bush


    Le silence de la sale était pesant et la seule chose qu’il détestait aujourd’hui c’était bien ce silence. N’était-il pas venu dans cette salle pour oublier ces maux? Il l’avait crut possible à la minute où il avait croisé le regard de son ancienne petite amie, cette fille pour qui il avait agit comme un enfoiré de première. Il était idiot, ça plein de gens le savaient mais il se l’était prouver au moment où sa relation avec la brunette avait été close. Elle était tellement belle, douce lorsqu’elle le voulait et elle aurait vraiment fait la parfaite petite femme avec caractère pour retenir le pauvre petit serpent dans l’avenir. S’il avait choisit un futur hétéro, il n’y avait aucun doute que cette dame aurait été en tête de liste. C’était tellement dommage. Et c’était assez comique lorsqu’on pensait que la seule femme prospect qui lui restait dans la vie était sa fiancée. Son idiote de fiancée riche comme jamais et surtout tellement arrogante que son seul regard arrivait à faire sortir le serpentard de ses gonds. Pourquoi est-ce que les mariages arrangés existaient encore? Avouez, c’est hyper con! Il est assez grand pour savoir choisir la personne qu’il lui faudra, et surtout une personne qu’il aimera de lui-même. Plusieurs gens disent qu’on fini par s’aimer, mais ils ne savent complètement rien aux théories amoureuses. Ça ne marche pas comme ça et ça ne marchera jamais comme ça puisque l’amour est complexe, il ne suffit pas de dire : « On se met ensemble et on verra après! » Le pire c’était que cette vipère voulait se marier avec lui, du moins elle ne l’avait jamais démentit et il la détestait encore plus pour cela. Il aurait cent fois préféré avoir Alanna comme épouse. Mmh. À ça oui. Il avait accroché mentalement le visage de la brunette sur le plafond de la salle de bain tandis qu’il était à nouveau dans un de ses délires personnels. C’était déjà mieux ça que n’importe quoi d’autre. Après son aveu, il espérait que tout redeviendrait comme avant, qu’il ne paraisse pas comme le dernier des enfants faisant pitiés de la planète. En lui demandant une cigarette, il pourrait se détendre et plus facilement changé le sujet. Il avait peur de ce que son ex allait lui dire, elle qui était tellement rude parfois. Son odeur se rapprocha doucement tandis qu’elle déposa une cigarette humide sur les lèvres rosies du vert et argent. Il tira une longue bouffée lorsqu’elle l’alluma, soupirant de bien être. Il croyait que le sujet était clos. Pourtant, lorsqu’elle prit la parole, Devan sût que ce n’était pas terminé, il s’attendait à tout. Tout sauf ça.

    « Tu dois te demander… pourquoi ? Pourquoi lui et pas toi ? Tu voudrais échanger ta place contre la sienne. Tous les jours tu te demande ce qu’il serait aujourd’hui si tu… enfin… Tu te dis qu’il serait merveilleux, et toi que personne ne te regretterais jamais. Tu te dis que Dieu, ou quoi que ce soit qui se trouve au dessus de nos petites âmes, t’as laissé la vie pour te punir, que jamais tu ne pourras expier ton erreur… Les gens commettent des erreurs tous les jours, incomparables, pour eux un simple ‘pardon’ et leur souffrance en est lavée. Je me doute que le ‘pardon’ tu le demande sans arrêt, tous les jours. Mais tu n’es pas comme toutes ces personnes. Même si ceux qui sont autour de toi te disent que c’était un accident, au fond le pardon tu ne te l’accorde pas à toi-même. Tu voudrais réussir à te pardonner, à retirer ces pensées de ta tête… Tu dois te dire ‘elle ne connaît rien à mes souffrances’ et je ne te dirais pas le contraire. Mais tu es là, à côté de moi et ce que tu m’as apporté, même si tu en doute et surtout même si ça a été court, m’a fait tellement de bien et m’a changé. Si tu n’avais pas été là, je n’aurais pas évolué comme ça. »

    Ouch, ça faisait tellement de bien et de mal à la fois… Jamais il n’aurait vrût pourvoir tant se sentir déchiré en cet instant. Tout ce qu’elle lui avait dit semblait tellement vrai, plus que ça c’était véridique. Elle avait lu en lui comme un livre ouvert et il ne lui en voulait surtout pas. Non, il était bien trop soulagé pour cela. Oui tous les jours des gens faisaient des erreurs mais personne n’avait tué son petit frère. Il s’en voulait toujours, mais il arrivait à croire que le pardon dont il demandait était réellement possible. Il aimerait tellement connaitre un sort lui permettant de savoir ce que son frère pensait, ce qu’il lui dirait après tant d’années. Ce que Devan ne savait pas lui faisait du mal, il faudrait qu’un jour Cayden se manifeste d’une façon ou d’une autre sans quoi il ne pourrait jamais se développer entièrement. Même avec les mots de sa douce et ancienne petite amie, il ne parviendrait pas au salut qu’il désirerait. Et elle avait tort, il ne pensait en aucun cas qu’elle ne connaissait rien à ses souffrances. Il savait qu’elle ne pouvait pas savoir ce que ça faisait mais elle comprenait, c’était ce qui importait. Jamais il n’avait pensé à cela parce qu’il l’aimait tellement en cet instant qu’il n’aurait pût le concevoir. On aurait dit qu’elle avait attisé en lui le feu de leur ancien amour. Celui qu’ils n’avaient jamais pût vivre entièrement et qui lui rongeait tant les os.

    « Donc sache que si tu te demande à qui tu manquerais si tu n’étais pas là… à moi tu manquerais. »

    Elle venait de pointer son dart directement en plein cœur. Il croisa son regard sans plus se demander ce qu’il allait faire. Mais n’allez pas croire n’importe quoi, il n’allait rien lui faire dépassant les limites permises, il ne voulait rien brusquer et il voulait simplement profiter de ce merveilleux moment le plus longtemps possible. Ce moment où ils étaient seuls et où ils se retrouvaient après longtemps. En fin de compte, le mal qu’il avait eut au début de leur échange avait été utile puisqu’il était la balance de ce qu’il éprouvait en ce moment. Il était un idiot, ah ça oui, il n’aurait jamais dût la laisser partir. Il se fichait de ce que pensait Hugo, ou de ce qu’il penserait, il lui donnerait assez d’amour pour oublier les années passées. Sa main brulante déplaça une de ses mèches qui étaient bien trop longues. Il devrait les couper, le lendemain probablement maintenant qu’il allait mieux, qu’il ne se sentait pas le dernier des pourris. Il n’eut le temps de rien faire que la demoiselle avait déjà joint les lèvres sur les siennes. Le baiser fit pire qu’il ne l’aurait crût, lui envoya une charge électrique directement dans tous les membres de son être. Il se releva immédiatement pour approfondir le baiser et pour enrouler ses bras autour de son corps. Il l’emmena sur son corps à lui, partageant la chaleur de son corps avec les vêtements mouillés de la vipère. Il frissonna, de froid cette fois-là, elle était gelée. Sans interrompre leur étreinte, il sortir sa baguette et réchauffa l’eau de l’immense baignoire. Il interrompit le baiser pour lui souffler de sa voix totalement vibrante :

    « Tu es gelée ma puce. Il faut te réchauffer. »

    Pour la première fois dans sa vie, il n’y avait aucunement d’arrière pensée derrière ses mots. Avec une fille, il pouvait retrouver tout son romantisme d’antan et se laisser aller à ses instinct premiers. Celui d’avant. Avant sa première année à Poudlard. Celui qu’il donnait à son frère et qui n’avait rien d’autre de pervers sauf de l’amour sincère. Il ne savait pas ce qui se passerait demain, il s’en foutait royalement. Il enleva ses chaussures et prit Alanna dans ses bras, Pour entrer doucement dans la baignoire. Il la déposa à ses côtés tandis qu’il déposait mille baisers dans son coup encore gelé.

    « Tu m’as manqué, je suis sincère. »

    Il s’empara de sa main qui était presque réchauffée pour joigner ses doigts aux siens. De cette façon, ils pourraient parler, de nombreuses heures pour éclairer enfin leur relation.

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Alanna Rogers
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MessageSujet: Re: Un Petit Shampoing? |Terminé| Un Petit Shampoing?  |Terminé| Icon_minitimeLun 20 Avr 2009 - 13:45

    ‘I Do Believe that Not Everything Gonna Be the Way You Ought To Be’



    ‘Les opposés s’attirent’ c’est devenue comme un dicton, mais en vérité ça n’a jamais été prouvé. Les gens aiment se raconter des sottises pour se rassurer comme avec ‘mariage pluvieux mariage heureux’. Tous ce qui est fait pour être inséparable et immédiatement admiré et lorsque c’est l’inverse on trouve toujours un moyen de les relier inconsciemment. Peut être est-ce le pathétique de l’être humain. Une personne qui cherche sans cesse à ressentir une émotion fuira pourtant comme la peste la moindre opportunité d’y arrivé. C’est comme une auto protection, un moyen de ne pas se retrouver en terre inconnue. Pourquoi avait elle donné ce baisé ? Pour le rassurer, le réconforter ? Non, s’était pour elle. Comme pour le dicton ils étaient à cet instant de véritables opposés. Il avait besoin de ce sentiment d’amour, elle ne voulait que s’en débarrasser. Alanna ne désirait que sortir ce qui restait bloqué dans sa poitrine. Se délivrer une fois pour toute de cette relation autour de laquelle elle s’était inconsciemment ligotée. Lorsque Devan avait mis fin à leur ‘couple’ elle était devenue excessivement fragile, une poupée de porcelaine qui au moindre contact risquerait de se fêlée. Mais à force d’agir ainsi, elle devint cette poupée. Ce corps blanc et frêle, froid et impassible. Refusant tout attachement, mais cherchant pourtant à retrouver ses émotions d’antan. Peut être était ce cela qui l’avait poussé à coucher avec Timothé après tout. Se sentir humaine de nouveau. C’est fou ce que l’amour peut avoir comme répercutions, il peut vous apporter joie et prospérité mais aussi peine et désolation. Quoi qu’il en soit elle transmettait par ces lèvres ce passé refoulé, elle lui donnait ce dont elle allait enfin réussir à se débarrasser…

    Elle sentait sa respiration sur sa lèvre supérieure et sa salive chaude toucher sa peau. Elle avait en elle cette froideur qui semblait aussi devenir physique. Ce baisé sembla alors lui insuffler un certain entrain. Immédiatement son corps s’arqua vers la brunette redoublant alors l’intensité de leur échange. Il l’enferma entre ses bras semblant vouloir ressentir ce contact de deux corps l’un contre l’autre. Ils se sentaient tout deux étrangement réconfortés. Mais aussi bête que cela puisse paraître Aly se mit à trembler. De froid ? Non, de peur. Elle ne maitrisait plus la situation et ne savait plus ce qu’il pouvait se passer. Allait-elle retomber dans le même cercle vicieux dans lequel ils étaient déjà tombés auparavant. Non cette fois elle stopperait tout d’elle-même !

    « Tu es gelée ma puce. Il faut te réchauffer. »

    Elle ne semblait pas en position de refuser ou même de se dégager, il la tenait dans ses bras tandis qu’elle gardait les sien battant le long du corps. Elle ne partageait pas cette éteindre, même si elle le voulait. Elle se laissait emporter par le flot, elle réagirait quand elle en aurait le courage. Elle le vit se relever mais garda son visage droit et resta assise sur la pierre froide, mais elle n’eut pas le choix de suivre ses envies. Devan retira ses chaussures et attrapa de nouveau la jeune fille pour la glisser avec lui dans la baignoire qui avait été préalablement réchauffée. Dans la salle de bain on n’entendait que l’eau qui frappait contre les parois, les deux adolescents se retrouvait assis l’un contre l’autre. Le beau brun lui déposa alors des baisés dans le coup qu’elle savoura comme s’il s’agissait des derniers.

    « Tu m’as manqué, je suis sincère. »

    Alanna lui fit un sourire timide avant de regarder leurs mains se lier. Elle se sentait prisonnière. Les mots qu’elle lui avait dit étaient sortis de son cœur oui mais… voila pourquoi être gentille ne lui plaisait pas. Elle se retrouvait toujours dans une situation qui ne lui ressemblait pas. Même si oui cela lui plaisait elle ne voulait pas devenir ce genre de fille folle amoureuse d’un garçon. Il se tienne la main dans les couloirs, s’embrassent avant d’aller en cours, vont faire des balades au lac,… non ! Elle voyait déjà les regards se tourner sur son passage. Oui elle serait heureuse mais pourtant aurai l’impression de perdre tout ce qui lui appartient. Elle serait persuader que Hugo… il ne lui pardonnerait pas. Devan… son meilleur ami, il les renierait tous les deux. Et perdre cet ami si précieux à ses yeux était quelque chose d’impossible. On dit que l’amour surpasse tout, ce n’est pas vrai pour la miss Rogers, l’amitié prévôts !

    Délicatement elle retira sa main de celle de Devan et murmura un petit ‘Désolé’ à son intention. Elle aurait aimé que le moment dure éternellement. Celui où il la tient dans ses bras et qu’il l’embrasse dans le cou. Elle désirait plus que tout au monde que l’heure s’arrête de tourner et qu’ils finissent ici sans problèmes seuls l’un avec l’autre. Mais le monde extérieur les attendait, et il n’était pas de tout repos. S’était égoïste la décision qu’elle prenait mais elle l’assumait totalement ! Prenant appuis sur les rebords de la baignoire la jeune fille se releva. Son corps dégoulina de partout on entendit alors des milliers de goutes reprendre la direction de l’eau un peut plus bas. Elle attendit que cela se termine pour lui dire :

    « Je peux pas… Je… je…t’aime ouai. Mais je peux pas. Je peux pas reprendre la même direction qu’on à déjà prise. Qui me dit que tu vas pas encore avoir peur, que tu me quitteras de nouveau… Je ne veux pas redevenir cette fille que j’ai pu être. Celle qui a cause de sa peine de cœur ne ressemblait à rien. Je vaux mieux que ça ! Tu m’as fait devenir ce fantôme qui a du coucher avec le premier venue pour essayer de retrouver la moindre émotion. Je t’ai détesté pour ça ! Donc je peux pas Dev’… désolé »

    Elle sortie de la baignoire et prit la direction de la porte. Elle déposa sa main sur la poignée mais pourtant n’arriva pas à ce décider de l’ouvrir. Elle reste là quelques secondes, posa sa tête contre le bois et souffla pour garder son calme.

    « J’ai l’air forte comme ça mais j’suis comme toute les autres… On sait ce qui va se passer si on reste tout les deux. On prétendra qu’on s’en fiche mais pourtant on restera caché… On a tout le deux trop peur des autres je crois. Ça marcherait pas ! »

    Elle ne voulait pas se retourner, croiser son regard. Son visage, ses yeux, elle craquerait. C’est de sa faute cette fois ci. Elle jouait à je t’aime moi non plus, mais ce n’était pas intentionnel, elle aimerait plus que tout rester avec lui mais elle n’en avait pas la force, elle a trop peur.

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Devan Justyn Harris
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MessageSujet: Re: Un Petit Shampoing? |Terminé| Un Petit Shampoing?  |Terminé| Icon_minitimeMar 21 Avr 2009 - 23:03

    Il est pratiquement impossible de penser s’en sortir aussi facilement. Surtout lorsqu’on pense le contraire et cela dans pratiquement toutes les situations inimaginable. Nous ne pouvons rien décider en définitive et tout semble déjà se profiler sur le destin dont nous n’avons droit à aucun coup d’œil. Les gens nous répètent qu’on va y arriver, qu’on a bien fait ça ou que ce sera facile mais ils n’ont franchement aucune idée. Comment peut-on conseillez quelqu’un sur quelque chose que nous n’avons jamais vécu? Même leur péripéties se ressemblent un peu, elles ne seront jamais pareil alors il vaut mieux ne pas essayer de se mêler des affaires des autres. C’est comme se tirer dans le pied. C’est simple, la personne prendra en note le plan de son ami et prendra soin de ne rien oublier. D’ailleurs, le stress encouru lors de la situation sera doublé puisque la personne ne pensera qu’à agir comme l’autre le lui a conseillé, et non ordonner. Au final, la situation dégénérera et le pauvre garçon sera prit devant un événement qu’il n’aurait jamais crut possible. Comme lorsque tout éclate de façon contraire qui était sensé se produire. Devan avait parlé d’Alanna subtilement à Laura pour recevoir ses merveilleux conseil qui en cas de doutes s’étaient révélés toujours utile. Cette fois ça n’avait pas été pareil, il aurait mieux fait de s’écouter lui-même et pas quelqu’un d’autre. Elle lui avait donné un conseil qui sur le coup semblait être le meilleur du monde. Par contre, lorsqu’il avait essayé de l’appliquer, ça n’avait pas du tout fonctionné. D’ailleurs, ils avaient commencé à se hurler dessus juste après son petit test. L’amitié caché c’est plus facile, mais l’amour caché c’est impossible et le vert et argent l’a apprit en cet instant. Personne ne peut vraiment clarifier qui a mis fin à leur relation puisque la réponse est partagée. En deux en fin de compte, pour Devan c’était elle, pour elle c’était lui. Quoi de plus amusant que se croire le moins aimé de la terre en un instant? Les deux n’avaient pas du tout bien prit cette séparation et c’était pourquoi leur relation aujourd’hui était aussi tendue. Il aurait dû sr douter que rien est aussi facile, il l’avait vécu et c’est quand on se croit invincible qu’on a le plus mal à la fin. Alanna aurait été la femme parfaite pouvant creuser plus profondément dans son cœur que personne aurait pût le faire. Le bonheur n’est pas éternel et le monde de la magie n’en faisait pas exception, c’était même bien pire avec le pauvre sorcier qui se voyait se rafler la tête à même le sol à chaque fois qu’il y touchait. Cette fois-ci, il avait le choix, il pouvait faire tout ce qu’il pouvait et même ce que Alanna en dirait il s’en fichait royalement. Il se sentait peut-être très peu modeste en cet instant mais il savait qu’il avait raison, Alanna ne souhaitait pas vraiment ce qu’elle allait faire. Ils étaient si bien dans cette baignoire la main dans la main jusqu’à ce qu’elle décide que ça ne la convenait pas.

    « Je peux pas… Je… je…t’aime ouai. Mais je peux pas. Je peux pas reprendre la même direction qu’on à déjà prise. Qui me dit que tu ne vas pas encore avoir peur, que tu me quitteras de nouveau… Je ne veux pas redevenir cette fille que j’ai pu être. Celle qui a cause de sa peine de cœur ne ressemblait à rien. Je vaux mieux que ça ! Tu m’as fait devenir ce fantôme qui a du coucher avec le premier venu pour essayer de retrouver la moindre émotion. Je t’ai détesté pour ça ! Donc je peux pas Dev’… désolé. »

    Ce n’était pas méchant mais ce que le vert et argent avait entendu se résumait à : « bla, bla, bla. » Que du charabia qui ne servirait pas à enlever les hautes ambitions du serpent. C’était définitivement triste ce qu’elle disait mais tout était cacher derrière une peur atroce, non seulement celle que ce soit Devan qui aille peur et la quitte et la sienne. Il y avait cependant quelques incohérences dans son récit, le quitter de nouveau? Oui, on vous l’a expliqué plutôt, mais Devan ne comprenait pas très bien lui. Le pire fut lorsqu’elle lui parla de quelque chose d’Assez frustrant. Après tout, c’était ça la première chose qui lui venait à l’esprit avant la suite des autres charabias. Elle n’était plus vierge? Bon, ce n’est pas très rare à Poudlard mais Devan trouvait ça très nul, une très forte jalousie s’inséra dans tout son être alors qu’il se demanda qui avait pût être son premier. Il allait se mettre à crier sans pouvoir se retenir lorsqu’elle sortit de la baignoire. C’était égoïste de sa part et Devan allait en prendre de la graine croyez-moi. Il resta impassible, la suivant du regard jusqu’à ce qu’elle s’arrête à la porte. Ce n’était pas fini, il écouterait ses pensées et c’était comme si celle-ci les entendaient aussi. Ou du moins, elle ne les entendait peut-être pas mais son bon vouloir n’avait pas la force de partir, elle savait que si elle le faisait tout serait fini entre eux, à jamais et Devan voyait maintenant ce qu’elle ne voyait pas encore. Elle n’avait pas ouvert la porte et elle s’était contenté d‘abaisser sa tête contre le battant, se mettant dos à son ancien amour, et peut-être encore récent. Peut importe ce qu’elle dirait, peu importa la force qu’elle mettrait lui dire qu’elle ne l’aimait pas ou qu’ils n’étaient pas fait pour être ensemble, le vert et argent serait toujours derrière elle à supporter son fardeau et à lui faire comprendre ce que son cœur voulait, et non sa tête. Devan attendait tranquillement une quelconque réaction de sa part, il restait immobile à l’affut des moindre bruits qu’elle faisait.

    « J’ai l’air forte comme ça mais j’suis comme toute les autres… On sait ce qui va se passer si on reste tout les deux. On prétendra qu’on s’en fiche mais pourtant on restera caché… On a tout le deux trop peur des autres je crois. Ça marcherait pas ! »

    Son visage impassible était désormais empreint d’une grande tristesse. Monsieur romantisme détestait voir cette fille parler comme ça. Elle avait beaucoup trop raison, c’était également ça le problème. Il ne voulait pas avoir peur des autres, il ne voulait plus et il avait fait l’expérience avec James que rien ne parvenait à une belle fin lorsqu’on se cachait. Hélas, son cœur lui disait autre chose, que cette fois ça serait différent, qu’il ne la laisserait jamais, oh grand jamais passer aussi facilement comme ça sous ses pieds. Il se leva et s’approcha d’elle d’un pas déterminé. Son ex petite amie ne serait plus appelée comme ça à parti de maintenant, en cet instant, il se sentait beaucoup trop lié à elle. Lorsqu’il fut derrière elle, il se contenta d’enrouler se bras autour d’elle et de déposer la tête sur son épaule. Elle avait tort, ça pouvait marcher.

    « Arrête de parler Aly. Je n’y croit pas, on est capable de tout lorsqu’on a une bonne volonté et crois moi, quand je te vois comme ça j’en ai plus que jamais. Je ne veux pas te laisser partir, ça me ferait bien trop mal et tout serait fini après ça. Je ne l’accepte pas. Je n’ai pas peur. Et tu n’es pas comme tous les autres, tu es la femme la plus fort qu’il m’est été donné de rencontrer Alanna. C’est possible, il suffit juste de mettre un milieu à tout ça. Je ne te demande pas d’être ma petite amie, c’est premièrement trop faible comme mot et deuxième ça ne convient pas à ce que je souhaite. Ce n’est pas comme se cacher, c’est seulement se dire que l’autre est là pour nous et que c’est tout ce qui importe. Je t’en prit, montre moi que tu es assez forte pour nous… »

    Il la serrait de plus en plus fort et il ne voulait pas se détacher d’elle. Ce qu’il lui demandait c’était une fréquentation, un mot qui exprimait cependant l’exclusivité, un mot qui leur permettait de reprendre là où ils avaient laissé leur aventure.

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MessageSujet: Re: Un Petit Shampoing? |Terminé| Un Petit Shampoing?  |Terminé| Icon_minitimeJeu 23 Avr 2009 - 23:42

    I know we are, we are the lucky ones dear
    Bif Naked – Lucky


    Alanna ne voulait pas partir, elle ne voulait pas terminer ceci même si sa raison lui criait le contraire. Sa tête toujours baissée contre le bois de la porte semblait alors touchée d’un air de tristesse. Ses sentiments étaient réellement partagés : d’une part entre le fait qu’il l’abandonne et de l’autre par celui où elle désirait qu’il se batte pour eux. Elle entendit alors le corps du jeune homme se relever, elle entendit chacun de ses pas se rapprocher peut à peut d’elle… son cœur battait la chamade. Elle avait comme du mal à respirer, une boule au ventre qui la tétanisait. Elle savait de quoi Devan pouvait être capable, et c’est ce qui l’effrayait. Elle fut prise d’un léger sursaut lorsqu’elle sentit les bras du garçon l’entourer au niveau de la taille. Elle ferma alors les yeux et savoura son étreinte. Il déposa sa tête sur son épaule et elle semblait alors vidée, vidée de toute pensées ou ne serait ce que d’envie. Son corps restait là mais pourtant plus rien ne la préoccupait. Elle profitait de cet instant tout simplement. Lorsqu’il prit la parole, elle se contenta, pour la première fois depuis qu’ils s’étaient retrouvés dans cette salle de bain, de l’écouter attentivement. Se laissant bercer par le son grave de sa voix.

    « Arrête de parler Aly. Je n’y crois pas, on est capable de tout lorsqu’on a une bonne volonté et crois moi, quand je te vois comme ça j’en ai plus que jamais. Je ne veux pas te laisser partir, ça me ferait bien trop mal et tout serait fini après ça. Je ne l’accepte pas. Je n’ai pas peur. Et tu n’es pas comme tous les autres, tu es la femme la plus fort qu’il m’est été donné de rencontrer Alanna. C’est possible, il suffit juste de mettre un milieu à tout ça. Je ne te demande pas d’être ma petite amie, c’est premièrement trop faible comme mot et deuxièmement ça ne convient pas à ce que je souhaite. Ce n’est pas comme se cacher, c’est seulement se dire que l’autre est là pour nous et que c’est tout ce qui importe. Je t’en pris, montre moi que tu es assez forte pour nous… »

    Elle se mit à hocher la tête essayant de retenir ses larmes. Elle hoqueta mais réussis à contenir son désarroi. Plus elle essayait de le rejeter plus il serrait ses bras autour d’elle. Elle ne voulait et ne pouvait pas craquer devant lui… Elle leva son bras et déposa sa main sur la sienne. D’un geste vif elle lui fit desserrer son étreinte. Elle ouvrit la porte et sortit de cette pièce où trop d’émotion s’étaient mêlés pour elle. Comment des évènements pouvaient ils tourner ainsi ? Elle fit quelque pas n’entendent désormais plus que le bruit de ses chaussures raisonnant sur la pierre. Tous ce qu’il venait de dire se bousculait dans sa tête. Il la voyait comme une femme forte tandis qu’elle n’arrivait pas à lui faire face, ce qu’il ressentait pour elle dépassait même l’appellation de simple ‘petite amie’, des adolescents de seulement seize et dix-sept ans peuvent ils ressentir quelque chose comme ça ? De si sincère, de si spontané et vrai ? Quelques larmes s’échappèrent alors de ses yeux et elle se stoppa net… S’était donc si important ? Ce qu’elle ressentait pour lui… cela allait si loin que ça ? Ça dépassait tous ce qu’elle avait pu imaginer. Si elle pouvait pleurer à nouveau pour lui alors qu’elle s’était juger que ça n’arriverait plus, c’est qu’elle devait lui… leurs donner cette chance qu’il lui offrait. Elle vit volte face et se précipita dans la salle de bain où elle le retrouva au même endroit presque inerte comme une marionnette désarticulée. Elle ne chercha pas le pourquoi du comment et se contenta de faire un pas vers lui. Elle déposa sa main droite sur sa joue et l’autre sur sa nuque, monta sur la pointe des pieds et l’embrassa langoureusement. Elle venait par ce geste de celer ces paroles. Plus rien n’avait d’importance, elle voulait juste être avec lui et lui offrir ne serait ce que la moitié de ce qu’il venait de lui offrir par ses paroles. Elle ne savait plus qui elle était, ni même où elle se trouvait désormais. Elle ne voyait que lui, et voulait qu’ils se construisent qu’ils créent leur amour, qu’il face l’amour. Elle retira sa main de sa joue et commença à déboutonner sa chemise qui lui collait encore à la peau. Il comprit ses intentions, elle s’arrêta et le fixa dans les yeux comme pour lui donner une approbation silencieuse. Leur échange doubla alors d’intensité. Il la souleva dans ses bras et l’emmena contre la roche froide. Elle ne fit aucune moue de réprobation et se contenta d’explorer chaque parcelle de son visage. Ses yeux, ses cheveux, son nez, sa bouche… rien n’avait jamais semblé aussi parfait à ses yeux qu’en cet instant. Etait ce ça l’amour ? Etait ce ne plus rien voir au monde que cet être ? Sentir son cœur se réchauffer lorsqu’il est près de vous ? Elle n’avait aucune réponse à toutes ses questions mais ce qu’elle ressentait en cet instant et en cette heure, elle ne le revivra jamais. Peut être est ce car elle aimait inconditionnellement et qu’il l’aimait en retour. Peut être étais ce tous ce qu’il lui avait dit… Elle souhaitait que cet instant soit éternel, sa peau contre la sienne, leur corps unis. Mais ce qu’elle ne savait pas c’est qu’une ombre pesait déjà sur eux…

    Elle regarda son visage prendre une nouvelle tournure, le muscle de son cou se contracter, sa bouche se pincer légèrement, ses narines prendre de grandes inspirations… Elle s’essoufflait et ne pu plus se retenir, elle laissa sa tête tomber en arrière et profita de l’amour qu’il lui donnait. Tout devint flou l’espace de quelques secondes puis elle sembla reprendre raison… Elle plaça ses bras autour de sa nuque et l’embrassa encore. Elle déposa son menton contre son épaule et murmura.

    « Ne m’abandonne plus jamais ! »

    Elle lui fit un baisé sur sa joue et le prit dans ses bras. Ce qu’elle ne voyait pas c’est cette horloge au dessus de leurs têtes qui commençait le décompte…

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Devan Justyn Harris
Admin | Étudiant(e) en Médicomagie
Spécialisation dans les blessures par créatures vivantes. (Stage à poudlard) Devan Justyn Harris
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Masculin

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Amour : Je ne l'aime que lui... Et personne ne pourra intervenir dans notre relation ou se sera votre mort..

Pensine
Orientation Sexuelle: Bisexuel
Année d'étude: Diplômé
Caractère: Changeant! La plupart du temps vous le verrez impassible. Son air est à faire peur tellement il n'a aucun sentiment... Enfin, il se fâche qu'en seule présence de ses deux pires ennemis...

MessageSujet: Re: Un Petit Shampoing? |Terminé| Un Petit Shampoing?  |Terminé| Icon_minitimeVen 24 Avr 2009 - 1:01

    Topic Terminé. ^^

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MessageSujet: Re: Un Petit Shampoing? |Terminé| Un Petit Shampoing?  |Terminé| Icon_minitime

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