[Goooooooooooood. I am like, so inspired. I just listen to supernatural. Dean is my man.]

La peur de l’inconnu est sans doute la chose la plus futile si on met à y penser. Tout d’abord, la première chose à dire c’est que si vous ne savez pas ce qui va se passez par la suite, comment savoir si ça peut être automatiquement négatif? Parce que sincèrement, ceux qui ont cette peur ce n’est pas des positivistes, le contraire serait étonnant, ces personnes en fait sont plutôt du genre à souhaiter que ça se passe d’une telle façon, et de l’attendre en temps et lieu. Bon, si ce qu’ils ont prévus se montre affreux, ils seraient déçu, oui de beaucoup sûrement mais au moins ils ne mourraient pas d’angoisse! Il ne faut pas toujours essayer de comprendre les raisonnements de la chère Caleigh Johanson. Elle était dans une autre catégorie, la c) pour être exacte, qui consistait à ne pas prévoir les choses, seulement vivre au jour le jour lui permettait d’avancer. Et oui, voyons, ne croyez pas que notre gentille demoiselle n’a que des féauts! Par Merlin! Bref, pas qu’elle était terrifié au sujet du futur, elle ne voyait simplement pas l’intérêt d’en parler, alors que justement, le mot futur désigne quelque chose se passant dans quelques temps. À vrai dire, vous pourriez aussi bien lui demander ce qu’elle ferait demain sans ne recevoir aucune réponse. Callie n’aimait pas prévoir ses choses à l’avance, c’est pourquoi tous ces jours représentaient une mystérieuse équation. L’imprévu, plus l’agissement, égalait toujours pour elle quelque chose qu’elle ne regretterait. Elle savait néanmoins qu’elle devait se lever pour aller en cours. Elle avait un horaire, certes mais elle adorait se dire qu’elle faisait ce qu’elle voulait. Ce qu’elle n’avait pas prévu en tout cas, c’était lorsqu’elle avait fait l’amour avec un collègue de travail. Il était mystérieux, et indéniablement sexy. Encore là, la brune ne pouvait le regretter, au contraire, la raison était qu’elle n’avait pas connu aussi belle chose depuis de très nombreuses années. Elle était sortit avec Anthony, elle l’avait aimé, mais étrangement la spontanéité de leur acte avait était parfaitement indescriptible. Sa brève relation avec sa tempête avait été des plus éprouvantes pour elle, assez pour remettre en questions tous ces entendements. La professeure ne le connaissait pas, du moins, pour le peu qu’elle avait pu tirer de ses conversations entre professeur, ce qui voulait dire pratiquement rien, comparé à son histoire de vie. Il faudrait un jour qu’ils se racontent leur récit, bien sûr, l’un durait plus longtemps que l’autre dût à son âge. Oulà, ça c’était une autre chose qui la faisait flipper. Elle avait 4 ans de plus que lui, je sais que ce n’est pas grand chose mais pour une Caleigh exagérative, oui. Et quand on y pensait, c’était la meilleure des choses, car pour ceux qui ne le savent pas, le potentiel maximal d’appétit sexuel chez les hommes est de 20 à 30 ans, et les femmes, de 30 à 40 ans. Ils faisaient donc un match parfait, du côté sexuel s’entend!

Un soupir de bien être traversa la pièce, alors que la professeure était allongée sur un lit aux draps couleurs de sang et à baldaquins. La solitude était son pire fantôme, en ce moment, sa chambre était plus tranquille que jamais, laissant la brune dans un état de lassitude extrême. JE sais ce que vous êtes en train de vous dire en ce moment, mais voyons Caleigh, sort de ta chambre si tu veux rencontrer âme qui vive! Le fait était qu’elle avait peur. Elle voulait sortir, elle voulait vagabonder dans l’école sans but précis parce qu’il était 1h de l’après-midi et qu’elle n’avait donné qu’un cours le matin. Hélas, sa dernière expérience de, on sort pour rien en particulier, elle avait rencontré se démon de Thomas. Pauvre femme frêle et naïve, est-ce qu’elle saurait un jour remonter ses manches et reprendre le contrôle de ses classes? Bon d’accord, seulement de ce serpent parce que tous les autres savaient très bien comment s’en tenir avec elle. Dans sa classe, elle devenait peu à peu la dragonne qui était le maitre. C’était bien le seul endroit où elle éprouvait cela d’ailleurs, elle qui était si réservée en temps et lieux. Difficile à cerner notre chère Caleigh, elle est tellement ouverte aux gens, voulant les aider parfois sans se soucier d’elle-même. Persévérante et réservée, peuvent elle être vraiment des qualités conjointes? Se levant d’un seul coup, sans bien sûr faire attention au fait qu’elle portait toujours ses talons hauts, ce qui se résuma à un, je me lève et je me rafle la figure dans la table de chevet. Lorsqu’elle remit en place le bas de sa jupe beige et son haut rouge, elle démêla ses cheveux devant son regard inquiet. Elle devait y arriver, rien qu’à se diriger immédiatement vers la grande salle sans croiser qui que ce soit. Dans la salle, elle serait tranquille, Thomas ne pourrait pas l’atteindre et elle pourrait trouver occupation. Ses pas la menèrent donc plus vite que normalement vers les étages du bas, forçant parfois les escaliers à ne pas en faire à leur tête. Rendu au premier étage, elle décida de passer rapidement à la salle des professeurs, voir si Loreana était là et aurait la gentillesse de la suivre.

Bon sang de bon soir, à peine avait-elle tourné le coin qu’elle remarqua au loin l’homme titillant ses rêves et ses fantasmes, celui qui faisait vibrer une tempête dans son corps. Son cerveau marchant à toute allure, le mode sauve-qui-peut alluma en un quart de seconde et elle retourna sur ses pas, comme si de rien était. Il ne devait pas l’avoir vu, non? Ouch, brulure, sa main s’était posé sur son bras frêle alors qu’elle essayait de se sauver de lui. Il la força à se tourner vers lui, et prit la parole, laissant notre chère brune repentante d’émotions

« Eh ! Pourquoi tu me fuis comme ça ? »

Question fatale, réaction démesurée. Son visage exprimait un sentiment probablement inconnu du vocabulaire. Dieu qu’il était beau! Non, il fallait se concentrer! Faire tourner son cerveau encore plus vite pour trouver quelque chose à lui dire… Aller Caleigh, la reine des excuses minables. Elle fit la tête du genre, capte qu’elle vient de le rencontrer.

« Ah! Adriel, je ne t’avais pas vu! Et pourquoi dis-tu ça? Je n’essaye pas de te fuir voyons. Ce serait bien trop infantile n’est-ce pas? »

Biiiiiiiip. Mensonge, mensonge! Son petit nerveux n’aurait put tromper personne. Zut, quelqu’un devait lui donner des leçons! Il était étrange comme en une seule semaine de nombreuses péripéties toutes plus percutantes les unes que les autres! Oh oui qu’elle le fuyait, elle faisait cela depuis cette fameuse nuit. Et vous savez pourquoi? Passion. Fantasme. Mystère. Trois mots qui la rendaient totalement dingue, dingue de lui, dingue de sa beauté, dingue de son sourire. D’ailleurs, son visage n’était pas du tout heureux comme elle se l’imaginait sans cesse. Elle stoppa son rire nerveux se rendant compte du merdier dans lequel elle était déjà fourré. Elle se mordit la lèvre inférieur – geste qu’elle faisait toujours en cas d’ultime stress – et posa sa main sur celle du professeur de vol qui était toujours sur son bras. Elle aurait tellement voulu la tenir longtemps dans la sienne, pourtant, le choc qu’elle reçu la surprit d’un coup et elle lâcha aussitôt prise. Elle inspira un grand jet d’air, qui contenait bien trop d’effluves de l’homme pour pouvoir penser normalement. C’est pourquoi n’importe quoi sortit de sa bouche :

« Tu as raison… J’ai l’impression de vivre dans un étau depuis cette nuit. Je déteste les situations que je ne peux comprendre. »

Comment comprendrait-il ses mots? Comme si cette nuit avait été un erreur? Elle ne savait pas, et elle aurait voulu lui dire qu’elle avait adoré. Caleigh le pouvait, la professeure en elle ne le pouvait… Ses yeux se figèrent dans les siens, et rien ne pouvait la retenir dans ce monde de magie plus que cette attraction.

[Je suis contente que tu ailles apprécier mon poste. ^^ Je vais essayer de déchirer pour celui-ci même si mon inspiration n’est pas toute là.]

EPISODE UN.
Pour une fois, la professeure d’astronomie avait décidé de corriger les devoirs de ses élèves dans la salle des professeurs. Normalement, elle s’acquittait de cette tâche tranquillement dans son bureau sans personne pour la déranger mais elle avait eut l’envie de ne pas se retrouver seul, même pour corriger. Elle y était arrivée depuis maintenant deux heure, juste après le dîner; elle devait être complètement en forme et le ventre plein si elle voulait s’occuper des devoirs et les finir cette après-midi, pour avoir tout le reste de la semaine libre. C’était ce qu’elle faisait la plupart du temps car elle n’était pas du genre à faire tout à la dernière minute, elle aimait bien mieux profiter du temps libre et se dire que tout serait terminé. Il y avait Loreanna dans un coin de la salle, qui écoutait quelque chose à la radio que la brunette n’arrivait pas à entendre d’où elle se trouvait. La salle servait d’endroit pour se reposer, pour converser avec ses amis du corps professoral et même s’amuser, du moins surtout quand Anthony était-la. Ces trois amis faisaient une clique d’enfer, et même si depuis quelque temps Caleigh sortait avec Antho, ils arrivaient facilement à s’amuser ensemble comme le ferait deux meilleurs amis. Au début, ça avait été un plus, cette complicité et cette intimité mais ce n’était que plus tard qu’ils avaient compris qu’ils étaient mieux faits pour être simplement amis. Les deux amies s’envoyaient quelques fois des commentaires sur les autres professeurs, profitant de leur absence pour rire un peu. Loreanna et Caleigh avait un lien très fort les unissant, comme si elles étaient jumelles tant leur caractère quelque peu différent pouvait bien fusionner. Elles s’amusaient comme deux petites folles ensembles et c’était ce qui leur importait, elles pouvaient aussi se faire entièrement confiance et merlin savait à quel point les deux avaient besoin d’une confidente. La belle professeure avait presque finit ses corrections, il ne lui restait que quatre parchemins lorsque son amie la sortie de sa concentration, l’assénant d’une question auquel, étrangement, elle ne connaissait pas la réponse.

LOREANNA « Dis Callie, tu savais qu’il y avait un nouveau professeur qui arrivait aujourd’hui? »

ELLE « Non je ne savais pas. Il remplace qui? »

LOREANNA « Dis Il remplace M. Tonnings, le professeur de vol qui a prit sa retraite. »

ELLE « Ah oui, Harold. Tu sais à quoi il ressemble? Je veux dire, toi la reine des potins! »

LOREANNA « Pffff. Dis pas n’importe quoi. Étrangement je n’ai jamais entendu parler de lui. Il s’appelle Adriel, Adriel Hoover. »

ELLE « Hummm, Adriel? C’est joli je trouve. »

Et elle et son amie avaient commencé à projeté des millions de choses sur le nouveaux venus, un vieux snock à qui les parents auraient voulu être original mais que à qui la beauté faisait défaut. Ainsi que plusieurs autres scénarios, plus drôles les uns que les autres, jusqu’à ce qu’un homme entre dans la salle, interrompant les conneries des deux adultes…
SUITE AU PROCHAIN ÉPISODE.

Caleigh ne lâchait pas le regard du professeur de vol à la suite des mots qu’elle lui avait dit, c’est moi qui ne reflétais que très partiellement les états d’âmes de la jeune femme. Peut-être était-il impossible d’aimer deux personnes autant à la fois, mais elle savait décemment qu’elle éprouvait quelque chose pour lui, encore plus fort qu’avec de nombreuses autres personnes par ailleurs. Elle ne voulait pas retirer ses prunelles des yeux émeraudes du plus jeune sans quoi son cerveau profiterait sans doute de ce détour pour s’enfuir, seule réaction qu’elle connaissait encore jusqu’à ce jour. Le simple fait qu’elle affronte cet homme, celui qui était imprégné d’une immense virilité mais d’un tempérament tellement gentil et doux lorsqu’il était avec elle parvenait à signifier ses futures intentions. Il n’y avait plus qu’une infime partie de son cerveau qui lui disait d’arrêter ce qu’elle faisait. Simplement une petite voix qui lui disait qu’il était trop jeune; qu’il était un ami; qu’il était un professeur et de nombreuses autres choses plus insignifiantes les unes que les autres. Même la voix qui lui disait qu’elle n’était pas assez bien pour lui, qu’il était bien trop beau et parfait pour elle se taisait tranquillement, lui laissant reprendre confiance en soi comme elle ne l’avait plus fait depuis tellement d’années. Ce sentiment était étrange, étrangement réconfortant et particulièrement bon signe lorsqu’on parlait de la professeure d’astronomie, cette femme peu sûre de soi mais qui voulait tellement arriver à faire de bonnes choses. Elle se sentait revivre, comme si le simple sourire que lui avait envoyé Adriel qu’elle faisait ressortir de ses souvenirs parvenait à penser toutes ses anciennes blessures. L’air qui entourait les deux professeurs devenait de plus en plus empreinte d’une électricité incontrôlable et toutes les personnes qui passeraient par là aurait pût prédire la suite des événements. Du moins, tous sauf Caleigh qui, malgré sa nouvelle confiance en soi, n’aurait jamais crût qu’Adriel ferait se qu’il s’apprêtait à faire.

Au lieu de répondre par des paroles à la professeure, il choisit toute autre sorte de réponse, celle qui impliquait chaleur, salive et bien sûr une immense passion. Coincée contre le mur, rien ne pouvait les séparer et la brun se rapprocha de lui, comme si elle allait attaquer sa proie dans un instant. Mmh. Peut-être pas comme une prédatrice parce que la douceur et la ferveur qui régnait dans son regard était bien trop puissante. Il avait accepté son étreinte, même bien plus que cela car lorsqu’il s’était quelque peu éloigné, Callie regarda le professeur avec une once de peur dans les yeux. Il ne voulait plus? Au lieu de la laisser en plan, il se rapprocha à nouveau vers elle, mais déposant ses lèvres sur les siennes, en de nombreux baiser papillons tous faisant monté la chaleur en flèche dans le corps de Caleigh qui n’avait pas ressentit de pareille chose depuis un long moment. Leur baiser s’approfondit, et la brune répondit facilement à la demande du garçon et en allant jusqu’à prendre les devants; elle lui quémanda l’ouverture du barrage de ses lèvres pour que leur langue puissent se retrouver après tant de temps. Si le plus jeune pensait aux conséquences de leurs actes, comme quoi ils étaient en pleins couloirs et bien c’était tout autre de la sorcière qui avait plus de pensées perverses qu’elle n’avait plus eut depuis longtemps. Elle se décolla vivement de lui pour reprendre son souffle et lui lança un sourire empli de diverses émotions. Elle le prit par la main et l’entraîna à travers les couloirs de l’école, ayant un envie lui balançant tous ces esprits, et surtout envoyant valser aux poubelles toutes ses gênes. Elle se maudissait intérieurement tandis qu’ils devaient monter tous les satanés étages de Poudlard avant de se rendre à un endroit potable. Je vous dis que si son bureau avait été à cet étage, ils y seraient déjà depuis un sacré bon bout de temps. L’essoufflement qui engorgeait tout son corps et son esprit ne faisait que rendre l’attente encore plus excitante. Lorsqu’elle fût rendue à ses appartements, elle ouvrit la porte d’une façon beaucoup trop brusque, faisant pratiquement sauter les gonds des portes. Elle la referma tout aussi fortement, et ne plus attendre plus d’une seconde puisqu’elle se jeta littéralement au cou du professeur de vol, les faisant basculé sur le dos. Ça aussi Caleigh s’en foutait, elle était bien trop occupée à embrasser à nouveau les lèvres d’Adriel. Jamais elle n’Avait contenu autant d’énergie en elle et ce n’était pas très bon pour tout le monde... Bon, d’accord pour le viril professeur, c’était un plus incroyable. Elle n’irait tout de même pas jusqu’à commencer les préliminaires, non il y avait des limites à tout mais elle espérait grandement qu’il ne la ferait pas languir trop longtemps…

Les sensations qui prenaient part de l’être entier de la professeure étaient emplies d’une incompréhension savoureuse et d’un sentiment de déjà vu. Car oui, si ses sentiments lui faisaient un bien fou, elles les avaient déjà vécu une fois avec Logan, c’était un autre signe qu’elle pouvait l’oublier si son homme était capable d’Agir comme lui, de lui faire ressentir passablement les même choses. Elle n’aurait pas crût cela possible et je peux vous assurer qu’en cet instant, elle en profitait un max et c’était même pourquoi elle avait marché à toute allure pour se rendre dans ses appartements, de façon à être seuls et continuer ce qu’ils avaient fait l’autre soir dans un bar. Cette fois-ci l’alcool ne serait pas impliquer et la relation n’en serait que meilleure puisqu’elle ne serait pas inhiber par les substances. Ils pourraient profiter amplement, d’ailleurs il était très tôt dans l’après-midi et Caleigh n’avait pas de cours. Elle espérait que ce serait pareil pour Adriel puisqu’ils pourraient profiter l’un de l’autre jusqu’à très très tard, de façon à accomplir tout ce qu’il n’avait jamais eut le temps lors de leur première fois ensemble. Ben quoi? C’était idiot de penser à faire ça en un temps record sous prétexte que… En fait, il n’y avait aucun prétexte et c’était la raison qui ramenait au départ, ils avaient tout le temps devant eux. La professeure à l’origine si calme et réservée avait tout bonnement éclatée devant les baisers que lui avait asséné Adriel, et maintenant qu’elle l’avait pour elle seule dans ses appartements, croyez-moi que ça allait barder. À peine avait elle fermé la porte qu’elle lui avait tout bonnement sauté dessus telle une tigresse sur sa proie, se foutant totalement de l’effet de surprise et donc les deux professeurs se retrouvèrent au sol. Ce n’était pas là une mauvaise chose, aucunement car en cet instant la belle brune pouvait profiter entièrement de la chaleur qui émanait de l’autre, alors que leur corps était collé l’un à l’autre. Jamais Caleigh n’aurait pensé éprouver telles sensations depuis un sacré bout de temps, et Adriel savait le faire en un rien de temps. D’ailleurs, elle ne pensait pas que cet être pouvait être aussi doux, aussi merveilleux, aussi parfait quoi! En plus de sa beauté et de sa virilité hors-pair, il avait une tonne de qualités le rendait le meilleur petit (futur) copain de la terre.

C’est d’ailleurs dans cet optique que le brun ténébreux décida que le sol n’était pas assez douillet et approprié pour leur deuxième fois. Sans dire un mot, mais regardant seulement dans ses yeux, Caleigh le comprit immédiatement. Il la prit dans ses bras comme une mariée ou une princesse, bref comme une femme à qui il voulait faire attention et éprouvait envers elle plus que de simple sentiments barbares de baise. Elle se sentait la reine, dans cette position et elle ne lâchait pas le regard du plus jeune, ses émeraudes captant toute son attention autant que l’expression naissante d’un grand désir sur son visage. Il alla la déposer sur son lit, pour ensuite commencer un supplice infâme qui consistait à recouvrir son coup de baisers volés. Frissonnant de plaisir, Caleigh laissait échappés de nombreux soupirs de satisfaction, lui qui s’emparait d’une de ses zones la plus érogènes qu’il soit. Après un long moment de cette torture, il remonta tranquillement jusqu’à reprendre avec passion ses lèvres, chose que la brune se permit d’imiter elle aussi. L’une de ses mains était désespérément accrochée à la nuque du plus jeune, pour approfondir le baiser dans une façon qu’elle ne croyait même pas capable. Son autre main se perdait dans son dos, à la recherche d’endroits qui pourrait faire réagir son partenaire de l’avenir. Il arrêta son baiser, non sans un nouveau grognement de la si peu réservée professeure en ce moment merveilleux pour faire glisser ses mains jusqu’en bas de son haut. Elle lui donna l’accord en déposant ses mains fines et brûlantes de son partenaire sur les siennes, et le faisant monter. Elle se leva quelque peu pour faciliter le tout et se retrouva facilement en soutien-gorge de dentelle noir. C’était idiot, mais néanmoins très utile lorsqu’on y pensait, la professeur portait toujours des dessous assortis, et une chance parce que si elle avait eut son top de sport par exemple, ça n’aurait pas été la plus belle chose.

Elle déposa un regard plus qu’éloquent sur la chemise que portait le professeur de vol, trouvant totalement injuste qu’il la porte encore. Elle leva une de ses jambes pour la déposer dans le dos du brun pour s’aider à se relever, en profitant pour reprendre les lèvres qui lui manquaient déjà. Elle s’afférait en même temps de déboutonner lentement bouton par bouton, profitant à chaque fois de sa peau qui se dévoilait de plus en plus. Elle déposa ses main douce sur le haut de la chemise déboutonnée et glissa sur son torse, son épaule et tout le long de son bras pour enlever ce bout de tissu qui était plus qu’inutile. Ne pouvant tout simplement pas se retenir plus longtemps, se mains s’attaquait déjà à son pantalon, pour l’ouvrir et baisser la fermeture éclair. Elle arrêta un instant son baisé, pour aller mordiller la lèvre du brun, qui lui permettrait tranquillement de comprendre ce qu’elle voulait. En attendant sa réponse, elle commença elle aussi à déboutonné sa jupe, pour laisser dévoiler les mêmes dessous noirs en dentelle que son soutien-gorge. Bon sang, qu’elle pouvait aimer cet homme en cet instant précis et croyez-moi qu’elle ne se lasserai jamais de regarder ce corps et se visage aussi magnifique.

L’art d’aimer. L’art de donner à l’autre des sensations purement extatiques. L’art de savourer pleinement l’autre. L’art de lui donner milles et unes excuse qui sauraient remettre en questions toutes ses anciennes craintes. L’art de savoir se faire désirer. L’art de ne jamais dépassé outre les limites des gens. L’art de savoir attendre, de savoir comment s’y prendre pour faire comprendre à l’autre qu’elle est une reine. L’art d’Adriel. Cet homme savait s’y prendre, ça il n’y avait aucun doute. Normalement, la professeure aurait commencé à se poser des questions sur lui, du genre : est-ce qu’il accordait se traitement à n’importe quelles femmes? Mais c’était peut-être tout simplement parce qu’il était un homme pas comme les autres que ce genre de questions ne lui venaient pas en tête. En fait, c’était tout autre et pour une fois dans sa vie, du moins pour la seconde fois dans sa vie, elle se sentait parfaitement belle et désirable avec un homme. Pour elle, il n’avait pas agit comme ça avec toutes ses conquêtes, il la considérait comme spéciale, et c’était pareil du côté de la brune. Il savait comment la faire sentir la femme que tout homme voulait avoir, même si au font, tout le monde savait que personne ne lui faisait sentir cela pour la simple et bonne raison qu’elle était parfaite. Pas trop surexcitée, d’une intelligence exceptionnelle, et d’un caractère timide et maladroit qui faisait craquer plus d’un homme. Il fallait avouer qu’elle avait toujours été gâtée par la nature même si elle ne s’en rendait pas compte. C’était assez étrange lorsqu’on y pensait, Adriel savait de faire une très grande place dans le cœur de la belle alors qu’elle n’aurait jamais crût ça possible. Et pauvre lui… elle devrait lui dire un jour pou Logan, ça il n’y en avait aucun doute et elle aurait à se faire avec les conséquences, peu importe soit elle. Pour certain, être le deuxième choix pour quelqu’un peu être très insultant après tout.

Mais pour l’instant, il n’Est tout simplement pas le bon moment de penser à cela, pour la simple et bonne raison que tout le monde sait ce qu’il arrive lorsqu’on a d’autres pensées durant l’Acte. Elle voulait ne penser qu’à lui, du moins en cet instant sublime qui les rapprocheraient, qui les uniraient pour ne faire plus qu’un. Leurs baisers étaient tantôt passionnés, tantôt fougueux, et tantôt même amoureux. Je peux vous certifier, qu’à partir de ce moment même, toutes les personnes qu’elle rencontrerait et qui lui parlerait en mal de lui, elle se fâcherait et le défendrait corps et âmes. Personne ne devait se fier aux apparences, surtout pas lorsque cela concernait le professeur de vol. Toutes ses minettes de jeunes étudiantes qui l’aimaient en secret et l’imaginait torse nu, ses muscles à découverts et les malmenant quelque peu. Tout simplement parce qu’il avait l’air de ça. Caleigh se réjouissait intérieurement d’avoir eut droit à cette parcelle de lui, gentille, adorable, douce et incroyablement aimant. Il était même timide, oui, elle l’avait vu lui aussi rougir depuis le début de leur conversation, vous l’imaginez? Adriel, rougir? Je ne sais pas pour vous, mais moi, un homme qui peut rougir, est au moins 1000 fois plus craquant que tous les autres, cherchez pas, c’est comme ça! En ce moment, les deux adultes étaient tous deux en sous-vêtements, et ils prenaient même le temps de regarder l’autre sous toutes ses coutures. Son futur amant s’attarda ensuite au soutien-gorge de la demoiselle, prenant bien soin de faire glisser ses mains incroyablement douces sur son dos désormais dénudé. Il entreprit par la suite de commencer la même torture que tout à l’heure, celle de l’embrasser partout, aucune parcelle n’échappait à ses lèvres expertes et faisait frémir la professeur qui voyait de mieux en mieux les nuages. Il entreprit ensuite d’enlever ses collants, qui gênait extrêmement la brune des caresses de son amant. Il continua là aussi sa torture, jusqu’à ses pieds, où elle laissa échapper un mince rire. C’était son point faible que voulez-vous?!

Deux secondes de trop de ce supplice, la brune ne m’y pas plus de temps avant d’enlever ses pieds d’Adriel. Elle se retourna pour être plutôt face à face, alors qu’il était tout au bout du lit. Elle l’embrassa passionnément, de longues minutes avant de mettre l’une de ses mains sur son dos et l’autre poussaient sur le lit pour les ramener à l’oreiller. Caleigh enserra à nouveau ses jambes autour des hanches de son partenaire pour le coucher sur lui et pouvoir attaquer à nouveau ses lèvres, tandis que ses deux mains se faufilaient tranquillement sous le boxer du professeur. Ses fesses étaient incroyablement fermes et la brune ne se retiendrait pas trop longtemps avant de vouloir les voir, en plus de les caresser avec ses mains qui s’étaient largement réchauffées. Son corps semblait bouillir d’ailleurs, même s’il ne lui restait qu’un infime bout de tissu sur son corps. Elle était prête, il pouvait lui faire ce qu’il voulait et elle ne chignerait pas. Par contre, connaissant un peu plus son partenaire, elle se doutait que les préliminaires dureraient un peu plus longtemps. C’était étrange tout à coup d’écarter les conventions, C. devait attendre, ce serait encore meilleur!